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vendredi, 26 avril 2024

25 avril 1974 – 25 avril 2024 : les œillets sont bien fanés !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Gouverné tant bien que mal par Marcelo Caetano, qui avait pris la suite d’Antonio de Oliveira Salazar, empêché par une congestion cérébrale d’exercer le pouvoir depuis le 25 septembre 1968, et décédé le 27 juillet 1970, le Portugal, fièrement, restait la seule puissance occidentale encore maitresse de ses colonies.

Un vaste empire qui faisait la fierté des Lusitaniens, mais qui coûtait cher, même si les ressources naturelles de ses provinces d’outre-mer étaient prometteuses. Dans l’ombre, la taupe marxiste était à l’œuvre, et sapait tant à l’intérieur qu’à l’extérieur la volonté de résistance du pays. De plus en plus de Portugais quittaient le pays pour échapper au long service militaire imposé à une jeunesse éprise des leurres de la société de consommation.

En Angola, l’UNITA de Jonas Savimbi et le MPLA d’Agostinho Neto, menaient la vie dure à l’exercito, comme le FRELIMO de Samora Machel au Mozambique, ou le PAIGC d’Amilcar Cabral en Guinée Bissau, tous mouvements soutenus les uns par l’URSS, les autres par la Chine rouge. En Guinée justement, le général De Spinola, sorte de pro-consul aux pleins pouvoirs, constatait avec amertume que l’effort de guerre s’essoufflait, et qu’il était peut-être temps d’envisager un autre scénario que la « portugalisation » intégrale des provinces d’outre-mer. Il exprima ses vues dans un livre retentissant, « Portugal e o futuro » - « le Portugal et son avenir » -, qui allait servir de détonateur au golpe des capitaines du MFA, le Mouvement des Forces armées, une organisation tapie dans l’ombre, largement gangrénée par les communistes clandestins du camarade Alvaro Cunhal, installé bien tranquillement à l’étranger. (Ce qui en dit long sur la supposée implacable « efficacité » de la PIDE, la police politique de l’Estado Novo, ce dernier fondé en mars 1933, avec l’entrée en vigueur de la nouvelle constitution élaborée par le « petit » professeur de droit de  Coimbra !)

Les termites rouges étaient à l’oeuvre

Déjà, au cours d’une réunion clandestine qui s’était tenue le 24 novembre à Estoril, un lieutenant-colonel s’était écrié, « Nous sommes étouffés par un régime qui nous mène à l’abîme, à la défaite, comme d’ailleurs tous les régimes fascistes… ». Le grand mot avait été lâché. Et, dès lors, les officiers du MFA garderont dans le vocabulaire de ce mouvement, ses structures et ses méthodes, ce parfum de « gauchisme » jusqu’à ce que d’autres militaires -  ceux notamment du régiment de commandos d’Amadora -, n’écrasent dans l’œuf, le 25 novembre 1975, une tentative de coup d’état communiste. La vérité, c’est que l’armée portugaise, dont les deux-tiers de ses 200 000 hommes étaient en lutte dans les colonies contre les guérillas marxistes - armée soutenue du bout des lèvres par ses alliés du Pacte atlantique dont la France ayant fourni des Noratlas, des hélicos Alouette et des blindés légers -, était à bout  de souffle.

De Spinola, à l’instar d’un De Gaulle avec l’AOF et l’AEF, proposait une nouvelle communauté luso-africaine, basée sur l’autonomie de ses États et leur parfaite égalité. Mais il était trop tard. Trop frileux sans doute, le professeur Caetano n’avait pas tenté l’expérience.

Le 25 avril 1974 à l’aube, 3 000 soldats dispatchés par le major Otelo de Carvalho, le cerveau du complot - qui fera encore parler de lui en purgeant une peine de quinze ans de prison, peine rabotée par les socialistes à sept années -, convergeaient sur Lisbonne, et occupaient un à un tous les lieux de pouvoir. La radio annonçait le putsch et, après une courte résistance, la Garde nationale républicaine (GNR) se rendait, tandis que les unités non concernées par la conjuration, comme l’équipage de la frégate Gago Coutinho, embusquée sur le Tage, refusaient d’ouvrir le feu sur leurs frères d’armes. Le président de la République, l’amiral Américo Tomas, comme le président du conseil Marcelo Caetano, réfugiés à la caserne do Carmo, celle de la GNR, se rendaient aux officiers insurgés, et étaient expulsés manu militari vers l’ile de Madère, avant de gagner le Brésil, leur lieu d’exil.

De Spinola, lui aussi, sera exilé

Propulsé sur le devant de la scène, le général De Spinola était nommé président provisoire. Une armée usée par près de treize années de guerre, plombée par ses 8 000 morts, mettait « crosse en l’air ». La population laissait déborder sa joie, lassée par ces années d’un interminable conflit colonial, couvrant ses centurions d’œillets, cette belle fleur qui allait fleurir au bout des fusils ! Elle oubliait soudainement tout ce qu’elle devait au salazarisme – grandeur du Portugal, solidité de l’escudo, paix civile, stabilité gouvernementale, probité de son fondateur qui mettait le « spirituel » au-dessus du « matériel » , espoir d’une vie nouvelle outre-mer, gagée toutefois par les incertitudes politiques -, pour n’en garder que les aspects les plus négatifs : modicité du niveau de vie, manque de liberté d’expression, épée de Damoclès du service militaire…

C’est bien connu, les révolutions dévorent leurs auteurs. À son tour, le « général au monocle » - celui qui avait été un observateur militaire d’un Portugal  neutre sur le front de l’Est -, allait être remercié, et partir, lui aussi, en exil au Brésil. Les jeunes officiers portugais, issus majoritairement des classes populaires qui avaient eu la chance d’accéder à l’université, allaient traitreusement offrir l’Afrique portugaise aux marxistes angolais, mozambicains et guinéens, sans aucune contrepartie.

Un espoir de renouveau ?

Depuis, en métropole, les gouvernements se sont succédé, d’élection en élection, à la recherche d’une majorité stable, socialistes et centristes se repassant, alternativement, la « patate chaude », les premiers trainant dans leur sillage un lourd parfum de corruption. Ce qui a sans doute permis à CHEGA (« Ca suffit »), une nouvelle formation de droite nationaliste emmenée par son chef, le charismatique André Ventura - ancien présentateur-vedette à la télévision -, de ravir dernièrement 48 sièges de députés sur les 230 du parlement de Lisbonne. CHEGA  est devenu, avec 18,1 %, la troisième force politique du pays. Clin d’œil de l’histoire ou promesse de retour aux sources ? Seul l’avenir le dira.


Pour en savoir plus, lire « Salazar le regretté », du même auteur, un ouvrage publié aux éditions « les Bouquins de Synthèse nationale » cliquez ici

12:40 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Séisme chez les collabos après la sublime question de Marion : “Où est la maman ?”

MARION OSE DEMANDER QU’UN ENFANT AIT UNE MAMAN

C’est le scandale du jour ! Elle a osé ! Marion Maréchal, tête de liste Reconquête aux Européennes, a osé, dans un tweet de 4 mots, poser la question : où est la maman ? Les faits : deux millionnaires homosexuels, le styliste Simon Jacquemus et son mari se sont vantés d’avoir acheté des jumeaux, Mia et Sun, presque sur catalogue.
 
Cela a suffi pour que toute la bien-pensance, gouvernement compris, tombe sur la belle Marion. Clément Beaune, militant homosexualiste haineux, a glapi : “C’est dégueulasse” ! La nunuche Prisca Thévenot a juste oublié que la GPA était toujours interdite en France, et que Macron avait même dit : « Pendant mon quinquennat, la GPA restera interdite en France. C’est une question d’éthique et de dignité ». Toute la gauche wokiste est tombée sur Marion, lui reprochant même d’être hostile au mariage homosexuel. Notons le courageux soutien de Jean-Philippe Tanguy, du Rassemblement national, à Marion.
Invitée chez Pascal Praud pour donner son point de vue, Marion a été sublime, expliquant qu’elle aurait protesté de la même façon si cela avait été un couple hétéro qui avait transgressé la loi, et réaffirmant fortement que le corps de la femme et les utérus ne sont pas des marchandises.
 
Lire Riposte laïque cliquez ici

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"Europe, civilisation des libertés !", intervention de Jean-Yves Le Gallou au colloque de l'Iliade du 6 avril dernier

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Co-fondateur de l’Institut Iliade, Jean-Yves Le Gallou est essayiste et ancien haut fonctionnaire. Membre du GRECE en 1969, il co-fonde en 1974 le Club de l’horloge. Il est président du groupe FN puis du MNR au conseil régional d’Île-de-France de 1986 à 2004, et député européen de 1994 à 1999. En 2003, il crée Polémia et il anime également l’émission de critique des médias I-Media sur TV Libertés.

Son intervention au colloque de l'Iliade cliquez ici :

Je vais vous faire une confidence. Je vais vous raconter à quoi Romain et moi avons passé cette dernière semaine de préparation du colloque. Cette semaine, toutes les trois heures, nous sommes allés sur le site de la préfecture de police pour vérifier qu’il n’y figurait pas d’arrêté d’interdiction de notre colloque. Il n’y a pas eu d’interdiction de notre colloque et c’est heureux. Mais le simple fait que la question ait pu se poser, le simple fait qu’il ait pu être envisagé qu’un colloque intellectuel comme celui-ci soit interdit, montre l’ampleur des menaces qui pèsent sur les libertés françaises et les libertés européennes aujourd’hui. Cette interdiction potentielle est à mettre en perspective avec la vague d’interdictions bien réelle de manifestations, la vague de dissolutions, la vague de détentions arbitraires qui ont eu lieu au cours de la dernière année.

C’est aussi à mettre en perspective avec trois propositions de loi en cours de discussion au Parlement. Enfin, quand je dis en cours de discussion, j’exagère, puisqu’on s’achemine vers des votes à l’unanimité. Je vais vous les énumérer rapidement. Et puis nous rappellerons ce que sont les libertés européennes et en quoi elles peuvent nous inspirer aujourd’hui. D’abord, il y a un projet, un premier projet de loi, qui vise à compléter la loi Pleven par l’ajout d’un interdit supplémentaire, à savoir la discrimination capillaire. Je dois dire que ça me sidère un petit peu puisqu’il y a quatre ans j’avais prévu d’organiser le 1ᵉʳ avril 2020 une manifestation parodique précisément contre la discrimination capillaire. Mais ce qui était un « 1ᵉʳ avril » il y a quatre ans est une proposition de loi votée en première instance aujourd’hui. Certes, cela vise davantage à protéger les jeunes rastas noirs que les vieux hommes blancs chauves. Mais enfin, l’esprit des lois est là. Ça, c’est la première loi. La deuxième loi, c’est un nouveau dispositif qui crée un délit d’outrage en ligne pour tout ce qui porte atteinte à la dignité d’une personne et présente à son égard un « caractère injurieux, dégradant ou humiliant », ou crée une « situation intimidante, hostile ou offensante », c’est-à-dire une définition extrêmement large de ce nouveau délit pénal. Et puis il y a le sommet, déjà voté en première instance à l’Assemblée nationale, à l’unanimité : c’est la création d’un délit d’opinion privé. La correctionnalisation des propos privés, c’est-à-dire l’extension de l’ensemble du dispositif de la loi Pleven aux conversations privées – entre amis, en famille – qui est a été votée en première lecture à l’Assemblée nationale. C’est l’interdiction, la pénalisation, la criminalisation de la blagounette.

Certes, et ce n’est pas une consolation, il n’y a pas qu’en France qu’on connaît une telle évolution liberticide. En Écosse, J. K. Rowling, la mère d’Harry Potter, a expliqué qu’elle risquait sept ans de prison – oui, vous avez bien entendu, sept ans de prison – puisqu’elle refusait la loi faisant de la négation de la transidentité un délit. En Allemagne, la présidente du Bundestag a demandé à l’Office fédéral de protection de la Constitution, c’est-à-dire la police politique, de contrôler le choix de leurs assistants par les parlementaires de l’AfD, ce qui est la négation de la démocratie représentative. Dans le même temps, le gouvernement a engagé 400 procédures disciplinaires contre des policiers pour délit d’opinion identitaire. Je pourrais aussi citer la Pologne où on prévoit une loi contre les discours de haine dans le but de protéger la propagande LGBTQ X, Y, Z. Trois ans de prison ferme. Je pourrais citer la Belgique, les Pays-Bas. Partout en Europe, c’est la nuit qui tombe sur les libertés.

Alors, comment appelle-t-on un régime où la liberté d’expression est réprimée ? Comment appelle-t-on un régime où des interdits professionnels sont mis en place en fonction des opinions ? Comment appelle-t-on un régime qui abolit la distinction entre le domaine privé et le domaine public ? On appelle cela un régime totalitaire, ou, pour reprendre le titre du livre de l’essayiste Mathieu Bock-Côté, un « totalitarisme sans le goulag ». Alors comment faire face ? Comment réagir ? Eh bien, en retournant à la source des libertés européennes à l’aube grecque, de la pensée aux discussions de l’Académie, à la fondation de la rhétorique, c’est-à-dire à l’organisation de la libre confrontation des opinions et au développement de la disputatio. À l’origine de l’essor de la pensée européenne.

Voici ce qui est au cœur de la pensée européenne : en dehors des dogmes religieux, ne peut être dit vrai que ce qui peut être librement contesté. Je précise : la proposition A peut être dite vraie, mais uniquement si elle est confrontée à la proposition non A et qu’elle en sort victorieuse ou en tout cas et uniquement à cette condition. Je vais donner, au risque de choquer, un exemple concret. Je croirai personnellement à la thèse de l’origine anthropique du réchauffement climatique le jour où, dans la dizaine de disciplines qui concernent le climat, les recherches critiques sur la thèse officielle seront financées et publiées, autant financées et publiées que les recherches conformes à la doxa. Ce n’est pas le cas aujourd’hui. Un chercheur américain qui a publié un article dans la revue Science (à propos de l’origine des feux de forêts en Californie) a déclaré : « Je n’ai pu le publier que parce que j’ai biaisé les résultats. » Donc, en l’état actuel, on ne peut pas dire que la thèse du réchauffement d’origine anthropique soit scientifique. Ce n’est rien d’autre qu’un millénarisme, une hérésie millénariste. Et d’ailleurs, il y a dans les tuyaux la préparation d’un adjuvant à la loi Pleven visant à interdire le « déni climatique » (sic). C’est le retour de la « science officielle » comme à la belle époque du lyssenkisme, sous Staline. Alors il faut retrouver les libertés académiques, retrouver les libertés universitaires, retrouver les libertés publiques. Il y a 30 ans ou 40 ans, il aurait été impensable d’avoir à tenir un tel discours tellement ces exigences-là paraissaient évidentes.

Alors, continuons notre retour aux sources et revenons à la distinction entre le public et le privé. Le dictateur romain Sylla, précurseur d’Auguste, avait fait adopter une loi, une lex Cornelia, qui réprimait les violences et les injures au domicile. Mais il avait exclu des poursuites les membres de la famille et les proches parce que l’État n’avait pas à entrer dans le privé. L’État n’avait pas à entrer dans la maisonnée. Et cette loi a inspiré beaucoup d’autres lois successives aux différentes époques de l’histoire. Elle a contribué à fonder une distinction essentielle entre le domaine public et le domaine privé. Bref, il ne faut pas faire entrer l’État dans l’espace privé comme il est en train d’y entrer par la loi que j’ai évoquée, de criminalisation des propos privés. Comme il y entre aussi par l’intermédiaire de toute une série de réglementations sur ce qu’on peut ou doit faire à l’intérieur de son domicile pour respecter des normes de plus en plus nombreuses et tatillonnes. Quand on accepte cela, on va dans le sens du totalitarisme. Alors, il faut libérer le domicile et les relations à l’intérieur du domicile des contraintes de l’État.

Continuons d’aller aux sources. Eh bien, les sources, ce sont aussi les leçons du Moyen Âge. Pour le grand historien Fernand Braudel, du ve au xve siècle il y a un mot qui traverse toute la dynamique économique et sociale de l’Europe.

Ce mot, c’est les libertés. Pas la liberté, les libertés : liberté des villes, libertés universitaires (qui sont aujourd’hui en voie de disparition), liberté des corporations, liberté des terres, les alleux. Quand vous vous promenez en France, vous trouvez partout des bourgs, des lieux-dits qui s’appellent Les Allues, Les Alluets. Des toponymes qui renvoient à cette période d’émancipation des terres. Alors cette idée de liberté, c’est une idée de libertés au pluriel. C’est une idée très féconde pour faire face à la normalisation, au retour du jacobinisme contre les libertés locales et à la concurrence dans le domaine agricole des petites exploitations avec les latifundia. Les réglementations sont écrites et faites par les grosses unités, les multinationales en particulier. Il faut en dispenser les petites unités. Et, comme dans cette période finalement féconde (contrairement à ce qu’on a pu en raconter à certaines périodes) du Moyen Âge, cet âge des libertés, l’heure est aux franchises. Franchises pour les terroirs, franchises pour les communes, franchises pour les petites et moyennes entreprises, franchises pour les écoles.

Continuons d’aller aux sources avant de conclure. Aller aux sources, c’est aussi se rappeler l’histoire de la liberté de la presse. Toute la lutte du XIXᵉ siècle en France et dans les pays voisins tourne autour de la lutte contre la censure qu’on appelait « Anastasie » avec ses ciseaux. Quand Polignac, ministre de Charles X, a voulu rétablir la censure par des ordonnances, il a déclenché la révolution de Juillet contre la censure. Mais la liberté de la presse a connu encore différents avatars. Sous la monarchie de Juillet, sous le Second Empire, sous les débuts de la Troisième République, il y eut régulièrement le retour de la censure. Il faut attendre la grande loi de 1881 pour fonder durablement la liberté de la presse. Son article 1 est simple et merveilleux. Il faudrait y revenir, voici son texte : « La presse et l’imprimerie sont libres. » C’est ce qui est resté la règle, en dehors des périodes de guerre, jusqu’en 1972. Année funeste où a été votée la loi Pleven, première étape d’un resserrement progressif puis d’une disparition des libertés. D’abord par l’extension progressive de son contenu en France, l’extension des incriminations – j’en ai cité quelques-unes – et par son imitation dans la quasi-totalité des pays européens. Face à l’extension permanente de nouveaux sujets de poursuites, il faut, là aussi, un choc de liberté. Aujourd’hui, l’Europe a besoin d’un double choc, d’un choc de liberté et d’un choc d’identité. Ces deux chocs sont liés car il n’y a pas d’identité européenne s’il n’y a pas de liberté européenne, et il n’y a pas de liberté européenne sans identité. Liberté et identité, c’est le combat central. Nous ne pouvons sauver l’une que si nous sauvons l’autre. Les deux sont liées. Nous devons retrouver les sources, les fondements des libertés européennes.

Toutes les interventions au colloque de l'Iliade du 6 avril 2024 cliquez là

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jeudi, 25 avril 2024

Démocratie sélective à la mairie de Paris

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Claude Lorne Le Nouveau Présent cliquez ici

Après avoir condamné l’interdiction d’un meeting propalestinien de Mélenchon à l’université de Lille, Libération va-t-il protester contre le nouveau « scandale liberticide » que constitue la dernière décision de la mairie de Paris ? Sur l’ordre d’Anne Hidalgo qui le menaçait de représailles, le publicitaire JC Decaux a dû en effet faire retirer des colonnes Morris les affiches annonçant la publication du livre Transmania (éd. Magnus).

Halte à la « transphobie »…

En effet, selon « Notre-Drame de Paris » et ses adjoints, cette enquête rigoureuse menée par deux féministes pourtant engagées, Dora Moutot et Marguerite Stern (la seconde est même une ex-FEMEN), démontre les ravages en tous domaines de l’idéologie transgenre. « Le mot femme disparaît, et le vocabulaire scientifique et médical avec, déplorent-elles ainsi. Dans un livret médical, l’hôpital NHS de Brighton (Sussex, Royaume-Uni), somme les sage-femmes de préférer les termes “lait humain, “lait des seins/du torse, ou “lait provenant du parent allaitant au lieu de ”lait maternel” ». Toujours dans le même livret, on demande au personnel de parler de « trou du devant » ou d’« ouverture génitale » pour désigner le vagin… Dans un rapport datant du 20 mai 2022, le ministère de la Santé canadien évoque la santé des “personnes menstruées. Et la France n’est pas épargnée. Dans son lexique trans, le Planning familial désigne le sexe comme un “construit social basé sur des observations moyennes des différences biologiques entre les genres. […] Sur son site internet, le département Psychiatrie et neurosciences du GHU de Paris nous parle du sexe ”assigné à la naissance. Dans un document relatif aux parcours de transition des personnes transgenres publié le 7 septembre 2022, la Haute Autorité de santé (HAS) nous parle également de sexe “assigné»

Plus graves encore, soulignent les deux auteurs, la pression éhontée exercée sur les parents et les médecins pour faire pratiquer, malgré les mises en garde de nombre de pédopsychiatres et d’éducateurs, une « transition de genre » hormonale et chirurgicale sur les enfants et adolescents se sentant mal dans leur peau, pas forcément d’ailleurs en raison du « sexe assigné », et l’inscription dès 2010 par Roselyne Bachelot, sous le règne de Sarkozy donc, de cette transition sur la liste des ALD » – affections de longue durée totalement prises en charge par la Sécurité sociale ».

Autant de constatations de simple bon sens, qui ont mis en furie la cage aux folles parisienne, vouant aux gémonies ce « livre transphobe propageant un discours de haine » — cf. Emmanuel Grégoire, premier adjoint d’Anne Hidalgo, qui estimait qu’un tel ouvrage n’avait pas « sa place dans l’espace public ».

… Mais bienvenue à la révolution

Espace sur lequel, en revanche, de nombreuses réjouissances sont prévues à partir du 25 avril pour le 50e anniversaire de la révolution portugaise dite des Œillets, en particulier sur le parvis de l’Hôtel-de-Ville, dans le Grand Hall de la Maison des Sciences de l’Homme, ainsi qu’au Théâtre (subventionné) de la Ville, ainsi que Mme le maire l’a annoncé avec fierté. Sous l’influence d’Alvaro Cunhal, leader du PCP clandestin, successivement réfugié à Prague, à Moscou et à Paris, cette révolution d’inspiration militaro-communiste n’avait-elle pas « mis fin à 48 ans de dictature et d’empire colonial, tout en déclenchant une vague démocratique en Europe et dans le monde », comme s’en émerveille le bulletin municipal ? En oubliant qu’à peine indépendantes, les colonies libérées (Angola, Mozambique, Guinée Bissau ou Guinée équatoriale) sombrèrent dans une dictature bien pire que celle de l’Estado novo de Salazar, le népotisme et un chaos de luttes ethniques qui perdurent.

Comme on voit, Anne Hidalgo a une conception très personnelle de l’espace public.

Transmania, Dora Moutot et Marguerite Stern, Magnus éditions, 21,00 € cliquez ici

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Un grand entretien avec Filip Dewinter sur Breizh-Info

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Source cliquez ici

Propos recueillis par Lionel Baland

Filip Dewinter est premier vice-président du Parlement flamand de Belgique et la figure de proue du parti nationaliste flamand Vlaams Belang. Il est également conseiller municipal à Anvers (Antwerpen). Lionel Baland l’a rencontré et interrogé pour Breizh-info lors du congrès des nationaux-conservateurs Natcon 2 à Bruxelles.

Breizh-info : Pourquoi êtes-vous venu ici à la réunion des nationaux-conservateurs ?

Filip Dewinter : Je pense qu’il est important que les nationaux-conservateurs, mais aussi les tenants d’autres tendances, puissent se rencontrer et échanger des idées. L’important est de trouver un consensus sur celles-ci, ainsi que sur les stratégies, à la veille des élections européennes et que ces forces identitaires, conservatrices, nationalistes et autres soient unies au sein du Parlement européen, ce qui n’est pas, en ce moment, le cas. En effet, différents groupes existent et j’espère que toutes ces forces pourront être ensemble et que nous pourrons devenir les deuxièmes, voire, peut-être, les premiers, au sein de cette assemblée. Des réunions comme celle d’aujourd’hui sont donc importantes, car elles accueillent des personnes issues de différents pays, mais surtout de diverses tendances politiques. Des Européens, mais aussi des Américains et d’autres, peuvent trouver un moyen de s’entendre et, pour cela, il faut se parler, échanger des idées, se rencontrer. Nous le faisons ici.

Lors des élections du 9 juin 2024, pour les parlements flamand, belge et européen, sur quelle liste serez-vous présent ?

Je resterai au Parlement flamand, qui est pour notre parti nationaliste flamand, le Vlaams Belang, le seul légitime. J’en suis actuellement le premier vice-président et j’espère, si le scrutin confirme les scores qui nous sont attribués au sein des sondages d’opinion qui nous donnent premiers en Flandre, être, peut-être, candidat à la présidence du Parlement flamand.

Cette fois, vous ne serez pas tête de liste, mais dernier ?

Oui, je suis dernier sur la liste. Je suis un ancien de notre mouvement et cela veut dire que je n’ai plus l’ambition d’en être le président ou la figure de proue, mais seulement de le soutenir avec la popularité dont je dispose encore. Cependant, je serai tête de liste lors des élections communales [municipales] à Anvers en octobre.

Que se passera-t-il si les deux partis nationalistes flamands Vlaams Belang et N-VA disposent ensemble, à l’issue du scrutin, d’une majorité ?

Alors, il faudra briser le cordon sanitaire [qui frappe le Vlaams Belang].

Contrairement à ce qui est prétendu, je n’ai pas l’impression que nous sommes dans une démocratie. Et pas seulement dans le cadre de ce que nous vivons aujourd’hui. Deux salles prévues consécutivement afin d’accueillir l’événement ont été dans l’impossibilité de le faire suite à des pressions politiques et ce jour encore le bourgmestre (maire) de Saint-Josse-ten-Noode Emir Kir, qui est d’origine turque et qui est dirigé par l’AKP, le parti du président turc Recep Tayyip Erdoğan, a annoncé, dans des médias belges, qu’il va tenter de tout faire pour interdire ce rassemblement, aujourd’hui, et encore plus demain, alors que la présence du Premier ministre hongrois Viktor Orbán, du ministre israélien Amichai Chikli et de l’ancien Premier ministre conservateur polonais Mateusz Morawiecki est annoncée.

Mais le fait que ce rassemblement se tienne dans une des communes de la région bruxelloise constitue une victoire pour la démocratie car je tiens à rappeler que, un an auparavant, j’ai tenté deux fois de faire un petit tour dans des communes de la région bruxelloise comme Saint-Josse-ten-Noode et Schaerbeek avec mon grand ami [le président du parti patriotique anti-islamisation néerlandais PVV] Geert Wilders. Nous étions dans l’impossibilité de le réaliser à cause de bourgmestres comme Monsieur Kir et d’autres. Le fait que cette conférence se déroule à Saint-Josse-ten-Noode est symbolique.

L’autre élément anti-démocratique est le cordon sanitaire qui frappe le Vlaams Belang et qui rend les élections inutiles, car les électeurs savent que, même si ce parti arrive premier et obtient un très haut score, il sera exclu du pouvoir à cause des partis anti-démocratiques qui vont perdre les élections, mais seront au pouvoir après celles-ci. C’est la folie totale ! C’est une démocratie bidon installée pour faire plaisir à la population, pour lui faire croire qu’elle a quelque chose à dire, mais, en fait, avec le cordon sanitaire, les élections sont inutiles.

Le côté positif de ces élections est qu’elles permettent de s’exprimer, mais tout le monde sait d’avance que si le Vlaams Belang l’emporte électoralement, il ne sera pas au pouvoir.

Nous avons en Belgique un Premier ministre, Alexander De Croo, dont le parti libéral représente, dans les sondages, 7 % des électeurs en Flandre. Le parti donné comme étant le plus petit dans les enquêtes d’opinion a la possibilité de disposer du poste de Premier ministre. C’est la démocratie « à la Belge » !

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11:00 Publié dans En Europe et ailleurs..., Rencontre avec..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : samedi 27 avril, aux Lucs-sur-Boulogne (85) : pèlerinage en mémoire des martyrs

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Les Anglais ont enfin voté l’expulsion des clandestins vers le Rwanda

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Jacques Guillemain Riposte laïque cliquez ici

Heureux Anglais qui peuvent dorénavant expulser leurs clandestins vers le Rwanda.

Tandis que Macron reste les bras ballants face à l’immigration clandestine, prétendant que la submersion que connaît l’Europe est une fatalité qu’il faut accepter, vu la démographie galopante de l’Afrique, le Parlement  britannique a adopté la loi “Rwanda”, après bien des péripéties.

Deux ans de guérilla politico-judiciaire, opposant la Chambre haute et celle des communes. Sans parler du différend entre la CEDH et la Haute Cour de Londres, en total désaccord sur la légalité du projet.

Il faut dire que les traversées de la Manche en pleine expansion, avec les drames qui les accompagnent, ont fini par avoir raison des demi-mesures franco-britanniques, totalement inefficaces.

75 000 traversées en deux ans et une augmentation de 25% depuis le début de l’année 2024 par rapport à l’an dernier, ont montré l’urgence d’adopter une législation radicale, de type australien : “Stop the boats”. Londres et Canberra, même combat !

Rishi Sunak peut pavoiser :

“L’adoption de cette loi historique n’est pas seulement un pas en avant mais un changement fondamental dans l’équation mondiale de la migration. Ce plan doit dissuader les migrants vulnérables d’entreprendre des traversées périlleuses et briser le modèle commercial des bandes criminelles qui les exploitent.”

Les charters commerciaux sont prévus et un terrain d’aviation au Rwanda est réservé à cet effet.

On est loin de l’inaction criminelle d’un Macron qui se révèle incapable d’expulser nos 4 500 fichés S étrangers, qui sont pourtant des dangers majeurs pour le pays.

Le texte de la loi prévoit de passer outre les injonctions de la CEDH, avec possibilité de quitter cette institution si besoin.  Sunak a été très clair :

“Aucune cour étrangère ne nous empêchera de faire décoller les avions.”

Et d’ajouter pour être très clair :

“S’il faut choisir entre la sécurité de nos frontières et l’appartenance à une juridiction étrangère, je donnerai bien sûr la priorité à notre sécurité nationale.”

Tout le contraire d’un Macron, qui a bradé la totalité de notre souveraineté nationale à Bruxelles et qui se dit patriote européen avant d’être français.

Le peuple français a vraiment réélu un président nuisible, qui veut sa perte.

La porte britannique s’étant refermée, tous les candidats à la traversée resteront en France. Après l’immigration francophone, c’est toute l’immigration anglophone qui va venir solliciter notre généreux guichet social.

Si le peuple britannique ne veut pas disparaître, le peuple gaulois, quant à lui, continue de tisser la corde qui le pendra, en votant depuis 40 ans pour les immigrationnistes de gauche comme de droite. Nul ne peut empêcher un peuple de se suicider.

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mercredi, 24 avril 2024

Samedi 27 avril, Marion à Orange...

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09:53 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Marion remet l'église au milieu du village

Un communiqué de Marion Maréchal :

Lundi soir, j'étais l’invitée de l’émission « C à vous » sur France 5.

J’ai réagi aux mensonges de Patrick Cohen sur la politique migratoire de Giorgia Meloni, et réaffirmé notre volonté commune, avec le groupe des Conservateurs, de défendre notre civilisation face à la submersion.

J’ai également rappelé à Anne-Elisabeth Lemoine que ce qui menaçait réellement la liberté des femmes, c'était l'ensauvagement et l'islamisation de la France : 1 agression sexuelle signalée toutes les 6 minutes, 77 % des viols commis sur la voie publique à Paris par des étrangers, et 1 million de femmes portent le voile islamique.

Enfin, interrogée sur les gesticulations de Gabriel Attal au sujet de la délinquance des mineurs, j'ai demandé l'instauration d’un couvre-feu pour tous les jeunes de moins de 15 ans dans les 1362 quartiers prioritaires.

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mardi, 23 avril 2024

Russie - Ukraine : l’Occident face à la stratégie du chaos avec Eric Denécé

Rarement un conflit militaire a donné lieu à des analyses aussi partiales que la guerre d'Ukraine. La grande majorité des commentateurs a abandonné toute démarche sérieuse d'évaluation des faits et a fait preuve d'une partialité éhontée. L'analyse militaire de la guerre a donc été totalement déformée et la version médiatique qui en a été donnée est à des années-lumière de la réalité de terrain. Il est temps d'en revenir à une analyse neutre et objective des faits, sans chercher à privilégier l'un ou l'autre camp.

C'est ce que propose le Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R) qui s'est attaché à étudier les deux premières années de ce conflit en toute indépendance et à en tirer les premiers enseignements. Les multiples facettes du conflit sont abordées dans cet ouvrage: guerre de l'information, guerre du commandement, guerre électronique, défense antiaérienne, rôle de l'artillerie et des drones, opérations spéciales, rôle des volontaires étrangers et des sociétés militaires privées, assistance internationale au profit des belligérants, etc. Enfin, y sont analysées les raisons de l'échec de la contre-offensive ukrainienne et ses conséquences.

Créé en 2000, le Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R) est un Think Thank indépendant spécialisé sur l'étude des questions de renseignement et de sécurité internationale. Ce livre  (disponible ici) réunit les contributions de Nicolas Auret, Jean-Luc Baslé, Alain Charret, Théo Claverie, Éric Dénécé, Olivier Dujardin, Giuseppe Gagliano, David Gaüzère, Valère Llobet et Alain Rodier.

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La Belgique, pays à la dérive ?

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lundi, 22 avril 2024

Il y a 70 ans : Dien Bien Phu

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Mardi 30 avril, à Paris : conférence de Pauline Condomines sur l'ultra-gauche

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Post-Mortem : L'état Profond Ciblé

Quelles répercussions à l'agression iranienne? L'État profond mis à nu.

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17:37 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

11 Septembre : à la recherche du pétajoule perdu – Conférence de François Roby à Lille

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E&R Nord-Pas-de-Calais recevra François Roby le samedi 4 mai 2024 à 15 h pour une conférence intitulée « 11 Septembre : à la recherche du pétajoule perdu – Le secret le mieux gardé du 11 Septembre est accessible à tous ».

Le 11 Septembre marqua l’entrée dans le XXIe siècle comme la Première Guerre mondiale marqua l’entrée dans le XXe : à l’inauguration de la guerre motorisée succéda celle de la guerre médiatique.
En dehors de la version officielle – et quelque peu magique – des attentats de 2001, les versions alternatives des événements foisonnent et contribuent, par leur variété même, à désorienter les esprits curieux insatisfaits du discours dominant, voire à les ramener dans le « droit chemin » par lassitude.
Pourtant il n’est pas nécessaire de faire appel à des armes secrètes ni d’être ami avec un ancien du renseignement pour comprendre un aspect essentiel des événements : le mode de destruction des trois gratte-ciel qui partirent en poussière à Manhattan le 11 septembre 2001. Il suffit d’être curieux, de se documenter par des voies ordinaires et de se laisser guider sans crainte par les lois de la physique les plus éprouvées.

- Entrée : 10 euros

- Inscription obligatoire par e-mail : hdf@e-r.fr (Indiquez nom et prénom)

- L’adresse exacte vous sera communiquée la veille par courriel

- Présence d’une buvette et d’un stand Kontre Kulture

16:44 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Samedi Politique avec Alain Juillet - L'Occident perdu dans le désordre mondial ?

Avec la guerre en Ukraine et l’explosion des tensions sur la planète, l’ordre mondial est en constante transformation depuis plusieurs années… Le monde bipolaire du XXème siècle vole en éclat pour donner lieu à de nouvelles convergences et divergences. L’Occident, rangé derrière les Etats-Unis pour le meilleur et surtout le pire, semble assister impuissant aux transformations des équilibres et des centres de gravité. Campé sur ses références et son moralisme à géométrie variable, le Nord s’épuise. Alors que Washington poursuit son chemin pour défendre ses intérêts en s’astreignant à affaiblir ses alliés, les pays des BRICS s’organisent et tissent des partenariats sans asservissement. Dans ce monde en train de basculer, le dollar s’affaiblit, entraînant d’abord ceux qu’il a soumis à son diktat.

Alain Juillet, ancien patron du renseignement à la DGSE et père de l’intelligence économique en France, nous livre ses clés de compréhension face à ce monde qui perd le Nord.

Vous pouvez retrouver les analyses d’Alain Juillet  ICI

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16:31 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Même la Vendée n'y échappe plus...

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Eric Mauvoisin-Delavaud
Président du Rassemblement Vendéen
 
Ce samedi soir, j'ai assisté à la réunion de boxe organisée par le "ring challandais"...
 
C'est toujours un plaisir de revoir les amis organisateurs que je veux saluer pour le professionnalisme de l'organisation de cette soirée....
 
Au-delà de la qualité pugilistique de cet événement je voudrais vous faire part de ma stupéfaction en constatant les dérives communautaires de cette soirée.. Nous sommes donc à Challans en Vendée,
 
Lors de cette soirée la Sandwicherie ne propose que des kebabs par définition donc Halal pour tous obligatoire !
 
Femmes voilées dans la salle et boxeuses portant le hijab sur le ring..sans parler de la musique rap assourdissante.. Bref la question se pose.. Une forme d’emprise prosélyte s’exerce-t-elle sur les clubs sportifs challandais ?
 
La Vendée est tout bonnement en train de s'islamiser et donc de perdre son identité..
 

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dimanche, 21 avril 2024

Aux racines de la violence juvénile

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C’est peu dire que la violence est désormais le pain quotidien des Français. Et l’on découvre que cette violence se manifeste de plus en plus chez les jeunes à l’école, dans la rue, partout de la ville à la campagne. On s’effraie de voir des gamins de 13 ans 14 ans en tuer d’autres du même âge. Dans la longue litanie des faits divers, on notera cependant que cette violence s’exerce en grande partie au sein même des communautés immigrées où la drogue fournit souvent le motif. Certes les Gaulois en font aussi les frais quand un Maghrébin décapite un prêtre ou surine des passants. Les exemples sont trop nombreux. Pudiques, les journaux se gardent bien d’énoncer la nationalité du délinquant ! Qui est dupe ? Nos politiques n’apportent d’autres solutions que technique qui ne touchent en rien aux racines du mal. Car le problème est d’abord et essentiellement culturel. Ce que nous cessons de répéter. La psychologue clinicienne Marie-Estelle Dupont nous livre ici une réflexion pleine de bon sens et qui va dans le nôtre.

Lire la suite ICI

Source : Journal du dimanche 21/04/2024

10:37 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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Pour télécharer, cliquez ICI

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Rennes : le militant de l'Oriflamme condamné en octobre relaxé en appel vendredi dernier

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Communiqué de l'Oriflamme cliquez là :

En octobre dernier, un de nos militants était condamne a 4 mois de prison ferme, 2 900 euros d'amende et à 3 ans d'interdiction de détenir une arme. Son crime ? Avoir été le porte-parole de notre action pacifique contre la lecture réalisée par des drags queens auprès d'enfants de trois a six ans dans la médiatheque de Saint-Senoux au mois de mai 2023. Sous la pression politique, médiatique et gauchiste, le tribunal avait jugé qu'un tel affront méritait d'être puni de prison ferme.

Quand les juges reviennent à la raison. Ils balayent d'un revers de main les condamnations iniques pour délit d'opinion. Car en première instance. Rien n'était motivé en droit mais tout n'était qu'idéologie et soumission au pouvoir.

Notre militant a été entièrement relaxe de tous les chefs d'accusation a l'issue de ce procès en appel.

Il est toutefois inquiétant de constater que les intimidations de quelques gauchistes et du lobby LGBT, les articles de quelques journalistes et l'acharnement d'un procureur peuvent condamner à l'avance les militants nationalistes pour des futilités. « Le droit, c'est le royaume de l'imaginaire » disait Cioran.

Pour une manifestation pacifique de dix minutes qui ne constitue aucun délit. Comme l'atteste la cour d'appel de rennes donc. Notre militant a subi deux gardes a vue, deux procès, a et jeté en pâture a la presse et par la presse. Les Français ne constatent pas un tel acharnement contre ceux qui, en haut ou en bas, détruisent littéralement notre pays.

Finalement, gauchistes, journalistes, politiques, procureurs, tous ont voulu mettre les menottes aux poignets de notre militant afin de détruire l'oriflamme. Ils ont cru réussir : qu'ils déchantent et pleurnichent désormais.

Pour la nation, pour la civilisation.

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Sur ce qu'il s'est passé en

octobre dernier à Rennes  cliquez ici

00:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 20 avril 2024

Riposte laïque est sauvé !

En savoir plus cliquez là

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Le site Riposte laïque cliquez là

 

16:17 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 19 avril 2024

RAPPEL : SAMEDI 20 AVRIL, À CHATEAULIN (29) : CONFÉRENCE DE BERNARD GERMAIN SUR SON LIVRE "L'UNION EUROPÉENNE EN SORTIR... AU PLUS VITE !"

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Commandez ce livre cliquez ici

Pèlerinage Militaire international à Lourdes du 24 au 26 mai 2024

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Euthanasie : les franc-maçons à la manœuvre

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Un article du Figaro et un autre du Parisien soulignent l’activisme des frères obscurs dans la mise en place d’une légalisation de l’euthanasie.
Les loges maçonniques, qui réclament une libéralisation de l’aide à mourir depuis de longues années, entendent peser sur les débats à venir malgré des nuances entre les obédiences.

Le 8 novembre, le chef de l’État se rendait rue Cadet à l’hôtel du Grand Orient de France, pour les 250 ans de la plus ancienne obédience maçonnique du pays. Le « droit à mourir dans la dignité » allait bientôt faire l’objet d’une « loi de liberté et de respect », a-t-il assuré au cours du long discours prononcé sous le buste proéminent d’une gigantesque Marianne.

Le président de la République a salué la mémoire de deux grands maçons engagés en faveur de l’euthanasie, Pierre Simon et Henri Caillavet. Ce dernier avait déposé une première proposition de loi relative au « droit de vivre sa mort » en 1978. Pour le grand maître du Grand Orient de France, Guillaume Trichard, ce projet de loi est « un soulagement ».
 

Alors que le débat sur le projet de loi sur la fin de vie doit démarrer au Parlement fin mai, le Grand Orient de France entend peser en faveur de la « loi de l’ultime liberté ».

Guillaume Trichard, grand maître du Grand Orient de France (GODF), y voit la « loi de l’ultime liberté, l’émancipation des êtres humains, libres de choisir leur mort, par rapport aux dogmes religieux ».

Il consacre ainsi le caractère satanique de cette nouvelle loi. La République dite française a toujours eu besoin du sang du peuple pour rendre un culte à Lucifer.

Source : Le Salon Beige

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L’Occident défait… par lui-même

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Si François-Xavier Rochette qualifie Emmanuel Todd de « demi-dissident en carton-pâte » dans Rivarol du 10 avril dernier, Michel Geoffroy dans sa recension mise en ligne, le 24 février 2024, sur Polémia l’appelle à « encore un effort ! » Paru en début d’année, son nouvel ouvrage, La défaite de l’Occident (avec la collaboration de Baptiste Touveray, Gallimard, 375 p., 23 €), suscite une incroyable hostilité de la part de la cléricature intello-médiatique.

Emmanuel Todd est un nationiste, quelqu’un qui sait que la nation est une idée de gauche, une vision qui porte en elle des valeurs égalitaires, voire égalitaristes. Il n’a d’ailleurs jamais caché son souverainisme républicain assimilationniste nullement identitaire. Il n’est pas prêt à rejoindre le Rassemblement national.

La caste s’indigne de l’usage par l’auteur d’indicateurs statistiques qui confirment ses analyses. Elle dénonce son parti-pris pro-russe et verse dans l’accusation facile. Fidèle à sa lecture sociologique tirée de l’examen minutieux des systèmes familiaux de la planète, Emmanuel Todd distingue clairement la Russie de l’Ukraine. « Il existe, note-t-il, une culture proprement ukrainienne, au sens profond que l’anthropologie donne à cette expression, en incluant la vie familiale et l’organisation de la parenté. L’Ukraine n’est pas la Russie. » Il poursuit que « vers la fin du XIXe siècle, à l’époque des tsars, la famille ukrainienne se distinguait donc clairement de la famille russe par son individualisme et un statut plus élevé des femmes, deux traits qui, selon mon modèle associant les systèmes familiaux aux idéologies politiques, suggèrent une culture ukrainienne plus favorable à la démocratie libérale et plus apte au débat que la culture russe ».

En observant les structures étatiques à l’Ouest, Emmanuel Todd oppose volontiers « la nation active, consciente, à la nation inerte, qui hors de toute conscience d’elle-même continue sur une trajectoire, comme par inertie, au sens physique du mot ». Afin d’étayer sa thèse, il prend l’exemple de l’Hexagone. « L’éclipse de la France en tant qu’agent historique nous laisse avec le problème de Français qui, eux, continuent d’être ce qu’ils sont : de faire des manifs, des émeutes, de refuser que leurs services publics se déglinguent et se raréfient. L’impuissance de la nation en tant qu’agent historique efficace nous permettait de postuler, dans le cas de la France, géopolitiquement, une nation disparue. » Il prévient toutefois que « seule sa capacité d’action s’évanouit. Le peuple subsiste ». Reste à savoir comment comprendre le dernier mot...

Ses détracteurs lui reprochent de voir dans la Russie de Poutine une « démocratie autoritaire » et dans les États occidentaux affidés à l’OTAN des oligarchies post-démocratiques au tropisme ploutocratique. Emmanuel Todd va encore plus loin. Dans Qui est Charlie ? (2015), il inventait le concept de  « catholique zombie » afin de décrire l’avènement d’un individu post-chrétien qui « ne pratique plus sa religion mais en conserve l’éthique, attaché aux valeurs d’honnêteté, de travail, de sérieux, et toujours conscient que l’homme ne dispose que d’un temps limité ». Considérant que les protestantismes sont la matrice de l’Occident moderne, il élargit son champ d’étude et avance l’existence d’un « protestantisme zombie » présent en Scandinavie, terreau fertile du féminisme et du bellicisme, au Royaume Uni et aux États-Unis d’Amérique. Il va jusqu’à évoquer une troisième étape, l’« état zéro ». En Grande-Bretagne, « succédant au protestant natif du premier libéralisme et au protestant zombie du Welfare State, l’homme idéal du néolibéralisme thatchérien est un protestant zéro ». Emmanuel Todd estime que « le Brexit a, en réalité, découlé d’une implosion de la nation britannique ».

L’auteur veut en outre révéler « la vraie nature de l’Amérique : oligarchie et nihilisme ». Pour lui, « le nihilisme […] ne traduit pas seulement un besoin de détruire soi et les autres. Plus en profondeur, quand il se transforme en une sorte de religion, il tend à nier la réalité ». Le phénomène sociétal LGBTQIA+++ exprime ce nihilisme occidental en acte. Emmanuel Todd considère que « l’idéologie transgenre en Occident semble poser au monde patrilinéaire un problème plus sérieux encore que l’idéologie gay ». Ces interrogations légitimes permettent à la Russie de développer une « stratégie consciente [qui] lui confère un soft power considérable » auprès du « Reste du monde ».

Plus qu’un Occident zombie, il serait judicieux d’évoquer un « Occident nihiliste » à travers le fait transgériste. Cette idéologie « dit qu’un homme peut devenir femme, et qu’une femme peut devenir homme. Elle est une affirmation du faux et, en ce sens, proche du cœur théorique du nihilisme  occidental ». De pareils propos pourraient valoir à leur auteur un séjour dans une froide cellule selon une nouvelle loi liberticide adoptée en Écosse. Emmanuel Todd s’inquiète surtout que cette « idéologie nihiliste, qui progresse sans cesse en Amérique, transforme le principe même du respect des engagements en une chose désuète, négative. Trahir devient normal ».

La meute médiatique poursuit de sa vindicte Emmanuel Todd parce qu’il a mis à jour un ensemble occidental hypertrophié qui pense toujours bénéficier de l’impunité. L’auteur scandalise les belles âmes cupides, car il ose dénoncer un Occident zombie, nihiliste, terminal et faussaire. L’Occident global creuse sa propre tombe. Les Albo-Européens que nous sommes s’en réjouissent. Mais il est certain que La défaite de l’Occident ne lui sera pas pardonné.

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°111, mise en ligne le 16 avril 2024 sur Radio Méridien Zéro.

15:06 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Belgique soumise à l’islamogauchisme : des patriotes français et européens interdits de réunion

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Michel Festivi 

Il n’y a pas qu’en France ou des souverainistes, des patriotes, des défenseurs de la France et des français, des traditions européennes, sont frappés d’ostracisme et interdits de réunions publiques. La Belgique vient il y a quelques jours de connaître un épisode de censure volontaire et terrifiante et une atteinte majeure à la liberté d’expression, de réunion.

Une conférence sur deux jours, qui devait discourir sur la préservation de l’État-nation, sous l’égide de la Fondation Edmund Burke et l’Institut Herzl, « la conférence sur le conservatisme national » réunissant notamment Viktor Orban, Éric Zemmour ou encore Nigel Farage avait été interdite à Bruxelles, avant que le Conseil d’état belge ne l’autorise finalement. Car l’interdiction aurait présenté une atteinte sérieuse au droit de réunion et a écarté toute idée de menace pour la sécurité publique dixit cette sentence de justice. C’est le bourgmestre de Saint-Josse-ten-Noode qui avait pris cette scandaleuse décision, envoyant même sa police pour empêcher les participants de se réunir. En réalité, il s’agissait d’une conférence internationale, qui devait rassembler une quarantaine d’intellectuels, politiques ou chercheurs, dont Madame Florence Bergeaud-Blackler (1), docteur en anthropologie et chargée de recherche au CNRS, bien connue chez nous pour dénoncer les réseaux fréristes et hélas aussi subir des menaces de mort, nécessitant même une protection policière.

La conférence a d’abord été interdite par le bourgmestre socialiste de Bruxelles, puis elle a été déplacée à l’hôtel Sofitel, qui a renoncé à l’accueillir, sur les instigations du bourgmestre d’Ettebeek où se situe l’hôtel, pourtant conservateur lui, Vincent de Wolf. Enfin l’édile de Saint-Josse, un dénommé Emir Kir l’a ensuite aussi interdite. Comme l’explique Mme Bergaud-Blackler dans une tribune au Figaro, ce drôle de bourgmestre, « a expliqué que les invités eurosceptiques et les personnalités d’extrême droite étaient de nature à entraîner des troubles à l’ordre public. ». On remarquera la collusion liberticide entre des socialistes et des personnalités soi-disant de droite. En France aussi on connaît ça.

Car, souligne Mme Bergeaud-Blackler « derrière la tentative de censure de la droite à Bruxelles, l’islamisation « douce » de la Belgique », se profile. Elle dénonce l’emprise islamiste sur la plupart des partis belges, le vote musulman étant considérable dans certaines communes. On peut faire aussi ce parallèle en France. En Belgique on assiste précise-t-elle « régulièrement à des manifestations pro-Palestine et antisémites...on y reçoit un imam qui psalmodie des sourates au parlement bruxellois. ». En France aussi les manifestations propalestiniennes sont des adhésions certaines au terrorisme islamiste.  Car tout se tient, les appuis à la Palestine, et l’islamogauchisme même combat ! Ne pas le voir c’est être au mieux aveugle, au pire, complice.

A Bruxelles, on ne parle pas ouvertement d’islamisme, on cache cela derrière le fallacieux vocable de « diversité ». Elle souligne aussi, qu’Emir Kir, qui est d’origine turc serait proche du mouvement des Loups gris, complètement phagocyté par l’islamisme turc de Monsieur Erdogan. Les communautés turques et marocaines étant très importantes nous explique-t-elle. Et de relater qu’une exposition de 2017 s’intitulait « L’Islam c’est aussi notre histoire », les Frères musulmans et le salafisme se sont implantés en Belgique dans les années 1970/1980, ne rencontrant aucun obstacle à leur progression. Comme l’a souligné un Sénateur belge honoraire, Alain Destexhe « ....la place toujours croissante de l’islamisme dans l’espace public, font peu à peu sortir Bruxelles et la Wallonie du champ de la démocratie occidentale, tout est fait pour censurer les courants de droite », la France en prend-elle aussi le chemin ? En tout cas ni Charles Michel, ni notre Ursula européenne, pourtant prompts à réagir, quand ça penche à gauche, « n’ont jugé utile de condamner cette interdiction, comme si leur cher état de droit s’accommodait fort bien du déni de démocratie », relève ce Sénateur.

Espérons aussi qu’en Belgique comme en France, les résultats du 9 juin profitent largement aux partis qui se réclament de cette lutte contre ces totalitarismes. 

Note :

(1) Bergeaud-Blackler a également été dénoncée comme un « auteur de travaux controversé sur l’islam politique ». Les médias ont de plus qualifié cette réunion de meeting politique, alors qu’il s’agissait d’une conférence internationale, avec aussi la présence de Suella Braverman parlementaire et ministre britanique conservateur, très en pointe en faveur du Brexit et contre l’immigration, et c’est un avocat belge, invité à la conférence, qui a saisi le Conseil d’état, le Premier ministre belge, Alexander De Croo, d’un parti dit « libéral », critiquant cette interdiction, mais ne bougeant pas le petit doigt pour la faire maintenir, on est libéral mais surtout pas pour les libertés. Comme le signale l’anthropologue française « Bruxelles est un microcosme favorable à l’islamisme, où, désormais, tout groupe politique situé à droite du mouvement réformateur est accusé d’être d’extrême droite. » On retrouve ces mêmes élucubrations en France avec LFI et les écolos par exemple, pour qui le Modem serait presque fasciste !

10:04 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans la série "les mauvaises références"...

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Et pourtant...

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Avant de lancer des incantations douteuses, nos "amis les antifas" feraient mieux d'apprendre l'Histoire. Cela leur évitera bien des désillusions...

10:03 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 18 avril 2024

Samedi 4 mai, à Caen : banquet du Parti de la France

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Le Parti de la France est en première ligne dans la campagne pour la liste de Marion Maréchal :

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12:21 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Halal-Casher : deux hontes françaises

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Catherine Blein

Ancien Conseiller régional de Bretagne, ancienne Présidente des Amis de Callac et de sa région

Dans une tribune du Figaro, le 15 avril dernier, Brigitte Bardot renouvelle sa colère légitime contre l'abattage rituel, halal pour les musulmans, casher pour les juifs, abattage pratiqué dans les deux cas sans étourdissement préalable, et qui semble prendre possession progressivement de tous nos abattoirs.

Cette pratique constitue l'une des exigences que les musulmans cherchent à nous imposer et si nous continuons à nous taire cela adviendra tout tranquillement (relisez Houellebecq ).

Le droit européen interdit en principe ces pratiques particulièrement cruelles, mais bien évidemment, pour plaire aux 15% de musulmans, légaux ou illégaux, de notre pays, la France d'aujourd'hui toujours prête à se coucher, a demandé une dérogation, aussitôt acceptée !

Et l'abattage halal, quasi inexistant il y a quarante ans, est en passe de se généraliser en France, par facilité, mollesse ou complaisance de nos élus et de nos dirigeants, et pour des raisons d'organisation simplifiée, donc moins onéreuse, dans les abattoirs.Toujours de nobles raisons...

Le corollaire de l'extension de cette pratique étant le refus de l'étiquetage explicatif sur l'abattage des animaux, donc la traçabilité, laquelle révèlerait par exemple aux Franciliens qu'ils mangent tous de la viande halal, puisque dorénavant, et depuis déjà une bonne dizaine d'années, 100% des abattoirs d'Ile de France sont 100% halal !

Outre la souffrance gratuite et intolérable que cette pratique d'un autre âge inflige à ces animaux, à une époque qui plus est où le thème de la souffrance animale est heureusement pris en compte dans beaucoup de domaines de réflexion, elle est aussi condamnable car extrêmement dangereuse pour la santé humaine.

En effet, la gorge tranchée laisse s'écouler tout le contenu de l'estomac de l'animal et bien des infections bactériennes à l'Escherichia Coli, parfois mortelles, viennent de là.

C'est le cas de nombre d'enfants ayant mangé du steak haché, lequel est en général constitué par la partie du « collier » de l'animal qui est ainsi souillée.

Dès le début de mon mandat, en 2015 sous l'étiquette FN, j'avais attaqué sur cette question lors de l'une des sessions du Conseil régional de Bretagne .

Le président d'alors, Jean Yves Le Drian, m'avait interrompue, ce qui ne se fait jamais, et m'avait fait huer par la bien-pensance socialiste majoritaire de l'hémicycle, mettant en doute mes propos, pourtant bien étayés. Je n'avais pas hésité à faire preuve d'autorité afin de faire taire ces gens et de terminer mon intervention mais ce comportement grégaire et borné m'avait permis de mesurer déjà à quel stade de soumission en étaient les élus socialistes et écolos.

Bien évidemment, tous savaient que je ne disais que la vérité, mais le déni régnait déjà en maître et il fallait faire taire la dissidence!

Nombre de mes informations m'avaient été transmises par notre ami Alain de Peretti, vétérinaire et Président de Vigilance Halal (1) qui se bat avec courage, constance et arguments juridiques pour faire fermer des abattoirs halal.

Heureusement petit à petit certains Etats ou Régions prennent leurs distances avec ces pratiques. Ainsi la Région Wallonne en Belgique les a strictement interdites il y a peu.

Au Sri Lanka l'abattage halal avait fini par s'imposer, de la même façon qu'il tente de s'imposer chez nous, mais les 70% de bouddhistes de l'île ont fini par se mettre très en colère, ils se sont révoltés contre cet état de fait, il y eut de nombreux morts et les musulmans, encore très minoritaires, avaient calé.

Il n'y a plus, aujourd'hui, de halal au Sri Lanka et les 30% de musulmans continuent pourtant à se nourrir, ce qui prouve que le halal n'a rien d'obligatoire pour eux sur le plan religieux.

En revanche, il constitue un marqueur de la charia que l'islam essaie de nous imposer, et l'accepter est ainsi le premier acte fou de soumission à celle-ci.

L'abattage casher est exactement la même pratique, il existe en France depuis des décennies, il est pratiqué plus discrètement par une communauté qui, elle, ne cherche pas à nous l'imposer. Néanmoins il est tout aussi condamnable et doit être interdit. J'en appelle à Eric Zemmour qui a là une opportunité de nous manifester une fois de plus son respect pour notre Civilisation...

J'ai, pour ma part, toutes les raisons de me battre contre cette pratique qui est en contradiction totale avec la Loi L214, votée en 2017, laquelle reconnaît que l'animal n'est pas une chose mais un être sensible, ce que je confirme !

L'autre raison bien sûr est identitaire. L'abattage halal est un acte de mépris chaque jour renouvelé vis à vis de notre éthique de pays civilisé, il est une gifle à la Chrétienté qui a façonné ce pays dans sa noblesse et sa beauté et qui en reste l'âme.

Nous faudra-t-il en arriver à une solution sri lankaise, en appui à une politique identitaire radicale ? pour ma part je l'appelle de mes voeux.

(1) Le site de Vigilance Halal cliquez ici

11:44 Publié dans Catherine Blein | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès de Jean-Claude Blanchard, militant nationaliste des Pays-de-Loire

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Eric Mauvoisin-Delavaud
Président du Rassemblement vendéen
 
Nous apprenons le décès du camarade Jean-Claude Blanchard, Résistant, membre du Rassemblement vendéen.
 
Nous avons appris cette nuit le décès de notre cher Jean-Claude, dont la santé s’était dégradée ces derniers temps. 
 
L’émotion est forte, non seulement chez ses proches, mais aussi chez les militants patriotes dont il était une figure de proue, et chez tous ceux qui savent son engagement de toujours à la cause nationale et patriote, comme partisan, militant, élu régional des Pays de Loire.
 
Nous saluons sa mémoire et nous assurons l’ensemble de ceux qui l’aiment et qui pleurent sa perte, de la profonde sympathie des camarades de toutes générations.
 
Haut les cœurs.
 
NDLR SN : nous nous associons totalement à la peine du Rassemblement vendéen suite au décès de Jean-Claude Blanchard, homme sympathique et combatif, qui a souvent manifesté son amitié pour notre revue.

11:18 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |