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lundi, 20 mai 2024

Scipion de Salm nous parle de Louis XIV

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13:56 Publié dans Scipion de Salm, TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Après la « question juive » de funeste mémoire, la « question antisémitisme » de funeste actualité

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Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne Eurolibertés.

(Propos recueillis par Guirec Sèvres)

Une tentative d’incendie de la synagogue de Rouen a été évité de justesse ; encore une fois – une fois de plus – l’incendiaire était un étranger dont sa mise sous OQTF n’était pas la première de ses préoccupations : la société française est-elle en train de se résoudre à un « vivre ensemble » avec de telles « malchances pour la France », comme vous les nommez ? Est-ce forcément une fatalité pour certains ?

On peut s’imaginer que certains de nos compatriotes s’y sont résolus, persuadés que « c’est comme ça, tout est foutu », tandis que d’autres se persuadent que « c’est exceptionnel, l’avenir sera chantant, forcément chantant, tout le monde s’aimera sinon d’amour tendre, du moins de repentance et d’aides sociales inépuisables » : deux réactions assez similaires, finalement, comparables aux autruches qui enfouissent leur tête dans le sol ; une façon de se croire ainsi ne pas être obligé de se défendre ou plus encore d’être à l’abri de tout danger en refusant de le voir. Je répète beaucoup ces temps-ci une belle phrase de Charles Péguy : « Il faut toujours dire ce que l’on voit : surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit »… On peut tout de même espérer qu’une majorité de Français commencent à ouvrir les yeux et que cela se traduira au moins dans les urnes le mois prochain lors des élections européennes, qu’ils sanctionneront sans pitié les partis responsables de ce délitement de notre société et apporteront leurs soutiens à ceux qui dénonce le laxisme judiciaire lié aux mirages de l’immigration-invasion.

À Rouen, le pire a été évité et l’incendiaire abattu par un policier ; Gérald Darmanin a même annoncé qu’il allait décorer l’auteur du tir… Peut-être le signe –enfin ! – d’un changement au plus haut niveau de l’État, non ?

Effectivement, on ne peut que se réjouir qu’un lieu de prière n’ait pas été détruit et que les dégâts soient limités. On peut également être soulagé que le criminel ait été mis hors d’état de nuire définitivement avant qu’une horde maléfique d’avocats, de psy-machins chose et de juges proches du Syndicat de la magistrature n’entre en action pour permettre sa future remise en liberté tôt ou tard. Félicitations donc à ce policier qui a fait le bon choix. Quant à l’initiative de Gérald Darmanin de le décorer, sans aller jusqu’à le lui reprocher, on peut tout de même soupçonner là surtout des raisons politiques, à quelques semaines, rappelons-le, d’une échéance électorale : montrer qu’il apporte officiellement le soutien de l’État à un policier qui n’a fait que son devoir dans l’exercice de ses fonctions, même si c’est le minimum qu’on demande à tous les fonctionnaires de police ; bravo, oui, mais vu les circonstances, il ne s’agit tout de même pas d’un « exploit ». Ce policier a protégé sa vie, celles de ses collègues et éventuellement d’autres vies, incontestablement… Au moins, l’attitude du Ministre lui permettra-t-il d’échapper au sort de son collègue qui avait tout autant, l’année dernière, protégé sa vie, celle de ses collègues et sans doute potentiellement d’autres vies innocentes, en mettant tout comme lui définitivement hors d’état de nuire le délinquant Nahel, voulant échapper à un contrôle de la police, conduisant à toute vitesse une voiture sans permis, ne respectant aucune règle de conduite et « à fond la caisse » : ce policier-là a été mis en examen et incarcéré pour meurtre pendant plus de cinq mois avant d’être tout de même remis en liberté sous contrôle judiciaire dans l’attente de connaître à quel sort judiciaire il sera sacrifié par l’État, après sa damnation médiatique.

Pour vous, il s’agit donc de deux poids-deux mesures pour des circonstances, à défaut des intentions, finalement similaires ?

Oui, les deux policiers, l’un toujours mis en examen et l’autre bientôt décoré, ont fait leur devoir, tout leur devoir, mais que leur devoir : cela mérite nos félicitations, incontestablement, mais ni le lâche déshonneur pour l’un, ni cet honneur en l’occurrence excessif pour l’autre. On peut également soupçonner que pour le ministre de l’Intérieur, cette affaire d’incendie criminel de la synagogue de Rouen tombe opportunément bien pour faire oublier le scandale de l’embuscade meurtrière de l’attaque du fourgon pénitentiaire au péage d’Incarville ; il a révélé au public les risques encourus par le personnel pénitentiaire, disposant de  moyens matériels qui ne souffrent guère la comparaison avec ceux de criminels pour lesquels la vie humaine n’est souvent qu’une simple variable d’ajustement.

Revenons à cette tentative d’incendie d’une synagogue en France, n’était-elle pas aussi une conséquence de l’explosion de l’antijudaïsme en France, un antijudaïsme parfaitement décomplexé, que ce soit des membres de la France insoumise ou des militants pro-Palestiniens dont on a vu les blocages et les manifestations, après Science Po à Paris, s’étendre à travers la France ?

Il est certain que parmi ceux que vous citez, un certain nombre se seraient sinon réjouit si la synagogue de Rouen avait disparu dans les flammes, du moins auraient assurément expliqué le plus sérieusement du monde comprendre le geste de l’incendiaire… et qu’un « tas de pierre » en moins à Rouen n’aurait finalement pas été grand-chose comparé aux destructions dans la bande Gaza et que s’il fallait en passer par de telles actions pour attirer l’attention du Monde sur les exactions de Tsahal, ça pouvait se discuter, non ?… Ah bon ! Personne n’aurait pensé cela ? N’aurait dit cela ? Et ne l’a sans doute pas déjà plus ou moins exprimé ? Vraiment ? Cherchez bien…

En tout cas, on peut remarquer que, face à la réalité, aux faits et aux déclarations de l’extrême gauche, l’« antisémitisme » est plus vivace que jamais en France…

Je parlerais pour ma part « d’antijudaïsme » et non d’« antisémitisme », les Arabes étant tout autant des sémites que les Juifs, je le rappelle… Ce qui est assez étonnant, c’est qu’on pose rarement la simple question « Qu’est-ce qu’un anti-judaïque ? »… Est-ce simplement quelqu’un qui n’aime pas les Juifs ? Et alors ? Tout le monde est-il forcé de les aimer ? Parce que tout le monde serait forcé d’aimer tout le monde ? D’aimer les Bretons, les Marseillais, les Siciliens ou les Guatémaltèques ? On peut ne pas « aimer » untel ou untel, cela n’a rien de scandaleux, c’est finalement la liberté de chacun… En revanche, il est inadmissible et évidemment condamnable, du moins dans une société de droit, d’injurier, de diffamer, de menacer, d’agresser, de contester leurs droits à quiconque pour des raisons d’origines ethniques, religieuses ou de mœurs… et pour ce que font à l’autre bout du monde ceux qui auraient de mêmes origines ethniques ou religieuses. C’est le devoir de tout État digne de ce nom de défendre tous ses compatriotes, sans exceptions, menacés de quelque façon que ce soit, pour les raisons évoquées précédemment. On ne peut alors que constater, effectivement, que l’« antijudaïsme » de l’extrême gauche s’exprime désormais dans les médias, à la tribune de l’Assemblée nationale, dans les universités et dans la rue en quasi toute-impunité. Impunié dont n’a pas profité l’OQTF fanatisé de Rouen, tant mieux, mais cela reste, hélas !, exceptionnel !

Au moins, ne nous bassine-t-on plus avec les fantasmes tant rabachés de l’antisémitisme – ou antijudaïsme, si vous préférez – d’extrême droite…

Ça, c’est vous qui le dîtes… et je ne suis pas d’accord. Au contraire, même. Encore récemment, dans l’émission « L’Heure des Pros » le 17 mai dernier, l’ancien député socialiste André Valini, particulièrement pathétique, a dénoncé les « antisémites » toujours présents au sein du Rassemblement national. Cela provoqua une stupéfaction générale, certes, et lorsque Pascal Praud lui a demandé s’ils considérait vraiment Marine Le Pen comme antisémite, il a bafouillé que non, pas elle, peut-être, mais d’autres, « comme tout le monde le sait »… « Qui ? a insisté l’animateur. Donnez-nous leurs noms… »… « Je ne suis pas là pour donner des noms, mais tout le monde le sait… tout le monde le sait… »… On se doute que Pascal Praud équilibre politiquement son plateau avec ce qu’il peut, ceux qu’il trouve et à qui il donne, pour certains, charitablement une occasion d’exister, mais avec d’André Valini et sa langue de bois, on touche tout de même le fond…

À part anciens socialistes ou extrémistes de gauche, admettez que c’est une rengaine qui fait long feu aujourd’hui…

Pas autant que vous semblez le croire… Ne serait-ce que parce que les accusations d’antijudaïsme – ok, d’« antisémitisme » comme passé incorrectement dans le langage courant, je vous l’accorde – sont désormais pour beaucoup un « fait acquis » concernant le Front national sous la présidence de Jean-Marie Le Pen. Un « fait acquis » parce que, justement « tout le monde le saurait », pour reprendre l’argument sectaire d’André Valini. Si tout le monde est sensé le savoir, la cause est entendue… tout comme il fut un temps, rappelons-le, où « la terre était plate », c’était alors également un « fait acquis » parce que « tout le monde le savait », n’est-ce pas… Et pourtant la terre, elle tournait déjà, à l’époque. Et, aux dernières nouvelles, elle continue, d’ailleurs…

Il n’y avait donc pas d’antisémites/antijudaïques au Front national d’antan, pas même Jean-Marie Le Pen, son président, de sa création à son éviction ?

J’ai fréquenté, en « compagnon de route » et en collaborateur de l’hebdomadaire National hebdo ce mouvement politique. Vous aussi, un temps, si je me souviens bien… L’antijudaïsme était-il l’obsession des militants, des cadres et des élus du FN ? Le fil rouge des motivations de tout ce monde-là ? En aucune façon, je peux en témoigner, vous aussi… Jean-Marie Le Pen a certes été condamné en 1986 pour « antisémitisme insidieux » parce qu’il avait dédié l’accueil enthousiaste de ses partisans à l’occasion d’un meeting à « Jean-François Kahn, Jean Daniel, Ivan Levaï, Jean-Pierre Elkabbach ». Quatre journalistes certes d’origines juives, mais qu’il avait cité non pour cette raison, bien sûr, mais surtout et principalement parce que ces quatre-là se déclaraient eux-mêmes avant tout comme ses ennemis politiques et qu’il répondait ainsi à leurs attaques incessantes. On peut donc à notre tour juger une telle condamnation judiciaire – comme d’autres qui ont ensuite été prononcées à son encontre avec un identique esprit partisan des juges qui ont rendu les verdicts – comme « insidieusement politique », non ?

L’histoire rendra un jour justice à Jean-Marie Le Pen, aux élus frontistes d’alors et aux cadres de ce mouvement qu’aucun d’eux, jamais, n’a fait la moindre déclaration, et encore moins commis le moindre écrit, sous-entendant qu’un Français d’origine ou de confession juive puisse ne pas avoir les mêmes droits que les autres Français ; jamais sous-entendu qu’il puisse être un « citoyen de seconde zone » ; jamais envisagé qu’un jour qu’il ne puisse plus être français pour la simple et unique raison de ses origines ethniques ou religieuses… De même, Jean-Marie Le Pen ou un élu ou un cadre du FN a-t-il jamais remis en cause l’existence de l’État d’Israël ? Poser la question, c’est y répondre… 

Philippe Randa a récemment publié :

Coups d’œil & Tirs à vue (Chroniques barbares XXI), Philippe Randa, Dualpha, préface d’Alain Sanders, 186 pages, 25 €. Pour commander ce livre, cliquez ici

La désinformation autour de l’écologie, Philippe Randa (présente), Dualpha, 198 pages, 25 €… Avec les contributions de Francis Bergeron, Jean de Saint-Houardon, Richard Dessens, Michel Festivi, Nicolas Gauthier, Philippe Joutier, Aristide Leucate, Olivier Pichon, Éric Pinel, André Posokhow, Bernard Plouvier, Claude Timmerman, Jean-Michel Vernochet. Pour commander ce livre, cliquez ici

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dimanche, 19 mai 2024

L’Europe ! l’Europe ! l’Europe !

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L’Europe de Macron est une utopie. " L’Europe résume assez bien Emmanuel Macron qui aime la lampe merveilleuse d’Aladin, celle qu’il suffit de frotter pour voler au-dessus du réel. Le président entretient le flou, le vague et l’ambigu. Il excelle à discourir et rechigne à agir. L’Europe est un terrain de jeu idéal." Pascal Praud dans Le Journal du dimanche résume bien le sentiment qu’éprouvent de nombreux Français à l’égard de cette Europe trop technocratique et pas assez humaine.

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Source : Journal du dimanche 19/5/2024

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Dans le Pacifique, la France n’a pas d’amis

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Regis Le Sommier

Gérald Darmanin l’assure : « l’Azerbaïdjan, ce n’est pas un fantasme, c’est une réalité. » Le ministre français accuse « une partie des indépendatistes » d’avoir « fait un deal » avec la dictature d’Ilham Aliyev. Bakou réfute : « Nous démentons tout lien entre les leaders de la lutte pour la liberté calédonienne et l’Azerbaïdjan », affirme l’Azerbaïdjan, voyant dans les propos du ministre « une campagne de calomnie » dirigée par Paris. Gérald Darmanin n’a pas tort pourtant. Les faits sont là. D’abord dans les manifestations, où le drapeau de l’Azerbaïdjan a été brandi à de nombreuses reprises à côté de la bannière du FLNKS. Étrange, lorsqu’on réalise que Bakou se trouve à 14 000 kilomètres de Nouméa... Ensuite, par les déplacements – trois au moins –, d’une délégation de représentants des peuples autochtones à Istanbul, pour assister le 1er mars dernier à une conférence tous frais payés, selon les services de renseignement français, sur la décolonisation. Car derrière l’Azerbaïdjan, il y a bien sûr la Turquie...

Les représentants ont formé le groupe d’initiative de Bakou, un collectif de 14 mouvements luttant pour l’indépendance des dernières colonies françaises qui diffuse des communiqués. Il est plus difficile d’assurer qu’en dehors de cette aide « idéologique », une véritable stratégie de déstabilisation de l’archipel français ait été mise au point par les Azerbaïdjanais. Il reste évident que Bakou cherche à faire payer à la France l’aide militaire que celle-ci apporte à l’Arménie. Jeter de l’huile sur le feu dans un bout de France au-delà des mers est sans doute davantage une aubaine que la mise en œuvre d’un plan machiavélique. Attention à ne pas reproduire les travers des guerres d’Indochine ou d’Algérie, trop longtemps perçues comme des agitations orchestrées par l’Union soviétique et la Chine, ce qui permettait d’occulter la propre responsabilité de la France. Ce n’est pas l’étranger qui crée le problème, même si c’est souvent lui qui en profite. L’Azerbaïdjan n’est d’ailleurs pas le seul pays à militer pour l’indépendance du « Caillou ». Depuis de nombreuses années, la Chine cherche à s’ouvrir de nouvelles routes maritimes dans le Pacifique pour y accroître son influence. La Nouvelle-Calédonie l’intéresse au premier plan. Prenant acte du repli de la France en Afrique, Pékin pense tirer profit de l’affaiblissement de notre pays. La fermeture du réseau TikTok depuis le début des émeutes est une première réponse de la France. Cette décision tient d’abord au fait que TikTok sert d’instrument de com- munication et de promotion de leurs exploits pour les émeutiers. Mais il s’agit aussi d’envoyer un signal en mettant un coup d’arrêt au puissant réseau chinois. Les États-Unis ne sont pas en reste et poursuivent des visées expansionnistes à partir de leurs prés carrés des Philippines, de Palaos, des Îles Marshall, de Jarvis ou des Samoa. L’Australie regarde également d’un œil bienveillant la dégradation de la situation à Nouméa. Elle dispute depuis longtemps à la Chine ses ambitions expansionnistes dans la zone. Ayant fait main basse sur Samoa et Nauru, elle lorgne sans vergogne sur l’« or vert » calédonien, le nickel, dont les sous-sols de l’île contiendraient entre 20 et 30 % des ressources mondiales. La Nouvelle-Zélande, dont l’influence s’exerce sur Tokelau et Niue, fait partie des prédateurs. Même si l’exploi- tation de ce minerai qu’on appelle l’« or vert » est au bord de la faillite, ce qui provoque sur l’île une crise économique majeure (son cours est passé de 50 000 à 19 000 dollars la tonne), il reste très convoité. Cet intérêt pour les ressources minières de l’archipel et ses zones de pêche n’est pas nouveau. Jacques Chirac avait autrefois remis les Australiens à leur place en leur rappelant que pour des gens qui souhaitent l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie et le bien-être du peuple kanak, ils n’en avaient pas moins, au cours de leur histoire, massacré leurs propres autochtones

Source : Journal du dimanche 19/5/2024

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Journal du chaos

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Samedi 25 mai, à Paris : Marc Rousset dédicacera son livre "Notre faux ami l'Amérique" à La Nouvelle Librairie

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Notre faux ami l'Amérique cliquez ici

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samedi, 18 mai 2024

Lire, et faire lire, le passionnant nouveau numéro (n°19) de La Revue d'Histoire européenne consacré aux crimes de guerre des alliés durant la Seconde Guerre mondiale

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Un dossier non-conformiste qui révèle ce que la doxa officielle nous a toujours soigneusement caché. A ne pas manquer...

Le Revue d'Histoire européenne, n°19, mai juin juillet 2024, 80 pages, 9,50 €, en vente dans les Maisons de la Presse.

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Macron rencontre Xi-Jinping et se prend une gamelle

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La guerre en Ukraine est en train de redéployer la carte géopolitique du monde. Et dans l’affaire il s’agit moins du destin de la Russie que celui de la Chine. L’Occident prend des sanctions contre la Russie mais se montre nettement plus prudente à l’égard de la Chine dont elle est devenue par trop dépendante. Emmanuel Macron s’est littéralement planté avec Vladimir Poutine et sa rencontre récente avec le Chinois XI-Jinping qu’il croyait pouvoir infuencer s’est révélée être un fiasco total comme l’explique ici Pierre Lellouche dans un édito de Valeurs actuelles (16/05/202)

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Marine Le Pen aux indépendantistes canaques : « Je vous ai compris ! »

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Maurice Bernard

Jeudi dernier, 16 mai, la présidente du RN, à la demande du Monde, a réagi aux "événements" de Nouvelle-Calédonie. Sa position, qualifiée par le quotidien du soir d’ « aggiornamento de la doctrine de son parti » et de « révolution », apparaît comme une parfaite illustration de la banalisation en cours de ce qui était encore, il y a six ans, le Front national.

En effet, après s’être définie comme « plus respectueuse » et « moins dogmatique » que feu le FN, et avoir qualifiée la vision que ce dernier avait du problème calédonien de « beaucoup plus raide » et de « radicale » (les anciens apprécieront), Marine Le Pen se prononce pour un « accord global, institutionnel et économique » prévoyant, ni plus ni moins, un quatrième référendum sur l’indépendance du Caillou, « dans quarante ans », afin de ne pas priver « les indépendantistes de l’élément qui structure leur raison d’être, leur engagement politique »…

On le voit : Marine est effectivement plus compréhensive, plus ouverte que ne l’était son père aux états d’âme des épurateurs ethniques de la Kanakie révolutionnaire… Une quatrième consultation ? Et pourquoi pas une cinquième, une sixième, et ainsi de suite… Jusqu’à l’obtention de l’indépendance revendiquée avec, pendant qu’on y est, à la clé, pour les Caldoches, la valise ou le cercueil… De Gaulle, sors de ce corps !

Je laisse le mot de la fin à Roger Holeindre qui, en 2011, a claqué la porte du FN en déclarant : « Marine Le Pen n’incarne en rien les valeurs que je défends depuis toujours ». Dans un article du Choc du Mois d’octobre 1988, ce vieux combattant de la cause nationale faisait remarquer avec justesse : « Les derniers accords (de Matignon sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie, NDLR) reportent à dix ans la solution du problème. Mais pourquoi dans dix ans, avec les mêmes méthodes et les mêmes moyens, la partie de la jeunesse mélanésienne pro-indépendantiste serait-elle devenue pro-française ? ». Avant de rappeler : «  (…) M. Chirac, à l’époque ministre de Giscard, avait déclaré à des envoyés de Nouméa anxieux déjà pour l’avenir : "Il n’y a pas de cas connu d’autonomie qui n’ait conduit à l’indépendance" ».

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vendredi, 17 mai 2024

A-t-on le droit en France d’être « islamophobe » et penser que l’islam veut conquérir le monde ?

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Michel Festivi 

Cette question est de plus en plus prégnante, et les nombreuses attaques judiciaires des associations militantes, grassement gavées à l’argent public par nos impôts, contre celui qui ose brandir le danger de l’islam et de l’islamisme en sont la preuve formelle, avec très souvent à la clef de très lourdes condamnations, bien plus importantes que les « sanctions » qui frappent certains agresseurs ou manieurs de couteau.

Tout dernièrement, dans le Figaro Live du 16 mai, Philippe Val, l’ancien directeur de Charlie Hebdo, a déclaré « oui je suis islamophobe ». Bizarrement, ces vidéos et articles ont été supprimés et ne sont plus visibles, sauf le titre. Il y expliquait que l’on pouvait être « phobique » à une religion quand elle commence à exister par la terreur et la contrainte. Philippe Val, ancien de Charlie Hebdo et de France Inter n’est certainement pas ma tasse de thé, mais ses propos sont frappés au coin du bon sens, et venant d’un homme de gauche, cela, que l’on le veuille ou non, leurs donnent plus de poids médiatique que des paroles lancées par des personnalités de droite, selon le deux poids deux mesures trop bien connu.

Un exemple de ces contraintes, menaces, qu’impose l’islam en France. Les premiers attaqués sont des musulmans qui n’entendent pas pratiquer leur religion à la lettre, et nous savons que l’islam n’est pas une religion de la Liberté, mais de la soumission au texte. Toujours dans le Figaro du 16 mai, un article intitulé « Ces français d’origine maghrébine qui vivent sous la pression des musulmans radicaux », qui fourmille d’exemples de menaces, d’injures, d’insultes, d’agressions que subissent notamment des filles qui ne portent pas le voile, qui s’habillent comme des « européennes », ou qui mangent ou boivent de l’alcool pendant le ramadan. Tout cela est archi connu mais pas assez fustigé, notamment par les chefs des gauches, du PS à LFI en passant par les écolos, qui ont la dénonciation à sens unique. Pourtant ces personnes sont traitées de « chiennes », « d’arabes de service », « d’enfants de harki », « de faire valoir de l’extrême droite », sans que cela n’émeuve beaucoup nos macronistes ou gauchistes de service.

Le Parlement régional de Hambourg, cité-État, vient d’interdire tout vêtement dissimulant le visage dans les écoles, collèges et lycées de la ville, il était grand temps. Cette décision a été prise par le SPD et les verts et votée aussi par la CDU et l’AFD. Bien sûr l’extrême-gauche allemande représentée par Die Linke a voté contre. En Allemagne, comme l’éducation est de la compétence des Länders, chaque région a sa propre réglementation qui peut beaucoup varier.

Une très bonne nouvelle du côté des Pays-Bas, un accord gouvernemental de coalition a été trouvé, six mois après la victoire du parti PVV de Geert Wilders. Quatre partis de droite dont le PVV se sont unis pour gouverner. La presse annonce des mesures restrictives à l’immigration, l’annulation de certaines taxes et la construction de quatre centrales nucléaires, que du bon sens. A quand une même coalition chez nous ?

Chez nous justement, la presse vient d’annoncer comme en 2019, une liste musulmane pour les élections européennes « L’union des démocrates musulmans français », une tautologie de mensonges et de tromperies visiblement. Leur seul programme, « libérer la Palestine », et renforcer « l’éthique musulmane ». Comme quoi l’intrusion de la religion dans la politique n’en finit pas. Et comme le détaille Naëm Bestandji « Le voile est aussi un outil politique à la fois contre les musulmans, pour faire de l’intégrisme une norme et assigner à toutes les musulmanes à la frange extrémiste de l’islam par le voilement ; et contre la société, au service de la stratégie victimaire. ». Comme en écho à cette liste, en Iran la chasse aux femmes mal voilées redouble de brutalité. Le régime totalitaire théocratique islamiste a bien compris que sa perte viendrait de la libération des femmes, et accentue sa pression, par le biais de sa police des mœurs, sans qu’aussi personne ou presque ne s’en offusque. C’est cela qu’on veut nous imposer chez nous par l’entrisme islamiste.

Le combat patriote sera long, très long pour parvenir à mettre un terme à cette tentative de « totalitarisation » islamiste. Cela passe impérativement tout d’abord par un vote massif de sursaut national, utile et efficace, le 9 juin prochain.

18:03 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

À propos d’un nationalisme méconnu

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Création coloniale de l’infâme République française, le Liban est un État confessionnel en faillite complète. Le 31 octobre 2022 commence la vacance de la présidence de la République. L’intérim devrait revenir au Conseil des ministres, à savoir le troisième gouvernement de Najib Mikati qui a cependant démissionné en octobre 2022. Quant à la Chambre des députés, faute de quorum, elle ne se réunit presque plus. Pendant ce temps, le désastre économique, social et financier s’aggrave sans oublier les nombreux dégâts provoqués par les multiples frappes de l’État hébreu au Liban méridional.

Considéré comme la « Suisse du Proche-Orient » à l’époque des « Trente Glorieuses », le Liban a toujours été dysfonctionnel. Le contexte compliqué par la reconnaissance politique des croyances explique-t-il la présence de trois nationalismes antagonistes dont les formations politiques demeurent encore aujourd’hui adversaires ? Apparaît en novembre 1932 le nationalisme pan-syrien d’Antoun Saadé (1904 – 1949). Ce chrétien grec-orthodoxe fonde le Parti social-nationaliste syrien (PSNS). Implanté autant au Liban qu’en Syrie au sein du Front national progressiste, la coalition des neuf partis qui participe au gouvernement de Bachar el-Assad, le PSNS a un objectif précis : l’union du Bilad al-Cham ou « Grande Syrie » qui s’étendrait de Chypre à l’Irak et au Koweït en incluant la Palestine, la Jordanie, le Liban et la Syrie. Plus tard, à la fin des années 1960, dans le cadre de l’« Axe de la Résistance » anti-sioniste, la tendance majoritaire du PSNS acceptera une union graduelle et par ensembles concentriques du monde arabe.

Lancé en avril 1947, le Baas (ou Parti socialiste de la résurrection arabe) de Michel Aflak (1912 – 1989), de Salah Eddine Bitar (1912 – 1980) et de Zaki al-Arsouzi (1899 – 1968) prône l’unité du monde arabe de l’océan Atlantique jusqu’au Chatt el-Arab (soit aux frontières de l’Iran) en passant par la Somalie et la péninsule arabique. Après des décennies fastes qui l’ont vu s’installer en Syrie, puis en Irak, et qui a profité de l’engouement nassérien, l’idéal panarabe est désormais en déclin, sévèrement contrarié par l’activisme islamiste qui prend parfois une tonalité panislamique. Au cours de la brève guerre civile libanaise de 1958, les forces paramilitaires du PSNS, les « Aigles de la Tornade », combattirent dans les montagnes les unités armées du Baas local...

En réaction au militantisme pan-syrien et baasiste se développe un nationalisme phénicien lui-même éclaté en plusieurs factions rivales. Ce nationalisme revendique la particularité du caractère ethno-culturel libanais par rapport à ses voisins sémites. En effet, il estime que son peuple ne relève pas de l’arabité, mais descend des Phéniciens. Mieux, la matrice véritable de la civilisation occidentale serait phénicienne. Le poète, linguiste et philosophe Saïd Akl (1912 – 2014) transcrit ainsi le libanais de l’alphabet arabe en alphabet latin. Cet intellectuel anime en outre le Parti du Renouveau libanais dès 1972. Les nationalistes phéniciens envisagent un « Très Grand Liban », un État qui engloberait l’actuel Liban, tout le littoral syrien (le projet mandataire de « Territoire des Alaouites ») et le Nord d’Israël.

Les forces politiques qui y souscrivent plus ou moins ouvertement sont les fameuses Phalanges libanaises fondées en 1936 par Pierre Gemayel (1905 - 1984), le Parti national-libéral (PNL) créé en 1958, naguère appelé « Parti des patriotes libres », de l’ancien président Camille Chamoun (1900 - 1987) dont la milice se qualifiera de « Tigres » et dans laquelle tomba au combat en 1976 le solidariste français Stéphane Zannettacci, le Bloc national libanais (1946) de l’ancien chef d’État Émile Eddé (1883 – 1949), et les pro-Syriens de la Brigade Marada constituée dès 1967 par le futur président Soleimane Frangié (1910 - 1992). L’homme d’affaire Iskandar Safa (1955 - 2024), propriétaire de l’hebdomadaire Valeurs actuelles, n’aimait guère s’entendre rappeler son engagement de jeunesse chez les Gardiens des Cèdres. Fondés et commandés par Étienne Sacr (né en 1937 et qui vit toujours en exil, car condamné à mort), les Gardiens des Cèdres ont été au cours de la guerre civile de 1975 à 1990 l’une des unités combattantes les plus redoutables. Financés par Israël et détestant les Palestiniens ainsi que les mouvements de gauche, ils se montrèrent impitoyables sur la ligne de front. Il ne faut pas en revanche les confondre avec l’Armée du Liban-Sud (ALS). Formée, armée et entraînée par Israël, l’ALS accueillit entre 1976 et 2000 maints Gardiens des Cèdres. 

Les dissensions au cœur du camp chrétien obligèrent les tenants du nationalisme phénicien (ou libanais) à accepter des compromis. Par exemple, au terme de son mandat présidentiel en 1988, Amine Gemayel nomme comme premier ministre - et donc président par intérim - le général Michel Aoun qui proclame une guerre de libération nationale contre la Syrie. En plus du soutien officiel de l’Irak de Saddam Hussein, le général Aoun obtient l’appui effectif des nationalistes libanais. Plus tard, au retour de son exil et dans la perspective de l’élection présidentielle par les parlementaires en 2016, le général Aoun, chef du Courant patriotique libre, va s’allier aux mouvements chiites Amal et Hezbollah ainsi qu’au PSNS...

On trouve le thème de ce nationalisme chez quelques érudits tunisiens qui assurent que leur pays a plus des racines puniques et phéniciennes qu’arabes et africaines. Mais cette vision politique demeure plus que marginale à Tunis. Notons par ailleurs que certains linguistes, fort minoritaires, pensent que la langue maltaise d’origine sémitique serait en réalité un prolongement moderne du phénicien. Il s’agit d’une thèse plus que discutée.

L’actuelle crise politique, sociale, économique et financière qui frappe le Liban peut-elle cristalliser un sentiment national libanais d’inspiration phénicienne ? Il est très difficile de répondre à cette interrogation de manière abrupte et définitive. Il est patent en tout cas que ce nationalisme méconnu perdure à travers le va-et-vient des formations politiques et reste un facteur déterminant dans la résolution (ou non) des problèmes structurels de ce pays-mosaïque qu’est le Liban. 

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°115, mis en ligne le 14 mai 2024 sur Radio Méridien Zéro.

10:48 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La liste "Forteresse Europe" a été déposée jeudi...

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Un communiqué de Maître Pierre-Marie Bonneau :

Les représentants de la liste Forteresse Europe ont déposé aujourd'hui à Paris, au ministère de l'Intérieur, les dossiers de candidature des 81 colistiers de la liste. Les fonctionnaires du ministère ont contrôlé les dossiers un par un puis délivré un reçu provisoire. Le ministère effectuera des contrôles complémentaires et sous six jours, si tout est conforme, délivrera un reçu définitif.

Nous avons finalement obtenu, grâce à votre mobilisation, un surplus de candidatures. Nous avons veillé à privilégier les candidatures des personnes plus âgées afin de limiter l'exposition des plus jeunes.

Il est temps maintenant de passer, après la constitution de la liste, à la diffusion de la propagande. Nous vous invitons à contacter euronat@proton.me pour obtenir des affiches et des tracts. Envoyez des photos de vos collages / boitages / tractages !

Nous vous invitons également à participer au vote du 9 juin dont l'objectif, rappelons-le, n'est pas d'envoyer une poignée de députés dans un Parlement-croupion, mais de manifester un fort soutien populaire envers un programme radical. Pour cet acte militant, il vous faudra imprimer le bulletin de vote qui sera publié sur notre site internet fin mai.

Nous adressons nos plus vifs remerciements aux colistiers qui ont accepté de placer leur nom sur une liste sans concession, aux militants qui se consacrent sans relâche à l'organisation de la campagne, et aux nombreux sympathisants qui ont également aidé à trouver des colistiers et déjà commandé des affiches et tracts.

Qui vive ? France !

 
 

10:41 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

AVEZ-VOUS PENSÉ À VENIR VISITER NOTRE SITE LIBRAIRIE ?

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POUR Y ALLER, CLIQUEZ ICI

10:34 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SAMEDI 1ER JUIN : MARTIAL BILD DONNERA UNE CONFÉRENCE AUX SABLES D'OLONNE (85)

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10:33 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 15 juin : Thomas Joly à Lyon

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Samedi 15 juin, les militants locaux du Parti de la France organisent un repas militant à Lyon en présence de son Président, Thomas Joly qui, à cette occasion, officialisera la section Rhône-Alpes du PdF.

PAF : 37 €. Cuisine lyonnaise bien sûr...

Réservation obligatoire : pdfrhonealpes@outlook.fr

10:28 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 16 mai 2024

Dimanche 26 mai, à Poligné, une nouvelle conférence de Bernard Germain en Ille-et-Vilaine

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Pour acheter son livre cliquez ici

20:50 Publié dans Bernard Germain, Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pèlerinage d'Oviedo à Covadonga en Espagne du 27 au 29 juillet 2024

Notre Dame de Chrétienté Espagne organise son pèlerinage annuel d'Oviedo à Covadonga du 27 au 29 juillet 2024. 

Academia Christiana aura un chapitre comme l'an dernier pour représenter les français. 

Les inscriptions viennent d'ouvrir ICI

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16:42 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

NOUVELLE CALEDONIE : LA PARTITION, C’EST UNE SOLUTION !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Les plus graves émeutes depuis quarante ans viennent d’endeuiller la « Grande Terre », une île magnifique qui offre à la France un splendide « porte-avions » dans le Pacifique, et contribue à lui donner le deuxième plus grand domaine maritime mondial. Une partie des Canaques du FLNKS – le « Front national de libération Kanak socialiste », un conglomérat de mouvements séparatistes autochtones -, vient d’agresser son propre territoire, incendiant ici ou là établissements publics ou commerciaux, pillant habitations comme supermarchés, ouvrant même le feu sur les forces de l’ordre, qui enregistrent à l’heure où ces lignes sont écrites, deux morts dans les rangs de la gendarmerie, et un grand nombre de blessés.

On n’avait pas vu une telle insurrection depuis les évènements de 1988 (1) qui aboutirent aux accords de Matignon mettant un terme, provisoire, à l’affrontement politico social entre Caldoches et Canaques. Il faut dire que l’archipel vit sous le régime d’un fragile compromis, réunissant sous le même toit du palais du Congrès territorial à Nouméa, élus séparatistes et loyalistes. Comme tous les compromis, celui-ci ne donne une totale satisfaction à aucune des parties.

Pourtant, tout en restant juridiquement au sein de la République française, la Nouvelle-Calédonie dispose d’un très large statut d’autonomie, avec son hymne et ses propres emblèmes. Seules la défense, la monnaie et la politique étrangère sont absentes de ses compétences. Cycliquement – on en est au troisième ! -, un référendum d’autodétermination doit faire émerger une tendance dominante. À chaque fois, c’est la solution du maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la République qui l’emporte, au grand dam d’indépendantistes  rêvant d’une Kanaky indépendante qui rejoindrait la cohorte de micro États surnageant dans le Pacifique, tous étant, plus ou moins, les obligés d’une grande puissance : Etats-Unis, Chine ou Australie. Si Taïwan se fait mettre à la porte par certains, sa grande sœur continentale regarde avec intérêt  cette poussière d’îles, à commencer par notre « Grande Terre » et ses ressources en nickel, mais pas que. Cette ressource, dont toutefois les cours se sont affaissés – provisoirement ? -, fait de l’île le deuxième pourvoyeur mondial. Elle est essentielle, notamment pour les batteries de véhicules électriques. Et nombreux sont ceux qui lorgnent sur la Nouvelle-Calédonie, cet « Eldorado » dont la France ne peut pas et ne doit pas se priver.

Les raisons de la colère

L’élargissement du corps électoral aux personnes qui ne votaient jusqu’ici qu’aux seules élections nationales compte-tenu de leur faible temps de résidence, a été le prétexte aux plus graves débordements depuis l’insurrection des insulaires autochtones en 1988. L’amendement constitutionnel élargissant les listes électorales à 25 000 nouveaux inscrits, a été adopté à l’Assemblée nationale dans la nuit du mardi 14 au mercredi 15 mai, par 351 voix contre 153.

À la même heure, Nouméa s’embrasait. Pour protéger leurs demeures et leurs familles, des « caldoches » - pour faire court le « colonat » blanc, mais pas que -, ont, eux aussi, érigés des barricades de fortune, et se sont armés. On peut les comprendre devant la violence et la sauvagerie des jeunes indépendantistes, chauffés à blanc par leurs dirigeants, avant que ces derniers, comme les leaders des partis loyalistes n’appellent au retour au calme.

Le gouvernement français, devant cette explosion de violence, a décrété l’état d’urgence et dépêché par la voie des airs 500 hommes afin de renforcer les 1 800 policiers et gendarmes qui se trouvent sur place, effectif bien faible pour contrôler 19 000 km².

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14:20 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A propos des "événements" actuels en Nouvelle-Calédonie : décidément, les nationalistes n'ont pas arrêté de voir juste...

Gavroche Thaïlande

Pour mémoire, voici ce qu'écrivait Bruno Larebière, dans un entrefilet publié, il y a près de 36 ans dans le Choc du Mois, sous le titre : "Mourir pour Nouméa ?"

"Les plus indulgents diront que c'était pour la grande figure de De Gaulle, les plus sévères qu'ils n'avaient déjà rien compris, quand les électeurs de Nouvelle-Calédonie approuvèrent, en 1962, à plus de 90%, l'indépendance de l'Algérie. Alors logiquement, depuis, ils votent gaulliste. Et le parti gaulliste local, qui en est bien fier, appelle à nouveau à voter Oui (au référendum du 6 novembre 1988 sur l'avenir du territoire - référendum destiné à approuver ou rejeter l'accord de Matignon du 26 juin de la même année, signé par Jean-Marie Tjibaou, leader du parti indépendantiste FLNKS, et Jacques Lafleur, chef du RPCR loyaliste, NDLR).

Parce que Jacques Lafleur n'a plus grand chose à perdre. Parce qu'il n'y a pas de raison de changer une méthode qui perd. Parce que les bons apôtres expliquent qu'il faut lâcher du lest, alors que l'histoire est faite de relâchement qui amènent des révolutions. Parce qu'on se croit toujours plus malin. Et parce que, décidément, les âneries, comme les trains, peuvent en cacher bien d'autres. Alors après, demain, viendront les émeutes. Des Canaques d'abord, puis des Caldoches. Pour défendre leur famille, leurs amis, leurs biens, leur terre, leur pays. Alors ce jour-là, on enverra les militaires. Ou on ne les enverra pas. Et il faudrait encore voir contre qui. Puis ce sera le temps des larmes. Et ce jour-là, on nous dira, à nous nationalistes de métropole, qu'il faut sauver Nouméa, et les Caldoches avec. Et ce jour-là, parce que comme d'habitude, bonnes poires on répondra à l'appel, on en prendra plein la figure. Et tout ça parce qu'un jour de 1988, comme un jour de1962, ils auront voté Oui".

12:03 Publié dans Didier Lecerf | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vers l’interdiction de la croix celtique ?

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Jérôme Bourbon, Rivarol cliquez ici

SE DIRIGE-T-ON vers l’interdiction pure et simple de la croix celtique en France ? Cela paraît délirant mais ce n’est pas hélas improbable compte tenu de la folie répressive actuelle. Après le succès de la manifestation organisée par le Comité du 9 mai en hommage au militant nationaliste Sébastien Deyzieu, mort il y a trente ans en tombant d’un toit alors qu’il était poursuivi par la police de Charles Pasqua, alors ministre de l’Intérieur du gouvernement de cohabitation dirigé par Edouard Balladur, à la suite de sa participation à une manifestation interdite contre l’impérialisme américain, le député socialiste du Calvados, Arthur Delaporte, propose dans Libération daté du lundi 13 mai d’interdire purement et simplement l’usage de la croix celtique dans notre pays. Il faut dire que le Système a été ulcéré par la réussite d’un rassemblement pacifique se déroulant sans que se produisît le moindre incident (cela change des manifestations de gauche et d’extrême gauche ou des défilés syndicaux qui ont presque toujours leur cortège de casseurs !) réunissant près d’un millier de jeunes participants en plein Paris le samedi 11 mai après que le tribunal administratif eut cassé la décision préfectorale d’interdiction de la manifestation au motif que l’arrêté du préfet portait une atteinte grave et disproportionnée à la liberté de manifester. Cet acte d’indépendance de la justice administrative étonne positivement quand on sait que cette dernière se fait trop souvent la simple chambre d’enregistrement des décisions gouvernementales ou préfectorales, on l’a vu notamment au moment des crises covidesques où elle a validé toutes les décisions liberticides de l’Exécutif portant atteinte à la liberté de circulation, de manifestation, de réunion et de culte et on s’en est également aperçu lorsqu’elle a validé à deux reprises, d’abord en référé à l’été 2022, puis sur le fond au printemps 2024, la décision de la CPPAP (commission paritaire des publications et agences de presse) de nous exclure de ses registres.

Cette décision du tribunal administratif est une victoire pour les organisateurs du défilé en hommage à Sébastien Deyzieu qui ont su trouver les arguments juridiques de nature à convaincre les juges. Mais elle est aussi et surtout un camouflet pour le préfet de police de Paris, Laurent Nunez, et plus encore pour le ministre de l’Intérieur, Gérald Moussa Darmanin. N’oublions pas en effet que c’est après le défilé du 6 mai 2023 en hommage à Sébastien Deyzieu qui avait indisposé la gauche que le locataire de la Place Beauvau avait pris une circulaire ahurissante interdisant de manière systématique, à Paris et sur tout le territoire national, toute manifestation « de l’ultra-droite et de l’extrême droite ». Toute manifestation, c’est-à-dire des défilés, des colloques, des banquets, des offrandes florales à la sainte de la patrie, un hommage à un défunt dans un cimetière. Cette décision du tribunal administratif prise le samedi 11 mai 2024 au matin, quelques heures seulement avant le début du défilé pour Sébastien Deyzieu, marque-t-elle un coup d’arrêt à cette dérive liberticide du gouvernement désireux de complaire à de puissants groupes de pression, toujours les mêmes, ou est-elle seulement une victoire à la Pyrrhus qui ne changera rien sur le fond dans la durée ? Il est encore trop tôt pour le dire mais saluons pour l’heure cette humiliation pour le sinistre Darmanin. On se réjouira également que les défilés et manifestations en l’honneur de sainte Jeanne d’Arc aient pu avoir lieu normalement cette année, le dimanche 12 mai, qu’ils aient pu se tenir sans encombre et n’aient pas été interdits en amont.

LA GAUCHE étant connue pour son esprit sectaire voire totalitaire, elle ne saurait bien sûr accepter que les nationalistes et identitaires puissent eux aussi défiler dans la capitale pour rendre hommage à l’un de leur camarade décédé dans des conditions dramatiques. C’est pourquoi elle propose d’aller encore plus loin dans la répression. Il n’est donc finalement pas si surprenant qu’un député socialiste ose proposer l’interdiction de la croix celtique alors même que cet emblème immémorial est au cœur de nos traditions et de nos civilisations et que, si on le voit dans tous les cimetières d’Irlande, il est aussi présent en France dans nombre de monuments, de peintures et de sculptures et notamment au faîte de certaines églises. Thierry Bouzard a précisément consacré il y a quelques années un très intéressant ouvrage à la croix celtique qui démontre de manière documentée, précise et indiscutable à quel point ce symbole est ancré dans notre histoire et répandu dans notre civilisation (NDLR SN : voir ci-dessous). L’élu socialiste Arthur Delaporte, qui se comporte en cloporte, annonce donc à Libération — qui recueille religieusement son initiative — le dépôt rapide d’une proposition de loi destinée, tenez-vous bien, à pouvoir « interdire tout symbole utilisé par des associations reconnues comme anticonstitutionnelles et contraires aux principes d’amitié contre les peuples ». Rassurez-vous, le député ne vise pas là les associations communautaires juives, de la LICRA à l’OJE (Organisation juive européenne) en passant par l’Observatoire juif de France (OJF) qui ne trouvent rien à redire, mais vraiment rien, au génocide en cours des Palestiniens à Gaza et à la famine organisée par l’entité sioniste désireuse de se débarrasser des « animaux humains » que seraient les Gazaouis selon les propos publics du ministre de la Défense israélien. Non, le député Delaporte, que les électeurs auraient dû mettre à la porte, vise là exclusivement les associations et groupements nationaux et nationalistes.

« Il faut, gémit-il dans Libé, nous protéger contre les ennemis de la République et de la démocratie. Aujourd’hui l’article R645-1 de notre code pénal interdit le “port d’un insigne ou un emblème rappelant les uniformes, les insignes ou les emblèmes qui ont été portés ou exhibés soit par les membres d’une organisation déclarée criminelle” à l’issue de la Seconde Guerre mondiale par le très contestable tribunal militaire international de Nuremberg, “soit par une personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité”. Donc les nazis. Et uniquement leurs organisations reconnues comme telles. Résultat : on interdit la vente de drapeaux avec une croix gammée mais on peut se balader dans Paris avec une croix celtique alors que c’est aussi un symbole suprémaciste blanc, ethnodifférentialiste. Je propose donc de nous inspirer de ce que font les Allemands : interdire tout symbole utilisé par des associations reconnues comme anticonstitutionnelles et contraires au principe d’amitié contre les peuples. En changeant la loi, on pourrait interdire l’utilisation de la croix celtique puisqu’elle a été l’emblème de plusieurs groupements dissous en France. […] Il faut d’urgence muscler notre droit pour renforcer notre arsenal juridique. Pouvoir interdire ces manifestations et ces emblèmes qui participent de l’usage d’une symbolique tout en garantissant nos valeurs fondamentales. Ce qui a fait la force du nazisme, c’est aussi l’usage des symboles sur les masses. »

CE QUE le député Delaporte ne dit pas, c’est que la croix celtique n’a jamais été utilisée comme emblème par l’Allemagne nationale-socialiste et tout ramener au nazisme est grotesque et prouve de surcroît une certaine forme d’inculture, hélas très courante aujourd’hui, même chez les élus de la République. Et pour justifier cette nouvelle mesure liberticide, le député convoque sans surprise l’histoire (écrite par les vainqueurs) et la Mémoire : « Nous allons entrer dans une séquence de commémorations des 80 ans du Débarquement en Normandie. Je rappelle que la manifestation interdite du 7 mai 1994, au cours de laquelle meurt accidentellement le militant de l’Œuvre française à qui rendent hommage ces néofascistes chaque année, avait été organisée contre l’organisation des 50 ans du débarquement des Alliés, parce qu’ils ne voulaient pas que l’on commémore la fin du régime hitlérien ! Dans trois semaines, on rendra hommage à ces combattants qui nous ont libérés du nazisme. Comment accepter qu’on laisse s’afficher des symboles en plein Paris accompagnés de saluts hitlériens ? » On se demande où le député a vu dans ce défilé pacifique et remarquablement organisé des « saluts hitlériens » (il serait d’ailleurs plus juste historiquement de parler de saluts romains ou olympiques) mais, qu’importe, l’essentiel pour ces gens n’est pas de dire la vérité mais d’asphyxier sans cesse nos libertés.

Alors que les crimes et les délits, y compris les plus barbares, explosent dans notre pays, le Parlement n’a donc pas d’autre priorité que d’interdire la croix celtique. Et également d’euthanasier les vieux (et à terme aussi les autres) puisque le projet de loi appelé pudiquement sur la fin de vie va être examiné à partir de cette semaine par l’Assemble nationale. Le Parlement se garde bien également de condamner les crimes perpétrés par l’entité sioniste. Lors du dîner annuel du CRIF le 6 mai dernier, le Premier ministre Gabriel Attal, rappelant explicitement sa judéité, a justifié sans réserve l’action meurtrière de Tsahal à Gaza et n’a pas eu un mot de compassion, pas un seul, pour la population civile palestinienne martyrisée. Quant à l’Eurovision, où l’on exclut la Russie mais où Israël est membre de plein droit (l’entité sioniste serait-elle géographiquement en Europe ?), ce qui a suscité fort heureusement en Suède où se tenait cet événement certaines réactions outrées compte tenu des crimes commis par un Etat sioniste, terroriste, assassin et voyou, elle a fait étalage de mauvais goût, de pornographie, de satanisme (la chanteuse irlandaise était ainsi grimée en sorcière avec un accoutrement effrayant) et d’homosexualisme, le chanteur suisse qui a gagné la compétition, Nemo, se définissant comme non binaire (Libé salue avec enthousiasme « le monde queer de Nemo »). Pauvre Europe ! Jusqu’où est-elle tombée ?

Face à toutes ces immondices, recommandons-nous de sainte Jeanne d’Arc, fêtée dimanche dernier, et de la Vierge Marie, la vraie première Dame de France célébrée tout particulièrement en ce mois de mai qui lui est consacré, « le mois le plus beau » comme nos pères le clamaient dans un cantique populaire, simple et attachant.

Editorial de Jérôme Bourbon publié dans le n°3614 (15 mai 2024) de l'hebdomadaire Rivarol.

Sur l'histoire de la croix celtique :

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IMMIGRATION & INSÉCURITÉ ET SYNTHÈSE NATIONALE VA AVOIR 18 ANS !

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Éditorial du n°66 (printemps 2024) de la revue Synthèse nationale

Il faut être buté comme un électeur de LFI, naïf comme un Vert ou benêt comme un Macroniste pour ne pas faire le rapprochement entre immigration et insécurité. Cependant, afin d’éviter toute interprétation abusive de la part de nos "amis les bien-pensants", je précise d’emblée que lorsque je parle ici d’"immigration", je fais la part entre ceux qui souhaitent véritablement s’assimiler, il y en a, et ceux qui, hélas en trop grand nombre, viennent chez nous, au mieux pour profiter des avantages sociaux que notre système leur offre, au pire pour subvertir, physiquement et mentalement, notre nation et, de fait, détruire notre civilisation au profit de la leur.

Le simple fait d’exposer de manière aussi factuelle cette réalité était, il n’y a pas si longtemps, quelque chose d’impensable. Il fallait être téméraires (et clairvoyants), comme un Jean-Marie Le Pen ou un militant nationaliste, pour annoncer que l’importation massive, sur notre continent, de populations venues de loin allait, à terme, créer des problèmes incommensurables. Seulement, voilà : les cris d’alarme des patriotes n’ont pas été entendus et aujourd’hui, nous payons très cher l’incurie des dirigeants écervelés qui se sont succédé, qu’ils soient socialistes ou libéraux.

En janvier 2015, avec le massacre de la rédaction de Charlie hebdo et la prise d’otages dans un supermarché parisien, les Français découvraient avec stupeur la présence parmi eux de gens qu’ils avaient accueillis mais qui les détestaient… Incroyable (pour le bobo de base) mais véridique ! Puis survinrent les attentats du Bataclan, du Stade de France, de Nice, les assassinats du Père Hamel, près de Rouen, de Samuel Paty dans les Yvelines, de policiers, d’enseignants, de chefs d’entreprises, de jeunes qui voulaient simplement vivre leur vie, de Français comme les autres… Nous n’allons pas dresser ici la liste - qui ne cesse de s’allonger - des crimes, en France de l’islamisme ou des voyous issus de l’immigration sauvage. Elle croît semaine après semaine et désormais, aucun village de France n’est vraiment à l’abri. Ce qui, pour autant, n’empêche pas certains imbéciles, enfermés dans leur tour d’ivoire, prisonniers de leurs certitudes idéologiques, de continuer à nier cette réalité, sur les plateaux de télévisions, dans la presse ou au sein de la classe politique…

Les Français en ont assez !

Dieu merci, les Français (ceux qui voient vraiment ce qu’il se passe autour d’eux) sont de plus en plus nombreux à prendre conscience de la situation. Pourtant, pendant des décennies, on les a intoxiqués avec l’idée que l’immigration serait une chance pour la France. On leur a répété que ceux qui s’y opposaient étaient forcément des nostalgiques de Vichy ou des admirateurs du IIIe Reich. On leur a fait peur de manière à ce qu’ils restent dans les clous et continuent à voter sagement pour les partis du Système. Ce qu’on voulait leur dissimuler, c’est que l’immigration faisait surtout l’affaire de l’hyperclasse. Qu’elle servait à la fois les intérêts du grand patronat (qui y trouvait une main d’œuvre facile à exploiter permettant de faire pression à la baisse sur les salaires) et ceux des syndicats et partis marxistes (à la recherche d’un prolétariat de substitution, les ouvriers "de souche" s’étant rallié au Front national dans les années 1980-1990). Évidemment, à l’arrivée, les seuls perdants dans cette affaire, c’étaient eux, c’était notre pays… 

Mais les faits sont têtus et la vérité finit toujours par l’emporter. Nos compatriotes se réveillent et, petit à petit, l’idée d’une reprise en main de leur destin fait son chemin. L’immigration qui engendre chômage, insécurité, perte des repères et des valeurs traditionnelles, pauvreté et menaces pour notre identité, est désormais largement rejetée. Les bobards colportés par les tenants du Système ne marchent plus. Et, au-delà de l’immigration, c’est l’asservissement aux diktats de l’Union européenne qui est également remis en cause. L’heure approche où la France peut redevenir elle-même. Cela fait 18 ans que Synthèse nationale se bat pour cela, et si les choses vont dans le bon sens, c’est aussi parce que nous y avons contribué à notre (modeste) niveau.…

Avoir 18 ans…

En effet, lorsqu’au printemps 2006 nous avons décidé de créer, d’abord le site quotidien d’information Synthèse nationale, puis la revue éponyme, nous voulions doter la Droite nationale et identitaire "non reniée" d’un espace de rencontre et de réflexion ouvert à toutes ses différentes sensibilités. Loin de nous l’idée de faire de Synthèse nationale un nouveau mouvement unitaire. Il s’agissait juste d’introduire au sein de notre famille d’idées un nouvel état d’esprit. Faire en sorte que plus personne ne se regarde en chiens de faïence et que tous se battent, côte à côte, avec leur originalité propre, pour sauver le plus petit dénominateur commun qui nous anime, à savoir l’amour immense de notre patrie, la France.

C’est ce que nous avons fait, à travers notre revue, notre maison d’éditions, nos multiples campagnes de sensibilisation sur divers sujets, nos "Journées Bleu-Blanc-Rouge" annuelles…, tout au long de ces 18 années de Synthèse nationale. Et nous nous félicitons de constater que, depuis 2006, malgré quelques anicroches, les choses ont plutôt évolué dans le bon sens. Tout cela a aussi été possible grâce à la fidélité et au soutien de nos lecteurs que nous ne remercierons jamais assez.  Nous le savons, il reste beaucoup à faire. Aussi n’entendons-nous pas nous arrêter en si bon chemin.

Au-delà des péripéties électorales du mois de juin prochain qui peuvent entraîner une véritable redistribution des cartes (cf. l’article suivant cliquez là), nous continuerons avec enthousiasme notre combat !

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Qu’ils abattent Mohamed Amra comme Kelkal, Merah et les Kouachi

Pierre Cassen ne mâche pas ses mots...

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Les vérités de Xavier Raufer sur la pax macronia

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La chronique de Philippe Randa

Lors de sa récente émission du « samedi politique » sur TVLibertés, Élise Blaise recevait un habitué de son plateau : le criminologue Xavier Raufer, directeur d’études au pôle sécurité défense du CNAM, également (et entre autres) professeur aux États-Unis et en Chine.

Leur tour d’horizon de la délinquance en France – de son augmentation incessante à l’aveuglement persistant des Pouvoirs publics, plus obsédés par les « coups de communication » que par une quelconque efficacité – n’a rien eu de réjouissant. On pouvait s’en douter.

Toutefois, trois remarques de Xavier Raufer ont pu à juste titre interpeller le téléspectateur…

La première a été son rappel que dans un pays comme la France, « toute reprise en main adopte toujours la forme de ce qu’on appelle une courbe en “J”, c’est-à-dire cela va toujours plus mal avant d’aller mieux, et là, si Monsieur Darmanin commence aujourd’hui à rétablir l’ordre dans ce pays comme il faudrait le faire et comme il pourrait le faire dès aujourd’hui, s’il en avait le temps, on s’apercevrait que le bas de la courbe, c’est-à-dire là où cela ira le plus mal avant de commencer à aller mieux, c’est… 2027 ! Pourquoi ? Parce que le France, ce n’est pas un hors-bord qui vire sur place comme ça dans tous les sens, c’est un énorme paquebot de 68 millions de passagers (qui) ne tourne pas sur place… Quand on lance un ordre du sommet et qu’on veut le faire appliquer sur la base, eh bien fatalement, il y a une inertie… »

Constat maintes fois fait que tout de ce qui n’a pas été entrepris dès les premières semaines d’un quinquennat se heurte ensuite inévitablement aux échéances électorales : l’élection ou la réélection sont alors les seules et uniques obsessions de tous ceux qui ont fait don de leur personne à leurs propres ambitions d’abord, à la France accessoirement.

Ceux-là consacrent toutes leurs énergies à « leurs affaires » plutôt qu’« aux Affaires » dont ils ont la responsabilité.

La deuxième remarque du criminologue bat en brèche l’affirmation largement répandue par nombre de médias et de politiciens parmi les plus veules, qu’en intervenant fermement contre la délinquance dans les banlieues, cela mettrait en quelque sorte le « feu aux poudres » : c’est considérer que l’immense majorité des populations dans les zones devenues « de non-droit » soutiendrait les racailles, applaudirait à leurs « exploits » et bénéficierait de leurs trafics… La réalité, a rappelé Xavier Raufer, est en effet tout autre : que ce soit les derniers « Gaulois » n’ayant pas eu les moyens de fuir les lieux ou les familles d’origine immigrée ayant sincèrement toujours souhaité s’intégrer et pour nombre d’entre elles y ayant réussi, la délinquance est un fléau quotidien : tous la subissent !

De l’insécurité dans les squares d’enfants à l’omniprésence des trafiquants dans les halls d’immeubles et les cages d’escalier jusqu’à la confiscation à leur seul profit des cages d’ascenseurs et l’embrigadement de leurs adolescents dans leurs gangs – avec les inévitables, sanglants et barbares règlements de comptes à la clef – il est certain que ces familles-là applaudiraient au rétablissement de « l’ordre républicain », aussi rude et implacable devrait-il être.

La troisième remarque de Xavier Raufer est à l’évidence un vœu pieux : le redéploiement des policiers en surnombre dans les beaux (de moins en moins) quartiers parisiens regroupant la plupart des Ministères et le Palais de l’Élysée, dans les « zones de non-droit » où leur présence passe plutôt inaperçue (euphémisme !) : pour lui, nul doute qu’une présence policière accrue calmerait les ardeurs commerciales tout autant que belliqueuses des criminels.

Mais cette éventualité peut laisser sceptique : d’abord, si les policiers ainsi redéployés devaient l’être avec la même indigne consigne de leur hiérarchie – « ordre impératif » serait plus juste – actuellement en vigueur, soit ne surtout pas faire de vagues ! Gageons que les racailles, à défaut d’être tous premiers de la classe, n’en sont pas pour autant aveugles ; ils comprendraient vite qu’ils pourraient finalement continuer à œuvrer en toute tranquillité…

S’il y eut jadis une sereine « pax romana », c’est désormais la piteuse « pax macronia » qui prévaut… et dans trois ans, cette même paix de pleutres perdurera probablement si un clone de l’actuel locataire de l’Élysée lui succédait.

Mais si le redéploiement policier ainsi espéré par Xavier Raufer l’était avec la réelle volonté de faire cesser pour de bon les trafics, cela pourrait aussi avoir une fâcheuse conséquence : le redéploiement des trafiquants vers de nouvelles zones « de travail »…

On a connu la désertification des campagnes au XXe siècle pour cause d’industrialisation, ne risquerait-on pas d’assister alors à l’explosion de la criminalité, de ses trafics et de ses violences, en nos terroirs et clochers, jusque-là épargnés…

Quoique cela soit déjà de plus en plus le cas…

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00:28 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 24 mai : soirée Livr'arbitres à Paris

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00:24 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 15 mai 2024

Eric Zemmour sur BFM TV ce matin

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Paris, vendredi 31 mai : banquet militant du Parti de la France

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14:35 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 14 mai 2024

EURODEGENERESCENCE !

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Pieter Kerstens 

Par curiosité, j’ai regardé l’Eurovision de la chanson ce samedi 11 mai. Hors de la polémique concernant la candidate pour Israël et les diverses manifestations à Malmö, on doit reconnaitre que ce concours était bien organisé et orchestré.

Quelles chansons et quelles voix ?

L’Eurovision est avant tout un organisme international chargé, au sein de l’Union Européenne de radiotélévision, de coordonner les échanges de programmes de télévision entre les pays d’Europe occidentale et du Bassin méditerranéen, dont le siège est à Genève.

Pour la chanson, il concerne 37 pays dont 26 avaient été sélectionné pour la finale du 11 mai.

Les amateurs de la chanson et du chant en général sont restés sur leur faim : seuls 5 à 6 des participants ont fait entendre leur voix, car tous les autres avaient choisi une musique et un orchestre qui couvrait la chanson.

La chorégraphie primait sur la grande majorité des spectacles et la scénographie envahissait le plateau en éliminant l’intérêt vocal de la plupart des finalistes.

Décadence des artistes et déliquescence des compositions musicales.

Il est quand même étonnant de remarquer que le tiers de ceux qui se sont produits sur scène ont proposé des chansons à la gloire des invertis, des pervertis et des déviants sexuels, costumés de manière extravagante et obscène. Vous dites « dépravés » ? C’est exact !

Curieusement, seuls ceux qui avaient un organe vocal remarquable ne figurent pas sur le podium, à l’exemple du Portugal, de la Grèce, de la France, de l’Arménie ou de l’Italie.

Par contre, le jury de chaque nation a favorisé les excès de ceux ayant une scénographie outrancière et un message pervers tels Nemo, le gagnant pour 2024, qui lui se réclame non binaire et chantre de la minorité LGBTQIA+.

Le vote des publics européens (37 pays) est allé en majorité à l’Ukraine, à Israël et à la France, en refusant les outrances pornographiques déraisonnables des candidats du Royaume Uni et de la Finlande, parmi d’autres.

Vitrine de la déchéance et du déclin, l’Eurovision est la honte du continent !

Quand un concours international de la chanson (ou d’une autre prestation) atteint un tel niveau de bassesse, on peut légitimement se demander si les finances dépensées sont encore à la hauteur de la notoriété mondiale recherchée. Le résultat obtenu par cette 68e représentation fait ricaner dans le monde entier et renforce les critiques à l’égard de la défense des « valeurs de la civilisation européenne ».

Il est grand temps de mettre fin à ces dérives sociétales qui relèvent plutôt de la psychanalyse et sont malheureusement encouragées par le système médiatique entre les mains de puissants intérêts cosmopolites dont le but est la désintégration de nos sociétés.

Notre Europe n’est pas celle de l’Eurovision de la chanson du 11 mai 2024 et le 9 juin, pour la prochaine élection, nous aussi nous ferons entendre notre voix sur un air différent ! 

17:11 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CRIMES JOURNALISTIQUES ET AUTRES MÉFAITS

Le dénominateur commun de toute la corruption démocratique, des élites corrompues, des réseaux pédocriminels, ce sont les médias.

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15:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Forces de l’ordre : protéger et servir l’Empire ? Conférence de François Dubois dans les Vosges

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E&R Lorraine recevra François Dubois dans le sud du département des Vosges le samedi 25 mai 2024 à 15 h pour une conférence sur le thème « Forces de l’ordre : protéger et servir l’Empire ? ».

Les corps constitués jouent un rôle important dans le maintien du pouvoir en place. C’est donc un ancien gendarme, instructeur de gendarmerie et officier de police judiciaire que nous avons le plaisir d’accueillir François Dubois.

Monsieur Dubois, qui est aussi vice-président du site profession-gendarme.com, nous propose une conférence riche en enseignements sur l’état des forces de l’ordre ainsi que leurs usages actuels et futurs.

Nous sommes fiers de vous donner l’occasion d’échanger avec cet intervenant de haut vol, car après les gilets jaunes, la réforme des retraites, la répression covid et avant la surveillance électronique généralisée, les JO et les villes 15-minutes, nous avons tous de nombreuses questions à poser concernant le rôle que les forces de l’ordre ont joué et vont jouer en France.

Peut-être aussi, à l’instar de notre invité, certains policiers/gendarmes sont-ils prêts à poser le casque et enfin protéger et servir le peuple…

Entrée : 5 euros

- Inscription obligatoire sur la billetterie en ligne racinesdapres.fr

- Le lieu exact vous sera communiqué par mail à l’adresse que vous aurez indiquée. Prenez garde à renseigner une adresse mail valide et votre numéro de téléphone portable, et vérifiez vos spams le jour J.

- Buvette et petite restauration

- Présence d’un stand Kontre Kulture avec notamment l’ouvrage de François Dubois, "Alice au pays de Lucifer".

14:46 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'OUVRAGE DE GEORGES SOREL "RÉFLEXIONS SUR LA VIOLENCE" ENTRE DANS LA COLLECTION "LES GRANDS CLASSIQUES DE SYNTHÈSE NATIONALE"

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Ouvrage indispensable pour ceux qui veulent comprendre ce qu’il s’est passé en Europe au début du XXe siècle, ce livre, paru en 1910, a toute sa place dans la collection « Les grands classiques de Synthèse » dirigée par Patrick Parment. Il aurait inspiré tous les révolutionnaires de cette époque. De Lénine à Mussolini…

Réflexions sur la violence, Georges Sorel, Les grands classiques de Synthèse nationale, mai 2024, 390 p., 28,00 €

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14:32 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |