dimanche, 02 novembre 2025
Mercredi 5 novembre, à Strasbourg : conférence de Régis Le Sommier (Omerta)
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En ce 1er novembre, jour des morts, ayons une pensée pour tous nos camarades disparus
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L’Europe face à la guerre en Ukraine

La plupart d’entre nous n’avons que notre bon sens pour juger des situations dans lesquelles se fourrent les nations en général et l’Europe en particulier. Aujourd’hui plus qu’hier, le destin de l’Europe ne s’est jamais posé avec autant d'acuité, ballottée qu’elle est par les puissances comme l’Amérique, la Russie ou la Chine face auxquelles elle n’a rien de concret à proposer faute d’être elle-même une puissance. Et cette Europe de Bruxelles qui est censée unifier ne fait que désunir par l’inconséquence de ses choix. Avec en toile de fond, une Allemagne omniprésente et qui détermine bien des options. En France, quelques esprits seulement, débarrassés de toute pesante idéologie, nous offrent une lecture objective d’une géopolitique qui ne cesse d’évoluer au fil du temps et qu’un Donald Trump a rendu plus aléatoire que jamais. Pierre Lellouche est de ceux-là qui nous livre son analyse sur les conséquences de cette guerre en Ukraine que les Européens s’obstinent à vouloir soutenir à tout prix.
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Source : Journal du dimanche, 2/11/2025.
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« Donnons un avenir aux enfants blancs » : relaxe du candidat d'extrême droite à l’origine des affiches controversées
Source Le Figaro cliquez ici
Pierre-Nicolas Nups et deux militants du Parti de la France étaient jugés pour incitation à la haine raciale après le collage, pendant la campagne des législatives, d’affiches controversées en Meurthe-et-Moselle.
Un candidat d'extrême droite aux législatives 2024, poursuivi pour incitation à la haine raciale pour une affiche appelant à donner «un avenir aux enfants blancs», a été relaxé, a-t-on appris samedi auprès de l'avocat de la Licra Nancy. Ce candidat, Pierre-Nicolas Nups, et deux militants du Parti de la France, ont été relaxés vendredi par le tribunal correctionnel de Nancy.
Le tribunal a retenu les exceptions de nullité soulevées par les prévenus et touchant à la procédure, a expliqué à l'AFP Me Stéphane Massé, avocat de la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme) Nancy. «On est très surpris parce que les exceptions de nullité qui avaient été soulevées ne tenaient pas la route, d'ailleurs le parquet s'était associé à notre position», a déclaré l'avocat.
«J'espère que le parquet fera rapidement appel de cette décision. Il est essentiel que la cour d'appel puisse réexaminer les faits et redire avec force qu'il n'y a pas, en France, de place pour les discours qui hiérarchisent les être humains», a aussi réagi auprès de l'AFP Franck Porterat, président de la Licra Nancy.
« Donnons un avenir aux enfants blancs »
Le parquet avait requis 100 jours-amendes à 10 euros, l'affichage de la décision de justice et trois ans d'inéligibilité contre Pierre-Nicolas Nups. Des peines de prison avec sursis et des amendes avaient été requises pour les deux autres prévenus.
Les trois hommes étaient jugés pour incitation à la haine raciale après le collage, pendant la campagne des législatives, d'affiches sur lesquelles on voyait un jeune garçon blond aux yeux bleus, avec le slogan «Donnons un avenir aux enfants blancs». L'affiche portait la signature du Parti de la France, un groupuscule qui n'a présenté qu'un seul candidat aux élections législatives de juin 2024, dans la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle. Elle avait été diffusée en particulier à Neuves-Maisons, commune de 7000 habitants de cette circonscription.
Le maire de Neuves-Maisons, Pascal Schneider, avait porté plainte ainsi que la Licra et SOS Racisme. Pierre-Nicolas Nups avait déclaré au journal L'Est républicain avoir «validé» cette affiche qui véhiculait selon lui «un message d'espoir pour notre jeunesse et rien d'autre». Pierre-Nicolas Nups avait été éliminé dès le premier tour des élections législatives, avec 10,06% des voix.
00:00 Publié dans Législatives 2024, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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samedi, 01 novembre 2025
L’explosion du racisme « anti-blancs », dans l’indifférence absolue des anti-racistes professionnels
Michel Festivi
Il y a des racismes qui ne provoquent nullement les foudres des organisations gauchistes patentées, gavées aux subventions publiques grâce aux impôts payés par les Français, c’est le racisme anti-blancs. Depuis des années, ce racisme se répand et se diffuse dans toute la société, comme une trainée de poudre, sans que les habituels prédicateurs grassement financés, ni voient rien à redire, bien au contraire. Seules certaines catégories de personnes peuvent être victimes du racisme, mais surtout pas les blancs.
Ce paradoxe des plus stupéfiants, vient encore tout récemment de trouver à s’exprimer, dans le silence quasi complet des hommes politiques et des médias, pourtant si prompts à réagir au moindre battement de cil soi-disant raciste. L’exemple nous vient d’une militante LFI, Imane Hamel, le 16 octobre dernier, lors d’un meeting à Clichy-sous-Bois. Après avoir fustigé le sentiment « nationaliste », car les blancs vivants en France n’ont pas le droit d’aimer leur patrie charnelle, et ajouter pour faire bonne mesure que : « les musulmans sont devenus les victimes expiatoires de la désespérance sociale », elle n’a pas hésité a proclamé que : « les arbres généalogiques sont brandis comme des trophées et la clarté de peau devient source de fierté.... une réécriture de l’histoire, le peuple français est réduit à une lignée de sang, à la culture sclérosée ». Comme propos racistes, on se pose là.
Puis, elle lance cette phrase qui aurait dû, de la gauche au centre et jusqu’à la droite dite républicaine, enflammer contre elle le débat public : « La France n’est pas une nation ethnique, mais une nation politique, sa terre est un creuset d’immigration dont les ancêtres ne sont pas plus les Gaulois que les Francs, les Wisigoths, les Alamans, les Juifs ou les Arabes », et d’ajouter cette allégation racialiste au plus haut point : « Nous savons par-dessus tout que nous n’avons pas à nous justifier de notre présence car nous ne sommes pas moins français que celui dont la seule gloire malheureuse est d’être né blanc. »
« La seule gloire malheureuse d’être né blanc ». Voilà qui est lâché, et ce en toute impunité. Julien Odoul député RN de l’Yonne a twitté bien à propos : « Le racisme avec le sourire, quand c’est pourri, c’est LFI ». Si beaucoup d’internautes ont réagi, aucun des grands leaders politiques ne sont intervenus, et à ce jour, sauf erreur de ma part, aucune plainte n’a été déposée, contre ces propos, et surtout pas par SOS racisme, la fameuse Ligue des droits de l’Homme, ni le MRAP et toutes ces associations qui n’ont de lutte contre le racisme qu’à géométrie variable.
François Bousquet, journaliste, avait écrit il y a quelques mois, un livre-enquête décapant sur ce thème : Le racisme antiblanc, l’enquête interdite, publié aux éditions de la Nouvelle Librairie. Accusant la gauche d’un racisme justement « à géométrie variable », rajoutant dans un entretien du 1er août 2025 au Figaro : « le déni du racisme antiblanc est devenu une discipline olympique chez nombre de chercheurs et sociologues ».
Justement, le sociologue, historien et chercheur Pierre-André Taguieff, est l’exception bienvenue. Comme il l’indique pour Le Figaro magazine : « pour les néoantiracistes, la blanchité est un péché originel ». Il vient de publier aux éditions H&O, Du racisme en général et du racisme anti-blancs en particulier. Pour lui, il s’agit d’une mise en accusation globale, d’un groupe humain « caractérisé avant tout par la couleur de peau de ses membres », dès lors, du racisme chimiquement pur.
Dénonçant le postcolonialisme, le décolonialisme, la criminalisation des nations occidentales, Taguieff répond en quelque sorte à Amine Hamel : « le nationalisme n’est pas nécessairement raciste, ni même xénophobe : la distinction entre « nous » et « eux » (ou les autres) ne prend pas nécessairement la figure d’une opposition manichéenne ». L’antiracisme est devenu une idéologie en elle-même, et pour cette idéologie, le racisme anti-blancs est désormais une composante absolue. Car « les activistes du néoantiracisme racialiste, pratiquant un terrorisme intellectuel importé du monde anglo-saxon et s’inspirant de « la religion woke », autant que de la propagande « antisioniste », a déferlé sur l’Europe et singulièrement sur la France, avec la complicité de tous ceux qui entendent reléguer certains partis, certaines organisations ou associations dans le seul rôle d’épouvantail identitaire.
Comme il l’analyse, les blancs sont criminalisés, diabolisés, voués aux gémonies. Effectivement, nombre de médias et d’intellectuels continuent mordicus à nier ce racisme anti-blancs, accusant « l’extrême droite », d’être à l’origine de ce concept. Pourtant les exemples abondent. Des policiers s’étaient faits gifler par un gardé à vue aux cris de « sales blancs ». Rokhaya Diallo s’évertue à nier le racisme anti-blancs. Nick Conrad, un rappeur qui avait intitulé un clip « Pendez les blancs », a pourtant été relaxé en appel. Imaginons l’inverse ?
Autre sociologue dans la même veine que Taguieff, Mathieu Bock-Côté, qui multiplie les chroniques sur le thème du « Le racisme anti-blancs, le déni ». Et de pousser le raisonnement plus encore : « Il y a dans une certaine jeunesse issue de l’immigration, une haine de la France qui s’inscrit dans une mouvance... de partition du territoire...La France n’est plus une nation, mais un territoire qu’on veut pousser vers la guerre des races. »
Et que penser des dénis de ce racisme anti-blancs dans la tragédie de Crépol, ou le meurtre de Thomas a été proféré aux cris de « sale blanc ». Pourtant, à ce stade, le crime raciste n’est toujours pas reconnu par la justice, et des journalistes se sont évertués à dénigrer et nier la coloration raciste de ce crime, attaquant une. Comme le disait Péguy dans Notre jeunesse : « Il faut toujours dire ce que l’on voit ; surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit ». À croire que certains, notamment à gauche et à l’extrême gauche, mais pas que, sont aveugles, où ferment les yeux, quand cela les arrange.
15:52 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) |
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ÉRIC ZEMMOUR DIMANCHE 2 OCTOBRE À MIDI SUR BFM TV
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07:09 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Les migrants ne s’assimilent pas…

L’économiste américain, professeur à la George Mason University (Virginie) est l'auteur d'une théorie de la « transplantation culturelle » : selon lui, les immigrés importent les préférences économiques de leurs pays d'origine, au risque d'affaiblir la croissance des pays les plus innovants. Il est l’auteur d’une trilogie iconoclaste dont les deux premiers volumes interrogent respectivement le rôle du QI moyen d’un pays et la démocratie de ses institutions, dans sa richesse économique. L’Observatoire de l’immigration et de la démographie présente cet ouvrages. Le Figaro s’est entretenu avec Garett Jones.
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Source : Le Figaro 23/10/2025
07:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Un entretien avec Michel Festivi, auteur du nouveau livre "Francisco Franco, au caudillo pour l'Espagne"
Entretien avec Michel Festivi, avocat honoraire et historien, qui vient de publier aux éditions Déterna et Synthèse nationale, dans la « Bio Collection », dirigée par Francis Bergeron et David Gattegno : Francisco Franco, un caudillo pour l’Espagne.
(Propos recueillis par Fabrice Dutilleul)
Vous venez de publier une biographie de Francisco Franco, dans cette nouvelle collection, pourquoi cet intérêt pour ce personnage si décrié, voire honni ?
Pour plusieurs raisons. La première, j’entendais célébrer le 50e anniversaire de la mort de Franco, qui est décédé le 20 novembre 1975, et qui fut un militaire, un politique et un homme d’État considérable au XXe siècle. La seconde justement, pour lutter contre les désinformations et les mensonges qui sévissent contre cet homme, qui aura vaincu le communisme qui allait s’emparer de son pays, protéger l’Espagne de la seconde guerre mondiale, puis ensuite, ancra sa patrie dans la modernité, et en fit la 9e puissance économique au monde. Cette biographie s’inscrit dans le droit fil de mes précédents livres, remettre l’histoire en l’endroit, rétablir les faits, faire le tri entre les causes et les conséquences, bref lutter contre les vilénies déversées depuis des lustres. Enfin l’occasion m’en a été donnée par la création de cette nouvelle aventure éditoriale, l’association de deux éditeurs, Déterna et Synthèse nationale, assistés par Francis Bergeron et David Gattegno, qui réalise de superbes iconographies, dont celles qui parsèment cet ouvrage. Cette Bio Collection, qui ne publiera que des biographies, m’a sollicité pour cette entreprise nouvelle, des bios resserrées et qui brisent les discours convenus et stéréotypés.
Qu’apporte de plus, ou de nouveau, votre biographie, car beaucoup d’ouvrages ont été écrits par de nombreux historiens déjà sur Franco ?
Les principales biographies sont déjà anciennes, plus de vingt ans. Cela date. D’autre part de nombreux auteurs, à quelques exceptions près, reprennent les computations maintes fois ressassées, Franco était un piètre militaire, un piètre politique, il n’avait aucune vision stratégique. Soit on l’assimile à Hitler ou Mussolini pour en faire un dictateur au petit pied, soit on prétend qu’il n’arrivait pas à la cheville de ces hommes qui ont fracassé l’histoire du XXe siècle. Or justement, je démontre que Franco était un militaire très courageux et de grand talent, un politique très avisé, et un homme d’État exceptionnel, et qu’il n’a jamais été un dictateur à l’égal de Staline, Hitler, Mussolini, et que d’autre part l’Espagne franquiste n’a jamais été un état totalitaire. De plus j’apporte un éclairage différent sur beaucoup de points et de sujets.
L’Espagne était-elle vraiment à la merci du communisme ?
Absolument, tous mes livres précédents le démontrent, notamment le tout dernier, publié par Dualpha en juillet dernier : Les griffes de Staline sur l’Espagne républicaine, 1936-1939. Depuis 1934, l’Espagne se débattait contre les volontés des gauches révolutionnaires espagnoles de prendre et garder le pouvoir par la force des armes. Franco joua un rôle certain dans leurs échecs, en 1934 d’abord, puis plus encore au cours des années suivantes, avec l’arrivée des staliniens et de la IIIe internationale dans le pays entre 1936 et 1939.
Quel fut le rôle de Franco pendant la seconde guerre mondiale ?
Un rôle déterminant et très méconnu, c’est ce que je m’emploie à exposer. A la tête d’un pays quasi ruiné par plusieurs années de soubresauts et d’attaques révolutionnaires, Franco et son équipe, certains de ses ministres, réussirent à naviguer entre les bourrasques, et sauver l’Espagne d’un naufrage certain si elle s’était alliée avec Hitler ou Mussolini. La roublardise de Franco fut sans pareille, et de surcroit, quasiment seule dans une Europe nazifiée, L’Espagne fut pour des milliers de juifs pourchassés de partout, une bouée de sauvetage.
L’après-guerre fut très dur pour l’Espagne ?
Oui, mais là encore Franco sut mobiliser le peuple espagnol, qui « dans ses profondeurs » entendait soutenir celui qui l’avait sorti des immenses ornières dans lesquelles il aurait dû sombrer. Petit à petit, l’Espagne se redressa et revint dans le concert des nations, j’explique tout cela.
Comment Franco s’y prit-il pour faire de l’Espagne, la 9e puissance économique du monde ?
En faisant confiance en des hommes nouveaux, des techniciens, des spécialistes dans l’agronomie, l’industrie, le commerce, la finance. Franco hésitait beaucoup avant de prendre des décisions, mais une fois prises, il laissait faire ceux en qui il avait donné sa confiance.
Il prit aussi son temps pour donner à l’Espagne, sa future organisation politique pour après sa mort ?
Il hésita pendant des années, sachant très bien qu’après lui, l’Espagne reviendrait à une démocratie normalisée, il en avait parfaitement conscience, mais ne voulait pas précipiter les choses. Ce n’est qu’en 1969, qu’il entreprit de faire légiférer sur le nouveau régime monarchique qui prendrait sa suite. Il avait tout organisé, dans un contexte assez complexe.
Sa fin de règne fut assez difficile voire tragique ?
Oui, son agonie s’éternisa, bien trop longtemps. Une camarilla incompétente tenta de le maintenir en vie le plus longtemps possible. Cette courte période ne fut pas très glorieuse.
En définitive, que reste-t-il aujourd’hui dans l’Espagne de 2025, du franquisme :
Si l’on raisonne à très court terme, pas grand-chose. Mais si on prend de la hauteur, on s’aperçoit que l’Espagne qui aurait dû subir le joug soit du communisme, soit du nazisme, revient de très loin. Quand les socialo-communistes des plus sectaires qui gouvernent actuellement le pays, et qui briment toute liberté de pensée, seront démocratiquement chassés du pouvoir, et que les Espagnols se ressaisiront, on s’apercevra alors que cette période de l’Histoire fut nettement plus positive que négative. Cette biographie, comme tous mes autres livres, s’inscrit dans le temps long du combat des idées pour lutter contre les démagogies qui empoisonnent nos sociétés européennes, et singulièrement en Espagne et en France.
Michel Festivi, Francisco Franco, un caudillo pour l’Espagne, La Bio Collection, éditions Synthèse nationale et Déterna, iconographies de David Gattegno, 140 pages, 20,00 €.
Pour commander ce livre cliquez ici
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Samedi 15 novembre, à 16 h : Hommage à Charles Maurras au cimetière de Roquevaire (13)
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Vendredi 7 novembre : soirée Livr'arbitres à Paris à l'occasion de la sortie du nouveau numéro consacré à Yukio Mishima
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Vendredi 7 novembre : conférence du Parti de la France à Paris avec Scipion de Salm
Le Parti de la France lance un cycle de conférences. La première se déroulera vendredi 7 novembre à Paris à 21h.
Le thème sera « Algérie française ou France algérienne ? » par Scipion de Salm, historien et membre du Bureau politique du Parti de la France. Thomas Joly, Président du PdF, se chargera de l'introduction.
La participation est d'une consommation à commander au bar de l'établissement avant d'accéder à la salle.
Réservation obligatoire : pdf-iledefrance@gmx.fr
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vendredi, 31 octobre 2025
Retour sur une votation inaperçue
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
En cette fin de mois d’octobre, la dernière lubie d’Emmanuel Macron serait de soumettre la réforme des retraites décalée, suspendue ou abrogée à un possible référendum. La démarche est étonnante pour un sujet d’une si grande complexité qu’il ferait passer la rédaction des traité de Maastricht de 1992 et constitutionnel européen de 2005 pour d’aimables facéties adolescentes. Un tel scrutin se révélerait aussitôt en plébiscite sur la personne même de l’actuel chef de l’État hexagonal. Oserait-il se suicider politiquement au point de cramer son éventuel retour élyséen en 2032 surtout si l’horrible « extrême droite » arrivait au pouvoir en 2027 ? La proposition présidentielle appartient pour l’instant à une divagation exprimée à haute voix.
La Confédération helvétique a l’habitude de convoquer ses citoyens à l’occasion de référendums – les votations –, souvent d’initiative populaire, c’est-à-dire lancées à partir d’un nombre suffisant de signatures. Les électeurs ont ainsi le droit d’annuler les décisions prises par le pouvoir législatif et mises en application, régime d’assemblée oblige, par le pouvoir exécutif.
Le 28 septembre 2025, deux votations se tenaient à l’échelle nationale. L’une d’elles concernait le sort de la loi sur l’e-ID. Il s’agit de la loi fédérale du 20 décembre 2024 sur l’identité numérique et d’autres moyens de preuves électroniques. Le gouvernement suisse – le Conseil fédéral – entend dématérialiser tous les documents officiels dont la carte d’identité dans une application conçue par les services de l’État suisse sur les fameux téléphones intelligents. Les autorités précisent volontiers que cette démarche demeure facultative. Les non-détenteurs de ces mini-ordinateurs portatifs ne seront pas affectés… pour l’instant.
Le résultat de ce vote est très serré : le oui l’emporte à 50,39% (49,61% de non). La participation s’élève à 49,55%. Si les cantons de Genève, du Tessin et de Vaud ont voté « oui », le Valais, le canton de Neuchâtel et celui du Jura s’y sont opposés nettement. On doit regretter la forte abstention pour un scrutin déterminant. Les Suisses ne perçoivent pas les risques et autres méfaits de l’intrusion de la cybernétique, d’État comme des entreprises, dans leur vie privée. Outre leur faible esprit civique pour la circonstance, les Suisses ne se rendent pas compte du détournement de la procédure. L’approbation du 28 septembre 2025 annule en effet le refus du 7 mars 2021. Ce jour-là, une votation rejetait la loi du 27 septembre 2019 sur les services d’identification électronique à 64,36% avec une participation de 51,29%. Commentateurs, politiciens et experts crurent que cette hostilité populaire résultait du climat de méfiance suscité par l’épisode covidien.
Ce rejet momentané ne signifia nullement l’émergence d’une attitude réfractaire ou contestataire. Un trimestre plus tard, le 13 juin 2021, les Suisses acceptaient à 60,20% la loi sur les bases légales des ordonnances du Conseil fédéral visant à surmonter l’épidémie de covid-19. Comment expliquer cette contradiction électorale flagrante ? Un important travail de persuasion sur l’opinion publique suisse a permis l’acceptation au final de ces choix liberticides. Sur la même lancée négative, le 26 septembre 2021, la Suisse approuvait le mariage pour tous à 64,10% !
Ces quelques exemples infirment la vision, largement défendue naguère par des Gilets jaunes naïfs, du référendum d’initiative citoyenne comme méthode radicale de résolution des problèmes politiques, sociaux et économiques. Les chantres du référendum vu en deus ex machina de la politique méconnaissent toujours le rôle et l’impact du système informationnel – médiatique sur la population. On retrouve ce phénomène dans le verdict des cours d’assises avec des jurés tirés au sort sur les listes électorales. Le manque criant de preuves tangibles (un corps jamais retrouvé) n’empêche pas la condamnation d’un accusé qui n’a jamais avoué et, au contraire, clamé son innocence.
L’emploi du référendum comme moyen de surmonter les pesanteurs institutionnelles enrobées sous le mantra surgi de la novlangue de l’« État de droit » n’est plus d’actualité. Un référendum est-il encore possible en France afin de contenir les autorité judiciaire hypertrophiée ainsi que l’ingérence des agences administratives indépendantes ? Une révision radicale de la Constitution de 1958, défigurée, pervertie et déséquilibrée, par l’article 11 ne serait-elle pas empêchée par un avis du Conseil constitutionnel ? Le gouvernement pourrait-il passer outre, quitte à engager l’épreuve de force et ouvrir les bureaux de vote malgré les menaces du dit-conseil ? À part quelques exceptions, le système médiatique, bras armé du Conseil constitutionnel, dénoncerait une soi-disant manœuvre despotique de la part du pouvoir. Le Conseil constitutionnel annulerait de facto tout résultat au préalable entaché par une abstention assez forte.
Décevons immédiatement les tenants du pouvoir populaire ! Le référendum n’est pas une panacée. Pour que la procédure référendaire soit optimale, il faut appliquer au quotidien une véritable démopédie, une instruction civique et politique permanente des citoyens. Cette exigence impliquerait en contrepartie une indispensable politisation des enjeux et des personnes. Or, avec le développement de nouveaux pouvoirs (militaire – renseignement, système médiatique, pègres, complexes techno-industriels et bio-technologiques) et la consécration de l’hyper-individualisme anomique, la tripartition institutionnelle chère à Montesquieu, s’estompe. La neutralisation du politique demeure l’événement principal de la présente phase historique de transition épochale, un interrègne confus entre une Modernité tardive, un postmodernisme wokiste et une Post-Modernité archéofuturiste.
Loin d’être une île isolée au cœur du continent européen, la Suisse démontre dès à présent par ses comportements électoraux sa pleine intégration aux rouages euro-atlantistes et globalistes du collectif occidental cosmopolite si bien qu’elle en est le vingt-huitième membre officieux de la pseudo-Union européenne. Sa neutralité devient formelle, rhétorique et illusoire. Le peuple suisse ne peut plus aller à l’encontre de cette assimilation silencieuse. Son modèle politique fondé sur le fédéralisme, la subsidiarité et le référendum s’étiole. Un mythe politique disparaît.
Salutations flibustières !
• « Vigie d’un monde en ébullition », n°172, mise en ligne le 29 octobre
01:22 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Résolution RN : hélas du vent contre l'invasion algérienne
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Certains s’enflamment pour une résolution adoptée à une voix près, comme si le Rassemblement National venait de remporter une bataille décisive contre l’invasion migratoire algérienne. Soyons réaliste : oui, dénoncer ces accords de 1968 entre la France et l’Algérie, c’est un geste qui va dans le bon sens, un rappel que ces reliquats coloniaux et gaullistes ont ouvert les vannes d’une immigration qui nous noie depuis des décennies. Mais une résolution ? C’est du vent symbolique, du théâtre parlementaire sans aucune force contraignante. Les accords restent bel et bien en vigueur, gravés dans le marbre administratif, et le flux insoutenable d’Algériens vers la France ne va pas s’arrêter net pour autant.
On nous vend ça comme une victoire du RN mais c’est une illusion d’optique. Car qu’est-ce qui change concrètement ? Rien. Les Algériens vont continuer d’arriver par milliers, protégés par ces privilèges bilatéraux qui font de la France une terre d’asile pour tous ceux qui fuient leur pays sinistré sans jamais l’assumer. À part l’extrême-gauche, qui voit en eux des martyrs éternels, plus personne en France ne peut sentir les Algériens. Même des Algériens installés ici de longue date, souvent les premiers à râler contre leurs congénères fraîchement débarqués, ne supportent plus cette importation massive de tensions, de clientélisme et de repli communautaire.
Les Algériens sont parmi les immigrés les plus hostiles au pays d’accueil, ils ont été élevés dans la haine rabique de la France. Ils ne viennent pas pour s’intégrer mais pour coloniser à leur tour, avec des exigences qui épuisent nos ressources et nos nerfs. Il faut renvoyer un maximum d’entre eux en Algérie, stopper net ces flux privilégiés et restaurer une souveraineté migratoire impitoyable. Une résolution ? C’est un pansement sur une hémorragie. Pour agir vraiment, il faudrait une loi, une volonté politique ferme de l'exécutif et non des incantations parlementaires qui nous bercent d’illusions. Tant qu’on s’arrête au symbole, l’invasion continue et la France s’affaiblit un peu plus chaque jour. Le vrai combat est dans les actes, pas dans l'autosatisfaction et les applaudissements éphémères.
01:15 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) |
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jeudi, 30 octobre 2025
Controverse sur la tauroctonie...
Synthèse nationale, comme son nom l'indique, est un site (et une revue) non dogmatique. C'est un carrefour où se retrouvent des nationalistes identitaires dont le plus petit dénominateur commun est l'attachement indéfectible à notre nation et à notre civilisation.
Cela étant rappelé, il se peut que sur certains sujets que l'on peut considérer comme étant "secondaires", nos lecteurs aient des positions différentes. Dans un souci de "synthèse", et à partir du moment que que ces divergences ne touchent pas nos fondamentaux, il nous arrive de leur donner la parole.
Ainsi, hier, comme c'est toujours le cas à chacune de ses livraisons, nous avons annoncé la parution du nouveau numéro de notre confrère et néanmoins ami Terre & peuple magazine cliquez ici. Ce numéro aborde le sujet clivant du rite de la tauroctonie (1). Celui-ci, apparemment, ne fait pas l'unanimité dans nos rangs car nous avons reçu plusieurs messages à propos de la couverture publiée.
Dans un souci de synthèse, nous publions ici des extraits du message de l'une de nos amies très chères, A., qui est opposée à cette tradition ancestrale (on ne peut pas être d'accord sur tout) :
18:34 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Le cauchemar du Louvre
Françoise Monestier, Polémia cliquez là
Après le vol honteux des joyaux impériaux au Louvre, Françoise Monestier – journaliste à la plume acérée que les lecteurs de Polémia connaissent bien et apprécient – dénonce les multiples dérives du premier musée du monde.
Polémia
« Le Louvre est une des cartes de visite de la France », claironnait Laurence des Cars quelques jours après un somptueux dîner de gala organisé le 4 mars dernier en marge de l’exposition Louvre Couture, qui a fait dialoguer pendant plus de six mois — et pour la première fois — mode et objets précieux. Le tout avec la bénédiction et la collaboration financière des grandes maisons de luxe que sont Vuitton, Chanel, Dior et Balenciaga. Elles avaient répondu présentes à l’appel de la petite-fille de l’écrivain Guy des Cars qui, à l’occasion de ce raout de prestige, engrangea la coquette somme de 1,5 million d’euros de dons. Une belle somme certes, mais une goutte d’eau dans la mer pour une chercheuse de fonds en quête perpétuelle de sous à mettre dans la cassette du premier musée du monde.
Huit mois plus tard, et après le spectaculaire braquage dominical du 19 octobre, la carte de visite est sérieusement écornée, n’en déplaise à Rachida Dati qui, dans un premier temps, avait balayé d’un revers de main l’événement et ne reconnaissait aucune faille dans le dispositif de sécurité avant — lors d’une audition devant le Sénat — de reconnaître que ce « cambriolage est un échec pour le Louvre ». De son côté, Laurence des Cars s’est contentée de qualifier « d’incident » ce vol spectaculaire avant d’affirmer que les systèmes de sécurité du Louvre fonctionnaient parfaitement, mais qu’il fallait d’abord et avant tout lutter contre la diffusion de fausses informations auxquelles il était urgent de faire la chasse. Et ne parlons pas d’Emmanuel Macron, qui se moque du tiers comme du quart de la sécurité dans les musées, lesquels ne sont pour lui qu’une façon de promouvoir sa vision du monde. Ainsi, en mars 2018, lors d’une réunion au musée Picasso à laquelle il avait convié le gratin muséal parisien, il avait osé dire : « Celles et ceux qui s’occupent des musées pourraient être considérés comme conservateurs. Je veux croire le contraire. » Sept ans plus tard, ses vœux se sont réalisés avec une Laurence des Cars qui confond patrimoine et business d’entreprise.
Sauver le système
Après une semaine de flottement et l’arrestation de deux des quatre auteurs de l’attaque, les conservateurs des grands musées de France et du vaste monde — du musée du Prado au Metropolitan Museum, en passant par le British Museum et le musée Guggenheim — se sont fendus d’une tribune dans Le Monde pour endiguer les flots de critiques venues du monde entier et apporter un soutien franc et massif à Laurence des Cars. Ils ne pouvaient évidemment pas choisir Le Figaro, qui a ouvert ses colonnes aux orphelins du Louvre et à Didier Rykner, l’infatigable animateur de La Tribune de l’Art, qui défend contre vents et marées notre patrimoine et a contredit point par point la défense de Laurence des Cars, en précisant que, depuis maintenant plus de trois ans, les rapports d’activité du musée ne font nullement mention des problèmes de sécurité du site, superbement oubliés par une patronne qui a très bien su faire aménager une salle à manger privée pour la coquette somme de 490 000 euros et a convaincu Macron de la nécessité de lancer de grands travaux pour le projet « Renaissance du Louvre ». Ainsi, le 28 janvier dernier, tenait-il très longtemps le crachoir promettant « sécurité et sûreté des collections ». On connaît la suite.
Dans cette courte tribune du Monde, les signataires constatent que « leurs institutions ne sont pas épargnées par la brutalité du monde », mais que « les musées ne sont ni des bastions, ni des coffres-forts ». Certes, et il est vrai que l’intrusion d’une bande d’écologistes fous armés d’instruments contondants ou de pots de peinture rouge afin d’endommager un tableau — comme cela fut le cas en janvier 2024 au Louvre, où la Joconde fut aspergée de soupe au potiron — a de quoi refroidir n’importe quel conservateur de musée. Même chose quand des voleurs mandatés par des gangs ou des collectionneurs font main basse sur des tableaux ou des tabatières de grande valeur, comme récemment à Cognacq-Jay, ou chouravent des porcelaines chinoises rarissimes au musée de la Porcelaine à Limoges. Ces spécialistes du patrimoine oublient tout simplement, dans leur tribune, de poser la question de la recrudescence des vols et d’évoquer la folie écologiste. Ils se contentent de faire dans le bon sentiment, histoire de ne pas braquer — c’est le cas de le dire — les bien-pensants. Est-ce parce que la tribune de soutien à Laurence des Cars l’a rassurée que Rachida Dati a eu un mot de trop en visitant le nouveau siège de la Fondation Cartier, installé à une portée d’encablure du Louvre, rue de Rivoli ? S’arrêtant devant une vitrine, elle a eu le culot de dire à la cantonade : « La vitrine, elle est sécurisée ? » croyant sans doute faire un bon mot. Après l’humour yiddish, la rigolade berbère… Il est vrai que la dame nous a habitués depuis longtemps à ce genre de comportement.
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Eric Zemmour ce soir chez Pascal Praud sur C-News
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Le numéro 105 de Terre & Peuple Magazine est paru !
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Malgré les injonctions de l'extrême gauche, l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ne lache pas Pierre Gentillet
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mercredi, 29 octobre 2025
Polémique à Lyon : les royalistes repeignent un escalier aux couleurs françaises
Étienne Lombard, Boulevard Voltaire cliquez ici
L’Action française locale a revendiqué cette décoration patriotique, qui lui vaut une plainte de la Métropole lyonnaise.
Dans la nuit du 24 au 25 octobre, dans le quartier de la Croix-Rousse, dans le Ier arrondissement de Lyon, les marches des escaliers de la montée de la Grande-Côte, qui avaient déjà été peintes auparavant par des militants d’ultra-gauche aux couleurs de la Palestine, ont été repeintes aux couleurs de la France.
Une décoration signée Action française
Cette œuvre « patriotique » a été revendiquée par la section lyonnaise des royalistes de l’Action française, qui ont ajouté des fleurs de lys au bas des marches. « Dans les pentes de la Croix-Rousse, un drapeau français s’est élevé ! L’occasion de rappeler notre fierté et notre identité, au lendemain de la décision de justice concernant Lola ! », précise-t-elle, dans le message diffusé sur son compte X. Véronique, une royaliste lyonnaise ayant manié le pinceau ce soir-là, a confié à BV que cette action ayant eu lieu « le soir du verdict du procès Lola, chaque participant avait alors une pensée pour elle, pour sa famille et pour ses proches », mais que l'objectif de cette initiative était avant tout de recouvrir « un drapeau palestinien devenu le symbole honteux et traître du soutien aux terroristes du Hamas, et de remettre à l'honneur les couleurs de la France ».
L’affaire n’a pas tardé à faire grand bruit, dans la capitale régionale. La mairie du Ier arrondissement, qui n’avait guère eu à redire jusqu'à présent sur la précédente décoration pro-palestinienne, a dénoncé cette remise en peinture française. La Métropole de Lyon, qui avait déjà porté plainte lors de la précédente mise en peinture, a annoncé qu’elle allait en déposer une nouvelle « pour dégradation de l’espace public », selon BFM Lyon.
Polémiques politiciennes
La polémique a vite gagné le milieu politique lyonnais, particulièrement en verve, à quelques mois d’élections municipales qui s’annoncent explosives. « L’escalier patriotique » des royalistes lyonnais a même réussi à déchirer le « clan Aulas », du nom de l’ancien président du club de football de l’Olympique lyonnais, aujourd’hui candidat (et favori) à la mairie, contre l’actuel maire écologiste Grégory Doucet. Soutien de Jean-Michel Aulas, le macroniste Loïc Terrenes, directeur régional Auvergne-Rhône-Alpes, a qualifié l’initiative de l’Action française d'« inacceptable ». « Après un drapeau palestinien peint il y a quelques semaines, l’extrême droite dévoie à son tour notre drapeau national et l’espace public », a-t-il déclaré, sur son compte X, ajoutant que « Lyon n’est pas le terrain de jeu des extrêmes. Nous avons besoin de concorde et d’humanisme. »
Le propos n’a pas tardé à être brocardé par Alexandre Dupalais, candidat ciottiste à la mairie, investi par l’UDR et soutenu par le RN. Il s’étonne que « les soutiens macronistes de Jean-Michel Aulas n’ont pas de mots assez forts pour dénoncer une représentation de notre drapeau national qui "dévoierait" l’espace public ». Mais, « en revanche », remarque-t-il, « ils n’ont rien à dire lorsque le drapeau palestinien est hissé sur l’hôtel de ville. Instructif ! »
Un événement viral
Le deux poids deux mesures ne semble d’ailleurs pas être une exclusivité du chef de file lyonnais de Renaissance. Selon nos informations, une équipe aurait en effet été dépêchée sur place le 28 octobre par la mairie afin de nettoyer les marches, soit à peine trois jours après leur mise en peinture aux couleurs françaises. Une réactivité qui étonne presque, puisque la municipalité écologiste n’avait pas jugé utile, après deux semaines, de faire effacer le précédent drapeau palestinien qui y avait été peint.
Mais au-delà des querelles politiciennes locales que ce « happening décoratif urbain » des royalistes a suscitées, c’est l’ampleur des réactions sur les réseaux sociaux (majoritairement favorables, d’ailleurs) qui surprend. Les messages annonçant l’opération ont dépassé les 3.000 vues sur la plupart des comptes des médias locaux, comme Pure TV, et plus du double sur la page Facebook de Lyon People, dont l’édition papier titrait « Les royalistes lyonnais repeignent la Croix-Rousse aux couleurs de la France ».
Le tweet de Loïc Terrenes a été d’une viralité inédite, avec déjà près d’un million de vues en trois jours. On y trouve aussi de très nombreux commentaires, mais rarement élogieux. Certains doutant « que Jean-Michel Aulas soit bien servi par ce genre de tweets très, très bêtes », d'autres s’étonnant que « bizarrement, quand c’était le drapeau étranger palestinien peint, vous n’avez pas ouvert votre bouche ». D’autres, encore, rappelant qu’un « drapeau français en France n'a rien d'extrémiste ».
Décidément, après les Anglais et les Allemands notamment, les Français se montrent désormais très sensibles au symbole que représente à leurs yeux leur drapeau national. Et à Lyon, en cette fin octobre, ce sont des royalistes qui ont incontestablement ravivé cette flamme patriotique.
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Antisémitisme quand Le Figaro préfère la cécité à la réalité

Balbino Katz
Le jour n’était pas encore levé sur Léchiagat quand j’ai poussé la porte du bar des Brisants. Le comptoir sentait le sel et le café brûlé, comme une vieille prière marquée par les embruns. Dehors, la houle battait les digues, obstinée, indifférente, murmurant des secrets que les hommes préfèrent ignorer. Je venais de passer la nuit à suivre les débats au lendemain des élections argentines, ce lointain écho d’un monde qui ose encore nommer les tempêtes. Et c’est en feuilletant distraitement Le Figaro du matin que je suis tombé sur un titre solennel : « Les universités minées par un antisémitisme persistant. »
Je l’ai lu d’un trait, avec ce mélange de lassitude et de colère qu’on éprouve devant un journal qui écrit encore, mais ne pense plus. Le papier se voulait courageux. Il n’était que prudent, comme un pêcheur qui affûte son harpon sans oser frapper la bête. On y parlait de « militantisme propalestinien », de « cause islamiste », de « radicalisation ». Autant de mots pour éviter celui qu’il faudrait oser : mutation. Mutation démographique, culturelle, mentale. Depuis des décennies, la France se transforme sans jamais accepter de se regarder.
L’antisémitisme qui gangrène nos universités n’est pas tombé du ciel. Il ne procède pas d’une idéologie abstraite, mais d’un glissement profond du corps social. Quand un pays modifie la composition de sa jeunesse, il modifie aussi les passions qui l’habitent. Et quand la mémoire collective vacille, les haines anciennes retrouvent leur voie. Ce que les journalistes appellent « islamisme » n’est souvent qu’une manière de nommer sans le dire un nouvel état du monde : celui où la foi, l’origine et l’histoire recomposent le paysage français.
Dans les amphithéâtres de Paris 8 ou de Nanterre, les keffiehs flottent comme des drapeaux de ralliement. Les étudiants juifs s’y font discrets, tandis que le discours victimaire de la cause palestinienne s’impose comme un rite d’appartenance. Ce n’est plus un orage idéologique, c’est une marée montante. Les chiffres le disent : la France comptera près de 12 % de citoyens de tradition musulmane d’ici 2050, même sans nouveaux flux migratoires. Dans les grandes villes, la moitié des naissances appartiennent déjà à ce nouvel horizon culturel. Or les cultures ne se juxtaposent pas impunément : elles s’influencent, se confrontent, parfois s’opposent.
Les études récentes de l’IFOP ou de Pew Research rappellent que les perceptions entre communautés se sont durcies. Les jeunes générations, toutes origines confondues, réinvestissent les mythes politiques du Proche-Orient, importés, amplifiés, transformés en slogans. L’antisémitisme d’aujourd’hui n’a plus le visage de Maurras ou de Drumont, mais celui d’un ressentiment postcolonial, d’une fracture identitaire que la République ne sait plus nommer.
Les journalistes du Figaro, tout en s’indignant des faits, ces 115 incidents recensés dans les universités, ces slogans « Mort aux Juifs » à Nanterre, ces professeurs interrompus par des groupes fanatisés, continuent de croire que tout cela n’est qu’un accident moral. Ils voient dans le chaos une dérive, non une tendance. Ils prennent la tempête pour un grain. Pourtant, le mal n’est plus un orage : c’est une marée. Et nulle digue morale ne l’arrêtera.
Jean-Yves Le Gallou l’a souvent écrit dans Polémia : « L’identité, c’est la démographie incarnée. » Entre 2000 et 2020, la natalité, les flux migratoires, la concentration urbaine ont fait émerger une autre France, plus jeune, plus composite, plus éloignée du socle historique qui l’avait formée. Les convictions, les réflexes et les colères ne sont plus les mêmes. Ce n’est pas une faute, c’est une transformation, mais nier cette transformation revient à nier la réalité.
Et dans cette tempête, il est une trahison plus subtile, plus tragique aussi : celle des élites communautaires qui prétendent parler au nom des Juifs de France. Depuis un demi-siècle, certaines organisations institutionnelles, le CRIF, l’UEJF et leurs relais médiatiques, se sont peu à peu confondues avec les réflexes du pouvoir. Leur discours, d’abord soucieux de défendre la mémoire et la justice, s’est figé dans la posture morale. À force de vouloir préserver l’alliance républicaine et de combattre toute critique de l’immigration par peur de « faire le jeu de l’extrême droite », elles ont perdu le contact avec la réalité du terrain : celle des familles juives qui, dans les banlieues, ferment leurs commerces plus tôt, déplacent leurs enfants vers des écoles privées ou fuient tout simplement vers d’autres quartiers.
Cette fracture est visible, douloureuse, presque irréversible : d’un côté, une intelligentsia juive, parisienne, mondaine, obsédée par la morale publique ; de l’autre, un peuple juif discret, inquiet, qui n’attend plus rien de la République. L’un parle encore de vivre-ensemble ; l’autre apprend à survivre. Ce divorce moral illustre à merveille la grande déconnexion des élites françaises : incapables de reconnaître les conséquences du multiculturalisme qu’elles ont encouragé, elles se retrouvent prisonnières de leurs propres illusions.
Le paradoxe est cruel : ceux qui dénonçaient hier l’antisémitisme latent de la droite nationale découvrent qu’il a ressuscité là où ils ne voulaient pas le voir. Ils ont combattu les sentinelles du danger au lieu de regarder venir la houle. Aujourd’hui, ils se retrouvent seuls sur le pont, à contempler un horizon qu’ils ne comprennent plus.
Les campagnes d’« éducation à la tolérance », les cours obligatoires sur la Shoah, les lois votées pour moraliser les campus ne produisent qu’un effet inverse : le rire ou l’indifférence. L’État croit encore qu’on guérit le réel par la pédagogie. Il ne voit pas qu’il a changé de peuple.
La bourgeoisie conservatrice, elle, s’indigne sans rompre. Elle ne veut pas admettre que la France vit déjà, en sourdine, une séparation de civilisations. L’université de Saint-Denis n’est pas un incident, c’est un avant-poste. Ce n’est pas l’extrême gauche qui convertit les foules, c’est la fatigue d’une nation qui ne sait plus ce qu’elle est.
J’ai connu, en mer, des capitaines qui ignoraient le sondeur. Ils préféraient leurs certitudes à l’écume, la théorie à la houle. Et quand le navire sombrait, ils accusaient le vent. La France ressemble aujourd’hui à ce bâtiment en perdition, conduit par des officiers qui refusent d’admettre que les brisants sont là. Le commandant qui nie la côte finit par s’y fracasser. Et le navire de la République, aveuglé par ses principes et ses pudeurs, se déchire lentement sur les récifs du réel.
Ernst Jünger aurait pu dire que « la décadence n’est pas la chute des corps, mais la perte des âmes. » Nous y sommes. La France, qui fut un continent spirituel, s’abandonne au confort de la lâcheté. Le journaliste du Figaro, en croyant ménager la vérité, en devient complice. Il regarde la mer, mais il n’entend plus son grondement.
Le vent s’est levé quand je suis sorti du bar. Le large était d’un gris profond, chargé de promesses et de périls. Les pêcheurs étaient déjà partis pour la marée du matin. Eux au moins savent que le réel ne pardonne pas. Le monde, comme la mer, ne se discute pas : il s’affronte.
Source : breizh.info
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Énième épisode de l’énième saison des jeux du cirque parlementaire
La chronique de Philippe Randa
« Mieux vaut en rire qu’en pleurer », dit-on… Mais constatons qu’on entend peu de rires, beaucoup de soupirs, et plus encore d’effarements de la part des « observateurs attentifs » de la vie politique française ces derniers temps.
Et pour cause ! Toutes les théories possibles et imaginables, souvent nées de réflexions que l’on voudrait savantes (ou sur fond de complotisme pour certains) se fracassent immanquablement sur un spectacle d’incompréhension : celui de l’Assemblée nationale, celui des éphémères gouvernements d’éphémères Premier ministres, celui des matamoresques déclarations des uns et celui des prêchis-prêchas des autres…
Chaque jour apporte désormais, à défaut d’inespérées solutions, son nouvel « épisode », comme dans tous ces « soap operas » qui n’en finissent plus ; à cette différence près que l’on poursuit généralement une série parce qu’elle a du succès auprès de ceux qui la regarde, tandis les affligeants spectacles des actuels élus dépriment ceux qui sont les premiers concernés.
Dernier avatar parlementaire à l’heure où ces lignes sont écrites, la menace d’Olivier Faure, Premier secrétaire d’un Parti socialiste ayant si lourdement pesé à la dernière élection présidentielle (1,7% des suffrages exprimés) de « savoir si nous allons à la dissolution à la fin de la semaine prochaine » ce qui doit, comme on s’en doute, faire trembler dans toutes les chaumières françaises !
Le motif d’une telle menace ? « Obtenir du gouvernement des concessions sur la justice fiscale », c’est-à-dire imposer coûte que coûte la fameuse Taxe Zucman, cet impôt de 2% minimum sur les patrimoines à partir de 100 millions d’€ : à prendre ou à laisser… et toute modification serait un « casus belli », assure-t-il. Non mais !
Aucune modification, donc… mais il est toutefois possible, toujours selon le député de Seine-et-Marne, d’envisager des amendements de repli, comme l’instauration d’un impôt minimum de 3% sur les hauts patrimoines, à partir de 10 millions d’€.
Une telle pirouette force l’admiration, à défaut d’un début de compréhension, et à l’évidence, ne peut que renforcer le sentiment de manipulation – pour ne pas dire de « foutage de gueule » – que peut ressentir le citoyen lambda… Combien en reste-il d’ailleurs, d’attentifs à ces jeux du cirque parlementaire ?
Et combien d’entre eux ont désormais le pouce tourné vers le sol ?
On se doute que le citoyen lambda en perd, sinon un latin que bien peu possède encore, tout au moins ce qu’il pouvait bien avoir encore de considérations pour des hommes (et femmes) politiques que le monde entier est sensé nous envier…
Ce à quoi l’humoriste Coluche, en son temps déjà, préconisait que ce monde entier-là « pourrait venir les chercher. »
Mais qu’en ferait-il ?
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Le JDNEWS d'aujourd'hui présente la révolution économique de Sarah Knafo
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mardi, 28 octobre 2025
Emmanuel Macron et son obsession de museler la parole sur Internet
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Depuis qu’il est aux manettes, Emmanuel Macron affiche une obsession : contrôler internet, museler les réseaux sociaux. Ce n’est pas un hasard, c’est un projet politique assumé ; derrière l'illusion d’un « débat » sur les « menaces pour la démocratie » vient se profiler l’unique objectif : réduire au silence ce contre-pouvoir si précieux, celui des peuples français et européens.
Car voilà la vérité : dans leur œil se dessine la crainte de cette gronde populaire qui s’exprime, de cette réalité brute qu’ils ne contrôlent pas. Ils veulent verrouiller le flux, filtrer le verbe, interdire la parole libre. Et pour ce faire, Macron s’appuie sur des mécanismes d’État, mais aussi sur cette machinerie lourde qu’est la Commission européenne : des entités non-élues qui, derrière des injonctions idéologiques, entendent réguler, surveiller, rendre infertile l’espace d’expression.
Ne vous y trompez pas : ce « débat » annoncé n’est qu'une mascarade. Une de plus. Le but n’est pas d’écouter, de comprendre ou de dialoguer, mais de préparer les mesures qui vont calibrer la parole. Censure ou quasi-censure des réseaux sociaux, voilà le futur qu’ils nous dessinent. Ils paniquent devant la vérité, ils tremblent devant la colère qui monte. Leur Système vacille, et que fait-on quand on sent l’effondrement arriver ? On devient autoritaire, on fracasse les libertés.
Macron proclame vouloir « protéger la démocratie » mais c’est justement la démocratie qu’il étouffe. En silence - ou presque - se construit la version électronique de l’ordre moral d’État. Pour eux, la liberté d’expression est une menace. Pour nous, elle est la dernière barricade. Et tant que flottera la voix du peuple sur les réseaux, ils ne dormiront pas tranquilles : d’où cette entreprise de neutralisation qu’ils appellent « réforme ».
Le blog de Thomas Joly cliquez ici
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Eric Zemmour était lundi matin sur BFM TV
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Le chrétien irakien assassiné Ashur Sarnaya, était menacé depuis des mois par des djihadistes autoproclamés
Chrétiens d'Irak qui, malgré les persécutions, gardent leur Foie
Michel Festivi
Les investigations sur cet assassinat odieux avancent à grand pas. L’arrestation du principal suspect, un algérien, Sabri B., qui s’était replié en Italie, a permis aux enquêteurs d’établirent le niveau massif de haine qui s’était focalisé à l’encontre de ce chrétien d’Orient. J’ai relaté dans un précédent article, les circonstances abjectes de son exécution, à la machette, par derrière, alors qu’il venait de franchir avec difficultés le seuil de la porte d’entrée de son immeuble, pour prendre l’air, sur son fauteuil roulant, car il était handicapé de naissance. L’islamologue Gilles Kepel avait analysé « un djihadisme d’atmosphère », visiblement cela peut tuer. Comme il l’avait décrypté après les assassinats de Samuel Paty et d’autres attentats : « Il n’y a plus de donneur d’ordre, il y a d’un côté des entrepreneurs de colère qui vont désigner des cibles... et vous aurez d’autres personnes qui se seront déjà radicalisés en ce sens, sur le web ou à travers des sermons particulièrement virulents... qui vont décider de passer à l’action, sans appartenir à une organisation. » Cf son intervention du 30 avril 2021 sur le site même du Comité interministériel de la prévention de la délinquance et de la radicalisation.
De très nombreuses attaques en ligne, proférées par des internautes qui se voulaient musulmans, se sont déchainées contre celui qui avait le tort de diffuser sur son site TikTok, des prières chrétiennes, des signes de Croix, des chants à la gloire du Christ, et qui était suivi par 15000 personnes. Tout cela, pour certains était proprement inacceptable, et il fallait y mettre fin, comme le relate Le Figaro du 26 octobre, dans un excellent article de Jean Chichizola : « Pour ces internautes musulmans, il était intolérable que cet homme déambulant en fauteuil roulant dans son quartier, prenne plaisir à évoquer sur la toile....le christianisme et son message ».
L’un d’eux a fait valoir le trop fameux verset coranique : « ceux qui ne croient pas à nos versets, nous les brulerons bientôt dans le feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, nous leur donneront d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au châtiment », comme le rapporte l’article. Véritable proclamation de haine envers les chrétiens, les juifs ou les mécréants, ceux que le Livre nomme, dans certaines sourates les associateurs ! (Coran, S4, V 56-57).
D’autres ont été encore plus direct dans l’odieux : Je crache sur ton Dieu...Jésus est une vraie ordure ». Un autre insulteur, se présentant comme palestinien vivant à Lyon, le menaçait régulièrement « je vais venir prépare-toi », ou encore pour un autre « si on te trouve, on te tue ». À l’été 2025, Ashur avait reçu d’autres menaces « nous savons où tu es, ce que tu fais, change ton discours, prend garde, cela ne continuera pas ainsi », ou encore « c’est moi qui t’ai menacé lors d’un live, ça ne va pas se passer comme cela. Nous t’avons à l’œil ». Tout cela dans l’impunité la plus totale.
Et ce message, parfaitement révélateur de l’impunité dont jouissent certains : « l’Islam et les musulmans sont pour vous une angoisse parce que c’est la religion de la justice, de l’amour, de la paix, du pardon... ». Effectivement, tout est dit : religion de paix et d’amour comme le proclament parfois certains imams, dans certaines mosquées, comme l’a relevé Gilles Kepel.
Fort courageusement, Ashur Sarnaya s’était adressé à ceux qui envisageaient de le trucider : « Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, Amen ... Hier j’ai été victime d’une attaque barbare par nos frères musulmans, oui, ils sont venus...ils m’ont dénoncé...vous savez que mes diffusions sont toujours chrétiennes. J’essaie de parler de la Bible. J’essaie de transmettre la parole de Dieu au monde... je remercie le Seigneur Jésus vivant. Eux, ils ne le supportent pas... la miséricorde ». Contrairement à ses menaceurs, Ashur faisait preuve, lui, d’une tolérance admirable en tout point conforme aux Évangiles : « si tu ne veux pas entendre la parole de la vérité, mon cher, ça ne me dérange pas du tout, aucun problème avec toi.... Va voir d’autres diffusions qui sont ouvertes, ne bloque pas mon frère, je fais des directs chrétiens ».
Puis s’adressant à ceux là même qui lui promettaient la mort dans d’atroces souffrances, il leur disait : « mes amis, paix du Christ, roi de la paix, Dieu de la paix, à tous ceux qui m’écoutent. Que Dieu bénisse vos rêves. »
Mais cela était insupportable pour d’aucuns internautes. Ils devaient mettre fin à ces prêches inoffensifs et rempli d’aménité, d’un chrétien déambulant en fauteuil roulant et évoquant sa foi chrétienne, des chants chrétiens, la parole du Christ. L’un d’entre eux s’en est finalement chargé, au nom de certains autres. Je n’ai pas entendu chez les tenants du progressisme, de l’humanisme à tout crin, le moindre mot, la moindre parole de réprobation, alors que pourtant ils prétendent être dans le camp du bien et lutter contre les fascismes, comme ils disent, et qu’ils ont l’invective facile. J’imagine la réciproque, un musulman assassiné par un chrétien, et des messages de haine de chrétiens à profusion…Imaginons qu’elles auraient été les réactions.
10:14 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Victoire électorale de Javier Milei en Argentine : sidération au sein de la Gauche française
Jean-Pierre Trédia, Breizh Info cliquez ici
Javier Milei et son parti La Libertad Avanza viennent de remporter ce dimanche les élections législatives de mi-mandat en Argentine. Le parti présidentiel a raflé 40,7% des voix, ce qui l’emmène à tripler son nombre de sièges, passant de 37 à 101 sur un total de 257 !
En France, à Gauche, la sidération est totale. Depuis des semaines, les oulémas du Mélenchonisme prédisaient une révolution en Argentine. Décrivant à l’envie un peuple argentin en quasi-état de sécession par rapport à l’Etat, rejetant le Mileisme comme étant une parenthèse honteuse et réclamant le retour de la Gauche au pouvoir. Las ! Les urnes ont parlé et les multiples « spécialistes » auto-proclamés de l’Amérique du Sud dans l’Ouma mélenchoniste se sont encore payés de mots.
Et cet aveuglement est « systémique » pour utiliser un mot à la mode. Le processus est parfaitement décrit dans "La Meute" , le livre de Charlotte Belaïche et d’Olivier Pérou décrivant le système de la mélenchosphère et se confirme chaque jour : la Gauche, qui se résume de plus en plus à l’extrême-gauche et au wokisme, vit dans une bulle algorithmique où tout le monde est d’accord avec elle et où ses élucubrations sont des évidences coraniques. Comme les militants gauchistes refusent le réel, refusent de côtoyer des personnes ne pensant pas comme eux, refusent de lire une autre presse que la leur, ils finissent par s’auto-enfermer dans un monde idéal et parfaitement clos.
En effet, dans le monde gauchiste, Javier Milei était proche d’envoyer les chars pour mater « l’insurrection populaire », le Venezuela est un paradis socialiste où l’opposition est « néo-nazie ». D’ailleurs, le néo-nazisme gangrène la France, la police et les plus hautes sphères de l’Etat. Pour les gauchistes, la délinquance urbaine est l’oeuvre de « skinheads » pratiquant des ratonades avec la complicité active de la police, elle-même noyautée par des extrémistes de droite. D’ailleurs, la « police française tue » impunément des citoyens, notamment d’origine immigrée. Chaque jour. Chaque heure. C’est bien simple, la France c’est le Chili sous Pinochet !
Au niveau électoral, malgré ses scores présentement catastrophiques dans les sondages « Mélenchon est largement sous-estimé ». Après de savants calculs, certains arrivent même à déterminer son score à la prochaine présidentielle. Score gagnant bien entendu, le tout étant de savoir s’il sera élu au premier tour ou s’il devra s’astreindre à un second tour, « histoire d’humilier Le Pen ».
Et la France dans tout cela ? Un assemblage de « quartiers populaires » acquise au Mélenchonisme, faisant face aux restes moisis de la France d’avant-mais-qui-n’a-jamais-existé rotant et pétant allègrement lors de banquets « islamophobes » où l’on mange du cochon et où l’on boit du mauvais vin. Cette France devenant « heureusement » de jour en jour quantité négligeable, dernières flatulences d’un monde ouvrier, paysan, artisan et employé blanc « bollorisé » et attaché à ses « traditions nauséabondes » appelé à disparaitre devant la créolisation urbaine et colorée. Société créolisée qui, d’ailleurs, résoudra le problème principal qui gangrène la France : « le racisme ».
D’ailleurs quand Mélenchon et ses gardes rouges seront au pouvoir, les médias Bolloré seront fermés et Pierre-Edouard Stérin envoyé en camp de travail. Ce qui fera disparaître, comme par enchantement, toutes les mauvaises pensées et les navrants « relents » des électeurs RN qui reviendront à LFI ou crèveront dans leur choucroute et leur pâté de campagne pour les plus « nazis ».
Tous les militants politiques sont plus ou moins enfermés dans une bulle où leur camp recueille tous les suffrages, bien entendu. Mais dans le cas de l’extrême-gauche mélenchoniste actuelle, cet effet-bulle devient pathologique. Les diverses chapelles de l’extrême-gauche trotskyste à la Lutte Ouvrière, POI ou NPA se vivent comme étant une avant-garde besogneuse qui attend un Grand Soir hypothétique avec discipline. Il y a une dimension sacrificielle dans cette extrême-gauche condamnée, et elle le sait, à la marginalité. Mais l’Ouma LFI est, elle, persuadée de représenter la majorité des Français, ces Français ressemblant, dans leur vision de la réalité, peu ou prou à la population de la Seine Saint-Denis. Idem à l’extérieur où la moindre étincelle gauchiste devient une promesse de prise de pouvoir sous trois semaines maximum.
En ce début de semaine, la Gauche mélenchoniste ne parle plus de l’Argentine. Les multiples spécialistes autoproclamés de l’Amérique du Sud ont prudemment baissé le rideau. Attendons qu’au Honduras ou au Costa-Rica, une manifestation regroupe plus de 10 000 personnes pour que le Mélenchonisme reparte dans ses rêves de Palais d’hiver.
Quant à la prochaine présidentielle française, il y a fort à parier que jusqu’au dernier moment, la ferme à troll dédiée à Mélenchon annoncera des scores stratosphériques « que les médias n’ont pas vu venir ». La stratégie des 600 000 voix à aller chercher chez les immigrés découle de la croyance qu’à la dernière présidentielle, Mélenchon a manqué le second tour d’un rien.
Et si cette stratégie ne porte pas ses fruits, la mise en accusation automatique du PS comme étant responsable de « l’échec de la Gauche » est déjà prête. Ce n’est jamais de la faute de Mélenchon, ce n’est jamais de la faute de la « vraie gauche ».
Imparable !
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lundi, 27 octobre 2025
Samedi 1er novembre : 3e salon du livre jeunesse du Blanc (36)
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Non à l’usine à taxes, oui à la baisse massive des dépenses : le contre-budget de Sarah Knafo
Tribune de Sarah Knafo publiée dans Le Figaro :
Comment résumer notre situation économique ? Par une avalanche fiscale et une fuite en avant dépensière, que le budget Lecornu aggrave encore. S’il était voté en l’état, les prélèvements obligatoires augmenteraient de 40 milliards d’euros, avec l’invention de plus de 15 nouvelles taxes et augmentations de prélèvements.
Une véritable usine à taxes.
Rappelons que la France n’a pas un problème de recettes - elle a le taux de recettes sur PIB le plus élevé au monde ! Elle a un problème de dépenses, avec le taux de dépenses publiques le plus élevé au monde. Pourtant, avec ce budget, les dépenses publiques augmenteraient encore de 29 milliards d’euros.
Voilà le drame : on aura beau augmenter les impôts, tant que l'on ne baissera pas massivement les dépenses, la dette se creusera inexorablement. Et c’est d’ailleurs ce que prévoit ce budget : une augmentation de 145 milliards d’euros de dette d’ici la fin de l’année. On sait déjà que ce sera pire : on entamera 2027 avec 4.000 milliards de dette.
Pour éviter le naufrage, il faut donc refuser en bloc cette logique, dans laquelle les politiciens augmentent les impôts pour dépenser plus. Je propose exactement l’inverse : dépenser moins pour taxer moins. Pour cela, j’ai construit un mode d’emploi pour sortir de l’impasse, un plan d’urgence clé en main à destination des Parlementaires qui entrent dans cette discussion budgétaire. En voici les grandes lignes.
Les Parlementaires doivent d’abord avoir le courage de refuser en bloc l’avalanche fiscale du budget Lecornu :
- Rejeter l’augmentation de l’impôt sur le revenu et de la CSG. Elle est insupportable pour les Français qui voient déjà leur niveau de vie décliner.
- Refuser la taxe sur les tickets restaurant et chèques cadeaux. Si ces chèques augmentent, c’est que nous sommes tellement taxés qu’ils permettent d’obtenir un peu de pouvoir d’achat en contournant un peu l’impôt. Le gouvernement veut refermer cette dernière lucarne en les taxant à 8% : les Français auront donc moins. Quel signal enverrait la classe politique en retirant les jouets des enfants au pied du sapin, jouets souvent payés en chèques cadeaux, parce qu’elle ne veut pas baisser ses propres dépenses ?
- Supprimer la taxe exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises. Comme son nom l’indique, cette taxe devait être exceptionnelle, mais elle est reconduite à des taux confiscatoires (jusqu’à 45% des bénéfices). Nos grandes entreprises, Stellantis, Renault, Michelin, Dassault, Airbus, celles qui subissent la concurrence internationale, seront encore pénalisées. Les industries étrangères pourront se frotter les mains, puisque seuls les produits importés échapperont encore à cette folie de taxes !
- Rejeter la taxe sur les holdings patrimoniales. L’argent qui est placé sur une holding échappe à l’impôt sur le revenu tant qu’il reste sur la holding et n’est pas dépensé. Cette taxe fera sortir l’argent non des holdings, mais de France.
- Rejeter l’augmentation des malus écologiques sur l’achat d’un véhicule. Même les voitures comme la 208 ou la Clio subiront désormais cette nouvelle taxe. Pour certains monospaces, le malus doit pratiquement doubler cette année et tripler en 2027 : l’État prendra plus de 3.000€ de malus sur un Renault Espace. C’est catastrophique pour le pouvoir d’achat comme pour l’industrie automobile.
- Rejeter la fiscalisation des indemnités journalières pour les maladies longue durée. Avec cette taxe, il ne s’agit pas de lutter contre les abus réels mais d’autre chose : une personne qui subit des séances de chimiothérapie, et qui est donc en arrêt de travail touche des indemnités journalières (inférieures à son salaire). Elles seront désormais imposées sur le revenu. Peut-on faire plus mesquin ?
- Rejeter la fin des exonérations de charge pour les apprentis. Les précédents gouvernements ont favorisé l’apprentissage et le nombre d’apprentis a plus que doublé en 10 ans. Cela doit continuer, car pour le dire vite : nous avons besoin de plus d’apprentis et de moins d’étudiants en sociologie.
- Rejeter la taxe sur les complémentaires santé, non pas pour défendre les complémentaires, mais parce que cette taxe sera immédiatement répercutée sur nous tous, les clients captifs. C’est encore du pouvoir d’achat en moins. L’enfer fiscal est souvent pavé des meilleures intentions.
- Rejeter l’augmentation des malus écologiques ainsi que les taxes sur les liquides pour cigarettes électroniques, sur les emballages plastiques, sur la fabrication du permis de conduire, sur les bio-carburants… Ces taxes mesquines rappellent les impôts de l’Ancien Régime, quand le pouvoir, à court d’argent, taxait le sel, le papier, ou la porte des granges.
Puisqu’il ne faut plus compter sur des hausses de recettes mais sur des baisses de dépenses pour résoudre nos problèmes, je propose 80 milliards d’euros d'économies réalisables immédiatement.
- 15 milliards en stoppant la gabegie de l’aide publique au développement.
- Entre 15 et 20 milliards en réservant les prestations sociales non contributives aux Français.
- 8 milliards en supprimant les soutiens publics aux énergies renouvelables.
- 3 milliards en décidant de faire payer leurs études aux étudiants étrangers, comme tant d’autres démocraties accueillantes et attractives pour les jeunes talents.
- Supprimer les subventions aux associations politisées (jusqu’à 2 milliards d’euros), aux syndicats (150 millions d’euros) et à la presse (177 millions d’euros). Ces organisations pourront vivre de la générosité de leurs membres et du fruit de leur travail : le modèle de la subvention a fait son temps.
Forts de ces économies, et à l’inverse de la démarche taxatrice de ce projet de budget, les Parlementaires peuvent, dès cet automne, libérer la production et l’envie de s’enrichir en France. Supprimons les impôts de succession et la CVAE, cet impôt tellement contre-productif, avant de supprimer tous les impôts de production. C’est le meilleur moyen de renouer avec la prospérité.
Au total, les mesures que je propose baissent les prélèvements obligatoires de 20 milliards et la dépense publique de 80 milliards, alors que le budget Lecornu augmente les prélèvements obligatoires de 40 milliards et la dépense publique de 29 milliards. Mon plan d’urgence présente un meilleur impact à la fois contre le déficit et pour la croissance. C’est le contraire d’une démarche spoliatrice et austère. Ces mesures ne prennent pas un centime aux Français ni aux entreprises. Elles ne réduisent pas le niveau de service public. Elles sont consensuelles dans l’opinion et directement applicables.
La discussion budgétaire commence à l'Assemblée : plutôt que regarder passivement la gauche inventer de nouveaux impôts et de nouvelles dépenses, comme depuis 40 ans, la droite a l’opportunité unique de se coordonner sur ces mesures de bon sens. Elle dispose de suffisamment de voix pour entamer le redressement nécessaire. J’ai fait les comptes et proposé les mesures : la droite a les chiffres, aura-t-elle le courage ?
Source cliquez ici
22:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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La France malade de ses politiques

Le billet de Patrick Parment
La fameuse loi Dutreil qui tend à faciliter la transmission des entreprises – exonération de 75% - relevait du bon sens. Mais c’est le cas Dutreil qui est intéressant. Sa formation, Normale Sup, Ena a rapidement fait de lui un homme politique et décrocher un poste de ministre du Commerce et de l’artisanat de 2002 à 2007. Puis il a quitté la politique pour embrasser une carrière industrielle, notamment chez LVMH. A la suite de quoi il a rejoint le groupe suisse Mirabaud où il a pris en charge la branche capital-investissement. Et là les choses se sont gâtées. En 2025, il a subi des pertes importantes et on lui prête une possible nomination à la banque Lazard.
Tout cela pour dire que le diplôme ne fait pas l’homme. Et en politique les exemples sont nombreux de ces surdiplômés qui sont à côté de la plaque, c’est-à-dire ignorant du peuple. L’exemple le plus saignant est celui d’Alain Juppé qui n’a rien compris en confondant la politique côté cuisine avec Le politique qui forge les grands hommes. C’est d’ailleurs aussi vrai pour son mentor, le calamiteux Jacques Chirac. Contrairement à une idée reçue, Chirac n’aimait pas les gens et n’appréciait que les élus. L’intelligence de ces gens-là est au service du rien. L’un comme l’autre n’ont jamais parlé de la France comme entité charnelle et culturelle, mais uniquement en termes électoraux. Un Laurent Wauquiez est en train de nous en faire également la démonstration : Normale sup-Ena et au final une incompréhension totale des vrais enjeux : immigration, insécurité, défense de notre identité face à un islam devant lequel nos politiques baissent pavillon. Wauquiez n’est obsédé que par l’idée d’être candidat à la prochaine présidentielle. D’où le bras de fer qu’il a engagé avec Bruno Retailleau. On se fout de cette querelle d’égo. Citez-moi un crâne d’œuf ayant fait corps avec le peuple, à droite comme à gauche ? Personne. Tout le drame de la politique française actuelle est là. Un Etat bouffé par l’ignorance de ses pseudo élites. J’allais oublier un certain Emmanuel Macron ! Fermez le ban.
11:10 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) |
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