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lundi, 12 août 2024

Venez nombreux assister, samedi 17 août, aux journées porte ouverte de l'université d'été d'Academia Christiana

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Samedi 17 août, 

rendez-vous sur le stand de Synthèse nationale.

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dimanche, 11 août 2024

La Marseillaise, tube de l’été

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Pascal Praud

Il est près de minuit ce vendredi 2 août. L’émission « Quels Jeux » diffusée sur France 2 touche à sa fin. Léa Salamé entonne une Marseillaise en guise de Bonne Nuit les petits. Laurent Luyat, Camille Lacourt, Patrick Bruel ont du bleu, blanc, rouge dans les yeux. Le public suit. Tous reprennent en chœur : « Qu’un sang impur, abreuve nos sillons. »

La Marseillaise, paroles et musique de Claude Joseph Rouget de Lisle, composée durant la nuit du 25 au 26 avril 1792, hymne national sans discontinuer depuis 1879, est aussi le tube de l’été 2024. Ce n’est pas le moindre des paradoxes pour une France que beaucoup d’entre nous jugent fracturée, archipellisée ou perdue, et qui chante à tue-tête son enthousiasme de la rue Lepic à Montmartre jusque dans les allées du château à Versailles. Drôle de pays : accablé en juin, exalté en août. Avec un angélisme que je ne lui connaissais pas, Laurent Joffrin a pointé la responsabilité de la presse durant la période qui a précédé les JO : « Le remplacement de l’esprit critique par la manie du dénigrement, dont le “JO bashing” ne fut qu’un nouvel avatar, produit des effets délétères sur la démocratie », écrit-il sur lejournal.info. Et de titrer : « Tout devait mal se passer dans ces JO, tout se passe bien : cherchez l’erreur journalistique. » Ce cher Laurent oublie le temps où il dézinguait Nicolas Sarkozy pour un oui pour un non.

Il omet également de préciser les conditions qui ont permis cette parenthèse enchantée : des policiers sur le qui-vive 24 heures sur 24, policiers une nouvelle fois qui méritent notre respect et notre gratitude. Ce dispositif de sécurité hors du commun a mis Paris sous cloche. Les spectateurs sont venus voir les épreuves en famille, le père, la mère et les enfants : un public, j’allais dire issu des classes moyennes sans les voyous ou les hooligans qui envahissent chaque dimanche les stades de football. La tranquillité a régné. Que dit monsieur Joffrin quand on lui parle sécurité ? Il répond éducation. Ces JO montrent une chose : quand on veut, on peut. Les promeneurs du Champ-de-Mars ont retrouvé leur jardin comme il l’était jadis sous Georges Pompidou. La ville est propre comme elle ne le fut jamais avec Anne Hidalgo. Oui, quand une volonté politique existe, les résultats suivent.

J’ajoute que les médailles françaises ont transformé un succès général en un triomphe national. Le monde a découvert des sportifs valeureux et des âmes fortes, des jeunes gens qui pleurent, que ces larmes fussent de gloire ou de désespoir. Des jeunes gens bien dans leurs tongs qui ne mettent pas la main devant leur bouche quand ils se parlent entre eux sur un podium. Des jeunes gens qui ne jouent pas les Jean Moulin en short pour donner la leçon du haut de leurs 20 ans.

Je n’ai de conseils à donner à personne mais aux parents je dirais : inscrivez votre fils ou votre fille dans un club de sport. Peu importe la discipline. Parmi les lois qu’il adoptera, je retiens celle de l’autorité. Oui, l’autorité de l’entraîneur Bob Bowman sur Léon Marchand, quand il évoque ses années d’entraînement : « Je ne lui ai pas hurlé dessus mais je n’en étais pas loin. » L’allégeance au maître hausse le niveau de l’élève. Le quadruple médaillé d’or n’a pas rechigné. Il n’a pas crié au manque de respect. Il a écouté. Il a bossé. Il a gagné. Puissent les valeurs du sport infuser la société tout entière.

Léon Marchand vs Louis Boyard

Il suffit de pas grand-chose pour changer la vitrine made in France. Quelques jours, quelques exploits, quelques visages ont entrouvert un autre possible. Il y a la France de Léon Marchand et celle de Louis Boyard. Ils ont quasiment le même âge.

L’un mène un projet de vie, travaille pour réussir, remporte quatre médailles d’or et garde la tête froide. Sa figure respire équilibre, force et humilité. Nul besoin d’étudier la morphopsychologie pour le voir.

L’autre appartient à cette famille d’énergumènes qu’on croise un jour ou l’autre, au collège, dans un train ou à la boulangerie, la bêtise en sautoir, l’arrogance en bandoulière, le genre morveux. L’époque instrumentalise les microcéphales. Ils battent le pavé et gagnent des sièges à l’Assemblée nationale. Louis Boyard est un des porte-parole de La France insoumise, idiot utile d’une stratégie imaginée par qui vous savez. Jean-Luc Mélenchon et ses amis empoisonnent le débat public comme une goutte de cyanure contamine toute une bouteille. Chacun remarquera le silence des hiérarques LFI ces quinze derniers jours. Comme si ces victoires, ces sourires, ces joies contrariaient les plans du grand soir.

 Le 25 juillet, la veille de l’ouverture des Jeux, La France insoumise lançait une commission d’en- quête parlementaire. « Le modèle des JO organisé aujourd’hui par le CIO n’a plus rien à voir avec la cohésion et le plaisir du sport », dénonçait la députée Clémence Guetté. Quelle vista ! Ces gens n’ont qu’un but : mettre à bas un système qu’ils remplaceront par une nouvelle nomenklatura.

Source : Journal du dimanche 11/8/2024

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Du 12 au 18 août, en Anjou : l'université d'été d'Academia christiana

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samedi, 10 août 2024

L’ordure comme moyen d’expression du Pouvoir

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Bernard Plouvier

En 1936, même un Thorez, un Daladier ou un Salengro savaient exprimer des idées parfois assez rudes en un français correct… seule la Prima Donna Blum se laissait parfois aller à « haïr » ses adversaires politiques à la tribune de la Chambre.

De Gaulle savait anéantir ses nombreux opposants en usant de répliques cinglantes, sans jamais recourir à la vulgarité, comme d’ailleurs ses successeurs Pompidou, Giscard ou Mitterrand. Le style canaille ou relâché est arrivé plus tard.

De nos jours, nous sommes, du moins officiellement, dirigés par des furies – puisque les genres ni les sexes ne sont plus fixes ni fiables, utilisons le mot quel que soit l’individu envisagé – qui, dans leur langage branché autant que vipérin, ne reculent plus devant l’injure la plus grossière… et dans ce domaine, ce n’est même pas Mélenchon qui descend le plus bas !

Après le Président Emmanuel Macron qui avait « envie d’emmerder les Français » - il y arrive d’ailleurs fort bien, étant même un virtuose de la chose -, c’est la mairesse de Paris, la dénommée Hidalgo, qui éructe un « Fuck les réacs, fuck l’extrême-droite »… faut-il croire que l’honorable mairesse a de quoi « fucker » activement les uns et les autres, comme une boxeuse dotée de chromosome Y ?

Sous Hidalgo, le Gai Paris est devenu la ville aux rats en goguette vespérale et nocturne, puis la capitale du Gay sous toutes ses formes : plantureuses, décadentes, moches, puant la bêtise, l’obscénité et le blasphème – ce qui étonne même un athée !         

Au pays de Robespierre – certes « terroriste » mais de langage toujours châtié et de tenue toujours irréprochable -, nos actuelles « élites » fleurent le caniveau… et, en dépit de parfums coûteux, la chose est toujours malodorante. Toutefois en démocratie, il convient de respecter la vox populi. Si les immondices de la France des années 2020 sq. forment le spectacle « sons et images » que la Nation veut donner d’elle-même et des élus qu’elle a désignés pour faire semblant d’administrer l’État, c’est fort bien. Inclinons-nous devant les pitres et l’ordure verbale.  

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Espagne : Puigdemont a regagné Warterloo avec la complicité active de Pedro Sanchez

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Michel Festivi  

Un petit tour et puis s'en va, c'est ainsi que l'on pourrait résumer l’escapade, jeudi dernier de Carles Puigdemont en Catalogne. Les Mossos d’Esquadra, la police catalane sont sur la sellette pour ne pas avoir arrêter le chef indépendantiste catalan, alors qu’il était annoncé et qu’il a tenu un meeting au vu et au su de tous. Tous les commentateurs espagnols soulignent que l’Espagne est tournée en dérision et que la démocratie espagnole a été profondément bafouée, le pouvoir n’ayant pas permis l’application des décisions de justice. Puigdemont a fait savoir qu’il avait regagné Waterloo en Belgique, où il est en exil depuis 2017, échappant ainsi à un mandat d’arrêt.

Mais à n’en pas douter, cette tragi-comédie n’a pu se faire qu’avec la complicité active du pouvoir, et plus précisément de Pedro Sanchez. C’est l’avis du patron du Parti populaire de Catalogne, 15 élus au parlement de Barcelone, Alejandro Fernandez qui est persuadé qu’un accord occulte avait été passé entre Puigdemont et Pedro Sanchez, du donnant donnant du style : « je te laisse en liberté, tu ne fais rien pour empêcher l’élection de Salvador Illa Président de la Generalitat, et tu continues à me soutenir aux Cortès ». Ce pacte semi-mafieux politiquement, permet aussi à Puigdemont de se valoriser, de démontrer qu’il existe toujours, et que son appui est indispensable au pouvoir.

Car comme convenu, le représentant de Pedro Sanchez en Catalogne, Salvador Illa a été élu jeudi, Président de la Catalogne, avec juste la majorité requise des 68 voix, les 42 de son propre parti le PSC, les 20 de la gauche catalane l’ERC, et les 6 élus de l’extrême gauche Comuns Sumar. Tous les autres partis ont voté contre, même les élus Junts, mais cela était pour la galerie, pour la forme.

Alejandro Fernandez a beau affirmer que “l’alternative en Catalogne doit se construire contre les nationalistes catalans et non avec eux », la Catalogne a obtenu un effacement considérable de ses dettes vis-à-vis du pouvoir central et la possibilité de lever et encaisser les impôts, ce qui met en rage de très nombreux espagnols et d’autres régions qui s’estiment lésées et flouées.

Salvador Illa, qui fut un temps ministre de la santé socialiste lors de la pandémie, avait été très vivement attaqué pour ses mesures liberticides par la Présidente de la Communauté de Madrid, la très vigoureuse Isabel Diaz Ayuso qui a qualifié ce dernier d’être en Catalogne désormais « Le cheval de Troie de l’indépendantisme xénophobe ».  Le quotidien El Español titrait que « cette nouvelle fuite, mettait en évidence l’insoutenable position de Sanchez dans son appui à Puigdemont ».

En tout cas, depuis fin 2018, et grâce à une poignée de députés indépendantistes, dont certains ont du sang sur les mains, comme des élus de Euskal Herria Bildu, Pedro Sanchez, avec l’appui des communistes, se maintient au gouvernement et met l’Espagne en coupe réglée. Lois favorisant les squatters et les occupants illégaux, lois permettant des changements de genre sans aucun contrôle d’aucune sorte, lois liberticides qui effacent la Geste des patriotes nationaux qui ont sauvé le pays du communisme en 1936 et du nazisme en 1940 et les années suivantes, multiplications des atteintes aux libertés publiques qui empêchent les manifestations habituelles du 20 novembre à la mémoire glorieuse de Francisco Franco et de José Primo de Rivera. Bref, l’Espagne profonde est en train de périr sous nos yeux, les anciennes et glorieuses contrées de la Castille se dépeuplent, c’est l’Espagne vide, España vacia, comme l’ont dénommée des observateurs attentifs. Pourtant, à partir des années 1950, l’Espagne connut une croissance économique impressionnante, avoisinant certaines années les 8%. A la fin du Régime franquiste, ce dernier a multiplié les lois qui ont permis et facilité cette fameuse « transition démocratique », comme l’a souligné l’historien Luis Pio Moa. C’est tout ce passé illustre, que sont en train d’effacer des mémoires et des esprits les ayants droit des révolutionnaires qui avaient pris en 1936 le pouvoir par les fraudes et la violence. L’Histoire serait-elle un perpétuel recommencement ?   

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Le nouveau numéro d'Éléments est sorti

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jeudi, 08 août 2024

Psychodrame en Catalogne : Mais où est donc passé Carles Puigdemont ?

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Michel Festivi 

Suite aux élections régionales catalanes du 12 mai dernier, que j’ai commentées dans ces mêmes colonnes, les députés locaux se sont réunis pour entériner un accord gouvernemental entre le Parti socialiste catalan de Salvador Illa, PSC arrivé en tête avec 42 élus, et la gauche indépendantiste catalane de Pere Aragonès l’ancien Président de la Generalitat, l’ERC, qui avait subi une très forte déconvenue en perdant 13 élus. Ce scrutin avait vu la chute des élus indépendantistes, qui toutes formations confondues ne parvenaient pas à obtenir la majorité absolue des 68 sièges, ce qui ne s’était pas produit depuis plusieurs années.

Il a donc fallu des semaines et des semaines de négociations pour parvenir à un accord entre le PSC et l’ERC, même si cet attelage hétéroclite n’a pas la majorité absolue non plus. Pour cela il lui faut à tout le moins l’abstention bienveillante des 35 députés de Junts per Catalunya, le parti de Carles Puigdemont. Or ce dernier depuis la Belgique où il était réfugié depuis 7 ans pour ne pas être incarcéré, soufflait sur les braises et faisait monter les enchères, sollicitant tant et plus, avec grand succès d’ailleurs.

Or ce jeudi 8 août, il est rentré en Catalogne, plus précisément à Barcelone, a prononcé un discours devant des milliers de sympathisants. « Vive la Catalogne libre » a proclamé celui qui est toujours visé par un mandat d’arrêt international pour ses atteintes aux institutions et à la constitution espagnole en 2017. Le patron des procureurs espagnols aurait interrompu ses vacances pour se rendre à Madrid, donner l’ordre aux procureurs de ne pas mettre à exécution ledit mandat d’arrêt. Car les magistrats qui suivent le dossier rechignent et entendent l’incarcérer, considérant que la dernière loi d’amnistie ne peut pas concerner le délit de sédition, ce qu’a confirmé la Cour suprême, Puigdemont dénonçant « l’attitude de rébellion de certains juges », et vitupérant contre le Parti populaire et surtout contre Vox, très en pointe contre cette amnistie et contre toute tentative de séparatisme.

Il y avait urgence à ce qu’un nouveau gouvernement catalan soit investi, car en cas de carence au 26 août prochain, de nouvelles élections auraient dû être programmées. Depuis 2010, ce sera la première fois qu’un non indépendantiste sera à la tête de l’exécutif à Barcelone, mais il y a lieu de remarquer qu’il est passé par leurs fourches caudines.

Après son discours, Puigdemont se serait enfui et il est depuis lors introuvable, si tant est qu’on a bien voulu sérieusement le rechercher. Les Mossos, la police catalane, seraient à sa recherche, Donde està Puigdemont peut-on entendre (Où est Puigdemont ?). Car les enjeux pour les socialistes sont doubles. Tout d’abord reprendre le contrôle de la Catalogne, cela semble fait, même s’ils sont en réalité pieds et poings liés aux indépendantistes.  Mais à Madrid, aux Cortès, Sanchez ne tient que par les voix des 7 députés Junts. Puigdemont peut à tout moment menacer de retirer son soutien et Sanchez tombera, il ne manque pas d’ailleurs de le faire. C’est pourquoi j’emploie le terme de psychodrame. Sanchez a tout intérêt à ce que le mandat d’arrêt contre Puigdemont ne soit pas mis à exécution, il y va du maintien de son pouvoir, et Puigdemont a tout intérêt de son côté à ne pas faire tomber Sanchez qui est son meilleur ennemi. La justice subit des pressions considérables, la séparation des pouvoirs est totalement bafouée, plusieurs magistrats qui ont en charge ce dossier ö combien sensible auraient fait valoir leurs droits à une retraite anticipée. En tout cas la police espagnole est la risée du monde entier, car elle aurait pu arrêter Puigdemont sans difficulté.

Tout cela semble cousu de fil blanc, et relève d’un véritable jeu de dupe, qui ne renforce pas la crédibilité du pouvoir et de sa police, qui fait semblant actuellement de le rechercher. Affaire à suivre, car les prochaines heures nous apporteront leurs lots de surprises.

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Royaume uni : le point de vue de Florian Philippot

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Revue de presse : En France, défendre la religion catholique est-il devenu un délit ?

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Rapphaelle Claisse Boulevard Voltaire cliquez ici

Malgré les réserves émises à ce sujet, les JO 2024 sont une réussite. C’est, du moins, ce que déclarent les touristes interrogés : les transports sont performants, la ville est propre, on s’y sent en sécurité. De quoi faire oublier les déconvenues d’une Seine peu baignable malgré le budget faramineux investi dans le projet et la cérémonie d’ouverture, sinon blasphématoire, au moins largement contestée.

Pourtant, ce lundi 7 août dans les rue de Paris, entre la Maison de la Radio et la rue de Matignon, un bus s’est fait remarquer : sur l’intégralité du véhicule était floquée la comparaison entre la Cène de Léonard de Vinci et le simulacre offensant de la cérémonie d’ouverture. Sous ce visuel, en caractères noirs imposants, est inscrit « Stop attacks on Christians » [arrêtez d’attaquer les chrétiens]. Cette action, autant choc que pacifique, a été organisée par CitizenGo. Le mouvement, qui revendique plus de 17,5 millions de citoyens actifs, avait déjà lancé une pétition au lendemain de la performance de Barbara Butch « Défendez votre foi : Stop aux moqueries des chrétiens aux Jeux olympiques de Paris ! » recueillant plus de 300.000 signatures.

« Ils ont été traités injustement, comme des criminels »

Les six membres de l’équipage du bus ainsi que son chauffeur ont été placés en garde à vue, ce lundi, après une journée de déambulation dans les rues parisiennes. Ces gardes à vue ont été levées. Selon Le Parisien ,le parquet de Paris a classé la procédure pour irrégularité, le délai de présentation à un officier de la police judiciaire ayant été trop tardif et le motif des interpellations non indiqué de façon suffisamment précise. Le bus a été escorté hors de Paris.

Contacté par BV, CitizenGo raconte la nuit de garde à vue de ses militants : « Ils ont été traités injustement, comme des criminels. Certains se sont même vu refuser tout contact avec le mode extérieur. Tous leurs effets personnels ont été confisqués. Ils ont été fouillés et on leur a illégalement refusé de contacter leur avocat. » Des conditions sévères : « Certains ont été détenus sans eau ni nourriture. Selon les procédures légales, les autorités ont été obligées de relâcher les militants après avoir réalisé qu’elles ne pourraient les garder pour aucune raison légale. » Selon les dires de l’association, le bus a pu circuler toute la journée, même devant des commissariats, sans être inquiété. Mais voyant l’intérêt que suscitait le bus aux yeux des passant et craignant qu’il n’entache l’image de la France dans le monde, « les élites politiques ont décidé de censurer le bus, donnant ordre à la police de l’intercepter ».

Attaquer une religion : liberté d'expression ; défendre sa religion : délit.

En France, la liberté d’expression est une valeur cardinale, elle donne aux artistes le droit de blasphémer. « La France a donné le visage de ce qu’elle est […] Elle a montré son audace et, après, elle l’a fait avec la liberté artistique qui convient »a déclaré le président de la République Emmanuel Macron pour justifier les scènes woke de la cérémonie d’ouverture de Paris 2024. Barbara Butch explique son apparition déguisée en Jésus-Christ par ces mots : « J’ai toujours promu l’amour et l’inclusivité. » Donc, blasphémer - c’est-à-dire, dans ce cas précis, discriminer une religion en s’en moquant publiquement - relève de l’amour, de l’inclusivité ou encore de la liberté artistique. En revanche, défendre sa religion et s’opposer, sans heurter la sensibilité de quiconque, à ce qu’elle soit raillée, c’est un acte répréhensible, passible d’une nuit en garde à vue dans des conditions dégradantes. Le règne du deux poids deux mesures sévit au pays des Lumières.

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mardi, 06 août 2024

Thomas Joly, président du Parti de la France, sera à la Fête du cochon dimanche 8 septembre près de Rennes

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Comme chaque année, le Parti de la France fait sa rentrée en Bretagne à l'occasion de la Fête du cochon organisée par son délégué régional Jean-Marie Lebraud et son équipe.

Au cours de cette journée, Thomas Joly, Président du PdF, prendra la parole, ainsi que Roland Hélie (Synthèse Nationale) et Pierre Cassen (Riposte Laïque).

Réservation obligatoire : 

06.09.53.93.84 ou pdfbretagne@orange.fr   

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L’immigration massive incontrôlée et la délinquance étrangère provoquent d’importantes réactions en chaîne en Grande Bretagne

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Michel Festivi

Depuis plusieurs jours, suite au meurtre effroyable au couteau, de trois fillettes et d’une dizaine de blessés, certains gravement, par le fait d’un individu de 17 ans d’origine rwandaise dans un club de danse dans la ville de Southport, une vaste colère populaire s’est emparée du pays et des émeutes ont éclaté dans de nombreuses villes, notamment des cités pauvres comme Liverpool et Bristol, mais aussi dans des quartiers de Londres.

Des hôtels accueillant des migrants ont été pris d’assaut, comme à Rotherham ou à Tamworth avec un slogan qui revient en boucle « Enough is Enought », ou aussi « Mettez-les dehors ». Beaucoup de commentateurs très mal intentionnés, y ont vu aussitôt la main de « l’ultra droite », tout comme le gouvernement travailliste qui a multiplié les propos guerriers contre les manifestants, leur promettant les foudres de la justice. On aimerait voir les mêmes réactions devant les exactions de l’extrême-gauche.

Cela doit-il surprendre quand on sait que l’immigration est totalement incontrôlée dans ce pays, comme dans d’autres d’ailleurs ? Les médias et les politiques d’outre-manche sont perplexes. Les autorités ont immédiatement accusé L’English Defense League, créée il y a une quinzaine d’années et qui lutte contre l’immigration désordonnée qui sévit en Grande Bretagne. D’autres n’ont pas hésité à fustiger la dernière campagne électorale qui avait vu le succès de Nagel Farage et de ses thèses nationalistes, protectrices des intérêts anglais. Comme d’habitude on préfère casser le thermomètre et ne pas examiner ou réfléchir sur les véritables causes de ces émeutes, « alimentées par un ras-le-bol généralisé de l’immigration incontrôlée et de la délinquance étrangère » comme le souligne Le Figaro, pourtant peu suspect d’extrémisme, dans un article du 5 août.

Car contrairement aux déclarations mensongères et falsificatrices des hommes politiques, lorsque l’on examine le profil de ceux, et ils sont nombreux, qui comparaissent actuellement devant les tribunaux anglais, curieusement pas surchargés et qui pourraient travailler 24H sur 24 selon les dires du premier ministre, se sont essentiellement dans une très grande majorité, des personnes issues des classes modestes qui ont été à l’origine de cette « colère populaire ».

Ce sont des pères de familles, de jeunes enfants, où des anciens, le plus âgé ayant 69 ans, qui ne sont pas politisés, qui n’appartiennent à aucun groupement, la plupart sont totalement inconnus des services de police et de justice parmi ceux qui ont été jugés ces derniers jours. Plusieurs policiers qui intervenaient ont été blessés. Le journaliste Du Figaro, qui rend compte de ces audiences a pu écrire « des profils qui semblent pour l’heure différents du récit des autorités, qui pointent la responsabilité de l’ultra-droite », et ce même s’il a relevé la présence, comme toujours dans ce genre de manifestations, de multirécidivistes.

Car les villes touchées, sont essentiellement des cités ouvrières, parfois classées comme les plus pauvres du pays, comme celle de Hartlepool l’une des plus démunies de Grande Bretagne, comme Aldershot au sud, où un hôtel logeant des migrants a été attaqué, où encore à Manchester, où les violences ont été nombreuses, tous ces lieux sont clairement marqués du sceau de la précarité.

Alors, doit-on se contenter de juger ou bien s’attaquer aux vrais problèmes qui assaillent le pays, immigration massive et incontrôlée, délinquance violente la plupart du temps impunie, elle. La réponse du gouvernement travailliste est on ne peut plus clair pour l’instant, il ne prendra pas le taureau par les cornes, il va faire libérer 500 places de prison, et a mobilisé 6.000 policiers spécialisés, et ce uniquement pour que soient écroués ces délinquants très particuliers, qui eux n’ont droit à aucune circonstance atténuante, et qui doivent être cloués au pilori. On aimerait que la même célérité de la justice s’abatte sur ceux qui au couteau, pillent, tuent et violent.

Mais le sujet migratoire est devenu central, puisque Tony Blair en personne a conseillé à son successeur, Keir Starmer, de s’attaquer vigoureusement au problème de l’immigration, lui suggérant un « plan pour contrôler l’immigration » et ce dans une tribune du Sunday Times. En tout cas le politiquement correct a encore de beaux jours devant lui, puisqu’un ancien ministre conservateur, Byron Davis a cru devoir rétropédaler après avoir déclaré que le mouvement anti-migrants était « politiquement justifié ». Par un fait exprès, compte tenu de l’origine de celui a porté les coups de couteaux mortels, il avait aussi précisé que le Parti travailliste portait une part de responsabilité dans ces émeutes pour s’être opposé au projet d’expulsion des migrants délinquants au Rwanda, comme voulait l’entreprendre l’ancien gouvernement conservateur.  

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lundi, 05 août 2024

Dimanche 8 septembre 2024, près de Rennes : TOUTE LA BRETAGNE IDENTITAIRE SE RETROUVE À LA FÊTE DU COCHON

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Sur les murs de Vannes, ce matin...

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L’ignoble alliance du gouvernement anglais avec les islamistes contre leur peuple

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Christian Navis Riposte laïque cliquez ici

La France n’est plus le seul paradis des traîtres et des collabos. Après les assassinats d’enfants au couteau, et les innombrables crimes de sang commis par les islamistes, le gouvernement socialo-pourri des Brittons, loin de partager la colère et l’indignation de son peuple, tape dessus pour protéger les nouveaux maîtres du pays.

Ils ne protègent pas les crèches et les écoles, mais les mosquées

Naturellement, leurs médias collabos aussi abjects que les nôtres, de l’autre côté du Channel, dans une inversion accusatoire dont ils ont le secret, rendent responsable « l’extrême drouâte » de tous les égorgements et coups de couteau, et parmi ceux-ci les crimes les plus abominables, comme saigner des enfants ou violer des bébés, car s’il arrive à ces pauvres mahométans brimés et victimes du racisme de péter un câble, c’est parce qu’on ne les aime pas suffisamment.

Les vrais salauds sont les Britanniques indignés par ces assassinats et ces tortures à répétition, qui se rebiffent contre les islamistes. Et donc, par ricochet, contre l’incurie, l’inconscience et la complicité objective de leurs gouvernants.

On fustige les émeutiers anti-islam mais on évite de dire pourquoi

Après d’innombrables crimes couverts par l’omerta des médias, et la complicité de la police et de la justice au service des muftis qui ont ordre d’ignorer les trafics de drogue, les rackets, les mariages forcés et la prostitution de jeunes filles prépubères, le sommet de l’horreur a été atteint lors de l’agression d’un groupe d’enfants qui participaient à un cours de danse lundi à Southport, au nord de Liverpool.

Après l’attaque au couteau, préméditée, imprévisible, et d’une extrême violence, trois fillettes sont décédées de leurs blessures après exsanguination selon les préconisations du coran. Deux blessés ont été grièvement atteints chez les adultes courageux qui ont tenté de s’interposer (qu’auraient fait nos bons Gaulois émasculés en pareil cas ?). Et huit blessés chez les enfants, dont cinq sont toujours dans un état critique. Autant dire que s’ils s’en sortent, ils en porteront à vie des séquelles physiques et psychiques.

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dimanche, 04 août 2024

« Panem et circenses »

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Pascal Praud

Toutes les critiques qui préludent aux Jeux olympiques cessent le jour où les épreuves commencent. C’est une règle que j’ai observée depuis toujours et que j’ai répétée à l’envi à ceux qui doutaient du succès des Jeux à Paris

L’événement balaie tout. Je me souviens d’Albertville en 1992. Le biathlon était devenu sport national en quelques heures. Étienne Mougeotte avait chamboulé la grille de l’antenne pour que TF1 devienne 100 % olympique. Il connaissait le public et devinait que les Français se passionneraient pour des sports qu’ils ne regardent pas d’habitude. Le judo, l’escrime ou l’équitation ont peu d’importance dans cet enthousiasme. Ce sont d’abord des histoires d’hommes et de femmes, de gloire ou de regret, de joies et de larmes. Léon est devenu le plus beau prénom de France. Clarisse Agbégnénou a arraché le bronze quand elle espérait l’or. Elle a pleuré. Et nous avec elle.

Les Jeux transforment le plomb en or. Il existe une France joyeuse et légère. Elle remplit les gradins dans un décor que Haussmann, Eiffel, Garnier et tant d’autres ont dessiné depuis des lustres.

Le sport est-il réac ?

Je m’amuse à penser que les Jeux olympiques reposent sur deux ou trois piliers que l’époque récuse 350 jours sur 365. Les athlètes représentent un drapeau et portent les espoirs d’un pays. Les supporters expriment une passion nationale. Le bleu, blanc, rouge flotte au vent sans que personne crie au fascisme. Le stade est le dernier endroit où il est permis de célébrer la France sans arrière-pensées.

Les JO reconnaissent aussi la différence naturelle qui existe entre les hommes et les femmes au point qu’ils ne luttent pas ensemble. Excepté l’invraisemblable combat entre la boxeuse algérienne Imane Khelif et son adversaire italienne Angela Carini, qui n’aurait jamais dû avoir lieu. Je remarque enfin que le sport olympique chante  les louanges de la hiérarchie. Il y a des sportifs qui sont meilleurs et d’autres qui sont moins bons. Il y a des médailles d’or et d’autres en chocolat. En ces temps de relativisme où tout se vaut, cet éloge du classement est une anomalie.

La presse, unanime, célèbre chaque matin ce qu’elle combat à longueur d’année. Cette conversion à la différence naturelle, à la sélection darwinienne et à la patrie reconnaissante fait ma joie.

Je lis ces éditorialistes qui en font des tonnes pour expliquer qu’il y aura un avant et un après-JO, que rien ne sera plus comme avant, que la France est unie, fraternelle, réconciliée etc., etc. Ils servent une version nouvelle du black-blanc-beur, fadaise à laquelle ils ne croient sans doute pas mais qu’ils déclinent à longueur d’articles avec l’énergie de monsieur Coué. Ces JO sont une parenthèse enchantée. C’est déjà ça.

Seine, Cène et scène

Une semaine après la cérémonie d’ouverture, l’encre a coulé sous les ponts de la Seine. Philippe Katerine a demandé pardon aux chrétiens pour être apparu en Dionysos bleu sous cloche. Entre excuses et mea culpa, il s’est dit « désolé si ça a pu choquer, parce que ce n’était pas l’intention ». Sur CNews, Charlotte d’Ornellas a trouvé les mots justes : « On peut se définir par autre chose en permanence que d’attaquer ce que les autres ont de sacré. »

Le prologue des JO a manqué d’humour. Thomas Jolly a tiré le spectacle vers le Grand-Guignol. Il a surligné les messages. Certains ont vu créativité et intelligence quand il ne s’agissait que de convenances et de poncifs. Attaquer la religion chrétienne ne rélève pas de l’audace la plus folle.

J’avais aimé l’esprit des Anglais à Londres en 2012. Élisabeth II arrivait dans le stade, escortée par James Bond. Mister Bean interprétait avec le London Symphony Orchestra Les Chariots de feu composé par Vangelis. J’ai préféré la légèreté de Londres à la provocation de Paris. And last but not least, Thomas Jolly a mis en scène une histoire de France sans évoquer une seule seconde Charles De Gaulle. Monsieur Jolly ignore l’homme qui a dit non et sauvé deux fois la France.

Source : Journal du dimanche 4/8/2024

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samedi, 03 août 2024

La mort de Fouad Choukr ne nous fera pas pleurer...

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Arnaud Florac le rappelle fort justement dans son article publié sur le site Boulevard Voltaire cliquez ici, la mort de Fouad Choukr, survenue lors d'une frappe israélienne le 31 juillet à Beyrouth, a pour nous Français "une résonance particulière". Chourk fut en effet l'organisateur du massacre du Drakkar au cours duquel périrent, le 23 octobre 1983 dans la capitale libanaise, 58 parachutistes français... parmi eux, nous avions des camarades. Comme quoi, les criminels finissent toujours par payer et sa mort ne nous fera donc pas pleurer...

Quelques jours à peine après cet odieux attentat, le Parti des forces nouvelles organisait sur les Champs Elysées une manifestation pour exiger du gouvernement socialiste de l'époque une riposte radicale pour "venger nos morts". Evidemment, il n'en fut rien. La couardise des politicards d'alors n'ayant d'égale que celle de ceux d'aujourd'hui...

Ce sont les Israéliens (et non, hélas, les Français) qui viennent de rendre justice à nos soldats en effectuant, ce 31 juillet 2024, ce que nous aurions dû faire il y a 40 ans. Certains regretteront peut-être qu'il en soit ainsi mais, pour notre part, une chose est sûre, c'est que non seulement nous ne leur reprocherons pas cette action mais, pour une fois, nous allons même les en féliciter....

Synthèse nationale

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Mort de Fouad Choukr, cerveau des attentats du Drakkar

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Arnaud Florac Boulevard Voltaire cliquez ici

Fouad Choukr, numéro trois du Hezbollah libanais, a été assassiné, ce 31 juillet, par une frappe israélienne en plein cœur de Beyrouth. Israël est habitué aux incursions en territoire libanais et ne se soucie guère des victimes collatérales pour atteindre ses objectifs. Cette frappe, qui viole la souveraineté de l'espace aérien libanais, est donc scandaleuse d'un point de vue légal mais n'est pas une surprise. Si l'on ajoute à cela l'assassinat d’Ismail Haniyeh, chef du Hamas, sur le territoire iranien alors qu'il assistait à l'investiture du nouveau président, on peut se dire que la semaine est plutôt faste pour le Mossad, qui rattrape, bien tard toutefois, son incurie dans l'anticipation manquée des attentats du 7 octobre 2023.

Une résonance toute particulière pour les Français

Pour nous, Français, la mort de Choukr a une résonance particulière. Cet homme était le cerveau des attentats du Drakkar qui, en octobre 1983, tuèrent cinquante-huit parachutistes français, un terrible bilan heureusement jamais égalé depuis. Ce carnage fut un traumatisme dans une armée largement appuyée sur le service militaire. Le chant Nos anciens du Liban leur rendit hommage, ainsi que la chanson de Jean-Pax Méfret  Le béret amarante. La France de Mitterrand découvrit soudain que la guerre faisait des morts et que les troupes d'élite étaient une caste bien particulière, celle des sacrifiés d'avance, des hommes qui se font gloire d'avoir offert leur vie en gage à l'avance et une fois pour toutes. La gauche avait dû renoncer à proposer la dissolution de la Légion après le triomphe de Kolwezi : avec le Drakkar, elle se décida à des représailles de barbouzes. Deux opérations de rétorsion échouèrent : l'une, menée par le service Action de la DGSE, à cause d'un problème technique ; l'autre (une frappe aérienne) parce qu'un diplomate français pacifiste avait prévenu l'adversaire. Les années passèrent. Les coupables passèrent entre les gouttes.

Tragique, selon Mélenchon

Sans qu'il soit évidemment question d'une vengeance aveugle, convenons du fait que la mort de Fouad Choukr n'est pas à proprement parler une nouvelle tragique, vue de Paris et pour qui connaît un peu l'Histoire récente. Pourtant, ça ne semble pas être l'avis de Jean-Luc Mélenchon, l'homme qui ne déçoit jamais, l’immuable boussole qui indique le sud. Le Che du 93, le Robespierre de salle des profs, s'est même fendu d'un tweet : « Frapper la capitale du Liban est une agression intolérable. Netanyahou propage la guerre, le meurtre, et les généralise comme s'il était au-dessus de toutes les lois et conventions internationales. Les puissances dont les USA et la France qui laissent faire permettent une escalade qui sera vite hors de contrôle ! »

Oui, on l'a dit, Israël ne respecte rien ni personne. Oui, les Occidentaux laissent faire. Mais en la circonstance, l'avocat Gilles-William Goldnadel le rappelle d'ailleurs très bien, la mort de Choukr n'est pas une mauvaise nouvelle pour nous. C'est même tout le contraire.

Il reste maintenant à savoir ce que l'Iran va faire. La théocratie chiite est à la fois le commanditaire du Hezbollah, dont elle a développé l'emprise au Sud Liban sur le modèle pasdar (écoles, aide humanitaire, business, etc.), et le pays sur le sol duquel Haniyeh, chef du Hamas, est mort. Si l'on en croit ses dernières réactions aux attaques d'Israël contre ses intérêts, « y aura rien », comme disent les jeunes. L’Iran a beaucoup à perdre et n'utilisera probablement pas - en tout cas, espérons-le - des armes nucléaires qu'il n'est d'ailleurs pas censé posséder. Il peut, en revanche, être intéressant de guetter les réactions de la Turquie et du Qatar, deux pays qui avaient offert leur asile à Haniyeh. La mémoire de Choukr, elle, est déjà perdue.

Mais aujourd'hui, là-haut, 58 âmes de guerriers français ont vu leur mort réparée, quarante et un ans plus tard. Ça ennuie peut-être Mélenchon, mais ce n'est pas rien.

17:50 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 02 août 2024

54e Journées chouannes de Chiré en Montreuil (86) : samedi 31 août et dimanche 1er septembre 2024

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Chers amis,

Vous êtes tous invités à participer aux 54es Journées Chouannes qui se dérouleront à Chiré-en-Montreuil (86 – Vienne) au sein de notre propriété, les 31 août et 1er septembre 2024.

Nous aurons le privilège d’accueillir plus de 80 auteurs ainsi qu’une quinzaine de conférenciers qui partageront avec vous leur passion et leur analyse. De plus, une vingtaine d’associations et d’exposants seront présents pour présenter leurs activités. Venez les découvrir !

Dans un monde de plus en plus virtuel, où l’écran est le premier ennemi, tant pour nos cerveaux que pour nos relations humaines, il est essentiel de se rencontrer, se retrouver, échanger et renforcer les liens qui nous unissent. Les Journées Chouannes en sont, sans aucun doute, la meilleure opportunité. Venez donc partager notre amour commun pour le combat des idées et pour les livres, seul rempart contre la décadence !

N’hésitez pas à partager cet événement avec vos amis et votre famille pour leur permettre de vivre eux aussi cette expérience inoubliable.

Dans l’attente de vous recevoir à Chiré, soyez assurés chers amis qu’avec votre participation nous pourrons continuer à combattre.

François-Xavier d’Hautefeuille

Renseignements, programme et réservations sur Chiré

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jeudi, 01 août 2024

Les races n’existent pas, mais les races supérieures, si !

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La chronique de Philippe Randa

Dire qu’on croyait que les races n’existaient pas. Les racistes, si ! Mais les races, non… Certains même, pour convaincre les esprits les plus obtus – ô combien ! – voudraient d’ailleurs que cette vérité soit inscrite dans la Constitution française, Ve du nom… Pourquoi pas ! Mais hélas ! trois fois hélas ! notre constitution indique dans son article premier que la France se doit d’« assure(r) l’égalité de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion »… c’est ballot !

Les races n’existent pas, mais non, mais non ! Mais à l’évidence, la ou les race(s) supérieure(s), elle(s), oui… La preuve par l’histoire.

De Léon Blum, dont on reparle un peu ces jours derniers avec le Nouveau Front populaire (lui, c’était le modèle original de 1936) qui déclarait dans un discours à l’Assemblée nationale du 9 juillet 1925 : «Nous admettons qu’il peut y avoir non seulement un droit, mais un devoir de ce qu’on appelle les races supérieures, revendiquant quelquefois pour elles un privilège quelque peu indu, d’attirer à elles les races qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de civilisation », en passant par Adolf Hitler et son désormais obligatoirement exécré régime national-socialiste qui considérait que la race aryenne constituait la catégorie supérieure de l’humanité… jusqu’aux Jeux de la XXXIIIOlympiade de cet été 2024 et son humanoïde nouveau, l’existence d’une supériorité raciale, changeant au gré des régimes, des coutumes, des mœurs et des exigeances politiques, ne fait pas de doute.

Le metteur en scène Thomas Jolly, désigné directeur artistique des cérémonies, nous a ainsi offert un grandiose spectacle pour nous en convaincre ; seuls des esprits chagrins peuvent en critiquer le fond, la forme et le coût, oubliant que lorsqu’on veut prouver, c’est comme lorsqu’on aime, on ne compte pas (surtout l’argent du contribuable, dirons des esprits non plus grincheux, mais alors là, franchement discourtois) !

Ainsi donc, grâce à Thomas Jolly, le monde entier a découvert – pour ces quelques milliards d’habitants qui l’ignoraient encore – la nouvelle race supérieure de l’humanité : des êtres dégenrés, de préférence obèses, aux chevelures décolorées, dandinant du croupion et moulés dans des tenues autrefois réservées à ces gens de petites vertues qui aguichaient le chaland sur le bitume des rues de Paname, voire, pour les plus bucoliques, dans les allées du Bois de Boulogne.

Avec cette cérémonie d’ouverture, on était fort loin, donc, des stéréotypes tant admirés par l’humanité d’antan et plus encore aux antipodes de cette « pseudo-culture musculaire » prônée par Pierre de Coubertin, rénovateur des JO et fondateur du Comité international olympique (CIO) dont « les pionniers de la sociologie du sport, Jean-Marie Brohm en tête, dézinguent ses “idées réactionnaires” », comme l’a rappelé Pierre Godon dans un article de Franceinfo (« Pourquoi Pierre de Coubertin, père des Jeux modernes, n’est vraiment pas prophète en son pays »).

Concluons que moins les races existent, plus on en parle… À croire que, contrairement au diable, la plus grande ruse des races est de vous persuader qu’elles existent !

Lire EuroLibertés cliquez ici

23:29 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 31 juillet 2024

Le subliminal dans la cérémonie des JO

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Source Le Salon beige cliquez ici

Pour la grand-messe de la nouvelle religion, à l’occasion des JO, le projet de société de nos dirigeants a été présenté à l’ensemble de la planète. Pour organiser cela, le système est allé chercher une minorité dans la minorité qui prétend parler au nom de tous les autres, un classique, et ils ont choisi ceux qui font de leur sexualité le centre du monde et aiment exposer leurs turpitudes, annonçant la couleur ainsi : « Nous ne voulons surtout pas d’une reconstitution à la manière du Puy du Fou. Nous voulons faire l’inverse. Surtout pas une histoire virile, héroïsée, providentielle. On veut le désordre et que tout s’entremêle ». Avec leur propagande woke, Ils ont réussi à tout salir par ce spectacle décadent et imprégné d’un mépris abyssal pour la France et la civilisation occidentale.

Ça a commencé par Djamel donnant le ton à l’ensemble : « Oh, Zizou Christ ! Ça va »

Et puis on a donc eu l’interminable séquence, porteuse du message idéologique, des drag queens sur le pont de la hideur, mauvais goût et provocation dans ce qui ressemble d’abord à une évocation de la Cène (avec la DJ lesbienne auréolée comme le Christ, et reconnue comme telle par les acteurs, le metteur en scène se réfugiant dans la takia et nous prenant pour des jambons) puis ca se cumule (ce n’est pas 2 tableaux successifs) avec l’apparition de Bacchus (dyonisos), le dieu de l’ivresse, du dépassement des limites, nu et peint en bleu, et qui incite à oublier tout ça pour revenir à l’état de nature, sans retenue. La retenue, c’est le père qui sépare l’enfant de sa mère, lui dit non, lui apporte les règles, l’amène à l’extérieur de ce couple fusionnel satisfaisant tous les besoins de l’enfant, et lui apporte la morale nécessaire à la vie sociale. Et c’est pour ca qu’on a tué le père, et c’est pour ça qu’on détruit les religions (le christianisme en particulier) car elles apportent les normes, la loi. On les a détruit pour parvenir au retrait du surmoi (la conscience morale) et au triomphe du ça (l’instinct bestial, le principe de plaisir). Logiquement, la bacchanale emporte alors tout et ça se transforme en un défilé de mode, avec comme modèles des déjantés sataniques, grimaçant et se vautrant dans la fange. Avec, pour clore la séquence en toile de fond, le chevalier de l’apocalypse !

Et puis, disséminé tout au long, quelques exemples subliminaux de cette transgression des limites :
La destruction de la famille, symbolisée par le trouple de la Bibliothèque de France qui se bécote et finit par s’enfermer pour un plan à trois.

L’enfant parmi les drags queen

Le renversement de l’autorité par le peuple, faisant la fête révolutionnaire en rose LGBT, et conduisant tout droit au sang sur la conciergerie et Marie-Antoinette décapitée tenant sa tête tout en chantant le « ça ira », fallait oser, et devant un parterre de têtes couronnées (mais pourquoi pas louis XVI plutôt qu’elle dont le seul crime est d’être la femme du roi ?).

L’abolition des nations par l’humiliation de la Garde républicaine obligée de se trémousser sur du Aya Nakamura qui recrache des paroles vulgaires qu’heureusement personne n’a compris, devant le temple de la langue française, qui s’ouvre donc à la multiculturalité. La France chrétienne, la France blanche, c’est fini, place à la diversité.

Détail ? le drapeau olympien symbolisant l’universalité a été hissé à l’envers, et face au veau d’or, c’est le symbole de l’inversion des valeurs du monde nouveau qui s’élève, et dont le flambeau est transmis par un vieux blanc impotent.

Sans parler du refrain pro migrant des réfugiés des pays en guerre, avec en double prime un état inexistant, la Palestine, le tout en se gargarisant de l’union olympique de tous les peuples, mais sans la Russie ni la Biélorussie, drôle d’union, cela rappelle les manifestations unitaires anti attentats islamiques, dont le RN était exclu.

J’oubliais le chapitre « sororité » pour mettre en valeur nos sœurs, avec en premier Olympe de Gouges (en oubliant qu’elle fut guillotinée au nom des lumières) en oubliant Jeanne d’arc, sainte Geneviève, et bien d’autres, et pourquoi discriminer ainsi les sexes ?

Cerise sur le gateau, la délégation algérienne participe de son mépris pour la France en lançant des fleurs pour rappeler la manif du FLN de 1961.

On cherche désespérément la célébration des valeurs du sport et de la beauté de la France au milieu d’une propagande woke aussi grossière. Envie de tout péter dans ce pays de déconstructeurs et détraqués en tous genres.

Ne pas partager l’idéologie dominante, c’est , me dira-t-on, un discours de haine, et cela justifie la haine contre vous.

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Menace contre la famille Bolloré : réaction du Parti national breton

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mardi, 30 juillet 2024

Ne jamais oublier Maurice Bardèche...

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A propos de Maurice Bardèche cliquez ici

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Connaissez-vous la chaine "Quelle semaine" de Gilbert Collard ?

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Pour la consulter, cliquez ici

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Lyon : suite à une agression gauchiste, un jeune nationaliste témoigne...

Dans cette vidéo Sinisha Milinov, militant nationaliste lyonnais, explique le calvaire auquel il a été confronté suite à des événements qui se sont déroulés le 1er février dernier vers 5h00 du matin. En plus d'une agression contre Pierre-Louis Perrier, l'un de ses camarades, et lui-même commis par des nervis gauchistes, il eut la diffamation médiatique qui s'en est suivi et qui fut l'un des épisodes de propagandes mensongères politico-médiatiques les plus abjects cliquez ici.

Pendant que les patriotes sont agressés par les milices gouvernementales antifas, les terroristes gauchistes sabotent la France en toute impunité. C'est comme cela que ça se passe avec le liberticide démissionnaire encore aux affaires dénommé Darmanin...

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lundi, 29 juillet 2024

Le communisme n’est que ruine des peuples : l’exemple de Cuba et du Venezuela, bientôt la France avec LFI ?

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Michel Festivi 

On l’oublie encore trop souvent, outre les millions de morts que cette idéologie a engendrés depuis 1917, partout où elle est parvenue au pouvoir, le communisme et ses avatars n’ont apporté et n’apportent que misère et désolation.

Pourtant, des politiciens français, soutenus par un très large secteur des médias et de la classe politique ont encensé et encensent des pays qui n’ont procuré à leur peuple que détresse et dévastation.

En 2016, Jean-Luc Mélenchon avait rendu un vibrant hommage, comme toute la gauche française au demeurant, au moment de la mort du tyran et dictateur, Fidel Castro. Il twittait ainsi « à la mémoire de Fidel, fleurs et bougies... au pied de la statue de Simon Bolivar ». Même glorification pour Maduro et le Venezuela Chaviste, ou par millions, les habitants fuient ou tentent de fuir la misère et la corruption, le crime et la terreur. Il a soutenu mordicus Maduro qui refusait en 2019, d’organiser des élections, malgré les demandes pressantes de nombreux états. Ils soutiennent tous Cuba qui vit sous une dictature des plus sanglantes depuis 1959. Castro avait d’ailleurs déclaré au communiste Bernard Kouchner, en 1963, dans un entretien pour le mensuel de l’Union des étudiants communistes Clarté, « Ah, les élections ; ça a trop servi, c’est une saloperie... »

En réalité, la politique que veut mettre en place LFI et ses sbires, pourrait faire que notre pays s’apparente au marasme généralisé qui sévit dans ses contrées adulées par toutes les gauches françaises. À la mort de Castro, Hollande, Ségolène Royal et d’autres y étaient allés de leurs couplets laudateurs, avec de surcroit la larme à l’œil, nous rappelant, mutadis mutandis, les scènes d’hystéries collectives qu’avait vécu la France, lors de la mort de Staline ou de Thorez. Pierre Cot n’avait-il pas écrit dans la Pravda, le 9 mars 1953 « La mort de Staline est un immense malheur pour l’Humanité. ». On déplore le départ d’environ six à sept millions de Cubains qui ont quitté leur île, ou vivent désormais peu ou prou 11 millions de personnes, une véritable hémorragie.

Dans le Cuba dévasté par la disette et les pénuries, les coupures permanentes d’électricité, les apagones, souvent plus de 15H par jour - [et que l’on ne soutienne pas que c’est la faute du blocus, car les dirigeants et la nomenklatura communiste ne manque de rien eux] - dans ce pays où des millions d’habitants ont voté avec leurs pieds en rejoignant les côtes de Floride, les anciens champions olympiques vendent au plus offrant leurs médailles pour tout simplement survivre. Angel Valodia Matos, médaillé d’or à Sydney en taekwondo, a obtenu 51 000 dollars de la cession de son trophée ; Le lutteur Yasmany Lugo en a retiré, lui, 26000 dollars de sa médaille en argent ; quant au boxeur Roniel Iglesias il a battu tous les records avec un gain de 83 000 dollars pour sa médaille d’or des jeux de Londres, et a même négocié ses gants pour 40 000 dollars. Depuis les révoltes du 11 juillet 2021, des milliers de cubains ont été emprisonnés dans des conditions de détention horribles, selon l’Observatoire cubain des droits humains, basé à Madrid, dénonçant au passage la non réaction de la communauté internationale.

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Vendredi 26 juillet, c’est la France que l’on humiliait !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, aura été l’occasion pour le wokisme et ses séides, de dérouler tous ses ineptes concepts, de cracher sa haine de la France, et de valoriser toutes les inversions sociétales.

Un seul tableau aura trouvé grâce à mes yeux, la cavalcade sur l’eau de ce cheval  métallique  issu de la robotique.  Mais certains  y ont  vu  là, une allusion au cavalier de l’apocalypse….

L’éloge de la guillotine ?

Que dire aussi, de cette ignominie qui a consisté à humilier,  par-delà « es couloirs du temps », la reine Marie-Antoinette tenant sa tête dans ses mains et, « délicate attention »,  image projetée juste sur la façade de la Conciergerie, l’un des hauts- lieux du martyrologue de la défunte famille royale ?

Que penser de ce défilé de mode faisant une place d’honneur aux invertis et autres  transgenres – « vive la femme à barbe ? » -, comme si la France n’était peuplée que de non hétérosexuels ? Etait-ce aussi une parodie de la Cène, peinte par Léonard de Vinci ? Les organisateurs ont affirmé qu’il ne fallait pas y voir là une allusion blasphématoire. Prudents, ils se sont bien gardés de tout clin d’œil désagréable pour deux autres religions monothéistes…

Tandis que la petite délégation algérienne se singularisait en jetant des fleurs dans la Seine en mémoire d’un  très hypothétique massacre d’Algériens en 1961, cette fiesta mettait à l’honneur la diversité ethnique et sociétale telle qu’elle est rêvée par toutes les bonnes âmes de la Gôôôôche ….

Et que penser de la fanfare de  ces pauvres gardes républicains, se sentant obligés d’accompagner dame « Cacamura » outrageusement maquillée, en se dandinant - cuivres en mains -,   comme…des dindons sans plumes !

Globalement, pas grand-chose évoquant la spécificité  française. Peut-être Lady Gaga et son French-cancan, chanté avec un accent yankee des plus affirmés ? Ou une Céline Dion chantant du Piaf avec un cachet, parait-il, exorbitant ? Personnellement, je préfère toujours l’original à la copie. Que retiendront de cette évocation de  la France les quelques centaines de millions de téléspectateurs dans le monde entier ? Une piètre image de notre patrie. Il eut mieux valu faire appel aux magiciens du Puy du Fou ! (Mais ce n’est pas dans l’air du temps, avec les imposteurs qui mènent la danse à la tête de l’Etat.)

La revanche du ciel !

Bref, à mes yeux, une consolation,  et une seule : la pluie. Une pluie bienvenue, une pluie bénie qui a copieusement arrosé tous ces saltimbanques et autres excellences mouillées « jusqu’au slip », comme l’avouera même un invité de marque ! Le président qui sait tout et qui prévoit tout, n’avait pas pensé à cette heureuse facétie du ciel !

18:53 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, encore…

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Maurice Bernard 

Pour commencer, une remarque : après Éric Zemmour, Marion Maréchal, Stéphane Ravier, Philippe de Villiers ou encore Michel Onfray (et bien d’autres), Jean-Luc Mélenchon lui-même a émis quelques critiques au sujet du spectacle "particulier", de guerre civile, qui nous a été présenté vendredi (et sur lequel l’essentiel a été dit)… En revanche, deux grands absents : du côté de Marine Le Pen et Jordan Bardella, rien. Motus et bouche cousue. Silence radio. Circulez, y’a rien à entendre… Pourtant on a connu ces deux-là plus réactifs. Notamment quand il s’est agi de demander la dissolution des « groupes d’ultra droite », dont le GUD, ou de voter en faveur de l’inscription du droit à l’avortement dans la Constitution (sur 88 députés du RN, 46 pour, dont Marine Le Pen) - alors que celui-ci n’est en rien menacé dans notre pays -…

C’est sûr, Marine et Jordan sont l’espoir des "nationalistes"… Comme disent les jeunes : mdr (mort de rire).

Pour finir, un nouveau - et fort juste - commentaire sur cette cérémonie qui, censée rassembler, a divisé encore un peu plus une France déjà profondément fracturée : celui de Jean-Christophe Buisson, du Figaro Magazine, ce matin, sur Europe 1, pour qui la cérémonie d’ouverture des JO de Paris « est allée au-delà du cahier des charges purement festif qui lui était assigné » :

« On a compris après coup que ses organisateurs poursuivaient un double objectif : épater le monde et envoyer un message politique aux Français. Épater le monde grâce à un savoir-faire unique, une créativité hors pair, des artistes exceptionnels ; de ce point de vue-là, la réussite fut complète et saluée par tous. Quant à l’autre objectif, il faut bien avoué qu’il n’a pas vraiment fait l’unanimité ; sans doute parce que Thomas Jolly, son directeur artistique, l’historien Patrick Boucheron, les autres membres du comité chargés d’écrire et de mettre en scène cette cérémonie sont allés bien au-delà de la consigne donnée par Emmanuel Macron. On a deviné quelle était cette consigne grâce à un tweet élyséen envoyé durant la soirée où était publié un extrait du moment où Aya Nakamura chante et danse avec la Garde républicaine, avec ce commentaire du président : "En même temps". Manifestement, Emmanuel Macron souhaitait faire rappeler vendredi soir à ses concitoyens – surtout ceux qui ont voté un peu trop à droite ces dernières semaines – que la France, c’est en même temps la modernité et la tradition, la jeunesse et l’expérience, les hommes et les femmes, les noirs et les blancs, les institutions et la rue… Or, le reste de la cérémonie n’avait rien de "en même temps" rassembleur et fédérateur, et les messages envoyés durant trois heures se sont avérés tout sauf consensuels : le passé n’existe pas, seuls importent le présent et, surtout, l’avenir, l’identité française est une vue de l’esprit, l’heure est à la mondialisation heureuse, au métissage, au mélange des genres ; ce qui a eu lieu avant la Révolution française ne compte pas, etc., etc. Voilà pourquoi ont été présentés un tableau faisant apparaître la reine Marie-Antoinette décapitée, une parodie de la Cène, moment sacré du christianisme dont l’histoire se confond pendant des siècles avec celle de la France, où figuraient des drag queens, ou encore une mise en majesté de Louise-Michèle, figure de proue de la Commune dont l’un des actes majeurs fut de mettre le feu à la moitié de Paris en 1871. Bref, une apologie de la violence et une exaltation du progrès social et sociétal tous azimuts, avec un immense paradoxe : tout cela était montré dans des lieux magnifiques, bâtis par ceux-là mêmes dont on effaçait ou on niait justement l’existence. Et oui, sans l’Église catholique, les rois de France, Napoléon 1er ou Napoléon III, pas de Notre-Dame de Paris, pas de Conciergerie, pas de musée du Louvre, pas de Grand Palais, pas de gare d’Orsay, pas de Tuileries, donc pas de cérémonie des JO en plein cœur de Paris en 2024. (…) On ne peut pas se gargariser des valeurs de paix et de fraternité que véhicule l’olympisme et glorifier une scène où une femme a été condamnée à mort et guillotinée, surtout si on prétend aussi rendre justice aux femmes trop longtemps invisibilisées, comme Olympe de Gouges qui, entre parenthèses, a été guillotinée par les mêmes qui ont exécuté Marie-Antoinette… On est là au-delà de la faute de goût. De même, on ne peut pas chanter les valeurs de tolérance et de respect de tous les peuples et de toutes les religions, et tourner en dérision le dernier repas du Christ avant sa mort. D’ailleurs, depuis hier, Thomas Jolly tente d’éteindre l’incendie qu’il a allumé en assurant qu’il ne pensait pas du tout faire de la peine à qui que ce soit avec ces tableaux. Mais bien sûr que si ! À la vérité, il ne pensait faire de la peine qu’aux électeurs des droites et réjouir ceux des gauches. Il voulait choquer le bourgeois, enthousiasmer le peuple, énerver les "fachos" et rassurer les "gauchos". Pas de chance, les critiques sont venues autant des élus RN, Reconquête ou LR, de Michel Onfray, Philippe de Villiers, Alain Finkielkraut et l’épiscopat français que des milieux populaires, du rappeur Rohff ou de Jean-Luc Mélenchon (…). Avoir réussi à mettre d’accord le leader de la France insoumise et la députée européenne Marion Maréchal, ce "en même temps"-là, Emmanuel Macron ne l’avait pas vu venir ».

18:45 Publié dans Maurice Bernard | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Merci Grand-Président Macron

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Bernard Plouvier

Grâce à la « cérémonie » d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris, les Français savent désormais qu’ils ne peuvent tomber plus bas. Et cette certitude est une très bonne nouvelle : après avoir touché le fond, on ne peut que reprendre la progression vers un meilleur avenir, chose qui paraissait difficile à envisager depuis la chienlit de 1968.

L’État et la ville de Paris se sont coalisés pour tenter de ridiculiser la Nation, à très grand coût, mais Macron-Déficit rejoindra dans l’histoire de notre pays la reine Marie-Antoinette, dénommée « Madame Déficit »… et nul ne sait le sort que l’avenir réserve à notre Génial Timonier ?

Reconnaissons toutefois, que le chef de l’État donnait l’impression d’être embarrassé, lors de cette mascarade. Coupable ou pas de cette « prestation », Macron est responsable, car toujours et partout les erreurs et les âneries des sous-ordres engagent le Chef.    

La folie LGTB n’a pas déshonoré la Nation, parce que les détraqué(e)s qui se sont donné(e)s en spectacle n’ont rien à voir avec la culture française. La honte rejaillit sur les organisateurs et les acteurs de cette représentation innommable.

Même le grand ancêtre de la folie furieuse du Tout-Sexuel, le sieur Freud, aurait rougi de la somme d’immondices transmise par télévision à l’ensemble de la planète, lui qui était jusqu’en 1938 un admirateur de Benito Mussolini.

Au final, les honnêtes citoyens, floués à trois reprises en juin-juillet 2024 lors d’élections qui n’ont servi à rien, prennent leur revanche en constatant qu’ils n’ont absolument rien de commun avec les dégénérés – organisateurs et (très mauvais) acteurs – qui ont osé exhiber leur déchéance.         

18:39 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DE L'ODIEUX À L'OCCULTE

MOQUERIE DU CHRISTIANISME ET ODE À DIONYSOS : LE PROJET CIVILISATIONNEL DES ÉLITES MONDIALISTES RÉVÉLÉ.

Destruction de la conscience morale jumelée au réensauvagement du monde. Les symboles sont clairs.

La cérémonie des JO de Paris confirme les dires de V. Poutine selon lesquels l'Occident est dirigé par des pédo-satanistes. Excellente analyse d'Alexis sur cette exposition grand public qui se retourne contre leur projet, provoquant un tollé majeur.

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14:31 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

JO : le génie français brillait par son absence

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Entretien avec Alain Finkielkraut par Eugénie Bastié

LE FIGARO. - À travers cette cérémonie d’ouverture, « on a restauré une fierté pour ce pays, pas pour son identité, mais pour son projet politique : aller de l’avant, avec une Histoire en mouvement » a déclaré Patrick Boucheron, architecte de la cérémonie sur France Inter. Partagez-vous son enthousiasme ? Avait-elle selon vous une dimension idéologique ?

Alain Finkielkraut. - Je suis très impressionné par la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques. Il ne me paraissait pas possible, en effet, de faire pire c’est-à-dire, à la fois, plus obscène et plus conformiste, que l’Eurovision. Je me trompais : impossible n’est pas post-français. « Une cérémonie grandiose qui a cassé tous les codes», titrait le journal Libération.

Remettons les choses à l’endroit : c’était un spectacle grotesque, qui, des drag-queens à Imagine et de la célébration de la sororité à la décapitation de Marie-Antoinette (l’une des pages les plus glorieuses de notre histoire) déroulait pieusement tous les stéréotypes de l’époque. Sur un point, Patrick Boucheron a raison : le génie français brillait par son absence. Je ne parle pas de la grandeur. Peu m’importe la grandeur ! Non, entre la chorégraphie horrible de Lady Gaga et le pénible exhibitionnisme de Philippe Katerine, où étaient le goût, la grâce, la légèreté, la délicatesse, l’élégance, la beauté même ?

La beauté n’existe plus. L’heure est à la lutte contre toutes les discriminations. On a même eu droit à un plan cul à trois. Homophobe soit qui mal y pense! et pourquoi le défilé de mode devait-il être aussi agressivement moche ? Thomas Jolly et Patrick Boucheron s’applaudissent de leur audace transgressive alors qu’ils sont les serviteurs zélés de la doxa. La nation résolument tournée vers l’avenir confie à des historiens le soin de dilapider son héritage. Le Collège de France a été longtemps un haut lieu de la pensée libre, c’est devenu le bastion de l’idéologie.

La chanteuse Aya Nakamura sortant de l’Institut accompagnée de la garde républicaine... qu’en pense l’académicien que vous êtes ?

Au diable les formes, la solennité, la raideur! La garde républicaine a pris son pied et s’est mise sans vergogne au diapason des Indigènes de la République. Les bibliothèques elles-mêmes ont été dépoussiérées. On n’explore plus désormais la carte du tendre avec Bérénice ou avec Un amour de Swann mais avec Passion simple. Annie Ernaux a remplacé Proust et Houria Bouteldja Émile Zola. Le mot qui vient involontairement à l’esprit devant ce fiasco grandiose est celui de décadence. Que reste-t-il de la France en France et de l’Europe en Europe ? Qu’est-il arrivé au Vieux Continent ?

La diversité du monde est joyeusement engloutie dans le grand métissage planétaire. Et ce n’étaient plus les athlètes de tous les pays qui défi- laient sous les yeux d’un public ravi, c’étaient les bateaux-mouches avec, sur le pont, des matelots surexcités. Le déluge qui s’est alors abattu sur la Ville Lumière ne peut être qu’une punition divine. À quelque chose, malheur est bon : après cette soirée apocalyptique, je suis devenu croyant.

« Écoutez, je suis en train de lire tous les tweets de l’extrême droite en PLS sur cette #ceremoniedouverture #paris2024. Je vous le confirme : elle est très réussie », a tweeté Marine Tondelier... En acceptant de critiquer cette cérémonie, ne courrez-vous pas le risque de passer pour un facho passéiste et ringard ?

Faire entendre une voix dissonante dans ce grand concert extatique, c’est prendre le risque d’être perçu comme un rabat-joie identitaire et rance. Me voilà rangé parmi les maurrassiens. Cette étiquette infamante témoigne de la confusion des temps. Le fils d’immigrés que je suis ne peut se résigner à l’enlaidissement et à l’avilissement de ce qui lui tient tant à cœur.

Source : Le Figaro 29/07/2024

13:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |