mercredi, 12 novembre 2025
Samedi 15 novembre, à Strasbourg : rassemblement pour la souveraineté et pour la paix
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#MontronsLeReel. Jean-Eudes Gannat : Une garde à vue et des poursuites pour un cri du réel, une vague de solidarité qui ébranle l’Inquisition judiciaire
Yann V., Breizh Info cliquez ici
Dans une France où dénoncer l’invasion migratoire semble désormais relever du crime d’État, l’affaire Jean-Eudes Gannat incarne la dérive d’un pouvoir judiciaire de plus en plus politisé. Il aura suffi d’une courte vidéo publiée sur les réseaux sociaux pour que Jean-Eudes Gannat, militant identitaire et chroniqueur à Radio Courtoisie, soit arrêté et placé 48 heures en garde à vue.
Le parquet d’Angers, dirigé par le procureur Éric Bouillard – déjà connu pour ses poursuites répétées contre des figures de la droite nationale, lui qui a déjà empêché par le passé, du fait de poursuites, que J-E Gannat assiste à la naissance de son troisième enfant– a ouvert une enquête en flagrance pour « provocation à la haine raciale » après la diffusion d’une séquence montrant quatre Afghans installés à Segré, dans le Maine-et-Loire. Ces individus auraient porté plainte moins d’une heure après la mise en ligne de la vidéo. Une célérité judiciaire que même les praticiens du droit trouvent inhabituelle, tant elle contraste avec la lenteur des enquêtes quand les victimes sont françaises.
Gannat a été interrogé sur ses activités, sa vie privée et ses opinions politiques avant d’être placé en cellule pour la nuit : six mètres carrés, toilettes à la turque, murs souillés. « Je n’ai pas été maltraité, mais tout cela reste ahurissant pour une simple vidéo », a-t-il confié.
Une réaction populaire et politique sans précédent
Très vite, la nouvelle de son interpellation a déclenché une onde de choc sur les réseaux. Sous le mot-d’ordre #MontronsLeRéel, initié par Radio Courtoisie et la journaliste Liselotte Dutreuil, des milliers de Français ont publié et relayé leurs propres témoignages, photos et vidéos de ce qu’ils vivent dans leur quotidien : insécurité, cohabitation difficile, sentiment d’abandon.
Le mouvement a dépassé les cercles militants habituels : des personnalités politiques comme Marion Maréchal, Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignan ou Éric Zemmour à demi mot ont exprimé leur soutien, tout comme des figures médiatiques de droite et des influenceurs jusque-là éloignés du militantisme. Même Cnews a fini, grâce à Mathieu Bock Côté, par évoquer le cas Jean-Eudes Gannat. Seul le RN, hormis quelques députés moins médiatiques, s’est tu, comme trop souvent, ce qui interroge sur ce qu’il fera, demain, s’il arrive au pouvoir.
Le Britannique Tommy Robinson, figure emblématique de la lutte contre l’islamisation, dénonce un « copier-coller de la censure britannique ». Des influenceurs allemands et américains reprennent la cause de Gannat, symbole d’une répression désormais transnationale des droites européennes.
Une affaire symbole : deux poids, deux mesures
Pour beaucoup, le cas Gannat illustre la dérive d’une justice de plus en plus politique.
Le procureur Bouillard avait déjà ciblé d’autres figures de droite, comme le professeur Frédéric Mortier, relaxé après des mois de procédures. Dans le même temps, les plaintes pour menaces, dégradations ou agressions visant les militants patriotes restent sans suite.
L’essayiste Jean-Yves Le Gallou a parlé d’« anarcho-tyrannie » : un régime où la délinquance prospère tandis que ceux qui la dénoncent sont punis. « On laisse filer l’immigration illégale et la criminalité, mais on réprime ceux qui montrent la réalité », résume-t-il.
La contre-attaque : refuser la peur et organiser la riposte
Jean-Eudes Gannat ne compte pas s’en tenir là : il envisage une procédure contre le procureur d’Angers, estimant que « la meilleure défense, c’est l’attaque ». Une cagnotte ouverte par ses proches doit financer ses frais de justice, deux dossiers étant déjà en cassation.
Mais au-delà de son cas personnel, Gannat appelle à transformer l’indignation en mouvement collectif. « Quand quelqu’un est arrêté pour avoir simplement décrit ce qu’il voit, il faut le soutenir, même si l’on n’est pas d’accord sur tout. Si ce n’est pas lui, demain ce sera vous », a-t-il martelé dans un direct de plus d’une heure et demie sur Radio Courtoisie.
Le mot d’ordre Montrons le réel s’est imposé comme un cri de ralliement : publier, témoigner, filmer, sans haine mais sans peur, pour rompre le silence imposé par la censure et les lois mémorielles.
Le soutien ne s’est pas limité à la droite française. Des Britanniques, des Allemands, des Américains ont relayé l’affaire, voyant dans ce traitement judiciaire le signe d’une répression désormais transnationale contre le courant conservateur européen.
« La gauche a ses réseaux internationaux, ses ONG, ses médias. Nous devons, nous aussi, bâtir cette solidarité entre peuples européens qui refusent leur disparition », a souligné Gannat.
Cette mobilisation révèle une fracture profonde : d’un côté, un appareil d’État obsédé par la répression idéologique ; de l’autre, un peuple de plus en plus conscient de vivre dans un pays où dire le vrai devient un délit.
Vers un procès emblématique
Jean-Eudes Gannat doit comparaître le 6 mai prochain au tribunal d’Angers. Ses soutiens préparent déjà un rassemblement.
L’enjeu dépasse son cas individuel : il s’agit d’un test grandeur nature pour la liberté d’expression en France. Si un homme peut être arrêté pour avoir montré quatre Afghans dans une petite ville de province, alors qu’aucune violence ni injure n’a été proférée, qu’adviendra-t-il demain des journalistes, écrivains ou citoyens qui décrivent la même réalité ?
Lui-même l’assume : « Je n’ai rien d’un héros, mais je préfère passer deux jours en cellule que de vivre dans une société où l’on n’a plus le droit de nommer les choses. »
Son cas, devenu emblématique, a ravivé un débat que le pouvoir voulait clore : celui du droit des Français à parler de leur pays tel qu’il est.
Au-delà du tumulte judiciaire, l’affaire Gannat aura révélé une vérité : la dissidence n’est plus marginale. Elle s’organise, s’entraide et se dresse face à l’appareil politico-médiatique qui tente encore de la réduire au silence. Et derrière un hashtag, #MontronsLeReel, c’est peut-être le réveil d’un peuple qu’on croyait éteint.
« Soyez l’homme providentiel de votre vie. Rendez vos enfants fiers », conclut Gannat, remerciant ceux qui se sont levés pour lui.
De la Bretagne à la Provence, de Paris à Londres, des voix s’élèvent. La peur change peu à peu de camp.
NDLR SN : il y a quelques jours, nous nous inquiétions de la timidité des réactions dans le camp national cliquez ici suite à la mise en garde à vue de Jean-Eudes Gannat. Depuis, celles-ci se dont multipliées et nous ne pouvons que nous en féliciter.
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David Van Hemelryck en Vendée, dimanche 16 novembre
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RAPPEL : samedi 15 novembre, La Roche-sur-Yon : salon du livre de Noël
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mardi, 11 novembre 2025
1914-1918 : comprendre la Première Guerre mondiale, la guerre qui a bouleversé le monde (et suicidé l’Europe)
Source Breizh Info cliquez ici
Il y a plus d’un siècle, l’Europe plongeait, à cause de la querelle d’une grande famille d’aristocrates européens, dans une guerre que personne ne croyait possible : un conflit mondial, industriel, et d’une violence sans précédent. Entre 1914 et 1918, plus de 70 millions d’hommes furent mobilisés, dont près de 8 millions de Français. À la fin, le monde ancien — celui des empires, des rois et des certitudes — avait disparu.
Mais que s’est-il vraiment passé ? Pourquoi cette guerre ? Et pourquoi, encore aujourd’hui, le 11 novembre reste-t-il une date de mémoire nationale ?
Les causes : l’Europe d’avant 1914, un baril de poudre
À la veille de la guerre, l’Europe est à la fois riche, fière et inquiète.
Trois grandes puissances dominent le continent :
- La France (République), meurtrie par la perte de l’Alsace et de la Moselle depuis 1871, veut un jour récupérer ces provinces annexées par l’Allemagne.
- L’Allemagne, jeune empire fondé en 1871 sous la direction de Bismarck, est devenue une puissance industrielle et militaire redoutée.
- L’Empire britannique, à la tête du plus vaste empire colonial du monde, surveille avec méfiance la montée de son rival allemand.
À ces tensions s’ajoutent deux autres grands empires :
- L’Autriche-Hongrie, affaiblie par ses nombreux peuples (Tchèques, Slovaques, Croates, Serbes…) qui réclament leur indépendance.
- La Russie, puissance immense mais fragile, qui soutient les peuples slaves des Balkans.
L’Europe est alors divisée en deux blocs :
- La Triple Entente (France, Royaume-Uni, Russie) ;
- La Triple Alliance (Allemagne, Autriche-Hongrie, Italie – qui changera de camp en 1915).
C’est un équilibre instable, où chacun arme et espionne l’autre. L’étincelle viendra des Balkans.
Juin 1914 : Sarajevo, le coup de feu qui embrase le monde
Le 28 juin 1914, à Sarajevo (capitale de la Bosnie-Herzégovine), l’archiduc François-Ferdinand, héritier du trône austro-hongrois, est assassiné par Gavrilo Princip, un jeune nationaliste serbe.
L’attentat choque l’Europe, mais personne n’imagine encore une guerre mondiale.
Pourtant, en un mois, un enchaînement d’alliances, de menaces et de malentendus va tout précipiter :
- L’Autriche-Hongrie accuse la Serbie d’être responsable de l’attentat et lui déclare la guerre (28 juillet 1914).
- La Russie soutient la Serbie.
- L’Allemagne soutient l’Autriche-Hongrie.
- La France soutient la Russie.
- L’Allemagne envahit la Belgique pour attaquer la France : le Royaume-Uni entre en guerre.
En quelques jours, l’Europe entière s’embrase. La “Grande Guerre” commence.
1914 : l’illusion de la guerre courte
L’été 1914 est marqué par un élan d’enthousiasme patriotique. On croit partir “pour quelques mois”, et être rentré “avant Noël”.
Les soldats français, en pantalon rouge, partent au front la fleur au fusil, persuadés de défendre la patrie contre “l’envahisseur”.
Mais très vite, la réalité s’impose : les offensives meurtrières échouent.
L’armée allemande fonce vers Paris (plan Schlieffen), mais elle est stoppée in extremis lors de la bataille de la Marne (6-12 septembre 1914).
Les deux armées s’enterrent alors dans un système de tranchées qui s’étend de la mer du Nord à la Suisse.
C’est le début d’une guerre nouvelle : la guerre de position, où chaque mètre de terrain se paie au prix du sang.
1915-1916 : la guerre industrielle et la guerre d’usure
Les armées creusent, s’enterrent, se bombardent. Les conditions sont inhumaines : boue, rats, froid, peur, gaz asphyxiants, cadavres omniprésents.
La guerre devient industrielle : canons géants, mitrailleuses, obus à fragmentation, mines, gaz de chlore.
Les civils participent eux aussi à l’effort de guerre : usines, rationnement, impôts, deuils.
1915 :
- L’Italie rejoint les Alliés.
- Les premiers gaz sont utilisés à Ypres.
- Sur le front d’Orient, les Alliés échouent à Gallipoli (Turquie).
1916 :
Année terrible. Deux batailles symbolisent la folie de cette guerre :
- Verdun (février-décembre 1916) : 300 000 morts pour quelques kilomètres. Les soldats français, “les Poilus”, y gagnent une gloire tragique.
- La Somme (juillet-novembre 1916) : plus d’un million de morts ou blessés.
C’est à Verdun que le général Philippe Pétain devient un héros national : il tient bon, coûte que coûte, au cri de “Ils ne passeront pas !”.
1917 : l’année des ruptures
L’année 1917 marque un tournant.
D’un côté, les armées sont épuisées. En France, des mutineries éclatent : les soldats refusent de mourir inutilement. Le général Pétain, devenu commandant en chef, rétablit l’ordre en combinant fermeté et amélioration des conditions de vie.
En Russie, la guerre provoque l’effondrement du régime tsariste. La Révolution d’Octobre porte Lénine au pouvoir : il retire la Russie du conflit.
L’Allemagne peut alors concentrer ses forces sur le front Ouest.
Mais un nouvel acteur entre en scène : les États-Unis, dirigés par le président Woodrow Wilson, déclarent la guerre à l’Allemagne en avril 1917.
Les raisons : les sous-marins allemands qui coulent les navires civils, et la volonté américaine de “défendre la démocratie”.
La guerre devient vraiment mondiale.
1918 : la fin d’un monde
Au printemps 1918, l’Allemagne tente une offensive massive avant l’arrivée en force des troupes américaines.
Mais les Alliés résistent. L’armée française, épaulée par les Britanniques et les Américains, reprend l’initiative sous le commandement unique du général Ferdinand Foch.
Les troupes allemandes, épuisées, affamées, et minées par les révoltes, reculent sur tout le front.
À l’intérieur du pays, la révolution éclate : l’empereur Guillaume II abdique.
Le 11 novembre 1918, à 11 heures du matin, l’armistice est signé à Rethondes, dans la forêt de Compiègne.
Les canons se taisent.
Mais la paix reste à construire.
Le bilan humain : un continent décimé
La guerre de 1914-1918 fut l’une des plus meurtrières de l’histoire.
- Environ 10 millions de soldats tués, dont 1,4 million de Français.
- 6 millions de civils morts, victimes des famines, bombardements, maladies.
- Des millions de mutilés, de veuves et d’orphelins.
L’Europe sort brisée : des villages rasés, des champs minés, des cicatrices dans les corps et les esprits. On parle désormais de “génération perdue”.
1919 : la paix ou l’illusion de la paix ?
Le Traité de Versailles (28 juin 1919) met officiellement fin à la guerre.
L’Allemagne est désarmée, amputée de territoires (Alsace-Moselle, Pologne, colonies) et condamnée à de lourdes réparations.
Mais beaucoup dénoncent un traité humiliant qui prépare les rancunes futures.
Le maréchal Foch résume d’ailleurs l’inquiétude de l’époque : « Ce n’est pas une paix, c’est un armistice de vingt ans. »
En effet, vingt ans plus tard, l’Europe replongera dans la guerre.
Les grandes conséquences du conflit
- Fin des empires
Quatre grands empires disparaissent : allemand, austro-hongrois, ottoman et russe. De nouveaux États naissent ou renaissent : la Pologne, la Tchécoslovaquie, la Yougoslavie, la Finlande… - Changements sociaux et économiques
Les femmes ont travaillé en masse dans les usines, les hôpitaux, les transports : une révolution silencieuse.
L’économie, ruinée, reste marquée par la dette et l’inflation. - Une Europe affaiblie
Les États-Unis deviennent la première puissance mondiale. L’Europe, épuisée, perd son hégémonie. Les idéologies nouvelles (communisme, fascisme, nationalisme) s’enracinent dans les ruines. - Une mémoire durable
Partout, les monuments aux morts s’élèvent dans les villes et villages.
Le 11 novembre, devenu jour de commémoration, rappelle chaque année le prix payé pour la paix.
Une guerre bretonne aussi
La Bretagne, comme toutes les régions de France, a payé un tribut immense. Environ 130 000 des mobilisés ne revinrent jamais. Des monuments, de Ploërmel à Carhaix, de Dinan à Quimper, portent encore aujourd’hui leurs noms.
Les campagnes bretonnes, vidées de leurs jeunes hommes, connurent un deuil collectif qui marqua durablement les familles et les paroisses.
La Grande Guerre a été le premier conflit total : une guerre où tout un peuple — soldats, ouvriers, femmes, enfants — fut mobilisé. Elle a aussi vu l’apparition des tanks, de l’aviation militaire, de la guerre chimique et des propagandes de masse.
Mais elle fut aussi le creuset d’un immense courage collectif, d’une fraternité du feu entre soldats de toutes origines.
Aujourd’hui encore, comprendre 1914-1918, c’est comprendre d’où vient notre monde : les frontières modernes, la peur de la guerre, l’idée européenne, mais aussi la conviction que la paix n’est jamais acquise.
La Première Guerre mondiale ne fut pas seulement un drame ou un suicide européen, elle fut un avertissement. Elle a montré ce que deviennent les nations lorsqu’elles oublient la prudence, la diplomatie et le sens du tragique. Et ce qu’il advient des peuples lorsqu’ils laissent des petites castes dirigeantes les mener à la boucherie.
À l’heure où l’Europe connaît à nouveau des tensions, où les mémoires s’effacent, se souvenir de 1914-1918 n’est pas un exercice d’histoire, mais un acte de lucidité.
11:27 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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lundi, 10 novembre 2025
Tours, la jeunesse tourangelle a honoré Saint Martin samedi
Belle réussite pour les identitaires du mouvement "Des Tours et des Lys". En chantant et dans la bonne humeur, plusieurs centaines de jeunes tourangeaux ont ainsi défilé en direction de la rue Nationale, principale artère de la ville.
Chaque année, début novembre, une telle manifestation se déroule dans la préfecture de l'Indre-et-Loire pour honorer Saint Martin, le Saint-Patron de la ville. Et, samedi dernier, signe des temps, force est de reconnaître que la foule était beaucoup plus dense que d'habitude.
Pour les organisateurs, "ce rassemblement a un objectif à la fois spirituel et culturel. C’est une façon de faire la promotion de notre identité tourangelle, de remettre en avant l’esprit de communauté dans un monde très individualiste".
Bien-sûr comme c'est hélas souvent le cas, une poignée d'antifas, véritables petits miliciens d'opérette de la finance mondialisée, a tenté de perturber, sans succès, cette belle démonstration de force de la droite nationale tourangelle mais, une fois de plus, ils se sont littéralement ridiculisés aux yeux de notre peuple.
Les antifas sont les derniers d'hier, les patriotes, eux, sont les premiers de demain. À Tours comme ailleurs, nous assistons au début du réveil national et identitaire.
S N
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20:55 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Un nouveau numéro (le n°2) du journal mythique des années 1970 "Pour un Ordre nouveau" proposé par Synthèse nationale
Après les numéros 1, 12 et 15, voici le n°2 de Pour un Ordre nouveau remis en vente par Synthèse nationale :
Le 28 juin 1973, suite à l’attaque par plusieurs milliers de gauchistes du meeting contre l’immigration sauvage qu’il avait organisé à la Mutualité (Paris) la semaine précédente, le Mouvement Ordre nouveau est interdit par le pouvoir gaulliste de l’époque.
Ordre nouveau éditait un mensuel de combat, Pour un Ordre nouveau, diffusé à plusieurs milliers d’exemplaires par ses militants. Après la dissolution, les stocks de journaux furent saisis. Quelques exemplaires cependant ont échappé aux rapaces de la police politique.
52 ans après, certains numéros, parmi les 20 livraisons éditées alors, sont ressortis du fond d’un grenier et remis en vente pour les collectionneurs et amateurs (1).
Le reflet d’une époque, un document historique à ne pas manquer…
Après le n°1 (juillet - août 1971), le n°12 (juin 1972) et le n°15 (octobre 1972) de Pour un Ordre nouveau, proposés sur ce site ces derniers mois, nous mettons en vente le n°2 (septembre 1971) du mythique journal du mouvement nationaliste Ordre nouveau.
Un document indispensable pour ceux qui veulent se remettre dans le contexte pour le moins agité de cette époque
D’autres numéros seront bientôt mis en vente…
Pour commander ce n°2 : cliquez ici
(1) Déjà, en 2018, nous avions débusqué un stock mais celui-ci fut très vite épuisé.
20:16 Publié dans Pour un Ordre nouveau | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Information et opinion
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Pour cette année 2025, la chaîne publique d’information en continu, France Info, a réalisé une campagne audio-visuelle sur les antennes du service public dans laquelle elle spécifiait que « l’information n’est pas une opinion ». Par ce slogan simpliste, tout indiquait à la mystification de masse.
En effet, distinguer l’information de l’opinion relève du sophisme. Le journaliste, qu’il travaille pour un imprimé, une radio ou une télévision, sélectionne toujours et hiérarchise les faits que les agences de presse lui déversent en permanence. Sur les injonctions de son rédacteur en chef, de la conférence de rédaction ou de ses propres convictions, il trie dans le flot de l’actualité. Le journaliste choisit une information qui prend alors une certaine valeur informationnelle si, par exemple à la télévision, il met cette nouvelle en titre principal ou à la fin du JT. Il paraît difficile qu’un journal proclame en Une que les pompiers ont récupéré de la cime de l’arbre le chat de Mme Michu.
Le journaliste passe toujours au tamis les informations. La neutralité des faits n’existe pas. La façon dont elles sont présentées exprime inévitablement une opinion. La loi française sur l’audiovisuel proscrit les chaînes d’opinion. Bien des détracteurs de CNews considèrent qu’elle est une chaîne d’opinion hors-la-loi. On remarquera que Radio Courtoisie, diffusée sur les ondes hertziennes en Île-de-France et en Normandie, se définit comme la « radio de toutes les droites » et déroge en tant que radio d’opinion à cet interdit lamentable.
La montée en puissance des télévisions, des radios et des périodiques imprimés liés à l’ensemble de Vincent Bolloré – ce qu’on appelle la « Bollorosphère » - inquiète les belles âmes de gauche. Même s’il y aurait beaucoup de critiques et de réserves à apporter à ce système médiatique polarisé par CNews, cette inquiétude palpable n’en demeure pas moins une grande source de satisfaction.
Libération des 18 et 19 octobre dernier publiait un supplément consacré au festival « Les 24 h de Libé » parrainé par le Parlement européen, le haut-commissariat aux réfugiés de l’ONU, la Fondation Jean-Jaurès, proche du groupusculaire PS, et… France Info ! Dans ce cahier spécial figurait une contribution de Julia Cagé. Professeur d’économie à Sciences-Po Paris, experte en économie médiatique, récipiendaire en 2023 du prix du meilleur jeune économiste de France, membre du conseil d’administration de l’Agence France-Presse et présidente depuis 2020 de la Société des lecteurs du Monde, elle estime que « la bataille démocratique est devenue une bataille de l’information ». Mélangeant chaînes télé et réseaux sociaux, elle juge « urgent de mieux réguler ces réseaux et de prendre à bras-le-corps le problème de la désinformation ». Le mardi 28 octobre, Emmanuel Macron a lui aussi appelé à réglementer Internet, c’est-à-dire à le censurer.
Prônant la parité sociale sur les listes des candidats (inscrire par exemple 6 % d’ouvriers ou 2 % d’agriculteurs), oubliant que des corporatistes du XIXe siècle proposaient déjà cette composition afin d’accroître le caractère conservateur du suffrage universel, Julia Cagé refuse que « la réponse aux médias d’opinion [soit] davantage de médias d’opinion. Or c’est exactement l’inverse qu’il nous faut à garantir les conditions de production d’une information comme bien public, socle indispensable au bon fonctionnement du débat public ». Traduction de la novlangue : il devient impératif de sidérer la population, de modeler ses émotions et de la transformer en hilotisme wokisé.
Il va de soi que Julia Cagé conjure de « plus que jamais protéger le pluralisme et mettre en place des régulations garantissant l’indépendance des journalistes ». Le fameux pluralisme revendiqué cache en fait un entre-soi endogamique qui ne favorise que des débats convenus entre mondialistes et cosmopolites. À quand une confrontation à grande heure d’écoute entre l’économiste - lauréat du Prix Lyssenko 2015 - Thomas Piketty, par ailleurs époux de Julia Cagé, et son disciple, l’économiste Gabriel Zucman, le gars qui veut taxer quiconque aurait au moins un euro dans la poche ? On cherche à égarer l’opinion.
Très révélateur sur ce point est l’article de Grégory Marin dans L’Humanité Magazine du 30 octobre au 5 novembre 2025. Ce journaliste dénonce bien sûr sur quatre pages l’« Offensive brune sur l’audiovisuel public » ! Il souffre que le service public soit contraint d’inviter régulièrement les élus du RN et de l’UDR, « quitte – écrit-il – à heurter la sensibilité de nombreux auditeurs ». On sort un nouveau prétexte, celui de la sensibilité. A-t-il pensé à la sensibilité des contribuables exaspérés qui financent les associations favorables à l’immigration de masse ou qui font la promotion du gendérisme et d’autres lubies arc-en-ciel ? Le journaliste de L’Huma Mag se désole que ces invitations soumises au temps de parole de l’opposition se fasse au « nom d’un “ pluralisme ” amputé de son aile gauche ». Ah bon ? Il déplore en réalité l’absence médiatique du NPA – Anticapitaliste, de Révolution permanente ou de l’Union communiste libertaire. C’est aussi le cas pour Florian Philippot des Patriotes qui ne peut venir en plateau ou en studio qu’une fois par trimestre. Vous avez dit démocratie ?
Grégory Marin n’accepte pas que « les chaînes publiques embauchent même chez “ l’ennemi ” », à savoir les ultra-identitaires et super-nationalistes-révolutionnaires intégraux Alexandre Devecchio, Paul Melun et Nathan Devers ! Il se scandalise qu’à l’occasion du second tour de la présidentielle du 8 avril 2022, sur dix-sept chroniqueurs invités à la soirée électorale de France 2, « six œuvraient pour des médias estampillés à l’extrême droite ». Mais qui les estampille de cette étiquette supposée infamante sinon leurs détracteurs les plus zélés ?
Comment L’Humanité, groupe subventionné à hauteur de plusieurs millions d’euros par an, ose-t-il faire la leçon à l’opinion publique ? En ces temps de disette budgétaire, il serait temps d’arrêter le détournement de l’argent public vers des entreprises déficitaires de formatage de l’opinion. Cela ne rétablirait pas l’équilibre des finances, mais ce serait un signe fort bienvenu d’autant que des titres de presse tels Rivarol, Synthèse nationale, Réfléchir et Agir, Livr’Arbitres et Terre et Peuple Magazine ne vivent que par leurs abonnés. Exister sans la moindre subvention est possible à condition de le vouloir et d’appliquer une stricte rigueur comptable.
Salutations flibustières !
• « Vigie d’un monde en ébullition », n°173, mise en ligne le 9 novembre
20:15 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Mercredi 12 novembre, à Paris : rassemblement contre la vaccination obligatoire
Un appel des Patriotes :
Ce mercredi 12 novembre MOBILISATION NATIONALE contre la loi d’obligation vaccinale dans les EHPAD et pour les soignants, qui annonce une obligation pour tous !
19:47 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Le Sacré-Cœur de Jésus explose le box-office avec Steven et Sabrina Gunnell
Le film "Sacré-Cœur - Son règne n'a pas de fin" de Steven et Sabrina Gunnell est déjà l'événement cinématographique de l'année. Avec plus de 300 000 entrées, malgré les refus de la SNCF et de la RATP d'en assurer la promotion commerciale, ce documentaire retrace les apparitions du Sacré-Cœur de Jésus à une religieuse visitandine de Paray-le-Monial, Sr Marguerite-Marie Alacoque en 1673.
Un brûlant et toujours d'actualité message d'amour dans un monde qui meurt de ne plus savoir aimer ni accepter d'être aimé.
16:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Cette fin de semaine, en Ille-et-Vilaine, il y avait :
D'un côté : des "hordes de nazis" qui rappellent les "heures les plus sombres de notre histoire", comme tout un chacun peut le constater sur ces photos :
De l'autre : la Bretagne éveillée, massivement rassemblée (c'est-à-dire 25 "résistants", moitié punks à chiens, moitié instits CFDT, à la retraite depuis 30 ans, sans oublier quelques bobos et camés en mal de frissons) pour exiger, au nom de leur conception très restrictive de la liberté, l'interdiction de cet horrible rassemblement de "bêtes immondes", nostalgiques de Vichy, en marinières et bérets :
On croit rêver...
S N
11:21 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Le mythe de l’inégalité salariale entre les hommes et les femmes
10:59 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) |
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dimanche, 09 novembre 2025
Le Canon Français triomphe à Goven (35) : la gauche bretonne aura offert à l’événement la meilleure publicité possible
Yann V., Breizh Info cliquez ici
Malgré les appels à la censure et les pétitions indignées, les banquets du Canon Français ont rassemblé des centaines de convives dans une ambiance festive et apolitique — au grand dam des militants d’extrême gauche.
On les disait « infréquentables », « d’extrême droite », voire « dangereux pour la démocratie ». On les voulait interdits. Finalement, les banquets du Canon Français, organisés du 7 au 9 novembre au château de Blossac à Goven (Ille-et-Vilaine), ont bien eu lieu. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils ont fait salle comble : près de 2.000 participants se sont succédé tout au long du week-end, dans une ambiance conviviale, festive et bon enfant.
Malgré les pétitions, les communiqués de maires et les cris d’orfraie de l’extrême gauche, le bon sens populaire a triomphé du sectarisme militant. Et, ironie du sort, les tentatives de censure ont offert au Canon Français une publicité inespérée, propulsant l’événement bien au-delà du cercle habituel de ses habitués.
Une polémique montée de toutes pièces
Tout avait commencé par une pétition anonyme, relayée par plusieurs élus de gauche d’Ille-et-Vilaine, réclamant l’interdiction pure et simple du banquet, accusé — sans preuve — d’être « une tribune d’extrême droite ».
Sous la pression, le Château des Pères à Piré-Chancé, premier lieu choisi, avait renoncé à accueillir la manifestation, évoquant des menaces reçues par ses employés. Les organisateurs se sont alors repliés sur le château de Blossac, à Goven.
Là encore, treize élus locaux (dont des députés socialistes et écologistes) ont adressé une lettre au préfet pour demander l’interdiction de l’événement. En vain : le bon sens administratif a prévalu, et le banquet a eu lieu, sans incident, sans débordement, sans politique.
Sous un grand chapiteau dressé dans le parc, 800 convives par soir se sont retrouvés autour d’un repas copieux et festif : charcuterie, cochon rôti, vin rouge, chansons françaises et musique bretonne.
Loin des fantasmes médiatiques, aucun discours, aucune revendication, aucun drapeau partisan. Seulement des rires, des chants et le plaisir simple d’être ensemble.
« On est là pour s’amuser, pas pour débattre », expliquait un participant venu du Morbihan.
« Il y a un fossé entre ce que racontent les médias et ce que l’on vit ici », ajoutait un autre. Beaucoup ont d’ailleurs souligné l’absurdité d’une polémique déconnectée du réel : un repas populaire et festif transformé, par quelques militants, en menace pour la République.
Même la presse locale, après avoir largement contribué à entretenir la fausse polémique, a dû se rendre à l’évidence : rien de politique, rien d’extrémiste, simplement une « soirée franchouillarde » où la convivialité l’a emporté sur les caricatures.
Quand la gauche offre la meilleure publicité
Car, paradoxalement, ce sont bien les élus et militants de gauche qui auront fait la promotion la plus efficace du Canon Français.
À force de crier au « danger fasciste », ils auront attisé la curiosité d’un public bien plus large, venu de toute la Bretagne et même des régions voisines pour découvrir par lui-même.
Les places se sont arrachées, les vidéos ont circulé sur les réseaux sociaux, et le Canon Français sort renforcé de cette polémique, plus visible et plus populaire que jamais.
Seul petit bémol relevé par certains observateurs bretons : le côté très “franchouillard” ou folkorique, et moins breton, de la soirée, au cœur même de la Bretagne.
Certes, la présence de musique bretonne et du Gwenn ha Du sur scène rappelait que l’événement se tenait sur une terre d’identité et de culture. Mais le ton général — bérets, marinières, Marseillaise reprise en chœur — sonnait parfois un peu parisien pour un public attaché à son ancrage régional.
Un décalage plus symbolique que grave, mais que beaucoup ont remarqué : la Bretagne n’est pas un simple décor folklorique de la France éternelle, elle est une nation culturelle vivante, avec sa langue et son âme.
Malgré la tempête politico-médiatique, le Canon Français a remporté son pari : rassembler, faire la fête et rappeler que l’amour du terroir n’est pas un crime.
En voulant interdire, la gauche bretonne a surtout montré son intolérance et son mépris des gens ordinaires.
Et à la fin, comme souvent, les cris des militants se sont perdus dans le bruit des chants et des verres qui s’entrechoquent.
Une belle leçon de liberté, et un beau pied de nez à ceux qui confondent culture populaire et meeting politique.
NDLR SN : lire aussi le reportage sur Boulevard Voltaire cliquez ici
18:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Un message de Jean-Eudes Gannat qui sera ce soir sur Radio Courtoisie
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LES PREMIÈRES RÉACTIONS À DROITE SUITE À LA MISE EN GARDE À VUE DE JEAN-EUDES GANNAT
Communiqué du Parti de la France (07/11/2025) :
Le Parti de la France apporte tout son soutien à Jean-Eudes Gannat et dénonce la persécution politico-judiciaire dont il est victime.
Pour avoir simplement diffusé une vidéo sur Tiktok où il filme une bande de rôdeurs afghans qui zonent toute la journée devant le supermarché de sa ville natale, Jean-Eudes a été convoqué dès le lendemain à la demande du Parquet, placé en garde à vue et sera jugé en comparution immédiate aujourd'hui à 13h30. Avec un risque élevé d'incarcération.
On nage en plein délire totalitaire. Plus les Français sont hostiles à l'invasion migratoire, plus nos gouvernants et nos magistrats déploient une répression judiciaire abjecte contre les lanceurs d'alerte.
Tout ceci doit prendre fin, et vite.
Réaction de Nicolas Dupont-Aignan :
11:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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La gauche complice du libéralisme*

Pour la sortie de son dernier livre, Conversations américaines, le philosophe Jean-Claude Michéa a accordé un entretien à Alexandre Devecchio dans Le Figaro du 8/11/2025. Nous en avons retenu l’extrait suivant.
La panique morale qui s’empare de la gauche au seul mot de « conservatisme » tient au fait que depuis le XIXe siècle la pierre angulaire de toutes ses Eglises est l’idée de « progrès ». Soit en d’autres termes, la foi en un mystérieux « sens de l’histoire » dont l’axe seraitr l’essor continu de la Raison et qui conduirait mécaniquement l’humanité vers un monde toujours plus urbanisé, technologisé et connecté. De là l’idée, progressiste par excellence, selon laquelle tout pas en avant est toujours un pas dans la bonne direction – qu’il s’agisse de la voiture électrique, de l’IA ou de l’élimination du mot « Noël » du calendrier scolaire. Idée dont le corrélat est que toute nostalgie est donc par définition « réactionnaire ». On comprend alors mieux le processus mental qui porte sans cesse la gauche à osciller entre l’idée qu’on n’arrête pas le capitalisme. Car si être progressiste, c’est inviter à chaque instant à « faire du passé table rase » , à « casser tous les codes » et à briser tous les « tabous », alors il est clair que, dans l’histoire de l’humanité, aucun système n’aura mieux mérité ce nom que ce système capitaliste dont la logique exponentielle incite toujours plus, comme le notait Marx, à « profaner tout ce qui était sacré », à saper « tout ce qui avait solidité et permanence » et à dissoudre « toutes les idées antiques et vénérables » dans « les eaux glacées du calcul égoïste » (une dynamique plus proche, par conséquent, de la « cancel culture » que de la « destruction créatrice ». !).
C’est cette parenté structurelle entre l’imaginaire progressiste et celui du capitalisme qui m’a naturellement conduit, dans le sillage d’Orwell, à devoir réhabiliter en partie la tradition conservatrice. Un trait commun, en effet, à toutes les sociétés du passé, y compris les plus autoritaires et les plus centralisées, c’est qu’elles prenaient toujours soin de laisser aux différentes communautés de base, villages ou quartiers, assez d’autonomie matérielle et politique pour que soit préservée cette économie locale de subsistance qui leur permettait de pourvoir par elles-mêmes, au moins en temps normal, à leurs besoins les plus vitaux. Or, on sait, au moins depuis Marcel Mauss, que c’est justement dans ce type de cadre local largement structuré par la « logique du don » et où les relations en face-à-face prennent encore le pas sur les relations anonymes et impersonnelles (ce qu’Alain Caillé nomme la « socialité primaire ») qu’ont toujours le plus de chances de se former et de s’épanouir ces vertus sociales de base (qu’il s’agisse du sens de l’entraide et de l’’effort, du goût du travail bien fait ou encore de la capacité de s’attacher à un lieu, à des êtres ou à des traditions communes). Leur érosion progressive, et a fortiori la dissolution intégrale, condamne toutes société à sombrer dans l’ensauvagement et dans la guerre de tous contre tous. On mesure alors l’ampleur du travail de décivilisation que le capitalisme contemporain est en train d’accomplir.
Car, sans même parler de l’irrationnalité croissante d’un système structurellement fondé sur l’obsolescence programmée, la fièvre consumériste et l’exploitation sans limites des ressources naturelles, on ne doit pas oublieer qu’une des maximes de base du libéralisme économique, comme le rappelait Adam Smith, c’est qu’ « il ne faut jamais essayer de faire chez soi la chose qui nous coûtera moins cher à acheter qu’à faire ». Pourquoi, en effet s’obstiner à produire nous-mêmes, et sur place, les aliments, les outils et les médicaments dont dépend entièrement notre vie quotidienne si son peut désormais les faire tenir à moindres frais, par conteneurs géants, de l’autre bout du monde ?
En encourageant ainsi en permanence – sous le voile d’une socialité de pacotille type Erasmus – la disparition de toutes les formes d’autonomie locale et de vie commune populaire – songeons par exemple à la désertification organisée du monde rurtal -, la dynamique du capital ne conduit donc pas, pas seulement à nous rendre chaque jour plus dépendants des aléas du maerché mondial et de la haute technologie qu’il requiert (quid, par exemple, d’une panne d’électricité géante ou d’un long bug informatique planétaire ?). Elle conduit également à saper toutes les conditions anthropologiques et morales d’une société « libre, égalitaire et décente » (selon la définition qu’Orwell donnait du socialisme) et donc à accélérer encore plus notre course vers les abîmes.
Jean-Claude Michéa, Conversations américaines, Albin Michel.
(*) le titre est de la rédaction.
09:31 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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samedi, 08 novembre 2025
Samedi 6 décembre, en Lorraine : solstice d'hiver et cochon grillé...
18:27 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Dimanche 9 novembre, à 8 h 10, Eric Zemmour sur Europe 1
18:25 Publié dans Eric Zemmour, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Jean-Eudes Gannat, libéré, nous explique :
13:29 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Le journal du chaos

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08:54 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Mondialisme, marchandisation, multiculturel et Cie.
Pieter Kerstens
Année après année, les esprits lucides nous mettent en garde contre les inconvénients du Mondialisme, cette doctrine qui vise à l’unité politique du monde et surtout contre “la mondialisation”, phénomène qui concerne aussi bien la sphère économique que financière.
Et cette mondialisation ne date pas d’hier. Depuis des siècles, les échanges de marchandises ont aussi précédé les grandes découvertes de nouveaux continents, favorisant l’essor de l’industrialisation en Europe notamment. Et cette industrialisation a bien sûr créé des besoins impératifs pour d’innombrables consommateurs, objectifs des sociétés multinationales visant un Marché Mondial Unifié - la globalisation - que nous connaissons par l’existence des Mac Do’, Kentuky Fried Chicken, Burger King ou encore Coca-Cola entre autres. Au fil des ans, des groupes de pression se sont constitués dans les secteurs qu’ils considéraient comme sources de bénéfices extraordinaires, grâce au développement socio-économique des populations les moins favorisées et à l’appétit des nations occidentales. C’est pourquoi au cours des 50 dernières années nous avons vécu la marchandisation du sport, de la culture, des services publics et du corps humain, marchandisation qui a transformé les citoyens en clients et consommateurs.
TOUT se vend et tout s’achète.
Parce que la diffusion d’Internet sur la planète entière a permis l’accès immédiat aux informations les plus diverses, sans aucun contrôle et proposées au libre-arbitre de chacun. Cela conduit bien évidemment à tous les excès et à des dérives les plus variées pour exploiter la crédulité des futurs consommateurs, pour le grand bonheur des “lobbies” qui engrangent des profits colossaux. On peut le regretter ou s’en réjouir, mais les individus sont aussi les responsables, car ils peuvent refuser les offres qu’on leur propose, au lieu de se précipiter sur des achats « compulsifs ». Une grande partie des centaines de milliers de tonnes de déchets répandues dans le monde provient essentiellement du gaspillage et de la surconsommation des clients qui se lassent rapidement de leurs achats avant même qu’ils ne soient usés. Les récents exemples des ventes « en ligne » des marques Shein et Temu sont la preuve de la nocivité des produits de mauvaise qualité à des prix bradés, qui nous sont expédiés de pays lointains avec un bilan carbone désastreux. Silence radio de la part des écologistes…
Le Multiculturel et le métissage à tous les étages.
Depuis fort longtemps on nous a vanté les bienfaits du « vivre ensemble ». Mais la réalité c’est que l’Europe est une terre de beffrois et de cathédrales et non pas de minarets et de mosquées. Comme la grande majorité des habitants de notre continent, je suis l’héritier d’une civilisation européenne et de culture gréco-romaine. A ce titre, j’accepte donc des immigrés de pays étrangers qui s’assimilent et s’intègrent harmonieusement à nos us et coutumes, en respectant nos règlements et nos lois. Par contre je m’oppose avec force aux « communautés » qui imposent le voile, le hallal et les babouches dans nos cités, avec la complicité de politiciens clientélistes et de financiers cosmopolites qui, avec le parrainage des bureaucrates de Bruxelles, se servent de l’idéologie Droits-de-l’hommiste, pour nous culpabiliser au prétexte de « racisme », grâce à l’immobilisme des populations dont les individus sont hypnotisés par les campagnes des médias favorisent l’implantation de l’islam dans toutes les contrées.
Oser penser, oser agir.
Il est grand temps de s’opposer par tous les moyens à la mafia du mondialisme qui, loin du libre-échange équilibré, nous a conduit à une dépendance économique qui sacrifie nos industries et nous a mené vers le chaos généralisé. Cette même mafia qui met en place la surveillance et le contrôle permanent des personnes par l’Intelligence Artificielle (I.A) et la recherche faciale pour un « monde meilleur » : Big Brother vous regarde…
00:23 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) |
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vendredi, 07 novembre 2025
Francisco Franco, un caudillo pour l’Espagne : entretien avec Michel Festivi
Entretien publié sur Breizh-Info cliquez ici
Cinquante ans après la mort du général Franco, et alors que le service public français sort, avec vos impôts, une série reportage totalement à charge, l’avocat et écrivain Michel Festivi publie Francisco Franco, un caudillo pour l’Espagne (éditions Déterna et Synthèse nationale, coll. « Bio-Collection », 2025). Collaborateur d’EuroLibertés, du Nouveau Présent et de Synthèse nationale, observateur attentif de la vie politique espagnole, il revient dans ce livre dense et documenté sur une figure capitale de l’histoire du XXe siècle, trop souvent caricaturée par l’historiographie dominante. Festivi s’attache à rétablir les faits, loin des mythes antifranquistes, et à rappeler le rôle du Caudillo dans la sauvegarde de l’Espagne face au chaos révolutionnaire de 1936. Une œuvre de rigueur et de transmission, à contre-courant de la doxa officielle, qui invite à relire l’histoire de l’Europe à la lumière du réel.
Breizh info.com : Votre livre, Francisco Franco, un caudillo pour l’Espagne paraît dans la nouvelle « Bio Collection ». Qu’est-ce qui vous a donné envie de consacrer une biographie à Franco, cinquante ans après sa mort ?
Michel Festivi : Justement j’entendais honorer en quelque sorte ce cinquantième anniversaire, puisque Franco est décédé le 20 novembre 1975. L’occasion m’en a été donnée avec cette nouvelle collection, qui ne rassemblera que des biographies. Les éditions Déterna (Philippe Randa) et Synthèse nationale (Roland Hélie), se sont réunies pour entreprendre cette nouvelle aventure éditoriale, avec le concours de Francis Bergeron et de David Gattegno qui réalise de superbes iconographies, dont celles de mon livre sur Franco. Ce sont des ouvrages dans la même veine, peu ou prou, que les Qui-suis-je des éditions Pardès, qui ont cessé leurs activités il y a quelques années.
BI : Entre les récits hostiles du camp progressiste et les hagiographies d’antan, vous dites vouloir « disséquer les faits ». Comment concilier rigueur historique et réhabilitation d’une figure si controversée ?
MF : Ce personnage politique, d’une importance majeure dans l’histoire du XXème siècle, est controversé parce que les gauches ont réussi, en Espagne comme en France, à imposer leur vision ultra manichéenne de l’histoire, à l’égal des discours préfabriqués sur la Révolution française, la période 1940/1945 etc… Pour Franco, lorsque l’on reprend objectivement les faits de sa vie, malgré des erreurs, on découvre un homme qui avait des qualités militaires et politiques exceptionnelles. C’est ce que je me suis évertué à entreprendre de raconter, dans la lignée d’historiens ou de romanciers d’envergure comme Bartolomé Bennassar ou Michel del Castillo. Et puis, nous avons désormais le recul de l’histoire, et quand on voit dans quel état de déliquescence sont nos malheureuses nations européennes, la geste franquiste ne peut qu’en être réhaussée. Le livre contient aussi des nouveautés, notamment sur la répression franquiste de l’après-guerre.
BI : Vous rappelez que Franco a « sauvé l’Espagne du communisme ». Pouvez-vous revenir sur ce qu’était réellement le danger révolutionnaire en 1936 ?
MF : Vous faites bien, au-delà du communisme, d’employer la formule plus globale très exacte de « danger révolutionnaire ». Depuis les années 1933/1934, les gauches espagnoles s’étaient complètement radicalisées, je l’explique dans tous mes ouvrages dont le dernier, paru en juillet : Les griffes de Staline sur l’Espagne républicaine, aux éditions Dualpha. Le pays avait subi un premier assaut armé marxiste-révolutionnaire, en octobre 1934. L’arrivée du front populaire en février 1936, après des manipulations constitutionnelles et des fraudes électorales prouvées, ont fait basculer définitivement l’Espagne dans la révolution, que seul le soulèvement de juillet 1936, a pu contrecarrer. Et Franco, que ce soit en 1934 ou entre 1936/1939, a joué un rôle décisif. L’Espagne était à la merci des bandes staliniennes et des miliciens anarchistes qui prônaient un communisme étatique pour les uns, libertaire pour les autres. L’Histoire a prouvé qu’ils étaient, chacun à leurs façons, pires que tout. D’ailleurs, ils se sont affrontés durement et les premiers ont exterminé les seconds.
19:32 Publié dans Livres, Michel Festivi, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Jean-Eudes Gannat vient de sortir libre
16:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Totalitarisme d'atmosphère - Les poursuites contre Jean-Eudes Gannat : une parfaite illustration de la véracité du proverbe chinois : "Quand le sage montre la Lune, l'idiot regarde la doigt".
Synthèse nationale
Avant-hier, mercredi 5 novembre, notre camarade Jean-Eudes Gannat, militant identitaire dynamique et courageux, a été placé en garde-à-vue. Aujourd’hui, vendredi 7, il comparaît devant le tribunal correctionnel d’Angers. Son "crime" : avoir réalisé et mis en ligne une courte vidéo montrant l’une des conséquences des mesures décidées, mises en œuvre ou soutenues, en matière d’immigration, par des élites (de gauche, du centre ou de droite) qui, avec constance, trahissent la Nation et le Peuple (voir l’article ci-dessous).
Ces réactivité et célérité des autorités et d’une certaine "justice", que l’on aimerait constater à l’occasion d’autres affaires autrement plus sérieuses, sont une nouvelle illustration de la volonté des matons de Panurge d’invisibiliser une réalité qui les dérange et de défendre bec et ongles leur narratif de propagande.
Synthèse nationale apporte tout son soutien à Jean-Eudes Gannat. Les dissolutions, les interdictions, les dénonciations, les arrestations et comparutions arbitraires, les menaces ou les violences en tout genre ne feront pas taire nos milieux. On n’efface pas le réel. La vérité est en marche. N'en déplaise aux chiens de garde de la pensée conforme, elle finira par s’imposer et triompher. Le combat continue !
12:32 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Jugé pour avoir osé décrire le réel : l’affaire Jean-Eudes Gannat, un scandale judiciaire qui bâillonne la France rurale

Article publié par Pierre d'Herbais sur le site Mayenne Aujourd'hui - Cliquez ici
Aujourd’hui, 7 novembre 2025, Jean-Eudes Gannat comparaît devant le tribunal correctionnel d’Angers en comparution immédiate. Accusé d’« incitation à la haine raciale » pour une vidéo TikTok anodine, il incarne le dernier avatar d’une répression judiciaire acharnée contre les voix dissidentes. Père de famille, militant catholique enraciné et cofondateur du Mouvement Chouan, Jean-Eudes n’est pas un raciste : il est un patriote qui ose nommer ce que des millions de Français constatent au quotidien dans nos campagnes. Et pour cela, on le traîne en justice comme un criminel.
Rappelons les faits, sans fard ni complaisance. Le mardi 4 novembre, Jean-Eudes publie une courte vidéo sur TikTok. On y voit un parking banal devant un supermarché Leclerc à Segré, en Maine-et-Loire – la ville où il a grandi, un coin de France profonde, paisible en apparence. Devant l’entrée, un groupe d’hommes afghans, en tenue traditionnelle, assis par terre. « Toujours au Leclerc en train d’acheter de la bouffe, à rien branler », dit-il crûment. Pas de violence, pas d’appel à la haine : juste une description brute d’une réalité qu’il dénonce comme symptomatique de l’immigration incontrôlée dans les campagnes françaises.
Après avoir vu la vidéo, je peine à comprendre comment on peut y voir une incitation à la haine raciale. D’après moi, il n’y a pas matière à poursuite. Mais la justice tranchera — encore faut-il qu’elle le fasse sereinement, sans céder à la pression idéologique.
Mercredi 5 novembre, les gendarmes le convoquent. Garde à vue demain, défèrement le lendemain matin à 9 heures, audience à 13 h 30. Le parquet d’Angers, qui suit Jean-Eudes depuis des années, y voit une « incitation à la haine raciale ». Pourquoi cette précipitation ? Pourquoi cette comparution immédiate, réservée aux délits flagrants ? Parce que décrire le réel est devenu un crime quand il dérange le narratif officiel. Parce que Jean-Eudes n’est pas n’importe qui : ex-leader de l’Alvarium – dissous en 2021 pour ses positions identitaires –, il reste une épine dans le pied d’un système qui préfère ignorer le chaos qu’il a engendré.
On peut accuser Jean-Eudes de militantisme radical, d’actions "coups de poing" au sein du Mouvement Chouan ou de l’Alvarium – ces groupes qui, comme je l’écrivais en mai 2024 dans Mayenne Aujourd’hui, portent une voix marginale mais résolue contre un paysage politique déconnecté. Des manifestations contre l’immigration massive, des campagnes pour l’héritage culturel des régions, un plaidoyer pour les valeurs familiales et traditionnelles : voilà ce qui motive ces rebelles, inspirés des Chouans de 1793.
Jean-Eudes m’avait confié alors : « L’offre politique reste décevante, déconnectée des citoyens ordinaires. Nous voulons labourer la terre politique, être proches de notre communauté. » Et pourtant, pour ces actions, c’est la justice qui les laboure : gardes à vue, condamnations, dissolutions. Une justice qu’ils perçoivent comme partiale, indulgente envers les voyous et impitoyable envers les patriotes.
Accuser Jean-Eudes de racisme ? C’est absurde. Sa famille, comme le montre le film Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu ?, est un modèle d’ouverture : mariages mixtes chez ses frères et sœurs, ouverture aux autres cultures sans renier la nôtre. Lui-même, catholique fervent, défend une France enracinée, pas une haine aveugle. Sa vidéo n’appelle pas à la violence ; elle interpelle sur une situation politique : l’arrivée massive de migrants dans des territoires déjà fragiles.
À Segré, comme dans tant de villages, les parkings deviennent des zones d’attente, les traditions s’effritent, et les habitants se sentent abandonnés. Décrire cela, est-ce un crime ? Quid de la liberté d’expression, ce pilier de notre droit, gravé dans l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen ? Quid du débat des idées, que la presse – empressée de coller l’étiquette « extrême droite » ou « raciste » – étouffe sous un linceul de bons sentiments ?
Cette affaire n’est pas isolée. Elle s’inscrit dans une traque systématique : depuis la dissolution de l’Alvarium, Jean-Eudes accumule les ennuis judiciaires pour des faits mineurs. La presse, elle, titre sans nuance sur « l’ex-leader de l’Alvarium en garde à vue pour incitation à la haine », sans un mot sur le fond : l’échec patent d’une politique d’immigration laxiste qui bouleverse nos campagnes.
Aujourd’hui, devant le tribunal d’Angers, Jean-Eudes Gannat ne sera pas seul. Ses camarades du Mouvement Chouan, de l’Oriflamme et du RED seront là pour rappeler que la France n’est pas qu’urbaine et cosmopolite : elle est aussi rurale, enracinée, et en droit de s’exprimer. Filmer la réalité n’est pas haïr ; c’est alerter.
Si le parquet gagne, c’est la France entière qui perd : une dictature douce où le réel devient tabou, où les campagnes sont muselées pour plaire aux élites parisiennes.
On sait depuis l’affaire Charlie Kirk qu’il ne risque pas que de la prison.
Jean-Eudes, courage. Nos pensées t’accompagnent. Et que cette affaire réveille enfin un débat honnête : décrire le réel n’est pas le criminaliser. Montrons-le, débattons-en, librement.
11:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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jeudi, 06 novembre 2025
Shein, Temu, AliExpress : les boucs émissaires d’un État qui a tout vendu
19:27 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Mercredi 19 novembre, à Versailles : réunion débat avec Eric Zemmour et Eric Nolleau
Un communiqué de Eric Zemmour :
Éric Naulleau et moi reprenons nos joutes lors d’une soirée exceptionnelle, le mercredi 19 novembre à 20 h 15, au Palais des Congrès de Versailles.
Et nous parlerons bien sûr de La messe n'est pas dite, mon nouveau livre. De cet espoir qui me pousse à croire que la France peut encore se relever.
Je compte sur vous le 19 novembre.
Inscrivez-vous, cliquez ici
12:56 Publié dans Communiqués de presse, Eric Zemmour, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) |
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RAPPEL : samedi 15 novembre, à Paris, le Forum de la dissidence
Un communiqué de Polémia :
Le samedi 15 novembre, vous aurez l'occasion de voir des intervenants de haut vol évoquer le sujet épineux de l'alarmisme climatique. Est-ce une nouvelle façon de nous priver de nos libertés ? Le réchauffement, danger réel ou dogme à abattre ? Attention, places limitées !
Nous avons souhaité croiser les approches scientifiques, philosophiques et journalistiques, tout en donnant la parole à différentes générations. Les interventions de Raphaël Ayma et de Lucas Chancerelle offriront sans doute un regard distinct de celui de Michel Geoffroy ou de Jean-Yves Le Gallou, car l’alarmisme climatique ne se vit pas de la même manière selon qu’on y a été formé à l’école ou qu’on l’a vu naître dans les médias. C’est aussi cela, la liberté de débat : confronter les certitudes à l’expérience.
Confronter les idées, alerter, protéger nos libertés, voilà le programme. Venez nombreux au Forum de la Dissidence le 15 novembre à Paris !
Introduction : de l'écologie au catastrophisme climatique
Jean-Yves Le Gallou, Polémia
Au programme :
Première partie : l’évolution du climat, fausses certitudes et vraies incertitudes
- Peut-il y avoir vérité scientifique sans libre débat ?
Olivier Battistini, philosophe, maitre de conférences en histoire grecque, auteur de Platon - Que sait-on vraiment du climat et de ses changements : recension des points de vue alternatifs ?
Johan Hardoy, Polémia - L’alarmisme médiatique : lavage de cerveau et propagande permanente
Adélaïde Motte, journaliste - La jeunesse : entre endoctrinement climatique et souci du patrimoine naturel
Raphal Ayma, auditeur de l’Institut Iliade, porte-parole de Tenesoun
Seconde partie : de quoi l’alarmisme climatique est-il le nom ?
- L’alarmisme au service de la révolution Arc-en-ciel
Martin Peltier, essayiste, auteur du Vrai nom du grand bordel : Arc-en-ciel. Au bout de la Révolution, un empire et sa religion - Le catastrophisme climatique, idéologie de la régression occidentale
Michel Geoffroy, Polémia - L’écologie contre l’environnement
Bertrand Alliot, ingénieur en gestion de l’environnement, auteur de L’incroyable écologie, analyse d’un écolo-traitre - L’alarmisme climatique : un business prospère
Fabien Bouglé, lanceur d’alerte, auteur de Guerre de l’énergie, directeur de Transitions et énergies
Conclusion : n’ayons pas peur.
Réservez votre place : cliquez ici
12:44 Publié dans Communiqués de presse, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Royaume-Uni : Tommy Robinson blanchi par la justice, la police accusée de l’avoir ciblé pour ses opinions politiques
Source Breizh info cliquez ici
Le militant britannique a été reconnu non coupable d’une infraction liée au terrorisme. Le juge a estimé que son interpellation reposait sur ses convictions politiques, non sur des motifs légitimes de sécurité.
Le tribunal de Westminster a rendu, mardi 4 novembre, une décision qui résonne comme un désaveu pour les autorités britanniques. Tommy Robinson, de son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon, a été acquitté d’une accusation de non-coopération dans le cadre de la législation antiterroriste, après une interpellation jugée discriminatoire.
Le juge Sam Goozee a estimé que le militant, connu pour ses positions nationalistes et son opposition au multiculturalisme, avait été arrêté en raison de ses opinions politiques plutôt que pour un risque réel de terrorisme.
« Je ne peux pas écarter de mon esprit le fait que ce sont vos convictions et ce que vous représentez qui ont motivé cet arrêt », a déclaré le magistrat.
Une interpellation sous couvert de “lutte antiterroriste”
Les faits remontent à juillet 2024. Tommy Robinson, alors au volant de son Bentley, s’apprêtait à embarquer au tunnel sous la Manche en direction de la France. Intercepté par la police du Kent en vertu de l’article 7 de la Terrorism Act 2000, il est soupçonné d’entrave à une opération antiterroriste pour avoir refusé de fournir le code PIN de son téléphone portable.
Cette loi controversée permet aux agents d’arrêter et d’interroger toute personne transitant par un port ou un aéroport britannique, afin de déterminer si elle « participe à des activités terroristes ». Le refus de répondre ou de déverrouiller un appareil électronique constitue une infraction pénale.
Robinson, qui se rendait à Benidorm (Espagne), a expliqué aux policiers qu’il était journaliste et que son téléphone contenait des informations sensibles sur des « jeunes filles vulnérables ». Il a catégoriquement refusé de donner son code, déclarant : « Pas question, les gars… vous ne l’aurez pas. »
Un procès à forte charge symbolique
L’accusation reprochait à Robinson son attitude jugée « évasive » et « nerveuse » lors du contrôle, justifiant selon elle la saisie du téléphone. Mais la défense, représentée par l’avocat Alisdair Williamson KC, a dénoncé un “acte discriminatoire” fondé sur la notoriété et les opinions du militant.
« Si les services du renseignement ne considèrent pas M. Yaxley-Lennon comme un terroriste, que pensait apprendre un simple policier en fouillant son téléphone ? », a ironisé le juriste.
Le tribunal a reconnu que l’agent responsable du contrôle, le constable Mitchell Thorogood, avait agi sur la base d’une “caractéristique protégée”, c’est-à-dire une opinion politique. Le juge Goozee a ainsi conclu : « Je ne peux pas le condamner. »
Une victoire judiciaire pour la liberté d’opinion
À sa sortie du tribunal, Tommy Robinson a été accueilli par les applaudissements du public présent dans la salle. Le verdict intervient après trois semaines d’attente, le militant s’étant rendu entre-temps en Israël.
Sur les réseaux sociaux, Robinson a remercié Elon Musk, affirmant que le milliardaire avait pris en charge une partie de ses frais de défense. Dans une vidéo publiée sur X (ancien Twitter), il a qualifié cette affaire de “persécution d’État absolue”.
Une affaire révélatrice du climat politique britannique
Ce jugement met en lumière les dérives possibles de la législation antiterroriste au Royaume-Uni. L’article 7 de la Terrorism Act 2000 a souvent été critiqué pour son utilisation disproportionnée, notamment contre des journalistes, des militants ou des voyageurs sans antécédents criminels.
Pour ses partisans, Tommy Robinson demeure une figure de la dissidence politique, dénonçant les tabous autour de l’immigration et de la criminalité. Pour ses détracteurs, il incarne une frange radicale de la droite britannique.
Mais au-delà des opinions, la décision du tribunal marque une étape importante : celle d’un rappel que la loi ne peut servir à punir une pensée politique.
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Mardi 18 novembre, à Toulouse : une conférence sur la Russie avec André Chanclu et Xavier Moreau
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