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jeudi, 21 décembre 2023

LA « LOI IMMIGRATION » : MIEUX QUE RIEN ? NON, HÉLAS ! PIRE QUE RIEN.

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Eric Zemmour, président de Reconquête !

Les lampions sont éteints. La fête est finie. La sarabande des cameras a cessé. Les bouteilles de champagne vides jonchent le sol du Palais Bourbon. De Gérald Darmanin à Marine Le Pen, en passant par Elisabeth Borne, Olivier Marleix et Éric Ciotti, ils ont tous célébré leur victoire.

Mais contre qui ont-ils tous gagné ? Le peuple français.

Que savons-nous de manière certaine et définitive sur cette loi ?

Qu’elle ne supprime pas le droit du sol. 

Elle ne supprime ni le regroupement familial, ni l’immigration familiale.

Elle ne supprime pas l’AME, ni les prestations sociales pour les étrangers extra-européens, qui sont les pompes aspirantes de l’immigration.

Elle ne permet pas l’expulsion des délinquants, criminels et fichés S double-nationaux.

Elle ne concernera aucun Algérien, puisque les ressortissants de ce pays bénéficient toujours des privilèges migratoires de l’accord de 1968.

Elle continuera donc de laisser entrer, chaque année, 100 000 étudiants étrangers, 150 000 demandeurs d’asile et 100 000 personnes venues au titre de l’immigration familiale.

Derrière les cris de victoire, dès l’année qui vient, 500.000 nouveaux étrangers pourront donc encore débarquer sur le sol français avec la bénédiction de cette « loi immigration » qui porte si bien son nom : elle confirme que l’immigration est la loi.

Nous savons également que les étrangers continueront de bénéficier de notre générosité, après un petit « délai de carence », que LR et le RN font mine de prendre pour une avancée colossale. Rappelons à ces génies parlementaires que c’est ce qui existe déjà pour le RSA. Merci à eux de m’avoir fait comprendre pourquoi ils avaient troqué la préférence nationale, défendue jadis par le FN, en « priorité nationale » : les Français sont prioritaires, mais les étrangers restent bénéficiaires. Contrairement à eux mais comme la majorité des Français, je ne souhaite plus que les étrangers bénéficient de nôtre générosité : cela s’appelle la préférence nationale.

Cette loi, en vérité, est dans la lignée des vingt-neuf qui l’ont précédée depuis trente ans : une digue de sable pour arrêter une vague gigantesque. Prenons l’exemple censé résumer la fermeté de cette loi : pour faire venir sa famille, un étranger devra désormais avoir résidé 24 mois sur notre sol. Auparavant, c’était 18. Six mois d’écart, qu’est-ce que cela pèse à l’échelle du grand remplacement qui nous menace ?

Les plus candides diront : « c’est mieux que rien ». Hélas, non. Je dis que cette loi est encore pire que rien, car elle n’est pas seulement inutile, elle est également nuisible. Elle permet toujours plus de régularisations de travailleurs clandestins. Il faut écouter Darmanin remercier ironiquement le RN « d’avoir voté pour 10 000 clandestins régularisés de plus ». Mais il faut dire la vérité jusqu’au bout : ces 10 000 régularisés auront ensuite le droit de faire venir leur(s) femmes, leur(s) enfants, leur grand-mère, leurs cousins. La famille, c’est sacré ! Cela s’appelle le regroupement familial.

Par ailleurs, cette loi interdit désormais la rétention des mineurs délinquants : une manière juridique de dire que l’impunité sera désormais totale pour ces fameux « mineurs isolés », qui ne sont, pour la plupart, ni mineurs ni isolés, mais qui pourrissent bel et bien la vie des gens, coûtent une fortune aux départements, et encombrent les tribunaux. Merci pour eux et leurs futures victimes.

Dans ce contexte, quelle indécence de parler de victoire idéologique. Ces mesures signent au contraire une terrible défaite pour les Français. La classe politique ne parvient même pas à retarder ce qu’elle devrait empêcher : notre Grand Remplacement. Elle remet à plus tard la lutte contre l’immigration, elle durcit les mauvaises décisions prises par le passé, elle en invente de nouvelles tout aussi néfastes et, au passage, elle offre un cirque politique grotesque.

La Macronie se déchire sur des mesurettes. La gauche fait semblant de s’offusquer d’un texte qui fait semblant d’être ferme. Chez LR et au RN, on se félicite d’une fantastique victoire, alors qu’on n’a même pas fait de mal à une mouche, et alors, surtout, que ce texte prévoit toujours plus d’immigration. Victoire à la Pyrrhus. Et cerise sur le gâteau : le Conseil constitutionnel attend son heure. On peut compter sur lui pour annuler les petites mesures « qui allaient dans le bon sens ». C’est le Président de la République lui-même qui saisira le juge constitutionnel, pour être bien sûr qu’il ne restera rien d’autre dans ce texte que la régularisation de nouveaux clandestins.

La brume parlementaire va bientôt se dissiper. Cet épisode va passer. Son inanité sera bientôt visible aux yeux de tous. Tous ceux qui ont voté cette loi en seront comptables devant le peuple français. On pourra alors passer aux véritables mesures à adopter. Elles existent et sont simples à mettre en application. J’insiste : simples. C’est le peuple qui doit en décider, par référendum, pas le cirque parlementaire. Je ne veux nullement doucher les espoirs des rares à y avoir cru. Simplement, je crois en l’espérance. Et l’espérance ne se nourrit jamais d’illusions.

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"Lectures françaises" publie son 800e numéro

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Notre confrère et Ami Lectures françaises vient de faire paraitre sa 800e livraison. À cette occasion, son directeur, Mickaël Savigny, relate dans son éditorial les conditions pittoresques dans lesquelles, en 1957, fut créée cette courageuse revue. Cette aventure, et la longévité qui est celle de Lectures françaises, prouvent à elles seules, s'il en est encore besoin, "qu'en politique, le désespoir est la pire des sottises".

Longue vie à Lectures françaises !

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Voici l'éditorial de Mickaël Savigny :

1957. À peine dix ans après la terreur de l’épuration qui laisse la droite nationale exsangue, trois lascars, épurés, réprouvés, que ni la prison ni la haine ni la calomnie n’a réussi à démobiliser, se retrouvent à l’auberge d’Écluzelles « riante localité de la vallée de l’Eure » (1), où les Coston possèdent une jolie propriété. Henry Coston, né en 1910, libéré de prison depuis six ans, à la carrière journalistique déjà impressionnante ; Pierre-Antoine Cousteau, né en 1906, libéré depuis trois ans, « compagnon merveilleux, étourdissant de drôlerie, constant dans ses affections et d’un grand courage physique » (2), directeur du sulfureux Je suis partout pendant la guerre ; Michel de Mauny, né en 1915, militant, journaliste (Gringoire, La Gerbe, Écrits de Paris, etc.). Après un souper qu’on imagine bien arrosé, nos trois compères décident de sauver la France ! Et voici en mars 1957 le numéro 1 de Lectures Françaises, revue de 16 pages en petit format (11,5 cm x 18 cm) avec un éditorial de Pierre-Antoine Cousteau dont la plume caustique est un véritable feu d’artifice pour les neurones et de très nombreux articulets toujours finement ciselés, spécialités d’Henry Coston, et qui ont fait sa gloire d’archiviste.

Imaginaient-ils que ce premier numéro lancé un peu comme un pari de fin de soirée serait suivi de tant d’autres, jusqu’au numéro 800 de décembre 2023 ?! Et si la forme, et si la couleur, et si la présentation ont bien changé en 66 ans, le fond et l’esprit demeurent les mêmes. 80 pages de plus (en accueillant sous ses couvertures notre petite revue Lecture et Tradition), d’abondantes illustrations, des collaborateurs plus nombreux mais toujours aussi compétents, deux changements de direction : en 1977, Jean Auguy, fondateur de Chiré, reprend le flambeau qu’il passe ensuite à son gendre, François-Xavier d’Hautefeuille en 2010, fier de poursuivre le combat de Coston :

« Nous l’avons dit bien souvent : Lectures Françaises n’est l’organe d’aucun parti, d’aucune coterie. C’est une revue indépendante de documentation politique. Non conformiste, elle ne cherche pas à imposer les idées de ses dirigeants et rédacteurs, mais à informer ses lecteurs sur les dessous des cartes. Il s’ensuit que les articles qui paraissent dans ces pages sont écrits en toute franchise, en toute bonne foi. Cela lui valut, dans le passé, maints déboires, le plus grave étant la perte de 30 % de ses abonnés au lendemain du référendum de septembre 1958 parce que Henry Coston, avec une quinzaine d’autres journalistes nationaux, avaient dit “NON !” à celui qui s’apprêtait à brader l’Afrique. » (3).

De même que l’espoir de Cousteau formulé à la fin de son premier édito anime toujours les équipes qui se succèdent dans notre comité de rédaction :

« Il est bien exact, en effet, que dans l’état actuel de nos mœurs, des critiques justifiées constituent en soi une exagération. Mais j’ai encore la naïveté de croire que si cette sorte d’exagération perçait l’écran de fumée de la grande presse reptilienne le Système n’y survivrait pas. » (4)

Notes

1 et 2 – « Réflexions personnelles autour d’un livre sur Cousteau », article d’Henry Coston, Lectures Françaises n°449, septembre 1994.

3 – Lectures Françaises n°238, février 1977.

4 – « Le pamphlet est à droite », éditorial de Pierre-Antoine Cousteau, Lectures Françaises n°1, mars 1957. Il est décédé le 17 décembre 1958, très rapidement après la création de notre revue, à qui il a confié son ultime papier : « Petit portrait du “Figaro” » pour le numéro 19-20 d’octobre-novembre 1958.

Site de Lectures françaises cliquez ici

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François Asselineau - Ukraine, Occident, UE : l’effondrement global

François Asselineau, le président de l’Union Populaire Républicaine, l’UPR, revient sur l’actualité internationale, française et européenne dans "Le Samedi Politique".

À l’heure où les États-Unis se rapprochent à grands pas d’une nouvelle élection présidentielle, les positions géopolitiques fluctuent. La guerre en Ukraine, favorisée par Washington pour nuire à la Russie tout en dopant le complexe militaro-industriel, est en passe de se solder par un véritable de carnage pour Kiev. L’Ukraine et Volodymyr Zelensky voient alors s’éloigner leur prétendu allié américain déjà tourné vers Israël, de nouveau en guerre contre la bande de Gaza.

Dans ces foyers incandescents, l’Europe suit et essuie les ratés de l’Occident. De son côté, Emmanuel Macron, soucieux d’exister sur la scène internationale, enfonce quotidiennement le clou qui crucifie notre pays pour le plus grand malheur des Français, invités aux urnes pour les élections européennes dans un peu moins de 200 jours !

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mercredi, 20 décembre 2023

Pierre de Gaulle: ''La Russie peut se passer de l'Europe mais nous ne nous passerons pas de la Russie ''

Irina Dubois reçoit Monsieur Pierre de Gaulle pour cette dernière interview de l'année 2023

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Source : Dialogue Franco-Russe.

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La santé internationale selon l’Organisation mondiale ou morbide de la Santé ? (1)

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Claude Janvier

« Négocié par 194 États membres de l’OMS depuis 2021 et devant être adopté définitivement le 24 mai 2024, le Traité de l’OMS sur les pandémies menace gravement nos droits et libertés. En effet, sous couvert de nous préparer à une prochaine pandémie, ce traité va confier à l’OMS un pouvoir contraignant sur les pays, pouvoir qui lui permettra lorsqu’il déclarera une pandémie de forcer les états signataires à procéder à des confinements, ainsi qu’à d’autres mesures sanitaires (par exemple le port obligatoire du masque), voire de procéder à une vaccination de masse. Nous ne sommes donc dans la dernière ligne droite et pourtant rien ou presque ne filtre. » Extrait d’un article de Réinfo-Québec.

Depuis la crise « sanitaire » qui a sévi dès le début 2020, où presque tous les gouvernements de la Terre ont obéi comme un seul homme à une folie « confinatoire et vaccinale », il apparaît de plus en plus évident que l’OMS, créée en 1948, règne en maître absolu dans l’élaboration des directives mondiales pour la santé.

Selon sa constitution, l’OMS a pour objectif d’amener tous les peuples des États membres et partenaires à un niveau de santé le plus élevé possible ; la santé étant définie comme un « état de complet bien-être physique, mental et social et ne consistant pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».

L’OMS est donc devenue incontournable dans le domaine de la santé mentale et physique, dictant ses recommandations à la planète entière.

Aucun État ne songe à remettre en cause ses décisions émanant de spécialistes éminents ou se faisant paraître comme tels. Cette « chasse gardée » de la santé rapporte des milliards de dollars aux puissants laboratoires pharmaceutiques, censés nous vouloir du bien.

Financée par les États membres et par la fondation Gates, il apparaît nécessaire de s’interroger sur l’efficacité réelle de cette organisation au vu, entre autres, du nombre grandissant des effets secondaires des liquides expérimentaux appelés frauduleusement « vaccins » pour soigner la Covid-19, qui ont occasionné « 2 600 effets secondaires graves par semaine en France 2 ».

À peine sortis des essais cliniques non concluants, les vaccins Covid-19 continuent d’être injectés à grand renfort de publicité à quasiment toute la population, y compris les jeunes enfants, provoquant beaucoup de décès et d’innombrables effets secondaires dans l’Union européenne et aux États-Unis.

Dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid, appelée « EudraVigilance », 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 2021. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens 3.

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C'est un vrai spectacle de République agonisante...

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La réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :

La "Loi immigration" ne servira rien. Ce n'est pas un problème de texte mais de volonté. Ni nos gouvernants ni nos juges n'appliquaient les lois déjà existantes. Quant à la tempête parlementaire dans un verre d'eau, c'est totalement grotesque. Entre une Marine Le Pen qui se cherche une respectabilité, imaginant faire un « coup politique » comme sous la IVe République en provoquant une alliance contre-nature, la Macronie qui tangue et l'extrême-gauche qui couine, c'est un vrai spectacle de République agonisante...

Source cliquez ici

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L'avocat nationaliste Pierre-Marie Bonneau présente sa liste aux élections européennes

Le 11 novembre dernier, Pierre-Marie Bonneau avocat bien connu des Nationalistes, annonçait sa candidature aux élections européennes du 9 juin 2024. Il répond ici aux questions de Jeune Nation TV.

Source Jeune Nation TV Cliquez ici

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11:21 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Demi-victoire

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Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez ici

En 1951, au gré de sa pièce de théâtre Le Diable et le Bon Dieu Jean-Paul Sartre le fait remarquer : "une victoire racontée en détail, on ne sait plus ce qui la distingue d'une défaite".

Le vote de l'Assemblée dans la nuit du 19 au 20 décembre illustre ce jugement. La réunion de la Commission mixte paritaire a été suivie d'un vote où 37 députés Renaissance et 20 centristes du Modem ont fait défaut, cependant que l'intégralité des députés de droite, LR comme RN, a voté en bloc. Ce résultat mitigé, cafouilleux au sein des macroniens, implique qu'un remaniement ministériel semble presque inéluctable.

Essayons donc au lendemain de cette séquence CMP de démêler dès lors le vrai du faux.

La procédure parlementaire suivie avait été voulue, rappelons-le, par le chef de l'État, et semble-t-il, de gré ou de force, par son gouvernement.

Au passage au sein de l'équipe de Mme Borne la démission, a été annoncée ce matin, du ministre de la Santé Aurélien Rousseau. Elle confirme son rôle politique aux côtés de la Première ministre. [cf. notre chronique du 22 juin 2023 "La Gauche case ses pions"]

Au bout du compte, c'est à la surprise des commentateurs agréés et à la grande déception des professeurs de morale que le texte de synthèse a été adopté au Sénat, puis à l'Assemble nationale. Ses conclusions ayant penché en faveur d'une loi globalement restrictive sur l'immigration, ce qui semble bon l'emporte à nos yeux, pour une fois sur ce qui semble mauvais.

Faut-il s'en contenter ? Faut-il seulement déplorer son insuffisance ?

Victoire morale ont pensé certains, victoire idéologique a-t-il été clamé, alors même que le bon sens l'a simplement emporté, sur de nombreux points. On souhaitera notamment que, sauf censure scandaleuse du Conseil constitutionnel, les prestations non contributives ne soient plus immédiatement versées désormais à des étrangers qui ne travaillent pas mais résident sur notre sol.

Si les prétendus "Sages", sous la présidence de Fabius devaient triturer demain certaines dispositions adoptées par les deux chambres, ils ne feraient que confirmer ainsi la pertinence de la campagne pour une Référendum. [cf. notre chronique du 15 décembre "La CEDH sur la sellette"]

On devrait cependant toujours se méfier des victoires dites morales. Cette douteuse appellation est trop souvent synonyme de défaite. De Crécy à Moncornet, du XIVe au XXe siècle la France a en a trop connu. Quand sur le terrain on a été battu on ne peut plus se satisfaire de ces prétendues victoires morales.

Dans un pays où le pouvoir exécutif n'assure pas l'exécution des lois, et où le pouvoir judiciaire de fait, celui de la magistrature syndiquée n'hésite pas à les réécrire à sa manière, on ne saurait se contenter de simples affirmations symboliques.

Concrètement en effet, le concept attaché aux prétendues "Obligations de quitter le territoire français", est documenté sur les sites internet administratifs de la manière suivante :

"La décision d'éloignement ou d'obligation de quitter le territoire français est prise par le préfet, notamment en cas de refus de délivrance de titre de séjour ou de séjour irrégulier, situation d'un étranger qui ne possède pas les documents l'autorisant à rester en France en France. Si vous êtes concerné, rajoute le site, la décision vous oblige à quitter la France par vos propres moyens dans un délai de 30 jours. Dans des situations limitées, elle peut aussi vous obliger à quitter la France sans délai."

Or, non seulement, si l'on en croit le site officiel service-public.fr, "Un recours est possible", mais en fait de nombreux recours, 12 avant le vote de la loi, 3 désormais, paralysent au départ ces fameuses OQTF.

"Obligation" ne veut donc pas dire grand-chose.

Au bout du compte elles ne sont appliquées qu'au taux de 6,9 % alors même que textuellement le candidat Macron avait promis que sous son règne elle le seraient à 100 %. Cette promesse des 100 % d'OQTF exécutées avait été faite par Emmanuel Macron lors d'une interview donnée en novembre 2019 à Valeurs actuelles. Elle a ensuite été reprise par le ministre de l'Intérieur. Elle est restée lettre morte. Selon les données chiffrées par le ministère lui-même, au premier semestre 2022, sur environ 60 000 OQTF prononcées, 4 500 étaient exécutées. Le faible taux de concrétisation s'explique par plusieurs facteurs. Le premier tient aux recours juridiquement possibles. Il est d'autre part techniquement ingérable de placer des dizaines de milliers de personnes dans des centres de rétention administrative. Enfin, il faut que les pays dont ils sont originaires acceptent de reprendre leurs ressortissants expulsés, le plus souvent, par définition, indésirables.

Nous savions déjà, depuis longtemps, ce que valent les promesses : nous devons mesurer ce que valent les "obligations".

Beaucoup de chemin reste donc à accomplir, y compris sur la voie de l'union des droites esquissée, dans le cadre de cette demi-victoire, ce 19 décembre, en accord avec 80 % de l'opinion du peuple français, au sein du Parlement.

Reste donc à transformer l'essai.

11:12 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour, pourquoi son combat est aussi le nôtre !

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Que ceux qui n’ont pas complètement compris les raisons du combat politique que mène Eric Zemmour, lisent cet entretien qu’il a donné au mensuel Causeur du mois de décembre. Justesse de l’analyse historique qui explique bien des choses, notamment la situation dans laquelle se retrouve la France aujourd’hui et plus largement ce que l’on appelle l’Occident. L’aveuglement de nos gouvernants et la médiocrité du personnel politique, incapable de penser car totalement inculte, sont en grande partie responsable du chaos dans lequel elles nous précipitent.

Lire la suite ICI

Source : Causeur, décembre 2023.

07:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 19 décembre 2023

VOS CADEAUX DE NOËL ? L'ALBUM 2023 D'IGNACE ÉVIDEMMENT !

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19:34 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Contre la menace de dissolution d'Academia christiana : signez la pétition nationale

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Un communiqué d'Academia christiana :

Academia Christiana est un institut de formation qui invite les jeunes à s’engager au service du bien commun. Depuis 2013, plus de 2 000 jeunes sont passés par nos universités d’été et séances de formations. Aujourd’hui ils sont partout engagés pour leur pays à travers leur métier, des associations, en tant qu’élus locaux, enseignants ou artisans.

D'autre part, notre rôle est de transformer en force créatrice la colère et le désespoir d’une jeunesse orpheline. Nous croyons qu’il est plus utile de proposer des solutions que d’en rester à des constats pessimistes. Nous invitons la jeunesse à aimer son pays et son histoire, à fonder des foyers solides, à retrouver une vie spirituelle vivante, à perpétuer nos traditions, à mener une vie saine et à cultiver le sens de l’effort.

La tentative de dissolution annoncée dimanche 10 décembre 2023 par le ministre de l’Intérieur est une pierre de plus ajoutée à l’édifice du mensonge. Car il s’agit bien de manipuler l’opinion en criminalisant tout sursaut salutaire au sein de notre peuple.

En voulant nous dissoudre, le gouvernement s’en prend une fois de plus aux catholiques qu’il considère comme des citoyens de seconde zone. Comprenez bien qu’aujourd’hui le gouvernement français a décidé d’interdire toute pensée ou réflexion en dehors de l’idéologie laïciste et matérialiste.

A l’heure où les coups de couteaux fusent matin, midi et soir, la priorité de la République est de dissoudre un institut de formation dont les cadres sont tous d’honnêtes pères et mères de famille.

Quand un gouvernement entrave la liberté d’association et d'expression, quand tout ce qui est jugé contraire à l'idéologie dominante est menacé de censure, quand on condamne à la mort sociale les réfractaires, c'est bien ce qu'on appelle un « système totalitaire ». N’oubliez pas que c’est par la peur que le credo progressiste se maintient au pouvoir.

Academia Christiana ira devant les tribunaux pour contester cette procédure absurde qui manifeste une fois de plus que nous sommes sortis de l’Etat de droit.

Soutenez-nous, signez la pétition cliquez ici.

17:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

le temps perdu

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Vincent Trémolet de Villers 

Muni d’un microscope, la loi immigration offrira à l’entomologiste de quoi satisfaire sa curiosité. Il y verra un ministre de l’Intérieur venu de la droite trébucher en voulant convertir son camp, une première ministre venue de la gauche cajoler Éric Ciotti et Bruno Retailleau, une majorité déboussolée tiraillée entre des objectifs contradictoires et, comme toujours, Marine Le Pen qui se frotte les mains en at- tendant une nouvelle récolte. Mais si l’on quitte ce divertissement pour retrouver la réalité de notre pays, le tableau est beaucoup moins réjouissant. Et l’on se désole du temps perdu. Les effets de la pression migratoire se ressentent désormais à tous les niveaux de la société et dans les moindres détails de la vie quotidienne. Les millions d’étrangers qui vi- vent paisiblement en France sont eux aussi (et parfois en première ligne) les victimes de cette anarchie insensée que les belles âmes appellent politique de l’accueil. La vérité est que les pouvoirs publics sont complètement désarmés face à un phénomène qui embolise nos services publics, menace la sécurité ordinaire, fragmente la communauté nationale. Nul besoin de savoir le destin de la loi immigration pour tirer un enseignement essentiel : la France est à droite, l’opinion est très largement favorable à une politique migratoire de très grande fermeté et le Parlement ne peut être indéfiniment en décalage avec ces deux évidences. Par le jeu conjugué du Rassemblement national lors de la motion de rejet et des Républicains dans les tractations qui ont suivi, ce texte s’est rapproché un peu des aspirations des Français. Mais tout cela reste de l’ordre du symbole. Il n’y a pas d’alchimiste au Parle- ment pour transformer le plomb en or.

Avec sous sans cette loi, la France reste dépassée dans sa politique migratoire par le redoutable tandem où roulent à un rythme effrayant les jurisprudences des différentes cours de justice et la logique d’accueil inconditionnel de l’Union européenne. L’épisode politique interminable de ce projet de loi n’est qu’un événement d’apparence. Sur l’immigration, pour reprendre le contrôle, c’est aux Français qu’Emmanuel Macron doit demander leur avis.

Source : Le Figaro 19/12/2023

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lundi, 18 décembre 2023

Versailles : un rassemblement pour Thomas et les Français tués dans l’indifférence des élites

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Source Nouveau Présent cliquez ici

Un rassemblement était organisé à Versailles ce jeudi 14 décembre pour Thomas et toutes les victimes de la nouvelle barbarie (NDLR SN cliquez ici.)

La mort de Thomas, poignardé à Crépol, ne passe toujours pas pour une partie de la jeunesse française. Plusieurs rassemblements se sont tenus dans diverses villes de France pour rendre hommage à celui qui aurait pu être un de nos proches, un jeune français sans histoires. 

Plusieurs de ces manifestations ont été honteusement interdites par les autorités préfectorales. Les Préfets suivent en cela les consignes édictées par Gérald Darmanin qui est prompt à réprimer toute expression patriotique actuellement.

Si la justice a cassé un certain nombre de ces interdictions scandaleuses, d’autres, intervenues quelques heures avant l’heure de rassemblement, n’ont pas permis aux organisateurs de faire casser ces arrêtés iniques. Le visuel ci-dessous fait état des rassemblements interdits la semaine dernière uniquement et d’autres ont connu le même sort depuis…

Certains rassemblements parviennent toutefois à se tenir. C’est le cas de la manifestation organisée à Versailles qui se tenait ce jeudi 14 décembre. Organisé par Auctorum, une communauté militante qui agit à Versailles, le rassemblement a réuni plus d’une centaine de participants. Un chiffre à ne pas minorer et à apprécier à sa juste valeur, la manifestation se un soir de semaine, dans une ville très “bourgeoise” comme Versailles. Un rassemblement composé essentiellement de jeunes, venant de Versailles ou des Yvelines pour la majorité.

Prises de paroles

Le rassemblement, digne, a consisté en plusieurs prises de parole. Le responsable d’Auctorum a été le premier, puis a passé le micro à Maitre Pichon, un avocat qui a accompagné de nombreux combats des catholiques et des patriotes. Le responsable de la Cocarde Étudiante du 78 s’est ensuite exprimé. Tous ont insisté sur le besoin de s’engager au service des idées que l’on porte. Un message important pour une assemblée constituée majoritairement de jeunes. Des jeunes en quête de réponses face à un drame comme la mort de Thomas et de tant d’autres français. Maitre Pichon a part ailleurs insisté sur l’importance de ne pas rentrer dans l’escalade de la violence et de la surenchère physique, un scénario où les militants identitaires auraient tout à perdre.

Plusieurs slogans ont parsemé les discours, “Justice pour Thomas” ou encore “Darmanin démission!”. Le ministre de l’Intérieur n’a pas été oublié par les manifestants qui ne digèrent pas les interdictions de rassemblements et les procédures abusives de dissolutions d’associations patriotes. Un message de soutien a d’ailleurs été apporté à destination de la Citadelle et d‘Academia Christiana actuellement dans le viseur de Beauvau.

Une minute de silence a été suivie avant que la manifestation se sépare dans le calme. Dans le calme, mais avec détermination. les manifestants à qui nous avons parlé semblent tous mus par une volonté de ne plus accepter que des français se fassent massacrer dans l’indifférence quasi-générale. Ils comptent bien rappeler à l’État son devoir de protection envers les citoyens.

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La facture du « quoi qu’il en coûte » !

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La chronique de Philippe Randa

Il y a les philosophes et leurs gros pavés fourmillant de citations multiples et variées : ceux-là n’aiment rien tant que citer et citer toujours, encore et encore, leurs prédécesseurs en philosophie qui eux-mêmes, d’ailleurs, n’aimaient déjà rien tant qu’à étaler leur culture encyclopédique en citant et citant toujours, encore et encore… pour démontrer on ne sait finalement plus trop quoi, le lecteur ayant généralement oublié l’énoncé du sujet dans l’attente vaine de réponses compréhensibles… si réponses il y a !

Et il y a les témoignages des acteurs de la société dans leur activité quotidienne : concis, précis, compréhensible par tout à chacun car souvent ce qu’ils rapportent est vécu par tous.

L’exemple par ce pharmacien de Clermont-Ferrand qui fait face, comme tous ses confrères de l’hexagone, à une pénurie de « sa » matière première, soit… les médicaments !

« Une épreuve au quotidien. Et si la très grande majorité des clients a appris la résilience, d’autres s’agacent au comptoir. De dépit », titre le quotidien La Montagne qui rapporte les faits.

Des faits « simples », comme l’explique l’apothicaire (comme on l’appelait dans le temps): « C’est simple. On a des pénuries sur tous les antibiotiques. On les reçoit par vague. Ça finit toujours par arriver, mais on ne sait jamais quand… On se fait engueuler toute la journée ! »… et d’en expliquer la cause sans circonvolutions inutiles : « Le marché français n’est pas intéressant pour les laboratoires qui peuvent vendre plus cher ailleurs ! En Allemagne, en Italie, il n’y a pas de pénurie. Il ne faut pas rêver, c’est la loi de l’offre et de la demande. »

Première raison, mais pas la seule puisqu’il n’hésite pas à pointer aussi un passé récent où le « quoi qu’il en coûte » de l’actuel locataire de l’Élysée faisait alors office de devise nationale : « Même si on a donné l’habitude aux gens de ne rien débourser, la santé a un coût, et les caisses de la Sécurité sociale sont vides. Ils ont dépensé des milliards pendant le Covid. Les gens vont devoir payer un minimum. »

Présenter la facture au consommateur, donc… à tous les consommateurs et pas seulement à l’électeur ou électrice macroniste, hélas !

Une électrice ressemblant peut-être à cette jeune fille, venue justement l’autre jour chez ce pharmacien et « qui a refusé de payer 4 euros pour sa santé, alors qu’elle avait le dernier iPhone à 1 300 euros en main. À un moment donné, il faut aussi avoir un minimum de bon sens. »

Mais si « bon sens » rimait avec « macronisme », les poules auraient des dents et les semaines 4 jeudis… voir peut-être davantage !

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Face à une Marion époustouflante, Mathilde Panot n’a pas fait le poids

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Jacques Guillemain, Riposte laïque cliquez ici

Tout d’abord, remercions ces deux femmes que tout oppose d’avoir accepté un débat sur un sujet existentiel. Car de la poursuite ou de l’arrêt de l’immigration va découler l’avenir de la France et des générations futures. Ceux qui n’en sont pas conscients connaîtront un jour un réveil douloureux, compte tenu du choc des cultures et du naufrage de l’intégration. Aucune politique n’aura la moindre chance de succès si on ne règle pas en priorité le dossier de l’immigration avec des mesures concrètes et radicales, autres que les discours sans lendemain qui sévissent depuis 40 ans. Abusés et trompés depuis 40 ans, par la droite et la gauche, les Français veulent une véritable révolution en matière de politique migratoire.

Nous en somme à la 30e loi sur l’immigration depuis 1980 et jamais les rapports entre communautés n’ont été aussi tendus, c’est-à-dire proches du face à face annoncé par Gérard Collomb, qui n’avait rien d’un illuminé ou d’un facho nostalgique des années 1930. En tant que premier flic de France, il était parfaitement renseigné et savait de quoi il parlait.

C’est donc un débat très attendu qui débute sur BFM-TV entre Marion Maréchal, vice-présidente de Reconquête et Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l’Assemblée nationale.

Immigration, inflation, identité seront au menu. Reconquête contre LFI, c’est l’amour de la France et la défense de notre identité chrétienne contre la haine de ce que nous sommes et la grande braderie de notre civilisation au nom d’un multiculturalisme débridé.

Si on en juge par le sondage sur l’immigration paru dans le JDD ce jour, plus des 2/3 des Français veulent en finir avec l’immigration de masse, le droit du sol, le laxisme avec les clandestins, etc. On peut donc dire que LFI rame à contre-courant de l’opinion. Il y a bien une overdose d’immigration chez les citoyens.

Le débat commence

Un échange extrêmement animé, avec une Marion particulièrement offensive et déterminée. Elle a dominé largement le débat avec des arguments percutants. Un discours fluide au débit rapide, ne laissant jamais son adversaire débiter des contre-vérités. À plusieurs reprises, Mathilde Panot a paru déstabilisée face à la très motivée Marion.

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10:07 Publié dans Européennes 2024, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 17 décembre 2023

Décès de Jacques Le Morvan, figure du combat national et catholique

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Communiqué de Chrétienté Solidarité :

« Gaudete in Domino semper »

A la veille du dimanche de Gaudete, ce samedi 16 décembre 2023, à l’heure où l’on chante les complies, Jacques Le Morvan a été rappelé à Dieu.

Militant fondateur du Centre Charlier, Jacques a été de tous les combats pour la France et la Chrétienté. De Saint Nicolas du Chardonnet à Saint Louis de Port Marly, sur les routes de Chartres ou dans les rues de Paris, il a toujours été aux avant-postes de la résistance catholique et française.

Par son talent, il a su offrir au Centre Charlier et à Chrétienté-Solidarité l’écrin qui enveloppe chacune de nos initiatives et de nos luttes. Les bannières et les drapeaux qu’il a dessinés et confectionnés, avec son épouse Colette, continuent de guider nos pas.

A la manière de Jacques Perret, qu’il affectionnait tant, Jacques était, tout simplement, un défenseur du Trône et de l’Autel, un chouan poursuivant la lutte au XXe siècle finissant et en ce début de XXIe siècle si menaçant.

Les portes du Paradis sont grandes ouvertes pour ceux qui ont aimé et servi Jésus Christ ici-bas. Nul besoin d’en crocheter les serrures, ni de les enfoncer avec un bélier. Pas de policier irascible, ni de méchants évêques pour en empêcher l’accès à ceux qui ont combattu sous les bannières du Christ-Roi.

Que Notre Dame de France accueille Jacques, dans la Paix qui ne finit jamais.

A Dieu Jacques, au revoir mon cher ami.

Yann Baly

Président du Centre Charlier

NDLR SN : Jacques est décédé presque un an après son frère Pierre cliquez ici. Depuis les années 1970, à Angers puis à Paris, il était devenu un militant incontournable de la cause nationale. Sachant passer au-dessus des clivages qui traversent régulièrement notre camp, il faisait de l'intérêt de la France une priorité absolue. C'est un valeureux camarade que nous venons de perdre. 

R H

23:10 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 16 décembre 2023

AVEZ-VOUS PENSÉ À COMMANDER LE NOUVEAU LIVRE DE BERNARD GERMAIN : "L'UNION EUROPÉENNE : EN SORTIR... AU PLUS VITE !"

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Sorti en milieu de semaine dernière, le nouveau livre de Bernard Germain remporte un véritable succès. En effet, en 4 jours, c'est près de 400 exemplaires qui ont été vendus par notre site librairie. Il faut dire que pour Synthèse nationale, c'est une belle performance... Et depuis, ça continue !

Alors, ne soyez pas en reste : vous aussi, commandez dès maintenant le livre "L'Union européenne, en sortir... au plus vite !" cliquez ici

15:30 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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Pour télécharger; cliquez ICI

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François Bousquet publie Alain de Benoist à l’endroit, « Pour rendre justice à l’immense travail de renouvellement des idées auquel il s’est livré depuis 60 ans »

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Source Breizh-info cliquez ici

François Bousquet, patron de la Nouvelle librairie et des éditions du même nom, rédacteur en chef de la revue Eléments, vient de publier un ouvrage intitulé Alain de Benoist à l’endroit, ouvrage hommage au parcours du plus fertile des écrivains  de la Nouvelle droite au cours de la seconde moitié du 20ème siècle et du début du 21ème siècle.

« Quel est celui qu’on prend pour moi ? », s’interrogeait Aragon. Quel est celui que l’on prend pour moi, doit se demander Alain de Benoist, depuis le temps qu’il y a méprise autour de son nom? Il est temps de la corriger. C’est l’objet même de ce livre : rendre à Alain de Benoist ce qu’il nous a donné. Voilà ce que cet homme a fait; voilà ce qu’il a dit; voilà ce qu’on a dit de lui. L’actif d’une pensée et le passif – trop souvent – de sa réception. Au bilan, c’est une entreprise intellectuelle hors norme, tant individuelle que collective. Celle d’un homme inclassable, lui qui, ironiquement, aime tant classer. 120 livres, 2 000 articles, 850 entretiens qui dessinent une œuvre fleuve et alluvionnaire. Il sera de plus en plus difficile à l’avenir de faire comme si elle n’avait pas existé.

Nous avons évoqué cet ouvrage avec François Bousquet, dans une interview à découvrir ci-dessous.

Breizh-info.com : Qu’est-ce qui vous a motivé à écrire sur Alain de Benoist et quel était votre objectif principal en retraçant l’histoire de la Nouvelle Droite ?

François Bousquet : Pour ne plus lire les âneries habituelles que nos adversaires, sinon nos ennemis, déversent sur nous. Pour ne pas leur laisser le monopole du discours et le ministère de la parole autorisée. Pour juger sur pièces notre histoire, et non sur la base de racontars ineptes et démoniaques qui, tous, reviennent à dire qu’on tend le bras alors qu’on n’a jamais tendue que la main. Les exemples ne manquent pas. Il suffit d’ouvrir les notices Wikipédia d’Alain de Benoist et de la Nouvelle Droite pour s’assurer que ce ne sont rien d’autre que des fiches démonologiques rédigés par des démons de petite envergure, comme les appelait Fiodor Sologoub. Car aujourd’hui ce sont les « démons » qui jugent – et condamnent – l’œuvre de Dostoïevski.

Pour dresser un bilan de parcours à l’occasion des anniversaires et commémorations de cette année 2023, marquée par les 80 ans d’Alain de Benoist et les 50 ans d’Éléments.

Pour rendre justice à Alain de Benoist et à l’immense travail de renouvellement des idées auquel il s’est livré depuis 60 ans.

Pour remettre à l’endroit notre histoire dans un monde de plus en plus de travers.

Pour prendre date avec le futur.

Breizh-info.com : Comment décririez-vous Alain de Benoist en tant que personnalité intellectuelle et quel impact pensez-vous qu’il a eu sur la pensée politique contemporaine ?

François Bousquet : C’est un personnage hors norme, hors cadre, au savoir encyclopédique et à la curiosité sans bornes, décidément inclassable, lui qui aime tant classer. Un intellectuel, une tête chercheuse, un philosophe politique, premier parmi ses pairs intellectuels, parce que, comme Charles Maurras avant lui, et certes dans un registre doctrinal différent, il laisse une œuvre personnelle et collective, française et européenne, en amont et en aval de la modernité : celle d’un courant de pensée auquel le nom de Nouvelle Droite est associé. Qu’ajouter de plus ? C’est un maître-penseur et un maître-passeur, tant il a introduit dans l’espace francophone quantité d’auteurs et de concepts qui n’étaient pas familiers sous nos latitudes. Quand bien même il ne se reconnaît plus sous cette étiquette, il a sorti la droite des cycles de répétition et de la fatalité de la relégation intellectuelle. Sur le fédéralisme, sur la critique de l’idée de progrès, sur l’identité, sur l’écologie, sur la subsidiarité, sur le politique, etc., etc. C’est une boîte à outils conceptuels, un thésaurus politicus, et une base de données pléthorique. Son influence a suffisamment été décisive pour que ses adversaires aient cherché à le tuer, médiatiquement parlant, à plusieurs reprises.

En 60 ans de vita intellettuale, il a beaucoup semé, jamais en vain, mais non sans toujours en recevoir les lauriers. Si certains ne lui concèdent que du bout des lèvres leur dette intellectuelle, impossible de s’intéresser au combat culturel, à la critique du libéralisme, à la démystification des droits de l’homme, au renouveau des politiques communautaires, aux politiques de civilisation – pour nous, l’Europe – sans passer par lui. L’Europe est du reste son terrain d’élection, le sien et celui de la Nouvelle Droite. Quelle famille de pensée peut se flatter d’avoir donné naissance à autant de « sœurs » dans l’espace européen, en italien, en allemand, en espagnol, en flamand, en russe, en latin et en cyrillique ? Nul n’est prophète en son pays, peut-être, mais Alain de Benoist l’aura été en son continent.

Breizh-info.com : Comment la Nouvelle Droite a-t-elle évolué au cours des 50 dernières années et quel rôle Alain de Benoist a-t-il joué dans cette évolution ?

François Bousquet : Il y a dans toute grande pensée des éléments de continuité et de rupture. La Nouvelle Droite n’y échappe pas, mais les grandes orientations restent les mêmes. La charpente et les murs porteurs. Il peut arriver que certaines thématiques soient mises en sourdine, au sens musical du terme. Par exemple, l’inégalitarisme, mais il serait faux d’en déduire qu’il a été révoqué : il a mûri, il s’est affiné. La critique de l’idéologie du Même et celle de l’homogénéisation du monde peuvent être interprétées comme en étant un des prolongements possibles. Pareillement de la cause « des » peuples, présente de bout en bout : concédons cependant qu’elle a pris une vigueur nouvelle en rencontrant la cause « du » peuple et celle des populismes. Il n’y a pas opposition, seulement incorporation de nouveaux thèmes qui viennent rééquilibrer les prémices de la Nouvelle Droite première manière. Prométhée corrigé par Orphée, Konrad Lorenz amendé par Marcel Mauss, Nietzsche confronté à Proudhon. Il en va de même de l’aristocratisme, qui ne serait qu’une lente agonie sans son fertilisant plébéien ; de l’ethno-différentialisme s’il n’était qu’un ethnocentrisme, etc.

Breizh-info.com : Comment répondez-vous aux critiques qui associent la Nouvelle Droite à des idéologies extrémistes ou radicales ?

François Bousquet : De confondre l’étymologie et l’idéologie. La radicalité remonte les fleuves, là où l’extrémisme se laisse porter par les courants tempétueux. Le prêt-à-penser médiatique est confusionniste, mélangeant les deux termes, alors que tout les sépare. L’un cherche à agir en profondeur, comme en atteste son étymologie – du latin radicalis, dérivé de radix, la « racine » (et non pas la race), qui va à la racine des choses et à la longue mémoire. L’autre s’en tient à la surface. Radical est actif, proactif, agissant ; l’extrémiste n’est même pas réactif, il est surréactif. L’extrémisme est un piège sémantique dans lequel notre adversaire cherche à nous enfermer en nous déclarant d’emblée infréquentables (voir le dernier livre de Mathieu Bock-Côté à cet égard). Longue cuillère ou pas, on ne dîne pas avec le diable.

Breizh-info.com : Quel avenir envisagez-vous pour la Nouvelle Droite dans le contexte politique et social actuel ?

François Bousquet : Continuer de produire une intelligence collective appelée Nouvelle Droite. L’intelligence collective n’est pas la somme des intelligences individuelles (elles comptent en tant que telles, celle d’Alain de Benoist est suffisamment évidente pour n’avoir pas à insister sur ce point), elle les dépasse et les transcende par les propriétés propres à chaque école de pensée, propriétés émergentes, polyphoniques, « consociationistes », comme dirait le grand penseur politique Althusius, qu’Alain de Benoist a fait connaître au public français. Les compositions instrumentales réussies et les orchestres ne fonctionnent pas autrement.

Propos recueillis par YV

Alain de Benoist à l'endroit, François Bousquet, Editions Nouvelle Librairie, 180 pages cliquez ici

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Vendée : Honte à la Sardinerie Gendreau, complice de l’invasion migratoire

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Éric Mauvoisin-Delavaud

Président du Rassemblement Vendéen

Alors que la loi immigration est actuellement débattue à l’Assemblée nationale, La Sardinerie Gendreau de Saint-Gilles-Croix-de-Vie prend les devants…

En Vendée, face à “la pénurie” de main-d’oeuvre rencontrée par certains secteurs et particulièrement l’agro-alimentaire, l’article 3 du projet de loi crée une carte de séjour “travail dans des métiers en tension” d’une durée d’un an.

La conserverie de sardines Gendreau de Saint-Gilles-Croix-de-Vie s’en frotte les mains et a largement devancée le processus en organisant des convois de migrants pour alimenter en main-d’oeuvre son usine. Sauf que tout ceci est un tour de passe-passe. En effet, cette main-d’œuvre corvéable à merci coûte très cher aux contribuables mais pas aux patrons indélicats qui en profitent allègrement avec nos deniers (subventions aux associations qui organisent les flux, AME, RSA, allocation logement, aide sociale… et les 50 000 euros par jeune migrant arrivée en Vendée).

Ces employeurs devraient mettre la même énergie à une politique salariale novatrice et reconnaissante, et respectueuse des salariés vendéens (salaires plus élevés, horaires et amplitudes de travail en accord avec la vie familiale, etc.).

En attendant, ceci provoque un appel d’air migratoire dans notre département à cause de ce genre d’initiative que le Rassemblement Vendéen condamne avec la plus grande fermeté.

Alors que 80 % des Français souhaitent un arrêt total de ce processus destructeur, l’entreprise Gendreau fait une erreur commerciale majeure… les Vendéens apprécieront… Pour ma part je ne souhaite pas collaborer à ce projet immigrationniste funeste pour la Vendée.

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vendredi, 15 décembre 2023

Dimanche 17 décembre, 18 h, sur BFMTV :

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Paris, ce vendredi après-midi, retrouvez Miège à la Librairie Vincent

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Le vendredi 15 décembre, David Miège dédicace son dernier livre En traits libres (éditions Dualpha, préface de Francis Bergeron) de 17h00 à 19h00 à la librairie Vincent (115 avenue de la Bourdonnais 75007 Paris 

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Samuel Huntington avait raison

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Que nous dit au fond Samuel Huntington ? Que le facteur culturel est le facteur décisif de la politique globale. Que la mondialisation des échanges, loin d’effacer les différences entre les civilisations, les a exacerbées. Que la question « dans quel camp êtes-vous ? », qui était celle du XXe siècle et de la guerre froide, a été remplacée par une interrogation bien plus fondamentale : « Qui êtes-vous ? » Ce glissement est nettement visible dans le cas du conflit israélo-palestinien où l’empathie n’est plus dictée par des choix rationnels ou idéologiques mais par des appartenances religieuses et identitaires. Une relecture du Choc des civilisations - qui vient d'être réédité - par Eugénie Bastié.

Lire la suite ICI

Source : Figaro 13/12/2023

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Confinement olympique

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol 

L’Hexagone cumule les malheurs ! Avant que débutent les fumisteries parisiennes du 26 juillet au 11 août appelées « Jeux olympiques » (JO) et du 28 août au 8 septembre 2024 pour des Jeux dits « paralympiques », les Jeux olympiques d’hiver de 2030 reviendraient encore une fois à la France.

Le Comité international olympique a dès à présent écarté les dossiers de candidature de la Suisse, de la Suède et des États-Unis. Il semble privilégier l’option des Alpes françaises portée par le président sarközyste de la région Auvergne – Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, et le président macroniste de la région Provence – Alpes – Côte d’Azur, Renaud Muselier.

La candidature hivernale alpine tablerait sur un budget insignifiant d’un milliard et demi d’euros, car pourraient servir 90 % des infrastructures construites pour les JO d’hiver d’Albertville en 1992. Ces jeux de 2030 se dérouleraient sur quatre territoires qui n’auraient plus qu’à bâtir les 10 % restants. Gageons que ce montant s’amplifiera au fil des mois.

Il paraît par ailleurs étonnant d’investir dans des endroits déjà nantis (Haute-Savoie, Savoie, Hautes-Alpes avec le Briançonnais et Alpes-Maritimes avec la métropole Nice – Côte d’Azur). Il est vrai que pratiquer le ski de fond sur la Canebière à Marseille ou organiser des descentes de ski à Super-Besse dans la chaîne des Puys en Auvergne relèveraient de situations incongrues.

Ce divertissement - détournement sportif mobilisera quand même des sommes gigantesques alors que le pays est surendetté et qu’il manque des moyens financiers tant pour les services publics vitaux (hôpitaux, Poste, armée, police, justice, prison) que pour les infrastructures ferroviaires indispensables rien qu’en Provence – Alpes – Côte d’Azur et en Auvergne – Rhône-Alpes. Outre le dépassement financier prévisible, la tenue des JO de l’été 2024 et de l’hiver 2030 permet au Régime d’améliorer le flicage généralisé de la population. Les réclusions covidiennes de 2020 – 2021 ont déjà montré la très grande passivité d’une population de plus en plus bovine. Les décisions prises pour assurer la sécurité maximale des JO à Paris constituent une nouvelle expérience de gestion des foules dans un cadre de plus en plus cosmopolite.

Le mercredi 29 novembre dernier, à côté de la mairesse socialiste de la capitale, Anne Hidalgo, du maire socialiste de Saint-Denis, Mathieu Hanotin, et de Tony Estanguet, président de Paris 2024, le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, au moment des Gilets Jaunes, exposait les premières mesures du plan de sécurité et de circulation pendant la période olympique. En plus du doublement prévu du prix du ticket des transports en commun (train, tram, métro et bus) en Île-de-France et du risque de paralysies fréquentes de certaines lignes saturées, Parisiens et Franciliens subiront une surveillance permanente qui se prolongera jusqu’en 2025 ! 

La préfecture de police de Paris prévoit en effet la mise en place de quatre périmètres d’accès. Le premier – compréhensible – concernera les sites olympiques proprement dits et le village des sportifs situé en Seine – Saint-Denis, ce nouvel Eldorado départemental fantasmé. Pour y pénétrer, des fouilles individuelles seront réalisées avant de montrer une accréditation officielle. Le deuxième périmètre ne sera accessible qu’aux titulaires de billet (ou aux personnes accréditées) qui assisteront aux compétitions dans les tribunes. Le troisième périmètre s’exercera hors des terrains sportifs. Les zones rouges interdiront la circulation de tout véhicule motorisé, sauf si l’engin appartient aux riverains détenteurs d’une place permanente de stationnement chez eux, aux aidants de personnes âgées ou dépendantes, aux personnes qui travaillent dans le coin, aux services de livraisons et de dépannage sans oublier les taxis et les VTC. Pour pouvoir circuler en voiture dans ces zones rouges, il faudra au préalable s’enregistrer sur une plate-forme numérique en fournissant une quantité incroyable de justificatifs. En revanche, ces contraintes ne devraient pas toucher les piétons et les cyclistes. Attendons néanmoins le printemps pour leur finalisation. Toutefois, inviter des amis à assister depuis son balcon ou derrière ses fenêtres aux cérémonies d’ouverture et de clôture impliquerait que l’hôte donnât à cette plate-forme d’enregistrement l’identité complète de ses invités, ce qui rabote la liberté de réunion dans un lieu privé. Rappelons que le Conseil constitutionnel avait censuré à l’époque covidienne la limite du nombre d’invités présents à son domicile. Toutes les personnes enregistrées obtiendraient sur leur téléphone intelligent un QR-code, forme sophistiquée de l’attestation de sortie covidienne de sinistre mémoire. Enfin existeraient des zones bleues autorisant la circulation limitée des résidents, des travailleurs et des livreurs. Les mesures les plus draconiennes sur les restrictions de circulation débuteraient deux heures - deux heures trente avant le départ des rencontres sportives et se termineraient une heure après. Dans ces conditions, il est plus que probable que tout le centre de Paris soit figé de 6 h 30 à minuit.

La vie courante des Parisiens et des Franciliens sera infernale sans omettre le recours massif aux drones de surveillance et un développement impressionnant de la vidéosurveillance. On ne peut que craindre de retrouver en 2030 un dispositif semblable amélioré de redoutables innovations techniques. Par exemple, au lendemain de l’attentat d’Arras du 13 octobre 2023, Laurent Wauquiez a réclamé des caméras de reconnaissance faciale à proximité des établissements scolaires. Auparavant, le même avait soutenu l’emploi de la reconnaissance faciale dans les gares ferroviaires et routières.

Un pareil paquet d’applications sécuritaires pour cet été surprend. Le préfet de police se couvre en précisant que la loi permet ce dispositif à partir d’un acte réglementaire paraphé du ministre de l’Intérieur. Quelques heures plus tard, des sénateurs s’élevèrent contre ce projet liberticide. « Ces dispositions sont typiques d'un état d'urgence, s’indigne le sénateur centriste du Tarn, Philippe Bonnecarrère. Mettre en place de telles mesures dans une situation qui a vocation à être heureuse [...] est extrêmement curieux. » La sénatrice centriste de l’Orne Nathalie Goulet dénonce pour sa part « des dispositions attentatoires aux libertés ».

Les attentats islamistes, les agressions sanglantes et les manifestations d’ultra-violence encouragent la démarche despotique du Régime multiculturaliste. Le confinement covidien à l’échelle nationale et le confinement olympique à l’échelle parisienne préfigurent la mise en place, tôt ou tard, d’un « pass carbone » individuel destiné à lutter contre le réchauffement climatique en attendant le puçage obligatoire de tous.

Le contrôle médiatique, la surveillance accrue des réseaux sociaux, la censure active sur Internet, l’opposition – parfois levée – de manifester et l’interdiction de colloques  et d’autres réunions de la dissidence oppositionnelle confirment malheureusement la tendance intrusive des gouvernements occidentaux à vouloir s’occuper de tout et à tout régenter dans un environnement de plus en plus chaotique. L’Occident globalitaire n’est plus seulement un grand hospice selon le défunt Édouard Limonov; il se transforme en un gigantesque bagne à ciel ouvert.

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°96 mise en ligne le 13 décembre 2023 sur Radio Méridien Zéro.

00:10 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 13 décembre 2023

Quand l’insécurité n’est pas un simple « sentiment »

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La chronique de Philippe Randa

La nature a horreur du vide, c’est bien connu… et quand les défaillances de l’État deviennent trop visibles, trop dramatiques, des solutions sont trouvées.

Le niveau scolaire s’effondre ? On n’apprend plus à lire, à écrire et encore moins à compter en usant ses fonds de culotte sur les bancs de cette école qu’un sacré Charlemagne avait eu « l’idée folle » d’inventer ? Qu’à cela ne tienne, des sociétés type Acadomia fleurissent pour offrir « aide aux devoirs, soutien ou perfectionnement dans une matière spécifique, préparation aux concours, maîtrise de l’anglais scolaire et professionnel, etc., etc. »

Des conflits extérieurs nécessitent des interventions modérément officielles, des moyens peu conventionnels et des solutions moyennement inspirées des Droits de l’Homme ? Qu’à cela ne tienne, le mercenariat répond à tous besoins que la raison d’État exige dans la plus grande discrétion (enfin, pas toujours !).

Et la pauvreté ? Qu’à cela ne tienne, rappelez-vous, quand elle a explosé en notre doulce France, Coluche, humoriste condamné à un travail d’intérêt collectif pour avoir insulté un représentant des forces de l’ordre, lança les Restos du cœur en guise d’accomplissement de peine… et 37 ans plus tard, cette « institution » soulage toujours de façon non négligeable la bourse de l’État qui ne s’en trouve pas plus humilié que cela.

Dernier exemple en date ? La sécurité !

Le ministre de la justice, Éric Dupond-Moretti refuse d’utiliser le terme « ensauvagement » au motif que celui-ci entretiendrait « le sentiment d’insécurité »… Le « sentiment d’insécurité » stupidement ressenti par de stupides citoyens stupidement sensibles aux discours de l’ultra-droite faschistoïde est un fantasme, il n’empêche que la situation se dégrade fâcheusement dans nombre de territoires désormais qualifiés de « non-droits », de « zones interdites » ou de « territoires perdus de la République » (sauf par l’ultra-gauche et le Ministre de l’Intérieur, cela va s’en dire) ; aussi, qu’à cela ne tienne encore une fois, quoi de mieux que d’en appeler aux services de vigiles de sociétés privées pour remédier à ce souci… et combattre, de fait, le « sentiment d’insécurité », si insupportable à l’actuel ministre de la Justice ?

Ainsi, « pour éloigner les dealers des résidences, des vigiles de sociétés privées patrouillent dans les quartiers sensibles de Toulouse (Haute-Garonne). Les membres du Groupement interquartiers de tranquillité et de sûreté interviennent dans une quarantaine de résidences », rapporte Ouest France. « Ces patrouilles ont été mises en place depuis plusieurs mois. Les membres du GITeS (groupement interquartiers de tranquillité et de sûreté) exercent dans une quarantaine de résidences. Ils sont employés par les bailleurs sociaux pour faire régner l’ordre et améliorer le cadre de vie des habitants. S’ils ne peuvent pas procéder à des interpellations, ils sont autorisés à intervenir physiquement et à verbaliser ».

Équipés d’armes de catégorie D (bombonnes de gaz lacrymogène, gilet pare-balles, chiens de défense et bâtons télescopiques), ils sont chargés de déranger autant que faire se peut les dealers et s’ils ne peuvent interpeller qui que ce soit, ils sont toutefois autorisés à dresser des procès-verbaux qui peuvent engendrer des poursuites du parquet et des amendes jusqu’à 1 500 euros.

Un modèle de sécurité parallèle qui a aussitôt intéressé la municipalité de Nice dont le Maire Christian Estrosi envisage de faire également appel à des agents de sécurité privés et armés pour pallier « “l’inertie du gouvernement”, dont il s’est agacé avec virulence ces dernières semaines. “Nous allons recruter 24 agents de sécurité formés, armés et assermentés d’ici la fin de l’année, dont 12 pour le 1er juillet” », déclarait-il au Figaro en avril dernier.

Et l’exemple toulousain faisant tache d’huile, près de Nice, justement, la petite commune de Blausasc a ainsi recruté deux agents de sécurité privée pour se poster devant les entrées des écoles et de la crèche du village : « On a reçu des consignes de la préfecture pour élever le niveau de vigilance devant les écoles en usant de notre police municipale, explique Michel Lottier, lui-même ancien policier. Si on demande cela à notre garde champêtre, on n’aura plus personne pour surveiller le reste de la commune. Donc, on a fait appel à ces agents ».

On ne sera guère surpris d’apprendre que tout le monde ne voit pas d’un œil favorable cette – au pire – « dérive milicienne » ou – tout de même gênant – « système à l’anglo-saxonne au coût jugé quand même élevé »…

Le comble, évidemment, serait d’avoir à supporter le ministre de l’Intérieur vanter le retour de la tranquillité dans certains quartiers, alors qu’il n’y serait à l’évidence pour rien et que les municipalités n’auraient fait que pallier les défaillances de ses services.

C’est que les incapables aussi, ça ose tout, parfois !

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Faudra-t-il repasser son permis de conduire tous les 15 ans ?

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Nicolas Gauthier

L’automobiliste serait-il en passe de devenir l’ennemi public numéro un ? C’est à croire. Ainsi, ce 7 décembre, les eurodéputés ont-ils décidé « d’introduire une période probatoire de deux ans, puis une visite médicale, avec un test de vision, pour prolonger la validité de son document au moins tous les 15 ans », rapporte La Croix. De nouvelles règles durcies pour rouler dans l'Union européenne, votées de justesse en commission Transports (22 voix contre 21) et qui concerneront tout le monde. Ouest-France se veut toutefois rassurant, expliquant que « le vote au Parlement est annoncé en janvier ou février et il faudra accorder le texte avec celui des États. Aucune chance que cela aboutisse avant les élections européennes du 9 juin. »

Ainsi faut-il savoir que le renouvellement du permis de conduire devrait donc être soumis à une batterie d’examens médicaux, de plus en plus délicats à affronter, au fur et à mesure de l’âge. Bref, les bien-portants sont des malades qui s’ignorent et la loi des suspects devient la règle ; ce, dans l’indifférence générale et au nom de la sacro-sainte sécurité routière.

Mais que nous disent les statistiques en la matière, méticuleusement compilées par la Ligue de défense des conducteurs ? Tout simplement que les seniors « causent deux fois moins d’accidents » que les juniors, pourtant en évidente meilleure santé. Aurélie Troussard, secrétaire générale de cette association ramant à contre-courant de la « bagnolophobie » ambiante, a ainsi beau jeu de rappeler « Tout porte à croire que cette mesure fera peser de nouvelles contraintes, aussi humiliantes qu’inutiles et coûteuses. » Et la même de poursuivre : « Les coûts administratifs et d’examens médicaux représentent autant d’argent qui serait si utile, par exemple, pour améliorer les secours et la médecine d’urgence qui sauvent des vies. » Et la cerise sur le pompon : « Il ne faut pas oublier qu’avec les déserts médicaux, on va assister à un engorgement des demandes. Que feront les conducteurs dont le droit à la conduite aura expiré et qui devront attendre de longs mois pour le renouveler ? »

Et la France rurale ?

Ainsi vont ces lois, votées par des élus se déplaçant dans des berlines conduites par des chauffeurs payés aux frais du contribuable et souvent concoctées par des assistants parlementaires ne se déplaçant qu’à pied, bicyclette ou taxi ; lesquels ignorent tout de la réalité de cette France tentant d’exister en dehors des mégapoles.

Là, en ces campagnes abandonnées des pouvoirs publics, où les facteurs ne passent plus ou que peu, où il faut bien prendre sa voiture pour aller chercher de quoi se nourrir pour la semaine, ce projet de loi européen pourrait faire figure de cataclysme. Car pour ces Français devenus étrangers en leur propre pays, la voiture n’est pas qu’un mode de vie mais juste la dernière façon de survivre. D’ailleurs, si le but de ces manœuvres européistes consiste à sauver des vies, ne serait-il pas plus urgent de se pencher sur l’état avancé de délabrement de nos petites routes, responsables à elles seules de plus de 30 % des accidents mortels en France ?

Une pétition tentant de bloquer cette mesure, aussi arbitraire qu’inique, et issue de sphères ne pouvant exciper de la moindre onction démocratique, a déjà rassemblé près de 200.000 signatures de citoyens refusant qu’on vienne s’immiscer en leur existence quotidienne.

Comme toujours, il convient de se méfier de la colère de la France bien élevée. À force de l’oublier, le gouvernement pourrait bien, un jour ou l’autre, en payer le prix. Plus ce jour tardera et plus ce prix sera élevé, à n’en point douter.

Source Boulevard Voltaire cliquez là

12:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hervé Juvin: les modifications génétiques tolérées par Bruxelles auront-elles raison de notre santé ?

L’eurodéputé, homme d'affaires et essayiste Hervé Juvin que l'on ne présente plus sur IDL est l'invité de Charles Gave à la veille d’un vote crucial du Parlement européen sur les Nouvelles technologies génétiques.

À Bruxelles, l’assouplissement de la réglementation sur les "nouveaux OGM" inquiète. Les promoteurs des nouvelles technologies génétiques, ou NGT, veulent faciliter la vente de leurs produits : grâce à la manipulation génétique, il est possible de rendre des plantes plus résistantes ou d’améliorer leur composition nutritionnelle.

Pour l’heure, la Commission prévoit de faire échapper à la réglementation d’étiquetage et de traçabilité des OGM, les produits qui présenteraient moins de 20 modifications génétiques. La clause de sauvegarde a aussi disparu : dans la réglementation de 2001, elle permettait à un État membre d’interdire les OGM sur son propre territoire.

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Source : Institut des Libertés

11:19 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi 14 novembre, 17 h, à Versailles

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10:19 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le nouveau numéro de la Lettre des Amitiés franco-espagnole est sorti

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Dans ce numéro, un bel hommage à Alberto Torresano décédé en septembre dernier cliquez ici.

Sommaire :

  • Éditorial d’Hélène Grimaldi
  • En Espagne
  • Dossier : Alberto Torresano ? Presente !
  • La lettre du marquis
  • Semper Fidelis
  • En France
  • Brèves
  • J’aime l’Espagne
  • Requiescat in pace
  • Le CFH vous invite à soutenir

Ecrire à : Cercle franco-hispanique BP 17/24 Théâtre 08000 Charleville-Mézières

10:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 12 décembre 2023

Jean Messiha arrivera-t-il à redonner la parole au peuple ?

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Bernard Germain

Jean Messiha l’a annoncé début décembre 2023, il veut réunir 5 millions de signatures afin d’obliger le pouvoir à organiser un référendum sur l’immigration. Ce qui revient à recueillir les signatures de 10 % du corps électoral (donc 4,8 millions pour être précis). Ce n’est pas énorme sur le papier, mais cela relève des travaux d’Hercule dans la réalité.

Pourquoi ?… parce que toute la classe politique est contre lui. La quasi totalité de la classe politique est contre le peuple. Personne ne veut demander au peuple ce qu’il veut, pas plus que la classe politique institutionnelle ne veut respecter ce qui sort des urnes lorsque par exception le peuple a eu la possibilité de s’exprimer.

Qui ne se souvient pas du référendum de 2005 ?

Hollande et Sarkozy avaient posé ensemble en couverture de Paris-Match pour appeler à voter oui. La presse et tous les médias audiovisuels ont pendant des mois inlassablement répété qu’il fallait voter oui. Les instituts de sondages ont pendant des mois publié des résultats truqués annonçant la victoire du oui. Mais au final c’est le non qui l’a emporté et pas qu’un peu… 55 % contre et 45 % pour.

Une incroyable déroute pour les européistes. Qui plus est indiscutable parce que 55 à 45, c’est sans appel. Pourtant, arrivé au pouvoir Nicolas Sarkozy avec la complicité de toute la classe politique, c’est à dire la gauche, la droite et le centre, va faire en sorte de ne pas prendre en compte la volonté du peuple.

Le moyen utilisé sera très simple. Le congrès (députés et sénateurs) sera réuni à Versailles et il suffit des 3/5 pour que le texte soit adopté. Ce qui fut fait. Et le texte en question c’est le traité de Lisbonne qui n’était que le projet de constitution européenne auquel on a changé trois virgules. Donc le texte que venait de rejeter le peuple par 55 % des voix. Peut-on faire un viol plus manifeste de la démocratie ? Peut-on refuser de prendre en compte le vote du peuple de manière plus claire ?

2005 et son épilogue en 2008 restera dans l’histoire de notre pays comme une tache indélébile prouvant l’abominable trahison de la classe politique et son rejet pur et simple de la démocratie et de la volonté populaire. Pourtant, et c’est hallucinant, ce sont les mêmes qui passent leur temps à nous faire des leçons de morales et des déclarations sur leur attachement indéfectible à la démocratie.

Tartuffe et menteurs comme des arracheurs de dents. Tous sans exception ! C’est à cette bande que s’attaque Jean Messiha avec son projet de récolter 4,8 millions de signatures. Pourtant, même si l’affaire se présente comme une entreprise des plus compliquées, je suis persuadé que c’est possible.

Je puise ma certitude dans certains éléments qui ne sont pas contestables. Le premier c’est que 70 % de la population française veut l’arrêt de toute immigration. C’est un chiffre qui ne bouge pas. Plus exactement qui ne descend pas. Par contre, il peut aisément monter. En effet, avec sa « transition démographique » annoncée le 15 septembre 2022 c’est à dire l’envoi dans les campagnes d’un grand nombre d’immigrés, Emmanuel Macron saupoudre les problèmes partout en France. De ce fait, il n’y a quasiment plus d’endroit en France qui soit épargné par les problèmes. Il y a encore peu, c’étaient les villes grandes et moyennes qui étaient principalement affectées.

Aujourd’hui, les quartiers conquis par les dealers et les islamistes ne se comptent plus partout sur le territoire. Même des petites villes comme Guéret (12.000 habitants) en Creuse sont touchées par le fléau.

Mais avec l’extension de tous ces problèmes ce sont autant de français impactés qui auparavant se disaient : « Tout cela c’est dans les banlieues des grandes villes. Ici on est tranquilles ». Or, justement c’est terminé. Plus personne n’est épargné. Nulle part.

Ici c’est une maison cambriolée, là c’est un vol avec violence, là encore c’est un coup de couteau pour voler un téléphone ou simplement pour « un mauvais regard » … etc.

Il y a un autre point des plus importants.

Ainsi, beaucoup de Français sont pauvres. Il y a 10 millions de pauvres dans notre pays, dont la grande majorité sont des Français « de souche ».

Pour eux, et à juste titre, il est insupportable que des migrants puissent avoir un logement social alors qu’eux sont obligés de dormir dans leur voiture et même pour certains dans la rue.

N’est-ce pas logique de dire : on s’occupe d’abord des nôtres ?

Avec Macron, soutenu par la gauche et tous les immigrationnistes, c’est d’abord les migrants. Les Français ils peuvent crever. Cela, nos compatriotes ne le supportent plus. Et ils ont entièrement raison.

Il en va de même pour la santé. Dans son projet de Loi dont l’assemblée vient de lui dire qu’elle ne voulait même pas en discuter, Darmanin avait prévu le maintien et même le développement de l’AME, alors que le texte adopté par le sénat avait supprimé cette mesure en la réduiant à une AME en cas d’urgence.

Pendant ce temps des tas de Français n’ont pas assez d’argent pour se soigner, par exemple en allant chez le dentiste.

Et l’on croise donc fréquemment dans les rues des… « sans-dent » comme le disait de manière odieuse le méprisant et méprisable Hollande. Un homme se disant de gauche.

Là aussi, il faut commencer par aider les nôtres. Quant il n’y aura plus un Français qui renonce à se soigner par manque d’argent, il sera temps de se demander si on peut aider quelqu’un d’autre. Ajoutons à tout cela les problèmes de délinquance et de violence qui se développent partout à une vitesse et dans des proportions vertigineuses.

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20:33 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |