mercredi, 08 janvier 2025
Les Brigandes saluent Jean-Marie Le Pen
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Décès de Jean-Marie Le Pen : la réaction de Pierre Cassen, président de Riposte laïque
La mort de Jean-Marie Le Pen pose de nombreuses questions. Les gauchistes oseront-ils venir perturber ses obsèques, qui auront lieu dans l’intimité familiale, ce samedi ?
Le Rassemblement national jugera-t-il compatible sa politique de dédiabolisation avec l’organisation d’un hommage national que le fondateur du FN mérite ?
J’amène d’autre part, personnellement, trois témoignages d’anecdotes qui m’ont fait croiser Jean-Marie Le Pen, dont celui où un public, debout, tapant dans les mains, criait, à l’entrée dans une salle de celui qu’on surnommait Le Menhir, « Merci Jean-Marie, merci Jean-Marie, merci… »
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Pascal Praud, cet ex-jeune des années 1980 trompé par la lutte prétendument "antiraciste"...
"Je crois que ce pays et sa jeunesse sont encore très sensibles aux grands mouvements moraux, même si ceux-ci ont souvent été utilisés pour les tromper - comme cela a été le cas avec la lutte antiraciste".
Jean-Marie Le Pen, 1990.
Maurice Bernard
Hier matin, sur CNews, deux heures avant l’annonce du décès de Jean-Marie Le Pen, Pascal Praud, à partir des dix ans du massacre dans les locaux de Charlie hebdo et des viols à grande échelle commis en Angleterre par des gangs pakistanais, nous a donné à entendre une de ses digressions surréalistes dont il a le secret :
- Pascal Praud : « Il y a une prise de conscience, au plus profond, que ce qui est attaqué, c’est le modèle, et on s’est tous trompé, nous les premiers, nous qui défilions avec Touche pas à mon pote en 1980 (…). Parce que les gens qui défilaient avec Touche pas à mon pote en 1980, c’était l’exact contraire. C’était pour dire à ceux qui était là avant eux : "Vous ne nous regardez pas, vous ne nous aimez pas, on n’est pas avec vous et on veut être avec vous", et ils marchaient pour ça. Et aujourd’hui, vous avez des gens qui disent : "On ne veut pas être avec vous". Donc tout a changé, forcément. (…) Moi, je me souviens, j’étais en fac (…), tout le monde luttait contre le racisme ».
- Charlotte d’Ornellas : « Il y a des gens qui voyaient dans la main jaune ce qu’on est en train de vivre aujourd’hui, quand même ».
- Pascal Praud : « Franchement, je voudrais voir un texte dans les années 1985 (sic) qui voit ce qu’on vit aujourd’hui et qui l’annonce, j’en suis pas sûr ».
Monsieur Praud voudrait « voir un texte de 1985 qui voit ce qu’on vit aujourd’hui et qui l’annonce » ? Pas de problème, il suffit de demander. En voici un (ou plutôt un extrait), pris parmi beaucoup d’autres, diffusé cette années-là dans les Yvelines, à Poissy (bien avant que Karl Olive, son copain ex-journaliste sportif - un proche d’Emmanuel Macron - n’en devienne le maire), sous forme de tracts, par le Front national de la jeunesse, et intitulé Les potes marcheurs vous font marcher :
« (L’)humanisme de pacotille (d’Harlem Désir et de SOS Racisme) n’est qu’un écran de fumée destiné à cacher l’essentiel…
Le peuple français peut (son passé le prouve) assimiler des individus qui le désirent sincèrement. Mais le peuple français (comme tout autre peuple), réalité homogène plus que millénaire, ne peut accueillir, sans se condamner, des communautés étrangères. Or, la majorité des immigrés refuse l’assimilation (…). La majorité des Beurs se moque des gentils mots d’ordre : "Aimons-nous, soyons égaux". Ils ne souhaitent qu’affirmer leur identité arabe et musulmane, au détriment de notre propre identité !
Ainsi se dessine nettement ce que serait cette France multiraciale et pluriculturelle que l’on veut nous imposer : un agrégat de communautés étrangères squattant le pays d’accueil, parlant leur langue et vivant selon leurs coutumes, apprises dans nos écoles ; une addition de groupes de pression dictant leur volonté à une nation française préalablement anesthésiée !
Jamais les jeunes du Front national n’accepteront de se voir ainsi tracer leur avenir ! Ce n’est pas à la France de s’adapter aux immigrés, mais à ceux-ci de se fondre, s’ils le désirent, dans l’ensemble national. S’ils refusent, ils doivent accepter et comprendre la volonté de notre peuple de défendre son identité, et se plier à ses décisions ».
C'était il y a quarante ans...
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Jean-Marie Le Pen disait : La France est l’El Dorado, l’El Dorado de la Méduse…
Jean-Louis Chollet, Riposte laïque cliquez ici
Lors de l’une de ses dernières présences publiques, le dimanche 13 octobre 2019 au cours des treizièmes journées de Synthèse Nationale il avait, devant un public enthousiaste, brillamment résumé la situation catastrophique de notre pays, évoquant, à juste titre l’immigration et le Grand remplacement, sujets essentiels qui hante la vie politique et sociale dans la France que nous connaissons aujourd’hui. Il avait ajouté que cela ne tarderait pas à devenir insoutenable pour les Français.
Jean-Marie Le Pen, ce grand Monsieur, avait la France dans le sang, dans l’âme et dans le cœur. Ajoutons dans les yeux tant son acuité exceptionnelle lui avait depuis longtemps permis de faire le pronostic de la situation dans laquelle notre pays se trouve aujourd’hui, en danger de mort selon cet autre grand patriote, Philippe de Villiers.
On a tenté tout au long de sa carrière de décrédibiliser le président fondateur historique du Front National devenu ensuite le Rassemblement National. Parfois avec succès, tant ses jeux de mots étaient caustiques. Mais, disons-le, s’il n’avait pas eu ces outrances, ses ennemis de la gauche déliquescente ne parleraient pas autant de lui aujourd’hui ! On a également tenté de l’impliquer dans les moments durs de la guerre d’Algérie quand, accusé de torture, il répondait : « Je n’ai rien à cacher. Nous avons torturé parce qu’il fallait le faire. Quand on vous amène quelqu’un qui vient de poser vingt bombes qui peuvent exploser d’un moment à l’autre et qu’il ne veut pas parler, il faut employer des moyens exceptionnels pour l’y contraindre. C’est celui qui s’y refuse qui est le criminel car il a sur les mains le sang de dizaines de victimes dont la mort aurait pu être évitée. » Notons qu’il fut alors remarqué par le général Massu pour avoir enterré des soldats de confession musulmane selon le rite de leur religion au lieu de les jeter à la mer. On chercha par tous les moyens à l’écarter du jeu politique en France, surtout lorsqu’en 2002 il accéda au deuxième tour des présidentielles face à Jacques Chirac. La peur d’un « fascisme fantasmé » artificiellement portée sur les fonds baptismaux par le Félon à la Francisque, François Mitterrand, avait alors fait le reste. Emmené par un « front républicain » nauséabond créateur de toutes les compromission politiques, il fut battu par une majorité écrasante reflétant peu les aspiration naissantes d’une catégorie de Français réalistes.
Il n’avait pas la morgue des énarques ni l’avidité des nouveaux riches de la politique, mais il avait une conscience, une noblesse et une honnêteté que beaucoup devraient lui envier aujourd’hui. Pour Monsieur Jean-Marie Le Pen, le monde occidental et l’Europe en particulier n’ont jamais été dans la situation où ils se trouvent aujourd’hui. « Il vient de se produire, dans les cinquante dernières années, l’un des phénomènes les plus extraordinaires de l’humanité. C’est la révolution démographique qui a porté la population mondiale de deux à huit milliards d’individus. » Et d’ajouter : « Le seul continent qui échappe à ce phénomène est celui que j’appelle le continent « Boréal », de Vladivostok à Gibraltar et qui comprend également les pays slaves… Huit milliards d’individus, donc, dont la majorité, grâce à une natalité non maîtrisée, qui vivent dans des pays qui sont déjà aux limites de la catastrophe sociale et aux limites de la misère. Si l’on augmente de telle façon les populations de ces pays sans y adjoindre les productions de biens qui correspondraient aux besoins, on entre dans une période de troubles extrêmement graves. Ces populations chercheront à fuir l’Afrique, et la France que l’on vante à travers le monde, attractive pour ceux qui ont peu, parfois rien, ces populations veulent la rejoindre. Pour eux, la France c’est l’Eldorado… L’Eldorado de la Méduse ! » ponctuait Monsieur Le Pen, jamais avare d’une bonne formule !
Il ajoutait, pour faire bonne mesure : « On comprend que ce problème majeur dans notre monde occidental n’est pas près de trouver sa solution, si l’on ne réagit pas massivement ! » mais toujours positif notre Patriarche d’ajouter : « Il n’est pas trop tard ! Cependant, il faudra du courage et de l’imagination pour refouler ces gens qui ne sont pas compatibles avec notre conception du monde. Il ne faut pas croire, comme le pensent un certain nombre de benêts, qu’il suffit d’être gentils et courtois pour être admis pour se partager le pouvoir… Dans ce genre de conflits, il y a un vaincu et un vainqueur et, généralement, le sort du vaincu est peu enviable. »
Dans la vie, il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous ! Alors, comme les événements se télescopent, citons une dernière fois Monsieur Le Pen à propos de Charlie, puisque c’est le dixième anniversaire de l’attentat horrible perpétré par les terroristes musulmans qui provoqua, on le sait, la mort d’une grande partie de sa rédaction. « Je ne suis pas Charlie Hebdo. Ce journal anarchiste était l’ennemi direct de notre parti le Front national, et ses journalistes, il y a quelques années, rassemblaient des signatures pour une pétition exigeant notre interdiction. Et tous ces politiciens, qui sont sortis manifester, ce ne sont pas des Charlie, mais des charlots ! » Même depuis l’au-delà, Monsieur Le Pen se charge de remettre l’église de la Trinité-sur-Mer, au milieu du village où il est né.
Grand patriote, il s’est battu pour le salut et l’avenir de la France. Il a eu raison avant tout le monde et nous ne serions pas dans la situation que nous vivons aujourd’hui si le peuple l’avait suivi sur les chemins d’une France courageuse et réaliste.
Merci Monsieur de votre clairvoyance qui nous permettra peut-être de sortir notre pays de la situation catastrophique où vos contempteurs l’ont plongée. Reposez en paix, nous gardons votre héritage pour nous guider dans le combat que beaucoup d’entre nous mènent pour retrouver une France nouvelle fière et apaisée dont vous resterez l’un des Pères fondateurs.
13:15 Publié dans Jean-Marie Le Pen, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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On juge une époque à ce qu’elle produit...
Synthèse nationale
Hier au soir, les répugnants sabbats d’une certaine jeunesse, "pavlovisée", gâtée jusqu’à la moëlle par l’agit-prop haineuse des "matons de Panurge" politico-médiatiques, nous ont donné à voir le "camp du bien" dans ses (basses) œuvres. Une certaine idée du vide : indécence, avachissement physique et moral, haine d’habitude, apprise et régurgitée sans pudeur ni retenue, bêtise triomphante qui s’affiche sans complexe…
La gauche et l’extrême gauche ont façonné des partisans à l’image de leur idéologie. Le monde qu’elles promeuvent ne sera jamais le nôtre. Depuis notre jeunesse, nous combattons les premières et nous dénonçons le second. Depuis cinquante ans, nous savons pourquoi, mais cette piqûre de rappel est tout de même la bienvenue : ne jamais oublier, ne jamais faiblir et toujours démonter leur discours, leurs entreprises, dénoncer leurs mensonges, leurs attitudes... Il nous ont déclaré la guerre : nous la faisons, avec nos moyens, et nous continuerons de la faire. Avec votre soutien et votre aide.
Les mous du bulbe enrégimentés, les chiens de garde de la pensée conforme et obligatoire, les fourriers du néant ne passeront pas.
12:51 Publié dans Editoriaux, Jean-Marie Le Pen | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jean-Marie Le Pen : le guerrier indomptable
Thomas Joly, président du Parti de la France
I. Le guerrier indomptable
Jean-Marie Le Pen s’en est allé, et avec lui disparaît un pan entier de notre histoire nationale. Que l’on l’aime ou le haïsse, nul ne peut nier la trempe d’un combattant forgé dans le feu des batailles et le fracas des idéaux. Dès sa jeunesse, il avait ce goût du défi, cette flamme intérieure qui pousse les hommes à aller là où les autres reculent.
Engagé en Indochine, il porta les couleurs de la France dans des terres lointaines, là où les forêts dévoraient les routes et où chaque pas était un pari sur la vie. En Algérie, il affronta des vents contraires, fidèle à cette idée d’un pays à la fois Empire et héritage. Bagarreur dans l’âme, il connaissait les coups, les vrais, ceux des poings et des mots. Il portait sur son visage les marques des affrontements, et dans son regard, la lueur d’un homme qui ne cède jamais.
Jean-Marie Le Pen était de cette race rare d’hommes qui préfèrent mourir debout que vivre à genoux.
II. L’homme politique aux vérités tranchantes
En politique, il incarnait une vertu devenue étrangère à beaucoup : le courage. Il ne mentait pas. Il ne mâchait pas ses mots. Que ses paroles soient appréciées ou honnis, elles portaient toujours le poids d’une vérité brute, non édulcorée par le conformisme ou la peur de déplaire.
Lui qui a été vilipendé, calomnié, parfois réduit au silence par les censeurs de tout bord, n’a jamais courbé l’échine. Jean-Marie Le Pen affrontait le tumulte médiatique comme un marin affrontant une mer démontée : droit, ferme, regardant l’horizon. Avec des décennies d’avance, il avait tiré la sonnette d’alarme sur les dangers pesant sur notre Nation. L’immigration massive, la perte des repères, le naufrage de l’identité française : ses mises en garde, raillées hier, résonnent aujourd’hui comme des prophéties.
Il aura eu raison avant les autres. Mais le courage d’avoir raison seul est une épreuve que peu osent endurer. Lui l’a fait, jusqu’à son dernier souffle.
III. Le flambeau du combat national
Jean-Marie Le Pen a quitté cette terre, mais son combat demeure. Son œuvre politique, cristallisée dans ce Front National qu’il a porté à bout de bras, ne s’arrête pas avec lui. Il a semé une graine : celle de la défense de la France éternelle, contre vents et marées, contre l’indifférence des élites et la lâcheté ambiante.
Aujourd’hui, le Parti de la France reprend ce flambeau. Héritier naturel du Front National historique, il poursuit cette lutte ardente pour stopper l’invasion migratoire, pour rétablir l’ordre, pour défendre les valeurs qui font de notre pays une terre unique.
Jean-Marie Le Pen nous a montré le chemin. Celui d’un combat sans compromis, d’une fidélité sans faille à la Patrie. Que son exemple inspire chaque Français soucieux du redressement de notre nation. Que son souvenir guide ceux qui, comme lui, refusent de céder à l’abandon.
Et si, un jour, la France se relève, forte, fière, souveraine, alors l’Histoire saura rendre justice à celui qui, dans l’adversité, n’a jamais cessé de croire en elle.
12:48 Publié dans Communiqués de presse, Jean-Marie Le Pen | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jean-Marie Le Pen à Synthèse nationale
00:59 Publié dans Jean-Marie Le Pen, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La réaction d'Eric Zemmour
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L'Histoire est en train de lui donner raison...
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale
C'est au moment où, en France, partout en Europe et même outre-Atlantique, les idées qu'il a défendues du plus profond de son être, de son coeur, de son âme commencent à triompher, au moment où notre peuple ouvre les yeux et reconnaît - ô combien - qu'il avait raison, que Jean-Marie Le Pen nous quitte.
Aujourd'hui, c'est toute la Droite nationale et identitaire, au-delà de ses divergences actuelles ou passées, qui est orpheline, mais Jean-Marie Le Pen restera l'homme qui, 40 ans durant, aura été un précurseur et aura incarné cette France française qui, demain, renaîtra de ses cendres.
Il n'est plus là mais, n'en déplaise aux insignifiants charognards qui bavent sur sa dépouille depuis l'annonce de son décès, ce matin, l'histoire est en train de lui donner raison...
Merci Jean-Marie... Nous continuons le combat...
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mardi, 07 janvier 2025
Décès de Jean-Marie Le Pen : un bel hommage "anticonformiste" de Nicolas Gautier, à lire sur Boulevard Voltaire
Nicolas Gautier Boulevard Voltaire
Jean-Marie Le Pen est décédé ce 7 janvier 2025, à 96 ans. Après la mort de Roland Dumas et de Jacques Chirac, il s’agissait du dernier survivant de l’ancien monde ; d’aucuns diront même du dernier géant, sachant que le général de Gaulle ayant tiré son ultime révérence, ne restaient plus que François Mitterrand et lui, Jean-Marie Le Pen. Certes, au contraire de l’homme de Jarnac, celui de la Trinité-sur-Mer ne fut jamais président de la République. Ce qui ne l’empêcha pas, même campant dans une éternelle opposition, de toujours raisonner en homme d’État.
Nombre de ses pairs estimaient avoir une « certaine idée de la France » ; pas lui, pour qui la France était avant tout une réalité. La France, il la vivait au plus profond de sa chair. Élevé dans le souvenir de la Grande Guerre, il connut les affres de la Seconde, y perdant son père, marin parti en pleine mer, sur une mine allemande, alors qu’il devenait jeune résistant. Il y eut ensuite d’autres guerres, celles d’Indochine et d’Algérie, entrecoupées par l’équipée du canal de Suez. Voilà qui forme - plus qu’un caractère - un homme.
Le reste de sa vie ne fut plus que combats, politiques ceux-là, mais toujours empreints de cette gravité propre à ceux qui ont connu le feu et dont les balles ayant sifflé à leurs oreilles n’étaient pas des balles de tennis : les seules que ses opposants, pour la plupart, aient affronté aux heures les plus tragiques de notre Histoire.
Ce fut donc le Jean-Marie Le Pen, organisateur des comités Tixier-Vignancour, lors de l’élection présidentielle de 1965, matrice de ce qui allait devenir le Front national, en 1972, à l’instigation d’Ordre nouveau. À l’auteur de ces lignes, il confiait, lors d’un entretien accordé au Choc du mois, en juin 2006 : « Chez Tixier, j’arrivais à faire cohabiter des sensibilités a priori les plus incompatibles : tirailleurs algériens et grands-bourgeois, anciens de la Résistance et vaincus de la Collaboration. Je sais qu’on me reproche depuis des années d’avoir tendu la main à ces gens. Mes amis maquisards d’alors me le reprochaient déjà ; pourtant, si je ne leur avais pas tendu la main, qui d’autre l’aurait fait ? Quand on se place dans une perspective de rassemblement national, on rassemble. Ou alors, on va à la pêche aux moules ! »
Pour lui, « l’extrême droite était un boulet »
Et cet éternel trublion d’en rajouter une couche, à propos de cette « extrême droite » dont il fut si souvent accusé d’être le chef de file : « Je dois admettre que j’ai traîné cette extrême droite comme un véritable boulet. Moi, je préparais l’avenir. Eux, ils étaient là pour tenter de justifier leur passé, imaginant, sans doute, que s’ils parvenaient à réhabiliter leurs erreurs de jeunesse, la droite nationale, de facto, se retrouverait aux portes du pouvoir. Un raisonnement parfaitement idiot. »
Pourquoi reproduire cet entretien, qui fit grand bruit à l’époque, jusque dans les rangs du dernier carré lepéniste, déjà très perturbé par la scission de Bruno Mégret, en décembre 1998 ? Tout simplement parce qu’en cette occasion, le défunt livrait véritablement le fond de sa pensée et s’y montrait tel qu’il était, côté jardin, loin de journalistes ne lui voulant pas que du bien. C’est le même Jean-Marie Le Pen qui, en 1974, fait de l’immigration le nouveau cheval de bataille d’un Front national naissant, alors que ses amis persistent à considérer l’anticommunisme comme la fin des fins. Pareillement, en 1990, il prend ce même mouvement à rebrousse-poil en se prononçant contre la première guerre du Golfe, alors qu’en la circonstance, il est plus que minoritaire au sein de son propre bureau politique.
Emmerder les bourgeois…
Ainsi était Jean-Marie Le Pen. Qui n’aurait jamais troqué sa liberté d’esprit contre tous les maroquins du monde, persistant à ne pas renier ses folles années de jeunesse durant lesquelles il échangeait les coups avec les communistes pour mieux, et après, boire avec eux. Joyeuse période durant laquelle il montrait son cul aux bourgeois avec le cinéaste Claude Chabrol, l’un de ses célèbres amis de bordée et, accessoirement, l’un des chefs de file de la Nouvelle Vague. Où il proposait crânement à un des parrains de Pigalle de devenir celui de sa petite dernière, Marine. Où il se régalait à défier les océans sur son bateau, pas prénommé Cambronne pour rien, plutôt qu’à s’ennuyer dans les dîners huppés. Bref, où, tout en étant Le Pen, il était simplement et avant tout Jean-Marie. Ce que l’auteur de ces lignes a pu vérifier à de nombres reprises, fort de dizaines d’entretiens et de deux ouvrages rédigés à quatre mains : Parole d’homme et L’Album Le Pen, durant la campagne présidentielle de 2002, l’année où il fit trembler les curés de la bien-pensance et les Diafoirus gavant le peuple français à grands coups de moraline. Emmerder les bourgeois ? C’était chez le défunt, plus qu’une ligne de conduite, un bréviaire dont jamais il ne se détourna.
Ce triste jour de janvier 2025, c’est donc à la fois Le Pen et Jean-Marie qu’on enterre. Les amoureux de la France se sentent, aujourd’hui, tous un peu orphelins
18:33 Publié dans Jean-Marie Le Pen, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le "chien de tête qui flaire la crevasse où court l’attelage" s'en est allé mais son combat continue !
Didier Lecerf, rédacteur en chef de Synthèse nationale
"Panpan" – comme le surnomment affectueusement tous ceux qui, à un moment ou à un autre, l’ont accompagné dans son combat politique pour la France – vient de rejoindre son saint patron, Jean le Baptiste, son fidèle second des années 1980, Jean-Pierre Stirbois, et la longue procession de ses soutiens aujourd’hui disparus, tel Roger Holeindre.
Les centaines de milliers de patriotes, de nationaux, de nationalistes qui se sont engagés à ses côtés, au cours des cinquante dernières années, ont aujourd’hui le cœur lourd mais l’esprit léger. En des temps fondés sur le mensonge et soumis aux diktats de la bien-pensance, ils ont su, en effet, avec Jean-Marie Le Pen et "son" front national, voir ce qu’il fallait voir et dire ce qu’il fallait dire, malgré les insultes, les menaces, voire les violences de leurs adversaires ameutés derrière la gauche et l’extrême gauche.
Aujourd’hui, parmi ces derniers, certains, face à la mort d’un homme qu’ils ont combattu, font preuve de respect et de dignité : qu’ils en soient remerciés ; mais d’autres se bousculent, sur les réseaux sociaux, pour cracher sur sa dépouille. Ruffin ruffine, Boyard bayardise, l’Humanité éructe… Rien de nouveau sous le pâle soleil d’hiver. C’est ce qui distingue les hommes des hominicules. Les premiers savent s’incliner devant le trépas d’un de leur semblable et la douleur de ceux qui l’ont aimé. Les seconds se vautrent dans la boite à ordures où ils pataugent à leur aise.
Mais après tout, qu’importe ! Qu’ils bavent et rebavent ! Il n’en restera que des taches sur le devant de leur chemise… De toute façon, l’histoire a déjà tranché. Jean-Marie Le Pen et tous ceux qui l’ont précédé, accompagné, soutenu dans ce long combat pour la patrie n’ont eu qu’un seul tort : avoir raison avant tout le monde.
Comme l’a écrit le "Président" en conclusion du premier tome de ses mémoires : « Si j’ai eu un sens, c’est de crier la vérité à temps et à contre-temps, (c’est) d’être la voix qui refuse le mensonge, la voix qui réconforte et redresse le peuple des malades, des humiliés, des offensés. La politique après tout, ce n’était peut-être pas absolument mon truc. J’étais plutôt, comment dire ? Une vigie, une sentinelle, un lanceur d’alerte, un chien de tête qui flaire la crevasse où court l’attelage, un emmerdeur, un prophète ? Une voix qui crie dans le désert jusqu’à ce qu’il se remplisse ».
Aujourd’hui, grâce au Menhir et à tous ceux qui furent ses cadres et ses militants, le désert n’est plus désert, il est même bien rempli. Jean-Marie, tu peux reposer en paix, les emmerdeurs, les chiens qui flairent la crevasse où court l'attelage, les empêcheurs de tripatouiller en rond, les botteurs de fourmilières sont de plus en plus nombreux. Grâce à eux et par eux, ton combat continue. Il se poursuivra jusqu’à la victoire !
17:23 Publié dans Didier Lecerf, Jean-Marie Le Pen | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Ce soir sur Telegram, le Parti de la France consacre une émission à Jean-Marie Le Pen
16:23 Publié dans Jean-Marie Le Pen, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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ADIEU JEAN-MARIE !
13:12 Publié dans Jean-Marie Le Pen, Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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10 ans après Charlie : le silence complice d'une Nation en déclin
Thomas Joly, président du Parti de la France
Dix ans se sont écoulés depuis l’attaque islamique contre Charlie Hebdo, cet attentat qui aurait dû réveiller une France anesthésiée par son propre déni. Dix ans de larmes et d’hommages vides, pendant lesquels nos dirigeants ont rivalisé de lâcheté, refusant obstinément de s’attaquer à la cause profonde : l’islamisation rampante de notre pays. Ils se sont réfugiés derrière des slogans creux, préférant peindre des fresques murales et allumer des bougies plutôt que de prendre les mesures nécessaires. Pendant ce temps, la société française s’est fragmentée, rongée par une idéologie étrangère qui ne cache plus son mépris pour notre mode de vie et nos libertés.
Le problème est clair et ses racines sont profondes : une immigration afro-musulmane insupportable qui ne cherche ni à s’intégrer ni à s’assimiler, mais à imposer ses mœurs et ses ressentiments. Que dire de cette jeunesse nourrie à la haine de la France, éduquée dans des enclaves ethniques où les lois françaises sont bafouées au profit d’une autre loi, bien plus communautaire ? Que dire encore de ces vagues de clandestins qui déferlent sur la France, véritables chevaux de Troie d’un terrorisme qui a frappé au cœur de Paris, de Nice, de Saint-Étienne-du-Rouvray et de tant d’autres lieux ? Chaque nouvel attentat révèle la même vérité : notre naïveté migratoire est devenue une menace existentielle.
Il n’y a pas cinquante solutions, mais une seule, radicale, à la hauteur du défi. Il faut une remigration massive : le retour dans leur pays d’origine des populations extra-européennes inassimilables. Il faut expulser sans faiblesse tous les clandestins et les faux réfugiés, rétablir des frontières nationales infranchissables, mettre fin à ce laxisme criminel qui fait de la France un eldorado pour ceux qui la détestent. Mais pour cela, il faudra d’abord changer de dirigeants, balayer cette classe politique qui préfère pleurnicher sur les ruines plutôt que de reconstruire la maison. Dix ans après Charlie, la question est simple : voulons-nous enfin défendre la France ou accepterons-nous d’en signer l’acte de capitulation ?
Source cliquez ici
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Retour sur l'affaire Charlie : Une certaine dose de perversion quand même…
Couverture du n° hors série de Synthèse nationale publié quelques jours après le carnage. Aujourd'hui épuisé.
Roland Hélie Synthèse nationale (8 janvier 2015)
Depuis l’annonce du massacre qui s’est déroulé dans les locaux de Charlie hebdo, le 7 janvier, on assiste à un concert de réactions presque toutes aussi dégoulinantes de niaiseries et d’irresponsabilités les unes que les autres. Toute la classe politico-médiatique y va de son couplet rappelant à qui veut encore l’écouter que cet attentat ne doit pas engendrer « des amalgames douteux » ou encore que « l’islam est une religion de tolérance qu’il ne faut pas confondre avec les tueurs fanatisés ». De Hollande à Sarkozy en passant par Juppé et autres Filippetti, chacun rivalise dans le compassionnel de circonstance et les bons sentiments de vierges effarouchées.
Toutes ces simagrées ne doivent pourtant pas nous faire oublier l’énorme part de responsabilité que portent ces gens dans la situation actuelle. A force de refuser de voir les réalités en face, ceux qui sont sensés depuis des décennies diriger notre pays, qu’ils soient de la droite molle ou de la gauche dogmatique, par confort intellectuel ou par soumission à la volonté mondialiste de broyer les identités, ont créé les conditions du carnage qui nous attend. Ils ont bonne mine aujourd’hui d’appeler à « l’unité nationale » alors qu’ils ont tout fait (et qu’ils continueront à tout faire) pour détruire notre nation et anéantir notre civilisation.
Depuis cinquante ans les nationalistes sonnent le tocsin. Nous ne cessons de prévenir que l’importation sur notre sol d’une masse de gens déracinés qui ont une toute autre approche des choses que la nôtre ne peut entrainer à terme que des problèmes graves. Lorsque nous disons cela, je précise que c’est sans aucun mépris pour quiconque. Toute civilisation est respectable chez elle, à condition qu’elle reste chez elle. L’islam est peut être une religion adaptée aux pays où il a prospéré mais il se trouve qu’ici, en France, nous sommes en Europe, terre de tradition helléno-chrétienne hérissée de cathédrales et de beffrois sur laquelle il n’a pas vocation à se développer.
Mais l’immigration massive et incontrôlée n’est pas la seule raison que nous ayons d’imputer à la classe dirigeante la responsabilité du développement du terrorisme islamique. Depuis une trentaine d’années les gouvernements successifs, et leurs chiens de garde que sont les journalistes aux ordres, se sont tous alignés servilement (à l’exception de Villepin au moment de la seconde guerre du Golfe, reconnaissons-le) sur la volonté américaine de déstabiliser le monde arabe. De l’Irak à la Lybie et de l’Egypte à l’Afghanistan, chacun a pu constater « la brillante réussite » de cette politique hasardeuse imposée par les lobbys et légitimée par quelques donneurs de leçons patentés. Le dénommé Bernard-Henri Levy étant un étalon en la matière. Cette politique belliciste continue à faire des ravages en Syrie aujourd’hui.
Revenons à l’attentat qui a visé Charlie hebdo. Cela étonnera peut être certains mais nous aussi nous avons un cœur et, par conséquent, nous partageons la peine des proches des victimes de la tuerie. Cela étant dit, je n’aime pas Charlie hebdo (1). Ce journal réputé satirique est en fait très conforme au « politiquement correct ». Lorsqu’il s’en prend à l’islam, c’est avant tout pour des raisons sociétales. Il refuse de reconnaître la dimension ethnique qui nous en sépare. L’esprit dans lequel les caricatures de Mahomet ont été publiées il y a quelques années ne pouvait qu’à un moment ou un autre entrainer des représailles de la part des islamistes. Ce moment est hélas arrivé. C’est triste, mais c’est ainsi.
Quoiqu’il en soit, il faudra un jour nous expliquer comment d’un côté on se permet d’insulter une croyance quelle qu’elle soit et que de l’autre on favorise l’implantation de celle-ci sur notre sol. Il doit y avoir une certaine dose de perversion chez ces gens là...
Note
(1) Un bémol cependant : je n’oublie pas qu’en juin 2013, au moment de l’affaire Esteban/Méric, Charlie hebdo avait publié un article, signé du politologue Jean-Yves Camus, allant à contre-courant des trombes d’insultes déversées alors sur les nationalistes.
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Union nationale ? Non : sidération, récupération et manipulation
Jean-Yves Le Gallou, c'était le 10 janvier 2015
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« Le défilé du 11 janvier fut ainsi un éloquent symbole de l’unanimisme cosmopolite de la superclasse mondiale servie par les médias de propagande ».
Hollande est un grand président. Il va remonter dans les sondages. L’attaque contre Charlie Hebdo et l’hyper casher de Vincennes sont des aubaines pour lui. Le voici devenu père de la nation, l’artisan d’un nouveau consensus français : « Ensemble », et le président autour duquel la planète se presse. Mieux que l’Union nationale, l’Union mondiale ! Chapeau, l’artiste !
La conséquence de 40 ans de politique migratoire
Et pourtant les événements de Paris, Dammartin-en-Goële et Vincennes sont la conséquence de quarante ans de politique migratoire (depuis le regroupement familial décidé par Chirac en 1976) : une politique à laquelle toute la classe politique défilante a pris sa part :
• L’immigration galopante, d’abord, s’accélérant à chaque pseudo-alternance : du RPR ou de l’UMP vers le PS, mais aussi du PS vers l’UMP.
• La folle politique de la nationalité, consistant à donner le titre de Français à des Coulibaly ou des Kouachi qui ne le sont ni par l’origine, ni par la culture, ni par leur cœur.
• L’échec des politiques d’intégration poussant à choyer et à présenter comme modèles des voyous de banlieue : les frères Kouachi invités par France 2 (chaîne de service public) comme rappeurs, puis pour l’un d’entre eux bénéficiant d’un emploi aidé à la mairie de Paris comme « ambassadeur du tri » (sic !). Coulibaly était reçu en 2009 par le président Nicolas Sarkozy à l’Élysée : l’occasion d’obtenir un portrait flatteur dans Le Parisien. Coulibaly et Kouachi n’étaient pas considérés comme des marginaux mais comme des exemples.
Des « exemples » dont la place aurait été en prison si nous n’avions pas une folle politique judiciaire.
Car c’est aussi la politique sécuritaire des gouvernements successifs qui a été mise en échec : 10 lois liberticides contre le terrorisme, pour quels résultats ? Un manque de jugeote des services consistant à alléger le dispositif de protection de Charlie Hebdo… à l’automne 2014 : bravo Cazeneuve, bravo Boucault !
Et c’est au moment où les gouvernants ont laissé s’implanter une immigration musulmane de peuplement en France qu’ils ont déstabilisé les gouvernements arabes laïcs en Irak, en Égypte, en Libye et en Syrie, et qu’ils ont encouragé la fabrication du monstre islamiste. Pourtant deux acteurs du chaos syrien, le Turc Erdogan et l’Israélien Netanyahou ont été invités à défiler à Paris…
À vrai dire, ce fut le défilé des incendiaires : politiques de Sarkozy à Hollande, internationaux de Cameron à Merkel, associatifs de SOS-Racisme à l’UOIF qui avait réclamé l’interdiction des dessins sur Mahomet.
Le défilé du 11 janvier fut ainsi un éloquent symbole de l’unanimisme cosmopolite de la superclasse mondiale servie par les médias de propagande.
Le défilé du 11 janvier 2015, c’était un peu comme une marche silencieuse pour le droit des enfants, avec au premier rang Marc Dutroux, Émile Louis et Patrick Henry.
Propagande univoque et silence du FN
Ce qui est le plus sidérant – au sens propre du terme – c’est l’absence totale de prise de recul et de réflexion critique de la part des médias mainstream.
Le Front national lui-même semble avoir été réduit au silence : soit parce qu’il n’a pas eu la parole ; soit parce que ses principaux dirigeants ont fait profil bas. À l’image de ce premier tweet de Florian Philippot : « Horreur, infinie tristesse » ; ou de la « déclaration solennelle » de Marine Le Pen évoquant le « Pas d’amalgame » ou « les Français de toutes origines » et appelant à « l’Union nationale ». Pas un mot sur les causes, pas un mot sur les responsabilités.
Devenu littéralement inaudible, le Front national semble avoir payé le prix fort de la pasteurisation, sans recueillir pour autant le bénéfice de la dédiabolisation car il est resté totalement marginalisé et pestiféré. Il y a là incontestablement une double limite au discours « national-républicain » : on n’a pas besoin du FN pour dire « tout le monde il est français » et confondre Français administratif et Français de civilisation ; la réalité c’est que la « conception citoyenne de la nation » n’est que le cache-sexe du communautarisme. La réalité, c’est aussi que le mot « républicain » est devenu un mot de novlangue pour signifier « politiquement correct », et que, tant qu’il ne sera pas totalement aligné sur le conformisme dominant, le FN ne rejoindra pas (quels que soient les désirs de ses dirigeants médiatiques) « l’arc républicain ».
Certes, Marine Le Pen a tenté de reprendre la main en manifestant à Beaucaire. Et Marion Maréchal Le Pen a pu dire des choses pleines de sens sur BFM TV : « Il y a deux problèmes qui ressortent : la montée du fondamentalisme islamiste et “l’inassimilation” de ces Français (…) Comment ont-ils pu obtenir la nationalité française alors qu’ils n’ont strictement rien de Français ? (…) Au-delà de la République c’est la civilisation française qui est attaquée. (…) Nous avons quand même voulu participer, mais pas aux côtés de ceux qui sont responsables. » Le philosophe Michel Onfray, de plus en plus au bord de la dissidence, a même déclaré : « Marine Le Pen est l’une des rares à dire que le réel a bien eu lieu. »
Restent que les événements de janvier 2015 montrent l’extraordinaire capacité du Système à rebondir grâce à un contrôle médiatique sans faille. Ils montrent aussi qu’il est aussi vain que naïf de penser parvenir au pouvoir par une entreprise de séduction des médias. Ils montrent enfin la nécessité de structurer et de former sans concessions les acteurs de la France de demain. Ils montrent surtout le rôle déterminant des médias alternatifs et des réseaux sociaux, seules possibilités d’émission d’un autre discours.
Le combat ne fait que commencer. Et ce n’est pas une stratégie bisounours qui permettra de le gagner.
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L'ingérence à géométrie variable : il ne faut pas oublier...
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lundi, 06 janvier 2025
Combourg (35), dimanche 19 janvier :
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Nancy, samedi 15 février :
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Bordeaux, mercredi 15 janvier :
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Les gouvernants du Royaume-Uni doivent tomber, passer devant des tribunaux populaires et être condamnés à la hauteur de leur trahison.
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Elon Musk, un ballon d’oxygène pour les dissidents diabolisés et persécutés
L'édito de Cyrano sur Riposte laïque de ce matin cliquez ici
Certes, avoir de l’argent aide à disposer d’une liberté de parole, et Elon Musk, l’homme le plus riche du monde, alors qu’il n’est pas un héritier mais simplement un génie visionnaire, ne s’en prive pas. On fera remarquer qu’une Élisabeth Badinter a aussi beaucoup d’argent et que, mis à part quelques propos ponctuels prétendant défendre la laïcité, elle n’a jamais aidé les patriotes persécutés dans leur combat, tout simplement parce que c’est une grande bourgeoise bien-pensante qui qualifie, comme les mondialistes, ceux qui aiment leur pays de racistes d’extrême droite. Rappelons qu’elle n’est même pas capable de prononcer le mot « islam », se réfugiant derrière le confortable « islamisme ». Bref, rien à espérer d’elle et de tous les milliardaires de gauche qui ne pensent qu’à bien se tenir à table.
Elon Musk se fout totalement des étiquettes qu’on va lui attribuer, des réactions que ses propos suscitent, il fonce et il cogne. Il allume les juges italiens qui voulaient enfermer Matteo Salvini pendant 6 ans, pour s’être opposé au débarquement d’un bateau de clandestins, alors qu’il était ministre de l’Intérieur. Il qualifie le chancelier démissionnaire allemand d’imbécile incompétent, et n’hésite pas à soutenir l’AfD, parti diabolisé nazifié, que même le RN ne veut plus fréquenter parce qu’il a inscrit dans son programme la nécessaire remigration. Enfin, cerise sur le gâteau, en soutenant Tommy Robinson (abandonné par toute la mouvance patriote, à de trop rares exceptions) et surtout en ciblant le Premier ministre anglais Keir Starmer, lui reprochant sa bienveillance avec les gangs de violeurs pakistanais, il a relancé, soutenu par Nigel Farage, un scandale d’État que les travaillistes font tout pour étouffer depuis vingt ans.
On attend avec impatience qu’Elon Musk s’intéresse à la France, et cible Macron et Mélenchon comme il a pointé du doigt Scholz et Starmer. On espère qu’il parlera de nos magistrats de la même manière qu’il a dénoncé les juges pourris italiens. On veut que la parole redevienne libre, et que le rouleau compresseur Elon Musk utilise sa force de frappe pour déstabiliser tous les régimes corrompus européistes, les immigrationnistes, les journaleux vendus, les magistrats politisés, les enseignants laveurs de cerveau et surtout tous les traîtres français et européens qui vendent leur pays aux islamistes contre des pétro-dollars.
Prochaine étape, le 9 janvier, sur X-Twitter, Elon s’entretiendra avec Alice Weidel, leader de l’AfD, le pendant de Reconquête en Allemagne. Nul doute que cet entretien, qui rend fous Ursula von der Leyen, Thierry Breton, Emmanuel Macron et tous les européistes traîtres, va pulvériser les records d’audience et dédiaboliser un parti sali et insulté tous les jours depuis son existence.
Longue vie à Elon Musk et bien sûr à Donald Trump, dans leur combat contre l’État profond et pour la liberté d’expression.
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Grooming gangs au Royaume-Uni : une affaire Pelicot puissance 1 000, et l’aveuglement complice des élites occidentales
Julien Dir Breizh info cliquez ici
Le scandale des grooming gangs britanniques revient sur le devant de la scène avec une force explosive, comme un rappel brutal de l’effondrement moral et institutionnel de nos sociétés occidentales. Ces réseaux criminels, composés principalement d’hommes issus de certaines communautés immigrées, ont exploité sexuellement des milliers, voire des dizaines de milliers, de jeunes filles blanches au Royaume-Uni. Pourtant, pendant des années, ces crimes ont été ignorés, minimisés, voire dissimulés par les autorités, les médias et les élites politiques. Aujourd’hui, certains osent s’indigner qu’Elon Musk en parle ouvertement, relançant un débat que tous préféreraient enterrer.
Alors que la presse française a fait de l’affaire Pelicot l’un des dossiers médiatiques les plus marquants de 2024, faisant de cette ignoble affaire un drame national, l’effroyable réalité des grooming gangs reste reléguée à l’arrière-plan, comme un simple « dysfonctionnement » institutionnel. Mais soyons clairs : les chiffres parlent d’eux-mêmes. Nous ne sommes pas face à un fait divers. Nous sommes face à un viol de masse racial et institutionnalisé, à un abandon volontaire de milliers de jeunes filles par un système gangrené par la lâcheté et l’idéologie.
L’affaire des grooming gangs ne date pas d’hier. Dès 2014, le rapport Jay dévoilait que plus de 1 400 enfants avaient été victimes d’abus sexuels organisés à Rotherham, une ville ouvrière du nord de l’Angleterre. Depuis, des enquêtes similaires ont révélé des horreurs comparables à Rochdale, Telford, et dans tant d’autres villes britanniques. Les victimes, pour la plupart des jeunes filles blanches issues de milieux modestes, étaient ciblées, manipulées, et prostituées par des réseaux criminels opérant avec une impunité quasi totale.
Aujourd’hui, de nouvelles estimations font état de potentiellement 250.000 viols, faisant de ce scandale l’un des pires crimes de masse de l’histoire moderne. Ces chiffres glacials devraient provoquer une indignation planétaire. Pourtant, ils n’ont suscité que des murmures gênés. Pourquoi ? Parce que les auteurs de ces crimes appartiennent à des communautés que l’idéologie dominante refuse de critiquer.
La révolte des invisibles : Elon Musk, Nigel Farage et la vérité en marche
Elon Musk, l’homme le plus riche du monde, a brisé le silence. Sur X, la plateforme qu’il possède, il a relancé un débat que les élites préféraient enterrer. En dénonçant Keir Starmer, ancien directeur des poursuites judiciaires et actuel Premier ministre britannique, Musk a mis en lumière les échecs abyssaux des autorités face à ces crimes de masse. Il n’a pas hésité à qualifier certains responsables de « complices » et à exiger une transparence totale sur ce qui s’est passé à Oldham, Rotherham, Telford, et bien d’autres villes.
Nigel Farage, leader de Reform UK, a amplifié cette dénonciation, affirmant que le peuple britannique avait raison d’être en colère. « Comment cela a-t-il pu arriver ? Pourquoi tout le monde a-t-il voulu le cacher ? » s’indigne-t-il. Ce n’est plus une question de justice sociale, c’est une question de survie morale et civilisationnelle.
Le silence coupable des élites
Les autorités britanniques ont préféré détourner les yeux. Pourquoi ? Par peur d’être accusées de racisme, d’islamophobie ou de stigmatisation. La lâcheté a dominé, et les institutions censées protéger ces jeunes filles les ont abandonnées. Policiers, travailleurs sociaux, politiciens : tous savaient, mais tous ont choisi de ne rien faire. Pire encore, certaines victimes qui ont osé parler ont été culpabilisées ou ignorées, comme si leur souffrance n’était qu’un inconvénient dans la grande mécanique du multiculturalisme heureux.
Et aujourd’hui, certains médias osent critiquer Elon Musk pour avoir donné de la visibilité à cette tragédie ? L’homme qui défend Tommy Robinson, ce dissident qui a risqué sa liberté pour enquêter maladroitement (eu égard de la loi britannique) sur ces crimes, devient la cible des élites bien-pensantes. Celles-là mêmes qui, pendant des années, ont enterré cette affaire pour protéger leur utopie multiculturaliste.
En France, l’affaire Pelicot a monopolisé les colonnes des journaux et les débats télévisés. Un crime odieux mais dont l’impact est sans commune mesure avec les grooming gangs. Pourtant, cette affaire a été montée en épingle, érigée en symbole des violences masculines, alors que les viols de masse orchestrés au Royaume-Uni restent traités comme de simples faits divers.
Pourquoi une telle différence de traitement ? Parce que dans l’affaire Pelicot, il n’y avait aucun risque de stigmatiser une communauté protégée. Parce qu’il était facile de dénoncer, sans craindre de heurter les sensibilités d’un système obsédé par l’idée de ne jamais « diviser ». Cette hypocrisie est insupportable. Elle montre que ce ne sont pas les victimes qui importent, mais l’agenda politique que leur souffrance peut servir.
Un jour, les responsables devront payer
Ce scandale ne s’arrête pas aux criminels eux-mêmes. Ceux qui ont permis cette barbarie par leur silence ou leur complicité devront rendre des comptes. Les responsables politiques, les médias, les bureaucrates des forces de l’ordre : tous devront être jugés pour leur rôle dans cet effondrement moral.
Et ne nous y trompons pas : ce qui se passe au Royaume-Uni est un avertissement pour toute l’Europe. Les mêmes mécanismes sont à l’œuvre partout où l’immigration massive, combinée à la lâcheté des élites, transforme nos sociétés en poudrières multiculturelles. Si nous ne réagissons pas, nous connaîtrons demain nos propres grooming gangs, nos propres Rotherham.
Ce drame doit nous ouvrir les yeux sur les dangers d’une société qui sacrifie ses enfants sur l’autel du multiculturalisme et de l’idéologie. Il est temps de dire non à cette logique mortifère. Il est temps d’exiger des politiques fermes, des institutions transparentes, et une justice implacable envers ceux qui trahissent leur mission première : protéger les plus vulnérables.
Les grooming gangs sont le symptôme ultime d’un système en décomposition. Mais ils ne doivent pas être la fin de l’histoire. Que cette tragédie nous serve d’électrochoc, d’appel à la révolte. Pour les victimes d’hier, pour celles d’aujourd’hui, et pour empêcher que d’autres vies ne soient brisées demain.
L’heure n’est plus au silence. L’heure est à la justice. Et elle viendra.
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Vendredi 10 janvier : Eric Zemmour à Lorient
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dimanche, 05 janvier 2025
Un nouveau livre de Jean-Claude Rolinat consacré à Monaco...
SN - Nos lecteurs vous connaissent bien, vous collaborez régulièrement à ce site et à la revue Synthèse nationale et vous avez déjà publié plusieurs ouvrages politiques, notamment les biographies d’Oliveira Salazar, du Maréchal Mannerheim, et des Perón, sans oublier une sorte de radioscopie du régime des colonels grecs cliquez ici. Qu’est-ce qui vous a poussé à faire un livre sur ce micro-État qu’est Monaco ?
JCR – Je vais vous étonner, cette envie remonte à mon enfance. Monaco fut le premier pays « étranger » où j’ai mis les pieds, avec mes parents. Depuis, il y en a eu bien d’autres ! J’avais sept ans et le ballet des carabiniers devant le palais du prince m’avait particulièrement impressionné. Le drapeau qui flottait là-bas n’était pas le même que chez nous, et cela m’avait intrigué. J’ai approfondi la question, et la sortie en 1956 du film d’Hitchcock , « La main au collet », avec l’actrice Grace Kelly - dont l’action se déroule en partie à Monaco -, avait ranimé mon intérêt. D’autant que la vedette du film est devenue princesse de Monaco, évènement mondain qui braqua les yeux du monde entier sur le Rocher, le sortant d’un relatif anonymat. Depuis, je suis retourné six à sept fois dans ce minuscule pays. Et, lors de mon dernier séjour, j’ai approfondi la question jusqu’à rédiger un livre, ce livre « Monaco, plus qu’une Principauté de rêve, un État ». C’est un digest, en quelque sorte, s’adressant à toute personne qui désirerait tout savoir sur la Principauté sans avoir à le chercher.
SN – Sérieusement, vous considérez Monaco comme un « État », au même titre que la Belgique ? Le Brésil ou la Chine ?
JCR – « Small is beautiful » ! Au-delà de la boutade, juridiquement, oui, Monaco au même titre qu’Andorre, San-Marino, le Luxembourg ou le Liechtenstein – autres petits « pays » -, sont membres des Nations Unies. Et leurs voix pèsent autant que celles de la Russie ou des USA. Je vous ferai remarquer que bien des Empires ou de puissants pays sont morts – j’ai d’ailleurs publié chez Dualpha un « Dictionnaire des États disparus » . Permettez-moi de vous rappeler que Rome, Byzance, le Saint-Empire romain germanique, la Prusse, la RDA ou l’URSS, étaient des mastodontes autrement plus puissants que ces pastilles de souveraineté. C’est l’honneur de ces pays lilliputiens de maintenir envers et contre tout, leur spécificité qui plonge dans l’histoire la plus longue.
SN – Les relations entre Monaco et la France n’ont pas été toujours un « long fleuve tranquille »…
JCR – Oui, vous avez raison, c’est le moins que l’on puisse dire. Comme un vêtement rétrécit au lavage, parait-il, la Principauté a perdu au fil du temps quelques kilomètres carrés, pour mieux en regagner sur la mer par de pharaoniques travaux, qui sont l’œuvre du prince Rainier, père de l’actuel souverain. Monaco, avant de perdre le territoire des actuelles communes de Menton et de Roquebrune/Cap Martin, allait jusqu’à la frontière italienne. Les vicissitudes de l’histoire ont fait que ces villages ont voulu se rattacher à la France au XIXe siècle.
SN – Mais n’y a-t-il pas eu aussi un épisode tragi-comique dans les relations franco-monégasques, dans les années 1960 ?
JCR – Oui, effectivement, le torchon a brûlé entre le général De Gaulle et le prince Rainier. C’était en 1962 et, au moment où le président français larguait l’Algérie, on s’est justement demandé s’il n’allait pas annexer Monaco !
SN – Quel était l’objet de la querelle ?
JCR- La fiscalité. Les résidents français, comme les autres étrangers et les sujets monégasques eux-mêmes, ne payaient pas d’impôts sur le revenu. De Gaulle a voulu changer les choses. Du jour au lendemain, des cordons de CRS et de gendarmes ont pris position à Beausoleil, sur la frontière, une frontière qui se joue de la topographie, et qui chevauche allègrement immeubles et trottoirs imbriqués ! On a même dit que Rainier avait giflé le Ministre d’État français, qui est un peu l’œil de Paris dans les affaires monégasques ! Enfin, tout est rentré dans l’ordre l’année suivante quand Monaco a accepté, pour les plus grands regrets de ses résidents français, que le fisc joue son rôle « d’oncle Picsou » à leur détriment.
SN – Justement, Monaco n’est-elle pas, comme beaucoup de places « off shore », un paradis fiscal aux portes de « l’enfer fiscal français » ?
JCR – Le règlement de cette question est en bonne voie, et la Principauté est sortie de la liste dressée par l’Union européenne des « États voyous » en matière fiscale. Ce qui ne veut pas dire que la confidentialité bancaire n’existe pas, et que nombre de grandes fortunes ne soient pas à l’abri dans les banques monégasques où l’on retrouve tous les sigles célèbres de cette corporation ! Il y a, c’est vrai, un côté « bling-bling » sur le Rocher, avec les yachts ancrés à Port Hercule ou à la Condamine, son activité mondaine et un évènementiel particulièrement riche. Qui ne connait pas le rallye de Monte-Carlo, le Grand prix de Monaco, le festival international du cirque, le Bal de la Rose ou celui de la Croix Rouge ? Mais Rainier et Albert, son fils, ont fait et font rayonner leur minuscule pays tout particulièrement dans le bassin méditerranéen. Il est vrai que la France, qui se couche devant des pays secondaires comme l’Algérie, par exemple, pourrait n’en faire qu’une bouchée. Mais quel intérêt aurait la République d’annexer moins de 3 km² alors que la Côte d’Azur draine des masses de touristes qui, justement, y viennent aussi pour visiter et séjourner en Principauté ?
Propos recueillis par Guirec Sèvres
« MONACO plus qu’une Principauté de rêve un État », un livre de 150 pages, cahier photos, aux éditions Godefroy de Bouillon, 18,00 €.
13:28 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 04 janvier 2025
Libérez Tommy Robinson. Elon Musk soutient à nouveau le lanceur d’alerte dissident emprisonné au Royaume-Uni
Source Breizh info cliquez ici
Elon Musk, le patron visionnaire de Tesla et de X (anciennement Twitter), a une nouvelle fois pris position contre l’injustice, en appelant à la libération de Tommy Robinson. Ce dernier, figure emblématique de la dissidence britannique, est actuellement emprisonné pour avoir enfreint une décision judiciaire qui lui interdisait de dénoncer des agissements liés à l’immigration.
Dans un simple mais puissant message – « Free Tommy Robinson » – Musk a relancé un débat essentiel sur la liberté d’expression, le rôle des lanceurs d’alerte et les dysfonctionnements d’un système judiciaire que certains jugent politisé.
Tommy Robinson : un dissident devenu symbole
De son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon, Tommy Robinson s’est imposé comme un fervent défenseur des traditions britanniques face aux bouleversements engendrés par une immigration massive et une mondialisation sans contrôle. Fondateur de l’English Defence League (EDL) en 2009, il est devenu l’un des porte-voix des inquiétudes populaires face à l’islamisation de certaines régions du Royaume-Uni et aux violences communautaires qui en découlent.
Robinson ne se contente pas de discours. Depuis plus d’une décennie, il dénonce, enquête, et met en lumière des scandales que les élites cherchent souvent à minimiser ou à étouffer. Parmi ses révélations, l’affaire des gangs de violeurs pakistanais opérant dans le nord de l’Angleterre reste l’un des cas les plus marquants. Ces crimes odieux, qui ont brisé la vie de milliers de jeunes filles entre 1997 et 2013, ont été largement ignorés par les autorités de peur d’être accusées de racisme. Robinson a été l’un des rares à briser ce silence complice, ce qui lui vaut aujourd’hui une hostilité farouche de la part de certains cercles politiques et médiatiques.
Elon Musk : un soutien de poids
En s’exprimant en faveur de Robinson, Elon Musk pose une question fondamentale : un lanceur d’alerte peut-il être muselé sous prétexte d’avoir enfreint une loi ou une décision judiciaire ? Musk, connu pour son franc-parler, a qualifié l’emprisonnement de Robinson d’injustice flagrante. « Pourquoi Tommy Robinson est-il en isolement pour avoir dit la vérité ?« , a-t-il écrit. Ces mots résonnent avec force dans un contexte où la liberté d’expression semble de plus en plus menacée, en particulier pour ceux qui osent critiquer les dogmes progressistes.
Musk a également pointé du doigt l’actuel Premier ministre travailliste Keir Starmer, accusé de n’avoir rien fait pour mettre fin aux agissements des gangs de violeurs lorsqu’il dirigeait le Crown Prosecution Service (CPS). Selon Musk, cette période d’inaction illustre un problème systémique au sein des institutions britanniques, où des considérations politiques semblent primer sur la justice et la sécurité des citoyens.
Un système judiciaire sous influence ?
Robinson a été condamné pour avoir enfreint une injonction judiciaire qui l’empêchait de répéter des accusations à l’encontre d’un réfugié syrien, accusations qu’il estimait fondées sur des faits. Ses soutiens dénoncent une instrumentalisation de la justice pour réduire au silence un dissident gênant. En effet, les élites politiques et médiatiques ne pardonnent pas à Robinson son rôle dans l’exposition des scandales liés à l’immigration massive et aux abus commis dans certaines communautés.
Cette affaire pose un problème de fond : peut-on réellement parler de justice équitable lorsqu’un lanceur d’alerte est condamné pour avoir divulgué des vérités que d’autres préfèrent cacher ? Les partisans de Robinson, de plus en plus nombreux, estiment qu’il est victime d’un système cherchant à protéger des intérêts idéologiques au détriment de la vérité.
Tommy Robinson n’est pas qu’un simple militant britannique. Il est devenu un symbole de la résistance face à un système jugé déconnecté des préoccupations populaires. Son combat trouve un écho bien au-delà des frontières britanniques, en particulier dans les cercles identitaires européens. De nombreux militants voient en lui un modèle de courage face aux pressions et aux menaces.
Les manifestations de soutien organisées en son honneur rassemblent des milliers de personnes, bien décidées à défendre la liberté d’expression et à dénoncer une politique migratoire qu’elles jugent destructrice pour l’identité européenne. Alors que Tommy Robinson purge une peine de 18 mois de prison, ses soutiens continuent de se mobiliser. Ils dénoncent non seulement une injustice individuelle, mais aussi une dérive généralisée où les élites cherchent à imposer une pensée unique.
Dans ce contexte, l’appel d’Elon Musk à la libération de Robinson prend une dimension symbolique. Il ne s’agit pas seulement de défendre un homme, mais de protéger une valeur fondamentale : le droit de dire la vérité, même quand elle dérange. Pour les identitaires et les défenseurs des libertés, le combat pour Tommy Robinson est celui de tous ceux qui refusent de se soumettre à la dictature du politiquement correct.
Dans le prochain numéro de la revue Synthèse nationale, vous pourrez lire un entretien avec Eric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen et soutien actif en France de Tommy Robinson. Pour le commander cliquez ici
12:00 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 03 janvier 2025
Nancy, dimanche 5 janvier 2025 : commémorations de la bataille de Nancy (1477)
23:44 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Soutien à Alexandre Simonnot, membre de la direction du Parti de la France, qui vient d'être relaxé
Un communiqué du PdF :
Poursuivi pour avoir relayé un tweet de Jean-Marie Le Pen où celui-ci confirmait sa vision du « détail », Alexandre Simonnot a été lourdement condamné en première instance avec dommages et intérêts aux vautours associatifs habituels.
Heureusement, en appel, son avocat a soulevé un vice de procédure et son client a été relaxé !
Néanmoins, ce père de cinq enfants aux revenus modestes doit régler la facture de son avocat (3.600 €), le Parti de la France ayant déjà pris à sa charge les frais du premier procès.
C'est pourquoi, nous faisons appel à votre solidarité face à la persécution politico-judiciaire dont notre camarade a été victime.
Faites un don (déductible à 66 % de vos impôts) par virement sur le compte du Parti de la France (en précisant bien que c'est pour aider Alexandre Simonnot) : LCL PARIS MADELEINE – FR70 3000 2004 3700 0044 6675 B82
Ou envoyez un chèque au siège du Parti de la France - 76 rue de la Pompe - 75016 Paris.
Merci d'avance pour votre mobilisation !
18:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Conférence de Laurent Guyénot à Lille le samedi 18 janvier 2025 à 14h30
E&R Nord-Pas-de-Calais recevra Laurent Guyénot à Lille le samedi 18 janvier 2025 à 14 h 30 pour une conférence intitulée « Tradition et civilisation helléno-chrétienne ».
L’hellénisme et le christianisme se disputent l’âme de l’Occident depuis deux mille ans. Une lutte féconde, mais jamais achevée, puisqu’elle oppose deux idées contraires : d’un côté la primauté de la raison gréco-romaine, de l’autre la primauté de la révélation judéo-chrétienne. La Cité des hommes contre la Cité de Dieu, selon le point de vue chrétien. Le Moyen Âge nous apparaît comme le triomphe du christianisme et la Renaissance comme celui de l’hellénisme. En analysant les entrelacements historiques de ces deux courants qui irriguent notre civilisation, nous pourrons savoir qui nous sommes, d’où nous venons et où nous pouvons aller.
- Entrée : 10 euros
- Inscription obligatoire sur le site ladll.fr
- Présence d’un stand Kontre Kulture et séance de dédicace
- Présence d’une buvette
16:46 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La passoire espagnole : de plus en plus de migrants illégaux y arrivent
Michel Festivi
J’avais, il y a quelques semaines, relaté dans un article, la politique pro-immigrationniste débridée mise en place par le gouvernement socialo-communiste espagnol de Pedro Sanchez, pour faire venir encore et toujours plus de clandestins en réalité. Et bien, si j’ose dire, cette politique suicidaire pour nos pays européens portent ses fruits venimeux, c’est le moins que l’on puisse dire.
Pedro Sanchez et ses séides communisto-indépendantistes n’ont qu’un but, voir submerger l’Espagne, et au-delà l’Europe entière. Les chiffres viennent de sortir, en 2024, le nombre de migrants clandestins arrivés aux Îles Canaries a été de 46.843, une hausse de plus de 17% par rapport à l’an passé. Pour l’ensemble de l’Espagne, ce sont 63.970 illégaux qui ont pu pénétrer sans aucune difficulté, contre 56.852 en 2023, soit une hausse de 12,5%. En 2018, le record absolu avait été battu avec l’arrivée de 64.298 clandestins.
Cette voie de passage, particulièrement périlleuse, puisque en 2024, 10.400 migrants y avaient laissé la vie, ne fait nullement reculer les tentatives d’accès. Car Pedro Sanchez défend une politique immigrationiste à tout crin, sous le faux prétexte illusoire de pallier les carences démographiques espagnoles et de main d’œuvre. À la mi-novembre, une législation permissive, visant à la réduction des délais pour obtenir un titre de séjour a été adopté par les Cortès (réduction de 1 an à 3 mois), et quelques 300.000 immigrés par an, pourraient ainsi être régularisés. Les vraies raisons sont sans doute à chercher sur un espoir de voir les naturalisés espagnols, voter en masse pour lui, comme pour nos LFI en France.
Si les tensions politiques se font jour entre le PSOE et le PP sur la politique migratoire, seul en réalité le Parti Vox y est farouchement opposé, car le Parti Populaire de centre-droit n’a en réalité aucune velléité offensive, et se laisse enfermer dans une phraséologie droit-de-l’hommiste qui lui ôte toute pertinence. Cependant pour la première fois, le Roi Felipe VI, dans son discours à la Nation a évoqué le problème, à la veille de Noël, avec beaucoup de prudence néanmoins, selon la tradition monarchiste « Étant une réalité quotidienne, les migrations peuvent conduire, sans une gestion appropriée, à des tensions qui érodent la cohésion sociale ».
Effectivement, le patronat, notamment agricole, profite ainsi d’une main d’œuvre taillable et exploitable à souhait, ce qui fait baisser les coûts des productions, ce qui par conséquence, concurrence illégalement les produits français par exemple. L’Andalousie avec ses immenses serres à perte de vue en est un exemple frappant. Des manifestations ont enfin commencé à poindre aux Canaries, mais les Espagnols sont loin, très loin de réagir politiquement et par les urnes comme l’ont fait d’autres pays, que ce soit en France, en Italie, en Autriche, en Allemagne, ou en Hollande et en Suède par exemple. Ce peuple si vaillant de par le passé est assez amorphe pour l’instant en tout cas.
Car des politiques anti immigration commencent à produire des résultats. Le nombre d’entrées aux frontières de l’UE a chuté de 40% au cours des onze premiers mois de l’année 2024, soit 220.700 arrivées, selon les chiffres de l’Agence européenne de surveillance des frontières, Frontex. Cette chute a pour principale cause, la baisse des arrivées par les routes migratoires des Balkans occidentaux (-80%) est part la Méditerranée centrale (-60%), grâce sans doute aux politiques grecques et italiennes.
À ce propos, en Italie, et grâce à la politique mise en place par le gouvernement de Giorgia Meloni, la baisse des arrivées irrégulières a été chiffrée à -60% par rapport à 2023, selon le ministre italien de l’intérieur Matteo Piantedosi. Par rapport à 2022, la baisse est de 38%, quant au rapatriement d’immigrants expulsés, l’augmentation est de 16%, toujours par rapport à 2023. Le ministre affirme que les autorités ont pu bloquer les départs de 192.000 migrants irréguliers venant de Lybie et de Tunisie. Les rapatriements volontaires ont été au nombre de plus de 21.000 en 2024. L’Italie a passé des accords avec la Libye et la Tunisie. Elle a durci ses lois contre les passeurs, a limité les regroupements familiaux, a encadré l’activité des ONG, a restreint l’accès au travail des demandeurs d’asile etc...
S’agissant de l’Albanie, malgré des péripéties judiciaires concernant l’accord entre les deux pays pour la création de centres de regroupement en Albanie, le gouvernement italien, en réponse à l’invalidation judiciaire, a immédiatement signé un nouveau décret. Comme quoi, lorsque l’on veut vraiment agir, on le peut. Agir et non pas se contenter de bonnes paroles lénifiantes, n’est-ce pas Messieurs Darmanin er Retailleau ? À vous de jouer, vous êtes au pied du mur, vous serez jugés sur vos résultats et non pas sur des déclarations.
12:52 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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