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mercredi, 04 décembre 2024

L’idéologie mortifère des faiseurs de guerres.

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Claude Janvier

En cette fin d’année 2024, le spectre d’une troisième guerre mondiale s’intensifie. Avec la prise d’Alep par des terroristes, mettant en péril le gouvernement syrien, et l’escalade des préparatifs d’une guerre frontale avec la Fédération de Russie, les fêtes de Noël s’annoncent bien moroses. En effet, les dirigeants européens craignent que Donald Trump, à partir du 20 janvier 2025, arrête l'aide militaire à Kiev, et que de facto, l’ensemble des pays de l’UE soient obligés de financer la guerre par procuration contre la Russie. L’économie européenne, déjà chancelante, risque de sombrer définitivement dans un délabrement total.  

Ajoutons à cela que les principaux dirigeants européens ne peuvent pas, et ne pourront jamais, admettre qu’ils se sont fourvoyés dans une guerre insensée, il est à craindre qu’ils aillent jusqu’au-boutisme, à savoir, la destruction de l’UE sur le plan économique et industriel. Car, en remettant constamment, les clés de la France et des autres pays de l’UE aux États-Unis et à l’oligarchie financière internationale, force est de constater que la paupérisation de nos pays devient de plus en plus flagrante. Le pillage a encore de beaux jours devant lui à moins que des gens sensés n’y mettent un terme rapidement.

La victoire de Donald Trump n’était pas prévue au programme par les dirigeants européens. Kamala Harris aurait assuré la pérennité du soutien de l’OTAN à Kiev. Avec Donald Trump, rien n’est moins sûr. « Curieusement », depuis la victoire électorale de ce dernier, nous sommes témoins d’une véritable escalade de provocations diverses envers la Fédération de Russie, et d’une attaque de terroristes armés par les États-Unis et la coalition internationale, dans le Nord de la Syrie et plus précisément dans la région d’Alep. « Curieusement », cette attaque survient le même jour de l’entrée en vigueur du cesser le feu entre Israël et le Liban.  « Curieusement », le groupe terroriste Hayat Tahrir al-Sham, responsable de l’attaque à Alep, entretient des liens étroits avec la Direction Principale du Renseignement (GUR) du ministère de la Défense de l’Ukraine. Tiens, tiens… Voir en fin d’article.

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Centre d’accueil des migrants de Salbris (41) : des vérités qui dérangent

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Alexandre Avril
Maire de la ville de Salbris, conseiller régional, membre de l’UDR.
 
Nous reproduisons le Tweet du Maire de Salbris,
 
« Hier, au moment où l’on apprenait que la CEDH accorde aux migrants expulsés la garantie de pouvoir revenir en Europe, je visitais le Centre d’accueil des migrants (CADA) de ma petite ville de Salbris.
 
J’y découvrais des chiffres édifiants :
• depuis 2016, 78 places pour les demandeurs d’asile, contre l’avis de la mairie, dans des appartements de notre ancienne gendarmerie de centre-ville,
 
•  une dizaine de salariés de Coallia (l’association qui reçoit pour cela 150 millions d’€ par an de l’État et est soupçonnée de malversations, cf. l’enquête de @Valeurs) au discours clairement immigrationniste et qui m’ont accueilli dans une salle de réunion couverte d’affiches de Sud Solidaires, le syndicat d’extrême-gauche qui appelle à la régularisation des sans-papiers, ce sont donc des militants,
 
•  une « offre complète d’hospitalité » comprenant bien sûr l’hébergement, les soins mais aussi des avocats gratuits pour faire des recours contre l’État (la fameuse aide juridictionnelle que le Conseil d’État a récemment étendue aux étrangers),
 
•  budget de la structure de Salbris : 600 000 euros par an, payés par le contribuable (plus que l’EHPAD municipal ou notre ESAT),
 
•  durée moyenne de séjour : entre 18 et 24 mois. Le temps de faire une première demande puis un recours d’office si la demande est rejetée, doublant ainsi le délai de séjour,
 
•  nationalités : Afghans, Comoriens, Béninois… peu viennent de pays en guerre.
 
•  âge et sexe : écrasante majorité d’hommes, entre 30 et 40 ans, dont les familles sont restées au pays (ils m’expliquaient qu’elles les rejoindraient par regroupement familial une fois leur régularisation faite),
 
•  résultats : 65% obtiennent l’asile, il y a donc 35% de déboutés. 100% des déboutés font un recours, pris en charge par la structure. À nouveau un tiers de déboutés. Que deviennent-ils ? OQTF ? Oui, mais ils ne pourront pas repartir dans leur pays d’origine si ce dernier n’offre pas de laissez-passer consulaire (c’est le cas de l’Afghanistan ou des Comores), donc ils restent. Le CADA les laisse repartir dans la nature une fois l’OQTF prononcée. De toute façon depuis la décision de la CEDH d’hier, même s’ils étaient expulsés ils auraient le droit de revenir.
 
Le sujet est très délicat pour un maire, vous l’imaginez. Je ne veux pas faire offense aux personnes qui migrent, qui demandent l’asile, qui s’installent. Pourquoi s’en priveraient-ils alors qu’on leur ouvre les bras et prenons tout en charge pour eux ? Le sujet, c’est l’attitude de l’État qui :
 
1/ autorise les examens d’asile sur le sol national et non dans les ambassades de départ ou des pays tiers,
 
2/ met en place ces structures déléguées à des associations militantes qui vivent du business de l’immigration, encourageant les migrants du monde entier à venir ou les passeurs à les faire venir,
 
3/ culpabilise en réduisant toute critique de la politique d’immigration massive de notre pays au rejet des étrangers. Hier encore, à mes arguments municipaux (par exemple l’état de salubrité du CADA, dont la directrice m’expliquait elle-même qu’il est infesté de cafards malgré des campagnes régulières de désinfection), on ne m’opposait que des arguments moraux (le rejet de l’autre, la stigmatisation, le manque d’humanité).
 
Regardez la photo (publiée en commentaire) : le CADA est en plein milieu des écoles. Je ne dis pas que les migrants sont forcément dangereux mais on ne sait rien d’eux. Nous n’avons d’information sur leur passé et leurs antécédents que de manière déclarative. Ils sont à proximité directe d’une cour de recréation. L’État, d’habitude si prompt à le faire, n’applique aucun principe de précaution minimum. Vous seriez rassurés, vous, en tant que parents ?
 
Cela fera bientôt 10 ans que l’État a imposé ce CADA à ma ville, contre notre avis. Je saisis maintenant #BrunoRetailleau pour demander sa fermeture car j’ai d’autres projets pour ces bâtiments.
En attendant la fin de cette folle politique, quand l’alternance sera venue. »
 
Source EuroLibertés cliquez ici

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Mardi 10 décembre à Paris : conférence d'Emmanuel Albach au Centre Charlier

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Emmanuel Albach est l'auteur de

Beyrouth 1976, des Français aux côtés des Phalangistes

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10:17 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 03 décembre 2024

Challans (Vendée) : La projection du film sur Tommy Robinson suscite l'hystérie des censeurs patentés de la gauche totalitaire

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Rose Martin Riposte laïque cliquez ici

Maëlig Cozic-Sava, en haut, président du cinéma Manivel de Redon, et Éric Dubot (en bas), propriétaire du cinéma Kristell à Challans. Deux conceptions de la liberté aux antipodes l’une de l’autre…

Mercredi dernier, à la veille de la diffusion – une première en France – du film de Tommy Robinson, « Silenced », Rose Martin alertait nos lecteurs sur les intimidations d’un groupuscule gauchiste, Rebellyon de Résistance, auteur d’un texte insultant et menaçant à l’encontre d’Éric Mauvoisin, président du Rassemblement Vendéen, d’Éric Dubot, propriétaire du cinéma Triskell de Challans, et du maire de la ville, Rémy Pascreau. Cliquez ici

Pourtant, Éric Mauvoisin avait une certaine légitimité à présenter ce film, puisque, un mois plus tôt, devant 50.000 manifestants amis de Tommy Robinson, il avait pu prendre la parole, à Londres.

Malgré cette agitation hélas habituelle, la salle avait été remplie, et la projection s’était fort bien déroulée, avec beaucoup d’émotion dans l’assistance, par rapport au courage de Tommy Robinson, et à l’acharnement de tout l’appareil d’État, qui a réussi à le faire emprisonner pour 18 mois, sous des prétextes fallacieux. Un pot amical avait conclu la soirée, et Tommy, depuis sa prison, avait pu apprendre que cent Français lui avaient souhaité un bon anniversaire. Cliquez ici

Dans cet article, Rose avait insisté sur la réalité du fascisme du 21e siècle, en ces termes : « Que la gauche n’aime pas Tommy Robinson, c’est son droit, qu’elle le trouve trop populaire et pas assez wokiste, pourquoi pas ? Mais ce qui différencie les fascistes des démocrates, c’est que les premiers s’opposent par la force à tout ce qui est différent de leurs idées, alors que les seconds sont plutôt des adeptes de la célèbre phrase attribuée à Voltaire : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous puissiez le dire ». On devinera donc aisément que ceux qui se prétendent antifascistes sont les nouveaux nazillons du 21e siècle, et que ce sont eux qui représentent les plus graves menaces pour nos libertés et notamment la liberté d’expression ».

Comment mieux illustrer ces propos que la publication de cette lettre, ci-dessous, qui est parvenue à la rédaction de Riposte Laïque. Elle a été écrite le 27 octobre, la veille de la diffusion du film « Silenced » à Challans. On y lit donc ce texte digne des régimes les plus totalitaires, signé anonymement par Le Conseil d’administration de « Manivel’Cinéma », un cinéma associatif de Redon, présidé depuis 2020 par Maëlig Cozic-Sava, qui a succédé au fondateur du cinéma, Philippe Rouxel.

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Il est déjà stupéfiant qu’un cinéma associatif se permette de menacer un propriétaire indépendant comme Eric Dubot, par ailleurs également à la tête d’un autre cinéma, à Luçon, parce qu’il ose diffuser à Challans un film qu’eux ne diffuseraient pas à Redon. En effet, alors que le cinéma associatif Manivel est gavé de subventions et n’a aucun problème pour équilibrer ses comptes, sachant que le trou éventuel sera bouclé par les collectivités locales, le cinéma de Challans est lui complètement tributaire de ses seuls résultats d’exploitation, et devrait mettre la clé sous la porte à la moindre défaillance.

Les deux cinémas annoncent à peu près 200 000 entrées par an, mais là encore, la municipalité de Redon encourage toutes les initiatives associatives à se tenir dans le cinéma Manivel, pour gonfler des chiffres que des initiatives douteuses comme la quinzaine anglophone ne tirent pas vers le haut. Ainsi, des concerts s’y déroulent-ils tout l’été, et les écoles sont très fortement encouragées à venir fréquemment faire profiter les élèves de programmes par ailleurs souvent discutables. Eric Dubot ne peut compter que sur lui pour remplir ses salles. Donc, un militant associatif qui ne vit que grâce aux subventions des collectivités locales et nationales, qu’on pourrait appeler un fonctionnaire du cinéma, se permet de menacer un libre entrepreneur et de lui donner des leçons sur ses choix de programmation. Gonflé !

Reste le fond du problème. Ceux qui animent ce cinéma associatif de Redon sont des gauchistes, et ils se comportent en militants sectaires, qui ne diffusent que les films qui leur conviennent. Exactement comme ceux de Callac, où les immigrationnistes, fers de lance du projet Horizon, agissent de la même façon dans son cinéma associatif « La Belle Equipe » où on ne passe que des films qui leur conviennent idéologiquement, tout en profitant des sous de toute la collectivité. Ainsi, ces grands défenseurs de la culture multiplient les films et les initiatives citoyennes qui font l’apologie de l’accueil des migrants, mais refusent de diffuser le film « Vaincre ou mourir », parce qu’il est produit par le Puy du Fou. Seul problème, ils sont financés par les deniers publics, et imposent donc à l’ensemble de la population, qui finance ce cinéma, leurs choix politiciens. Cela s’appelle du sectarisme, du lavage de cerveau et du totalitarisme.

Mais il y a pire. Eric Dubot, preuve de ses grandes compétences, est président de « La Règle du Jeu », une association de cinéma d’Art et d’Essai, et il dirige également « La Chambre Syndicale des Cinémas de Bretagne et de l’Ouest ». Or, au-delà des insinuations malveillantes employés contre lui, le courageux et anonyme « conseil d’administration de Manivel’Cinéma » interpelle ces deux structures pour leur demander ni plus ni moins que de débarquer Eric Dubot de ses responsabilités parce que, en tant que propriétaire indépendant, il a autorisé Eric Mauvoisin, moyennent finance, à projeter le film de Tommy Robinson dans son cinéma. À noter par ailleurs que ce conseil d’administration se permet de qualifier les sites Riposte Laïque, Breizh Info et Synthèse nationale de « sites ouvertement fascistes ». Ils doivent savoir de quoi ils parlent, car en terme d’inversion accusatoire, on fait difficilement mieux…

Il suffit d’écouter Yann Vallerie, fondateur et rédacteur en chef du site « Breizh Info », interrogé sur la projection du film « Silenced » à Challans, pour comprendre qu’il n’y a rien de fasciste dans ses propos, et que si des sites défendent la liberté d’expression, c’est bien Riposte Laïque, Synthèse nationale et Breizh Info, tandis que les maîtres-censeurs de Manivel veulent s’opposer à la diffusion d’un film, comme les nazis s’opposaient à la circulation de livres qu’ils brûlaient en place publique.

Quant à Riposte Laïque, comment ne pas être fier de lutter, depuis bientôt vingt ans, contre l’islamisation de la France et d’avoir organisé les Assises pour les Liberté d’expression en 2015 ? Cliquez là

Les pratiques des animateurs Rebellyon de Résistance et du cinéma Manivel sont à l’opposé de cette conception. En effet, nous avons là un cas typique de comportement fasciste, qui commence par les menaces et les intimidations contre le propriétaire du cinéma, qui a reçu en 24 heures des centaines de courriels et de textos laissant entendre que son cinéma pourrait brûler s’il maintenait l’initiative. Le maire a reçu également nombre de coups de téléphone d’insultes, le sommant d’interdire cet événement dans sa commune. Et nous apprenons qu’en complément de ces pratiques de type antifa qui paraissent ne déranger personne, il se trouve un cinéma, à Redon, qui complète les menaces des nazillons gauchistes contre Eric Dubot, et veut le tuer socialement en l’éradiquant de la profession, pour crime de liberté d’expression.

Ces nervis gauchistes et les prétendus défenseurs de la culture de Redon ne sont que des fascistes en herbe. Bien évidemment qu’Eric Dubot, qui ouvre son cinéma à tout le monde, sans exclusive, incarne la liberté, alors que Maëlig Cozic-Sava et le Conseil d’administration du Manivel’Cinéma ne sont que les héritiers de tous les totalitaires du monde, qu’ils aient les traits de Staline ou d’Hitler, et que le terme « fasciste » leur convient bien davantage qu’à Riposte Laïque, Breizh Info ou Synthèse nationale, qui incarnent le combat pour l’amour de la France et la liberté d’expression.

N’en déplaise à ces petits Torquemada de la pensée unique, Éric Mauvoisin continuera à faire connaître dans la France entière le film « Silenced » de Tommy Robinson, et nous savons qu’il rencontrera certes des maîtres-censeurs comme la fine équipe du Manivel’Cinéma, mais aussi des amoureux de la liberté, dont la liberté d’expression, comme Éric Dubot et son équipe de Challans et de Luçon.

Quant à Riposte Laïque, il utilisera son réseau militant pour faire connaître le combat de Tommy Robinson partout en France, n’en déplaise aux petits commissaires politiques de Redon qui ont bien mérité ce retour de « Manivel ».

NDLR SN : Bien évidemment, Synthèse nationale est totalement solidaire de nos amis de Riposte laÏque, de Breizh Info et du Rassemblement vendéen, y compris dans les suites judiciaires qui pourront être données à ces allégations.

10:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 02 décembre 2024

Sortie prochaine du nouvel album d'Ignace...

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20:52 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Front de la Répression : La machine répressive s’emballe contre Yvan Benedetti

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Trois procès en trois mois ! La machine répressive s’est emballée !

Le 4 novembre, j’ai été condamné en appel à 2.000 € d’amendes et 4.000 € de dommages et intérêts, de manière solidaire avec le traducteur de l’article publié sur Jeune Nation, et poursuivi en justice par l’Observatoire Juif de France et l’Observatoire Juif Européen.

Le 23 janvier, se tiendra le procès en opposition ou en appel (ça sera à la Cour d’appel de statuer) suite à une plainte pour injures de l’impudent David Metaxas avocat de l’assassin d’Axelle Dorier, jeune femme traînée sur des centaines de mètres sous une voiture conduite par des racailles. J’avais pris en première instance 10.000 € d’amendes et 15.000 euros de dommages et intérêts. Délirant !

Et ce 4 décembre, je serai jugé en appel pour des propos identitaires prononcés lors du discours de clôture du Congrès des Nationalistes qui s’était tenu à Lyon le 11 novembre 2022 et pour ma prise de parole à Predappio à l’occasion du centenaire de la Marche sur Rome.

Quoiqu’il en soit ils ne me feront jamais taire !

En savoir pus : Jeune nation cliquez ici

NDLR SN : Que l'on soit d'accord ou pas avec toutes les prises de positions d'Yvan Benedetti, c'est un devoir pour tous les patriotes de le soutenir en pareilles circonstances. Yvan est un combattant actif de la cause nationaliste. Ce qui lui arrive aujourd'hui peut arriver à bien d'autres demain. Il ne faut pas le laisser tomber...

Intervention de Yvan Benedetti, le 12 octobre 2019, au Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale :

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15:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : Jeudi 5 décembre, à Auray (56), conférence de Jean-Yves Le Gallou organisée par le Cercle Kelven

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12:28 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Insolite : Jean-Claude Rolinat est un fieffé amateur de bandes dessinées

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10:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Michel Festivi, mercredi midi, sur Radio Courtoisie

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Notre Ami Michel Festivi sera présent sur Radio Courtoisie le Mercredi 4 décembre prochain de 12H à 13H30 dans l’émission des historiens dirigée par Philippe Conrad pour parler de son livre « La désinformation autour du Parti communiste « français » ».

Radio Courtoisie cliquez ici

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09:14 Publié dans Michel Festivi, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 01 décembre 2024

ALEP : « L’ÉTAT ISLAMIQUE », C’EST REPARTI !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Alep était une ville magnifique de cet « Orient plus que compliqué » lorsque j’y suis allé, il y a fort longtemps. Tout faisait penser à ce que notre imaginaire d’enfant ou d’adolescent avait laissé transpirer en termes d’images et d’odeurs. Images d’un Orient fantasmé. Le Bagdad « des mille et une nuits » bien entendu et, plus particulièrement  dans le cas qui nous intéresse, Alep avec ses  minarets en forme de fusées, sa massive forteresse, dominant la ville, mutilée plus tard par les combats entre rebelles et gouvernementaux… Des odeurs des souks et, plus particulièrement celle, plus persistante, du savon, spécialité locale déclinée à tous les parfums de l’orient.

Un raid spectaculaire qui a surpris tout le monde

L’inattendu, quelque part l’incroyable, s’est produit le mercredi 27 novembre dernier : la plus grande partie de la ville avec son aéroport, sont facilement tombés aux mains des rebelles islamistes du HTC, l’Hayat Al-Cham d’Ahmed Al-Chara. Ce dernier avait déjà fondé  Al-Nosra, puis le mouvement salafiste HTS. Le HTC d’aujourd’hui est la version d’Al-Quaida en Syrie. Ces rebelles ne partaient pas de n’importe où et sans « biscuits ». Ils disposaient déjà d’un solide sanctuaire, la province d’Iblid qui leur avait été laissée au terme d’un accord plus ou moins informel entre les parties, et leurs parrains respectifs – Turquie, Iran, Russie -, après la reconquête d’Alep par les forces   gouvernementales en 2016.

D’incroyables alliances contre-nature

Des hordes de barbus, armés jusqu’aux dents – un mix d’anciens de Daech, de mercenaires Turkmènes qui « roulent » pour Ankara et d’irréductibles ennemis de Bachar-Al Assad -, parties du quartier du Nouvel Alep, ont pénétré dans la ville sans rencontrer de grande résistance. L’armée syrienne était-elle endormie sur ses lauriers ? Ces hommes ont gagné la citadelle de la « plus vieille cité du monde », comme le revendiquaient jadis des prospectus publicitaires…

On a pu voir des images de jeunes rebelles juchés sur un char gouvernemental abandonné par son équipage, exprimant leur joie de conquérants. C’est un revers monumental pour le gouvernement de Damas et ses alliés russes et iraniens, ainsi que pour les proxys de ces derniers, le Hezbollah, déjà durement étrillé par Israël.

Quelle lecture correcte peut-on faire de ces alliances, bien souvent contre-nature ? D’abord, ce coup porté à Bachar et à son régime arrange les Kurdes dissidents, qui peuvent affermir leur autonomie auto-proclamée mais, dans le même temps, il est de nature à inquiéter leurs alliés américains, qui exploitent sans vergogne le pétrole syrien. Il n’est pas mal vu non plus, par Israël, car il affaiblit son ennemi syrien et ses alliés iraniens et chiites libanais. On pense même que l’État hébreu, pendant la guerre civile syrienne, avait soigné des insurgés islamistes en lutte contre la Parti Baas, en application du principe que « les ennemis de mes ennemis sont mes amis ». Superbe alliance contre-nature, moralement condamnable ! La Turquie, pour des raisons différentes, est derrière ces insurgés islamistes qui humilient le régime damascène, son « meilleur ennemi ». Et pourtant, dans « le même temps » comme dirait « l’autre », il indispose Moscou qu’Erdogan veut ménager.

Et nous, Français, quel est notre intérêt là-dedans ?

Notre intérêt immédiat, pour notre sécurité intérieure, est l’affaiblissement de tout ce qui, de près ou de loin, peut conforter la mouvance islamiste. Ce n’est donc pas, une bonne nouvelle, même si le Hezbollah et son parrain iranien, qui tiennent nos amis libanais en otage, son sévèrement touchés, par contre coup. C’est une tragique information pour les Chrétiens d’Orient, et plus particulièrement ceux de Syrie et d’Alep, où ils pensaient pouvoir se reconstruire après la tyrannie de l’occupation de l’État islamique. Ils vont devoir, une fois de plus – une fois de trop ? -, quitter leurs foyers ou  « raser les murs »…

Si l’Occident avait réfléchi intelligemment lorsque la Syrie s’est embrasé, il aurait dû soutenir le régime laïc du parti Baas et s’appuyer sur Assad, malgré le despotisme non éclairé de son régime, car, entre deux maux, il faut choisir le moindre. Le temps était fini où l’Iran comme la Syrie, perpétuaient des attentats en nos murs, comme la Libye d’ailleurs sur un autre front. Mais non, les alliés de l’OTAN ont fait le choix inverse. Résultats des courses, des attentats, des victimes et…pas de représailles. Les alliances sont très paradoxales.

La France et ses amis sont proches de pays comme le Qatar et l’Arabie saoudite, qui ne sont pas plus démocratiques que la Syrie dirigée par les Alaouites Assad père et fils, et hostiles à ce dernier. Si l’on peut comprendre que nos intérêts pétroliers sont en jeux et que de fructueux marchés de ventes d’armes s’offrent en perspective à nos industries, on ne peut pas négliger la nébuleuse islamiste fondamentaliste, ni le trouble jeu de puissances comme la Turquie.

Accessoirement le double jeu d’Israël, État qui a la « vue basse », et ne pense pas à l’avenir, ne « roulant » que pour ses propres intérêts à court terme. Autre paradoxe pour notre camp, c’est de souhaiter ardument la victoire de l’un des régimes les plus durs et les plus anti-démocratique de la planète. Mais notre sécurité globale est à ce prix. L’Occident – et l’Europe plus précisément -, vont-ils enfin ouvrir les yeux et, entre deux maux, disons-le encore et encore, choisir le moindre mal ? On déroule bien le tapis rouge devant d’autres satrapes qu’Assad, tout aussi ou bien plus sanguinaires !

16:58 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Fin de la coalition tricolore allemande

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Les crises politiques s’accumulent en Europe. Longtemps moteur de la politogenèse eurocratique, le duo franco-allemand se paralyse de part et d’autre du Rhin. Une fragile et implicite cohabitation s’installe à Paris entre un président Jupiter dévalué et un « socle commun » parlementaire hétéroclite et instable. À Berlin, la victoire de Donald Trump a amplifié les fractures au cœur même du gouvernement fédéral.

Le 6 novembre 2024, le chancelier Olaf Scholz désavoue le ministre des Finances, Christian Lindner, et demande au président fédéral Frank-Walter Steinmeier de le limoger, chose faite dès le lendemain. Or Christian Lindner dirige le FDP, le parti libéral. Son éviction entraîne la démission de deux autres ministres libéraux de la Justice et de l’Éducation. En revanche, le ministre des Transports et du Numérique reste en place et abandonne le FDP. C’est la fin d’une entente montée avec douleur trois ans plus tôt.

Aux législatives de 2021, le Bundestag se fragmente en six groupes. La coopération habituelle entre les sociaux-démocrates du SPD et les Verts n’assure pas une majorité. Les deux partenaires se tournent alors vers un troisième larron, le FDP. Après de longues et âpres négociations, les trois formations s’accordent, le 24 novembre 2021, sur un contrat commun de gouvernement. Les journalistes parlent de « coalition en feu tricolore » en raison des couleurs respectives des nouveaux alliés (rouge pour le SPD, vert pour les Grünen et jaune pour le FDP). Cette configuration politicienne est inédite dans l’histoire de l’Allemagne fédérale.

Jusqu’en novembre 2023 et en dépit de divergences fréquentes entre les Verts et les libéraux, le gouvernement « tricolore » se maintenait cahin-caha. Il y a un an, le Tribunal constitutionnel fédéral de Karlsruhe prononçait l’inconstitutionnalité partielle du budget 2023, un camouflet inédit dû à l’initiative de l’opposition démocrate-chrétienne. Le gouvernement Scholz avait en effet jonglé avec différents financements. Il utilisait sciemment un reliquat budgétaire de soixante milliards d’euros, destiné à l’origine à lutter contre le covid-19, afin d’alimenter un fonds destiné à la transformation de l'économie et au climat. Les magistrats critiquèrent la manœuvre et s’indignèrent d’une dépense réalisée entre janvier et octobre 2023 de plus de trente-et-un milliards d'euros sans que ces sommes n’apparaissent dans le budget légal. Le Tribunal constitutionnel interdisait par conséquent de transférer le reste du montant vers tout autre fonds. Sa décision entraînait en outre le gel de l’ensemble des nouveaux crédits de tous les ministères fédéraux inscrits dans ce budget retoqué. Karlsruhe annulait enfin les subventions massives au secteur industriel et aux plans de décarbonation chers aux Verts.

Les dissensions s’affichent au moment où une violente crise économique et sociale atteint la première puissance économique d’Europe, fragilisée par les retombées négatives des sanctions contre la Russie. SPD et Grünen cherchent en priorité à aider les secteurs économiques en difficulté notable. La préparation du budget 2024 devient laborieuse et pose un dilemme : augmenter les impôts ou bien diminuer les dépenses à moins que la coalition s’exonère provisoirement d’une règle débile, celle du « frein à l'endettement » inscrite dans la Loi fondamentale qui limite tout endettement à 0,35 % du PIB. Tenant acharné de cette règle, Christian Lindner se présente aussitôt en défenseur d’une stricte orthodoxie budgétaire, économique et financière. Le 1er novembre dernier, il adressait au chancelier et à leurs alliés une note longue d’une vingtaine de pages suggérant une réduction draconienne des aides, des subventions et des dépenses publiques, en particulier dans le domaine de la lutte contre le changement climatique. Le vice-chancelier et ministre Vert de l’Économie et du Climat, Robert Habeck, y vit dans cette proposition une véritable déclaration de guerre contre lui et son parti.

Désormais chef d’un gouvernement minoritaire, Olaf Scholz aurait souhaité poursuivre jusqu’aux législatives de septembre 2025. Toutefois, son opposition de pacotille, les démocrates-chrétiens de la CDU et les conservateurs de la CSU, rejette cette combine. Mis à l’écart par Angela Merkel au début de son règne calamiteux, le millionnaire Friedrich Merz qui a travaillé pour BlackRock, à la fois président de la CDU et de son groupe parlementaire, profite des circonstances pour rêver d’accéder à la chancellerie. En position de force, le centre-droit a fait pression sur Scholz afin qu’il pose la question de confiance au Bundestag. Prévu le 16 décembre prochain, le vote sera très certainement négatif. Dès lors, si les députés ne désignent pas entre-temps un nouveau chancelier selon la procédure de l’article 68, Frank-Walter Steinmeier aura vingt-et-un jours pour dissoudre le Bundestag. Les élections anticipées sont annoncées pour le 23 février 2025. L’Allemagne entre en campagne.

Les sondages annoncent la victoire de la CDU – CSU, mais sans bénéficier d’une majorité absolue impossible à obtenir en raison d’un mode de scrutin mixte et complexe. Par ailleurs, outre un SPD en forte baisse, les études d’opinion préviennent de la sortie probable de la prochaine législature du FDP et de Die Linke (la gauche radicale wokiste) qui stagneraient en dessous du seuil électoral fatidique de 5 %. Les projections électorales qui découlent de ces premiers aperçus prévoient une chambre partagée en cinq factions parlementaires (CDU – CSU, AfD, SPD, Grünen et BSW). Rappelons que BSW signifie l’Alliance Sahra Wagenknecht - Pour la raison et la justice dont le positionnement politique atypique pour un esprit français incarne un conservatisme pacifiste de gauche radicale anti-wokiste opposé à l’immigration de peuplement. L’excellent Lionel Baland y voit une résurgence assez manifeste d’un national-bolchevisme atténué.

Considérée comme le prochain gagnant, la CDU – CSU envisage déjà de gouverner soit avec le SPD dans une nouvelle « Grande Coalition » - mais les relations entre Scholz et Merz sont exécrables -, soit avec les Verts comme, à l’heure actuelle, en Autriche où cette alliance a permis aux nationaux-conservateurs du FPÖ d’arriver en tête aux législatives du 29 septembre 2024.

La période électorale qui commence sera déterminante pour l’avenir d’un pays en déclin avancé et pour l’ensemble du continent. En effet, quand l’Allemagne tousse, l’Europe s’enrhume.   

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n° 135, mise en ligne le 27 novembre 2024 sur Radio Méridien Zéro.

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samedi, 30 novembre 2024

Piotr Tolstoï sur les missiles, l'escalade, Trump, les médias et la victoire russe

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Association Dialogue Franco-Russe

Piotr Tolstoï est l'auteur de la préface du dernier livre de Marc Rousset, Notre faux ami l'Amérique, pour une alliance avec la Russie (Librinova, 2023).

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Réflexions à propos des 700 viols d’un ancien journaliste de gauche : silence radio !

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Michel Festivi  

L’affaire dite des viols de Mazan a fait et fait la Une de tous les journaux, de France et du monde entier paraît-il, l’ensemble des médias en font leurs choux-gras. Cet horrible fait divers de perversion sexuelle, tourne en boucle sur toutes les chaînes de télévisions, sur toutes les radios. Pour certains, il s’agit d’un fait de société, l’homme est mauvais, malfaisant par nature, il faut changer la société, rééduquer les garçons, modifier complètement les rapports hommes/femmes et mettre fin à un patriarcat dont on peine à entrevoir les prémisses ; pour d’autres, dont je fais partie, il s’agit tout simplement des résultats d’obsessions humaines sadiques, de dépravations aussi vieilles que le monde est monde. Bref, toutes les litanies féministes et gauchistes font de la surenchère dans l’idéologie anti-occidentale, anti homme blanc. Pourtant, dans les années 1970, cette même gauche revendiquait la liberté sexuelle de pouvoir avoir des rapports avec des mineurs, voire des enfants. Que l’on se souvienne à cet égard des pages du Monde, ou de Libération qui exigeaient que des mineurs de 15 ans puissent avoir des relations sexuelles avec des adultes au nom de la liberté débridée, interdit d’interdire, et de dénoncer les lois de l’époque. Le tourisme sexuel dans certains pays dits exotiques a fait des ravages.

Pourtant, il y a parfois des viols d’une cruauté terrible, qui passent au-dessus des radars médiatiques, et le silence radio se fait. Pourquoi ? Ainsi, un ancien journaliste pour France info et de Radio France, Jean-Philippe Desbordes (photo ci-dessus), ancien échotier également au Canard enchaîné, à Charlie Hebdo, Libération et intervenant il y a quelques années pour le magazine Envoyé Spécial, vient d’être condamné à vingt années de réclusion criminelle, le 22 novembre dernier par la Cour d’Assises de l’Ariège, pour avoir violé à plus de 700 reprises, et avec actes de tortures et de barbaries les trois filles de son ex-compagne. Ces viols sont d’autant plus abjects qu’ils ont été commis par personne ayant autorité sur les victimes. Il aurait aussi violé l’une de ses élèves, car il pratiquait « l’Aiki thérapie », une pratique respiratoire de son invention. Il avait aussi écrit des livres, s’installant dans l’Ariège, après sa carrière médiatique dans les années 2000.

La Cour a assorti sa décision d’un suivi socio judiciaire de cinq années après la libération du condamné, sept ans d’injonction de soins et interdiction pour lui d’entrer en contact avec ses victimes et son ex-compagne. Faits d’autant plus scélérats, que l’épouse du violeur, ou sa compagne a aussi été condamnée à cinq ans de prison pour complicité. L’appel étant encore possible au moment où j’écris ces lignes, notre homme et sa complice sont donc encore présumés innocents.

L’une des victimes est venue dire à la juridiction, qu’elle pouvait être violée tous les jours, et a estimé les viols à plus de 700 pour une année ! Elle a déclaré « C’était l’enfer, j’ai subi des viols, de la maltraitance, de la privation de nourriture. » Cet individu, ancien journaliste de gauche, était aussi professeur d’aïkido spécialisé dans la thérapie par le sport, cela ne s’invente pas, c’est par ce biais semble-t-il qu’il pratiquait ses perversions, créant une espèce de dépendance avec ses proies dans le cercle familial ou professionnel. Curieusement, comme le souligne judicieusement Boulevard Voltaire, ces crimes n’ont pas été dénoncés comme étant « de la culture du viol », « du patriarcat » « de la domination masculine », les féministes de tout poil sont restées totalement taisantes, et n’ont pas crié « Sus au Patriarcat ». France Info, qui a publié plus de 50 articles sur l’affaire Pélicot, n’a quasiment pas donné la moindre information sur les faits reprochés à son ancien journaliste, bizarre non ? Serait-ce France désinformation ? Certes, nous dira-t-on, il avait quitté cette profession en 2006, et que l’on n’est pas responsable des perversions secrètes de ses journalistes, dont acte.

Ni Libération, ni Médiapart, ni l’Humanité, ni Le Monde, ni Ouest-France n’en ont vraiment parlé. Pratiquement non plus du côté de BFMTV ou de LCI. Seul Cnews en a débattu à plusieurs reprises, notamment dans l’émission de Pascal Praud. Le seul journal régional qui y a consacré quelques articles est La Dépêche et aussi France 3 Occitanie, l’Ariège se trouvant dans leur champ géographique de compétence. On notera également que certains articles mettent en exergue les mensonges réitérés de Jean-Philippe Desbordes, se présentant faussement comme anthropologue, chercheur au CNRS, ou professeur d’Aïkido, selon notamment le JDD.fr du 29/11/2024.

Gilles-William Goldnadel a lancé « Je pense que quand vous commettez des actes de barbaries avec des viols sur trois de vos belles-filles avec la complicité de leur mère, c’est quasiment aussi choquant que l’affaire Pélicot ». Et de dénoncer l’audiovisuel public « parce que c’est un des leurs... il pratique l’omerta ». Indignation morale à géométrie variable, comme le décrypte Boulevard Voltaire, on y est habitué avec les gauches, le deux poids deux mesures leur est permanent et sur tous les sujets, immigration, délinquance, c’est leur marque de fabrique. En ce sens, la perversité des femmes est bien à l’égal des hommes. J’avais il y a plus de 20 ans maintenant, plaidé comme partie civile, pour de jeunes enfants placés à l’Aide sociale à l’enfance, ils avaient été violés, autant par leur mère que leur beau-père, le nouveau compagnon de cette dernière, la mère autant que je m’en souvienne avait pris 20 ans de réclusion. Le sadisme, la perfidie, et la noirceur de l’âme ne sont pas des apanages uniquement masculins, comme veulent nous le faire croire nos néos féministes gauchistes. On vient d’apprendre que Radio France aurait consulté ses avocats pour éventuellement intenter une action judiciaire contre GW Goldnadel, accusant ce dernier « de dénigrement du Service public ».

Pour sa défense, l’ancien journaliste de gauche a fait savoir qu’il était un « bouc-émissaire », « une proie », « une cible », qu’il était la victime d’un « féminazie », nouveau barbarisme incongru. La dépêche a titré « Elles ont vécu dans la maison de l’horreur ». Il est à noter la relative clémence de la Cour, le principal prévenu risquait la perpétuité, sa complice 30 ans de réclusion. La dépêche relate aussi des privations de soins, des sévices répétés, des mauvais traitements autant psychologiques que physiques. Mais sauf erreur de ma part, dans les différents articles de la Dépêche, on se garde bien de préciser que Desbordes, avait travaillé, dans le passé, à France Info. Aucun article des rares journaux qui ont rapportés l’affaire, ne relèvent le nom des différents médias dans lesquels il a œuvré, aucun. En aurait été-t-il de même s’il avait chroniqué sur Cnews, l’actuel JDD, ou Valeurs Actuelles ? Poser la question c’est y répondre me semble-t-il ?  Que vous soyez de gauche ou de droite, les médias vous blanchiront ou vous noirciront, les jugements de Cour aussi.

14:48 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

THIBAUD GIBELIN : "IL APPARTIENT À TRUMP ET ORBAN DE MENER LA BARQUE DE L'OCCIDENT"

À l'occasion de la sortie du documentaire, "Hongrie, le monde d'Orban", OMERTA reçoit l'essayiste Thibaud Gibelin. L'auteur de "Pourquoi Viktor Orban joue et gagne" (Fauves éditions) revient sur l'élection de Donald Trump et des relations entre le président réélu et le Premier ministre hongrois. Relation Hongrie - Serbie, accords du MERCOSUR, conflit russo-ukrainien, le professeur invité au Mathias Corvinus Collegium balaye également l'actualité du moment.

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Source : omertamedia.fr

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Lancement par les Editions du Puy-du-Fou d'un magazine destiné aux adolescents : Le Panache...

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Sous la direction de Gwenaële Barussaud, autrice à succès de la série « Célestine, Petit rat de l’opéra », Puy du Fou Éditions dévoile son tout premier magazine jeunesse.
 
Des fictions illustrées, une bande dessinée originale suivie d’un numéro à l’autre, des rubriques mises en images sur la nature, l’histoire, la géographie…
 
Chaque mois, recevez un magazine grâce auquel vos 8-13 ans reprendront goût à la lecture ! Rempli de récits légendaires, plein de surprises et d’émotions, Le Panache leur fera découvrir les splendeurs françaises ! 
 
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vendredi, 29 novembre 2024

La Vendée a tenu face aux menaces gauchistes : salle pleine pour la diffusion de Silenced

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Rose Martin

Riposte Laïque a rendu publiques, hier, les menaces et les insultes d’un groupuscule gauchiste vendéen, qui avait décidé d’utiliser tous les moyens pour interdire la diffusion du film de Tommy Robinson, « Silenced ». C’était pourtant une première en France, et la Vendée qui avait su à l’initiative de Philippe de Villiers accueillir le grand Soljenitsyne il y a 30 ans ne pouvait que s’enorgueillir d’être la première région à accueillir ce documentaire-choc,  sur l’instrumentalisation, par l’appareil d’État anglais, d’un fait divers dans une école pour victimiser un élève syrien et salir un jeune Anglais. Dans ce film, Tommy réalise un extraordinaire travail de journaliste et réussit à percer tous les mensonges de cette affabulation et à dénoncer tous ceux, politiciens, journalistes, avocats, juges, islamistes et antifas qui se sont ligués contre lui pour le menacer, lui et sa famille, et interdire la diffusion de ce film sur le territoire anglais. Cliquez ici

L’affaire a fait grand bruit. Ouest-France a consacré une page complète à l’événement, en chargeant naturellement Tommy et le Rassemblement Vendéen, accusés de tous les maux. Toute la journée de mercredi et de jeudi, les gauchistes ont multiplié les intimidations. Ce sont des centaines de courriels, de textos et de coups de téléphone menaçants qu’a reçu le propriétaire du cinéma. Le maire a été lui aussi insulté et diffamé, pour ne pas s’opposer à l’initiative, de même bien sûr que l’organisateur de l’événement, Eric Mauvoisin. Les gauchistes une fois encore ont montré qu’ils étaient les pires ennemis des libertés publiques, puisque incapables d’accepter qu’on diffuse ce film qu’ils n’ont pas vu d’ailleurs mais qu’ils qualifient de raciste et de fasciste. En bons totalitaires qu’ils sont, ils ont donc tout fait pour obtenir l’annulation de la diffusion. Ils ont échoué, le film a été diffusé, la salle était complète, 100 personnes étaient présentes, un résultat inespéré pour le Rassemblement Vendéen.

Si la Vendée a été pionnière encore une fois dans un nouveau combat, elle le doit à trois hommes courageux, qui, chacun dans leur rôle, ont défendu la liberté d’expression, en permettant à « Silenced » d’être diffusé en France et en Vendée. Eric Mauvoisin, d’abord, a fait le voyage le 26 octobre à Londres où il est intervenu devant 50.000 manifestants, des familles des classes populaires, pour apporter le soutien de la France à Tommy qui venait juste d’être arrêté par les forces de l’ordre avant d’être emprisonné – pour 18 mois – deux jours plus tard. Grâce aux contacts noués avec l’équipe du militant patriote anglais, Eric a pu obtenir la possibilité de diffuser le film en France, avec un nouveau sous-titrage de qualité.

Félicitons également le propriétaire du Ciné Triskell Eric Dubot qui a accepté de mettre à la disposition du Rassemblement Vendéen une salle de cent places, rappelant qu’il louait des salles à toutes les composantes de la société, que l’association présidée par Eric Mauvoisin s’est présentée aux dernières élections législatives et qu’elle fait partie de la diversité d’opinion qui a le droit, comme les autres, de s’exprimer et de proposer des initiatives à la population. Il a tenu bon face aux menaces et aux insultes.

Dans cette histoire, le maire, Rémi Pascreau, a lui aussi résisté, refusant la facilité qui aurait été de reculer sous les menaces brandies et d’acheter la paix avec les gauchistes au prix d’une du déshonneur. On aimerait tant que nombre d’autres maires de France fassent preuve d’autant de courage.

L’organisation était parfaite, une équipe de militants du Rassemblement Vendéen assurait efficacement la sécurité, une voiture de gendarmerie était également présente, la salle était pleine, le débat qui suivit fut intéressant, et on se sépara par un vin d’honneur, avec une chanson pour Tommy, qui fêtait ce jour ses 42 ans, hélas en prison.

Et pas de trace d’un seul gauchiste, ce qui ne manqua à personne.

Nous reviendrons, dans un prochain article, sur ce film et surtout la nécessité de le faire diffuser dans la France entière. Il n’est pas inutile de constater le degré de soumission aux islamistes de l’appareil d’Etat anglais, et de comparer ce que vit Tommy avec la persécution de certains dissidents français. Mais dans ce documentaire, le résistant anglais donne une leçon de courage et de combativité non seulement au peuple anglais mais aussi à tous ceux qui, en France et dans le monde, entendent lutter pour la liberté d’expression.

Source Riposte laïque cliquez là

19:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 28 novembre 2024

Souvent terrorisme varie, bien fol est qui s’y fit…

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La chronique de Philippe Randa

La classe politique est quasi unanime à s’offusquer après la proposition de loi de La France Insoumise visant à abroger le délit d’apologie du terrorisme dans le code pénal… et malheur à celui ou celle qui ne s’indignerait pas d’une telle proposition jugée « ignoble (…) innommable » (Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur), « résolument contre » (Didier Migaud, Garde des Sceaux), « proposition de loi de la honte » (Éric Ciotti, député), « insulte à toutes les victimes du terrorisme » (Othman Nasrou, secrétaire d’État), pour ne citer que les qualificatifs les plus aimables.

Au-delà de ce tohu-bohu médiatique qui finalement sert bien les intérêts d’une classe politique soucieuse de faire oublier d’autres préoccupations moins morales, mais plus inquiétantes telles l’apauvrissement des classes moyennes, l’augmentation de la précarité des plus démunis, l’explosion de l’insécurité sur fond de cartellisation des trafics de stupéfiants (liste non-exhaustive), on ne peut que reconnaître aux rédacteurs de cette proposition de loi qui sera défendue par le député LFI Ugo Bernalicis, un sens certain de la communication… réussie.

Sur la forme, tout d’abord, le message envoyé à leurs électeurs ne leur déplaira nullement, loin s’en faut… Entre ceux de gauche extrême communiant dans le culte de leurs « grands anciens » (de la française Action Directe aux italiennes Brigades rouges en passant par la teutonne Bande à Baader) et ceux naturalisés de plus ou mois fraîche date et modéremment indifférents aux quelques 30 à 40 000 morts (selon les diverses estimations) dans la bande de Gaza depuis l’offensive israélienne en 2023…

Pour ces Français-là, ces électeurs-là, il est certain que le terme de « terrorisme » n’a pas la même signification que pour bien d’autres Français pour qui la proposition de Loi insoumise est interprétée comme un futur blanc-sein pour vanter les mérites de tout bandit, trafiquant, violeur, assassin, escroc et autres catégories de population guère appréciée…

Mais sur le fond, cette proposition de loi est-elle vraiment scandaleuse, sachant que des esprits chagrins feront remarquer que le qualificatif de « terrorisme » a de tout temps été une variable d’ajustement de la propagande de guerre selon qui gagne ou perd une guerre.

Les exemples ne manquent pas dans l’histoire… Sans remonter à la préhistoire du terrorisme avec la secte des Zélotes (ou Sicaires) qui, au Ier siècle, se rébella en Palestine contre l’occupation romaine ou encore la secte ismaélienne des Assassins qui, à partir du XIe siècle sema la terreur, citons parmi les plus récents exemples ceux des Résistants français durant la IIe Guerre mondiale, appelés « terroristes » par les autorités françaises de l’époque tout autant que par les troupes d’occupation allemandes, puis les membres de l’OAS, partisans de l’Algérie Française et les Fellaghas, partisans de l’indépendance de ce pays, considérés les uns comme les autres comme « terroristes » sous la IVe et la Ve République française…

Et n’oublions pas Maximilien Robespierre, un des principaux instigateurs de « La Terreur » durant la Révolution française (35 000 à 40 000 guillotinés, fusillés ou morts dans les prisons, ainsi que les dizaines de milliers de morts lors des massacres en Vendée) dont nombre d’avenues, boulevards, rues ou squares portent aujourd’hui son nom en France.

Mais le cas le plus emblématique, sinon célèbre, reste sans doute celui de l’Africain Nelson Mandela, futur Prix nobel de la paix en 1993 : « Des années 80 et la présidence de Ronald Reagan jusqu’à 2008, l’ancien président [de l’Afrique du sud de 1994 à 1999] figurait ainsi sur la liste des terroristes, établie par les États-Unis. En cause : son parti, l’ANC, le Congrès national africain, était considéré par les autorités américaines comme une organisation terroriste, en raison de son engagement contre l’apartheid » (article du Monde en décembre 2013).

Alors, « ignoble », « innommable », « proposition de loi de la honte », « insulte à toutes les victimes du terrorisme », la proposition de loi LFiste ? Aujourd’hui, peut-être et pour certains Français seulement… mais demain ?

Souvent terrorisme varie, bien fol est qui s’y fit…

23:14 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Prix Goncourt c'est aussi cela :

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Source Cyril Destoky cliquez là

via Terre & peuple cliquez ici

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Samedi 14 décembre, à Dijon : repas de Noël du Parti de la France de Bourgogne

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Communiqué du PdF Bourgogne :

C'est le samedi 14 décembre, à Dijon, que le Parti de la France organise cette année son désormais traditionnel repas de Noël.

Thomas Joly, Président du Parti de la France, et Alexandre Hinger, Délégué régional du PdF pour la Bourgogne, prendront la parole au cours de ce dîner.

Amis bourguignons et limitrophes, venez à la rencontre de la vraie droite nationale !

Repas bourguignon (Apéritif - Entrée - Plat - Dessert - Digestif) : 30 € payables sur place.

Réservation obligatoire ici : alexandre@hinger.fr

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Parution du nouveau numéro de "Réfléchir & Agir"

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Pour le commander cliquez ici

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mercredi, 27 novembre 2024

Roumanie : un outsider nationaliste arrive en tête lors du premier tour de la présidentielle

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Lionel Baland
 
Lors du premier tour de l’élection présidentielle roumaine, Călin Georgescu a créé la surprise en arrivant en tête. Son discours pacifiste, centré sur la cessation des livraisons d’armes aux Ukrainiens, a séduit un électorat sensible aux tensions frontalières avec l’Ukraine, non pas tant « pro-russe » qu’anti-guerre. Son élection, si elle devait advenir, serait un signal fort envoyé à l’UE et au camp occidentaliste.

Lors du premier tour des élections présidentielles roumaines qui s’est déroulé ce dimanche 24 novembre 2024, le candidat nationaliste indépendant Călin Georgescu s’est imposé, à la surprise générale, à la première place. Son triomphe est avant tout dû à son positionnement en faveur de la paix en Ukraine, qu’il a fait connaître à la population en passant par les réseaux sociaux, tout particulièrement par l’application de partage de courtes vidéos TikTok. Diplômé en agronomie, il a été secrétaire général du ministère de l’Environnement et a ensuite occupé des fonctions aux Nations Unies.

Cet Outsider est désormais présenté, par la presse internationale de grand chemin, comme étant « pro-russe », alors qu’il désire simplement la paix en Ukraine et s’oppose à des livraisons d’armes supplémentaires à cet État. Il a déclaré, lors de la soirée post-électorale : « Ce soir, le peuple roumain a crié pour la paix. Et il a crié très fort, extrêmement fort. » Son discours pacifiste a fait mouche auprès de l’électorat d’un pays qui partage une frontière de plus de 500 kilomètres avec l’Ukraine, qui est une plateforme des livraisons occidentales vers cet État et où sont stationnées des troupes de pays membres de l’OTAN. Il a affirmé que l’Union européenne et l’OTAN ne défendent pas correctement les intérêts roumains.

Călin Georgescu a qualifié son succès de « réveil extraordinaire du peuple roumain » et a prétendu : « L’incertitude économique qui a pesé sur le peuple roumain pendant 35 ans est devenue aujourd’hui une incertitude pour les partis politiques. » Souverainiste, il désire favoriser l’autarcie économique, agricole et énergétique du pays.

La presse internationale du système met en avant l’affirmation émise dans le passé par Călin Georgescu à propos de deux personnages de l’histoire roumaine qu’il a qualifiés de « héros », affirmant que l’histoire a parlé par eux et non à travers les laquais actuels des puissances mondialistes : le « Conducător » Ion Antonescu, qui a dirigé le pays de 1940 à 1944 sous la houlette de l’Allemagne et a été fusillé en 1946, et le « Căpitanul » Corneliu Zelea Codreanu, chef de la « Légion de l’archange Michel » – renommée « Garde de fer » – assassiné en 1938. Il a ajouté : « Tous ont fait de bonnes choses et des choses moins bonnes. L’histoire a été mystifiée. »

Deux autres nationalistes

Un autre candidat nationaliste, le président de l’Alliance pour l’unité des Roumains (AUR) George Simion, arrive quatrième. L’AUR est eurosceptique modérée, souhaitant renforcer le poids de la Roumanie au sein de l’Union européenne, et est favorable à l’OTAN qui, selon elle, offre plus de sécurité, tout en étant anti-interventionniste dans le conflit ukrainien.

La candidate nationaliste Diana Șoșoacă de S.O.S. România n’a pas été autorisée à se présenter, sa candidature ayant été invalidée par la Cour constitutionnelle, sans que cette décision soit motivée.

L’idée de la « Grande Roumanie » – comprenant les anciens territoires roumains de Bessarabie, répartis de nos jours entre la République de Moldavie et la partie sud de la région d’Odessa en Ukraine, y compris l’île des Serpents, et de Bucovine du Nord en Ukraine – est très populaire au sein des milieux nationalistes roumains qui, par ailleurs sont très influencés par la religion orthodoxe.

Le président de l’AUR George Simion appelle à voter pour le nationaliste Călin Georgescu, face à la libérale Elena Lasconi arrivée deuxième avec un peu plus de 2 000 voix d’avance sur le Premier ministre social-démocrate Marcel Ciolacu sorti troisième, au deuxième tour de l’élection présidentielle prévu le 8 décembre. Entretemps, le 1er décembre, les élections législatives auront lieu à travers la Roumanie afin de désigner les députés et les sénateurs. Les partis nationalistes AUR et S.O.S. România seront en lice.

Les « anti-guerre » de moins en moins isolés

La montée en puissance de personnalités politiques opposées à la poursuite de la guerre en Ukraine, telle celle de Călin Georgescu, est un phénomène qui s’étend au sein de différents pays de la partie orientale de l’Union européenne, alors que, en Allemagne, le parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD) et le parti de gauche anti-immigration BSW, dont Sahra Wagenknecht est la figure de proue, mettent le gouvernement, qui est engagé dans une politique belliciste sous la coupe idéologique des écologistes de Bündnis 90/Die Grünen, sous pression : le Premier ministre démocrate-chrétien hongrois Viktor Orbán et le Premier ministre social-démocrate slovaque Robert Fico – dont le gouvernement comprend les deux partis sociaux-démocrates souverainistes et le parti nationaliste SNS – sont de moins en moins seuls. Même si le poste de président de la Roumanie est une fonction aux pouvoirs restreints, l’éventuelle élection de Călin Georgescu le 8 décembre constituerait une victoire symbolique pour le « parti de la paix ».

Article publié sur le site Eléments cliquez ici

Consultez le site de Lionel Baland cliquez là

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Eric Zemmour répond à l'Algérie après l'arrestation de Boualem Sansal

Eric Zemmour était l'invité de la chaine Frontières ce mardi en fin d'après-midi.

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mardi, 26 novembre 2024

La mort d’un stalinien gris et froid : André Lajoinie

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Michel Festivi

Les moins de 40 ou de 50 ans, ne s’en souviennent sans doute pas ou plus, on vient d’apprendre la mort d’André Lajoinie, communiste stalinien pur et dur, un apparatchik qui dans l’ombre de Georges Marchais, avala et fit avaler toutes les couleuvres du communisme stalinien.

Le PC dit français par l’intermédiaire de son Secrétaire national, Fabien Roussel, s’est fendu d’une larme, le même Fabien Roussel qui n’a guère remis en cause la volonté des LFI de supprimer le délit d’apologie du terrorisme. « Nous perdons un homme d’une grande humanité », a cru énoncer Fabien Roussel, c’est à se tordre de rire si l’Histoire n’avait été tragique, par les cent millions de morts du communisme.

Sa mort a aussi été saluée par de nombreuses personnalités de gauche, comme l’inévitable François Hollande, qui n’en rate jamais une dans la débilité politique, osant ajouter « il a grandi dans l’esprit de la Résistance », faisant sans doute allusion à la Résistance du PC « F », qui de 1939 à 1941 a sciemment trahi la France et les Français, pour ensuite ne combattre que pour la prise de pouvoir des moscovites. JL Mélenchon a souligné, lui, « son dévouement absolu au communisme ». Ian Brossat, le sénateur communiste qui insulte ceux qui osent critiquer les fumeux 75 000 fusillés du Parti qui n’ont jamais existés, ou si peu,  y est allé aussi de son couplet louangeur, comme le député PS, Emmanuel Grégoire.

Mais ce que ne vous dirons pas, tous ces chantres du communisme international, c’est que la campagne électorale pour les élections présidentielles de 1988, que mena André Lajoinie, fut financée à 100% par l’argent de l'URSS, par l’argent d’un pays totalitaire qui mettait encore ses dissidents dans les goulags ou les hôpitaux psychiatriques, beaucoup feignent de l’oublier.

Dans mon livre publié cette année chez Dualpha, « La désinformation autour du Parti communiste « français » cliquez ici, je reviens sur cette séquence de l’histoire. Pierre Lorrain et Victor Loupan, deux soviétologues qui parlaient le russe, avaient déniché dans les archives de Moscou, de multiples documents qui prouvaient que de 1921 à 1991, le PC « F » avait été entièrement sponsorisé par la IIIème internationale, ou par Moscou. Cf L’argent de Moscou publié en 1994 par Plon.

Dans les annexes du livre de ces deux éminents historiens, on y trouve une lettre d’Anatoly Dobrynine adressée à Mikhaël Gorbatchev en date du 29 juin 1987, et on peut y lire ceci : « Gaston Plissonnier a fait savoir que Georges Marchais lui avait demandé de solliciter auprès de vous une aide supplémentaire pour le PCF. Cette demande concerne l’élection présidentielle en France qui aura lieu en 1988... nous nous tournons vers notre frère, le PCUS, comme c’était la coutume dans le passé, pour qu’il nous accorde une aide supplémentaire de 10 millions de francs... Pour information, le PCF a déjà reçu en 1987, deux millions de dollars du fonds d’aide international aux organisations ouvrières de gauche... ». Quatre jours plus tard, l’argent de Moscou, parvenait au PC « F ».

André Lajoinie était un triste personnage et un personnage triste et gris comme tous ces sbires staliniens qui appliquaient à la lettre les ordres venus de la Place Rouge, que ce soit pour la RDA en 1953, la Hongrie en 1956, la Tchécoslovaquie en 1968, la Pologne en 1981 etc. Sa campagne électorale de 1988 fut un désastre, tant il n’avait aucun charisme, ni aucune empathie pour quiconque. Il fit à peine plus de 6,70%, soit la moitié moins que Georges Marchais en 1981. La dégringolade électorale du PC avait déjà commencé. Aujourd’hui le PC « F » aimerait faire ce score ou s’en rapprocher. Son journal l’Humanité, qui n’a quasiment plus aucun lecteur, ne survit que par la manne financière gouvernementale payée par les impôts des français. Ses quelques députés ne sont élus que par qu’ils bénéficient de l’apport des islamogauchistes de LFI. Mais l’idée désastreuse communiste n’a pas disparu, loin s’en faut, elle est toujours présente dans notre histoire politique et nationale. Comme l’a écrit François Kersaudy, dans Les dix faces cachées du communisme : « qu’une idéologie aussi mortifère puisse exercer un tel attrait et susciter autant de dévouements fanatiques, voilà qui restera sans doute, l’une des plus grandes énigmes de ces cents dernières années », Editions Perrin 2023.

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lundi, 25 novembre 2024

UKRAINE : CA SUFFIT,  MACRON  NOUS  ENTRAINE  VERS  UNE  GUERRE  QUI  N’EST  PAS  LA NÔTRE !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Le chef de l’État, de plus en  plus rejeté par une majorité de Français, prend d’inquiétantes initiatives, mettant la France en danger pour des intérêts qui ne sont pas les nôtres. Un petit rappel des circonstances historiques qui ont conduit à la guerre en Ukraine est nécessaire.

En 1954, le Premier secrétaire du Parti communiste d’URSS Nikita Kroutchev, natif d’Ukraine, avait détaché de la Russie  proprement dite,  la  Crimée,  pour l’arrimer  à la République socialiste soviétique d’Ukraine. Or, cette péninsule était russe depuis la tsarine Catherine II, les seuls autochtones authentiques étant des Tatars, aujourd’hui une ethnie minoritaire.

Le conflit absurde entre deux peuples slaves de même religion, attisé par les menées occidentales de 2004 lors de la « Révolution orange », aggravé par les frappes ukrainiennes contre les poches séparatistes russophones du Donbass en 2014 – lesquelles entrainèrent de massives  et cruelles représailles russes -,  est, en fait,  une effroyable guerre civile. Elle résulte d’un mauvais tracé des frontières lors de la chute de l’URSS en 1991, entrainant ailleurs d’autres   velléités sécessionnistes en Moldavie, avec la Transnistrie, et en Géorgie avec l’Abkhazie et l’Ossétie.

Les pays de l’OTAN, en tête desquels la France macroniste, en autorisant les autorités de Kiev à tirer des missiles de longue portée sur le sol russe - sans oublier que la France forme sur son sol les éléments d’une brigade ukrainienne et s’apprête à livrer des Mirage 2000 -, ajoutent de la guerre à la guerre. La seule attitude convenable pour respecter une exigeante neutralité, eut été de fournir à l’Ukraine des moyens de défense anti-aériens capables de protéger efficacement ses villes et ses infrastructures, au lieu d’alimenter son arsenal offensif qui ne fait qu’exciter la Russie contre nos  intérêts. Intérêts que nous avons sacrifiés  au bénéfice du complexe militaro-industriel américain, en nous privant du gaz russe, et en fermant avec pertes sans profits nos entreprises, qui employaient 160 000 salariés russes.

Avant que ne se lève l’espoir d’une paix de compromis avec l’arrivée au pouvoir de Donald Trump en janvier 2025, il convient de dire « STOP » à la délirante fuite en avant vers une potentielle III ème Guerre mondiale !

Le Parti de la France invite les Français à refuser cet engrenage belliciste, et demande à notre état-major général de réfréner les obsessions guerrières de Manuel Macron, l’homme qui n’a jamais mis les pieds dans une caserne ni, à plus forte raison, jamais chaussé de rangers ! 

23:23 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LA VÉRITÉ ÉCLATE ENFIN ! TOUT SUR L’ATTENTAT DE NOTRE-DAME AVEC LUDOVIC MALOT

L’incendie de Notre-Dame dépasse la simple hypothèse d’un accident fortuit. La société Aubriat, impliquée dans le traitement des poutres de la cathédrale, a appliqué un gel anti-champignons. Le choix de faire intervenir cette société interroge d’autant plus que le logo de l’entreprise présente des similitudes troublantes avec des symboles ésotériques, renforçant les spéculations sur une conspiration. Cette intervention soulève des doutes sur la sécurité des travaux réalisés sur ce patrimoine emblématique, écho aux controverses historiques liées à la restauration des monuments en France.

Le phénomène de la fumée jaune durant l’incendie, attribué par certains au plomb fondu, a nourri des interprétations plus mystiques. Cette couleur inhabituelle a conduit certains à y voir des signes d’influences occultes, évoquant la symbolique associée à la fumée dans des rituels magiques. Notre-Dame, chargée d’histoire et de spiritualité, est souvent associée à des événements au-delà du rationnel, et son aura a longtemps captivé l’imaginaire collectif. Ces éléments renforcent l'idée que des forces symboliques ou culturelles pourraient être à l'œuvre autour de cet événement.

On analyse ce sujet important avec Ludovic Malot, Marc Daoud, Frigide Barjot, Andrzej Linowiecki et Mike Borowski sur GPTV.

Ludovic Malot, franco-suisse, est économiste et entrepreneur. Il est un expert sur les fondamentaux d’une monnaie saine adossée à l’or et l’argent métal et détaille dans son ouvrage "Le suicide monétaire", le système actuel frauduleux avec ses nombreuses implications notamment politiques, économiques, financières, sociales et environnementales.

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17:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mercredi soir prochain, sur C8 :

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17:12 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 24 novembre 2024

Breizh-Info, 11 ans de combat médiatique : nous dérangeons, donc on continue !

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Entretien avec Pierre Cassen publié sur Riposte laïque cliquez là :

Quand un site ami comme Breizh Info et son fondateur Yann Vallerie publient un livre sur l’histoire de leur aventure médiatique, il est normal que le fondateur de Riposte Laïque s’intéresse à cet ouvrage, et lui pose quelques questions. Cela fait partie de la solidarité nécessaire entre sites de la réinfosphère, qui mènent un combat semblable, avoir parfois des chemins différents…

Riposte Laïque : Vous êtes le fondateur de Breizh Info, son responsable de publication, et vous êtes considéré comme son principal animateur. Pourriez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

Yann Vallerie : Je m’appelle Yann Vallerie, j’ai 40 ans, père de trois enfants. J’habite à côté de Callac, dans les Côtes d’Armor. Je suis ce qu’on peut appeler un « identitaire breton », dans le sens où la Bretagne est ma nation, et qu’à différents niveaux et de différentes façons, j’ai mené des combats politiques, et aujourd’hui médiatiques, pour ma nation, comme pour plus globalement la civilisation européenne, et, encore plus globalement, pour l’idée d’identité et d’enracinement à travers le monde.

Les frontières permettent à chaque peuple sur cette planète de se développer sereinement et de se protéger. Elles sont essentielles à la bonne marche et à la bonne harmonie du monde, n’en déplaise à ceux qui, apprentis sorciers qu’ils sont, veulent les abolir.

Après avoir  travaillé dans la sécurité, en poissonnerie, à l’usine, et surtout pendant 8 ans en hôtellerie-restauration – un domaine rempli de beaux métiers malheureusement très mal payés malgré le courage des gens qui y travaillent – j’ai donc embrassé la carrière de journaliste indépendant, et fondé breizh-info.com avec des camarades.

Riposte Laïque : Vous avez annoncé la sortie d’un livre, pour le mois de novembre, sur l’histoire de Breizh Info, un journal breton créé en 2013. Pourquoi ce projet ?

Yann Vallerie : On a loupé l’écriture du livre pour nos 10 ans, donc on y est parvenu pour nos onze ans. Pourquoi pas ? L’idée était de faire un bilan de parcours. Qui est Breizh-info.com ? Qui sont les gens qui travaillent derrière ? Quel est notre quotidien professionnel ? Qu’est-ce que nous défendons en matière éditoriale, et que voulons-nous faire demain ? Quelle place pour notre journal dans le combat médiatique d’aujourd’hui ? Quelles ont été nos victoires, quel a été notre intérêt depuis 11 ans ? C’est à tout cela que nous tentons de répondre dans ce livre.

Riposte Laïque : Comment définiriez-vous le journal que vous avez créé, et en quoi est-il différent d’autres médias de la réinfosphère ?

Yann Vallerie : Tout d’abord, il s’agit d’un média de la Presse Quotidienne régionale (PQR). Nous produisons un contenu à 40-50 % local (sur la Bretagne unifiée donc, à 5 départements) et bien entendu, une actualité plus française, européenne, ou même mondiale, mais qui concerne aussi les Bretons et ceux qui habitent en Bretagne. Mais nous sommes lus quotidiennement au Canada, en Belgique, en Australie… donc au final, notre journal n’est pas uniquement focalisé sur la Bretagne. C’est un média breton de presse alternative.

Ce qui nous distingue de la réinfosphère ou d’autres journaux, c’est notre volonté de ne pas traiter que les sujets politiques, ou sociétaux. Nous traitons aussi le sport, la santé, la culture, l’économie… nous sommes un vrai média généraliste, et c’est ce qui fait notre force, grâce à la diversité et à l’ouverture d’esprit des gens qui composent notre rédaction, quoi qu’en disent nos détracteurs – qui n’ont jamais pris la peine de nous rencontrer, ni même d’essayer de nous parler.

Riposte Laïque : Vous annoncez dans cet ouvrage que depuis une dizaine d’années, les deux journaux phares de Bretagne, Ouest-France et Le Télégramme, voient leur audience chuter. Comment vous définissez-vous par rapport à eux, êtes-vous rivaux, concurrents, ou bien évoluez-vous dans des registres très différents ?

Yann Vallerie : À la création de Breizh-info.com, nous sommes partis du constat que les deux journaux que vous avez cités pratiquaient une forme d’omerta sur certains sujets, tout en influençant grandement la population, notamment âgée, qui reçoit tous les jours son journal dans sa boîte aux lettres. Nous ne comptions plus le nombre d’articles en faveur de l’immigration, des migrants, et cela alors que de plus en plus de gens étaient hostiles à ce grand mouvement de fond. Aujourd’hui, c’est la même chose avec les questions sociétales autour du genre, de la transexualité, etc. Il y a un focus démesuré sur des pratiques, des façons de vivre, qui sont totalement minoritaires : ce qui est insignifiant devient au centre de l’actualité, par le travail de certains de ces journalistes.

Nous voulions contrebalancer cela. Nous avons été les premiers à évoquer la question de la délinquance importante des mineurs isolés étrangers à Rennes et Nantes notamment. Aujourd’hui les deux principaux quotidiens ont été obligés d’évoquer cela, de ne plus pratiquer l’omission. Idem pour le trafic de drogue, véritable gangrène qui se développe dans toute la Bretagne.

Je ne vois pas ces quotidiens comme des concurrents : ils sont bien plus importants que nous économiquement, et en terme d’influence, même si en onze ans, nous nous sommes aperçus que nous en avions énormément. Je nous vois plutôt comme des compléments à une certaine information parfois très orientée. Nous sommes une autre boussole, avec une autre grille de lecture, et surtout une indépendance de ton (nous ne touchons pas de subvention ni ne sommes liés à aucun groupe économique) qui nous permet de dire ce que nous voulons, dans les limites fixées par la loi française, et de ne pas faire de concession. Cette liberté, nous ne la vendrions pour rien au monde.

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Alban d'Arguin invité du Parti de la France

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Mercredi 11 décembre, à Paris : Xavier Eman dédicace son nouveau livre "Formatage continu" à la Librairie Vincent

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L’alliance politique abjecte entre La France insoumise et l’islamisme

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Michel Festivi  

La France dite mensongèrement « insoumise » s’est vautrée corps et biens dans la mouvance islamiste, elle s’est inféodée à cette dernière, elle qui ose prétendre qu’elle serait « insoumise ». De plus, comment ne pas rappeler, que le terme « musulman », signifie très exactement « celui qui se soumet à Dieu », ou, mais le sens est totalement identique « celui qui se remet à Dieu » selon l’islamologue Jacques Berque. Dès lors, en s’adossant jusqu’à plus soif, comme nous allons le voir, avec les pires des islamistes, les militants et dirigeants de La France « insoumise » se sont totalement et complètement agenouillés devant une religion politico-juridique, l’islam, qui entend conquérir le monde, eux qui se prétendent de surcroit, pour la plupart athées. Elle est devenue La France Islamiste, son vrai sigle désormais (LFI).

Un opposant Syrien au régime de Bachar el Hassad, qui vit en France, Omar Youssef Souleimane, a réussi à s’immerger pendant plusieurs mois parmi les pires des activistes propalestiniens, en se grimant, en portant l’éternel keffieh autour du cou, et en scandant à son corps défendant, les pires slogans islamistes. Son enquête vient de paraître le 22 novembre, dans Le Figaro Magazine, elle commence par le rappel d’un anniversaire de sang, le 5 octobre 2024, place de la République à Paris, ou se sont réunis tous ceux qui entendent célébrer le massacre des juifs, un an auparavant, dont le collectif Urgence Palestine, constitué le 8 octobre 2023, le lendemain de cette tuerie perpétrée par le Hamas, avec l’aide de l’Iran.

Omar Youssef est aux premières loges, et il peut ainsi témoigner de ce qu’il voit et entend. La bannière LFI est bien sûr présente, aux côtés des drapeaux palestiniens, à l’image de ces étendards à croix gammées qui flottaient dans le vent à Moscou, le 23 août 1939, entrelacés avec les drapeaux rouges incrustés de la faucille et du marteau. Car tout se tient en matière de terrorisme politique, communisme, nazisme, islamisme et aujourd’hui LFIsme. Le symbole du Hamas, un triangle rouge renversé, et toujours et encore l’oriflamme de LFI, qui côtoie ceux de la Palestine et de l’Algérie, nous informe Omar Youssef.

Comme dans les manifestations à Damas, en 2011, Omar Youssef nous apprend qu’il s’est grimé, pour ne pas être reconnu. Et il déclare « Je n’aurais pas imaginé me retrouver dans des manifestations où des hommes barbus, des extrémistes, au regard agressif répètent des slogans qu’on entendait en Syrie « à bas Israël » ». Parmi cette foule galvanisée de haine, ces yeux injectés de sang, il signale les députés LFI présents, qui font donc leurs de facto, ces appels au meurtre, Thomas Portes, Ersilia Soudais, Louis Boyard, Manon Aubry, et bien sûr le leader Maximo, el Comandante, le grand Timonier, Jean Luc Mélenchon.

LFI a dès le début fait sienne les déblatérations terroristes du Hamas « une offensive armée des forces palestiniennes menée par le Hamas », effectivement, tuer sciemment et volontairement, méthodiquement, des bébés, des enfants, des femmes, des jeunes ou moins jeunes totalement désarmés, c’est une offensive armée. Omar Youssef décrit la présence d’un certains nombres de terroristes patentés, ou de soutiens à ces terroristes, comme Omar Alsoumi (sans jeu de mots), militant d’un groupuscule allié au FPLP, organisme classé terroriste par les pays de l’Union Européenne et bien d’autres nations, directeur d’Urgence Palestine. Nous apprenons, que cette personne avait été aperçue, le 8 mars 2024, lors d’une manifestation dont certains membres avaient agressé des femmes de confession juive, nous dit notre reporter, on imagine le contraire, des femmes voilées agressées par des militants juifs, le monde entier aurait immédiatement réagi.

Les photos illustrant l’article nous montrent Manuel Bompard arborant un drapeau à l’effigie de George Ibrahim Abdallah, chef d’une ancienne organisation terroriste, la FARL, et condamné à perpétuité pour plusieurs assassinats en France. Notre journaliste syrien a repéré Mehdi Meftah, ami de Tariq Ramadan. Que du beau monde. Cet islamiste de haut vol est régulièrement aperçu avec à ses côtés les mêmes députés LFistes. En 2021, lors de l’examen du projet de loi contre « le séparatisme », édulcoration macronienne au demeurant, Meftah était vent debout et déclarait à une chaine libanaise soutenant l’Iran et le Hezbollah, que cette loi pourtant très en retrait par rapport aux enjeux était un « signe horrible pour les musulmans » et relevait « du racisme d’État. »

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17:03 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |