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vendredi, 31 janvier 2025

Les nécrophages sont passés à l'acte

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Synthèse nationale

Il y a trois semaines, à l’annonce du décès de Jean-Marie Le Pen, nous avons eu à subir la retransmission des répugnants sabbats d’une certaine jeunesse, "pavlovisée", gâtée jusqu’à la moëlle par l’agit-prop haineuse des "matons de Panurge" du "camp du bien" : avachissement physique et moral, haine d’habitude, apprise et régurgitée sans pudeur ni retenue, bêtise triomphante qui s’affiche sans complexe…

Aujourd’hui, nous avons droit à la dégradation nocturne de la sépulture familiale des Le Pen… Sans surprise, malheureusement : l’extrême gauche et la partie de la gauche à sa botte ont façonné des partisans à l’image de leur idéologie. « L’orgueil de ceux qui ne peuvent édifier est de détruire » a écrit Alexandre Dumas dans l’une de ses nouvelles.

Cette profanation abjecte prouve, s'il en était encore besoin, la lâcheté et la dépravation des mous du bulbe gauchos chez qui la bêtise le dispute à la haine. Les salopards qui ont commis cet acte n'ont rien à envier aux sectionnaires de 1793-1794 ni aux tondeurs de 1944. 

Évidemment, il ne faut pas s'attendre à des protestations dignes de ce nom de la part d'une classe politico-médiatique dont l'indignation est à géométrie variable.

Quoi qu'il en soit, même mort, Jean-Marie Le Pen continue de déranger. Que ses ennemis le veuillent ou non, l'histoire est en train de lui donner raison.

Les contempteurs du "Menhir" ne sont plus que les représentants du monde d'hier, alors que les idées du camp national et identitaire sont déjà en train de forger celui de demain.

17:25 Publié dans Editoriaux, Jean-Marie Le Pen | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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