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jeudi, 25 janvier 2024

2024 sera-t-elle « annus horribilis » pour Bruno Le Maire ?

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Arnaud Raffard de Brienne

Après une croissance économique poussive à 0,8% en 2023 et une perspective à 0,2% pour les deux premiers trimestres de cette année, le cap fixé par Bercy à 1,4% semble relever sinon de la folie douce tout au moins d’un optimisme de façade un rien excessif. Mais c’est l’usage et la convention et chaque année l’exécutif se croit ainsi obligé d’annoncer des objectifs inatteignables auxquels aucun observateur sérieux n’accorde le moindre crédit mais qui ont l’heur de flatter dans le sens du poil milieux financiers et citoyens. Un peu comme ces vœux qui chaque année vous augurent inlassablement fortune, amour, santé et bonheur.

Nous devrions assister cette année à une stagnation persistante de la consommation sur fond d’atonie de la production industrielle, d’une grande modération de l’investissement des entreprises et d’une aggravation de leur taux de défaillance qui devrait, selon la Banque de France, atteindre un sommet. Rappelons en passant qu’en la matière le quatrième trimestre 2023 aura été le pire depuis une trentaine d’années. Le tout dans un contexte d’inflation, certes un peu plus modérée que celle de ces deux dernières années, et de ralentissement global du commerce mondial.

L’inébranlable optimisme de notre ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, influera-t-il, même à la marge, sur l’érosion de nos parts de marché à l’exportation ? On peut en douter si l’on se réfère au déficit commercial historique de 2022 et à la désindustrialisation en profondeur de la France considérée aujourd’hui, très officiellement, comme dotée d’une économie de services.

Ajoutons à cela le ralentissement observé dans l’immobilier avec un effondrement de la construction des logements neufs, le coup de frein sur l’immobilier, la prévisible baisse du marché auto présagée par l’Association des constructeurs européens d’automobiles escomptant une croissante de 2,5% des nouvelles immatriculations dans l’Union européenne contre 12% en 2023.

Le contexte international et la convergence des difficultés et dangers ne sont évidemment pas étrangères à ces perspectives et à la nouvelle donne du monde multipolaire qui vient. C’est dans la tempête que l’on évalue les bons capitaines et leur capacité à prendre les bonnes décisions au bon moment. 2024 sera-t-elle « l’annus horribilis » de notre ministre de l’Economie au, au contraire, une opportunité de premier choix de faire preuve de ses talents ?

Source Nouveau Présent cliquez ici

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Le massacre organisé de l’agriculture

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Voici des décennies que nos braves paysans servent de variable d’ajustement – avec l’armée – dans les comptes de la nation, tous les gouvernements donnant la priorité aux affameurs de la grande distribution. Cet irréalisme est tout à la fois le résultat d’une élite qui ne sait plus ce qu’est un peuple, et de l’Union européenne qui autorise des concurrences déloyales issues de territoires extra-européens et ne respectant pas nos normes sanitaires. Par ailleurs, que peut-on exiger d’une population qui bosse soixante-dix heures par semaine pour toucher en fin de mois des queues de cerise ? Voici trop longtemps que l’on maltraite nos paysans. Aujourd’hui, ils sont dans la rue et ce gouvernement a tout à craindre, car ils n’ont rien à perdre. Une fois de plus Natacha Polony, dans Marianne, dresse un réaliste bilan.

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Source : Marianne 25/1/2024

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Flambée du prix de l’électricité : l’énorme mensonge de Bruno Le Maire

Fabien Bouglé, expert en politique énergétique. Auteur de “Éoliennes : la face noire de la transition écologique”, de “Nucléaires, les vérités cachées” et de “Guerre de l'Énergie : Au cœur du nouveau conflit mondial” le tout aux éditions du Rocher.

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Procès Beltrame : les étranges liens entre la Préfecture et un caïd des cités

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Jugé pour « association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un crime d’atteinte aux personnes » au procès de l’attentat de Trèbes et de Carcassonne, qui s’est ouvert lundi 22 janvier.  Reda El Yaakoubi entretenait des liens avec un délégué du préfet de l’Aube et bénéficiait de « traitements de faveur ».
 
Reda El Yaakoubi, le « parrain » de la cité d’Ozanam à Carcassonne, connu pour trafic de drogue, serait très proche de Radouane Lakdim. (il est suspecté de lui avoir fourni de l’argent et des armes) Le terroriste qui a tué Arnaud Beltrame, et semble adepte d’un islam radical. Lors d’une garde à vue, l’individu, qui a le droit de contacter un proche, a appelé le délégué du préfet. Ce dernier était chargé de négocier « des mises hors de cause ou des reports d’audition par la police dans des affaires où il paraît impliqué », tandis que le caïd devait obtenir « des informations relatives aux incidents dans le quartier et un retour au calme (dans la cité) ».

Reda El Yaakoubi avait ainsi pu « bénéficier d’informations couvertes par le secret professionnel », de « traitements de faveur » et « d’une forme d’impunité », relate Le Point. Le délégué lui aurait par exemple soufflé « une version à fournir à la police » lors de ses auditions.

Concernant le délégué, aucune procédure n’a été ouverte à son encontre. Il exerce désormais dans une mairie du sud de la France.

Source :   dan Le Salon Beige

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mercredi, 24 janvier 2024

Marion Maréchal et Reconquête aux côtés des agriculteurs en colère

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23:38 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Agriculteurs en colère, éducation sexuelle, Yémen : Le ras le bol général s'exprime chez Bercoff

Avec Véronique Le Floc'h, présidente de la Coordination rurale de France ; Christelle Comet, vice-présidente des Mamans Louves ; Romain Molina, journaliste et auteur de journaliste et auteur de "Yémen - Les guerres des bonnes affaires – Al-Qaïda, Total et ONU, pillages organisés" publié aux éditions Exuvie.

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16:44 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rappel : JEUDI 25 JANVIER, BERNARD GERMAIN PRÉSENTE SON LIVRE "UNION EUROPÉENNE : EN SORTIR... AU PLUS VITE !" SUR TV LIBERTÉS

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Petite modification : cette émission devait initialement passer le 17 janvier, mais sa programmation a dû être reportée au jeudi 25 janvier.

Site de TV Libertés cliquez ici

En savoir plus et acheter le livre cliquez là

14:27 Publié dans Bernard Germain, Livres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le paysan et la « start-up nation »

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Vincent Trémolet de Villers

Des tripes et du sang jetés sur les grilles des préfectures, du foin qui pave les routes de la « start-up nation », une famille endeuillée, au petit matin, par un chauffard sous OQTF. Les roues immenses des tracteurs roulent déjà sur les confettis d’une rentrée où la politique fut trop souvent réduite à des querelles de casting, des polémiques de cour d’école. Bulles de savon à côté de la révolte existentielle de centaines de milliers de paysans qui ne veulent pas mourir.

Survivre, pour eux, c’est bien de cela qu’il s’agit. La conjugaison de normes écologiques de plus en plus contraignantes et d’une mise en concurrence intenable (puisque les concurrents n’obéissent pas aux mêmes règles) rend l’exercice suicidaire. Le harcèlement réglementaire, la surveillance sous couvert d’impératifs climatiques, le sentiment d’abandon face à l’ampleur de la tâche, la pauvreté matérielle sur fond de subventions nourrissent un peu plus le découragement. Il faut y ajouter les représentations dans lesquelles l’agriculteur français est trop souvent croqué comme une survivance des temps an- ciens, le dépôt d’une bouteille hors d’âge. Pour l’urbain méprisant, promoteur de viande de synthèse et du tracteur électrique, c’est au mieux le gardien d’un folklore qui agrémente un week-end à la campagne, au pire un pollueur qui assassine la terre, un voleur d’eau, une brute qui maltraite les bêtes : le moisi d’une société révolue. Pour l’opinion silencieuse (et majoritaire), le paysan, c’est un symbole, la figure immémoriale de la France laborieuse.

S’il est habile, Gabriel Attal parviendra à contenir la gronde avant qu’elle ne tourne en jacquerie. Supprimer la taxe sur le gazole, arracher les mauvaises normes, sortir du double jeu - non à Bruxelles et oui à Paris - sont un préalable, mais ce que nous disent ces engins agricoles sur l’autoroute résonne encore plus profondément. La puissance immatérielle du travail de la terre au pays de Sully, de Millet, de Giono est inversement proportionnelle à son déclin économique. Elle rejoint les attachements profonds et les vives inquiétudes de tous ceux qui ont quitté les champs depuis des générations mais veulent que continue la trinité de Braudel : pays, paysans, paysages.

Source : Le Figaro 24/1/2024

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Vendée : le Rassemblement vendéen aux côtés des agriculteurs et des pêcheurs

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Un communiqué du Rassemblement vendéen :

Amoureux de la France, tous aux côtés de nos paysans et pêcheurs

Amis, maraîchins, vendéens, amoureux et défenseurs de la France, l'heure est à la mobilisation générale !

En soutien à nos agriculteurs et marins-pêcheurs et à nous mêmes!

Le Rassemblement vendéen considère notre identité comme le guide d'un peuple qui sait d'où il vient et qui doit savoir où il veut aller. Nous devons perpétuer joyeusement notre héritage civilisationnel et culturel : agriculture, pêche, gastronomie, spiritualité, langues locales, ruralité…

Le Rassemblement vendéen considère la famille, les villes, les villages, les campagnes, la côte, les ports de pêche, les entreprises et les administrations locales comme cellules de base de notre société : le centralisme technocratique vide ces cadres naturels de leur substance et instaure un régime liberticide sur lequel prospèrent les magouilleurs et les puissances d'argent.

Le magma de l'Union européenne, le mondialisme et les puissances d'argent détruisent notre identité ! C'est pourquoi nous devons, ensemble nous opposer à la destruction de notre mode de vie, de nos paysages et de nos libertés !

J'en appelle donc à tout ceux qui ont fait et qui veulent faire notre Vendée et notre France, nos paysans, nos marins-pêcheurs, nos artisans et plus largement toutes les forces vivent à se rassembler le samedi 27 Janvier 2024 à 10 sur le Rond-point du Puits Tarraud à Saint Hilaire de Riez. Je compte sur tous!

Haut les coeurs !

Eric Mauvoisin-Delavaud
Président du Rassemblement vendéen

10:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 23 janvier 2024

Infrasons éoliennes : Attention danger

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Nord de l’Aisne, un technicien écoute les infrasons des éoliennes

Jean-Louis Rémouit passe la semaine aux confins du Laonnois et de la Thiérache, sur un territoire dans lequel les éoliennes sont très présentes. En lien avec l’association SOS danger éolien, il effectue des mesures d’écoute du son porté porté par les machines.

Jean-Louis Rémouit est administrateur de la fédération Environnement Durable 

Ne cherchez pas un casque ou un micro, Jean-Louis Rémouit écoute les éoliennes autrement. Sur la nappe vichy de la cuisine de Valérie Bernardeau, la présidente de SOS danger éolien, il a installé son ordinateur et surtout un boîtier abritant son enregistreur atmosphérique. Derrière cette dénomination un peu technique, il faut voir le principe du baromètre qui enregistre la pression générée et diffusée par les éoliennes. « Il s’agit d’évaluer la pression en Sound pressure level (SPL), unité de mesure utilisée par les physiciens. Pour faire plus simple, les SPL deviennent des hertz et des pascals comme l’unité de mesure du baromètre… », explique celui qui a une formation d’ingénieur agronome, a réalisé une thèse en mathématiques en lien avec une unité de l’armée dédiée aux radars, avant de se spécialiser dans le traitement du signal et le matériel de transmission.

Des résultats inquiétants

Autant dire, que le son, ça le connaît. « Ce que je capte avec les éoliennes, ce sont les infrasons. Ce qui peut perturber l’activité humaine ou les animaux. J’ai réalisé cette étude dans toute la Haute-Marne, l’objectif est de faire la même chose dans l’Aisne et notamment dans le nord du département où les éoliennes sont très présentes. Lorsque je réalise les écoutes, tout arrive sur le graphique, y compris le bruit du moteur du réfrigérateur de la maison. Chaque appareil à une signature particulière. Et pour les éoliennes, sur cette partie du département, je constate des résultats parfois inquiétants en fonction de la vitesse du vent », annonce encore le scientifique qui est aussi administrateur à la Fédération environnement durable, regroupant 1 700 associations de défense de l’environnement.

102 décibels

Lorsqu’il évoque des résultats préoccupants, c’est avec des chiffres à l’appui. « Quand les infrasons arrivent, ils sont traduits en pascals et en hertz, puis je réalise des calculs pour les convertir en décibels, via un logiciel d’interprétation des signaux sismiques. Ce lundi par exemple, il y avait 18 km/h de vent et nous avons dépassé à plusieurs reprises la limite d’exposition autorisée par le Code du travail. Un ouvrier en usine ou dans le bâtiment, ne peut pas être exposé à plus de 102 décibels, huit heures par jour et cinq jours par semaine. Sur ce territoire qui accueille de nombreuses éoliennes, lorsque le vent souffle même faiblement, c’est-à-dire très souvent, nous arrivons à 110, 115, voire 118 décibels 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. »

Un rapport d’écoutes

Sur les lieux de l’expérimentation, il n’y a pourtant aucun vrombissement perceptible, rien d’autre que le chant des oiseaux. Et pour cause, les premières machines se trouvent à 2 ou 5 km. « Les infrasons ne sont pas audibles, mais pèsent beaucoup sur le corps humain. Suivant les personnes, les réactions peuvent être différentes, mais le son porté par les éoliennes a des conséquences à plus de 10 km autour d’un parc. » Jean-Louis Rémouit effectue ces mesures afin de soutenir l’action des anti-éoliens. « Devant la justice, cela peut jouer. Nous avons de quoi justifier les troubles sur la santé. Les spécialistes et les médecins savent bien que les phénomènes vibratoires sont différents selon les personnes, mais ont des conséquences malgré tout. » Un rapport d’écoutes devrait ainsi voir le jour prochainement.

Source : Samuel Pargneaux dans l'Union du 17 janvier 2024

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Exemple d’insécurité urbaine : Montbéliard

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Célestine Gentilhomme, journaliste au Figaro, a enquêté dans la ville de Montbéliard (Doubs) pour évaluer les problèmes d’insécurité qui la mine. La maire LR, Maire-Noëlle Biguinet, en poste depuis dix ans, se bat avec ses moyens, trop limités, dont elle dispose. Car, note-t-elle, si la sécurité est du ressort de l’Etat, force est d’avouer que les élus locaux doivent, malgré eux, se substituer aux obligations de l’Etat en la matière. Elle a donc multiplié le nombre de policiers municipaux et installés des caméras dans les quartiers difficiles qui ont été rapidement détruites. Gérald Darmanin, à l’Intérieur, se contente de boucher les trous faute d’avoir une vision politique globale en matière de sécurité incluant la justice. La France de demain est là, en pire si rien n'est fait.

Lire la suite ICI

Source : Le Figaro 23/01/2024

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Véronique Bourgninaud : Les mensonges des idéologies de la déconstruction

Quelle drôle d'époque qui désespère d'elle-même et des hommes, alors même qu'elle est censée célébrer la jouissance ! L'heure n'est plus à l'insouciance. La préservation de la planète, la volonté de ne pas dévaloriser la femme, la difficulté d'octroyer du temps et de l'argent pour élever des enfants, obligent l'homme moderne à se déconstruire et à se réinventer. Ces bonnes intentions ne font cependant pas son bonheur, bien au contraire, elles engendrent un antihumanisme nourri désormais du transhumanisme, des études de genre et de l'antispécisme en particulier.

Dans son ouvrage "Contre la détestation de l'homme par l'homme", Véronique Bourgninaud, docteur en histoire moderne, démontre que ces nouvelles prétentions à l'amélioration physique et morale du genre humain sont des impasses. Plus grave, elles ne font qu'accentuer le désespoir des hommes et la détestation de l'homme par lui-même. L'auteur nous livre des clés pour surmonter le vertige du vide qui nous guette et retrouver le sens de la transcendance si intimement liée à l'homme. 

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La grande détresse du sport français

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Patrick Parment

Les prochains Jeux olympiques auront donc lieu en France en cette année 2024 du 26 juillet au 11 août prochain. Ce sera moins la fête du sport que celle du fric et le reflet des tensions qui crispent le monde actuellement. La Russie est interdite de séjour, mais pas la Chine ; sans compter les relents du conflit israélo-palestinien qui pourraient se manifester à travers des attentats divers et variés. Ce sera également pour la France un énorme déficit financier en raison des investissements colossaux qu’il a fallu consentir. Et côté retour sur investissement, on sait déjà qu’il sera négatif. Cependant, on pourrait passer outre si cette manifestation nous permettait de crier « Cocorico », mais ça ne sera pas le cas.

Car le sport français est en pleine déshérence. Les seules victoires que l’on récolte relèvent d’exploits individuels dans des sports nécessitant des techniques particulières (perche, canoë kayak, etc.). Par ailleurs, alors que la plupart des pays alignent des nationaux et non pas des populations exogènes, la France semble bien faire figure d’exception. En athlétisme on note une forte majorité de Noirs et de Maghrébins. À l’image du foot-ball. On ne retrouve les Gaulois que dans les sports individuels et très techniques (équitation, gymnastique, vélo).

La France manquerait-elle d’athlètes de haut niveau ? Certainement pas ! Mais les Gaulois se sont détournés et se détournent de ce monde où l’on commence à poil et termine démuni. Par ailleurs, le sport n’échappe pas non plus à l’ère culturelle dans laquelle il baigne. Ni à ce qu’il représente. La plupart des sports sont nés d’intentions guerrières. Mais longtemps, le sport n’a pas existé en tant que tel. À Athènes comme dans la Rome antique, il avait pour but d’honorer les dieux, de célébrer le corps et de louer les meilleurs. Il avait également une vocation esthétique comme en atteste la statuaire de cette époque qui servira de modèle à la Renaissance. En Europe, le sport tel que nous l’entendons aujourd’hui n’avait pas cours. Seuls le cheval et la marche à pied animaient les armées. Et dans la noblesse on ne pratiquait que le cheval et l’escrime.

En fait, le sport tel que nous l’en-tendons est né au XIXe siècle dans l’Angleterre industrielle et capitaliste. Avec l’avènement de la IIIe République il s’est actualisé. Et c’est ainsi qu’est apparue la distinction sport d’élite et sport de masse. Comme l’ont bien vu Karl Marx dans Le Capital et Guy Debord dans sa Société du spectacle, le sportif de haut niveau est de-venu avec le capitalisme, une marchandise. Sous couvert d’être aussi l’étendard des nations. À travers le sport de haut niveau, les nations brandissent ce qui n’est rien moins qu’une forme de nationalisme exacerbé. En apparence du moins. Mais sur le fond, le sport olympique est dominé par l’argent.

Nationalisme. Certains contesteront peut-être cette vision mais tous ces athlètes, aux Jeux olympiques ou ailleurs, défendent d’abord une identité nationale. Encore faut-il en être convaincu. Car la dérive est grande aujourd’hui dans le sport de haut niveau de privilégier la performance au détriment du lieu et de la manifestation dans laquelle elle se produit. On le voit bien aux États-Unis mais aussi en Europe maintenant, où les athlètes noirs sont surreprésentés dans certaines disciplines, en particulier celles de l’athlétisme. Une surreprésentation qui n’est pas sans soulever diverses questions : il y aurait sans doute quelques études à consacrer à ce phénomène.

Paris 2024, la belle illusion…

Jadis, les natifs, les autochtones, les Européens « blanc de blanc », défendaient les couleurs de leur pays et en tiraient quelque fierté. Or, cette fierté, elle se forge à l’école. Car l’école est le creuset où se construit l’identité de l’enfant et noue son appartenance à un territoire, une culture, une âme. A partir du moment où cet enseignement est rompu comme c’est le cas aujourd’hui, il est inutile de demander aux élèves de défendre une identité qui ne s’affirme pas dans l’enseignement que l’on reçoit. Si les instits de la IIIe République n’avaient pas fait leur boulot, les petits paysans de Bretagne et d’ailleurs ne seraient pas partis au casse-pipe en 1914.

En 1940, les Français n’étaient plus très chauds pour engager la « drôle de guerre ». On connaît la suite.

Non seulement l’Éducation nationale ne remplit plus son rôle mais encore ce qui reste de volontaires pour s’engager dans l’armée sont le plus souvent des chômeurs. Si l’on ajoute à cela, la volonté de nos gouvernants d’encourager le métissage dans le sport – et ailleurs aussi - afin de nous faire accroire que ce pays a une vocation multi-culturelle et multiraciale, il s’est fourré le doigt là où il ne faut pas. Tous les sondages le montrent de manière systématique : les Français en ont ras-le-bol de l’immigration et de tous les dommages collatéraux qu’elle induit. Le sport, en France – et dans toute l’Europe je suppose -, est aussi une manière pour les immigrés de sortir du lot et gagner leur vie depuis que les instances internationales ont levé l’interdit d’avoir des athlètes étrangers dans ses rangs. Ouvrant ainsi la porte à sa mondialisation et anéantissant du même coup sa signification patriotique. Il ne faut pas s’étonner dès lors, si la France affiche de si médiocres performances.

Au regard des derniers résultats des Français aux championnat d’Europe, ces Jeux olympiques à venir vont s’achever dans d’une nouvelle Bérézina. De Coubertin, il ne reste que le nom d’un stade.

Article publié dans le n°65 de la revue Synthèse nationale cliquez ici                                

11:09 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 26 janvier, de 17 h à 19 h, Gabriele Adinolfi dédicacera son nouveau livre "Le défi au futur" à la Nouvelle Librairie à Paris

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La Nouvelle Librairie

11, rue de Médicis 75006 Paris

En savoir plus sur le livre cliquez ici

10:44 Publié dans Gabriele Adinolfi, Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution cette semaine du n°65 (hiver 2023-2024) de la revue Synthèse nationale

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Sommaire

N°65 (HIVER 2023-2024)

P 2 - ÉDITORIAL “FRANCE LIBÈRE-TOI !” Roland Hélie

P 6 - GENÈSE ET ESSENCE D’UN TEXTE LIBERTICIDE Didier Lecerf

P 14 - PANIQUE À BORD DE  L’UNION EUROPÉENNE André Posokhow

P 21- ILS NE VEULENT RIEN VOIR Pieter Kerstens

P 25 - METTRE FIN AU TOURISME SOCIAL Franck Buleux

P 30 - NOS « CHÈRES TÊTES BLONDES » Erwan Houardon

P 36 - LA GRANDE DÉTRESSE DU SPORT FRANÇAIS Patrick Parment

P 40 - L’ARCHIPEL DU GOULAG, LE DÉBUT DE LA FIN DE L’URSS Michel Festivi

P 46 - DERRIÈRE VICHY, C’EST LA FRANCE QU’ON ATTAQUE André Posokhow

P 55 - LA CHRONIQUE DE PHILIPPE RANDA

P 58 - RENCONTRE AVEC MAÎTRE PIERRE-MARIE BONNEAU Nicolas Zahar

P 69 - DERRIÈRE LES ATTAQUES CONTRE DEPARDDIEU Charles-Henri d’Elloy

P 70 - LES LIVRES AU CRIBLE Georges Feltin-Tracol

P 78 - BIOGRAPHIES LITTÉRAIRES Daniel Cologne

P 84 - LES FLANERIES DE SCIPION DE SALM

P 88 - LA LIBRE CHRONIQUE Charles-Henri d’Elloy

P 94 - LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayriges de Olmetta

P 98 - LA VIE DE SYNTHÈSE NATIONALE Guirec Sèvres

P 105 - BULLETIN D’ABONNEMENT

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10:36 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 22 janvier 2024

L'ANNÉE DU «GO FUCK YOURSELVES»

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12:40 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès de Grégoire Dupont-Tingaud, militant de la cause nationale

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C'est avec une très grande tristesse que nous apprenons le départ vers l'au-delà de Grégoire Dupont-Tingaud.

Grégoire avait 54 ans, il était, depuis sa jeunesse, un militant actif de la cause nationaliste. Il participa avec enthousiasme à toutes les campagnes menées pour tenter de sauver notre nation et notre civilisation. La dernière en date étant celle d'Eric Zemmour en 2022.

Il faut dire qu'il avait de qui tenir puisqu'il était le fils de notre Chère Claudine Dupont-Tingaud, elle-même infatigable et exemplaire combattante depuis le soulèvement Algérie française de 1961.

Toutes nos pensées affectueuses vont aujourd'hui vers Claudine, vers son épouse et ses enfants.

R H

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11:14 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 21 janvier 2024

Marche Pour La Vie 2024

 

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Lire le reportage publié sur Riposte laïque cliquez là

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Italie : la Cour de cassation estime que le « salut fasciste » n’est pas un délit dans le cadre d’une commémoration

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Source Le nouveau Présent cliquez ici

Alors qu’elle se déroule depuis de très nombreuses années, dans les mêmes conditions, sans le moindre incident, la commémoration romaine de la tragédie d’Acca Larenzia a cette année suscité de très nombreuses réactions scandalisées dans le monde politico-médiatique international, sans doute dans le but de tenter d’embarrasser le gouvernement de Giorgia Meloni.

Chaque année, en effet, des centaines de militants de la droite radicale italienne se réunissent le 7 janvier, à Rome, pour honorer la mémoire de trois jeunes militants du MSI assassinés en 1978, au cours des tragiques « années de plomb ».

Franco Bigonzetti et Francesco Ciavatta, âgés de 20 et 18 ans, ont été assassinés devant le siège du Mouvement social italien via Acca Larenzia, dans le quartier de Tuscolano par des militants d’extrême gauche. Stefano Recchioni, 20 ans, lui, a été tué quelques heures plus tard par un capitaine des carabiniers au cours d’affrontements avec la police lors d’une manifestation organisée sur le lieu de l’attentat, la situation ayant dégénérée après qu’un policier a jeté sa cigarette dans la flaque de sang entourant l’une des victimes.

Cette année, étrangement, les images de la commémoration ont fait le tour de la planète, les médias redoublant de propos horrifiés et scandalisés, semblant découvrir un événement pourtant traditionnel à Rome, laissant par ailleurs penser que sa tenue et son ampleur résulteraient de la récente prise de pouvoir de Giorgia Meloni et de son parti toujours qualifié de « post » ou « néo » fasciste malgré tous les gages donnés par la présidente du Conseil italien pour se dédouaner de cet héritage. Au coeur de la polémique, les « saluts romains » effectués par les participants à l’énonciation du nom de chacune des victimes de la haine d’extrême-gauche. Une gestuelle traumatisante pour les éditorialistes de gauche, hurlant au retour de «la bête immonde» et des «heures les plus sombres » de l’histoire. Pour toutes ces belles âmes, il convenait de toute urgence de mettre en place une répression implacable contre ces jeunes hommes et femmes qui venaient, dans un silence religieux et sans la moindre violence, honorer la mémoire de trois jeunes militants victimes de lâches assassins qui n’ont jamais été retrouvés ni évidemment condamnés.

Las, la Cour de Cassation italienne, réunie en urgence face au psychodrame médiatique, a estimé que le « salut fasciste » n’était pas un délit dans le cadre d’une commémoration et qu’il ne pouvait susciter des poursuites pénales que s’il était lié à une volonté de refonder le parti fasciste.

Pour CasaPound Italia, le mouvement organisateur de la cérémonie : « la décision de la Cour de cassation est une victoire qui met enfin un terme à une série d’accusations et d’indignes polémiques qui ont éclaté après la commémoration d’Acca Larenzia ».

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21 janvier...

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samedi, 20 janvier 2024

LFI ou la bêtise odieuse !

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La chronique de Philippe Randa

Il est donc possible que je m’indigne encore… en politique ! La preuve par La France insoumise !

Un groupe de la bêtise estampillé LFI – parmi lesquels les députées Sandrine Rousseau et Mathilde Panot – s’est effectivement fait filmer de nuit à Paris sous une tente flambant neuve, dans des doudounes bien chaudes, en train de chanter à tue-tête et de rires aux éclats… et ce, pour dénoncer les conditions d’existence des 3 000 pauvres êtres humains survivants comme ils peuvent sans domicile fixe dans la capitale.

On imagine effectivement les malheureux en question se bidonner chaque nuit à gorges déployées en entonnant chants et chansons de fin de banquet… Même aidés de litrons de « gros rouge qui tâche », non ! on ne les imagine pas se « la péter » ainsi dans la joie et la très bonne humeur…

Ni, bien sûr, sitôt photos et vidéos de la mascarade prises et diffusées dans les réseaux sociaux, plier tente et ramasser bagages et sac à main pour aller continuer la bamboche dans une brasserie du VIIe arrondissement… avant de rentrer chacun chez soi prendre un repos plus qu’immérité et surtout bien au chaud !

Mais pour les députés LFI et Cie, si ! C’est ce que cette bande méprisable a fait, sans honte aucune… et sans imaginer un instant que leur sinistre comédie pourrait donner envie de vomir à plus d’un !

Que cette honteuse et répugnante tartufferie soit au moins l’occasion de rappeler les actions d’autres militants politiques envers les laissés-pour-compte de la société : Odile Bonivard et son Association Solidarité des Français ou encore Chantal Spieler à Strasbourg, distribuant des soupes de cochons et autres victuailles à tous les sans-abris, sans discrimination aucune de race ou de religion, et malgré leurs nombreuses « arrestations » par la police à ces occasions, le Pouvoir considérant que leur dévouement à remplir les ventres vides troublait « l’ordre public ». Elles tinrent bon néanmoins et continuèrent les distributions de nombreuses années.

Elles poursuivaient ainsi l’une et l’autre l’action initiée le 4 novembre 1997 sur le parvis de la gare Saint-Lazare à Paris par le pasteur Jean-Pierre Blanchard, avec le soutien (entre bien d’autres) de Jany Le Pen ; des distributions de soupes qu’il accomplit chaque hiver pendant trois années…(1) Et le pasteur Jean-Pierre Blanchard, toujours lui, créa encore, avec son épouse Catherine, l’Action Sociale Populaire en 2005 pour effectuer des maraudes chaque hiver pendant plus d’une quinzaine d’année avec ses bénévoles.

À tous les malheureux qu’ils croisaient sur les trottoirs de Paname et d’ailleurs, ils apportaient aux malheureux, outre vêtements ou nourriture, d’abord et avant tout de l’attention et de la chaleur humaine, comme insistait Jean-Pierre Blanchard.

Le gang de la bêtise faussement insoumis, lui, n’aspirait cette nuit-là qu’à l’attention de médias complaisants et leur pantomyme n’aura réussi qu’à glacer le sang… de dégoût !

J’écrivais récemment qu’avec le nouveau gouvernement de la France, on touchait décidément le fond, mais avec le « sketch » de tels sinistres clowns, on plonge carrément dans la fosse d’aisance de « l’indécence et de la bêtise », selon les qualificatifs du journaliste de Cnews Pascal Praud qui, indigné lui aussi, a stigmatisé à juste titre « l’instrumentalisation du malheur de pauvres gens qui dorment dans la rue. »

(1) Jean-Pierre Blanchard a raconté l’aventure des « soupes de Le Pen » à Saint-Lazare dans son livre La faim justifie les moyens, réédité aux éditions de l’Atelier Fol’Fer (disponble sur www.francephi.com). Pour commander ce livre, cliquez ici.

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Paris, samedi 10 février 2024 :

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Aberrations écologiques

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Gaëtan de Capèle

Mais où est donc passée l’«écologie à la française» voulue par Emmanuel Macron, accessible et juste, responsable et pragmatique? Les maires aux prises avec l’ubuesque ZAN - zéro artificialisation nette - de la loi climat et résilience se le demandent bien. Pendant que, persuadés de participer au sauvetage de la planète, les militants de la convention citoyenne jubilent, eux constatent que l’idéologie verte a encore frappé, détachée de toute réalité du terrain. Le résultat est sans appel : au nom du principe large et flou de la préservation de la biodiversité, les réserves foncières des communes se trouvent aujourd’hui dans les faits quasi congelées. Il faut faire preuve d’une naïveté confondante pour s’étonner des conséquences de cette situation créée de toutes pièces. Comme attendu, la pénurie de logements, considérée non sans raison comme une bombe à retardement sociale, s’aggrave mécaniquement sur fond de hausse des prix. Quant aux investisseurs que l’on cherche à attirer pour réindustrialiser nos régions, ils se demandent où installer leurs sites de production.

Le ZAN, avatar de l’angoissante ZFE qui interdit l’accès aux centres-villes, ne constitue pas la moindre des aberrations de nos ambitions écologiques. Les agriculteurs en savent quelque chose. Sommés de nous nourrir en produisant 100 % bio, sans engrais, sans pesticides - et à la force des bras, rêve-t-on à Saint-Germain-des-Prés -, ensevelis sous les normes et les contraintes, ils ne s’en sortent plus. Et se révoltent. Les propriétaires de logement ne sont pas en reste, victimes d’une réglementation tatillonne sur la rénovation thermique qui participe activement à la paralysie du marché immobilier. Dans l’énergie, le même dogmatime vert a failli ruiner la filière nucléaire, ce miracle industriel qui nous assurait l’électricité la plus abondante et la moins chère du monde. Il a fallu rien de moins qu’une guerre aux portes de l’Europe et une crise énergétique majeure pour reprendre nos esprits. L’écologie à la française est décidément un long chemin d’apprentissage.

Source : Le Figaro 20 /01/2024

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Le Journal du Chaos

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vendredi, 19 janvier 2024

Un manifeste pour la défense des libertés politiques et religieuses publié dans le JDD

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Avec la menace de dissolution de l’association catholique Academia Christiana, qui fait suite à un certain nombre de dissolutions et d’interdictions, des personnalités signent un manifeste dans le JDD :

Réunions et manifestations interdites, dissolution de mouvements et d’associations, dénonciations calomnieuses… Sous la houlette du ministre de l’Intérieur, une répression sans précédent à l’encontre des acteurs sociaux menace nos libertés individuelles et collectives, sapant ainsi les fondements de notre vie publique.

Il est indéniable que rien n’est acquis de manière définitive. Au-delà des nuances politiques et idéologiques, la lutte pour nos libertés doit se réinventer face à un absolutisme qui persiste à ressurgir.

L’arme de la dissolution ne vise aujourd’hui pas seulement la mouvance qualifiée d’« ultra-droite » : les tentatives visant l’organisation dite des « Soulèvements de la terre » ont été, en dépit du soutien à des journées émaillées de violence, contrées par le Conseil d’Etat.

Exemple paroxystique de ce mouvement liberticide en France, la dissolution annoncée d’Academia Christiana, une école de formation d’inspiration catholique.

Les motifs du gouvernement pour dissoudre Academia Christiana demeurent flous, surtout à la lumière des activités de cette association : des conférences sur l’écologie ou la famille, agrémentées par des séances de sport et par des danses traditionnelles, sans la moindre trace d’ extrémisme ou de violence. Bien que son positionnement conservateur puisse déplaire, elle ne menace ni la sécurité ni la tranquillité publiques. On pourrait alors présumer qu’il s’agit de christianophobie pure et simple.

Alors, que reproche-t-on vraiment à Academia Christiana ? « De ne pas correspondre aux valeurs de la République », affirme Gérald Darmanin. À la lecture du dossier de l’accusation, la réalité qui se dévoile est moins glorieuse pour le ministre et plus redoutable pour le citoyen. Loin de lui demander des comptes pour des faits, le ministre reproche à l’association des idées parfaitement légitimes.

L’analyse des motifs invoqués par les services du ministère de l’Intérieur à l’appui de la demande de dissolution a de quoi effrayer. En effet, les fondements de cette décision mettent en danger des libertés publiques que les Français présumaient acquises. Celles de s’associer, d’exprimer ses opinions, d’éduquer ses enfants et même de croire dans le Dieu de son choix.

Pour ces raisons, cette nouvelle annonce de dissolution faite par Gérald Darmanin interpelle et devrait inquiéter le monde associatif et plus largement tous les Français. La force publique se doit d’être au service de l’ordre et de la justice et non pas devenir une arme idéologique destinée à combattre ses adversaires politiques.

Demain une association qui gère une école catholique, une communauté de vie écologique, un syndicat trop remuant ou un parti politique dont les idées déplaisent au pouvoir en place pourrait être dissous sans réelle protection juridique en se prévalant de la « jurisprudence Academia Christiana ».

Notre adhésion à ce manifeste ne marque aucunement une approbation des idées défendues par Academia Christiana ou par tout autre organisation ou parti visé par la politique répressive du ministre de l’Intérieur. C’est plutôt l’expression d’une inquiétude grandissante face à la criminalisation du débat politique et à la judiciarisation de la confrontation des idées.

Nous plaidons pour le maintien du pluralisme dans la société civile et contre le délit d’opinion car il n’y a pas de démocratie sans liberté de pensée et d’expression.

La défense des libertés politiques et religieuses est un impératif pour tout citoyen soucieux de l’intérêt général et du Bien commun au sein d’une communauté nationale apaisée.

En conséquence, les signataires s’engagent à défendre toutes les libertés, qu’elles soient politiques, religieuses ou autres sans distinction aucune.

Liste des signataires :

Guillaume Bernard, historien du droit et des idées politiques
Benjamin Blanchard, directeur Général de SOS Chrétiens d’Orient
Béatrice Bourges, co-fondatrice de la Manif pour tous
Pierre-Alexandre Bouclay, président de Radio Courtoisie
Thierry Bouclier, avocat
François Bousquet, rédacteur en chef de la revue Éléments
Anne Brassié, biographe et critique littéraire
Alain de Benoist, écrivain et intellectuel
Claude Chollet, président de l’OJIM
Alexis Claude, écrivain
Thibaud Collin, philosophe et essayiste
Paul-Marie Coûteaux, haut fonctionnaire et essayiste
Pierre de Chanville, entrepreneur
Benjamin Demeslay, essayiste
Charles de Meyer, président de SOS Chrétiens d’Orient
Thibault de Saint-Vincent, entrepreneur
Émile Duport, entrepreneur et communiquant
Aliette Espieux, porte-parole de la Marche pour la Vie
David Engels, essayiste et philosophe
Claire-Emmanuelle Gauer, conseillère régionale
Pierre Gentillet, avocat
Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance Catholique
Jean Messiha, président de l’Institut Vivre Français
Jean-Christophe Perardel, entrepreneur et consultant
Alexandre Pesey, président de l’IFP
Jean-Frédéric Poisson, ancien député et président de Via
Abbé Matthieu Raffray, prêtre
Stéphane Ravier, sénateur Reconquête !
Stanislas Rigault, président de Génération Z
Isabelle Surply, conseillère régionale
Éric Viaud, maire de la Bussière, président des maires pour le Bien Commun

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Querelle « depardivine »

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Ça a été la discussion mouvementée des réveillons. Plutôt que de s’engueuler sur les 91 inculpations de Donald Trump, l’arrivée climatorusse de l’hiver ou la loi immigration dont les quelques timides avancées seront certainement censurées par le Conseil constitutionnel, les convives ont préféré s’écharper sur… Gérard Depardieu.

Mis en examen depuis 2020 pour « viols » et « agressions sexuelles », l’acteur conteste formellement ces accusations. Il revient à l’émission « Complément d’enquête » du 7 décembre 2023 sur France 2 de relancer la controverse avec des propos grossiers, grivois et graveleux qu’il tient sur de jeunes cavalières en Corée du Nord. Se déchaînent alors les nouvelles pétroleuses 3.0. L’ultra-féminisme en bandoulière, ces Érinyes post-modernistes expliquent doctement partout que la présomption d’innocence n’est qu’une notion juridique seulement valable au tribunal. Elles sous-entendent que dans la société prime une présomption de culpabilité qu’on aurait aimé voir appliquée aux assassins supposés de Thomas à Crépol…

Cantonnée à une petite coterie d’où se dégagent néanmoins des miasmes nauséabonds, la polémique prend une tournure politique avec l’intervention d’Emmanuel Macron, le 20 décembre, dans l’émission sirupeuse « C à vous » sur France 5. Il tacle sa ministresse de la Culture dorénavant remerciée et vole au secours de Depardieu. La prise de position présidentielle provoque une avalanche de pétitions et d’autres tribunes plus ou moins mal intentionnées.

Le Figaro du 25 décembre 2023 publie le texte collectif « N’effacez pas Gérard Depardieu ». Déjà, dans sa livraison du 1er octobre dernier, ce quotidien avait fait paraître une lettre ouverte de Gérard Depardieu. Cette nouvelle contribution suscite une vague d’indignations formatées. Un certain collectif MeToo Media signe dans Le Monde du 27 décembre une lettre publique adressée au chef de l’État. Deux jours plus tard, l’officine du journalisme de flicage, Médiapart, met en ligne une pétition lancée par un autre collectif « Cerveaux non disponibles » (sic !) qui recueille en 48 heures plus de 8 000 signatures dont celles des chanteuses sans voix Angèle et Pomme, de la piètre actrice Corinne Masiero, de l’humoriste hautement risible Guillaume Meurice, de la performeuse porno Nikita Bellucci, de Rokhaya Diallo et même du fameux Médine. Le 31 décembre sort une « Adresse au vieux monde » signée par soixante-dix personnalités. Enfin, Libération du 1er janvier 2024 met en ligne une pétition de 150 artistes pour qui « L’art n’est pas un totem d’impunités » !

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L’Iliade saisit la Cour de justice de la République (CJR) contre Darmanin pour délit de discrimination politique

Discrimination politique : l’Institut Iliade saisit la Cour de justice de la République

 

Un communiqué de l'Iliade :

Au même titre que la discrimination raciale, ou à raison de l’orientation sexuelle, la discrimination politique constitue un délit.

Un délit que Darmanin, ministre de l’intérieur, a commis dans le cadre de sa circulaire du 10 mai 2023 où il donne instruction aux préfets d’interdire (sous divers prétextes) toutes les manifestations arbitrairement affublées du nom « d’ultra droite ». Une circulaire, non publiée, et transmise en catimini.

Cette plainte vient compléter les trois actions judiciaires précédentes engagées par l’Institut Iliade :

  • Contre le Préfet de police de Paris Laurent Nuñez pour plusieurs délits commis dans son arrêté d’interdiction de l’événement d’hommage à Dominique Venner devant le tribunal correctionnel de Paris.
  • Contre la circulaire Darmanin devant le Conseil d’Etat
  • Contre l’arrêté d’interdiction du colloque d’hommage à Dominique Venner devant le Tribunal administratif de Paris.

L’institut Iliade ne transigera jamais dans la défense des libertés européennes face aux délires liberticides de l’extrême centre.

Vous pouvez soutenir nos actions de contre-offensive judiciaire en faisant un don à l’Institut Iliade et en signant notre grande pétition dénonçant la circulaire Darmanin.

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Coût de l’immigration : mon désaccord avec les chiffres de Jean Paul Gourévitch

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André Posokhow

En août 2023 Jean-Paul Gourévitch (JPG) a publié dans le cadre des études de Contribuables Associés une étude n°45 intitulée « Le coût de l’immigration en 2023 ». Selon cette étude le déficit de l’immigration se monterait au 1er janvier2023 à 53,9Md soit seulement 2% du PIB. L’objet de cet article est d’expliquer et de chiffrer mes désaccords sur cette évaluation.

Le constat d’un désaccord

Le niveau du déficit de 54 Md € ne laisse pas de surprendre. En 2009, Gérard Pince, expert international, avait produit une remarquable étude d’économiste dans son livre : « les Français ruinés par l’immigration » et établi que le déficit imputable à l’immigration du tiers monde s’établissait à 71 Md € ; les travaux de la Fondation Polémisai en 2014 avaient abouti à un déficit de 84Md €. Ce sont des chiffres qui ont au moins 10 ans d’âge. Ils n’ont jamais été remis en cause publiquement . Or ils se situent bien au-dessus de celui de JPG en 2023 alors que l’invasion migratoire a explosé depuis lors.

 C’est surtout la comparaison avec les travaux du pionnier Pierre Milloz, décédé en 2022, qui apparait étonnante. En 1995 celui-ci avait abouti à un déficit libellé en francs de 42,7Md € . Or il n’avait affiché que les coûts des étrangers lesquels ne représentent qu’environ les deux tiers des immigrés, et n’avait pas pris en compte leurs descendants. Si P.Milloz avait tenu compte de ces facteurs de la même façon que JPG, il aurait probablement abouti à un déficit bien supérieur. Trente ans d’invasion migratoire après, le chiffre de coût de JPG n’est que de 54 Md € c’est-à-dire à un niveau identique. Logiquement il aurait dû suivre de près ou de loin la courbe de progression des chiffres de l’immigration. Il y a quelque chose qui cloche ou ,au moins, qui interroge.

J’ai publié en 2022 , sur la base de chiffres de 2019, l’ouvrage « Immigration ; l’heure des comptes » pour lequel le déficit comptable de l’ensemble de l’immigration s’établit à 256Md € et celui de la seule immigration extra-européenne à 193 Md € soit environ 8% du PIB.

Je me trouve donc en désaccord avec JPG sur le niveau de son déficit.

De son côté JPG, tout en reconnaissant la qualité de mon travail d’investigation et en dénonçant une réfutation en général absente , a émis de manière urbaine diverses critiques sur mon ouvrage dans le sien (Page 13). J’essaierai d’y répondre. Il faut ajouter qu’en pages 9 et 29, JPG reconnait que sa synthèse des coûts pourrait être quelque peu sous- estimée et que son travail comporte des approximations et des oublis.

Des désaccords de chiffres ne signifient pas pour autant des querelles d’autant plus que les méthodes et certains choix sont propres à l’un ou à l’autre sans que, pour autant, on puisse les qualifier d’erronés. Il convient d’ailleurs de souligner que nous nous trouvons en phase sur plusieurs points et certains chiffres de dépenses et de recettes.

Méthodes et choix.

La méthode de mon livre a été celle, simplement comptable, d’établir au titre de l’année 2019 un compte de résultat de l’immigration sur la base des recettes qu’elle apporte à nos finances publiques et de l’ensemble des dépenses qu’elle leur occasionne et non un coût de l’immigration, concept ambigu et multiforme. JPG m’a reproché en page 13 de son livre que certains de mes chiffres ne soient que des hypothèses. Il suffit d’ouvrir mon livre qui comporte 74 annexes pour constater que j’ai tenté, dans la mesure du possible, étant donné le flou et les insuffisances des données chiffrées des institutions publiques, de sourcer et de justifier mes chiffres. Je ferais une exception pour le coût de ce que j’appelle la délinquance pour laquelle la faiblesse des données chiffrées m’a contraint de faire des choix. Cependant ne pas le faire revenait à occulter ce coût ce qui était inacceptable.

JPG me reproche également de mettre sur le même plan dépenses et investissements ce que j’évoque ci-dessous et surtout d’omettre la contribution des immigrés actifs à l’augmentation du PIB du pays. Que ce choix soit le sien il n’y a rien à redire mais ce n’est pas le mien qui est de caractère strictement comptable hors PIB.

En revanche je conteste la réalité de la contribution au PIB de 21Md € qui fait partie des composantes de son déficit de 59Md €. Dans le calcul de cette contribution, JPG à la page 72 ne tient compte que des dépenses directes et oublie sans explication les dépenses indirectes : coûts régaliens comme la justice et les forces de l’ordre et les coûts sociétaux comme les fraudes et les trafics criminels qui font tout de même un total de 55Md €. Si on en tient compte, cette contribution au PIB de 21Md € doit être annulée (elle devient même négative ) et le déficit de l’immigration de 54Md € de JPG passe à 75Md €.

Le chiffrage des désaccords

L’objet principal de cet article est d’expliquer et de chiffrer mes désaccords sur le chiffre du déficit de l’immigration et de présenter les montants des dépenses qui auraient pu être prises en compte.

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jeudi, 18 janvier 2024

YEMEN : L'EMBRASEMENT

Selon Donald Trump, nous n'avons jamais été aussi près de la 3ᵉ Guerre mondiale.

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16:53 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’erreur du darwinisme et ses conséquences – Conférence de Dominique Tassot à Montpellier le 27 janvier

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E&R Languedoc recevra Dominique Tassot à Montpellier le samedi 27 janvier 2024 à 15 h 00 pour une conférence intitulée « L’erreur du darwinisme et ses conséquences ».

Depuis son apparition dans le paysage intellectuel, la théorie de l’évolution a soulevé de multiples questions et continue de le faire. Ce n’est pas comme pour une découverte scientifique habituelle, cantonnée à un domaine de connaissances précis. En transformant la vision que l’homme avait de lui-même, en particulier de son origine, elle a eu une influence considérable dans de nombreux domaines : idéologique, politique, religieux…

Notre conférencier, Dominique Tassot, est ingénieur des mines de Paris, et a soutenu en Sorbonne une thèse de philosophie sur la dialectique de la science et de la Révélation (de Galilée au père Lagrange). Il s’est passionné pour les rapports complexes qu’entretiennent la science et la foi. Il anime le Centre d’études et de prospective sur la science (CEP), dont il dirige la revue Le Cep.

- Ouverture des portes à 14 h 30
- Début de la conférence à 15 h (PAF 8 €)
- Questions/réponses avec le public

- Entrée : 8 euros

- Inscription obligatoire par e-mail : languedoc@e-r.fr (Indiquez nom, prénom et numéro de téléphone)

- Présence d’un stand Kontre Kulture

- L’adresse vous sera communiquée par e-mail le jour de la conférence avant midi

- Places limitées !

- Merci de vérifier vos spams lors de nos échanges.

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