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jeudi, 16 novembre 2023

Le socialiste Pedro Sanchez investi par Les Cortes

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Michel Festivi 

Par 179 voix, soit trois de plus que nécessaires Pedro Sanchez vient d’être investi par Los Cortes de Los diputados. Alberto Feijoo du parti populaire avait lui échoué à 174 voix, il y a quelques semaines.

En promettant tout aux indépendantistes de Carles Puigdemont, il n’y avait plus guère de suspens. Malgré les nombreuses manifestations hostiles depuis plusieurs semaines qui scandent la vie politique espagnole, malgré l’opposition de nombreux juristes et associations judiciaires, malgré les critiques de certains socialistes espagnols modérés, et les oppositions fermes de Vox et du PP, Pedro Sanchez est resté droit dans ses bottes et a préféré conserver son titre de Chef du gouvernement à tout prix, et à quel prix !

Le prix justement c’est l’éclatement de la Nation espagnole, c’est la fin de l’Espagne éternelle, Une, Grande et Libre.

D’ailleurs les leaders indépendantistes ne se sont pas privés lors d’un débat où les jeux étaient faits d’avance, de brocarder Sanchez et lui faire savoir que s’il ne leur donnait pas  dans les semaines à venir ce qu’ils réclament et même plus, ils n’hésiteraient pas à le destituer.

C’était assez pitoyable a voir et à entendre. Plusieurs politologues espagnols dissertent sur les qualités de négociateur politique de Sanchez. Or lorsqu’on lâche tout, il n’est pas du tout difficile de trouver des accords à sens uniques c’est à dire iniques. Les Basques ont déjà fait savoir qu’ils entendaient également que l’on s’occupe d’eux et qu’on les traite comme une nation et non pas comme une région.

Dans les négociations Sanchez a tout lâché sur les effacements des dettes et sur le transfert gratuit d’infrastructures ferroviaires où autres.

La députée des Canaries qui avait voté pour Feijoo il y a quelques semaines a rejoint Sanchez cette fois ci. Il faut souligner que les Canaries subissent une immigration illégale massive ce qui n’est pas sans poser d’énormes difficultés à cette île actuellement submergée. Elle a donc préféré trahir son camp.

Pedro Sanchez avait tenté de résoudre la question en dispersant bons nombres d’entre eux dans des municipalités espagnoles gouvernées par le PP !

D’ailleurs pendant ce jour et demi de débat, il a été totalement muet sur sa politique migratoire. Par contre pour donner des gages à sa coalition avec l’extrême gauche, il a multiplié les promesses de lois sociétales ou mémorielles allant dans le toujours plus à gauche.

Les Espagnols sont plus divisés que jamais. Les fractures se sont aggravées et amplifiées. L’Espagne va très mal. L’Europe vient de renvoyer à plus tard l’étude du dossier de la seconde langue, le Catalan, comme langue officielle de l’état espagnol au niveau européen, n’ayant reçu aucun dossier digne de ce nom et surtout pas une évaluation des coûts qui seront générés.

L’avenir est donc très incertain entre la future loi d’amnistie et le futur référendum sur l’avenir de la Catalogne. Ce gouvernement ira t il jusqu’à la fin de la législature soit jusqu’en juillet 2027. Nul ne peut aujourd’hui faire un pronostic sérieux. Mais nous voilà donc de nouveau avec un gouvernement « Frankenstein » une sorte de monstre à plusieurs têtes, et tout est possible, le pire sûrement, le meilleur si cela crée dans le pays un véritable électrochoc salutaire.

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« La Flandre aux Flamands » : le Vlaams Belang a tenu congrès contre l’immigration

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Source Breizh Info cliquez ici

Ayant pour objectif une « Flandre flamande », le congrès organisé le week-end dernier par le Vlaams Belang a été l’occasion pour le parti nationaliste de proposer un plan en 100 points pour lutter contre l’immigration, incluant des mesures strictes sur le regroupement familial, sur les critères de nationalité et sur les expulsions.

Faire de l’immigration un enjeux électoral en Flandre

Dans l’optique des prochaines élections fédérales et régionales qui auront lieu en Belgique en juin 2024, les nationalistes flamands du Vlaams Belang mènent campagne tambour battant. Pour cela, le parti politique a organisé depuis le printemps dernier une série de trois congrès.

Le premier, s’étant tenu le 11 juin à Lierre (province d’Anvers), visait à présenter la feuille de route du Vlaams Belang pour parvenir à l’indépendance de la Flandre. Une route sur laquelle l’année 2024 doit marquer un tournant tandis que pour la formation présidée par Tom Van Grieken, « Les Flamands sont un peuple », « La Belgique est le problème, la Flandre est la solution ».

Puis, le 24 septembre, le Vlaams Belang organisait cette fois un congrès à Alost portant sur les mesures socio-économiques qu’il envisage pour la Flandre. Un événement qui avait suscité une mobilisation de diverses organisations gauchistes et « antifascistes » locales :

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Manifestation contre le congrès socio-économique du Vlaams Belang. Source : campagnerosa.be

Enfin, dimanche 12 novembre, le dernier congrès du Vlaams Belang, venant conclure ce triptyque et ayant lieu à Gand, portait sur la question cruciale de l’immigration.

Un sujet sur lequel le parti nationaliste flamand se veut être aux avant-postes, en Flandre comme en Belgique. « Le Vlaams Belang est le seul parti qui ose parler d’immigration et proposer des solutions. Aujourd’hui, nous proposons un plan en 100 points. Et notez-le : nous faisons de l’immigration un enjeu électoral ! », a notamment déclaré Tom Van Grieken lors de son intervention.

Une prospérité indissociable du problème de l’immigration

Lors de cette journée, ce sont plus d’un millier d’élus, de militants et de sympathisants du Vlaams Belang qui se sont rendus au Centre International de Conférences de Gand pour écouter les diverses propositions. À la tribune, se sont succédées diverses figures du VB, dont les chefs de groupe fédéral et flamand Barbara Pas et Chris Janssens ainsi que les députés flamands Filip Dewinter et Sam Van Rooy.

Dans une Belgique submergée par l’immigration extra-européenne et dont les centres d’accueil pour migrants sont saturés, Tom Van Grieken a rappelé que « le nombre de résidents d’origine étrangère augmente de façon phénoménale », précisant qu’en « un peu plus de 20 ans, ils sont passés de 18,8 % à 33,4 % ».

Quant à l’urgence de solutionner ce problème migratoire, le président du VB a souligné une évidence : « Quiconque pense que notre prospérité peut être dissociée de la question de l’immigration se trompe. L’asile à lui seul nous coûte plus d’un milliard d’euros par an ».

En ce qui concerne les mesures annoncées par le Vlaams Belang pour redresser la situation, le parti préconise, entre autres, un durcissement des politiques en matière de regroupement familial. Pour ce faire, il souhaite notamment relever les exigences en matière de revenus et raccourcir considérablement la période pendant laquelle les demandeurs d’asile reconnus peuvent faire venir des membres de leur famille sans conditions.

Des demandeurs d’asile que les nationalistes flamands souhaiteraient obliger à effectuer des travaux d’intérêt général, estimant qu’ils « reçoivent énormément de la société », nécessitant en retour « une contrepartie ».

Quels critères pour la nationalité ?

Pour le Vlaams Belang, les lois sur la nationalité devraient également être plus strictes. « Notre nationalité n’est pas un simple bout de papier », a déclaré Chris Janssens. « C’est quelque chose qui se mérite. Résider légalement depuis au moins 10 ans, faire une déclaration de loyauté, contribuer économiquement de manière active à la société, parler le flamand et passer un examen de citoyenneté sont les conditions que nous posons. Les binationaux peuvent également perdre à nouveau cette nationalité s’ils sont condamnés à une peine d’emprisonnement de trois ans ou plus », a-t-il expliqué.

Pour ce qui est des expulsions de migrants, le Vlaams Belang souhaite aussi travailler immédiatement au retour effectif de ces derniers. « Nous avons vu le mois dernier, avec l’attaque sanglante d’un clandestin à Bruxelles, ce que la politique d’ouverture des frontières du gouvernement a entraîné », a affirmé Barbara Pas, déplorant que les chiffres des retours soient « aujourd’hui historiquement bas ».

Dans l’optique de faciliter ces expulsions, le Vlaams Belang souhaite introduire une loi sur l’entrée résidentielle afin que la police puisse procéder à l’entrée au domicile des clandestins lorsque ceux-ci refusent manifestement d’obtempérer à un ordre de quitter le territoire. Privés de cette prérogative, nous assistons en France à des situations aberrantes…

La politique migratoire de l’UE vue par le Vlaams Belang

En outre, le Vlaams Belang souhaite augmenter considérablement la capacité des centres de retour fermés et les rouvrir également aux familles. Pour Barbara Pas, « l’interdiction d’accueillir des familles avec enfants dans des centres de retour fermés provoquera irrémédiablement un effet d’appel d’air » puisque l’on « envoie le message que toute personne qui arrive dans ce pays avec des enfants ne peut plus jamais être expulsée. »

Enfin, en matière de politique européenne, le Vlaams Belang insiste également depuis un certain temps sur la nécessité de mettre en place une approche de cette crise migratoire à l’échelle européenne. Et, à ce titre, le parti souhaite un changement de paradigme au niveau européen.

« Il est indéniable que les réglementations européennes restreignent trop les marges de manœuvre pour les États afin de mener leur propre politique migratoire », estime le Vlaams Belang, qui considère par ailleurs que le Danemark « a la meilleure politique d’immigration en Europe parce qu’il n’est pas enfermé dans ce carcan inapplicable et qu’il dispose d’une clause de non-participation ».

En dernier lieu, la formation politique flamande appelle aussi à une coopération entre les différents pays européens. Laquelle s’inspirerait du modèle australien, avec une tolérance zéro pour l’immigration illégale. Sans oublier au passage de marteler une évidence trop souvent occultée par les responsables politiques, en France comme en Belgique : l’entrée illégale en Europe ne peut jamais conduire à une résidence légale.

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mercredi, 15 novembre 2023

Tribune libre : L’Adieu au Front National

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Eric Delcroix

Le Rassemblement National (RN), à l’initiative de sa présidente, Marine Le Pen, a participé à la grande manifestation d’exorcisme républicain organisée le 12 novembre par les présidents de l’Assemblée et du Sénat, au soutien de la seule communauté juive. Les responsables musulmans, eux, ont logiquement boudé cette marche en faveur des israélo-israélites (les Arméniens, chrétiens pas même sémites, étant tombés dans la « boîte à oubli » orwellienne).

Ce genre de manifestation, organisée par les pouvoirs publics et non pour faire pression sur ceux-ci, a quelque chose d’incongru et de malsain. Il s’agit toujours de rechercher l’unanimité, autour de la République, comprise non pas comme le régime du temps, mais comme l’adhésion à une conception révolutionnaire et abstraite de la Nation.

En la rejoignant inconsidérément, le RN a rompu définitivement avec ce qu’était le Front National, savoir une sorte de syndicat informel des Français de souche européenne ou assimilés. Il s’agissait alors de défendre une conception charnelle et affective de la Nation, dont même De Gaulle avait reconnu la nature avec sa « race blanche » et sa « religion chrétienne » (1959)…

Le RN abaissé a n’être plus qu’un parti

A un moment, les troupes de Marine Le Pen se sont retrouvées entre le groupe de la sulfureuse Ligue de défense juive, qui a largement applaudi la chef [sic] de file frontiste, et une délégation du Crif i, largement hostile au RN. » (le Figaro, 13 novembre, page 3).

Le RN ne pourra plus s’en sortir et, le judaïsme ne connaissant pas la Rédemption, il n’y aura pas de pardon pour le parti de Mme Le Pen. Après ce choix déterminant et historique de sa cheftaine, adoubée par Serge Klarsfeld, il y aura désormais une exigence permanente d’humiliation justificatrice de conformité. Il faudra toujours et encore en faire plus, au regard de ces institutions juives agréées, sous le regard vétilleux du CRIF.

D’ailleurs, Pierre Moscovici, Premier président de la Cour des comptes que l’on découvre arbitre des élégances hébraïques, l’a annoncé urbi et orbi :

[Marine], personnellement, n’est pas antisémite [lire anti-juive]. Mais est-ce que que le RN a purgé tous les éléments de l’antisémitisme ? Je ne le crois pas. » (le Figaro, 13 novembre, page 4).

Appel explicite à une purge au sein du RN de la vieille garde frontiste, supposée éventuellement non pro-sioniste ou simplement rétive à ce que Renan appelait le sémitisme. La dissolution du syndicat des Français est donc acquise, la survie du peuple français historique contre son Grand remplacement n’a plus guère pour défenseurs que nous autres, souvent anciens membres ou sympathisants historiques du Front National, dispersés façon puzzle…

Le reniement n’est pas toujours payant, même en politique

Si le reniement vis-à-vis de son père, par opportunisme, absence de culture politique, demeurait pour Marine une question de famille, le ralliement au conformisme dit républicain et de tradition maçonnique, sonne le glas du syndicat des français.

Tout le monde n’a pas droit à une protection communautaire. Pour avoir tenté néanmoins d’ être le tribun des Français, Jean-Marie Le Pen l’a payé très cher devant les tribunaux de l’iniquité de la République. Et l’ingratitude de sa fille.

Mais c’était hier…

Si elle accède un jour au pouvoir, Marine sera au mieux une pâle Georgia Meloni française, incapable de trouver le ressort héroïque pour juguler le Grand remplacement. On lui concédera peut-être quelques victoires symboliques, car c’est aussi ça la politique politicienne à laquelle elle aspire. Et si elle n’accède jamais au pouvoir, elle recevra sûrement la Légion d’honneur en lot de consolation.

Mais le Grand remplacement continuera, au milieu des manifestations contre le racisme et les discriminations…

Et si elle accédait à la Présidence et… que lui succédait à l’Élysée un président musulman ?

Voire… Mais lit-elle seulement Michel Houellebecq ?

Publiée sur le site Le Nouveau Présent cliquez ici

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La France n’a pas gagné la Première Guerre mondiale grâce à l’Afrique et aux Africains

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Bernard Lugan, universitaire africaniste, historien, écrivain

Source Polémia cliquez là

Dans la grande entreprise de réécriture de l’Histoire de France par les partisans du « Grand Remplacement », la Première Guerre mondiale, et plus particulièrement la bataille de Verdun, constituent un argument de poids. Son résumé est clair : les Africains ayant permis la victoire française, leurs descendants ont donc des droits sur nous.

Voilà qui explique pourquoi ces ardents défenseurs du « vivre ensemble » que sont MM. Samuel Hazard, maire socialiste de Verdun, et Joseph Zimet, à la ville époux de Madame Rama Yade et en charge de la Mission du centenaire de la Grande Guerre, ont voulu mettre le sacrifice de millions de Poilus au service de leur idéologie.

Laissons donc parler les chiffres (*) :

Effectifs français (métropolitains et coloniaux)

  • Durant le premier conflit mondial, 7,8 millions de Français furent mobilisés, soit 20% de la population française totale.
  • Parmi ces 7,8 millions de Français figuraient 73.000 Français d’Algérie, soit environ 20% de la population « pied-noire ».
  • Les pertes françaises furent de 1.300.000 morts, soit 16,67% des effectifs.
  • Les pertes des Français d’Algérie furent de 12.000 morts, soit 16,44% des effectifs.

Effectifs africains

  • L’Afrique fournit dans son ensemble 407.000 hommes, soit 5,22% de l’effectif global de l’armée française.
  • Sur ces 407.000 hommes, 218.000 étaient des « indigènes » originaires du Maroc, d’Algérie et de Tunisie, soit 2% de la population de ces trois pays.
  • Sur ces 218.000 hommes, on comptait 178.000 Algériens, soit 2,28% de tous les effectifs français.
  • L’Afrique noire fournit, quant à elle, 189.000 hommes, soit 1,6% de la population totale et 2,42% des effectifs français.
  • Les pertes des unités nord-africaines furent de 35.900 hommes, soit 16,47% des effectifs.
  • Sur ces 35.900 morts, 23.000 étaient algériens. Les pertes algériennes atteignirent donc 17.98% des effectifs mobilisés ou engagés.
  • Les chiffres des pertes au sein des unités composées d’Africains sud-sahariens sont imprécis. L’estimation haute est de 35.000 morts, soit 18,51% des effectifs ; l’estimation basse est de 30.000 morts, soit 15.87%.

Pour importants qu’ils soient, ces chiffres contredisent donc l’idée reçue de « chair à canon » africaine.

D’ailleurs, en 1917, aucune mutinerie ne se produisit dans les régiments coloniaux, qu’ils fussent composés d’Européens ou d’Africains.

Des Africains ont donc courageusement et même héroïquement participé aux combats de la « Grande Guerre ». Gloire à eux !

Cependant, compte tenu des effectifs engagés, il est faux de prétendre qu’ils ont permis à la France de remporter la victoire. Un seul exemple : le 2e Corps colonial engagé à Verdun en 1916 était composé de 16 régiments. Les 2/3 d’entre eux étaient formés de Français mobilisés, dont 10 régiments de Zouaves composés très majoritairement de Français d’Algérie, et du RICM (Régiment d’infanterie coloniale du Maroc), unité alors très majoritairement européenne.

Autre idée reçue utilisée par l’idéologie dominante : ce serait grâce aux ressources de l’Afrique que la France fut capable de soutenir l’effort de guerre.

Cette affirmation est également fausse car, durant tout le conflit, si la France importa six millions de tonnes de marchandises diverses de son Empire, elle en importa 170 millions du reste du monde.

Conclusion : Durant la guerre de 1914-1918, l’Afrique fournit à la France 3,5% de toutes ses importations et 5,22% de ses soldats. Ces chiffres sont respectables et il n’est naturellement pas question de les négliger. Mais prétendre qu’ils furent déterminants est un mensonge doublé d’une manipulation.

Bernard Lugan
13/05/2016

(*)  Les références de ces chiffres sont données dans mon livre Histoire de l’Afrique du Nord des origines à nos jours, Le Rocher, juin 2016.

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mardi, 14 novembre 2023

Christian Baeckeroot : Justice pour le Front National

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Christian Baeckeroot, ancien député.

Je ne suis mandaté par personne. Je ne suis expert en rien. Je suis un simple témoin.

J’ai 84 ans. Je suis ancien militaire qui s’est engagé en politique pour l’Algérie Française, avec nos compatriotes de souche européenne, juifs et musulmans. Tout au long de ma vie politique – 62 ans –, j’ai été ostracisé comme « extrême droite » et, dès les années, 70 taxés, sans aucune justification, d’antisémite pour le plus grand profit de l’extrême-gauche avec la complicité de la plupart des « grands médias » et d’une grande partie de la caste politicienne.

Pour évoquer la période antérieure, je rappellerai que Jean-Marie Le Pen, engagé volontaire, a combattu en 1956 aux côtés de l’armée israélienne.

Adhérent du Front National depuis sa création, j’ai subi, avec Jean-Marie Le Pen, des campagnes de haine et de calomnies.

Fin des années 70, un souvenir me revient. Au lendemain de l’attentat de la rue Copernic, un de mes enfants devant effectuer, dans le cadre d’une activité scolaire, une revue de presse, nous pouvions constater que les « Unes » de la « grande presse » désignaient « la piste de l’"extrême-droite". Des dizaines d’années plus tard, un Arabe palestinien a été inculpé au Canada. Nous attendons toujours la rectification de la « grande presse ».

Quand, avec les Européennes de 1984, le Front National prend de l’importance, la campagne de calomnies sur les « tortures » se développe, faisant médiatiquement du sous-lieutenant Le Pen le patron de l’opération menée par le Général Massu à la demande du gouvernement socialiste.

Avec l’arrivée du groupe Front National à l’Assemblée Nationale en 1986, la référence à l’« Extrême-Droite » devient systématique. Exemple : une hystérie médiatique fait à nouveau la « Une » des médias, on évoque « la nuit des longs couteaux » – référence à Hitler – pour un simple rappel au règlement !  De quoi s’agit-il ? Les débats à l’Assemblée Nationale se déroulaient très souvent avec une poignée de députés votant pour l’ensemble de leur groupe. Or, aux termes du Règlement de l’Assemblée, un député ne peut voter que pour un seul autre député. Deux députés du groupe FN, membres du Bureau de l’Assemblée, demandent, comme ils en ont le droit, au Président de la Séance d’appliquer le Règlement de l’Assemblée. Ce dernier ne donnant pas suite à leur demande et laissant se poursuivre le vote, les Députés FN bloquent le vote d’un Député de « permanence » prétendant voter – en toute illégalité – pour l’ensemble de son groupe.

Quelques années après, Philippe Séguin, Président de l’Assemblée Nationale, rétablira l’obligation de respecter le Règlement… Mais nous n’avons pas vu la « grande presse »  « politiquement correcte » faire amende honorable de cette campagne calomnieuse !

Le Front National n’a jamais inscrit dans son programme, ni dans aucun document officiel un quelconque texte antisémite.

Au terme de mon parcours politique, je souhaiterais que justice soit enfin rendue au Front National présidé par Jean-Marie Le Pen. Nous avons eu le courage et le mérite d’alerter sur les dangers qui menaçaient la France, en particulier sur l’immigration qui n’était pas assimilable.

Nous avons un regret plus ancien que Jean-Marie Le Pen partage : celui de n’avoir pu empêcher les massacres et les enlèvements perpétrés par le FLN, y compris après l’indépendance.

En cette période marquée par le pogrom dont ont été victimes les civils israéliens, nous gardons le souvenir de la tragédie du 5 juillet 1962 quand des milliers de femmes, enfants, vieillards (et, parmi ces pieds-noirs, de nombreux juifs) ont été massacrés ou réduits en esclavage avec la complicité des autorités françaises. Le Président de la République ayant interdit à l’armée de sortir de ses casernes, en contradiction avec les garanties des « Accords d’Évian ».

Parmi les officiers qui désobéirent, rappelons-nous ce lieutenant FSNA (Français de souche nord-africaine) qui fit ouvrir les porte de sa caserne.

Source : Le Salon Beige

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Gilles-William Goldnadel versus Bernard-Henri Levy

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Michel Festivi 

A l’image de la société française, la communauté juive est également fracturée, divisée. A l’instar de nos élites sclérosées qui se refusent à voir le réel et de nommer les choses telles qu’elles existent, les élites de la communauté juive française, se partagent entre l’aveuglement et la clairvoyance.

Ainsi, Gilles-William Goldnadel  vient de déclarer dans une tribune du Figaro Vox du 13 novembre : « A quoi bon manifester si l’on s’interdit de nommer les responsables de l’antisémitisme ? ». Présent à la manifestation de dimanche dernier, et ce malgré beaucoup d’hésitations, à cause dit-il de son écœurement sur « la polémique surréaliste sur le RN » et par le mot d’ordre niais et hors sol de cette manifestation : « contre l’antisémitisme et pour la République », il a finalement, et au dernier moment, opté pour sa participation.

S’il a rencontré dit-il « un peuple français de toutes origines ou presque, des juifs mais autant de chrétiens ou d’agnostiques... la vérité m’oblige à dire...que je n’y ai pas aperçu beaucoup de musulmans, si ce n’est une délégation de mes chers Kabyles. »

Mais GWG n’élude en aucune façon les tares originelles de cette manifestation, « le saboteur en chef fut le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran », par ses propos d’un « vulgaire niveau politicien », contre le RN. J’ajouterai qu’Elizabeth Borne comme à son habitude a tenu des boniments scandaleux sur le RN, comme Gérard Larcher et Yaël Braun-Pivet aussi, qui ne sont pas à leurs honneurs et qui démontrent leur incurie totale et leur haine de tout ce qui est défense de la Nation. 

GWG pointe du doigt et avec justesse, le CRIF, qui « décida de mettre à l’index le parti patriote ». GWG nous expose que selon lui, la base de cette organisation, et notamment celle de province, ne serait pas en osmose avec Paris. Qu’elle le crie donc haut et fort et qu’elle le fasse savoir urbi et orbi !

GWG, et c’est tout l’intérêt de sa chronique, fustige les positions du CRIF qui fantasme sur le « péril de l’extrême droite », ignorant totalement « l’alliance mortifère entre l’extrême gauche et l’islamisme ». Et d’enfoncer utilement le clou : « La conséquence la plus funeste de cette cécité aura été de s’abstenir de résister à un phénomène migratoire massif et invasif dont les juifs français sont les premières victimes dans leur chair », j’ajouterai les français tout simplement.

Car pour GWG c’est entendu : « Les maux sont pourtant bien connus. Ils se nomment l’antisémitisme islamiste et l’extrême gauche complice, j’eusse voulu les entendre crier lors de cette manifestation qui n’aurait pas dû être qu’un défilé compassionnel. »

A rebours, à l’opposé, l’aveugle Bernard-Henri Levy, notre inénarrable philosophe à la blanche chemise, qui se répand sur tous les plateaux de radios et de télévisions pour présenter son dernier film sur l’Ukraine qui passera à la télévision publique, donc grâce à nos sous. Les derniers, pourtant financés par les deniers des contribuables, n’ont eu que de très faibles succès en salle, et le film produit par le Puy-du-Fou sur l’Histoire héroïque de Charrette, les a pulvérisés en nombre d’entrées. Mais le Puy-du-Fou n'a pas eu lui de financements publics, cherchez l’erreur.

BHL comme à son habitude pérore sur tout et commence par se passer la rhubarbe c’est effectivement ce qu’il sait le mieux faire, d’autant que les journalistes lui tendent le séné à profusion. Il n’a rien trouvé de préférable, cette icône des milieux germanopratins, de la gauche dégoulinante de caviar, que de traiter Jordan Bardella « d’antisémite ». Pour quels propos ? Lui-même serait bien incapable de le préciser. Mais tout patriote, selon sa grille de lecture est forcément « un antisémite ». Il est l’adepte du « je tire d’abord et je vois ensuite. »   

Jordan Bardella aurait émis la volonté de porter plainte en diffamation, j’espère qu’il le fera et que BHL sera condamné à la juste peine que mérite cette infamie. Même si BHL a indiqué dans cet interview sur le TV mag du Figaro, que « Bien sûr l’antisémitisme vient de l’extrême gauche », c’est plus fort que lui, toujours ses coups les plus durs sont réservés aux patriotes, ce qui en réalité est fait exprès pour se dédouaner à peu de frais du non politiquement correct qu’il instille à doses homéopathiques, et continuer ainsi sa voie dans ce milieu parisien totalement acquis aux thèses de l’extrême gauche.

En tout cas, pour moi, il n’y a pas photo. Entre des propos impeccables et clairs, nets et précis de GWG, et le brouillamini imbuvable et abscond d’un BHL qui veut tout confondre et tout mélanger, j’ai choisi, et depuis fort longtemps. GWG 1, BHL 0.

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Vous avez dit décroissance ?

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A l’heure même où le conflit israélo-palestinien risque d’embraser la planète entière, il est un autre mal tout aussi dangereux qui nous guette : l’enjeu écologique et la nécessité de mieux maîtriser nos besoins énergétiques. Car l’énergie, c’est le fondement même du développement de nos sociétés. Voici des années que Jean-Marc Jancovici tire  la sonnette d’alarme. Et cette maîtrise nécessaire a un nom qui évidemment fait peur aux libéraux : décroissance. Qu’en est-il exactement ? Pour répondre à cette question Le Figaro a organisé un dialogue entre Jean-Marc Jancovici, ingénieur et président du Shift Project et Bertrand Piccard, le président de la fondation Solar Impulse. Largement de quoi réfléchir.

Lire la uite ICI

Source : Le Figaro 30/10/2023

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Ne pas oublier, il y a 5 ans : le Bataclan

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Alexandre Simonnot, Délégué général du Parti de la France
 
Il y a aujourd’hui 8 ans, le vendredi 13 novembre 2015, d’abominables islamistes abattaient froidement au Bataclan et dans nos rues d’innocentes victimes.
 
Cette tuerie a été la conséquence directe de la folle politique d’immigration pratiquée en France depuis des décennie et qui a engendré l’islamisation toujours plus forte de notre Nation.
 
N’oublions pas les victimes du 13 novembre 2015, que leur mort ne reste pas sans prise de conscience.
 
Face à ce danger mortel de l’islamisme pas de bougies ni de grande marche ! Ce qu’il faut c’est la mise en œuvre d'une grande remigration, le rétablissement de nos frontières et rendre aux Français la sécurité, première de leurs libertés !
 
NDLR SN : Lire aussi, cet émouvant article de Patrick Jardin publié sur Riposte laïque cliquez là

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lundi, 13 novembre 2023

Les dérives de l’éducation sexuelle des enfants : l’école, une machine à détruire ?

Partout sur les plateaux télé, à la radio ou dans la presse écrite, « on » se plaint de l’effondrement intellectuel des enfants à l’école, dans les collèges, dans les lycées. Et si cet « effondrement » était voulu, permis, organisé ? Éducation à la puberté, éducation sexuelle, sexualisation des enfants. Les spécialistes de l’enfance s’accordent à dire qu’aborder trop tôt cette question intime chez l’enfant a des conséquences catastrophiques sur leur développement moral, psychologique et intellectuel.

« On ne peut pas donner des réponses à des questions que les enfants n’ont pas posées. »

Selon Cécile Edel, psychologue clinicienne que nous avons interviewée, « cet enseignement à la sexualité beaucoup trop prématuré fait “effraction” dans le psychisme. […] Il y a alors un blocage de toute la sphère intellectuelle. » L’enfant, « face à un traumatisme, n’est plus capable d’élaborer psychologiquement, n’est plus capable de faire marcher son intellect. Il y a une sorte de mutisme, de sidération mentale. […] Donner des réponses à des enfants sur la sexualité avant même qu’ils aient posé la question, ça peut être très grave. » Les spécialistes de l’enfance s’accordent à dire que « la sexualité est une pulsion qu’on ne peut pas éveiller trop tôt. […] Il ne faut pas s’étonner qu’après, il y ait des troubles du comportement, avec des pulsions très fortes, de la violence même. »

Reportage par Armel Joubert des Ouches, reporter au magazine Nexus.

Avec les interventions de Christelle Comet des Mamans Louves, et de parents concernés.

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Source : magazine Nexus

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Aux larmes citoyens !

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Le billet de Patrick Parment

Parce qu’en politique faut jamais rater un bon coup, cochonnet Gérard Larcher, président du Sénat et sa copine Yaël Braun-Pivet, son homologue à l’Assemblée nationale, avaient appelé dimanche dernier à une grande manifestation contre l’antisémitisme. La raison en était très simple, suite au conflit plus que sanglant entre Palestiniens et Israéliens, des tags antisémites sont apparues sur les murs des immeubles un peu partout en France. Une forme d’expatriation du conflit dans notre pays qui compte 10 millions d’immigrés dont une grande majorité a pour religion l’islam. Aux tags se sont rapidement ajouté les commentaires divers et variés sur ce qu’on appelle les réseaux sociaux. Il n’en fallait pas plus pour que les instances juives de France se sentent menacés et appellent l’Etat français et tout la clique politique à réagir au retour de ces jours, lointain, « les plus sombres de notre histoire ». Et tout ce petit monde est donc descendu dans la rue non sans se boucher le nez. La gauche n’entendait pas défiler aux côtés du Rassemblement national et les Insoumis du camarade Mélenchon ont organisé de leur côté leur propre tambouille.

A Paris, on a pu assister à un spectacle inédit où, en tête de cortège, la mine sombre, se côtoyaient aussi bien Nicolas Sarkozy que François Hollande, Larcher, Braun-Pivet, Elisabeth Borne, politicards de gauche, de droite et syndicalistes tous unis derrière une banderole « Pour la République, contre l’antisémitisme ». Emmanuel Macron a estimé qu’il n’était pas dans son rôle de manifester – comme le fit Mitterrand avec Carpentras – et s’est contenté d’une lettre de soutien dans la presse. Fort heureusement, au-delà des insultes, la communauté juive française n’a pas eu à déplorer d’actes graves mettant en danger les personnes.

Mais cette manifestation de bonne foi de la part de nos concitoyens, juifs ou non, mérite quelques remarques concernant nos politiques qui conspuent depuis des décennies, hier le Front national de Jean-Marie Le Pen, aujourd’hui le Rassemblement national, premier parti de France, au motif d’un antisémitisme présumé mais surtout d’avoir dénoncé depuis belle lurette les méfaits de l’immigration. C’est bien grâce au laxisme et à la lâcheté de notre classe politique en matière d’immigration que la France se retrouve divisée comme jamais. C’est bien cette gauche qui a détruit l’école et mis en cause le roman national qui était le garant même de notre appartenance à une communauté de destin, qui est responsable de la fracture française. Quant à l’antisémitisme, la gauche n’a pas de leçon à donner sur le sujet tant sa barque est chargée. L’antisémitisme de la soi-disant extrême droite - faut creuser pour le trouver -, car il est largement représenté par ces immigrés radicalisés qui vouent une haine féroce à la République et aux juifs de France et d’ailleurs.

Notre drame aujourd’hui, c’est bel et bien de savoir de quoi nous parlons quand, avec des trémolos dans la voix, on prononce le mot France. C’est quoi la France en 2023 ? Cette France, c’est celle que vous les politicards avez laissé partir à la dérive en détruisant tout ce qui faisait le ciment national :  l’école, l’armée, la justice. Qui a détruit notre tissu industriel et donc nos emplois, si ce n’est vous les politicards de gauche comme de droite qui ont remis les clés de notre destin entre les mains d’énarques irresponsables ?  Qui a cédé au patronat l’emploi d’immigrés, histoire de bénéficier d’une main d’œuvre bon marché et surtout de faire pression sur les syndicats ? Encore vous ! La France d’aujourd’hui, fabriquée par vous les politicards, c’est une minorité qui s’enrichit honteusement sur le dos de la classe moyenne avec la bénédiction du pouvoir depuis Mitterrand, c’est une classe moyenne qui ne cesse de s’appauvrir et c’est une France des immigrés qui survit avec les petits boulots et les trafics.

La voilà la France de vous tous qui défilez au nom de maux que vous avez-vous-mêmes fabriqué.

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Ukraine, Israël : l’explosion du vieux monde ? avec Caroline Galactéros

Les mois défilent et le monde s’embrase devant un Occident à la dérive. La guerre en Ukraine, lancée en 2014 et mise en lumière le 24 février 2022 à l’occasion de l’entrée des troupes russes dans le pays, a ouvert une séquence chaotique où les pays qui servaient naguère de repère montrent à chaque occasion leur inconséquence.

À l’est, les avancées de l’OTAN toujours plus près de Moscou n’avaient qu’une issue possible face à cet élan : une réponse dure de la Russie, soucieuse de mettre dans le même temps un terme aux vexations à l’égard des populations du Donbass. Dans cette séquence, les pays européens ont inexorablement emboîté le pas aux États-Unis dans une dynamique quasi suicidaire qui met à mal leur économie et leur crédibilité, sous l’impulsion d’une Ursula von der Leyen totalement hors de contrôle depuis la séquence du Covid-19. Comme l’avaient prévu les spécialistes indépendants, l’Ukraine est désormais à genou, dépeuplée de ses hommes hachés par des combats auxquels la propagande médiatique occidentale les a contraints.

Face à ce bourbier, la résurgence du conflit au Proche-Orient entre Israël et la Palestine arrive à point nommé pour Washington qui, non sans cynisme, bascule d’un théâtre de guerre à l’autre comme si la défaite ukrainienne ne lui incombait pas. Depuis le 7 octobre et l’attaque terroriste du Hamas en Israël, la riposte de Tel-Aviv frappe les habitants de Gaza sans discontinuer. Sidéré par un terrorisme de la pensée imposé par un complexe politico-intellectuel, l’Occident déroule sa lecture erronée de la situation et l’Europe brille par son absence. La France, elle, semble à présent avoir été dépossédée de sa voix (et de sa voie) singulières.

Caroline Galactéros, docteur en science politique, géopolitologue, présidente du think-thank Geopragma et auteur de "Vers un nouveau Yalta", publié chez Sigest (disponible ICI) nous livre avec courage son analyse et plaide pour un réalisme politique aux conséquences plus humaines que les croyances des idéologues au pouvoir.

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dimanche, 12 novembre 2023

QUE DIRE DE PLUS ?

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Des décennies durant, l’oligarchie dominante a encouragé l’immigration massive.

Aujourd’hui, la France en subit les conséquences, et, toute honte bue, les pyromanes découvrent que le feu peut brûler

Pourtant, pendant tout ce temps, la Droite nationale n’a jamais cessé de sonner le tocsin comme le rappelle le hors-série n°7 de notre revue Synthèse nationale, à lire et à diffuser largement !

Synthèse nationale

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Alain Escada : Les liens entre Israël et le Hamas

Intervention d'Alain Escada dans l'émission Israël / Palestine : L'indignation à géométrie variable. Émission organisée par TV-ADP. Le Monde et Nous. Avec Alain Escada, Morad El Hattab, Jacky Cassou et Eric Montana. Le conflit israëlo-palestinien.

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Bruno Gollnisch prend la défense de Jean-Marie Le Pen et rappelle quelques vérités que la classe poltico-mediatique ne veut pas admettre

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Source Le Salon beige cliquez ici

La gauche est très forte car elle a réussi à écarter du débat actuel sa propre responsabilité dans la montée de l’antisémitisme en France en raison de la folle politique d’invasion migratoire menée, avec la duplicité de la fausse droite, durant ces 40 dernières années tout en ramenant le débat autour de l’antisémitisme supposé de Jean-Marie le Pen et du FN. Constatant que personne au RN ne semble avoir le courage de défendre le fondateur du parti, Bruno Gollnisch a pris sa plume pour commenter cette actualité :

“La répétition incessante des mêmes éléments de langage finit par accréditer comme une vérité irréfragable que le Front national, et son fondateur et Président Jean-Marie le Pen, auraient été antisémites. Cette propagande finit même par impressionner des commentateurs de bonne foi, ou de jeunes cadres et adhérents du RN, qui n’ont naturellement qu’une connaissance récente du Mouvement auquel ils doivent leur situation actuelle.

Mais cette affirmation est fausse. Être antisémite, ce n’est pas avoir tenu tel ou tel propos toujours les mêmes, et sortis de leurs contexte sur l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale ou en réponse à un ministre malveillant. C’est vouloir nuire aux Juifs, les accuser, les discriminer, les combattre, parfois de façon violente voire atroce.

Or, que ce soit dans le programme précis et exhaustif du FN, ou dans les dizaines de milliers de pages que constituent les discours de Jean-Marie Le Pen, des dirigeants du Front national, de ses élus parlementaires nationaux, européens ou locaux, on chercherait en vain la moindre incitation à discriminer les Juifs ou à leur nuire, non plus d’ailleurs qu’à l’encontre de quelque citoyen français que ce soit en fonction de son origine ou de sa religion.

Jean-Marie Le Pen a été volontaire pour combattre aux côtés d’Israël en 1956 (affaire de Suez). Militaire, il a protégé des Juifs en Algérie. Le Front national a manifesté contre la venue de Yasser Arafat à Paris lorsque celui-ci n’avait pas encore renoncé au terrorisme. Plusieurs Compagnons de la Libération, d’innombrables médaillés de la Résistance ou de la Légion d’Honneur étaient membres du FN. Le Front national comportait un Cercle national des Français juifs, fondé par Robert Hemmerdinger, médaille de la Résistance, commandeur de la Légion d’Honneur, Conseiller régional FN d’Île de France. Il y avait au Front national des Français juifs patriotes parmi les élus, les éditorialistes, et les dirigeants.

Certes, le Front national, diabolisé par intérêt, a été en butte à des calomnies récurrentes, qui ont culminé avec l’incroyable manipulation de Carpentras, où il a été faussement accusé d’avoir profané une tombe au cimetière juif de cette ville. Mais la répétition des mêmes mensonges n’en fait pas une vérité. Il est intéressant de constater d’ailleurs que certaines personnalités juives, de gauche ou non, qui attaquaient le FN à cause de sa position restrictive sur l’immigration, tiennent aujourd’hui un discours proche de celui qu’ils vilipendaient naguère.

En cette heure où le sectarisme de certains affaiblit la nécessaire solidarité nationale, il est plus utile que jamais de la renforcer en rétablissant la vérité.”

Lire aussi : la déclaration de Jean-Marie Le Pen du 18 septembre 1987 suite à la polémique sur "le détail" : cliquez là

13:15 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 11 novembre 2023

Il y a 40 ans, le 10 novembre 1983 : décès de Maurice Gaït

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Maurice Gaït est né en 1909 à Marseille.

Élève de l’École normale supérieure, en 1928, il y est le condisciple de Maurice Bardèche, de Robert Brasillach, de Thierry Maulnier, de Jean Nocher et de René Château. Il en sort agrégé de philosophie.

Il collabore à La Flèche de Gaston Bergery qui, en été 1940, est membre du Comité d’organisation chargé de définir les bases d’un Parti national unique. Bergery rédige une partie du message radiodiffusé du maréchal le 11 octobre 1940 où ce dernier propose aux Français d’adhérer à un ordre nouveau et à une collaboration réciproque avec l’Allemagne.

Il rédige aussi, avec Emmanuel Berl, « l’appel aux travailleurs » du maréchal Pétain.

En 1942 et 1943, Maurice Gaït est directeur du cabinet d’Abel Bonnard, ministre de l’Éducation nationale, puis commissaire général à la Jeunesse à partir de 1944.

Il est une des rares personnes à avoir le courage de rester auprès de Pierre Laval  jusqu’à la dernière heure avant son départ pour l’Allemagne le 17 Août 1944.

Incarcéré et poursuivi pour son implication dans l’État Français, il bénéficie d’un non-lieu le 18 novembre 1947.

Il publie en 1948, aux éditions des Gazettes Le manifeste des inégaux sous le pseudonyme de Fabricius Dupont.

Après avoir dirigé La Fronde, il se joint à l’équipe de l’hebdomadaire Rivarol fondé en janvier 1951 par René Malliavin. Maurice Gaït en est le rédacteur en chef et l’éditorialiste à partir de 1973 jusqu’à sa mort en 1983.

Il décède le 10 novembre 1983.

 

NDLR - SN : Jeune militant nationaliste, j'ai eu plusieurs fois l'occasion de rencontrer Maurice Gaït. C'était un homme impressionnant par sa culture et sa fidélité à l'idéal qui nous anime. Il était, d'une certaine manière, un "homme de synthèse". Hélas, aujourd'hui, il est tombé dans l'oubli. Remercions le site Jeune Nation d'avoir rappelé, en ce quarantième anniversaire de sa disparition, qui était Maurice Gaït.

R H

19:21 Publié dans Nous avions un camarade..., Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

11 novembre :

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13:20 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Espagne : Un fondateur de Vox victime d’un attentat par balle à Madrid.

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Michel Festivi 

Quartier de Salamanque à Madrid le 9 novembre dans l’après-midi. Alejo Vidal-Quadras (photo ci dessus), 78 ans est grièvement blessé par le tir d’une arme à feu provenant d’un individu passager arrière d’une moto dans la plus pure tradition des attentats terroristes, il serait descendu de cette moto noire pour lui tirer dessus à bout pourtant.

Vidal-Quadras est catalan, il a longtemps milité au PP (centre-droit) et a été en Catalogne le Chef de ce Parti. En 2014 il a été l’un des fondateurs de Vox, même s’il s’en est éloigné depuis. Il est en tout cas un farouche adversaire de l’indépendance de la Catalogne. Il écrit toujours des chroniques dans un média de centre-droit : Vozpopuli.

Les lecteurs le savent, l’Espagne est actuellement en proie à d’importances manifestations contre l’amnistie et l’indépendance de la Catalogne voulues par Sanchez pour obtenir les voix de Junts, parti indépendantiste Catalan.

Santiago Abascal, le patron de Vox a déclaré : “Une période noire commence dans l’histoire de l’Espagne, aujourd’hui un coup d’état contre la Nation a été lancé.", en visant la politique de Pedro Sanchez. Les manifestations sont fortement réprimées par le ministre de l’Intérieur Fernando Malaska et ce pour discréditer les manifestants, souvent jeunes et très remontés contre l’éclatement du pays, au seul profit des gauches et de l’extrême gauche.

Mais qui est à l’origine de cet attentat terroriste ? La victime a vu sa mâchoire brisée, mais heureusement, ses jours ne seraient plus en danger. Physicien de formation, ancien professeur d’université, il a été élu au parlement de Catalogne, puis au Sénat en 1995 et au Parlement européen en 1999 pour le PP. Il fait figure d’opposant drastique aux indépendantistes catalans.

Alors, des extrémistes indépendantistes catalans ? Mais autre piste est évoquée, car c’est un opposant au pouvoir iranien, il participe régulièrement aux colloques de l’opposition aux islamistes d’Iran. Il aurait sur son lit d’hôpital avancé cette hypothèse. Donc restons prudent. Mais en tout cas et quelques que soient les auteurs de ce crime, L’Epagne vit des périodes qui ressemblent aux années 1930, où des opposants aux gauches se faisaient régulièrement abattre dans les rues de Madrid et des principales villes du pays.

Une chose est sûre aussi, qu’un homme de droite reçoive une balle en pleine tête à Madrid, n’a pas beaucoup ému les médias français et européens. Imaginons l’inverse. En tout cas, aucune radio, aucune télévision d’État en France n’en a parlé.

12:28 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vers un vivre-ensemble autoritaire ?

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Mathieu Bock-Côté

Sur le plan religieux, pour ne pas donner l’impression de cibler l’islam, plusieurs soutiennent qu’il faut faire preuve d’une égale vigueur à l’endroit de toutes le religions, comme si chacun  posait les mêmes problèmes. On trouve toujours pour cela de vieilles ou nouvelles gloires pour expliquer que la grande querelle de notre temps serait encore celle entre « laïcité » et la « religion ».

Lire la suite ICI

Source : Le Figaro 11/11/2023

09:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La « voie sacrée » de l’unité

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Etienne de Montety

Lazare Ponticelli, le dernier poilu de 14-18, est mort en 2008. Avec lui, la guerre de 14a quitté le champ de la mémoire de nos pères pour entrer dans l’histoire par la grande porte – l’Arc de triomphe. Cela ne la prémunit en rien contre l’oubli ou la confusion : le siège de Verdun est-il un jour promis dans l’esprit de nos descendants  au sort incertain d’Alésia ?

Conscient de ce risque, notre époque multiplie les initiatives afin de cultiver ce passé qui s’éloigne. Et c’est heureux. Ravivage de la flamme, hommage au Soldat inconnu, tradition du bleuet de France, autant d’initiatives anciennes ou récentes pour perpétuer de la façon la plus vivante possible ces années où un pays entier fut comme jamais mobilisé, ses fils en armes, son économie mise en ordre de bataille; avec pendant ces mois de combats et de souffrances un seul but, traduit en une formule : « La ligne bleue des Vosges», c’est-à-dire le retour de l’Alsace et de la Moselle dans le giron national. Évidemment, l’heure n’est plus à la guerre avec l’Allemagne – une autre guerre est passée par là, qui a été suivie par plus de soixante-dix ans de gestes de réconciliation, pour panser les plaies. Aujourd ‘hui, c’est en Ukraine ou en Israël que des citoyens, hommes et femmes, sont engagés pour la défense de leur nation, parce qu’ils savent que sa survie l’exige.

Reste que la Grande Guerre nous a laissé des images, celle de la mobilisation générale, celle de la ténacité et des sacrifices, mais aussi celle de l’Union sacrée – fut-elle imparfaite et fragile pendant les quatre années de conflit. Rétrospectivement, la France de l’époque offre un exemple de cohésion au milieu des périls.

Il y a certainement dans cette histoire des leçons à méditer à l’heure où notre pays est déchiré par les querelles partisanes et les postures personnelles (que l’on songe aux dissensions entourant la manifestation contre l’antisémitisme qui aura lieu dimanche).

Sommes-nous encore en mesure de choisir nous aussi la « voie sacrée » de l’unité, tandis que point le danger de la dislocation de notre communauté nationale ?

Source : Le Figaro 11/11/2023

09:17 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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vendredi, 10 novembre 2023

Concert de Jean-Pax Méfret à Lyon Dimanche 14 janvier 2024

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Concert exceptionnel de Jean-Pax Méfret à Lyon ! 

Dimanche 14 janvier 2024 de 16h00 à 20h00.

Réservez vos places ICI 

16:29 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Arméniens abandonnés avec Benjamin Blanchard à Lyon le 17 novembre 2023

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Vendredi 17 novembre, Benjamin Blanchard, directeur général de SOS Chrétien d’Orient, donnera une conférence sur l’Artsakh et la mission de son ONG en Arménie.

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Espagne : le socialiste révolutionnaire Pedro Sanchez va être nommé Premier ministre

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Michel Festivi 

« L’Espagne a perdu, et les séparatistes gagnent grâce à leur chantage », vient de déclarer le chef du Parti populaire Alberto Nuñez Feijoo, et Santiago Abascal, le leader de Vox s’est écrié : « le début de la fin de la démocratie en Espagne ».

Depuis qu’il a été désigné par le Roi Felipe VI, pour aller à l’investiture, Pedro Sanchez a obtenu sans mal l’accord de l’extrême-gauche chaviste Sumar représentée par Yolanda Diaz. Il a ensuite passé des accords avec les séparatistes catalans de gauche, L’ERC. Avec les Basques aucune difficulté non plus, les anciens de l’ETA, Bildu ont donné leur assentiment comme le Parti Nationaliste Basque en totale perdition d’ailleurs. Restait le parti indépendantiste Catalan, Junts (Ensemble), dont les 7 députés sont indispensables pour que Sanchez obtienne cette fameuse majorité absolue de 176 sièges.

C’est fait, cela vient d’être signé ce jeudi. Après des tractations intenses depuis Bruxelles, car le chef, Carles Puigdemont y est exilé avec ses lieutenants pour échapper à la justice espagnole, un accord a été trouvé. La loi d’amnistie qu’exigeait Junts pour soutenir Sanchez a été acceptée par ce dernier. Elle va concerner des milliers de personnes qui avaient attenté à la Constitution espagnole en organisant en 2017, en Catalogne, un référendum totalement illégal.

L’accord prévoit aussi un futur référendum sur l’indépendance de la Catalogne, puisqu’il précise que des négociations portant sur : « la reconnaissance de la Catalogne comme Nation », vont se dérouler. Quand on connait les coups de boutoirs permanent que sait donner Junts en n’ayant de cesse de demander toujours plus, et la faiblesse de Sanchez prêt à toutes les compromissions pour conserver pendant 4 ans encore le pouvoir, on peut penser sans être prophète, que Puigdemont saura rappeler à Sanchez que sans ses 7 députés, il n’a pas la majorité.

Mais aussi, Sanchez a promis d’effacer les dettes de la Catalogne à l’égard de l’Etat central, ce qui représente des sommes considérables, et de donner à cette région des infrastructures comme celles des chemins de fer par exemple.

Le pays est en proie actuellement à des troubles importants. Des manifestations quasi quotidiennes ont lieu dans tout le pays pour s’opposer à ce démantèlement de l’Espagne. Des violences commencent à apparaître, l’Espagne est en voie d’éclatement. Des régions demandent aussi les mêmes faveurs que celles concédées à la Catalogne, et d’autres régions sans aucun doute vont vouloir aussi leur indépendance. Des manifestants, souvent très jeunes scandent des propos hostiles contre Sanchez, mais aussi parfois contre le Roi qui n’a pas su défendre la Constitution.

Plusieurs associations judiciaires, comme celles des Procureurs, sont montées au créneau pour pourfendre cet accord qui va bafouer les décisions de justice rendues, et qui heurtent de plein fouet la séparation des pouvoirs, déjà très ténue en Espagne où les tribunaux, notamment supérieurs sont quasiment aux mains du pouvoir politique.

C’est ce qu’a voulu dire Santiago Abascal par sa déclaration. En tout cas l’encre de l’accord n était pas encore sec que Puigdemont a déjà averti que la stabilité du prochain gouvernement dépendrait de l’avancée des négociations sur le référendum « Sans accords, sans respect de l’accord, la législature n’aura pas d’avenir » a-t-il lancé depuis Bruxelles.

Une fois la loi d’amnistie votée, Puigdemont et sa clique devrait revenir à Barcelone. Le PP et Vox appellent de nouveau à des manifestations dans tout le pays. L’Epagne de plus va mal, elle a le taux de chômage l’un des plus fort de la zone euro, même s’il a baissé grâce à la possibilité de faire des emplois très précaires, notamment dans l’agriculture et le tourisme. L’immigration est en hausse vertigineuse.

Sanchez, qui depuis juillet dernier préside théoriquement l’Europe, n’a strictement rien fait, les institutions européennes sont d’ailleurs totalement taisantes sur les atteintes à la démocratie qui se passent en ce moment en Espagne. De plus coincé par son extrême-gauche Mélenchoniste ou Chaviste, Sanchez a refusé de qualifier le Hamas d’organisation terroriste. Son seul but, son seul objectif c’est de se maintenir au pouvoir par tous les moyens, et tant pis pour l’Espagne et les Espagnols.

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Les grandes manœuvres outre-Rhin

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Les prochaines élections législatives allemandes se dérouleront à l’automne 2025. Toutefois, depuis la retraite de leur nourrice en chef, la mère Merkel, les Allemands assistent à des bouleversements considérables.

Le chancelier social-démocrate Olaf Scholz a le privilège inédit de diriger une alliance tripartite, la « Coalition tricolore » (rouge pour la sociale-démocratie, vert pour les Grünen et jaune pour les libéraux). Dès le départ, cette entente se montre fragile du fait des profondes divergences entre les Verts et les libéraux. Les premiers, dépensiers, s’opposent aux seconds, tenants de l’austérité, du désendettement et de la « règle d’or » budgétaire. Les tensions internes s’avivent en raison d’une crise socio-économique croissante.

Le recours à la dissolution du Bundestag est rare outre-Rhin. Son dernier usage en 2005 vit la défaite de Gerhard Schröder et la victoire de Merkel. En outre, les politiciens allemands n’y sont guère favorables. La guerre en Ukraine, les sanctions économiques contre la Russie, le problème énergétique dû à la fermeture de toutes les centrales nucléaires et des mesures écologiques coercitives mécontentent l’opinion publique. En recul de 2,3 % en 2021 par rapport à 2017 (12,64 %), l’AfD (Alternative pour l’Allemagne) connaît maintenant une réelle popularité et pas seulement dans les sondages. Les élections régionales du 8 octobre dernier en Bavière et en Hesse (dont sa principale métropole, Francfort, représente la ville cosmopolite par excellence) confortent son ancrage historique à l’Ouest (18,44 % en Hesse et 14,65 % en Bavière). Ministresse fédérale sociale-démocrate de l’Intérieur qui persécute tout ce qui est national comme, par exemple, en septembre 2023, la perquisition et l’interdiction du mouvement païen odiniste des Artgemeinschaft, de leur association familiale et de leur revue, Nordische Zeitung (« Journal nordique »), Nancy Faeser, ne récolte que 15,09 % aux élections en Hesse, ce qui ne l’empêche pas de conserver son poste.

L’opposition patriotique ne se cantonne plus aux seuls Länder orientaux de l’ancienne République démocratique allemande. Ses succès électoraux se produisent malgré les campagnes massives de dénigrement politico-médiatique et les incroyables violences judiciaires perpétrées contre elle. Les services régionaux de protection de la Constitution de 1949 - comprendre une police des pensées, des opinions et de la parole – la surveillent avec attention. Sa figure de proue en Thuringe, Björn Höcke, se retrouve poursuivi parce qu’au cours d’une réunion électorale, il a lancé : « Tout pour notre patrie, tout pour l’Allemagne », ce qui serait une allusion implicite aux « heures-les-plus-sombres-de-l’histoire »...

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02:21 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les complices du Hamas sèment la terreur, mais le Conseil d'Etat confirme la dissolution de l'Alvarium

alvarium-angers-7f25b1-0@1x.jpgUn communiqué de

l'Alvarium (Angers) :

Nous apprenons à l'instant la confirmation de notre dissolution par le Conseil d'Etat, tandis que malgré des violences nombreuses et avérées les Soulèvements de la Terre obtiennent gain de cause. Jusqu'alors discrets sur la procédure qui s'est déroulée depuis 2 ans, nous reviendrons prochainement en détails sur ce simulacre de Justice qui foule aux pieds l'Etat de droit dont se réclame sans cesse le régime.

Lors de la première audience en septembre 2022, le rapporteur public concluait à l'annulation du décret de Gérald Darmanin. Point par point, il réfutait que l'Alvarium était une organisation commettant des provocations incitant à la haine ou à la violence justifiant sa dissolution.

De manière rarissime, une note en délibéré du Gouvernement n'ajoutant rien de nouveau au dossier avait provoqué une seconde instruction. Et là, comme par miracle, le même rapporteur public a conclu en octobre 2023 à la validité du décret de Darmanin, se basant sur une "note des services de renseignement" à laquelle la défense n'a pas eu accès ; en bon français on appelle cela céder à une pression politique.

La décision du Conseil d'Etat publiée ce jour ne vise ni le contenu de la première audience, ni la note en délibéré, ni la note de renseignement : rien. Elle se contente de dire que notre dénonciation de l'immigration "excède les limites de la liberté d'expression politique" alors que lors de son existence aucun communiqué de l'Alvarium ni aucune campagne n'ont donné lieu à une quelconque condamnation. En clair, c'est la dénonciation du lien (fait par Darmanin lui-même !) entre immigration et insécurité qui est ici criminalisée. Décrire le réel est officiellement interdit. Demain la dissolution du RN, de Reconquête, et même du parti présidentiel ?

Cette grave dérive liberticide confirme que le pouvoir macronien ne tolère aucune contestation en dehors des violences caricaturales de l'extrême-gauche et de la mascarade électorale à laquelle 1 français sur 2 refuse désormais de participer.

02:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 09 novembre 2023

Point de vue : Jean-Claude Rolinat n'ira pas manifester dimanche et il explique pourquoi

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POURQUOI  JE  N’IRAI  PAS  MANIFESTER LE  DIMANCHE  12  NOVEMBRE 2023

Les présidents des deux assemblées législatives françaises ont décidé d’organiser une manifestation contre l’antisémitisme. Fort bien. Bravo ! Mais, quand on voit toutes ces précautions verbales, toutes ces exclusives prononcées par les uns et les autres, - des syndicats comme des partis politiques -, on en déduit qu’il y a une forme d’apartheid qui s’exercerait entre de « bons » et de « mauvais » Français. C’est proprement INACCEPTABLE !

De quels droits de petits juges politiciens décident qui  peut légitimement  s’indigner,  protester contre l’ignominie ? Dans ces conditions, se prêter à cette mascarade, à cette « kermesse » qui en rappelle d’autres, – Carpentras, Charlie…-, n’est pas conforme à ma conception de l’union dans la fraternité française. Cette palinodie est indigne de la cause que l’on prétend défendre. En tout cas, elle n’est pas propice à l’émergence d’une paix que l’on espère, un jour, durable, entre une Palestine LIBRE et un Etat d’Israël vivant en SECURITE, côte à côte.

Jean-Claude Rolinat,

écrivain, ancien élu francilien,

membre du Bureau national du PdF

17:50 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Serge Klarsfeld adresse une volée de bois vert aux Braun-Pivet, Gérard Larcher et autres Olivier Véran, et c’est assez jouissif.

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Michel Festivi 

Décidemment on a les politiciens les plus hypocrites du monde, pour rester dans les limites de la bienséance. Parmi les plus incommensurables, on retrouve les trois cités ci-avant, l’un des plus teigneux est sans doute Olivier Véran, mais dans l’aplatissement devant le politiquement correct, Gérard Larcher est un champion du monde. Il ne cesse d’encenser les communistes, les exemples abondent, et de vouer aux gémonies les militants et élus nationaux qu’il exècre. 

Tout dernièrement, Yaël Braun-Pivet et Larcher ont décidé d’organiser une marche contre l’antisémitisme. Aussitôt, et fort logiquement, Marine Le Pen a indiqué à ses militants et sympathisants d’y participer.

Immédiatement, nos deux présidents et de l’Assemblée nationale et du Sénat ont répliqué qu’ils ne marcheraient pas avec eux, les considérants comme des pestiférés sans doute, où des citoyens de seconde zone.

Serge Klarsfeld, que plus personne ne présente a été interrogé par le Figaro, Eugénie Bastié très précisément, le 9 novembre dernier.

Que nous dit-il ?  « Il me semble tout à fait positif que ce parti politique (Le RN), soit convié et donne son adhésion à une pareille marche... Le RN est un parti qui, sur le plan de l’antisémitisme, si on le compare avec la France insoumise ne peut mériter que des bons points. »

Et de rajouter, « nous avons constater qu’il y avait beaucoup de braves gens au Rassemblement National. Il n’y a pas eu de campagne du RN sur l’antisémitisme à partir du moment où Marine Le Pen est devenue Présidente. Ce que je vous dis est objectif. Quand je me suis rendu à Perpignan à l’invitation de son maire, Louis Alliot, j’ai été critiqué à l’époque. »

Quand Eugénie Bastié lui demande pourquoi selon lui LFI ne se rendra pas à cette marche, il est catégorique : « l’extrême-gauche a toujours eu une tradition antisémite. Je suis soulagé de voir le RN abandonner l’antisémitisme et se poser en défenseur des juifs… »

Et sur le virage de Jean-Luc Mélenchon, il l’explique par « des considérations électoralistes chez le leader de la France insoumise. Il compte sur le rassemblement des électeurs de gauche et parmi eux la population issue de l’immigration maghrébine. Avant, il y avait le prolétariat maintenant ce sont les minorités ethniques et religieuses. »

Tout y est dit et parfaitement résumé, et s’agissant des fractures françaises, il a cette analyse « A travers le monde, presque tous les musulmans ont pris le parti du Hamas et de la population de Gaza. Je rappelle à cet égard, que lors de son attaque surprise et terroriste, le Hamas a éventré des femmes même enceintes, des enfants, qu’il a massacré des vieillards, et qu’il a fait cuire dans un four un bébé, il faut quand même le dire et le redire.

Il a cette réflexion géopolitique que beaucoup perdent complètement de vue : « Cependant, il y a 15 millions de juifs dans le monde, et plus d’un milliard de musulmans ». On aimerait que d’aucuns s’en souviennent. Il rappelle le massacre de la mosquée de Hébron en Cisjordanie, par le terroriste juif Goldstein, il y a 29 ans de cela, et qu’il a été l’un des rares juifs à être allés au conseil municipal de Hébron pour porter ses condoléances au nom de son association, les fils et filles des déportés juifs de France. Et il conclut : « Tuer des musulmans, comme l’avait fait Goldstein était un acte immonde. J’aimerais entendre aussi des voix proches des Palestiniens aujourd’hui condamner avec la même fermeté les crimes immondes du Hamas. »

Effectivement, tous et toutes ont pu constater par les images vues partout, que pour les musulmans et les soutiens aux palestiniens, les crimes abjects du Hamas étaient applaudis partout dans le monde.  Encore une fois, on a le droit de critiquer la politique israélienne, mais on se déconsidère totalement en jetant un « voile » pudique sur les crimes terroristes du Hamas et autres organisations similaires. D’autant qu’en France, nous risquons tôt ou tard de connaître de nouveau les mêmes crimes terroristes qui ont déjà endeuillé notre malheureuse patrie, et qui proviennent tous des islamistes.

Il est un principe constant en politique, savoir qui veut vous combattre, savoir qui est votre véritable ennemi et comprendre pourquoi. Par le passé, de très nombreux hommes politiques se sont totalement fourvoyés en ne comprenant rien ni au nazisme ni au communisme et en ne reconnaissant pas qui il fallait combattre, et avec qui il fallait s’allier. Notre patrie en a subi les conséquences funestes et aussi nos compatriotes.  Nos gouvernants actuels et nos élites politiques sont aujourd’hui en France dans le même état d’aveuglement, et surtout le premier d’entre eux. Il est urgent d’ouvrir les yeux.

16:18 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hitler, cet auxiliaire du confort intellectuel

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C‘est un filtre qui viendrait colorer le réel et modifier insensiblement notre perception. Tout y semble soumis, les signes, les discours, les images. Partout des croix gammées, des nazis, partout des référenes aux « heures les plus sombres », jusqu’à ce nom comme un couperet Hitler. Voici des lustres qu’Hitler représente le mal absolu et qu’il sert de repoussoir à toutes ces idéologies qui, pensant représenter le Bien, s’adosse à ce Mal qu’est  Hitler, les Allemands tous nazis évidemment, les collabos, les vichytes et même les murs qu’ont des oreilles ! Natacha Polony dénonce avec raison cette paresse intellectuelle dont, bizarre…bizarre Staline est absent.

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Source : Marianne 9/11/2023

12:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 18 novembre, à Nantes : commémoration des noyades de 1793

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10:37 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 08 novembre 2023

Marion Maréchal : “Si Jean-Marie Le Pen avait été écouté, il y aurait moins d’actes antisémites”

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Source Le Salon beige cliquez ici

Marion Maréchal est courageuse et n’hésite pas à rappeler l’œuvre prophétique de son grand-père Jean-Marie Le Pen en déclarant sur Europe 1 :

“Si Jean-Marie Le Pen avait été écouté, il y aurait moins d’actes antisémites”

Or, il est assez navrant de voir des journalistes biberonnés à la haine anti-FN faire le parallèle entre les positions intenables de Jean-Luc Mélenchon et les propos provocateurs de Jean-Marie Le Pen, qu’il est pourtant impossible de qualifier d’antisémite comme le prouvent ces éléments de la biographie écrite en 2012 par Philippe Cohen et Pierre Péan :

Le rapport de Jean-Marie Le Pen à “la question juive” ne peut pas se résumer à dire “il est antisémite” ou “il n’est pas antisémite”.

– En 1956, participant à l’expédition franco-britannico-israélienne du canal de Suez trois jours avant le retrait des troupes franco-anglaises, il avait à l’époque tenté de convaincre les membres de son régiment de déserter et de combattre aux côtés de Tsahal contre l’armée égyptienne censée abriter les corps francs du FLN.

– En 1986, Jean-Marie Le Pen fait élire Robert Hermmedinger, un ancien Résistant issu d’une famille juive alsacienne, ancien de l’OAS, qui a vécu ensuite en Israël, où il était proche de l’Irgoun de Menahem Begin. Il a fondé le Cercle national des français juifs du Front national en 1986.

– En 1987, Jacques Torczyner, président du Mouvement sioniste international, invite Jean-Marie Le Pen au Congrès juif mondial à New York. Il y tient au ‘Four Seasons’ devant Edgar Bronfman un discours marquant un soutien au mouvement sioniste et à Israël. Il considérait Israël comme un pilier du monde libre, aux avant-postes de la lutte contre le communisme international et se prononce pour la fermeture du bureau de l’OLP à Paris.

– Fin 1987, un voyage était prévu en Israël pour y rencontrer Ariel Sharon… ce voyage n’aura jamais eu lieu suite aux propos tenus le 13 septembre 1987 au Grand Jury RTL-Le Monde, c’est le début des provocations avec “le point de détail”, puis “Durafour crématoire”… qui a définitivement marqué une cassure.

La manipulation de Carpentras en 1990 où le FN fût désigné responsable de la profanation d’un cimetière juif, à tord car la justice le prouvera longtemps après, finira de diaboliser Jean-Marie Le Pen et de mettre son parti “hors de l’arc républicain” jusqu’à encore aujourd’hui. Or cette diabolisation est en train de se fissurer. Le RN de Marine Le Pen et Reconquête! d’Eric Zemmour sont en train de devenir les remparts les plus solides face à l’antisémitisme en France, qu’il soit majoritairement d’origine musulmane ou provenant de quelques milieux confidentiels d’une certaine extrême droite radicale.

Si Marion Maréchal [enfant sur l’affiche illustrant cet article, NDLR] est cohérente dans la défense de son grand-père qu’elle n’a jamais trahiil n’en est pas de même du côté du RN.

Après avoir exclu son propre père au sujet de son antisémitisme supposé ou du moins de déclarations provocatrices, Marine le Pen semble beaucoup plus tempérée, tout en refusant de répondre à la question soulevée par l’horrible Véranqui veut exclure le RN d’une marche contre l’antisémitisme à cause de Jean-Marie Le Pen :

Ce sont des vieux socialistes qui utilisent les mêmes ficelles depuis des années. Jean-Marie Le Pen a 95 ans, il n’est plus totalement en situation de se défendre des accusations d’Olivier Véran. Il a quitté la vie politique il y a un certain nombre d’années et chacun a en mémoire la façon dont la séparation s’est effectuée

De son côté, Jordan Bardella déclare qu’il ne pense pas que Jean-Marie Le Pen soit antisémite tandis que Laurent Jacobelli, le porte-parole du RN est plus que mal à l’aise sur le sujet :

La rupture avec Jean-Marie Le Pen qu’a initié Marine Le Pen est notamment due à ces dérapages. Je ne sais pas s’il était antisémite ou pas. Au fond de moi, je ne le crois pas. Je n’ai jamais eu l’occasion de parler à Jean-Marie Le Pen. Je crois honnêtement que tous les procès que vous nous faites sont des procès malintentionnés (…) J‘ai du mal à juger des faits passés dans lesquels je ne suis pas impliqué et que je ne connais pas

Ce n’est pourtant pas difficile de défendre l’honneur d’un homme qui a été visionnaire avant tout le monde. Les faits sont en train de le prouver et de donner raison à Jean-Marie Le Pen !

23:50 Publié dans Européennes 2024, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |