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samedi, 04 janvier 2025

Libérez Tommy Robinson. Elon Musk soutient à nouveau le lanceur d’alerte dissident emprisonné au Royaume-Uni

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Source Breizh info cliquez ici

Elon Musk, le patron visionnaire de Tesla et de X (anciennement Twitter), a une nouvelle fois pris position contre l’injustice, en appelant à la libération de Tommy Robinson. Ce dernier, figure emblématique de la dissidence britannique, est actuellement emprisonné pour avoir enfreint une décision judiciaire qui lui interdisait de dénoncer des agissements liés à l’immigration.

Dans un simple mais puissant message – « Free Tommy Robinson » – Musk a relancé un débat essentiel sur la liberté d’expression, le rôle des lanceurs d’alerte et les dysfonctionnements d’un système judiciaire que certains jugent politisé.

Tommy Robinson : un dissident devenu symbole

De son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon, Tommy Robinson s’est imposé comme un fervent défenseur des traditions britanniques face aux bouleversements engendrés par une immigration massive et une mondialisation sans contrôle. Fondateur de l’English Defence League (EDL) en 2009, il est devenu l’un des porte-voix des inquiétudes populaires face à l’islamisation de certaines régions du Royaume-Uni et aux violences communautaires qui en découlent.

Robinson ne se contente pas de discours. Depuis plus d’une décennie, il dénonce, enquête, et met en lumière des scandales que les élites cherchent souvent à minimiser ou à étouffer. Parmi ses révélations, l’affaire des gangs de violeurs pakistanais opérant dans le nord de l’Angleterre reste l’un des cas les plus marquants. Ces crimes odieux, qui ont brisé la vie de milliers de jeunes filles entre 1997 et 2013, ont été largement ignorés par les autorités de peur d’être accusées de racisme. Robinson a été l’un des rares à briser ce silence complice, ce qui lui vaut aujourd’hui une hostilité farouche de la part de certains cercles politiques et médiatiques.

Elon Musk : un soutien de poids

En s’exprimant en faveur de Robinson, Elon Musk pose une question fondamentale : un lanceur d’alerte peut-il être muselé sous prétexte d’avoir enfreint une loi ou une décision judiciaire ? Musk, connu pour son franc-parler, a qualifié l’emprisonnement de Robinson d’injustice flagrante. « Pourquoi Tommy Robinson est-il en isolement pour avoir dit la vérité ?« , a-t-il écrit. Ces mots résonnent avec force dans un contexte où la liberté d’expression semble de plus en plus menacée, en particulier pour ceux qui osent critiquer les dogmes progressistes.

Musk a également pointé du doigt l’actuel Premier ministre travailliste Keir Starmer, accusé de n’avoir rien fait pour mettre fin aux agissements des gangs de violeurs lorsqu’il dirigeait le Crown Prosecution Service (CPS). Selon Musk, cette période d’inaction illustre un problème systémique au sein des institutions britanniques, où des considérations politiques semblent primer sur la justice et la sécurité des citoyens.

Un système judiciaire sous influence ?

Robinson a été condamné pour avoir enfreint une injonction judiciaire qui l’empêchait de répéter des accusations à l’encontre d’un réfugié syrien, accusations qu’il estimait fondées sur des faits. Ses soutiens dénoncent une instrumentalisation de la justice pour réduire au silence un dissident gênant. En effet, les élites politiques et médiatiques ne pardonnent pas à Robinson son rôle dans l’exposition des scandales liés à l’immigration massive et aux abus commis dans certaines communautés.

Cette affaire pose un problème de fond : peut-on réellement parler de justice équitable lorsqu’un lanceur d’alerte est condamné pour avoir divulgué des vérités que d’autres préfèrent cacher ? Les partisans de Robinson, de plus en plus nombreux, estiment qu’il est victime d’un système cherchant à protéger des intérêts idéologiques au détriment de la vérité.

Tommy Robinson n’est pas qu’un simple militant britannique. Il est devenu un symbole de la résistance face à un système jugé déconnecté des préoccupations populaires. Son combat trouve un écho bien au-delà des frontières britanniques, en particulier dans les cercles identitaires européens. De nombreux militants voient en lui un modèle de courage face aux pressions et aux menaces.

Les manifestations de soutien organisées en son honneur rassemblent des milliers de personnes, bien décidées à défendre la liberté d’expression et à dénoncer une politique migratoire qu’elles jugent destructrice pour l’identité européenne. Alors que Tommy Robinson purge une peine de 18 mois de prison, ses soutiens continuent de se mobiliser. Ils dénoncent non seulement une injustice individuelle, mais aussi une dérive généralisée où les élites cherchent à imposer une pensée unique.

Dans ce contexte, l’appel d’Elon Musk à la libération de Robinson prend une dimension symbolique. Il ne s’agit pas seulement de défendre un homme, mais de protéger une valeur fondamentale : le droit de dire la vérité, même quand elle dérange. Pour les identitaires et les défenseurs des libertés, le combat pour Tommy Robinson est celui de tous ceux qui refusent de se soumettre à la dictature du politiquement correct.

Dans le prochain numéro de la revue Synthèse nationale, vous pourrez lire un entretien avec Eric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen et soutien actif en France de Tommy Robinson. Pour le commander cliquez ici

12:00 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mardi 21 janvier 2025, en Trégor (22) : une conférence d'Alban d'Arguin, auteur de "Eoliennes, un scandale d'Etat"

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Le livre "Eolienne, un scandale d'Etat" cliquez ici

vendredi, 03 janvier 2025

Nancy, dimanche 5 janvier 2025 : commémorations de la bataille de Nancy (1477)

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23:44 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Soutien à Alexandre Simonnot, membre de la direction du Parti de la France, qui vient d'être relaxé

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Un communiqué du PdF :

Poursuivi pour avoir relayé un tweet de Jean-Marie Le Pen où celui-ci confirmait sa vision du « détail », Alexandre Simonnot a été lourdement condamné en première instance avec dommages et intérêts aux vautours associatifs habituels.

Heureusement, en appel, son avocat a soulevé un vice de procédure et son client a été relaxé !

Néanmoins, ce père de cinq enfants aux revenus modestes doit régler la facture de son avocat (3.600 €), le Parti de la France ayant déjà pris à sa charge les frais du premier procès.

C'est pourquoi, nous faisons appel à votre solidarité face à la persécution politico-judiciaire dont notre camarade a été victime.

Faites un don (déductible à 66 % de vos impôts) par virement sur le compte du Parti de la France (en précisant bien que c'est pour aider Alexandre Simonnot) : LCL PARIS MADELEINE – FR70 3000 2004 3700 0044 6675 B82

Ou envoyez un chèque au siège du Parti de la France - 76 rue de la Pompe - 75016 Paris.

Merci d'avance pour votre mobilisation !

18:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conférence de Laurent Guyénot à Lille le samedi 18 janvier 2025 à 14h30

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E&R Nord-Pas-de-Calais recevra Laurent Guyénot à Lille le samedi 18 janvier 2025 à 14 h 30 pour une conférence intitulée « Tradition et civilisation helléno-chrétienne ».

L’hellénisme et le christianisme se disputent l’âme de l’Occident depuis deux mille ans. Une lutte féconde, mais jamais achevée, puisqu’elle oppose deux idées contraires : d’un côté la primauté de la raison gréco-romaine, de l’autre la primauté de la révélation judéo-chrétienne. La Cité des hommes contre la Cité de Dieu, selon le point de vue chrétien. Le Moyen Âge nous apparaît comme le triomphe du christianisme et la Renaissance comme celui de l’hellénisme. En analysant les entrelacements historiques de ces deux courants qui irriguent notre civilisation, nous pourrons savoir qui nous sommes, d’où nous venons et où nous pouvons aller.

- Entrée : 10 euros

- Inscription obligatoire sur le site ladll.fr

- Présence d’un stand Kontre Kulture et séance de dédicace

- Présence d’une buvette

16:46 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La passoire espagnole : de plus en plus de migrants illégaux y arrivent

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Michel Festivi 

J’avais, il y a quelques semaines, relaté dans un article, la politique pro-immigrationniste débridée mise en place par le gouvernement socialo-communiste espagnol de Pedro Sanchez, pour faire venir encore et toujours plus de clandestins en réalité. Et bien, si j’ose dire, cette politique suicidaire pour nos pays européens portent ses fruits venimeux, c’est le moins que l’on puisse dire.

Pedro Sanchez et ses séides communisto-indépendantistes n’ont qu’un but, voir submerger l’Espagne, et au-delà l’Europe entière. Les chiffres viennent de sortir, en 2024, le nombre de migrants clandestins arrivés aux Îles Canaries a été de 46.843, une hausse de plus de 17% par rapport à l’an passé. Pour l’ensemble de l’Espagne, ce sont 63.970 illégaux qui ont pu pénétrer sans aucune difficulté, contre 56.852 en 2023, soit une hausse de 12,5%. En 2018, le record absolu avait été battu avec l’arrivée de 64.298 clandestins.

Cette voie de passage, particulièrement périlleuse, puisque en 2024, 10.400 migrants y avaient laissé la vie, ne fait nullement reculer les tentatives d’accès. Car Pedro Sanchez défend une politique immigrationiste à tout crin, sous le faux prétexte illusoire de pallier les carences démographiques espagnoles et de main d’œuvre. À la mi-novembre, une législation permissive, visant à la réduction des délais pour obtenir un titre de séjour a été adopté par les Cortès (réduction de 1 an à 3 mois), et quelques 300.000 immigrés par an, pourraient ainsi être régularisés. Les vraies raisons sont sans doute à chercher sur un espoir de voir les naturalisés espagnols, voter en masse pour lui, comme pour nos LFI en France.

Si les tensions politiques se font jour entre le PSOE et le PP sur la politique migratoire, seul en réalité le Parti Vox y est farouchement opposé, car le Parti Populaire de centre-droit n’a en réalité aucune velléité offensive, et se laisse enfermer dans une phraséologie droit-de-l’hommiste qui lui ôte toute pertinence. Cependant pour la première fois, le Roi Felipe VI, dans son discours à la Nation a évoqué le problème, à la veille de Noël, avec beaucoup de prudence néanmoins, selon la tradition monarchiste « Étant une réalité quotidienne, les migrations peuvent conduire, sans une gestion appropriée, à des tensions qui érodent la cohésion sociale ».

Effectivement, le patronat, notamment agricole, profite ainsi d’une main d’œuvre taillable et exploitable à souhait, ce qui fait baisser les coûts des productions, ce qui par conséquence, concurrence illégalement les produits français par exemple. L’Andalousie avec ses immenses serres à perte de vue en est un exemple frappant. Des manifestations ont enfin commencé à poindre aux Canaries, mais les Espagnols sont loin, très loin de réagir politiquement et par les urnes comme l’ont fait d’autres pays, que ce soit en France, en Italie, en Autriche, en Allemagne, ou en Hollande et en Suède par exemple. Ce peuple si vaillant de par le passé est assez amorphe pour l’instant en tout cas.

Car des politiques anti immigration commencent à produire des résultats. Le nombre d’entrées aux frontières de l’UE a chuté de 40% au cours des onze premiers mois de l’année 2024, soit 220.700 arrivées, selon les chiffres de l’Agence européenne de surveillance des frontières, Frontex. Cette chute a pour principale cause, la baisse des arrivées par les routes migratoires des Balkans occidentaux (-80%) est part la Méditerranée centrale (-60%), grâce sans doute aux politiques grecques et italiennes.

À ce propos, en Italie, et grâce à la politique mise en place par le gouvernement de Giorgia Meloni, la baisse des arrivées irrégulières a été chiffrée à -60% par rapport à 2023, selon le ministre italien de l’intérieur Matteo Piantedosi. Par rapport à 2022, la baisse est de 38%, quant au rapatriement d’immigrants expulsés, l’augmentation est de 16%, toujours par rapport à 2023. Le ministre affirme que les autorités ont pu bloquer les départs de 192.000 migrants irréguliers venant de Lybie et de Tunisie. Les rapatriements volontaires ont été au nombre de plus de 21.000 en 2024. L’Italie a passé des accords avec la Libye et la Tunisie. Elle a durci ses lois contre les passeurs, a limité les regroupements familiaux, a encadré l’activité des ONG, a restreint l’accès au travail des demandeurs d’asile etc...

S’agissant de l’Albanie, malgré des péripéties judiciaires concernant l’accord entre les deux pays pour la création de centres de regroupement en Albanie, le gouvernement italien, en réponse à l’invalidation judiciaire, a immédiatement signé un nouveau décret. Comme quoi, lorsque l’on veut vraiment agir, on le peut. Agir et non pas se contenter de bonnes paroles lénifiantes, n’est-ce pas Messieurs Darmanin er Retailleau ? À vous de jouer, vous êtes au pied du mur, vous serez jugés sur vos résultats et non pas sur des déclarations.

12:52 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 02 janvier 2025

LA "SOUSCRIPTION PATRIOTIQUE 2024" A DÉPASSÉ SES OBJECTIFS : MERCI À TOUS !

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Si vous n'avez pas répondu à la "souscription patriotique 2024" (cliquez là), vous pouvez quand même nous soutenir en vous abonnant à notre revue cliquez ici ou en achetant les livres que nous éditons cliquez là

23:15 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

IL SORT TRÈS BIENTÔT, MAIS VOUS POUVEZ LE COMMANDER DÈS MAINTENANT...

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Sommaire

N°68 – HIVER 2024 – 2025

2     ÉDITORIAL Roland Hélie

6     IMMOBILISME OU CHUTE Didier Lecerf

12   FREE TOMMY ROBINSON Un entretien avec Éric Mauvoisin-Delavaud 

16   LE BILAN CATASTROPHIQUE DE LA MACRONIE EUROBÉATE Didier Lecerf

22   L’INSTRUMENTALISATION DE L’HISTOIRE Maurice Bernard

22   QUAND GUÉNOLÉ SE GUIGNOLISE Maurice Bernard

32   DROGUE FLÉAU DE LA DÉCOMPOSITION FRANÇAISE Alexis Murbas

40   ÉTAT PROVIDENCE ET GABÉGIE Pieter Kerstens

39   LE MOT « GÉNOCIDE » Martine Heldé

52   MENSONGES DE LA PENSÉE UNIQUE Arnaud Raffard de Brienne

57   LA NOUVELLE CALÉDONIE SE MEURT Jean-Claude Rolinat

63   CRIMES DU COMMUNISME DANS LES BALKANS Michel Festivi

68   FRAGILE MOLDAVIE Robert Neboit

73   LA CHRONIQUE DE PHILIPPE RANDA

76   TRIBUNE LIBRE Nicolas Zahar

80   LE PFN AURAIT 50 ANS Roland Hélie

86   LES LIVRES AU CRIBLE Georges Feltin-Tracol

95   BIOGRAPHIES LITTÉRAIRES Daniel Cologne

102 LES FLANERIES DE SCIPION DE SALM

106 LA LIBRE CHRONIQUE Charles-Henri d’Elloy

109 LES PAGES DU MARQUIS L'ultime chronique de Jean-Paul Chayriges de Olmetta, décédé le 4 décembre dernier.

113  BULLETIN D’ABONNEMENT

Et bien d'autres articles...

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Bulletin d'abonnement

23:15 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un livre exceptionnel contre toutes les repentances européennes, pour bien commencer l’année 2025

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Michel Festivi 

Il y a des livres qui vous ayant fait un bien fou, vous font dire après les avoir lus, il y aura un avant et un après. Cela avait été le cas, lorsqu’en 2022 était paru aux éditions de l’Artilleur, l’ouvrage de l’historien espagnol Luis Pio Moa, Les mythes de la guerre d’Espagne, qui avait totalement bouleversé l’historiographie de la guerre civile espagnole. C’est le cas de nouveau aujourd’hui, avec le livre de Marcelo Gullo Omodeo, Ceux qui devraient demander pardon, avec comme sous-titre, La légende noire espagnole et l’hégémonie anglo-saxonne, qui vient d’être publié aussi aux excellentes éditions de l’Artilleur. En langue espagnole, le livre s’intitule « Nada por lo que pedir perdón » (Il n’y a pas de pardon à demander).

L’occident vit depuis plusieurs années une véritable avalanche d’auto-flagellations massives, des États-Unis à l’Europe, en passant par le Vatican, opérations wokistes d’envergures, qui entendent balayer vers les poubelles de l’Histoire, toute la geste qui a conquis le monde pour lui apporter la civilisation, au profit d’un mélange nauséabond d’islamisme, de communisme, d’anti-occidentalisme effréné, d’indigénisme exacerbé, voire de racialisme anti-blanc. Il ne se passe pas un jour, où une statue est déboulonnée, où un homme politique désormais honni est déterré, où une rue est débaptisée au nom de la repentance à sens unique qui se généralise dans nos universités, nos institutions, et jusqu’aux plus hautes autorités de l’État, le Président Macron en étant un habitué, pour cracher à la figure de notre pays sans la moindre vergogne.

C’est pourquoi, Marcelo Gullo fait œuvre salutaire. Historien et politologue argentin, il a enseigné pendant des décennies à l’École supérieure de guerre de Buenos Aires, et dans diverses universités d’Argentine et du Pérou. Auteur d’une multitude d’ouvrages et d’articles, son précédent livre, Madre Patria, avait déjà attiré l’attention grâce à la solidité de ses recherches et à sa qualité d’écriture.

Marcelo Gullo, continue donc à pourfendre la fameuse légende noire espagnole en reprenant tout le dossier et toute l’affaire, en déroulant l’écheveau, ce qui au demeurant nous remémore toute une partie de l’histoire de l’Espagne, de l’Europe et des États-Unis, tant sa culture et ses références sont vastes.

Des Aztèques et des Incas, esclavagistes et mangeurs de chair humaine, de véritables génocidaires, d’authentiques cannibales notamment de bébés, jusqu’aux détails des propagandes et des mensonges historiques des luthériens, des pays comme la Hollande, la Grande Bretagne, les États-Unis qui bouffèrent du catholique à longueur de temps, Marcelo Gullo met en pièces la construction mémorielle qui voudrait que l’Espagne aurait commis des crimes contre l’humanité, alors qu’elle a construit immédiatement dès la conquête libératrice, des écoles, de universités, des hôpitaux, que ce soit en Amérique centrale et du sud, comme aux Philippines. Gullo nous indique, qu’avant la conquête espagnole, les Incas et les Aztèques, ainsi que d’autres peuplades, exterminaient environ 20.000 personnes par an, pour leurs sacrifices humains, et tenaient en sujétion leurs congénères, qui furent d’un coup d’un seul, libérés de ces tyrannies totalitaires et exterminatrices. « Au début du XVIIe siècle, ces indigènes dévoraient tout être humain qu’ils capturaient... et formaient des expéditions qui avaient pour objet de les approvisionner en chair humaine. Ils engraissaient des prisonniers qu’ils tuaient et qu’ils mangeaient... »

Car comme le souligne dans son remarquable avant-propos pour le lecteur francophone, l’historien Arnaud Imatz, correspondant français de l’Académie royale d’histoire : « Avec à peine 5 à 6 millions d’habitants, (la France à elle seule en comptait environ 20 millions), l’Espagne devait tout à la fois lutter contre la piraterie barbaresque, affronter l’expansion ottomane, faire face à l’Angleterre et aux pays protestants et contrecarrer la puissance montante de la France. On comprend dès lors, la haine et le ressentiment durables qu’elle a suscités. ». Soulignons qu’Arnaud Imatz a été l’un de ceux qui ont permis la publication en France de ce livre, comme il l’avait fait pour le livre de Luis Pio Moa précité, ou pour des publications contre le mythe de Al-Andaluz.

Je rajouterai, que la France, à cette époque, a eu une politique pro-turc, et a laissé l’Espagne et les pays du Saint Empire germanique se battre seuls contre les envahisseurs mahométans. On en paie encore aujourd’hui le prix. 

Marcelo Gullo retrace avec brio et forces sources documentées, la conquête espagnole, ses causes et conséquences, les faux témoins stipendiés comme Bartolomé de las Casas qui ont voulu démolir l’œuvre civilisatrice. Les actions dévastatrices de Martin Luther, de Jean Calvin, de l’Angleterre, de la Hollande, des États-Unis et bien d’autres pays et évènements qui se liguèrent, consciemment ou inconsciemment, pour tailler des croupières à l’action de l’Espagne, sont disséquées. Car souligne-t-il « Dans la vice-royauté de la Nouvelle-Espagne, la population indienne avait le droit (et ce dès le départ), de recevoir des soins gratuits dans les tous les hôpitaux. Il rappelle opportunément, que c’est Hernàn Cortès lui-même qui fonda à Mexico en 1521 le premier hôpital, et qu’en 1578 fut établie la faculté de médecine de l’université royale et pontificale de Mexico. Que dans la Vice-Royauté du Pérou, l’Espagne avait créé un système de santé gratuit pour toute la population et que la Couronne espagnole y avait fait construire 59 hôpitaux entre 1533 et 1792, dont 20 ont été bâtis dans la ville de Lima.

Comme l’a admis le grand hispaniste américain Lewis Hanke « la conquête de l’Amérique par les Espagnols a été une incroyable prouesse militaire.... mais aussi une des plus grandes tentatives que le monde ait connues de faire prévaloir la justice et les normes chrétiennes dans une époque brutale et sanguinaire. ». Pour faire litière de la période inquisitoriale, Gullo évoque le fait que si de 1540 à 1700, l’Espagne a condamné au bûcher 59 femmes accusées de sorcellerie, dans les pays allemands, pour la même période on n’en a exécuté 25.000 pour le même délit, selon les diverses sources.

Pour terminer cet article, je ne résiste pas au fait de vous livrer deux citations, parmi des centaines répertoriées dans l’ouvrage. Celle d’Evita Duarte de Peron tout d’abord « L’épopée de la découverte et de la conquête de l’Amérique est fondamentalement une épopée populaire. Nous sommes des découvreurs et des conquérants, mais aussi les héritiers directs de leur geste et de la flamme éternelle qu’ils ont transportée par-dessus les mers ». Enfin, d’un dénommé Jorge Mario Bergoglio, plus connu sous le nom de Pape François. Lui, le pourfendeur des pays européens, lui qui veut promouvoir une immigration massive et conquérante de préférence islamiste, n’avait pas hésité à déclarer, le 27 mai 1975, à l’occasion de la journée de la Patrie : «Nous avons été forgés par l’Espagne qui, par-delà les contradictions et les limites de sa conception historique, nous illumine par ses lois des Indes, ses ordonnances d’Alfaro -(ordonnances de 1606, portant le nom de ce juriste espagnol visant à protéger les indiens, nda) -...et la conscience missionnaire d’une femme merveilleuse que l’histoire appellera Isabelle la Catholique ». Visiblement ce satané jésuite a oublié son histoire.

Dans sa préface, Carmen Iglesias, Directrice de l’Académie Royale d’histoire et membre de l’Académie Royale espagnole rappelle qu’il est capital, comme l’a fait Marcelo Gullo, que la défense de la vérité des faits se doit d’être un combat permanent. Car comme l’auteur le soutient dans sa conclusion, « il n’y a de Patrie sans histoire » et qu’il faut bannir les reconstructions mémorielles qui « se moquent éperdument de la vérité historique et font de l’histoire une espèce de tribunal du passé. » Puisse nos universitaires, nos élites, nos autorités s’en inspirer. À l’orée d’une nouvelle année, on peut toujours rêver. Véritablement, je recommande la lecture de ce livre.

« Ceux qui devraient demander pardon - La légende noire espagnole et l’hégémonie anglo-saxonne », Marcelo Gullo Omodeo, Editions de l’Artilleur, octobre 2024, 23 euros, avant-propos d’Arnault Imatz et préface de Carmen Iglesias.

15:05 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 18 janvier, à Paris, en souvenir de Louis XVI

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10:51 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un grand entretien avec Christian Bouchet, directeur des éditions Ars Magna, de retour du Dombass

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Le conflit armé qui oppose la Russie au gouvernement ukrainien est un sujet clivant au sein de notre famille politique et aussi de notre pays. La presse du Système, dans son ensemble, défend sans réserve la cause de Kiev, laissant peu d'espace médiatique à ceux qui ont un point de vue dissonant.

Voilà pourquoi, dans un souci d'équité, nous avons rencontré Christian Bouchet, éditeur bien connu dans les milieux non-conformistes et militant historique de la cause nationaliste, qui était, il y a quelques jours encore, dans le Donbass. 

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Christian Bouchet, vous avez récemment passé quelques jours au Donbass. Pourquoi et comment ?

J’ai été invité, cet été, par le média Vashi Novosti, a participer à un voyage de presse dans le Donbass. Celui-ci, ouvert aux journalistes traditionnels et aux blogueurs, devait regrouper, hors moi, des représentants du Liban, de la Serbie, des États-Unis, du Cameroun, de l'Inde et de la Slovénie.

Se sont rapidement ajoutées à cela deux autres invitations, l’une à rencontrer Alexandre Douguine à Moscou et l’autre à présenter une contribution au colloque annuel « Philosopher sur la ligne de front » qui devait se tenir à Donetsk au moment même où j’y serai présent.

Face à de telles propositions, comment refuser ? Ce d’autant plus que le Donbass est, depuis 2014, un sujet qui me tient à cœur. Certaines de mes relations politiques s’y sont rendues pour y prendre les armes, je me suis trouvé en désaccord avec d’autres sur les choix qu’elles ont fait le concernant, et je milite au niveau local pour l’association SOS Donbass.

Pourriez-vous rappeler à nos lecteurs quels sont les raisons de cette guerre russo-ukrainienne ?

Ce sont les bolcheviks qui ont dessiné les contours de l'Ukraine moderne et ceux-ci ne correspondent à aucune réalité ethnique, culturelle, historique, religieuse ou linguistique. Dans l’Union soviétique, cela ne posait pas de problèmes majeurs et cela ne va en poser qu’à partir de l’Euromaidan qui, rappelons-le, fut une « révolution orange » proeuropéennes, ayant débuté le 21 novembre 2013 à la suite de la décision du gouvernement ukrainien de ne pas signer l'accord d'association entre l'Ukraine et l'Union européenne au profit d'un accord avec la Russie.

Dans les régions russophones et ethniquement grand-russe de l’Ukraine apparurent alors des mouvements populaires de résistance anti-Euromaïdan qui donnèrent naissance à des soulèvements séparatistes au Donbass et à la naissance des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk. L’Ukraine essaya alors de réduire militairement celles-ci, la région s’embrasa et, finalement, un cessez-le-feu fut négocié en 2015 (accord de Minsk) qui gela la situation jusqu’en 2022. À cette date,  la guerre reprit principalement à cause de l’intention affichée de Zelenski de faire adhérer l’Ukraine à l'OTAN ce qui aurait mis en péril l’existence même de la Russie.

Comment s’est déroulée votre visite ?

Notre délégation était composée de sept personnes, avec un encadrement de qualité – il comptait deux docteurs et un enseignant de faculté – d’un nombre quasi-égal. Quand nous sommes arrivés à Donetsk, s’y est adjoint un groupe non négligeable de journalistes de médias nationaux et locaux. Comme dans les autres voyages de ce type que j’ai pu faire en Libye, en Syrie ou en Iran, nous étions destinés à être à la fois sujets et objets. Agents, espérait-on, du soft power à l’extérieur après nos retours dans nos pays respectifs et agents de validation d’une politique à l’intérieur durant tout notre séjour qui fut largement médiatisé sur les chaînes russes d’information. C’était le jeu, j’en connaissais les règles avant de venir et je les avais acceptées.

Nous avons commencé et terminé notre visite à Moscou qui est à environ 15 heures de route de Donetsk. Cela m’a permis de découvrir sur le trajet les autoroutes russes et le paysage de plaines enneigées infinies qu’elles traversent.

Les choses sérieuses ont commencé une fois que nous avons atteint la République populaire de Donetsk où nous avons visité la capitale éponyme et la ville martyre de Marioupol, où nous nous sommes approchés du front et où nous avons eu des contacts avec les soldats de deux corps-francs, les bataillons Española et Maksim Kryvonos.

Qu’est-ce qui vous a le plus frappé sur place ?

C’est que l’on ne rencontre absolument pas la crise économique liée aux sanctions dont on nous bassine à l’Ouest. La vie des habitants se déroule tout à fait normalement. Les rues sont animées et décorées pour Noël, les boutiques achalandées, les restaurants bondés, on fait la fête le vendredi soir, etc. La guerre n’est pas perceptible au premier abord et les sanctions ne le sont absolument pas.

Et puis, il y a une tout autre chose, non lié à la situation qui nous intéresse, une chose dont nous n’avons plus l’habitude en Occident : la population est culturellement et ethniquement homogène. De tout mon séjour, je n’ai vu ni un émigré maghrébin ou africain, ni un individu aux cheveux bleus faisant de l’exhibitionnisme…

A-t-on cependant conscience de la guerre au quotidien ?

À Moscou, on n’en a absolument pas conscience, mais au Donbass, par contre, elle est bien présente.

À Donetsk, les traces matérielles sont rares mais cependant visibles. On voit encore des immeubles détériorés par des frappes, des impacts de shrapnel ici ou là. Ce qui est le plus frappant ce sont les traces humaines.

J’ai ainsi participé à deux hommages devant des monuments aux morts, non pas de soldats mais d’enfants tués par les bombardements ukrainien. J’ai aussi assisté à un spectacle de cirque – d’une très grande qualité – organisé par le groupe de bikers nationaliste et orthodoxe Notchnye Volki (Les loups de la nuit) pour les enfants du Donbass ayant perdu leur père au combat. Voir tout ces enfants orphelins m’a particulièrement touché.

À Marioupol, ce sont les traces matérielles qui sont les plus marquantes. Même si la reconstruction est bien entamée, des quartiers entiers sont encore à l’état de ruine. Il faut dire que 90% des bâtiments de la ville ont été endommagés ou détruits.

Le plus impressionnant est cependant incontestablement la gigantesque usine sidérurgique d’Azovstal, dans la banlieue immédiate de Marioupol. Là ce n’est que chaos et la situation est telle que l’administration locale a entrepris sa déconstruction, ce qui, nous a-t-on murmuré, est une bénédiction écologique car l’entreprise polluait allégrement la mer d’Azov sur la rive de laquelle elle était implantée.

À Donetsk, a guerre se rappelle aussi à vous par des bombardements par des roquettes HIMARS. Il y en a eu deux durant mon séjour. C’est assez déconcertant à vivre… La ville est dotée d’un dôme de fer, donc vous entendez soudain des explosions dans le ciel et vous voyez des débris tomber en souhaitant qu’il n’y ait personne dessous.

Comme le dôme de fer n’est pas entièrement performant ou parce qu’il ne détruit que les missiles dont la destination est potentiellement dangereuse, certains explosent au sol à des endroits totalement improbables. L’un est ainsi tombé à trois cents mètres de l’hôtel où je résidais. Il n’y avait là absolument rien qui ait eu le moindre intérêt stratégique. Un de nos accompagnateurs a avancé la proximité d’un hôpital pour estimer que c’était vraisemblablement celui-ci qui était visé et nous prouver ainsi à quel point les Ukrainiens étaient des salauds. Pour ma part, je pencherais plutôt pour des tirs au hasard afin de faire peser un stress continuel sur la totalité de la population.

Une autre trace immatérielle de la guerre est constituée par les réfugiés. Il faut quand même savoir que le nombre des réfugiés originaires d’Ukraine en Russie est supérieur au total des réfugiés ukrainiens présents dans tous les autres pays. Leur présence ne saute pas aux yeux dans les rues, mais il existe un certain nombre de centre d’accueil pour les héberger.

J’ai pu en visiter un où étaient surtout présentes des personnes âgées exfiltrées de la ligne de front. Ne se reconnaissant pas dans le régime de Zelenski, elles n’avaient pas voulu suivre les troupes ukrainiennes dans leur repli. Leur durée de résidence dans le centre n’était pas limitée, mais tout était fait pour leur intégration et leur retour à une vie normale.

Vous vous êtes rapproché du front m’avez-vous dit…

Oui, suffisamment pour qu’on nous oblige à porter des gilets pare-balles et des casques lourds, mais tout en restant assez à l’arrière pour n’en avoir qu’une perception auditive : le bruit de fond, dans un lointain assez proche, des explosions d’obus. À quelle distance en étions-nous réellement ? je ne sais pas exactement, à quelques kilomètres, à deux ou trois peut être.

Il y avait là une grande ferme collective, dont les hangars regorgeaient d’engins agricoles. Je crois bien n’en avoir jamais vu autant rassemblés en un même lieu de toute ma vie. Il y avait aussi, un peu plus loin, de petites fermes encore habitées d’un aspect assez archaïque et rassemblées en un hameau. Il n’y aurait eu le bruit des canons, l’environnement aurait été des plus banal.

Et quels ont été vos rapports avec les forces combattantes ?

Avec l’armée régulière, j’ai rencontré très brièvement quelques officiers à Donetsk, mais je n’ai eu aucun contact avec la troupe. Par contre, notre délégation a longuement été reçue par deux corps francs, les bataillons Española et Maksim Kryvonos, a pu partager son repas avec leurs hommes et assister à leur entrainement.

Cela m’a permis de constater la grande hétérogénéité de ces corps francs dont les membres se regroupent par affinité culturelle et idéologique.

Ainsi, si la brigade Piatnachka est considérée comme d’extrême gauche, l’Española relevait plutôt du bord opposé. J’ai eu de ce fait l’occasion de discuter du Livre de Vélès – la Bible des néopaïens slaves - avec un des soldats et les affiches qui couvraient la salle de musculation de l’unité ne laissaient aucun doute sur l’orientation générale puisque Joseph Staline y côtoyait le drapeaux du Old deep south et de très anciennes affiches du ségrégationniste George Wallace.

Quant au nom, l’Española, l’officier chargé de ses relation extérieure m’a expliqué qu’il avait été choisi en référence aux pirates de l’île d’Española (en français Hispaniola) car les membres du bataillon se reconnaissaient en eux. Cette référence est similaire à celle de nos camarades de Casa Pound qui, eux, ont choisi la tortue comme logo en référence à l’île de la Tortue célèbre repaire de pirates séparé par un étroit bras de mer d’Hispaniola.

Cela dit, le bataillon ne manquait pas d’armes et casernait sous les gradins d’un stade de foot où il assurait partiellement son autonomie alimentaire en cultivant son propre potager et en disposant de sa propre boulangerie.

Tout aussi intéressant, le bataillon Maksim Kryvonos m’a donné quant à lui une impression de structuration plus forte. Il est vrai que ses hommes ne se considéraient pas comme des pirates … Sa particularité est qu’il est constitué d’Ukrainiens ethniques soit ayant choisi le camp russe lors du déclenchement de la guerre, soit ayant déserté de l’armée ukrainienne pour rejoindre les forces russes, soit ayant demandé à intégrer le bataillon après avoir été fait prisonniers.

Le discours de ses membres, avec qui j’ai pu librement discuter, était très construit. Ils affirmaient clairement ne pas lutter pour la liberté du Donbass mais pour libérer l’Ukraine du « gang Zelenski » et déclaraient ne pas lutter pour les Russes mais « avec les Russes contre le régime de Kiev ».

Il existe au moins un autre détachement, le bataillon Bohdan Khmelnitsky, qui regroupe lui aussi des Ukrainiens ethniques. Les appellations choisies Maksim Kryvonos et Bohdan Khmelnitsky sont signifiantes puisqu’il s’agit des noms d’importants dirigeant cosaques qui furent à l'origine, en 1648, d'un soulèvement contre la noblesse polonaise, qui dominait alors l’Ukraine, puis signataires, en 1654, du traité de Pereïaslav qui acta la séparation de l'Ukraine de la Pologne et son attachement à la Russie.

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00:33 Publié dans Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |