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jeudi, 02 octobre 2025

Partisans du RN contre Fans de Reconquête : les hooligans du néant

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Julien Dir

Ah, quelle farce. Chaque jour qui passe, les réseaux sociaux nous offrent le spectacle pathétique d’une guerre de tranchées entre groupies du RN et ultras de Reconquête, incapables de penser autrement que par les voix ou agissements de leurs chefs/élus respectifs. On s’insulte, on s’excommunie, on brandit des captures d’écran comme autant de trophées de chasse numérique. Pendant ce temps-là, la Bretagne, la France, l’Europe continuent de se déliter, l’immigration de prospérer, et l’État de se soumettre à toutes les idéologies mondialisées. Mais les “patriotes”, eux, préfèrent se déchirer dans un concours de pureté stérile.

Des bulles qui tournent en rond

Les partisans de Zemmour accusent les électeurs du RN de trahison, de compromission, de mollesse. Ceux de Marine et Bardella répliquent en expliquant que Reconquête les “plombe électoralement”. Les uns se prennent pour des stratèges, les autres pour des résistants. En réalité, ils ne sont que les otages d’une société de bulles : bulles médiatiques, bulles virtuelles, bulles narcissiques. Chacun vit enfermé dans son aquarium numérique, persuadé de représenter le “vrai peuple” alors qu’il ne fait que s’adresser à son reflet.

C’est la victoire du marketing sur les idées. Les uns se rassurent en jouant aux gaullistes de province, terroir et saucisson, les autres se grisent d’une radicalité de plateau télé. Mais au fond, ces guerres de boutique ne servent qu’à gonfler les egos de leurs chefs respectifs, qui se nourrissent de cette rivalité pour exister.

Les angles morts des uns et des autres

Les pro-RN hurlent que Reconquête leur “vole des points”. Jamais ils ne se demandent pourquoi tant d’électeurs sont lassés par les ambiguïtés sociétales d’un parti qui flirte parfois avec la gauche progressiste sur des sujets décisifs. À force de se travestir en parti de gouvernement respectable, à force de n’être qu’un RPR des années 90 et de refuser d’appeler à descendre dans la rue, le RN finit par singer ses adversaires.

À l’inverse, les pro-Zemmour ne comprennent pas que nombre de Français, fatigués, précarisés, veulent avant tout être rassurés. Peu leur importe la hauteur des discours ou la radicalité des propositions : ils se tournent vers Marine Le Pen et Bardella parce qu’ils apparaissent comme plus “proches du peuple”. Illusion ? Sans doute. Mais les illusions font partie du réel, et les ignorer, c’est se condamner à ne jamais gagner.

Le panier de crabes

Ces querelles intestines ne sont pas seulement ridicules, elles sont révélatrices : la politique est un tas de lisier où chacun patauge avec un rictus de haine. On se déteste, on se jalouse, on se fantasme en gladiateur d’Internet, alors qu’au fond, on partage les mêmes constats sociaux, les mêmes angoisses démographiques, la même colère contre la dépossession de notre pays.

Et comble du cynisme : ceux qui s’invectivent comme des chiens enragés sur les réseaux ignorent que dans la réalité, nombre de cadres du RN et de Reconquête sont copains comme cochons. On se vouvoie à l’antenne et on s’engueule pour le spectacle, puis on se tape dans le dos hors caméra. La guerre des supporters n’est qu’un théâtre d’ombres pour amuser la galerie.

Voilà le fond du problème : les vrais perdants, ce sont les militants, les sympathisants, les fans. Comme des hooligans sans stade, ils gueulent, ils insultent, ils s’écharpent… mais ils ne construisent rien. Ils vivent par procuration, attendant que leur chef providentiel conquière le pouvoir à leur place. Ils se passionnent pour des joutes virtuelles, plutôt que d’agir concrètement, de s’organiser localement, de prendre leur destin en main.

Ils ne voient pas que ce qui les divise n’est rien face à ce qui devrait les unir : la défense d’un peuple, d’une civilisation, d’une identité. Mais la politique moderne est devenue un spectacle, et comme tout spectacle, elle a besoin de son lot de supporters décérébrés pour exister.

Réveillez-vous

Alors oui, il est temps de secouer le cocotier. Droite nationale, droite identitaire, droite radicale : arrêtez de jouer aux hooligans du néant. Cessez d’être les groupies hystériques de leaders qui ne voient en vous qu’une masse de clics et de voix interchangeables.

Le véritable combat n’est pas sur Twitter ni sur TikTok. Il est dans la rue, dans les associations, dans les familles, dans les villages et les quartiers où se joue l’avenir. Le choix est simple : continuer à se haïr au nom de querelles d’appareil, ou bâtir une force populaire réelle, qui dépasse les boutiques partisanes et les petites vanités.

Parce que sinon vous finirez tous par ressembler à ce que vous prétendez combattre : des spectateurs passifs, consommateurs d’illusions, prisonniers de la société du spectacle. Et dans ce cas-là, vous ne mériterez même plus de parler de “patrie”..Qui aura disparu depuis bien longtemps…

Source : Breizh.info

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mercredi, 01 octobre 2025

Vendredi dernier, 26 septembre, Ferhat Mehenni, le président du gouvernement kabyle en exil était l'invité de Ligne Droite sur Radio Courtoisie

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A Saint-Brieuc la gauche s’en prend à Erik Tegner et se retrouve Gros Jean.

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Pierre-Yves Thomas 

Dans son Hors Série N°1 paru au début de l’année 2025, le magazine Frontières Media dénonçait la machine multi-rouages de l’immigration sauvage en France, machine composée entre autres de certains tribunaux convertis en simples chambres d’enregistrement pour clandestins, d’ONG maquereautées avec les mafias de passeurs, d’associations caritatives aux missions dévoyées et aussi d’avocats exploiteurs acharnés de la notion « d’état de droit ».

Ceci ne plut guère à une partie de la profession des hommes et femmes en robe noire, laquelle intenta donc un procès contre Frontières Media et contre son créateur et directeur, le journaliste Erik Tegner. Les intéressés ne goûtaient que très modérément le qualificatif d’avocats militants empêchant l’exécution d’OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) ou l’appellation de tribunaux accélérateurs de l’invasion migratoire (sic), et ils enfourchèrent donc le cheval de la diffamation pour mener ce procès dont l’audience avait lieu au Tribunal de Grande Instance de Saint-Brieuc (22) ce mardi 30 septembre 2025.

En fin d’après-midi ce mardi, heure à laquelle débutait l’audience, Maître Frédéric Pichon, conseil d’Erik Tegnér et de Frontières Media, argua d’emblée la nullité de procédure pour cette action en justice des avocats et associés plaignants, notamment le barreau des avocats de Rennes, sur les deux chefs suivants :

1)      L’élection de domicile affichée par les plaignants n’était pas conforme au choix géographique du tribunal pour l’audience, concrètement le TGI de Saint-Brieuc. Une grosse jurisprudence à cet égard est quasiment unanime sur cette question technique.

2)      La plainte pointait du doigt les propos tenus par Frontières Media en termes de périphrases générales et imprécises entraînant des distorsions entre le contenu potentiellement incriminé et le sens des poursuites. Une tentative de lien par les plaignants entre un tableau descriptif et le corps de l’article ou des articles incriminés manquait également de précision. Sur ce point également, la jurisprudence est persistante en cassation.

A l’issue d’une demi-heure de délibérations au cours de laquelle s’exprimèrent successivement la Présidente de la Cour, Maître Frédéric Pichon pour Erik Tegnér et Frontières Media, puis finalement l’avocat des parties civiles, les juges se retirèrent pour délibérer et déterminer si l’exception de nullité invoquée faisait sens ou bien si l’audience devait se poursuivre.

Quelques dix minutes plus tard, la sentence tomba : la Cour a fait droit à l’exception de nullité au  titre de  :

1)      Non-conformité sur l’élection de domicile par la partie plaignante.

2)      Imprécision des faits reprochés.

Bien que Maître Pichon eut largement préféré une sentence, de toute façon à parier dans le même sens favorable mais cette fois sur le fond, il est à reconnaître que l’affaire fut rondement menée, ce en guère plus de 45 minutes au total.

Il fut par ailleurs à noter, au rendu du verdict, l’amertume palpable de la partie plaignante, en la personne des sept avocats présents représentant la partie civile, qui se sont finalement retrouvés Gros-Jean comme devant pour avoir voulu imposer leur idéologie et leur hargne immigrationniste à Erik Tegnér et à Frontières Media.

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Philippine : des affiches à son effigie arrachées par des militants de gauche

Capture d'écran X

Jean Kast

C’était il y a un an, déjà. Le 20 septembre 2024, Philippine, une étudiante âgée de 19 ans, était violée et tuée dans le bois de Boulogne par un Marocain sous OQTF, alors qu’elle sortait d’un cours à l'université Paris-Dauphine. Un triste anniversaire que certains médias ont voulu marquer en invitant la mère de la jeune fille sur leurs plateaux. Blandine de Carlan s’est notamment rendue sur celui de Christine Kelly, dans Face à l’info, où elle a fait part de sa colère, toujours vive, envers nos institutions, de son incapacité à pardonner au meurtrier de sa fille, mais aussi de sa reconnaissance envers les rares journalistes qui avaient pris le drame de Philippine « à bras-le-corps » quand d’autres n’avaient voulu y voir rien de plus qu’un « fait divers » insignifiant. « Je voudrais remercier spécialement madame Cluzel de la part de mon mari et de mon fils. On n'a jamais entendu un édito aussi beau, a-t-elle lancé, face à la directrice de la rédaction de BVVous avez décrit Philippine et ils l’ont retrouvée… Vous avez eu les mots justes. »

Les anti-Philippine

Mais, aussi incroyable que celui puisse paraître, le soutien à cette famille endeuillée n’a pas été universel. Il s’en est trouvé certains pour critiquer les hommages rendus à Philippine. On en a eu un nouvel exemple, cette semaine, à Lyon, où des militants ont été aperçus en train d’arracher des affiches à l’effigie de la jeune fille.

De nombreux internautes se sont scandalisés de ce geste attribué aux « gauchistes ». Ce n’est pourtant pas la première fois que cette haine se manifeste d’une telle manière. En septembre 2024, une minute de silence en hommage à Philippine avait été interrompue, à Vienne, par l’extrême gauche, aux cris de « Siamo tutti antifascisti ». On se souvient aussi d’un Conseil de Paris, en octobre 2024, au cours duquel Anne Hidalgo s’était dite « glacée » par des affiches rendant hommage à la même Philippine.

D’autres visuels en mémoire de la jeune femme avaient également été arrachés par des militants d’extrême gauche à Sciences Po Paris, en septembre 2024. « Elle est morte. Elle avait notre âge. On la respecte, s’il vous plaît ! », avait alors lancé un étudiant, face à celle qui était en train de déchirer rageusement les innocents portraits.

Ces visages qu’on ne veut pas voir

Ce même campus avait déjà été le théâtre d’une scène similaire, en novembre 2023. C’était alors des affiches en hommage à Thomas, tué quelques jours plus tôt à Crépol, qui avaient été retirées. « L'extrême gauche a arraché et jeté à la poubelle les affiches en moins d'une heure. Pour eux, seules les racailles méritent un hommage », avait déploré les étudiants de l’UNI, dépités.

Souvenez-vous aussi de ces photos d’otages israéliens qui avaient été arrachées dans plusieurs endroits de France. Dans les Bouches-du-Rhône, un militant écologiste avait été filmé en juillet 2024 en train de gratter les dernières traces du portrait placardé de Kfir Bibas, ce bébé kidnappé puis tué par le Hamas. À Paris, c’est une ancienne collaboratrice du Quai d’Orsay et intervenante régulière à Radio France qui avait été prise la main dans le sac, en novembre 2023, les bras chargés d’affiches fraîchement déchirées. « Israël assassin ! », hurlait-elle, face aux passants indignés.

Pour cette gauche, Philippine, Thomas, Lola, Kfir et les autres s’avèrent extrêmement gênants. Ils sont les victimes de l’ensauvagement de l’Occident, les preuves mortes de l’échec du « vivre ensemble ».

Article paru sur Boulevard Voltaire, cliquez ici.

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Rappel : réunion publique de l'avocat Pierre Gentillet, le vendredi prochain, 3 octobre, à Argenton-sur-Creuse, dans la perspective des élections municipales de 2026

Débat sur l'identité nationale : Pierre Gentillet s'attaque aux «prêtres du  néant»

Pour accéder à l'article déjà consacré à cette réunion publique, cliquez ici.

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mardi, 30 septembre 2025

L’immunité pour une élue d’extrême gauche au Parlement européen ?

@Diliff-Wikimedia Commons

Olivier Bault, directeur de la communication de l'Institut Ordo Iuris

La commission des affaires juridiques du Parlement européen s'est prononcée, ce 23 septembre, contre la levée de l'immunité de l’eurodéputée italienne Ilaria Salis, militante antifa accusée d’avoir, avec plusieurs complices, violemment agressé à coups de marteau des passants à Budapest en 2023.

Une eurodéputée antifa protégée...

Le tort de ces passants était de présenter un aspect trop « extrême droite ». Neuf personnes avaient alors été blessées, dont six très gravement, par ce groupe antifa allemand appelé le « gang des marteaux » (Antifa Hammer Gang). Parmi les victimes figuraient notamment trois touristes polonais et un employé hongrois de bureau de tabac qui passaient par là. Ilaria Salis, qui était à l’époque enseignante, a été arrêtée par la police hongroise et son procès était en cours quand, au printemps 2024, elle a obtenu un mandat au Parlement européen, obtenant ainsi le bénéfice de l'immunité de parlementaire.

Certes, c’est par un vote en assemblée plénière que le Parlement européen décidera, probablement le 7 octobre prochain, de la levée ou non de l'immunité d'Ilaria Salis. On peut toutefois craindre, au vu du passif de cette assemblée et de son bloc majoritaire qui s’étend du Parti populaire européen à l’extrême gauche, que madame Salis n’échappe à la Justice. Ceci, alors que les États-Unis puis la Hongrie viennent de déclarer les antifas organisation terroriste tandis que le Parlement néerlandais a adopté une résolution pour demander à son gouvernement de faire de même.

...mais des élus polonais de droite dans le collimateur

Dans le même temps, la même commission des affaires juridiques du Parlement européen recommandait la levée de l’immunité parlementaire de deux eurodéputés polonais du parti Droit et Justice : Daniel Obajtek, ancien président de la compagnie pétrolière Orlen, et Michał Dworczyk, l’ancien directeur du cabinet du Premier ministre Mateusz Morawiecki. Le premier se voit reprocher par le parquet polonais un contrat passé par Orlen avec une agence de détectives sans passer par un appel d’offres ; le même parquet voudrait traduire le deuxième en justice pour avoir utilisé, quand il était directeur du cabinet du Premier ministre, une boîte de courriel privée non sécurisée pour des messages qui auraient dû rester confidentiels et qui ont fuité sur Internet.

Mais, un mois après le retour de Donald Tusk au poste de Premier ministre, son ministre de la Justice a pris le contrôle du parquet en violant la loi polonaise : il a remplacé le procureur national sans l’aval du président Andrzej Duda, qui était requis. Après ce remplacement, les mutations et nominations ont été nombreuses, sous l’égide du nouveau procureur national et une équipe spéciale de procureurs a été formée pour poursuivre les opposants politiques et tenter de prévenir toute possibilité de retour du PiS ou d’une coalition de droite au pouvoir en Pologne.

Au point même que la Hongrie a accordé l’asile à un député polonais, Marcin Romanowski, que le parquet polonais voulait arrêter après avoir obtenu la levée de son immunité par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe où domine la même coalition qu’au Parlement européen. Même Interpol a rejeté la demande polonaise d’intervenir pour faire arrêter Romanowski.

Donald Tusk et les violations de l’État de droit

L’Institut Ordo Iuris pour la culture du droit a publié deux rapports, traduits en anglais, qui décrivent les violations de l’État de droit par le gouvernement de Donald Tusk depuis décembre 2013 : « Une année de dévastation de l'État de droit » (décembre 2024) et « Violations des principes de la démocratie et de l'État de droit par le gouvernement de Donald Tusk après le 13 décembre 2023 » (mai 2025). Des associations de magistrats polonais et d’autres think tanks, y compris l’influent think tank américain Hudson Institute (dans son document de février 2025 intitulé « Quand les démocrates gouvernent de manière non démocratique : le cas de la Pologne »), ont également publié des rapports allant dans le même sens.

En avril dernier, le Parlement européen a, malgré tout, levé l’immunité de deux autres députés polonais du PiS au Parlement européen : Michał Kamiński et Maciej Wąsik. Les deux hommes sont poursuivis par ce parquet que contrôle le gouvernement de Donald Tusk pour avoir exercé leur mandat de député qui leur avait été retiré par le président de la Diète (la chambre basse du Parlement polonais) en raison d’une condamnation par un tribunal de Varsovie. Une condamnation prononcée en dépit d’une grâce présidentielle et un retrait de mandats de députés invalidé par la Cour de cassation polonaise, mais dont le gouvernement de Donald Tusk et sa coalition gaucho-libérale soutenue par Bruxelles refusent d’appliquer les décisions qui ne lui conviennent pas. De la même manière, le gouvernement de Donald Tusk ne publie pas et n’applique pas les décisions du Tribunal constitutionnel polonais. C’est ce qu’il appelle « restaurer l’État de droit ».

On l’avait déjà vu avec l’affaire des assistants parlementaires du RN, le Parlement européen a une approche très particulière et très politicienne de la question de l’immunité parlementaire : levée automatique quand les demandes concernent les membres des groupes de droite (Conservateurs et Réformistes européens, Patriotes pour l’Europe ou Identité et Démocratie) et refus systématique quand ces demandes concernent des députés du bloc majoritaire. Le but de l’institution de l’immunité parlementaire est pourtant tout autre : il s’agit de protéger les représentants élus du peuple, et notamment ceux d’opposition, contre toute possibilité de répressions à leur encontre au titre de l’exercice de leur mandat de député, et non pas pour des faits de violences comme ceux pour lesquels la députée italienne Salis encourt onze ans de prison en Hongrie.

Article paru sur Boulevard Voltaire, cliquez ici.

08:38 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La douceur de vivre à Strasbourg vue par la municipalité écologiste...

Une affiche pour les seniors enflamme les réseaux sociaux – StrasInfo.fr

À Strasbourg, "venir voir l'écologie en action, venir voir que l'écologie, ça améliore le quotidien et ça protège le lendemain, c'est très émouvant pour nous".

Marine Tondelier, secrétaire nationale des Verts, sur France 3 Alsace, le 23 août dernier.

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Après-demain, jeudi 2 octobre, sortie du nouveau numéro du magazine Frontières consacré aux maires complices de l'islamisme

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La rédaction de Frontières

Depuis des années, on nous répète que l’islamisation de la France ne serait qu’un fantasme, une invention de l’extrême droite pour faire peur. Pourtant, la réalité est tout autre. Derrière les discours rassurants, les décisions locales s’accumulent : subventions municipales, terrains cédés, salles prêtées, inaugurations complaisantes…

Pendant plusieurs mois, notre rédaction a mené une enquête minutieuse. Nous avons étudié des milliers de délibérations, de votes, de budgets municipaux et de prises de parole publiques. Le résultat est sans appel : partout en France, des élus de tous bords ont choisi l’aveuglement ou la complicité.

Dans ce numéro, Frontières publie un Top 30 inédit des maires les plus complaisants. Qu’ils soient de droite, de gauche ou sans étiquette, leur point commun est d’avoir troqué Marianne contre la soumission, au mépris de l’intérêt général.

Une enquête exclusive, appuyée sur des données factuelles, qui révèle l’ampleur d’un phénomène trop longtemps nié.

Un numéro à lire absolument pour comprendre comment, pas à pas, l’islamisation s’ancre dans nos communes.

07:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hier matin, Eric Zemmour était l'invité du "8h30 franceinfo"

06:30 Publié dans Eric Zemmour, Sur les ondes libres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 29 septembre 2025

Samedi dernier, 27 septembre, pour la Saint-Michel, comme chaque année, les paras ont remonté les Champs Elysées jusqu'à l'Arc de Triomphe et la tombe du Soldat inconnu

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Par Saint-Michel, Vive les paras !

Pour voir la vidéo, cliquez ici.

19:32 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le week-end dernier, 2.000 pèlerins étaient rassemblés à Domrémy pour célébrer Jeanne d'Arc à l'occasion du 600e anniversaire des apparitions de l'archange Saint Michel

19:13 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Demain, mardi 30 septembre, Sarah Knafo sera l'invitée de Christine Kelly sur CNews, à 19h30

19:03 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Royaume-Uni : la population explose sous l’effet d’une immigration massive

Manifestation d'extrême-droite à Londres: 110.000 personnes rassemblées,  neuf personnes interpellées

La rédaction de Breizh-Info, cliquez ici.

Selon les derniers chiffres officiels de l’Office for National Statistics (ONS), la population britannique a atteint 69,3 millions d’habitants en 2024. Une croissance record dont 98 % est directement imputable aux arrivées migratoires. Le phénomène s’accompagne d’une chute historique de la natalité, posant la question de la survie démographique et identitaire du pays.

Une croissance record, sans précédent depuis la guerre

Entre mi-2022 et mi-2023, le Royaume-Uni a connu une hausse de 755 000 habitants, soit la deuxième plus forte progression démographique depuis la Seconde Guerre mondiale. La seule année à avoir dépassé ce chiffre est celle qui l’a précédée, avec une augmentation de 890 000 personnes.

En comparaison, la croissance naturelle est dérisoire : à peine 16 239 naissances de plus que de décès, soit 2 % de l’accroissement total.

Dans le même laps de temps, 1,23 million de personnes sont venues s’installer durablement au Royaume-Uni, tandis qu’environ 496 500 ont quitté le pays. Le solde migratoire net atteint donc près de 739 000 personnes, représentant 98 % de la croissance démographique.

Contrairement à une idée reçue, la majorité de ces arrivées ne concernent pas les migrants illégaux en bateau, mais bien des flux migratoires légaux, autorisés par les politiques en place.

L’Angleterre en première ligne

Parmi les nations constitutives du Royaume-Uni, l’Angleterre concentre l’essentiel de cette poussée démographique, avec une hausse de 1,2 % de sa population en un an. Le Pays de Galles, l’Écosse et l’Irlande du Nord restent en retrait, avec des croissances inférieures à 1 %.

Alp Mehmet, président du groupe Migration Watch, a résumé la situation en des termes frappants : « Ces chiffres équivalent à ajouter chaque année une ville de la taille de Leeds. » Selon lui, le gouvernement britannique ferme les yeux sur des « niveaux catastrophiques d’immigration » et ne propose aucune stratégie pour les réduire.

Nigel Farage, figure du Brexit, a récemment insisté pour que s’ouvre enfin un débat sur l’immigration légale, qu’il juge hors de contrôle.

Les chiffres confirment une tendance de fond : faible natalité autochtone et immigration massive imposent un bouleversement démographique durable. Le politologue Matt Goodwin, en se basant sur les données officielles, estime que les Britanniques de souche deviendront minoritaires d’ici 2063. À l’horizon 2100, la proportion de Britanniques « blancs autochtones » tomberait à 22 %.

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La pétition lancée par Philippe de Villiers pour exiger un référendum sur l'immigration totalise ce matin 1.910.000 signatures. Plus que 90.000 avant les 2 millions ! Encore un effort !

Signez la pétition ! - Pour un référendum sur l'immigration

Pour signer la pétition, cliquez ici.

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Brest : une journée d’étude universitaire pour revisiter l’héritage de l’abbé Perrot

L'abbé Perrot et la Bretagne - La Nef

La rédaction de Breizh-Info, cliquez ici.

Le 14 novembre 2025, l’UFR Lettres et Sciences humaines de l’Université de Bretagne Occidentale (salle C219, Brest) accueillera une journée d’étude consacrée à l’abbé Jean-Marie Perrot (1877-1943), figure centrale du mouvement Feiz ha Breiz et fondateur du Bleun-Brug, assassiné par des communistes en 1943.

Intitulée « Un autre abbé Perrot. Nouvelles approches, nouveaux regards », cette rencontre entend dépasser les polémiques qui réduisent l’homme aux seules circonstances de sa mort, pour replacer sa vie, ses combats et sa mémoire dans la longue durée. Les communications porteront aussi bien sur ses relations avec sa hiérarchie ecclésiastique que sur son rôle de collecteur de chants, son action dans le mouvement breton, ou encore les représentations posthumes qui lui ont été associées.

Le programme de la journée

MatÀinée

  • 8h30 – Accueil des intervenants
  • Présidence : Sébastien Carney
  • 8h50-9h15 – Yvon Tranvouez : Comprendre l’abbé Perrot
  • 9h20-9h45 – Éva Guillorel : Une œuvre de jeunesse : Jean-Marie Perrot collecteur de chansons en langue bretonne en pays Léon
  • 9h50-10h15 – Erwan Le Gall : La Grande Guerre de l’abbé Perrot
  • 10h15-10h30 – Questions
  • 10h30-10h45 – Pause
  • Présidence : Daniel Le Couédic
  • 10h45-11h10 – Malo Morvan : La polémique orthographique entre Calvarin et Perrot (1929-1931)
  • 11h15-11h40 – Kristell Loussouarn : Soumission filiale et engagement : l’abbé Perrot face à Mgr Duparc
  • 11h40 – Questions

Après-midi

  • Présidence : Ronan Calvez
  • 14h00-14h25 – Sébastien Carney : Perrot, Lainé, Mordrel et les autres
  • 14h30-14h55 – Maryvonne Berthou : Perrot, l’animateur du Bleun-Brug et l’organisateur des concours scolaires
  • 15h00-15h25 – Daniel Le Couédic : Koat-keo, une si modeste chapelle…
  • 15h25-15h40 – Questions
  • 15h40-15h55 – Pause
  • Présidence : Nelly Blanchard
  • 16h00-16h25 – Frédéric Le Moigne : L’iconographie de l’abbé Perrot
  • 16h30-16h55 – Mannaig Thomas : Yann-Vari Perrot par Ar vro bagan (1985)
  • 17h00-17h25 – Thierry Guidet : Qui a tué Yann-Vari Perrot ? Genèse et réception d’une enquête journalistique
  • 17h30 – Questions et conclusion

Cette initiative universitaire survient alors que la mémoire de l’abbé Perrot reste vive en Bretagne.  Comme le rappelait récemment Youenn Caouissin, fils d’Herry Caouissin, « honorer l’abbé Perrot revient à prendre en compte sa devise Feiz ha Breiz : la foi d’abord, puis la Bretagne ».

Ainsi, aux commémorations spirituelles et militantes répond désormais un travail universitaire renouvelé, soucieux de replacer Perrot dans son temps, entre enracinement religieux, engagement breton et postérité mémorielle.

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Communiqué de la fédération Reconquête! des Deux-Sèvres après le décès à Niort d'une octogénaire violée par un jeune Afghan âgé de 20 ans

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Tribune libre : La fin justifie les moyens

Israël se prépare à "prendre le contrôle" de la ville de Gaza | France  Culture

Pieter Kerstens

Depuis sa nomination comme Premier Ministre, en 2009, jusqu’au 7 octobre 2023, les Israéliens savent que Benyamin Netanyahou a aidé le Hamas, car sa stratégie consistait à favoriser celui-ci pour lutter contre l’OLP de Yasser Arafat. Sa première décision officielle fut d’annuler la demande d’extradition de Moussa Abou Marzouk, à l’époque le plus haut dirigeant du Hamas, qui était détenu aux Etats-Unis. D’autres évènements ont montré que son objectif n’était pas de détruire l’OLP, mais d’empêcher la création d’un Etat Palestinien. Ainsi, en 2018, quand l’Autorité Palestinienne cessa de payer les fonctionnaires à Gaza, il conclut un accord avec Yahya Sinwar, alors chef militaire du Hamas à Gaza, alors emprisonné en Israël. Netanyahou donna d’abord secrètement de l’argent, puis officiellement via le Qatar. Pendant quatre ans, il versa ainsi 2,5 milliards de dollars au Hamas, ce qui lui permis de construire son réseau de tunnels et de s’armer sous les yeux du Shin Bet. Ce faisant, Israël et le Hamas obtenaient le soutien des services secrets anglo-saxons, fidèles à la stratégie énoncée en 1916 par Lord Herbert Samuel : veiller à ce que jamais ni l’Etat juif, ni l’Etat palestinien à venir ne puissent assurer seuls leur sécurité.

On remarquera que ces trois dernières années, le gouvernement israélien s’oppose farouchement à toutes les tentatives de reconnaissance d’un Etat de Palestine indépendant et souverain par les pays de la Planète et menace même ces derniers jours la douzaine de pays -dont la France et le Royaume-Uni- qui ont franchis le pas, de mesures de rétorsion. Pour Netanyahou « nécessité fait loi » et à ce titre, le 17 juillet 2024 la Knesset avait voté contre la création d’un Etat Palestinien et le 25 juillet 2025, cette assemblée a voté également pour l’annexion de la Cisjordanie à une écrasante majorité. Ces prises de position énergiques et irréfutables ne sont jamais commentées dans les médias et sur les plateaux des télévisions européennes…

Depuis toujours, l’histoire d’Israël est marquée par le mépris flagrant pour le droit international et les principes moraux.  Seuls comptent les intérêts du peuple juif envers et contre tous et si un terme définit au mieux le modus operandi de l’Etat sioniste, c’est le terrorisme. Le 31 mai 1948, Davis Ben Gourion a converti les groupes terroristes juifs -Haganah, Stern, Lehi, Irgoun et Palmach- en ce qui allait être appelé les "Forces de Défense Israélienne" (FDI). Cet homme allait devenir Premier Ministre d’Israël et ses actions ont jeté les bases de ce que beaucoup décrivent comme un Etat colonial de peuplement en Palestine. Ce fait résume l’essence même de l’Etat d’occupation aujourd’hui, illustrant de manière frappante les racines violentes et aveugles sur lesquelles l’Etat et son armée (Tsahal) ont été établis. Actuellement les opérations militaires israéliennes se poursuivent à Gaza et en Cisjordanie occupées, où les chars écrasent les corps des morts et des blessés et où les habitants sont jetés du haut des toits ou victimes des tirs isolés dans leurs maisons. Le fait de « donner la mort ou de porter gravement atteinte à l’intégrité physique de civils dans le but d’intimider une population » est la définition même du terrorisme, selon les termes de l’Assemblée Générale des Nations Unies.

On constate au fil des mois que des immeubles résidentiels entiers sont réduits en ruines au nom de l’extermination des terroristes du Hamas ou du Hezbollah que ce soit à Gaza, en Cisjordanie ou même à Beyrouth. Le gouvernement israélien a normalisé les attaques sanglantes contre les hôpitaux, les écoles, les églises et les mosquées et a armé les technologies de communication pour anéantir en masse les personnes dans les maisons, les bureaux et les rues, afin d’effrayer les civils et de les contraindre à la soumission. On peut donc craindre que tant qu’il y aura un mur debout à Gaza, la guerre ne s’arrêtera pas et que, selon Netanyahou, « l’élimination totale et définitive du Hamas » ne sera pas atteinte.

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dimanche, 28 septembre 2025

Dans "Traditionalisme 2025 : le vrai bilan - Chiffres, cartes, enjeux", Julien Aubert et Academia Christiana font le point, sans fard, sur le courant traditionaliste, dans le monde et en France.

Traditionalisme 2025 : le vrai bilan — chiffres, cartes, enjeux

Cette vidéo "constitue un panorama rare, loin des slogans, qui devrait intéresser autant les fidèles déjà engagés que ceux qui cherchent à comprendre la place du traditionalisme aujourd’hui" (la rédaction de Breizh-Info). Pour la voir en français, cliquez ici.

Pour accéder à l'article que Breizh-Info a consacré à cette vidéo, cliquez là.

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Condamnation de Sarkozy : quand la justice se fait pouvoir

Jugement rendu : infos sur l'exécution du jugement rendu

Jean-Yves Le Gallou

La condamnation de Nicolas Sarkozy (voir le jugement intégral ici : lien) révèle le basculement vers la dictature des juges. Je ne prends évidemment pas parti aveuglément pour l’ancien président. Son bilan politique est globalement catastrophique. Mais j’entends montrer comment le pouvoir judiciaire s’est mué en pouvoir politique, hors de tout contrôle démocratique. Une dérive gravissime qui devrait inquiéter toutes les personnes de droite car la persécution judicaire s’étendra inévitablement.

De contre-pouvoir à pouvoir absolu

Autrefois, la justice était un contre-pouvoir. Elle est devenue LE pouvoir : anonyme, irresponsable, sans contrepoids. Les juges ne se contentent plus d’appliquer la loi : ils la façonnent et imposent l’agenda du politiquement correct. Ce que j’appelle la dictature judiciaire s’installe, à l’image du Brésil où l’ ancien président Bolsonaro est menacé de prison au nom de la démocratie…

L’emprise des juges sur tous les leviers

Le pouvoir judiciaire avance sur tous les fronts :
– Législatif : le Conseil constitutionnel fait et défait les lois.
– Exécutif : le Conseil d’État, la CNDA et les tribunaux administratifs décident du droit des étrangers à séjourner en France.
– Politique : des élus sont condamnés pour « délits d’opinion » (Jean-Marie Le Pen, Zemmour) ou éliminés par des « affaires » (Fillon, Marine Le Pen, Sarkozy).
Pendant ce temps, l’irresponsabilité des juges demeure totale. Quid de la séparation des pouvoirs ?

Fin des immunités et chute du pouvoir politique

La IIIᵉ République avait mis en place un système d’immunités parlementaires, gouvernementales et présidentielles. Celles-ci visaient à protéger les hommes politiques du risque pénal, à garantir leur indépendance et à assurer la séparation des pouvoirs.
En dehors des périodes de guerre (affaire Caillaux lors de la Première, exclusion des communistes en 1939, procès de Riom et procès de la Libération), les levées d’immunité ont été très rares, tout comme les procès politiques.
Tout a changé durant les années 1980. Dans un premier temps, l’immunité parlementaire de Jean-Marie Le Pen a été levée pour de simples délits d’opinion. Puis, dans un deuxième temps, une série de lois de « moralisation » ont vidé de leur contenu les immunités de tout le monde.
Désormais, c’est le calendrier judiciaire qui domine la vie politique. La magistrature joue au chamboule-tout lors de procès-spectacle, sortant du jeu présidentiel Fillon, puis Marine Le Pen, et mettant en prison un ancien président de la République.
Derrière les arguties prétentieuses sur l’État de droit, c’est une dictature judiciaire qui se met en place. Tandis que le retour de la prison pour les chefs politiques est sans doute le signe avant-coureur du retour de la violence politique. La terreur n’est jamais loin de la vertu. C’est la fin d’un régime politique, mais ce n’est pas la fin de l’histoire, c’est plutôt l’annonce de son grand retour.

Des priorités dévoyées

La justice manque de moyens mais se consacre aux grands procès politiques ou médiatiques – Fillon, Marine, Sarkozy, Pelicot – plus gratifiants pour l’ego des juges que la protection des citoyens face aux petites racailles. Pendant qu’on traque les dirigeants, les criminels violents, violeurs et narcotrafiquants bénéficient d’une impunité de fait. Dans le même temps, le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État ouvrent toujours plus les frontières, et l’on panthéonise Badinter. Voilà la hiérarchie des priorités.

Sarkozy, un signal pour demain

Que l’on ne s’y trompe pas : la condamnation de Nicolas Sarkozy n’est pas seulement le châtiment d’un homme. Elle est un avertissement. Si Marine Le Pen nourrit le moindre doute sur ce qui l’attend, elle a tort. Le principal obstacle à toute politique de sécurité ou de remigration, c’est la dictature des juges.

Mettre en prison d’anciens dirigeants est la norme des républiques bananières, pas des démocraties. En condamnant un ancien président à la prison ferme, la France confirme son entrée dans l’ère de la dictature judiciaire. La terreur n’est jamais loin de la vertu. C’est la fin d’un régime, mais peut-être aussi le début du grand retour de l’histoire.

Article paru sur Polémia, cliquez ici.

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Demain, lundi 29 septembre, Eric Zemmour est l'invité de franceinfo à partir de 8h30

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Conférence de Sylvain Roussillon, "Le nationalisme irlandais face à sa destinée", à Clermont-Ferrand, le samedi 11 octobre, à partir de 18h

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Repas du Parti de la France à Dijon, le samedi 4 octobre, à partir de 19h.

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Réflexions sur les guerres en cours

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Nos contemporains sont dans une disposition d’esprit qui ne les pousse pas à accepter de faire la guerre. Non parce que la guerre est jugée par principe comme un « malheur » (un tel jugement est de tous les temps), mais parce qu’étant individualistes, ils en tirent la conclusion que nul ne peut décider à leur place de l’opportunité de risquer leur vie. Alain de Benoist consacre son éditorial sur le sens exact du mot guerre. En effet, de quoi parle-t-on exactement face aux conflits qui se déroulent en Ukraine et en Israël.

Lire la suite ICI

Source : Eléments, n° 218 septembre 2025

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samedi, 27 septembre 2025

Les oligarchies contre les peuples, la menace du totalitarisme en Europe

Censure et contrôle de l'information du XVIe siècle à nos jours | Enssib

Michel Festivi

Partout en Europe, dans une Europe passoire sans frontières protégées, submergée au demeurant par une immigration incontrôlée, le plus souvent illégale, gangrénée par une violence exponentielle, et livrée aux narcotrafics, les États profonds et les technostructures mondialisées recherchent par tous les moyens à empêcher la libre expression populaire, qui tente de s’opposer à la disparition de la civilisation millénaire, qui depuis Athènes et Rome, en passant par le Christianisme bâtisseur de nos Cathédrales, avaient façonné nos pays, nos lois, nos mœurs, nos coutumes, nos traditions et ont apporté au monde les splendeurs absolues de la littérature, de la peinture, des arts, de l’architecture, la France étant de surcroit  « mère des arts, des armes et des lois », comme la décrivait Joachim du Bellay dans son recueils Les Regrets en 1558 .

Dans une envolée lyrique dont il avait le secret, Charles de Gaulle avait déclaré : « Il ne peut y avoir d’autre Europe que celle des États en dehors des mythes, des fictions, des parades ». Il avait rajouté : « Je ne crois pas que l’Europe puisse avoir aucune réalité vivante si elle ne comporte pas la France avec ses Français, l’Allemagne avec ses Allemands, l’Italie avec ses Italiens, etc, Dante, Goethe, Chateaubriant appartiennent à toute l’Europe, dans la mesure même où ils étaient respectivement et éminemment Italien, Allemand et Français. Ils n’auraient pas beaucoup servi l’Europe s’ils avaient pensé et écrit en quelque espéranto ou volapük intégré ». (Conférence de presse du 15 mai 1962).

Mais depuis, les temps ont bien changé. Désormais, c’est tout le contraire qui est entrepris, pour broyer les peuples, les supprimer, les nier, pour les agglomérer dans un magma informe et infect. Cette politique totalitaire se retrouve partout. En Roumanie, avec le scandale des annulations des élections qui allaient porter au pouvoir un anti-européiste convaincu largement gagnant dès le premier tour de scrutin. En Pologne, où la mobilisation bruxelloise a fini par faire revenir Tusk au pouvoir, mais heureusement n’a pas pu empêcher la victoire du nationaliste Karol Nawrocki. En Géorgie, où tout est entrepris pour forcer la main mise de Bruxelles. En France, avec des tripatouillages électoraux qui ont empêché la victoire du RN en 2024, et la prise de pouvoir de juges non élus, qui entendent phagocyter la libre expression des citoyens par des révolutions institutionnelles et juridiques des plus dictatoriales, retoquant certaines lois sur des motifs les plus stupéfiants et interdisant à certains candidats capables de parvenir au plus haut, de se présenter. Il faut surveiller de près les prochaines élections en Moldavie, et l’an prochain en Hongrie, où les appareils internationaux se mobilisent comme jamais. La Grande Bretagne, pays à la pourtant longue tradition des libertés publiques, malmène ses opposants, n’hésitant pas à les emprisonner pour de simples délits d’opinion.

Mais c’est en Allemagne, où les éléments se déchainent avec le plus de force contre le peuple allemand. Et c’est l’AfD qui est au centre de toutes les attentions mortifères, pour l’éliminer, la dégager, et l’empêcher d’exister. Depuis sa création en 2013, elle est au centre d’une incroyable série de procédures policières, administratives et juridiques, car elle gène, elle dérange et ses immenses succès électoraux ravivent les intentions d’ostracisme à son égard.

J’ai décrit ici même, comment dans l’Ouest du pays, elle avait il y a quinze jours, triplée son score précédent à des élections locales en Westphalie. L’excellent site Breizh-Info nous apprend, qu’à Ludwigshafen, ville industrielle de Rhénanie-Palatinat, elle a été interdite de se présenter par le conseil municipal. L’argument sempiternellement avancé « la défense de la démocratie » ! Belle litote au demeurant, rejoignant celle du guillotineur Saint-Just, et préfigurant toutes les dictatures rouges « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ». Par tous les moyens, l’État allemand, avec la bénédiction des instances européennes, entend paralyser l’action de l’AfD, qui n’a qu’un tort, se présenter librement au suffrage des Allemands et y recueillir de plus en plus de succès, en luttant contre l’immigration invasive, la délinquance qui se multiplie, les escrologies climatiques et environnementales qui détruisent les industries, l’appauvrissement de ceux qui travaillent, la gabegie généralisée.   

Le 2 mai 2025, l’Office de protection de la Constitution (sic), chargé du renseignement intérieur, a classé l’AfD comme un mouvement « extrémiste de droite confirmé », avec comme motif « les indices selon lesquels l’AfD aurait des aspirations contre l’ordre fondamental libéral et démocratique », sont devenus des « certitudes », pour cette police de la pensée, digne du ministère de la Vérité d’Orwell, dont son récit d’anticipation, 1984, n’a jamais été aussi près de la réalité. L’AfD a contesté cette décision, qui a été suspendue pendant la procédure d’appel, mais le risque est immense. En dernier ressort, c’est la Cour constitutionnelle de Karlsruhe qui tranchera.

Gageons que le combat, en Allemagne, comme partout en Europe est loin d’être fini. Les coups bas vont continuer à tomber comme à Gravelotte. Ainsi, on vient juste de l’apprendre, un tribunal du land de Berlin vient d’ordonner à l’AfD de quitter son siège national, donnant raison au propriétaire qui invoquait la violation par l’AfD de ses obligations lors de la soirée électorale de février 2025, célébrant son succès aux élections législatives. L’AfD devrait quitter les lieux à la fin de 2026, le motif invoqué, l’AfD avait projeté son résultat exceptionnel et son logo sur un des murs du bâtiment. Mais l’AfD a fait savoir, qu’elle avait acquis désormais de nouveau locaux. (En février 2025 L’AfD avait augmenté son score de 10,4%, passant à 20,80%, obtenant 152 députés contre 69 auparavant et devenant avec plus de 10 millions de voix le second parti du pays).

C’est le stalinien Bertolt Brecht, qui après la révolte ouvrière berlinoise du 17 juin 1953, réprimée dans le sang par les communistes de Berlin-Est, avait renouvelé son soutien au parti communiste Est-allemand, le SED, et dans une lettre adressée au tyran Walter Ulbricht avait affirmé : « puisque le peuple vote contre le gouvernement, il faut dissoudre le peuple ». C’est cette continuité historique qui se développe partout actuellement en Europe et singulièrement en Allemagne. Espérons que les peuples ne se laisseront pas faire.

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Lundi prochain, 29 septembre, Eric Zemmour est l'invité de franceinfo à partir de 8h30

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Réunion publique de l'avocat Pierre Gentillet, le vendredi 3 octobre, à Argenton-sur-Creuse, dans la perspective des élections municipales de 2026

Débat sur l'identité nationale : Pierre Gentillet s'attaque aux «prêtres du  néant»

Communiqué de Pierre Gentillet

Sortir Argenton du déclin : parlons-en ensemble !

Depuis trop longtemps, notre belle ville glisse, silencieusement mais sûrement, sur la pente du déclin. Depuis 1995, date d’arrivée au pouvoir de l’actuelle majorité municipale, nous avons vu s’effriter ce qui faisait notre vitalité, notre prospérité, notre sécurité. Insécurité, chute du nombre d'habitants, endettement de la ville, commerces qui ferment...ce déclin n’est pas une illusion. Il est visible, tangible, concret.

Albert Camus avait raison : « Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur du monde. » Nommons donc les choses. Disons-les franchement. Le déclin d’Argenton n’est pas une abstraction : c’est notre réalité.

Mais ce déclin n’est pas irréversible. Nous pouvons encore redresser le destin de notre commune. À condition de regarder les faits en face, de dresser le bon diagnostic ensemble, et de choisir, tous ensemble, les solutions qu’imposent les circonstances. C’est pourquoi nous vous appelons à venir débattre, vendredi 3 octobre, à 18h30, salle Charles Brillaud, 7 rue Charles Brillaud. Nous aborderons, sans détour, ces sujets décisifs. Nous le ferons avec vous, dans la concertation et la participation, tout ce que la municipalité actuelle se refuse à pratiquer.

Argenton a des atouts : son patrimoine, son économie potentielle, son rayonnement touristique, sa desserte ferroviaire directe avec Paris. Oui, Argenton pourrait vivre, prospérer, s’élever. Mais pour cela, encore faut-il que ses habitants reprennent leur destin en main. C’est à ce sursaut que nous vous appelons tous. C’est à vous qu’il appartient de dire : assez ! Venez nombreux vous faire entendre, ce vendredi 3 octobre prochain ! Venez préparer l’avenir d’Argenton ! Ensemble Rassemblons Argenton ! 

Programme : 18h30, Accueil - 18h45, Début de la réunion publique - 18h45-19h, Mot d’ouverture - 19h-19h30, prises de paroles - 19h30-20h30, débat - 20h30, verre de l’amitié.

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Le journal du chaos

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vendredi, 26 septembre 2025

Trump à l’ONU, l’Attila du politiquement correct

Assemblée générale de l'ONU : Donald Trump critique les Nations unies,  l'Europe et… la Russie | franceinfo

Pierre Boisguilbert

(Polémia) Le discours de Donald Trump à la tribune de l’ONU a inspiré notre chroniqueur Pierre Boisguilbert. Immigration, climat, islamisation… Le président des États-Unis d’Amérique a multiplié les attaques frontales contre le politiquement correct.


Un casseur de codes que les médias détestent

En général, les médias – encore – dominants sont en admiration devant ceux qui « cassent les codes » et « font bouger les lignes ». C’est vrai pour toutes et tous mais pas pour Trump. Là où il passe, le politiquement correct ne repousse pas. Le Monde n’en est pas encore revenu : « Donald Trump ne fait plus semblant. Il ne prétend à aucune respectabilité ou langage diplomatique, tout entier livré aux remugles de ses obsessions, sans considération pour les valeurs libérales que les États-Unis ont prétendu défendre et incarner pendant des décennies. » Le magnat s’est félicité de pulvériser des bateaux supposément aux mains des cartels de la drogue, au large du Venezuela. Il a fait la leçon aux Européens sur l’immigration et le climat, « un monstre à deux queues » qui menacerait leur existence, leur conseillant de privilégier des frontières fortes et les énergies fossiles.

Immigration, climat et ONU

Pour Trump, le changement climatique est une escroquerie idéologique dont le seul résultat est de ruiner les pays occidentaux au profit de leurs rivaux, entendez la Chine. Il préfère la prospérité du pétrole aux moulins à vent de l’écologie. Plus convaincant peut-être, son cri d’alarme aux Européens : si l’Europe ne se réveille pas, elle sera submergée par l’immigration. Il leur demande de faire comme lui et prouve qu’on peut stopper les flots. Son constat – l’écologie ruine l’Occident et la migration incontrôlée détruit son identité – est devant l’ONU une sacrée leçon à contre-courant mondialiste. Il prend l’organisation à revers même sur la reconnaissance de la Palestine. Cette institution, il la méprise, elle ne sert à rien, il le dit et constate que l’escalier mécanique était en panne comme le prompteur. Il se doute bien que ce n’est pas un hasard mais retourne les deux incidents contre l’organisation, preuve supplémentaire de son incapacité et de son inutilité.

Les échos de Powell, Raspail et Le Pen

Finalement, les Européens ont entendu un Enoch Powell vulgaire mais super puissant. « Avant qu’il ne soit trop tard », a dit Trump, et Enoch Powell le prophétisait déjà en 1968. Le discours des Rivers of Blood est prononcé le 20 avril 1968 lors d’un rassemblement conservateur à Birmingham. Powell craint qu’une augmentation de la population non blanche et des lois anti-discrimination n’entraîne des quartiers entiers peuplés d’immigrés reproduisant leur société d’origine, avec à terme des émeutes raciales, un sentiment de dépossession et même une partition du pays. Jean Raspail, dans Le Camp des saints, annonçait lui aussi la fin de l’Occident par l’immigration. Trump n’a pas la classe british ni le souffle du roi français de Patagonie, mais un bon sens de pionnier qui sait que l’histoire de son pays fut un grand remplacement des peuples premiers. Jean-Marie Le Pen disait : « je suis Sitting Bull », le chef sioux qui lutte pour la survie d’un peuple submergé. L’homme le plus puissant du monde nous promet l’enfer si on ne réagit pas. Il n’est pas sûr qu’il soit plus entendu par les fausses élites européennes, traîtres à leur identité historique, qu’un Powell, un Raspail ou un Le Pen… mais ils auront été une fois de plus avertis.

Article paru sur Polémia, cliquez ici.

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Les nouveaux lauréats de la promotion Lecornu se font attendre et c’est tant mieux !

Provocation", "même casting", "gifle"… Les réactions politiques après la  nomination du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu

Philippe Randa

Il y a parfois des silences, des signes qui ne trompent pas, nous enseigne le bon sens populaire. Ainsi du silence concernant le prochain gouvernement de Sébastien Lercornu, 4e Premier ministre de la Macronie, cuvée 2025. Nommé à Matignon depuis déjà 15 jours, il est depuis lors à la tête de ministres démissionnaires qui ne semblent pas s’en porter plus mal que ça. Les Français, non plus !

Nos voisins belges n’ont-ils pas, eux, connus 239 jours sans gouvernement, les affaires courantes étant gérées – expédiées, pensait-on alors plus justement – par le gouvernement démissionnaire d’un nommé Yves Leterme, dont il serait bien méchant de souligner que l’histoire risque bien de n’en pas retenir l’extraordinaire existence plus que ça.

La Belgique a-t-elle disparue pour autant ? Que non. Les Belges ont-ils vu la différence ? Guère. La France pourrait-elle suivre son exemple ? Pourquoi pas !

Car finalement, puisque de majorité parlementaire il n’y a point, qu’importe le locataire de Matignon, doit désormais penser un autre locataire dont la fin de bail à l’Élysée est dans le viseur de nombreux prétendants !

L’obsession d’Emmanuel Macron étant de rester coûte que coûte cramponné à son fauteuil présidentiel jusqu’en 2027, un Lecornu ou un autre, assistés de ministres aux ¾ inconnus de Français qui ne cherchent d’ailleurs guère à faire leur connaissance, font finalement parfaitement sinon l’affaire, du moins le décor, de toute cette insignifiance politique qui restera, elle, dans les mémoires, sous le nom de Macronie.

Et les Français n’ont-ils pas finalement tout à gagner à une telle solution ? Car à chaque changement de Premier ministre, c’est autant d’« avantages » financiers en moins à payer… car précisons à ceux qui ont applaudi l’annonce de Sébastien Lecornu de les abolir qu’il ne s’agissait que de leurs avantages « à vie » – coût annuel évalué à 4,4 millions d’euros – et ce au 1er janvier 2026… soit dans 3 mois !

Et ça peut être très long, 3 mois. Long et incertain.

Imaginons, par un coup de théâtre toujours possible que Sébastien Lecornu démissionne ou soit démissionné avant le réveillon de fin d’année ? Son successeur n’aura-t-il pas d’autres soucis que de tenir la promesse salutaire de couper les privilèges de ses prédécesseurs n’en finissant pas de vieillir aux frais de la Ve République ?

Quant aux simples ministres, aussi interchangeables qu’inconnus, ils ne profitent certes pas, comme on l’a bien martelé aux Français ces derniers temps, d’avantages « à vie » : seulement de 3 mois de salaires d’indemnités, tout comme le Premier ministre !

Sachant que ce dernier touche par mois (tout de même !) 16 000 €, les ministres (seulement !) 10 700 € et les secrétaires d’État 10 200 €, est-on vraiment pressé d’assister aux tours de chaises musicales et de connaître (hélas !) les nouveaux lauréats de la promotion Lecornu… et de ceux qui redoubleront ?

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La réaction sur X de Bruno Gollnisch, ancien numéro 2 du Front national de Jean-Marie Le Pen à la condamnation de Nicolas Sarkozy

Conflit au FN. Bruno Gollnisch s'inquiète des conséquences sur le parti

"J’étais très hostile à la politique de Nicolas Sarkozy.

Je n’en suis que plus à l’aise pour critiquer ce jugement stupéfiant assorti d’une exécution que rien ne justifie.

Quant aux ricanements et aboiements des hyènes de gauche, ils ne suscitent que le mépris".

10:00 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |