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mardi, 06 février 2024

 La guerre des États-Unis contre l’Europe. Conférence de Youssef Hindi à Bruxelles le 28 février

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Artémus a le plaisir de recevoir, le chercheur et historien des religions Youssef Hindi, en exclusivité belge à l'occasion de la sortie de son dernier essai « La guerre des États-Unis contre l’Europe ». 

L’Union européenne a été créée sous le prétexte de concurrencer les États-Unis sur le terrain commercial. Quelle est la véritable nature de cette guerre ? Les questions prosaïques et terrestres, économiques et géopolitiques dissimulent peut-être un autre genre de guerre qui ne dit pas son nom. Une conférence inédite de Youssef Hindi, le 28 février prochain.

Sur inscription uniquement, via notre billetterie.

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Revue de presse : Avoir des enfants, un « plus » pour un politique ? La réponse est oui

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Gabrielle Cluzel Boulevard Voltaire cliquez ici

Stupeur et tremblement. Un propos de Guillaume Peltier au micro de Sonia Mabrouk sur Europe 1/CNews a déclenché une vague d’indignation : « Marion Maréchal est maman de deux petites filles et ça compte beaucoup. » Guillaume Peltier ajoute être « assez gêné » par cette « nouvelle mode », cette « tendance » des politiciens à ne pas avoir d’enfants : il cite Emmanuel Macron, Gabriel Attal mais aussi les têtes de liste aux européennes Bardella et Bellamy. Pour lui, « à l’heure où la natalité est en berne, la politique familiale est attaquée […] avoir des enfants est un message politique ». Il précise vouloir le dire « sans jugement et avec beaucoup de délicatesse » : pour lui, ce n’est pas « un moins » de ne pas en avoir, mais « un plus » d’en avoir : « Avoir des enfants, c’est la garantie de sérieux, de concret par rapport au présent et par rapport à l’avenir. C’est la certitude que la valeur de transmission va l’emporter sur la valeur de l’ambition. » « C’est la garantie, conclut-il, qu’on pensera davantage à la prochaine génération qu’à la future élection. »

Blessant mais vrai 

On peut trouver le propos, en dépit des précautions oratoires, maladroit et potentiellement blessant pour les personnes nommément citées, car il fait fi des raisons intimes, qui sont parfois de grandes souffrances : on se souvient de l’ancien Premier ministre d’Écosse, Nicola Sturgeon, souvent cité parmi les dirigeants sans enfant, qui avait avoué avoir fait jadis une fausse couche. Mais la politique n’a jamais été le lieu le plus charitable du monde. Par ailleurs, si aborder la vie privée est interdit en politique, il faut que cette règle soit appliquée dans tous les sens : n’oublions pas que c’est Gabriel Attal lui-même qui a évoqué son homosexualité, dans un contexte totalement hors sujet, à l’Assemblée, il y a quelques jours.

Au fond, ce qu’assène Guillaume Peltier est-il fondamentalement faux ?

Les noms d’oiseaux fusent de partout, et en particulier du RN : « C’est tellement bidon, blessant et ridicule… », jette notamment, sur X, le député du Gard Pierre Meurin Jordan Bardella n’a que 27 ans ; et il se donne à fond pour son pays. Louis XIII n’est devenu père de Louis XIV qu’à 28 ans. Il était pourtant un grand roi. »

Difficile, bien sûr, de faire grief à un jeune homme de 27 ans de ne pas (encore) avoir d’enfants. Mais puisqu’on répète à l’envi que la jeunesse est un atout, n’a-t-on pas le droit de dire qu’en revanche, le manque d’expérience en est le revers ? Or, il se trouve que la parentalité est une incomparable expérience empirique, qui « vous enracine et vous oblige à prévoir l’avenir », vous force à « ne pas travailler pour votre bien-être à vous », qui « vous oblige à prendre des décisions qui s’inscrivent dans le temps long ». Ce n’est pas moi qui le dis mais Marine Le Pen, à l’auteur du livre Femmes dirigeantes, comment elles ont osé (Plon, 2022). Marine Le Pen use, du reste, de ce statut personnel pour faire campagne : à Saint Rémy-sur-Avre (Eure-et-Loir), en 2022, c’est en « mère de famille » que Marine Le Pen s’est posée pour défendre les « plus vulnérables ». Une posture rassurante que lui autorise - légitimement - sa situation personnelle.

Nicolas Sarkozy, dans le livre Chérie, j’ai rétréci la droite (Robert Laffont), avance quant à lui que le manque d’autorité d’Emmanuel Macron serait lié au fait qu’il n’a pas d’enfant. A-t-on le droit d’aborder ces questions ou sont-elles taboues ? Quand Gabriel Attal affirme qu’ayant été lui-même harcelé, il comprend les enfants qui le vivent, il s’avance un peu : si jeune soit-il, il fait référence à l’école d’il y a vingt ans. La dégringolade est si rapide, en France, que le harcèlement d’aujourd’hui n’est pas comparable à celui d’hier. Il faut être parent pour en prendre la mesure.

Symbole et malaise 

Puis si, individuellement, l’infécondité de ceux qui nous gouvernent (ou y prétendent) ne veut rien dire, elle est, collectivement, chargée de sens.

D'abord, pour le symbole : la natalité en berne de nos pays européens et de leurs dirigeants est révélatrice d’un état d’esprit - même si, encore une fois, chaque histoire est singulière - où la vie de famille, la procréation, l’envie de transmettre ne sont pas les priorités. Comme leurs nations, nos dirigeants acceptent de disparaître sans postérité.

Ensuite, pour le malaise qui en résulte : alors que l’horizon est si chaotique, que les peuples ont la certitude un peu plus forte, chaque jour, qu’une élite décide de leur avenir - et, donc, de celui de leur progéniture - sans les consulter, il y a comme une présomption d'« après moi le déluge » : quand, en 2015, celle qui, bizarrement, a été surnommée « Mutti Merkel » a ouvert la voie à une immigration massive en Europe, par la route syrienne, avec son célèbre « Wir schaffen das » [« Nous y arriverons ! »], c’est l’avenir des enfants qu’elle n’a pas qu’elle a obéré.

 

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6 FÉVRIER : EN SOUVENIR DE ROBERT BRASILLACH

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Lisez le bulletin de  l'Association

des Amis de Robert Brasillach :

Monique Delcroix BP 19 60240  Chaumont-en-Vexin

10:46 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les agriculteurs, lanceurs d’alerte sur le déclin de l’Europe

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La colère des agriculteurs a mis en lumière les impasses du modèle de transition écologique promu par la Commission européenne, analysent l’économiste, Christian Saint-Etienne et le banquier d’affaires, Philippe Villin. En s’imposant des normes contraignantes sans exigence de réciprocité pour ses partenaires commerciaux, l’Europe est en train d’hypothéquer son avenir et de détruire sa croissance économique, estiment-ils. Si les dirigeants européens persistent dans leur aveuglement, cette politique ne fera qu’accélérer le déclin du Vieux Continent, concluent-ils, et cela profitera à la Chine et aux États-Unis, qui ont su donner la priorité à leur industrie nationale.

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Source : Le Figaro 5/2/2024

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lundi, 05 février 2024

Notre Ami Daniel nous a quitté...

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Depuis des années, Daniel était devenu une figure incontournable de nos Journées Bleu-Blanc-Rouge de Synthèse nationale. Il était en effet l'un des piliers du comité d'organisation, chargé en particulier de superviser la "partie restauration" (poste hautement stratégique s'il en est). Et, en plus, il maitrisait parfaitement l'utilisation du Système d'exploitation Apple, ce qui le rendait encore plus indispensable dans notre organisation. 

Toujours aimable, toujours attentif, toujours efficace, répondant toujours "présent", il faisait parti de ces gens sur lesquels je pouvais m'appuyer sans souci aucun. Hélas, à la prochaine journée BBR, Daniel ne sera plus là. Il est subitement décédé, chez lui à Versailles, à la fin de la semaine dernière... 

Personnage attachant, des années durant, il avait tenu une librairie au coeur de la capitale royale. Fin gourmet, il connaissait parfaitement toutes les bonnes tables de cette ville qu'il aimait tant. Observateur avisé, il avait toujours un avis intéressant sur l'actualité. C'était toujours un plaisir de passer un moment avec lui. 

Repose en paix Ami Daniel, nous ne t'oublierons jamais.

Roland Hélie

 

20:02 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ni wokisme, ni cosmopolitisme – Conférence de Martin Peltier à Grenoble le 17 février

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La section Rhône-Alpes d’Égalité & Réconciliation recevra Martin Peltier à Grenoble le samedi 17 février 2024 à 15 h pour une conférence intitulée « Le wokisme, faux-nez de la révolution arc-en-ciel ».

Ce que nous vivons n’est pas fortuit, pas plus la disparition de la paysannerie que l’appauvrissement des Français ou les émeutes de banlieue. Il n’y a ni crise ni déclin inévitable, il y a une révolution concertée, révolution mondiale et mondialiste, totale et totalitaire, touchant l’économie, les lois, les mœurs, la culture, la pensée, les us, les croyances.

C’est une révolution par le haut, par l’argent, mais pas pour l’argent. Une révolution non aversive, maîtrisant l’ingénierie sociale et le temps long. Une révolution par la peur qui soumet les esprits à des dogmes erronés, des « vérités à cours forcé », pour les couper de la réalité. Elle est spirituelle, elle a pour ambition de créer un homme nouveau dans un monde nouveau. Je l’ai dénoncée en octobre 2019 dans La Révolution arc-en-ciel et en mars 2020 dans L’Empire arc-en-ciel, annonçant avant le covid que l’un des moyens de cette révolution serait l’instrumentalisation des pandémies.

Je l’ai nommée révolution arc-en-ciel parce qu’elle a choisi de se désigner ainsi par ses drapeaux. Ils prétendent à tort représenter le Bien que symbolisait à l’origine l’arc-en-ciel : arc-en-ciel du pacifisme d’extrême gauche, arc-en-ciel de l’antiracisme représentant la nation arc-en-ciel de Mandela et Desmond Tutu, arc-en-ciel du Rainbow Warrior, navire amiral de l’écologisme, arc-en-ciel LGBTQ enfin. On constate que leur explication du monde est semblable, que leurs méthodes d’agitation sont communes, leurs bassins de militants poreux, leurs objectifs communs, d’ailleurs revendiqués par la « convergence des luttes ».

En somme, la révolution arc-en-ciel est une réalité objective et subjective, et elle est opératoire.
Depuis, des livres sont parus, d’abord au Canada sous la plume de Mathieu Bock-Côté, puis au Royaume-Uni, sous celle de Douglas Murray, pour dénoncer le wokisme. Ils reprennent une partie de la critique de l’arc-en-ciel, en se focalisant sur l’islam, d’un point de vue néoconservateur, sans concevoir l’unité de cette révolution polymorphe.

Un bref tour d’horizon de cette révolution montre qu’elle n’est ni hyperlibérale, ni prévue par George Orwell, ni l’effet d’une dictature des minorités, ni le produit d’un « wokisme » qui serait en perte de vitesse à en croire les augures. C'est la révolution arc-en-ciel.

Source : E&R

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L'ère des peuples

Le soulèvement des agriculteurs européens, symptôme du mal anti-humain.

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15:53 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Écologisme, date de péremption 2024

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Pascal Praud est un bon pourfendeur des idées reçues – enfin presque eu égard aux lignes à ne pas franchir -, chaque jour tout à la fois sur Europe 1 et sur la chaîne de télévision. CNews. Il tient également une chronique dans le Journal du dimanche, où, fort d’un solide bon sens, il dénonce les hérésies d’aujourd’hui. Sa plume est joyeuse, trempée dans le vinaigre quand il le faut, mais surtout sans illusion. Avec lui, on voit souvent l’envers du décor. La cuisine et ses tambouilles. Les agriculteurs dans la tourmente lui donnent l’occasion d’en remettre une louche contre Bruxelles, décidément la source de tous nos ennuis. Une Europe contre les Européens en quelque sorte, ce qui n’est pas le moindre des paradoxes.

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Source : Le Journal du dimanche, 4/02/2024

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Revue de presse : Hommage à Jean-Pierre Stirbois

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«… La présence de cinq millions d’immigrés pèse lourdement sur la vie économique de la France. Aussi, nous exigeons l’arrêt de l’immigration et leur retour dans la mère patrie. La priorité au travail doit se faire d’abord au bénéfice des Français »

(Propos tenus par Jean-Pierre Stirbois, lors des Législatives de… 1978).

Eric de Verdelhan, Riposte laïque cliquez là

Peut-être qu’un jour Marine Le Pen sera présidente de la République ? Tout est possible !

Elle n’a « pas de problème avec l’islam », elle est favorable à l’inscription du droit à l’IVG dans la Constitution, et elle est farouchement contre l’idée de « remigration ». Le RN ne s’interdit pas de rompre avec l’AFD allemand au Parlement européen. En voulant dédiaboliser son parti, Marine Le Pen a rejoint le système – « la bande des quatre » – que son père dénonçait autrefois.

Son parcours me rappelle celui de… François Bayrou, le crétin des Pyrénées. Il y a quelques années les grenouilles de bénitiers, les démocrates-crétins et les petits-bourgeois de province ne tarissaient pas d’éloge sur Bayrou, catholique, bien marié, père de six enfants, conservateur, etc. Il incarnait la droite telle qu’on la conçoit dans les salons mondains. Il était paré de toutes les vertus, de plus il avait commis un livre (1) sur le bon Roi Henri IV, le père de la « poule au pot », un des rares monarques qui fait l’unanimité auprès des Français. Certes le « Vert Galant » changeait plus souvent de religion que de chemise, il portait une ceinture de harengs pour éloigner les mouches, et l’une de ses nombreuses maîtresses lui déclara un jour « Ah Sire ! Il vous prend bien d’être Roi, sans cela on ne pourrait vous souffrir car vous puez comme charogne ! », mais il a laissé l’image d’un homme truculent, ripailleur, goinfre, trousseur de jupons, paillard, bref un roi bien français. Et puis un enfant baptisé – catholique – au vin de Jurançon ne pouvait pas devenir un mauvais monarque.

Au fil du temps, François Bayrou, dont l’air benêt cache une ambition démesurée et un ego susmentionné, a cheminé vers la gauche. Il a soutenu la candidature de François Hollande avant de s’allier avec Emmanuel Macron. Il a rejoint ce que j’ai appelé, dès 2017, « l’extrême centre ».

Marine Le Pen, elle, ne se réclame pas de la droite. Elle dit elle-même ne pas savoir ce qu’est la droite et racole chez les électeurs de Mélenchon. Certains – imbéciles, naïfs ou inconscients ? – trouvent qu’elle a bien mené sa barque en devenant enfin fréquentable. On nous dit que, grâce à sa dédiabolisation, elle fait dorénavant (presque) partie de « l’arc républicain ».

Si j’ai bien compris, ce fameux « arc républicain » est une sorte d’intronisation dans la secte (2) « ripoux-blicaine ». Un peu comme en franc-maçonnerie, il faut être parrainé pour en faire partie. C’est un entre-soi de la bien-pensance ; c’est elle qui définit le bien et le mal or, comme vous le savez, le mal absolu, bien pire que la vérole, c’est l’extrême droooâââte, le nationalisme, et le populisme.

Marine Le Pen, disais-je, sera peut-être au pouvoir en 2027, mais pour faire quelle politique ?
En attendant, elle ne semble avoir qu’un ennemi, « Reconquête ! » d’Éric Zemmour. Je note d’ailleurs que les médias consacrent leur une (ou leur antenne) à Jordan Bardella et évitent de parler de Marion Maréchal. On me dit que le RN a le vent en poupe pour les Européennes et que la liste conduite par Marion Maréchal fera un flop, donc qu’il faut voter RN. Ce raisonnement est stupide. Il s’agit d’un scrutin proportionnel donc il me paraît souhaitable, voire indispensable, que la liste de « Reconquête ! » obtienne un maximum d’élus, et ce pour trois raisons : la première c’est que le programme de « Reconquête ! » est le seul (pour l’instant) qui évoque sans la moindre ambiguïté le « Grand Remplacement » et la nécessaire « remigration ». La seconde est que le parti d’Éric Zemmour a subi deux échecs – à l’élection présidentielle et aux Législatives – et que je le vois mal se relever d’un nouvel échec. Si la liste de Marion Maréchal fait moins de 5 %, « Reconquête ! » ira rejoindre les partis qui font de la figuration faute d’arriver à s’entendre, comme « Les Patriotes » de Philippot, « Debout la France » de Dupont-Aignan ou « L’Union Populaire Républicaine » d’Asselineau. « La droite la plus bête du monde » aura, une fois de plus, réussi à se tirer une balle dans le pied.

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10:51 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 04 février 2024

Face à l'acharnement du pouvoir liberticide à son encontre, le site Riposte laïque dans l'obligation de se mettre (momentanément) en sommeil...

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Seuls les responsables de Riposte laïque sont aptes à prendre une telle décision et nous ne pouvons qu'admirer leur courage et leur sage prudence. En effet, et nous le rappelons sans cesse dans notre revue cliquez ici et sur notre site quotidien d'information, l'opposition patriotique, dans son ensemble, est victime de l'acharnement liberticide du pouvoir encore en place. Il  ne recule devant rien pour nous asphyxier. 

L'essentiel pour nous tous, c'est de sauver les structures combattantes. Parfois, tels les félins, il faut savoir se mettre en stagnation pour mieux bondir le moment venu. L'heure du réveil national approche... Soutien total à nos camarades de Riposte laïque !

S N

Pourquoi Riposte Laïque doit se mettre en sommeil quelque temps…

Source Riposte laïque cliquez ici

Nos lecteurs connaissent notre pugnacité au combat. Ils savent que depuis 2007 notre site et ses animateurs mènent un combat inlassable contre l’islamisation de la France, permise par l’invasion migratoire organisée par les mondialistes.

Nous savons que chaque matin des dizaines de milliers de lecteurs attendent avec impatience la sortie de notre lettre, qui amène une autre lecture de l’actualité que celle des médias propagandistes sur des sujets comme l’islam, l’invasion migratoire, l’imposture climatique, la dictature sanitaire, la guerre Russie-Ukraine, le conflit Hamas-Israël, le régime de Macron, l’Union européenne, les trahisons de la gauche immigrationniste et de la droite collabo, les agressions ethniques quotidiennes commises contre les Français par des envahisseurs, etc.

La plupart de nos contributeurs choisissent d’écrire à visage découvert, sous leur vrai nom, et certains, pour des raisons de sécurité physique ou professionnelle, choisissent un pseudonyme. Bien sûr, jamais un seul article de notre site n’a eu comme conséquence le passage à l’acte d’un de nos lecteurs.

Mais c’est parce que Riposte Laïque est devenu un outil de la réinformation de plus en plus lu que le régime de Macron a décidé d’utiliser les grands moyens pour le faire taire définitivement. Nos lecteurs connaissent l’acharnement judiciaire utilisé contre nous depuis plus de dix ans pour nous ruiner : des dizaines et des dizaines de plaintes, suivies d’interrogatoires policiers et judiciaires et de procès, que nous gagnons la plupart du temps mais qui affaiblissent notre trésorerie. Sans le talent de notre avocat, Maître Pichon, sans le soutien de nos lecteurs, par les dons et les achats de nos livres, nous n’aurions jamais pu faire face à cette offensive.

Mais depuis quelques jours, une nouvelle étape a été franchie par le régime. Profitant du procès de Charles Demassieux, un des piliers de Riposte Laïque, qui s’est comporté en héros pour sauver la vie d’une vieille dame de 83 ans agressée par un délinquant multirécidiviste alcoolique et toxicomane, les juges, sous les ordres du pouvoir, se sont lancés dans une énorme offensive contre notre site coupable d’avoir défendu notre contributeur.

Charles a en effet été lourdement condamné par le juge Michael Humbert  : 18 mois de prison, dont 3 mois ferme, 3 500 euros de dommages et intérêts à verser à l’agresseur, cinq années d’inéligibilité, trois années d’interdiction de détention d’armes, quand le délinquant était condamné à 68 euros d’amende et à quelques heures de travaux d’intérêt général. Charles a témoigné sur ce scandaleux procès, sur l’attitude d’un juge qui s’est davantage comporté comme un militant du Syndicat de la magistrature que comme un magistrat rendant la justice au nom du peuple français.

Ce témoignage de Charles Demassieux a fortement indigné des lecteurs de Riposte Laïque, et bien plus largement des milliers de Français. Certains ont cru bon de réagir en insultant grossièrement le juge, voire en le menaçant de mort, comme l’a fait le site Réseau Libre. Une aubaine pour le régime, qui a infligé, dans la foulée, une nouvelle garde à vue de 36 heures à Charles Demassieux, et une perquisition contre Pierre Cassen qui s’est vu confisquer ses ordinateurs et son téléphone portable.

Notre fondateur paraît la victime d’un coup tordu digne des pires barbouzes. La chaîne sur laquelle il enregistrait ses vidéos quotidiennes a été bloquée et a été redirigée, au grand dam de Pierre, sur le site Réseau Libre, celui qui a proféré les menaces de mort contre le juge. Et donc, sautant sur l’occasion, le pouvoir, par le juge Grégory Weill, a diligenté cette perquisition contre lui, pendant que Charles était encore en garde à vue. Les policiers lui ont même demandé s’il était Léon, le signataire des textes les plus virulents de Réseau Libre !

L’appareil d’État, ses policiers et ses juges, qu’on suspecte de surveiller les animateurs de notre site depuis longtemps, espèrent donc trouver en fouillant dans les archives de Riposte Laïque des preuves que nous les suspectons d’être capables de fabriquer, impliquant les animateurs les plus actifs de notre site. Ce qui se profile, c’est une possible inculpation de nos dirigeants, voire des persécutions judiciaires dont nul ne sait jusqu’où elles peuvent aller. La dissolution de nos associations, la fermeture de nos sites ne peuvent être exclues, surtout quand on sait que les banques de Riposte Laïque et de Résistance républicaine ont fait savoir qu’elles nous viraient, et que le compte Twitter de RL a été fermé. Nous savons que nos communications, écrites ou orales, sont surveillées par la police politique de Macron-Darmanin-Dupond-Moretti.

Nous nous devons, dans une situation grave où la survie de notre site mais aussi la liberté de nos animateurs est en jeu, de prendre le temps de la réflexion. Or, publier un journal tous les jours avec la pression que cela représente, le temps que cela implique, n’est pas compatible avec ce recul nécessaire que la situation demande.

Nous avons donc décidé, et ceux qui nous connaissent savent que cela nous coûte, de suspendre momentanément le site Riposte Laïque. Nous ne le fermons pas et ses seize années de combat demeurent accessibles sur Internet. Nous éprouvons simplement le besoin de réfléchir ensemble à la suite. Devons-nous, après cette pause, continuer comme si de rien n’était, et attendre les éventuelles poursuites qui peuvent nous atteindre ? Devons-nous poursuivre Riposte Laïque, mais avec des changements dans les rythmes de publication, dans la ligne éditoriale, dans le nombre d’articles, dans la maquette ? Devons-nous inventer quelque chose de nouveau, de différent ? Nous sommes ouverts à toutes les suggestions de nos lecteurs, dans les commentaires qui demeurent ouverts. Cela peut durer quelques jours, ou quelques semaines, en fonction de l’évolution de la situation.

Bien évidemment, pour vous confirmer que nous n’abandonnons pas le combat, nous vous informons que Résistance républicaine continue à informer ses lecteurs de l’actualité, dans un esprit proche de celui de Riposte Laïque, et que Pierre Cassen va retrouver dans les heures qui viennent les moyens de reprendre ses vidéos quotidiennes, qu’il enverra comme tous les jours à des milliers d’abonnés.

Ne soyez donc pas inquiets, le combat continue, mais il est des périodes où il faut savoir faire une escale au port avant de repartir.

Hauts les cœurs, amis patriotes, et à bientôt !

Lire l'entretien que nous a accordé vendredi dernier notre Ami Pierre Cassen, fondateur de RL cliquez ici

23:46 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parabole du militant, le semeur politique...

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Aujourd'hui dimanche, c'est la fête de la Sexagésime, l'approche du carême et de Pâques… Dans son Évangile, au chapitre 8, saint Luc nous conte la parabole du semeur. Je cite : « Ce jour-là, une foule énorme, accourue des villes voisines, s'é­tait rassemblée autour de Jésus, qui leur proposa cette parabole : "Un cultivateur sort pour semer son grain. Tandis qu'il jette la semence, du grain tombe sur le chemin; les passants l'écrasent et les oiseaux du ciel viennent le manger. Il en tombe aussi en terrain pierreux, mais, à peine levé, il se dessèche faute d'humidité. Il en tombe encore au milieu des broussailles; mais les épines poussent en même temps et l'étouffent. Enfin, il en tombe dans la bonne terre ; là, il pousse bien et rapporte au centuple. Et Jésus de conclure :  Si l'on a des oreilles, c'est pour entendre."»

Revenons à nos préoccupations plus terre à terre et, sans complexe, transposons cette belle parabole… « Les disciples de Jésus lui demandèrent alors quel était le sens de cette parabole... »

• La "semence", c'est la parole et l'expérience de nos Anciens. L'enseignement qui tombe sur le chemin de nos concitoyens, cela représente les gens qui se contentent d'écouter le discours du militant. Surviennent nos ennemis qui les effraient  et les empêchent de leur résister et ainsi d'être sauvés.

• "Le terrain pierreux", ce sont les gens qui écoutent les militants et qui accueillent avec joie leur parole mais sans qu'elle ne prenne racine. La conviction ne tient pas longtemps et, au premier obstacle, ils abandonnent.

• "Le terrain broussailleux", ce sont ceux qui écoutent, se documentent, suivent l'actualité, … mais sont étouffés par leurs affaires, leurs intérêts personnels, les plaisirs de la vie… Et, ils quittent le bon combat, et ne donnent jamais de bons fruits.

• Enfin, il y a ceux qui écoutent la bonne parole et la mettent en pratique sur le terrain, dans leur famille, dans leurs entourages... Les combattants de la vérité, ceux qui restent droit devant les réalités du monde et de la vie. Les cœurs fiers et bien disposés. Leur persévérance portera un jour ses fruits ! 

Osons conclure par une citation de Jean Mabire, grand militant d'une autre paroisse : « Nous ne changerons pas le monde, il ne faut pas se faire d’illusions, ce n’est pas nous qui allons changer le monde, mais le monde ne nous changera pas. »

J L

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19:01 Publié dans François Floc'h | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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Parution du nouveau numéro (n°44) de la revue Livr'arbitres

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12:36 Publié dans Livres, Revue de presse, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 03 février 2024

Gestion par le pouvoir des colères du monde agricole : déjà, en 1964, François Brigneau mettait en garde les paysans…

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« Tout a été dit et fait, et aucune littérature ne peut dépasser le cynisme de la réalité. On ne soûle pas avec un verre celui qui a déjà bu une barrique ».

Anton Tchekhov

Synthèse nationale

Le 17 avril 1964, deux ans après la mise en place de la politique agricole commune (PAC) – et la fin dramatique de l’« Algérie française » -, François Brigneau (1) écrit un article intitulé Paysans, il vous a déjà compris ; le « il » en question étant, bien sûr, le général De Gaulle dont le journaliste s’employait alors à pourfendre les « impostures »… 60 ans plus tard, il nous paraît intéressant de publier des extraits de ce texte qui n’a rien perdu de sa profondeur et de son actualité… Il suffit juste de remplacer le général De Gaulle par Emmanuel Macron et Ben Bella par l’Ukraine ou « le Zambèze »…

 « (…) Aujourd’hui, enfin demain, il a accepté de recevoir les paysans désireux de lui parler du pays. (…) Le soldat donnera audience aux laboureurs. Dès lors que son intérêt coïncidera avec son bon plaisir, évidemment. (…) Si ce général ne s’appelait pas De Gaulle, une semblable entrevue prêterait à la composition d’un grand tableau, dans le genre de ceux de Prud’hon. Au milieu, le vieux chef, méditatif. Autour de lui, les paysans assemblés, tête nue, à la fois fiers et respectueux. Il y a le berger des montagnes et le vacher des grasses prairies vertes ; l’homme des océans à blé et celui des petites cultures dont les lopins changent de visage au gré des saisons, comme les calendriers changent d’images. (…)

Tous parlent à leur tour ; tous disent le drame de leur vie qui tient à ceci : dans un monde qui ne croit qu’à l’avenir, ils ne veulent plus appartenir au passé ! Pendant des siècles, l’inconfort, l’éloignement, la solitude, le travail jamais terminé, l’insécurité chronique, la misère, le silence, la lenteur avaient été leur lot. En contrepartie, ils éprouvaient cette mystérieuse satisfaction organique que donnent à l’homme le sentiment de sa responsabilité, celui de la liberté et l’accord de son mouvement profond avec celui de la terre. Certes, rien de cela n’était dit, par pudeur ou faute de mots. Mais l’important n’est pas de formuler ; l’important est de ressentir. Et c’était parce qu’ils éprouvaient dans tout leur être cette joie inexprimable qu’ils demeuraient des paysans.

Et puis, petit à petit, ce sort a cessé de leur paraître normal. Les guerres, les invasions, le grand brassage des populations, l’automobile, le cinéma et la télévision ont changé leur état d’esprit. La vie des villes n’est plus apparue comme un mirage inaccessible. Dans d’autres nations, (…) des paysans la connaissaient – ou semblaient la connaître. Pourquoi pas le paysan français ? C’était la question qu’ils voulaient poser au vieux chef. Garder l’accord avec leur sol, gagner l’accord avec leur siècle, telle était leur ambition. Était-ce possible de vivre comme dans des villes à la campagne ? Était-ce possible de demander un peu plus de confort, de sécurité, de bien-être sans perdre pour autant la liberté ? Était-ce trop exiger que de vouloir des écoles pour leurs enfants, des hôpitaux pour leurs malades, des distractions pour leurs femmes ? En vingt siècles, ils avaient puissamment aidé à faire la France. Il était temps que la nation cessât de les considérer comme des étrangers, des exilés de l’intérieur.

Sur ce thème, on imagine facilement le dialogue qui eût pu s’instaurer et sa portée. Il eût fallu, pour cela, un général moins amoureux de la manœuvre. Hélas, (…) ce qui lui importait, ce n’était pas d’écouter les paysans, de connaître leurs travaux et leurs jours, de découvrir une réalité dont nous ne pouvons rougir. Ce qui lui importait, c’était de se servir de cette demande contre eux, dans cette petite guerre civile qu’on appelle la politique.

Les benêts ! Ils demandaient audience au chef de l’État parce qu’ils croyaient à son sens de la justice, de l’intérêt national, peut-être même à sa bonté (…). Ils pensaient : "Ah ! Si le général savait (…) nos terres abandonnées par une jeunesse qui fuit la pauvreté de nos existences… S’il savait que nous vendons notre lait moins cher que l’eau minérale… S’il savait ce qu’il faut d’efforts, de soins, de tracas, de périls pour élever des bêtes et mener une récolte à son terme… S’il savait les dangers qui nous menacent, la grêle, le gel, la maladie, l’effondrement des cours, les marchés engorgés, les saisons rigoureuses qui font les récoltes catastrophiques et les récoltes trop généreuses qui mettent la ruine dans la maison… S’il savait comme il est difficile de moderniser une exploitation, les périls nouveaux auxquels on s’expose en le faisant, les traites, les réparations imprévues qui chargent un budget, l’angoisse qui vous saisit, le sommeil qui vous fuit quand la preuve s’établit que plus vous travaillez et plus vous allez manger d’argent ! (…) Ah ! Si le général savait ça, sûr qu’il ne tolérerait pas que ça dure davantage ; sûr qu’il préférerait nous aider plutôt que Ben Bella. Il suffira de lui expliquer, (…) de lui dire, avec nos mots à nous, et il comprendra (…).

Pauvre Jacques Bonhomme, t’as qu’à croire… Tu vas vite apprendre (…) que le général parle mais n’écoute pas. Si, par extraordinaire, il écoutait, c’est qu’il n’aurait pas trouvé de meilleur moyen pour ne pas entendre. Là est son génie : dans l’utilisation magistrale de la ruse. Qui veut la fin veut les moyens, dit-on. Lui veut tous les moyens sans fin et sans aucune fin ! Tout ce qu’il a vu, dans cette entrevue accordée mais sans date fixée, c’était le moyen de ne pas obtenir la fin : à savoir la solution des problèmes agricoles. C’était aussi le truc qui lui accordait une petite victoire : la remise à une date ultérieure (…) de la grève des fourches. Le bénéfice est court, sans doute, et cette duplicité ne fait que renvoyer l’affaire au mois prochain. C’est vrai, mais il est vrai aussi que ce personnage dont on nous dit tant qu’il se modèle pour l’éternité, réussit surtout dans la bricole à la petite semaine ».

(1) François Brigneau (1919-2012) a été l’une des grandes plumes de la droite nationale des années 1950 jusqu’au début des années 2000 (notamment à Minute, Initiative nationale, Présent, National hebdo et Le Choc du Mois). Ce journaliste, grand reporter et écrivain a été également un militant et responsable politique d’Ordre nouveau, du Parti des forces nouvelles et du Front national.

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La mairie socialiste du 10ᵉ arrondissement tente d’interdire la cérémonie des Bobards d’Or !

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Source Polémia cliquez là

Dans un communiqué de presse daté du 28 janvier, la maire socialiste du 10ᵉ arrondissement Alexandra Cordebard appelle le Théâtre du Gymnase Marie Bell à interdire la prochaine cérémonie des Bobards d’Or, que nous organisons dans ce théâtre depuis plus de 8 ans.

La cérémonie (parodique) des Bobards d’Or distingue, chaque printemps, les journalistes et les médias qui n’hésitent pas à mentir délibérément pour servir le politiquement correct. Elle est organisée depuis 2010 par l’association Polémia. L’édition 2024 se tiendra le 5 mars avec une nouveauté : les mensonges des personnalités politiques, répercutés dans leurs médias alliés, seront présentés au public.

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Ce communiqué diffamatoire d’Alexandra Cordebard reprend un certain nombre de mensonges que les bobardeurs professionnels ont répandu depuis des années. Bien loin des fantasmes, la réalité est tout autre : jamais Polémia n’a été poursuivi pour des propos qui tombent sous le coup de la loi.

Suite à ce communiqué, le Théâtre du Gymnase Marie Bell à décidé de refuser d’accueillir l’événement alors même que nous traitons depuis plusieurs mois avec eux et que la salle a déjà été réservée et entièrement réglée.

Nous ne céderons ni aux pressions de l’extrême-gauche parisienne, ni aux mensonges visant à nous salir.

Pour la 15ᵉ année consécutive, la cérémonie des Bobards aura lieu ! Rendez-vous le 5 mars prochain pour démasquer les propagandistes du système médiatique et leurs complices !

Réservez vos places cliquez là

10:53 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution du nouveau numéro de la revue Eléments

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Chez votre marchand de journaux, 7,90 €

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Le Journal du Chaos

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Soutien total à Pierre Cassen et à Riposte laïque persécutés par Darmanin, le liberticide de la Place Beauvau

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Dans sa folie liberticide à l'encontre des forces nationales et identitaires, le sinistre Darmanin semble faire une fixation contre le mouvement Riposte laïque cliquez ici qui, depuis des années, se bat sans relâche pour défendre la France française.

Ces jours derniers, sa police s'est acharnée contre des militants de RL et contre son fondateur, notre Ami Pierre Cassen. Il veulent le faire taire... C'est donc bien naturellement que nous lui donnons aujourd'hui la parole.

S N

Synthèse nationale : Vous êtes le fondateur de Riposte Laïque, un site bien connu par la plupart de nos lecteurs. Vous alertez, depuis quelques jours, vos lecteurs, sur ce que vous appelez un acharnement judiciaire contre certains de vos contributeurs, et notamment Charles Demassieux. Pouvez-vous expliquer à nos lecteurs ce qui se passe.

Pierre Cassen : Je précise d'abord que Charles Demassieux est un de nos piliers. Il a rejoint l'équipe de Riposte Laïque depuis plus de dix ans, il est sur le terrain le samedi pour couvrir toutes les manifestations parisiennes qui se déroulent, parfois dans des conditions tumultueuses, et il assume des fonctions essentielles sur le site. Il a eu la malchance, dans la Creuse, où il a décidé de s'installer, quittant la région parisienne, d'être confronté à une agression de vieille dame de 83 ans par un repris de justice, alcoolique et toxicomane. Pour protéger sa voisine, il a dû blesser, légèrement, l'agresseur. Et depuis, sa vie devient un enfer. Garde à vue de 48 heures, obligation de retourner en région parisienne, contrôle judiciaire, puis procès inique. Le juge Humbert paraît avoir fait siennes les théories du Syndicat de la Magistrature, puisque Charles a été traité comme un accusé, et l'agresseur comme une victime. Résultat : 18 mois de prison pour Charles, dont 3 mois ferme, 3500 euros de dommage et intérêts à verser au toxicomane, 5 ans d'inéligibilité, 3 ans d'interdiction de détention d'armes. Quant à l'agresseur, il s'en sort avec 38 euros d'amende et des travaux d'intérêts généraux !

Oui, mais n'avez-vous pas créé les conditions pour que le juge Humbert, quoi qu'on en pense, reçoive des menaces de mort , qui ont justifié une nouvelle garde à vue pour votre contributeur ?

Charles, soutenu par la rédaction de Riposte Laïque, a choisi de témoigner, et de tout dire sur la réalité de ce procès. Bien sûr, le verdict a indigné nombre de Français, qui ne supportent plus la dérive idéologique de trop de magistrats, influencés par les thèses du Syndicat de la Magistrature. Et des insultes, voire des menaces, ont fleuri sur certains sites. Mais en aucun cas, elles ne sont le fait de Charles Demassieux et de Riposte Laïque. D'ailleurs, notre ami, interrogé sur Sud Radio par André Bercoff, avait pris ses distances avec ces pratiques qui ne sont pas les nôtres.

Mais alors pourquoi a-t-il été arrêté de nouveau, placé en garde-à-vue, dans le même temps où vous subissiez une perquisition à votre domicile ?

On ne peut comprendre cette affaire si on n'intègre pas l'acharnement politico-judiciaire mené contre la mouvance patriote, sous la houlette de Darmanin et de Dupond-Moretti, avec un sérieux durcissement depuis le mois de juin dernier, après les émeutes ethniques. Les dissolutions plus grotesques les unes que les autres se multiplient, et les interdictions de manifestation se succèdent. C'est dans ce contexte que le régime croit le moment venu de se farcir Riposte Laïque et son fondateur. Charles Demassieux, contre lequel ils s'acharnent, n'est pour eux que le moyen de frapper notre site, et de me faire payer mon engagement quotidien contre leurs multiples trahisons...

En effet, ils ont profité de la situation pour vous perquisitionner, et vous saisir votre matériel, ordinateurs et téléphone portable. Pourquoi s'en sont donc pris à vous ?

Je suis le fondateur de ce site, que j'ai présidé de 2007 à 2012. Et depuis, j'ai passé la main, tout en continuant à amener mon savoir faire à Riposte Laïque. En 2016, Cazeneuve et Taubira avaient décidé de me faire tomber, et avaient orchestré une première perquisition chez moi. Mais l'affaire avait échoué, et des attendus de la Cour de Cassation avait rétabli les faits. Le pouvoir n'a pas digéré ce camouflet. Il saisit donc le prétexte de menaces de mort contre un juge pour m'impliquer, de manière grotesque, dans ces pratiques, et cherche à me confondre comme réel responsable de Riposte Laïque, et donc redevable de toutes les plaintes qui continuent de tomber contre nous. Ils veulent me faire endosser le fait que je serais le fameux Léon, de Réseau Libre, rien de moins !

Et comment voyez-vous la suite de cette offensive ?

Elle ne s'arrête pas là. Il y a une semaine, Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine, et par ailleurs ma compagne, s'est vue notifier par sa banque la radiation du compte de son association. Et hier, soir, le trésorier de Riposte Laïque me signifiait que le Crédit Agricole, chez qui nous étions depuis plus de quinze ans, nous a fait savoir par lettre recommandée qu'ils nous viraient. Un sort déjà connu par nombre de résistants patriotes, comme Génération Identitaire et Nemesis. C'est donc cette fois l'attaque de la diligence. Et n'oublions pas l'offensive contre Jean-Yves Le Gallou et les Bobards d'Or, qui, depuis dix ans, ridiculisent les journaleux de France et de Navarre et leurs "fake news". Sous la pression de la municipalité socialiste de Paris et de l'extrême gauche, le théâtre qui les accueille tous les jours n'a pas voulu d'eux. De quoi vous donner raison, à Synthèse nationale, quand vous publiez, dans votre dernier trimestriel cliquez ici, la tête de Darmanin avec ce titre "Le Liberticide". Je rappelle à cette occasion que "Moussa" est le premier homme de droite à avoir déposé plainte contre nous... et qu'il s'est ramassé de première, à Lille.

Comment voyez-vous la suite ?

Ils sont partis pour aller au bout. Je n'exclus pas la volonté du régime de bloquer Riposte Laïque, comme ils l'ont déjà fait pour d'autres sites. A mon avis, je vais avoir droit à un procès visant à me faire tomber, et à me tuer socialement, c'est le sens de tout ce qu'ils font. Maintenant, j'ai la chance d'avoir un bon avocat, Maître Pichon, Riposte Laïque a une équipe soudée d'une trentaine de contributeurs, qui, tous les ans, décortiquent l'actualité avec un autre regard que BFM, je fait une vidéo tous les jours qui connaît pas mal de succès, donc, s'ils veulent nous faire taire, je leur souhaite bien du plaisir !

Propos recueillis par Guirec Sèvres.

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Sur les Partisans de Dieu du Yémen

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Dans une vidéo datant de 2006, Judith Butler affirmait que « le Hamas et le Hezbollah sont des mouvements sociaux progressistes et font partie de la gauche mondiale ». L’essayiste queer étatsunienne montrait une maîtrise des problématiques de l’« Orient compliqué » aussi brillante que ses connaissances de l’intimité masculine. Cette prise de position entérina l’existence universitaire de l’islamo-gauchisme. On attend cependant la manifestation des wokistes pour le djihad ou la mise en vente des abaya pour hommes déconstruits.

Dans sa déclaration, Judith Butler aurait pu y inclure les Partisans de Dieu au Yémen qui existaient depuis déjà deux ans. Le monde entier les a découverts, le 19 novembre 2023, quand, caméras GoPro sur la poitrine, des commandos s’emparent du navire de transport Galaxy Leader et le détournent vers le port de Hobeida. Cette action est un acte de propagande réussi. Le monde médiatique parle dorénavant des « milices Houthi ». C’est un abus et une facilité de langage pour une opinion qui ignore le contexte politique agité en « Arabie Heureuse », nom antique du Yémen.

Ansar Allah, ou en arabe « Partisans de Dieu », sont fondés vers 2004 par Hussein Badreddine el-Houthi (1960–2004). Ce mouvement s’inscrit dans la complexité socio-culturelle du Yémen. La société traditionnelle yéménite se structure en effet autour des clans, des tribus et des fédérations tribales aux fortes traditions guerrières. À cette sociologie complexe s’ajoute la consommation généralisée et coutumière du khat, une « plante à mâcher » aux effets psychotropes majeurs. Il faut y ajouter les effets d’une histoire récente avec la division jusqu’en 1990 entre la République arabe du Yémen (ou Yémen du Nord) et la République démocratique populaire du Yémen (ou Yémen du Sud pro-soviétique). L’union de 1990 est rompue dès 1994 avec les velléités sécessionnistes du Sud contre la mainmise des « Nordistes ». Or le président Ali Saleh réprime avec violence ce séparatisme en moins de deux mois. Son autoritarisme irrite très vite de nombreuses tribus dont celle des Houthi du Haut-Yémen près de la frontière saoudienne.

Militant politique et prédicateur religieux, Hussein Badreddine el-Houthi conteste les autorités en place. Son assassinat déclenche la révolte de la région de Saada qui engendre ensuite une féroce guerre civile d’une rare intensité. Pour faire simple, les Partisans de Dieu affrontent non seulement les troupes gouvernementales, mais aussi les Frères musulmans,  les indépendantistes du Sud ainsi que les islamistes de Daech et d’Al-Qaïda (qui se détestent réciproquement) sans oublier l’intervention armée de l’Arabie Saoudite, des Émirats arabes unis, du Soudan, de la Jordanie, du Qatar et de l’Égypte. Au cours de leur avancée vers la capitale Sanaa, Ansar Allah amalgame en leur sein des unités nassériennes et baasistes. N’oublions pas qu’en 1990–1991, le Yémen soutenait l’Irak de Saddam Hussein dans la formation du gouvernorat du Koweït.

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Les EBE, ces petits hommes gris bien réels

Jimmy-Guieu-186x300.jpegLa chronique

de Philippe Randa

Le romancier Jimmy Guieu, un des pionniers de l’ufologie française dans les années 1950, avait enthousiasmé des milliers de lecteurs avec ses romans de science-fiction, puis avec des livres consacrés aux EBE (Entité biologique extraterrestre) qui dénonçaient, selon lui, un péril bien réel : la domination des Terriens (nous) par des êtres venus de l’espace (eux) ; il les avait nommé maladroitement les « petits gris » et ses détracteurs s’en gaussaient comme on peut l’imaginer en les identifiant ­ – Ah ! ah ! – aux escargots de Bourgogne.

Oui, contrairement à bien d’autres romanciers, Jimmy Guieu y croyait dur comme fer, lui, à la présence et à la dangerosité de ces… êtres-là ! Et quelques autres « Terriens » en étaient tout aussi convaincus que lui et, comme on l’imagine, brocardés derechef « complotistes ». Forcément.

Oui, mais ! Force est de constater que Jimmy Guieu avait bel et bien raison, n’en déplaisent à tous les moqueurs d’hier et d’aujourd’hui !

Les EBE existent bel et bien… et sont bel et bien aussi puissants et nuisibles qu’il les a décrits, même s’ils ne viennent pas de l’espace (jusqu’à preuve du contraire, toutefois), qu’ils ne sont pas armés de sabre-lasers et qu’on ne les identifie pas à leur petits doigts tordus (comme dans la série télévisée Les Envahisseurs) ou à leurs oreilles pointues (comme dans Star Trek).

Non, les EBE, plus communément nommés « petits hommes gris » (notamment par le journaliste Pascal Praud) sont reconnaissables à leurs études dites supérieures – soit pour le vulgum pecus celles des « grandes écoles » : HEC, ESSEC, Normal Sup, Polytechnique, ENA, IEP, ENS, etc. – et leurs armes sont les diplômes qu’obtiennent quelques 81 % des inscrits en premier cycle de l’enseignement supérieur. Ce n’est pas rien, 81 %, n’est-ce pas ! même si c’est un peu moins qu’au baccalauréat, toutefois (95,7 % en 2023 !), mais qu’on se rassure pour les 19 % de recalés : « Face à l’échec, les réorientations offrent des alternatives vers la réussite », selon une étude publiée par la DEPP (Direction de l’Évaluation, de la Prospective et de la Performance) du ministère de l’Enseignement supérieur.

Les EBE de nationalité française, armés de leurs diplômes, n’ont alors que l’embarras du choix de carrière : « Plus de 60 % des P-DG du CAC 40 étaient issus d’une grande école française en 2018. La plupart des présidents de la République sont, sous la Ve République, diplômés d’au moins une grande école. François Hollande est notamment diplômé de trois d’entre elles. Les diplômés des grandes écoles jouent un rôle majeur au sein des cabinets ministériels sous la IVe République et la Ve République, qui composent 52 % des membres des cabinets durant les vingt premières années de cette république. Sous la IIIe République plus de 57 % des membres des cabinets étaient diplômés de la seule École libre des sciences politiques (ELSP), communément appelée “Sciences Po” », (source Wikipédia).

Sachant cela, on comprend sans doute mieux le fossé plus béant que jamais entre « pays réel » et « pays légal », comme le dénonçait déjà dans l’entre-deux guerre le directeur de L’Action française Charles Maurras.

Alors, face à l’actuelle révolte des agriculteurs et éleveurs de toute l’Europe, qu’est-ce que les EBE peuvent bien penser quand ils entendent des revendications telles que vouloir « vivre simplement de son travail » – travail qui serait une « vocation » – d’« êtres » qui vivent « au milieu de nulle part » (c’est-à-dire hors des grandes aglomérations, chaque jour plus séduisantes comme on le constate) où ils triment de l’aurore jusqu’au coucher du soleil 7 jours sur 7… et en plus, sans prendre de vacances, ce qui est quand même le comble de l’obscurantisme au XXIe siècle, non ?

Ah, j’oubliais : et sans mettre leurs progénitures en école privée sous prétexte de moyens financiers déficients…

Car pour les EBE, on ne vit pas de son travail, non ! on  « fait du profit, 35 heures syndicales par semaine, hors congés payés, arrêts maladie et jours fériés, cela s’entend » en prônant « l’accueil des étrangers », tout en se préservant de la moindre promiscuité, particulièrement « d’odeurs et d’insécurité » et en inscrivant, cela va tout autant de soi, ses héritier(e)s dans d’« autres » établissements que les désormais centre de gardiennage publics de l’Éducation nationale, car « comme tous les parents, ils ont comme priorité le bien-être de leur(s) enfant(s) », à l’exemple de la préposée à multi-ministères Amélie Oudéa-Castéra et de son mari Frédéric.

Les EBE existent bien, oui… Mais elles ne sont pas extraterrestres, non, elles sont juste extrasociales !

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vendredi, 02 février 2024

Rassemblement vendéen : annulation de notre meeting de soutien à nos paysans en lutte !

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Communiqué du Rassemblement Vendéen :

Notre meeting, prévu ce samedi 3 février 2024, Rond-point de l’Europe, 85 800 St-Gilles-Croix-de-Vie à 10 heures 30 est ANNULÉ.

Amis, paysans, marins-pêcheurs, maraîchins, vendéens, amoureux et défenseurs de la France…

Après les nouvelles annonces du gouvernement pour répondre aux revendications des agriculteurs, les syndicats ont donc appelé à suspendre leur mouvement ! Les paysans rentrent donc chez eux, ayant apparemment obtenu gain de cause, même si nous pensons que les promesses du gouvernement ne sont “qu’un feu de paille” !
Le Rassemblement Vendéen salue le mouvement initié par les paysans qui apportait un espoir sérieux de faire trembler le gouvernement Macron et qui était soutenu par la majorité de la population française !

Le Rassemblement Vendéen, au vu du retrait du mouvement paysan, considère donc qu’il n’est plus justifié de soutenir les manifestions de mécontentement des agriculteurs qui n’est plus… pour le moment… et donc j’appelle les militants et sympathisants du Rassemblement Vendéen à ne pas se rendre Rond-point de l’Europe ce samedi 3 février à St-Gilles-Croix-de-Vie. Nous rappelons que notre identité est le guide d’un peuple qui sait d’où il vient et qui doit savoir où il veut aller. Nous devons perpétuer joyeusement notre héritage civilisationnel et culturel : agriculture, pêche, gastronomie, spiritualité, langues locales, ruralité…

Le Rassemblement Vendéen considère la famille, les villes, les villages, les campagnes, la côte, les ports de pêche, les entreprises et les administrations locales comme cellules de base de notre société : le centralisme technocratique vide ces cadres naturels de leur substance et instaure un régime liberticide sur lequel prospèrent les magouilleurs et les puissances d’argent.

Le magma de l’Union européenne, le mondialisme et les puissances d’argent détruisent notre identité ! C’est la ruine de l’agriculture, l’explosion des prix de l’énergie, la submersion migratoire, l’explosion des prix alimentaires, la suppression des frontières, la destruction de notre industrie. Les responsables de tout cela, c’est eux !

Éric Mauvoisin-Delavaud,

président du Rassemblement Vendéen.

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Gérard Miller, l’arroseur arrosé ?

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Scipion de Salm (1) 

Miller est au cœur d’une tempête médiatique, depuis le mercredi 31 janvier 2024, suite à un article dans le magazine féminin Elle. Elle a été générée par le mouvement féministe international #MeToo (moi aussi en anglais). Il est dénoncé par trois femmes, pour des faits anciens remontant aux années 1990 à 2000, comme un dangereux violeur-manipulateur. Ces faits allégués sont prescrits, ou à la limite de la prescription, qui est de 20 ans pour viol. Nous détestons ce procédé de lynchage médiatique, qui vise à anéantir un homme, hors de toute procédure judiciaire. Néanmoins, pour le cas spécifique de Gérard Miller, on ne peut pas s’empêcher de penser que c’est bien fait pour lui. Il soutenait en effet ce mouvement, et avait exigé il y a peu la démission de Moussa Darmanin, « accusé par une femme » - ce qui est tout de même bien léger ! Ce « grand » philosophe, essayiste, psychanalyste, au carnet d’adresses impressionnant, hier encensé de tous, doit aujourd’hui, tomber de haut, et c’est mérité.

LA CHUTE D’UN MANDARIN ?

Gérard Miller faisait en effet partie de ces personnalités médiatiques majeures incontournables, qui pontifient depuis des décennies sur les plateaux télévisés, ou dans des tribunes dans des grands journaux, ou à l’université. Gérard Miller, âgé de 75 ans, vit avec la cinéaste Anaïs Feuillette, de 32 ans sa cadette ; il a donc sévi aussi dans le cinéma français d’aujourd’hui, inspirant les nullités gauchistes payées avec nos impôts et que personne ne va voir. Ces mandarins ne font que développer le pire de la pensée unique gauchisante, s’attaquant à tout ce qui est soupçonné de relever de la morale chrétienne, de la morale traditionnelle, du patriotisme français, et font la promotion hystérique de l’exact inverse, de l’immigration de masse, du féminisme et de l’homosexualisme de choc, de toute forme de lutte « écoclimatique ». Ils veulent promouvoir, avec une prétention d’infaillibilité, une antimorale complexe ; l’assemblage de tous les contraires ne forme pas facilement un édifice un minimum cohérent… Gérard Miller, est, sans être unique, de l’espèce la plus ridicule, de celle qui se prend, contre toute apparence, pour un vrai révolutionnaire ! Il résisterait au macronisme, un fascisme qui persécuterait les migrants et les minorités sexuelles… Dans quel monde délirant vit-il, s’il y croit vraiment ?

Gérard Miller s’affiche en très grand admirateur, sans rire ni ironie, de Sandrine Rousseau, personnalité dont les élans lyriques ridicules ou extravagants vont jusqu’à gêner ses amis politiques. Sandrine Rousseau, pour une fois reconnaissante, n’a d’ailleurs pas encore accablé son ami Miller. Nous ne douterons pas qu’elle finira par le faire, mais après une retenue de quelques jours, un record dans le genre chez elle. En attendant, elle attaque les agriculteurs, promeut l’avortement, et défend le droit à la paresse, sérieusement. Toute la caste médiatique ou presque le soutient toujours, au moins indirectement : ainsi, Libération, qui avait fait sa une le 6 janvier 2024 sur une mise en accusation de Gérard Depardieu, avec une photographie géante de l’acteur, pour des faits allégués de viol aussi, a fait le service minimum pour Gérard Miller en son édition du jeudi 1er février, expédiant son cas en pages intérieures profondes - page 18 précisément -, les moins lues du journal, avec un résumé discret de quelques lignes, sans illustration, et le mettant en parallèle avec un handballeur inconnu.

FAUSSES ET VRAIES VALEURS

Gérard Miller a été précisément accusé d’avoir abusé de sa pratique paramédicale de la psychanalyse, mêlée d’hypnose. Il s’agit d’une double imposture, ni l’une ni l’autre n’ont jamais guéri personne, et sont suspectables de bien des dérives avec des raisonnements tournant de manière obsessionnelle autour de la sexualité, et de toutes les fantaisies en la matière, à commencer par le dogme singulier des envies incestueuses qui prendraient à tous les enfants envers leurs parents - dit « complexe d’Œdipe ». Soucieux subitement de présomption d’innocence, Gérard Miller a publié une longue tribune pour se défendre, privilège déjà rare, où il sous-entend qu’il serait victime d’hystériques - ah bon, cela arriverait finalement ?. Se manifesterait, au-delà de sa personne, un complot obscurantiste, méconnaissant la psychanalyse, et lui attribuant des pratiques abandonnées depuis un siècle, comme l’hypnothérapie. Or, le site FrançaisdeSouche a exhumé une vidéo de 2001 où il avait avoué sa fascination pour l’hypnose, sa pratique « d’expériences » en la matière, ce qui correspond à peu près aux dires des plaignantes…

Ainsi, tous ces donneurs de leçons finissent par donner l’impression qu’ils appliquent peu à eux-mêmes leurs grands principes affichés. On songe récemment aux affaires Adrien Quattenens, Thomas Portes ou Eric Coquerel (classée sans suite en février 2023 par la justice). Il faut décidément se débarrasser de cette caste nocive, et hypocrite, de penseurs officiels et procureurs médiatiques, en les mettant à la retraite ou au chômage - avec obligation de chercher un vrai travail -, et reconstruire une société sur des bases saines, mettant en valeur l’amour du pays, l’amour durable entre conjoints, le travail, et ce par des individus sains défendant ces principes authentiques et nécessaires à toute société, sur les écrans grands et petits comme dans les cours universitaires.


(1) Membre du Bureau politique du Parti de la France. Il collabore aussi régulièrement à Synthèse nationale, à Réfléchir et Agir et à Rivarol.

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Samedi 27 avril 2024 : la Vendée n'oublie pas...

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14:22 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 01 février 2024

Macron nous entraine vers la guerre mondiale - François Asselineau

"Larbin des États-Unis", "singe savant"... Le président de l'UPR, François Asselineau, n'a pas épargné Emmanuel Macron. Il faut dire que le président de la République (bananière) n'a de cesse de tendre le bâton pour se faire battre. En témoigne sa conférence de presse face à des journalistes complices, où il avait réponse à tout, n'était responsable de rien. Tous les sujets fondamentaux ont été éludés : explosion de la dette, effondrement du niveau de vie et surtout le risque de guerre mondiale dans laquelle il nous amène. Les armes continuent en effet à affluer vers l'Ukraine : Washington, Davos et Bruxelles l'ont décidé, Macron et Attal sont leurs obligés.

Face au désespoir de millions de Français, agriculteurs en tête, François Asselineau en appelle au sursaut pour les européennes du 9 juin et invite les abstentionnistes à se mobiliser pour le Frexit, seule arme susceptible de faire sauter le Système oligarchique.

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12:08 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 31 janvier 2024

Charles Demassieux en prison ce soir ? Les juges s’acharnent contre un héros !

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Un communiqué de Riposte laïque cliquez ici :

Nous venons d’apprendre une nouvelle mise en garde à vue de notre collaborateur, Charles Demassieux, arrêté par la police judiciaire de Versailles, ce mercredi 31 janvier, à 10 heures 30, sous le prétexte fallacieux de menace de mort contre magistrat. Son ordinateur et son téléphone portable ont été saisis par les policiers.

Le destin de Charles Demassieux a basculé le 15 octobre 2023, dans un petit village de la Creuse où il avait décidé de venir vivre, lassé par les turpitudes de la région parisienne. cliquez ici

Confronté à l’agression violente et menaçante d’un alcoolique toxicomane qui, en état de démence, menaçait sa voisine, une vieille dame de 83 ans, Charles Demassieux, n’écoutant que son courage, a fait face à l’agresseur, et devant l’attitude de plus en plus agressive de ce dernier, a dû le repousser avec un stylo coupe-papier, qui a occasionné une blessure légère au dément.

Il a d’abord été mis en garde à vue pendant 48 heures, et s’est vu imposer un contrôle judiciaire, en région parisienne, avec interdiction de revenir dans la Creuse jusqu’à son procès.

Le 15 janvier, il a été jugé, et lourdement condamné, bien que son casier judiciaire ait été vierge, par le juge Michaël Humbert, président du tribunal de Guéret. 18 mois de prison, dont 3 mois ferme, 3 500 euros de dommages et intérêts, 5 ans d’inéligibilité, et 3 ans d’interdiction de port d’armes. Dans le même temps, l’agresseur, multirécidiviste, déjà condamné à 4 ans de prison pour violences dans le passé, était condamné à 68 euros d’amende et à un stage de citoyenneté.

Charles Demassieux a décidé de faire appel de ce verdict inique. Il avait expliqué cela sur Sud Radio, invité par André Bercoff, sur le thème “Quel est le prix à payer quand on s’interpose lors d’une agression ?”

Qu’a-t-il bien pu se passer depuis le procès de Charles Demassieux pour justifier cette nouvelle garde à vue ? Le juge Humbert a certes reçu des menaces, suite à ce verdict qui a choqué beaucoup de Français. Mais en aucun cas elles ne viennent de Charles Demassieux, qui, d’ailleurs, interrogé par André Bercoff, s’était démarqué de pratiques qui ne sont pas les siennes. Notre contributeur va-t-il encore passer 48 heures en garde à vue, voire être jeté en prison comme un malfrat ?

Cet acharnement judiciaire contre un homme qui s’est conduit comme un héros, sauvant la vie d’une femme menacée et lourdement traumatisée, est digne des pratiques du Syndicat de la magistrature (30 % des magistrats), qui transforme les agresseurs en victimes, et les victimes en coupables.

Il semble, au vu de l’actualité, que nos policiers et nos juges aient mieux à faire pour défendre la sécurité de nos compatriotes que de s’acharner sur un héros qui n’a écouté que son courage pour sauver la vie d’une dame de 83 ans.

Riposte Laïque soutient son contributeur, et demande à ce que les persécutions judiciaires dont il est l’objet cessent immédiatement, en attendant un nouveau procès, suite à l’appel de Charles Demassieux.

Notre site tiendra informés ses lecteurs de l’évolution de la situation.

DERNIERES MINUTES

Mercredi 21 heures : Charles Demassieux a été arrêté depuis 10 heures. Aucune nouvelle de lui, il va donc passer une nouvelle nuit en garde-à-vue.

Ecoutez aussi : cliquez ici

23:44 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution du nouveau numéro (n°98) de Terre & peuple Magazine

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Espagne : Pedro Sanchez pris à son propre piège, pour le moment.

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Michel Festivi 

A vouloir tout céder, à vouloir en permanence finasser, non seulement on perd son honneur, mais qui plus est, on est rejeté par ceux-là même qui devaient vous soutenir. C’est exactement ce qui est arrivé mardi 30 janvier aux Cortès, les 7 députés indépendantistes Catalans de Junts n’ont pas voté la loi d’amnistie pourtant concoctée, négociée et renégociée depuis des semaines avec le gouvernement socialo-communiste espagnol.

Dimanche 28 janvier encore, des milliers de madrilène, à l’appel du Parti populaire avaient battu le pavé pour s’opposer à ce projet de loi très controversé. Condamné par nombre de juristes et de magistrats, ce texte qui bafoue allègrement la séparation des pouvoirs, qui prévoit même l’amnistie pour les actes de terrorisme, sauf les plus graves, ce qui ouvre la porte à toutes les interprétations possibles, n’allait pourtant pas assez loin pour les plus excités, les plus furieux des indépendantistes.

Le PSOE avait à l’avance proclamé, prévoyant sans doute cet échec « nous sommes satisfaits par le texte et n’envisageons aucun changement. ». Bien mal lui en a pris, car les socialistes vont devoir revoir leur copie, le projet va retourner en commission parlementaire et faire de nouveau l’objet d’âpres négociations, et n’en doutons pas, les socialistes et Pedro Sanchez en tête, vont une fois de plus se renier. C’est leur marque de fabrique.

Cet épisode parlementaire révèle une chose, l’extrême fragilité de ce gouvernement de bric et de broc, qui ne tient qu’avec le soutien de 7 députés jusqu’au-boutistes, qui en permanence font monter les enchères, selon le bon vieux principe, si on lui donne un doigt, il prend la main, puis exige le bras tout entier. En réalité, le patron de l’Espagne depuis les dernières législatives est un dénommé Carles Puigdemont, ancien Président de la Catalogne, condamné en Espagne pour sédition, et qui tapi en Belgique, attend son heure. Il n’a de cesse, lui et ses sbires de dénigrer la justice espagnole, de s’attaquer nominativement à certains courageux magistrats qui dénoncent des atteintes gravissimes à l’état de droit, sans que la Commission européenne ne s’en offusque au demeurant.

Car cette éventuelle future loi d’amnistie, concerne environ 400 délinquants qui ont bravé et bafoué la Constitution espagnole, en jouant avec le feu et les institutions. Lorsque j’avais interrogé à Madrid en octobre dernier l’historien Luis Pio Moa (entretien paru dans la revue Reconquête du Centre Charlier numéro 402 de novembre 2023), ce dernier m’avait affirmé que depuis l’arrivée des socialistes, la séparation des pouvoirs si chère à Montesquieu n’existait plus en Espagne. Les faits lui donnent raison.

En tout cas, tout va mal en Espagne aussi. Le 30 janvier, les trois principaux syndicats espagnols ont annoncé une série de mobilisations dans tout le pays au cours des prochaines semaines. Au-delà des Pyrénées, on invoque également « la bureaucratie étouffante générée par les règlementations européennes » et l’on dénonce aussi « les concurrences déloyales qui menacent la viabilité de milliers d’exploitations agricoles. ». Décidément, les institutions européennes, totalement déconnectées du réel, sont une machine à broyer les hommes et les peuples.

18:56 Publié dans En Europe et ailleurs..., Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour information : les députés RN qui ont voté la constitutionnalisation de l'avortement

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17:15 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 3 février, en Vendée : meeting de soutien aux agriculteurs organisé par le Rassemblement vendéen

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00:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les climato-tarés s'en prennent à la Joconde !

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Un communiqué du Parti de la France :

Pour exprimer leur éco-anxiété, deux climato-tarées n’ont rien trouvé de mieux que de s’en prendre à la Joconde dimanche 28 janvier au musée du Louvre. Heureusement, ce tableau, symbole d’une culture supérieure, est bien protégé.

Cet acte abject, aussi débile qu’inutile, démontre bien que ces groupuscules islamo-écolo-gauchistes sont une nuisance dans notre société. Il est grand temps d’interdire tous ces mouvements nocifs et destructeurs de notre civilisation.

Au Parti de la France, la défense de notre patrimoine culturel et historique est une priorité.

Laurent Spagnol, membre du Bureau politique du Parti de la France

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