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dimanche, 17 mars 2024

À la découverte d’un conflit oublié

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Dans sa longue histoire belliqueuse, la France a fait la guerre à presque tous les peuples de la planète, directement ou quand ces derniers étaient des possessions coloniales de puissances européennes. Bien des Français pensent cependant que seules les États-Unis d’Amérique ont échappé à cet esprit guerrier.

Le livre d’Éric Schnakenbourg, professeur d’histoire moderne à l’Université de Nantes, rétablit une vérité oubliée. On ignore en effet qu’à la fin du XVIIIe siècle, les marines étatsunienne et française s’affrontent en Atlantique Nord, en mer des Caraïbes et aux Antilles. L’auteur rappelle que « construit en 1954, le Mémorial du corps des Marines des États-Unis […] est dédié à tous les Marines qui sont morts au service de leur pays depuis 1775. Le piédestal porte l’inscription des différentes guerres auxquelles ils ont participé. Il y a, d’abord, la guerre d’Indépendance (1775 – 1783), puis la French Naval War (1798 – 1801). La première guerre dans laquelle les États-Unis, comme nation indépendante, furent engagés les opposa à la France (p. 11) ».

À la « Guerre navale française », les historiens préfèrent parler de « Quasi-Guerre », d’où le titre de son ouvrage : La Quasi-Guerre. Le conflit entre la France et les États-Unis 1796 – 1800 (Tallandier, 2024, 320 p., 22,50 €). Pourquoi cette expression ? Parce que, d’une part, il n’y eut jamais de déclaration officielle de guerre, soit par la France, soit par les États-Unis, et, d’autre part, les combats uniquement en haute-mer causèrent une centaine de morts.

L’université hexagonale traite peu ce sujet. En revanche, l’historiographie anglo-saxonne déborde. Cette étude passionnante plonge le lecteur dans les méandres complexes d’un « proto-conflit » aux retentissements politiques, militaires, économiques, diplomatiques et financiers considérables.

La « Quasi-Guerre » s’apparente à une guerre de course classique. On y trouve des corsaires qui cherchent en priorité à interrompre les échanges commerciaux entre l’Angleterre et ses terres antillaises. Dans le contexte de la Révolution française, les marins français veulent aussi protéger leurs riches îles sucrières. Or, le 19 novembre 1794, les États-Unis signent avec l’Angleterre le traité de Jay dont les articles prévus contredisent, selon Paris, le traité commercial franco-américain de 1778. Jay n’empêche pas la Royal Navy d’enrôler de force sur ses bâtiments des citoyens américains perçus comme des sujets rétifs de Sa Gracieuse Majesté.

Par ailleurs, les tensions révolutionnaires en Europe ont de vives répercussions dans la vie politique de la jeune république américaine. Les Républicains – à ne pas confondre avec l’actuel parti républicain – suivent Thomas Jefferson et s’inspirent de l’exemple français, y compris des sans-culottes jacobins. Ils se mobilisent contre les Fédéralistes de John Adams qui développent une interprétation aristocratique de la Constitution de 1787. Leurs détracteurs les qualifient d’« Anglo-Fédéralistes »...

La lourde dette financière des États-Unis envers la France, la lenteur des communications, les maladresses des représentants français, la complexe affaire XYZ et le souci des États-Unis de conserver leur neutralité active et lucrative favorable aux flux commerciaux transatlantiques attisent les tensions franco-américaines. L’ouvrage ne verse pas dans l’« histoire-bataille ». Grâce à la consultation d’archives inédites, l’auteur s’intéresse au sort des Français présents aux États-Unis et des Étatsuniens installés en France. Plusieurs États fédérés se rallient à une francophobie exacerbée. Celle-ci est pourtant ancienne et fréquente. On peut sur ce point reprocher à l’auteur d’évacuer le féroce sentiment anti-français qui animait George Washington. Avant d’être le chef indépendantiste, il s’est formé à l’art de la guerre sous l’uniforme anglais avant même le début de la Guerre de Sept Ans (1756 – 1763), cette première guerre mondiale.

Mis sous pression, le gouvernement fédéral révoque ainsi l’autorisation accordée aux consuls d’exercer leurs fonctions. Les Fédéralistes au pouvoir adoptent en outre des lois d’exception : exclusion de tout étranger dangereux pour la sécurité nationale et la paix; arrestation et expulsion de tout étranger de plus de 14 ans dont le pays serait en guerre contre les États-Unis; définition de la sédition perçue « comme une trahison au service de la France (p. 200) ». Aujourd’hui perdurent toujours ces mesures légales déjà appliquées dans l’histoire : « internement de cent vingt mille Américains d’origine japonaise durant la Seconde Guerre mondiale au nom des lois sur les étrangers de 1798, ou encore des poursuites qu’aurait encourues Elon Musk en vertu du Logan Act de 1798, s’il avait été confirmé qu’il avait appelé Vladimir Poutine pour parler de paix dans le contexte de la guerre entre la Russie et l’Ukraine à l’automne 2022 (p. 245) ».

Cependant, les relations ne sont pas totalement rompues. Ministre des Relations extérieures de la République française, Talleyrand négocie avec difficulté avec trois émissaires étatsuniens. Il revient finalement au Premier Consul Napoléon Bonaparte de régler ce conflit. Le retour de la paix en mer impliquera en 1804 la vente du très vaste territoire de Louisiane. La Quasi-Guerre contraint enfin le gouvernement fédéral à lancer l’US Navy.

Les États-Unis remportent donc la Quasi-Guerre. Malgré leurs intentions isolationnistes, ils acquièrent un statut de puissance à la fois terrestre et océanique. Il est néanmoins dommage qu’Éric Schnakenbourg n’explique pas qu’un troisième conflit – la Seconde Guerre d’Indépendance contre la Grande-Bretagne (1812 - 1815) - fort bien étudié par Sylvain Roussillon en 2012, va accélérer les ambitions géopolitiques des États-Unis. Ils s’intéresseront bientôt à tout l’hémisphère occidental. Il en découlera - au-delà d’une fermeture formelle et partielle (les intérêts économiques priment sur les intérêts étatiques) - la doctrine Monroe en 1823, puis la « Destinée Manifeste » vers 1845. La Quasi-Guerre confirme surtout que la plus grave erreur de Louis XVI fut d’intervenir aux côtés des Insurgents américains.   

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°106, mise en ligne le 12 mars 2024 sur Radio Méridien Zéro.

23:38 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du Chaos

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13:45 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 15 mars 2024

À quatre jour du 19 mars, soixante-deux ans après le cessez-le-feu en Algérie, une réflexion, en passant…

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Synthèse nationale

Hier, jeudi 14 mars, sur Cnews, à L’heure des Pros. Question du magistrat honoraire Philippe Bilger à Pascal Praud : « À partir de quand, Pascal, à votre avis, la dénonciation absolue de la barbarie du 7 octobre, accompagnée de la demande d’un cessez-le-feu, peut n’être pas qualifiée de soutien à la cause palestinienne ? » Réponse de l’intéressé : « C’est le mot "cessez-le-feu" qui pose problème. Est-ce que vous cessez le feu avec une organisation terroriste ? (…) Le mot "cessez-le-feu" a en lui-même une ambiguïté »…

Pour mémoire, cette position était celle des partisans de l’Algérie française qui refusaient tout idée de négociation et, plus encore, de cessez-le-feu avec le FLN qui, alors, quelques décennies avant le Hamas, utilisait déjà l’islam et la terreur comme des armes au service de sa cause. On connaît la suite : le gouvernement gaulliste a négocié, a conclu un cessez-le-feu avec les fellagas et leur a finalement abandonné le territoire.

Soixante-deux ans après la fin de la « sale guerre », il est tout de même curieux de voir aujourd’hui cette compréhension pour la position de l’État d’Israël (parfaitement compréhensible) alors même qu’il continue d’être de bon ton de pourfendre celle des partisans du maintien de la France en Algérie…

En fait, cette contradiction trouve son explication dans une formule : « Malheur aux vaincus ! »… Les perdants ont toujours tort. Ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire…

20:43 Publié dans Didier Lecerf | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Interview d'Emmanuel Macron : une prestation pitoyable et grotesque.

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Retenez-moi ou je fais un malheur !

Synthèse nationale

Prisonnier de sa posture jusqu’au-boutiste, plus matamore que matador, un chiffon rouge dans une main, en guise de muleta, et un cure-dents dans l’autre, en lieu d’épée : Emmanuel Macron est apparu hier au soir, une fois de plus, dans sa criante, sa cruelle vérité. Celle d’un moulin à paroles creuses et à formules alambiquées qui prend ses désirs pour des réalités, brasse de l’air et, en fin de compte, ne produit que du vent.

Sa France, financièrement dans le rouge, est en quasi-faillite. Elle est l’un des États européens les plus désindustrialisés. Son taux de chômage reste à un niveau inquiétant. Son agriculture est au bord de l’asphyxie. Elle se révèle incapable de reprendre la main en matière d’immigration et sa communauté nationale se divise, se délite. Le wokisme abrutit ses universités et grandes écoles. Une partie de ses flics et de ses profs déclarent vivre désormais dans la peur. Une partie de ses maires jettent l’éponge. Ses banlieues menacent en permanence de s’enflammer au moindre prétexte tandis que des mafieux en noir y règlent leurs comptes à la kalachnikov. Son armée, dont le budget a jusqu’ici servi de variable d’ajustement, se trouve réduite à la portion congrue ; matériellement échantillonnaire,  manquant de munitions, sans véritable réserve, elle est incapable pour l’heure de faire face à une guerre de haute intensité… Et notre omniprésident, omniprésent, omniscient, omnipotent, nous parle de « fin de l’insouciance », de « guerre existentielle », de « sécurité des Français qui se joue en Ukraine ». Il nous enjoint d’être forts et de ne fixer aucune limite à notre soutien à Kiev…

Cette détermination feinte, ce virilisme de pacotille, ces coups de gueule surjoués, qui inquiètent notre population et nos alliés bien plus qu’ils ne les galvanisent, doivent bien faire rire à Moscou… Pathétique et grotesque : que dire, que retenir d’autres de ces trente-six minutes d’entretien ? Décidément, les trois années à venir vont être bien longues…

15:42 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Du Donbas à Gaza

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Certes me direz-vous le conflit israélo-palestinien nous concerne moins que le conflit qui oppose l’Ukraine à la Russie. Sauf que ce conflit entre juifs et palestiniens ne manque pas de répercussions dans notre pays où vivent plusieurs millions d’immigrés d’origine arabe et de confession musulmane. Qui restent plutôt calmes pour le moment. Macron préférant se focaliser sur les dangers que représentent les mouvements dits d’extrême droite où quelques dizaines de cinglés s’agitent… sans grand péril en la demeure. Non, ce qui retient notre attention, c’est bien la différence de nature de ces deux conflits. Là où les juifs entendent éradiquer le Hamas, ils détruisent non seulement les villes de la bande de Gaza mais encore affament des populations qu’ils sont en train de clochardiser. Le premier ministre Netanyahu n’écoute même plus les injonctions de son souteneur américain d’arrêter le massacre dans la bande de Gaza et de lever le pied.

Tout autre est la guerre en Ukraine où deux armées régulières se font face, où les attaques contre des civils ne sont en rien frontales. En Ukraine les populations ne sont pas affamées et les Ukrainiens continuent de vendre leur blé – entre autres – au reste du monde. On pourrait ajouter que les intérêts européens se situent nettement plus du côté de la Russie que de ce Moyen Orient où l’unique enjeu est le pétrole. Si Monsieur Macron avait un peu de bon sens, de la culture et savait lire une carte, au lieu de jouer les va-t-en-guerre, il engagerait les Européens de suggérer à Zelensky de rechercher les voies de la négociation plutôt que d’envoyer ses compatriotes au casse-pipe pour le seul profit des intérêts américains. En attendant, Natacha Polony dresse avec justesse un panorama du drame qui se joue à Gaza et des questions qui ne manquent pas de se poser.

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Source : Marianne 14/2/2024

14:35 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 14 mars 2024

Espagne : Près de 400 factieux indépendantistes catalans amnistiés par les Cortes

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Michel Festivi

Comme je l’annonçais la semaine dernière la loi d’amnistie exigée par Carles Puigdemont (en photo ci-dessus) le chef des indépendantistes catalans qui avait entraîné un mouvement considérable contre l’État espagnol, sa constitution et ses institutions vient d’être votée par 178 voix contre 172.

L’examen de la loi va désormais passer au Sénat dominé par le Parti populaire, mais malgré l’opposition de la chambre haute qui tentera de retarder l’application du texte, la loi sera sans doute entérinée définitivement fin mai selon les observateurs.

Cette mesure qui permet de blanchir même les actes de terrorisme et de trahison, et qui ne faisait pas partie du programme du PSOE (Parti socialiste ouvrier espagnol) du Premier ministre Pedro Sanchez en juillet 2023, au moment des élections législatives, constitue un détournement total du droit pénal espagnol au profit des seuls critères du droit européen comme l’ont reconnu les députés Junts, parti indépendantiste catalans, eux-mêmes lors du débat avant le vote, se félicitant de la conformité de ces dispositions au droit européen.

Alberto Feijoo le leader du Parti populaire, le premier parti aux Cortes a eu beau dénoncer la soumission de Sanchez aux indépendantistes catalans, et Santiago Abascal le chef de Vox (droite nationale espagnole) « un cas de corruption », rien n’y a fait. D’ailleurs Sanchez a refusé de participer aux débats, arrivant dans l’hémicycle juste avant le vote. Cette attitude hautaine et méprisante lui est habituelle.

Le 30 janvier, les sept députés Junts avaient refusé de voter la loi qui n’incluait pas les délits de terrorisme et de trahison. Immédiatement la plus haute instance judiciaire espagnole annonçait la reprise des poursuites contre Carles Puigdemont exilé en Belgique. Sanchez était donc soumis à une pression considérable des indépendantistes catalans.

Alberto Nunez Feijoo, président du Parti populaire, a pourtant dénoncé toujours et encore, comme Vox, la division de l’Espagne ainsi « qu’une absence absolue de conviction et de scrupules » de la part de Sanchez, et, comme en écho, un député catalan, Joseph Cervera rappelait au Premier ministre que de toute façon « le conflit politique entre la nation catalane et la nation espagnole existe toujours ». Comme quoi les indépendantistes catalans n’ont strictement aucune reconnaissance envers le PSOE, qui pourtant a fait exactement ce qui lui était demandé, le doigt sur la couture du pantalon. Jamais un tel exemple de soumission électoraliste n’avait été à ce point enregistré.

Cette affaire qui secoue grandement l’Espagne intervient de surcroît dans un climat délétère de plaintes nombreuses contre divers barons socialistes dont la présidente actuelle des Cortes Armengol, qui était alors présidente des Baléares jusqu’en mai 2023, pour des faits de prévarications lors de la crise sanitaire dans le cadre de marchés publics qui auraient été frauduleux.

Des élections auront lieu prochainement au Pays basque puis à l’automne en Catalogne. Il y a fort à parier que les indépendantistes de ces deux régions vont encore progresser. A moins que les élections européennes de juin ne rebattent les cartes pour la Catalogne ? L’éclatement de la nation espagnole n’a jamais été aussi proche. Cela contaminera-t-il d’autres pays européens comme la France ? Rien n’est moins impossible.

18:55 Publié dans En Europe et ailleurs..., Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Arrestations de militants identitaires : a-t-on encore le droit de faire de la politique nationaliste en France ?

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Xavier Eman

Gérald Darmanin poursuit inlassablement sa politique de répression visant les mouvements patriotes, catholiques et identitaires. C’est d’ailleurs le seul domaine où il se montre efficace, et même implacable.

Le ministre de l’intérieur a ainsi demandé l’ouverture d’une enquête, sur la base de l’article 40, pour des soupçons de reconstitution de ligue dissoute. Suite à cette décision, 12 militants du mouvement « Argos » ont été interpellés et 4 sont actuellement recherchés. Leur crime ? Faire partie d’un groupe politique présentant des ressemblances avec « Génération Identitaire », mouvement (honteusement) dissout en mars 2021 en Conseil des ministres. Sur cette base, le ministre de l’intérieur a donc décidé de mobiliser d’importants moyens judiciaires et policiers pour organiser l’arrestation de ces militants patriotes.

Voilà quelles sont les priorités de nos autorités dans un pays qui croule sous la délinquance et la criminalité et où l’insécurité la plus barbare règne sur des pans entiers du territoire !

Revenons par ailleurs sur ces fameuses « ressemblances » qui valent à ces jeunes gens d’être traités comme des criminels. Selon une source proche du dossier, citée par BFM TV, le groupe « Argos » serait accusé « de poursuivre les mêmes buts » que le mouvement dissout. Quels buts ? S’opposer à l’immigration de masse ? Dénoncer les conséquences néfastes de celle-ci sur la société ? Défendre la culture et l’identité française et européenne ?

Mais ne sont-ce pas là les « buts » de toute structure nationaliste et patriote digne de ce nom ? Et dans ce cas la tentative de criminalisation d’Argos n’est-elle pas de facto une tentative d’interdiction de tout discours critique sur l’immigration et, au final, de tout engagement identitaire ?

C’est pourquoi ces nouvelles interpellations n’ont rien d’anecdotiques et que les patriotes, de tous âges et de toutes obédiences, auraient bien tort de s’en désintéresser au prétexte qu’elles ne concernent qu’un « groupuscule ». Car ce crescendo de répression n’est rien de moins que la remise en cause progressive des libertés politiques dans notre pays et ce glissement autoritaire pourrait bientôt atteindre des structures ou partis qui se croient aujourd’hui « à l’abri », à tel point qu’ils en viennent même parfois à hurler avec les loups. Calcul peu digne et fort dangereux car lorsque le « cordon sanitaire » ne suffit plus, on peut aisément le renforcer ou le remplacer par un « cordon judiciaire ».

Nos libertés fondamentales, de pensée et d’expression, ne peuvent pas être sacrifiées sur l’autel de considérations médiatiques ou électoralistes.

Le Nouveau Présent cliquez ici

18:13 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

J’espère que Macron ne va pas commémorer le 19 mars 1962 !

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Manuel Gomez

Je veux espérer que le Président Macron ne prendra pas la décision de commémorer le 19 mars 1962, comme le fit en son temps François Hollande, et cela pour plaire au Président algérien Tebboune qui nous rendra visite, paraît-il, en septembre ou octobre.

Le 19 mars 1962 et les « Accords d’Évian » ne peuvent être considérés comme la fin de la guerre d’Algérie mais uniquement comme « le cessez-le-feu » de notre côté et non pas de celui de nos ennemis, le FLN et l’ALN qui, eux, ont poursuivi les enlèvements, les exécutions, les assassinats de civils innocents, de jeunes militaires, alors que nos forces armées restaient « l’arme au pied ».

Et surtout si ces commémorations sont proposées sous les conseils de ce soi-disant historien, Benjamin Stora.

Cette année la France pourrait à la rigueur fêtée le 62e anniversaire de « la fin de la guerre d’Algérie » mais non pas de « l’indépendance de l’Algérie », laissons ce souvenir aux Algériens, il ne nous concerne pas !

Il y aurait, paraît-il, un « dossier mémoriel » qui causerait bien des soucis au président de la République, Emmanuel Macron, et à son gouvernement. Qu’on le rassure, qu’on les rassure : « On s’en bat les « lucioles » de vos repentances mémorielles !

Après la méprisante « génuflexion » d’Emmanuel Macron, lors de sa déclaration (« La colonisation fut un crime contre l’humanité »), le président a beaucoup à se faire pardonner, bien que, en ce qui me concerne, il n’aura jamais « mon pardon » car, depuis son élection, lui et les siens n’ont jamais cessé de donner des gages de repentance aux Algériens :

- La responsabilité de l’armée française dans la mort du militant communiste Maurice Audin, complice de nos ennemis et traître à sa patrie.

- Les crimes inexcusables, comme lors de la manifestation du 17 octobre 1961, ce « mensonge d’État », cette mascarade organisée de toutes pièces par le Parti communiste en accord avec le FLN.

Jamais un mot, une seule parole, pour honorer les dizaines de milliers de victimes du FLN et de l’ALN depuis le 1er novembre 1954 et jusqu’en juillet 1962.

Nous n’attendons, ni ne souhaitons, aucune reconnaissance de l’État actuel, ni des précédents d’ailleurs. Le « conflit des mémoires » est le cadet de nos soucis.

Nous savons qui furent les responsables de cette première « fracture » entre la métropole et les départements d’Algérie, concernant l’envoi des « Appelés » du contingent afin de « défendre ces colons milliardaires » : Guy Mollet et son gouvernement socialiste.

Nous savons la responsabilité de la France de l’époque concernant la fusillade du 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger, ordonnée par le ministre de l’Intérieur Christian Fouchet, sur ordre de De Gaulle.

Nous savons la responsabilité de la France de l’époque concernant le « massacre des innocents » dans les semaines qui ont précédé et suivi ce 19 mars et jusqu’au 5 juillet 1962 à Oran et le déshonneur de l’armée française « aveugle et invisible » par ordre du général Katz et du chef de l’État !

Vos « repentances mémorielles » vous pouvez les ranger « où je pense », monsieur le président et messieurs les ministres, nous n’en n’avons que faire.

- Le président Abdelmajib Tebboune réclame à notre pays les « souvenirs » que nous avons conservé de l’émir Abd el-Kader. Ne serait-il pas souhaitable de lui rappeler que ce patriote algérien a découvert la France, après sa défaite, et l’a adoptée jusqu’à la servir et cela comme la majorité des millions d’Algériens qui ont fui l’Algérie (et sa République populaire mais certes pas démocratique) ces dernières décennies !

Riposte laïque cliquez ici

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Ukraine : entretien avec Alexei Pouchkov

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Il n’est pas un seul militaire digne de ce nom qui oserait affirmer que l’armée ukrainienne serait en mesure de bouter les Russes hors de la région du Donbas qu’elle occupe solidement. Alors que les Américains semble se retirer du jeu, que les Européens doutent de plus en plus – sauf minus Macron saisit d’ukrainie subite – et que l’on peut lire tout et n’importe quoi dans la presse, Valeurs actuelles a pris l’heureuse initiative  d’interroger Alexei Pouchkov, ancien président, entre autres, de la commission des Affaires étrangères de la Douma, pour faire le point et dresser un état des lieux à ce stade du conflit. Il est par ailleurs l’auteur d’un ouvrage, le Jeu russe sur l’échiquier global (OMD éditions).

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Source : Valeurs actuelles, 14/03/2024

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Lancement d'une nouvelle revue catholique : "Caritas", la revue du Pays réel

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Saluons la naissance d’une toute nouvelle revue de qualité, Caritas, la revue du pays réel, et la parution prochaine de son premier numéro de 86 pages. Le numéro 1 sera consacré à la lutte contre la haine anticatholique. Article d'Alain Escada.

Pour en savoir plus cliquez ici

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mercredi, 13 mars 2024

Les élections européennes du 9 juin prochain : quelques enseignements du dernier de sondage Ipsos.

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Cette enquête d’opinion réalisée du 1er au 6 mars pour Le Monde, le Cevipof, la Fondation Jean Jaurès et l’Institut Montaigne nous offre un aperçu de la situation et du rapport de force actuels, à trois mois des élections européennes (trois mois durant lesquels beaucoup de choses peuvent changer).

Premier enseignement : le taux de participation devrait se situer dans la moyenne (faible) des précédentes élections européennes : pour l’heure, seules 44% des personnes interrogées déclarent avoir l’intention d’aller voter. Pour rappel, en 2019, 50% des inscrits se sont rendus dans les bureaux de vote contre 42,4% en 2014 et 40,6% en 2009…

Deuxième enseignement : cette faible participation, si elle se confirme, promet de nouveau un nombre de suffrages exprimés des plus réduits : entre 40 et 42% des électeurs inscrits (ce qui, une fois de plus, devrait poser le problème de la représentativité des futurs élus, puisque 58 à 60% des inscrits n’auront pas voté pour eux).

Troisième enseignement : comme pour les élections précédentes, les 60 ans et plus apparaissent comme les plus disposés à se rendre aux urnes : 58% ont l’intention de voter (55% des 60-69 ans et 62% des 70 ans et plus), contre 29,5% des 18-34 ans (soit deux fois moins).

Quatrième enseignement : parmi les personnes déclarant être certaines d’aller voter et exprimant une intention de vote, 31% choisissent le RN, 18% la liste macroniste, 11,5% celle du PS, 8,5% celle des verts, 7% celle de LFI, 7 % celle de LR, 5% celle de Reconquête, 3,5% celle du PCF et 2,5% celle de Debout la France…

Cinquième enseignement : parmi ces mêmes personnes déclarant être certaines d’aller voter et exprimant une intention de vote, 32% choisissent une liste clairement située à gauche ou à l’extrême gauche, 18% optent pour la liste macroniste et 46,5% pour une liste située en principe à droite (RN compris)…

Sixième enseignement : parmi les 18-24 ans déclarant être certains d’aller voter et exprimant une intention de vote, plus de la moitié (52%) choisissent une liste de gauche ou d’extrême gauche (35% se prononçant pour les verts et LFI ; 15% pour le PS et le PCF…), 31% optent pour le RN (faisant de sa liste la première dans cette classe d’âges), 6% se tournent vers LR, 4% choisissent la liste macroniste et 3% celle de Reconquête…

Septième enseignement : parmi les 18-34 ans déclarant être certains d’aller voter et exprimant une intention de vote, 45% se prononcent en faveur d’une liste de gauche et d’extrême gauche (29% pour les verts et LFI), 32,5% choisissent le RN, 8,5% la liste macroniste, 4,5% celle de LR et 3% celle de Reconquête…

Huitième enseignement : parmi les 60 ans et plus déclarant être certains d’aller voter et exprimant une intention de vote, 27% se prononcent en faveur d’une liste de gauche et d’extrême gauche (dont la moitié pour celle du PS), 27,5% choisissent le RN, 24% la liste macroniste, 9% celle de LR et 5,5% celle de Reconquête…

Neuvième enseignement : la liste RN réalise ses meilleurs scores parmi les 25-59 ans (35,5% en moyenne, contre 31% des 18-24 ans et 27,5% des 60 ans et plus), et parmi les ouvriers et les employés (50,5% en moyenne, contre 23,5% des cadres et des professions intermédiaires). En revanche, la liste Reconquête réalise ses meilleurs scores parmi les 50 ans et plus (5,5% en moyenne, contre 3% des 18-49 ans) et attire la même proportion (à peu près) de cadres, de professions intermédiaires, d’employés ou d’ouvriers (5% en moyenne pour les deux premières catégories, contre 4% en moyenne pour les deux dernières).

Dixième enseignement : la liste RN attire 58% des ouvriers déclarant être certains d’aller voter et exprimant une intention de vote ; ce qui, pour cette catégorie socio-professionnelle, la place loin devant celles des macronistes, des verts (7% des ouvriers chacune), de LFI (6%), du PS (5%) ou de Reconquête (4%)…

Onzième enseignement : la liste Reconquête attire deux fois plus d’ouvriers et d’employés (4%) que celles du PCF et de Lutte ouvrière (2% chacune en moyenne).

Douzième enseignement : un peu plus d’un quart (26%) des retraités déclarant être certains d’aller voter et exprimant une intention de vote choisissent le RN ; un deuxième quart opte pour Macron ; et un troisième pour le PS et l’extrême gauche (les verts, LFI, le PCF) ; 10% choisissent LR ; et 6% Reconquête…

En conclusion : pour les nationaux et nationalistes, le 9 juin, une seule liste, celle de Reconquête menée par Marion Maréchal !

En matière d’élection, comme en tout autre matière d’ailleurs, la macronie aime aller au plus facile. Son conformisme bien-pensant, son manque d’imagination et de courage la portent naturellement à se tourner vers les vieilles recettes, même les plus éculées. À trois mois des prochaines élections européennes, la voici donc qui, une nouvelle fois, déploie la tactique en deux temps à laquelle elle a déjà eu recours à l’occasion des précédents scrutins.

  1. Elle s’emploie à imposer l’idée que tout se joue entre elle-même et le RN.

  2. Elle s’efforce de « rediaboliser » ce dernier.

L’objectif de la manœuvre est clair. D’une part, provoquer un réflexe de « vote utile » en faveur des deux adversaires présentés comme étant les « principaux », afin de marginaliser tous les autres. D’autre part, susciter la peur dans une partie de l’électorat, avec l’espoir de se renforcer au détriment du parti de Marine Le Pen et de Jordan Bardella… La ficelle est un peu grosse mais puisqu’elle a déjà servi avec succès pourquoi ne pas nous en remettre une couche…

Pour notre part, nous ne marchons pas ! Les européennes sont en effet des élections à un seul tour, au scrutin de listes à la proportionnelle (à la plus forte moyenne). Ce qui signifie que la notion de « vote utile » n’a ici aucun sens. À condition de franchir la barre des 5%, toutes les voix obtenues permettent d’avoir des élus et donc de faire représenter ses idées au sein du Parlement européen. Il ne s’agit donc pas de voter pour la liste qui paraît la mieux placer face à celles que l’on veut contrecarrer mais de voter pour ses idées, pour la liste qui les incarne le mieux, c’est-à-dire, en ce qui concerne les nationaux et les nationalistes, pour celle de Reconquête menée par Marion Maréchal !

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La dernière Darmarinade : 14 anciens militants de Génération Identitaire arrêtés !

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Lucette Jeanpierre Riposte laïque cliquez là

Gérald Darmanin, dit Moussa, aurait-il mal supporté que nos amis des Bobards d’Or se soient payé sa tête en le récompensant pour la brillante saison qu’il nous a faite, depuis les supporters anglais du Stade de France et les Kevin et Mattéo des émeutes, sans oublier d’autres exploits et notamment son épouvantable bilan, pour les Français, qu’il est payé pour protéger ?

Les amis de Jean-Yves Le Gallou ont donc inventé le mot “Darmarinade” pour évoquer les prouesses de Moussa. Celui-ci vient de justifier ce nouveau qualificatif en faisant arrêter quatorze anciens membres de Génération Identitaire, à Paris, à Lyon et en Savoie. Cliquez ici

Ont-ils attaqué des policiers, ou des adversaires politiques, comme le font régulièrement les gauchistes ? Ont-ils menacé de commettre des attentats, comme le font régulièrement les islamistes ? Ont-ils saccagé un centre-ville, comme le font systématiquement les casseurs de gauche, en toute impunité ? Ont-ils menacé la tenue des Jeux olympiques prochains ? C’est encore plus grave. Ils sont accusés de reconstitution d’association dissoute, rien de moins. Quelques-uns auraient créé une association, l’Argos, qui entre autres est allée apporter son soutien à Cherbourg à une jeune Française, Mégane, sauvagement violée avec un manche à balai par Oumar, une Chance pour la France multirécidiviste.

On parle également – mais cela n’est pas confirmé à cette heure – d’autres militants d’une association, l’Asla, qui soutient les lanceurs d’alerte. Faut-il rappeler que la dissolution, honteuse et scandaleuse, de Génération Identitaire, n’a été justifiée par aucune violence, mais qu’il est tout simplement reproché à ces militants d’aimer leur pays, de défendre ses frontières et de réclamer que les droits sociaux soient réservés en priorité aux Français. Dans cet esprit, ils ont dénoncé SOS Méditerranée et l’invasion sauvage organisée dans notre pays et dans toute l’Europe, et l’impunité du racisme anti-blanc. Il paraît que tout cela constitue un délit qui vous classe en dehors des valeurs de la République, et mérite, sous le règne de Macron et de Moussa, la dissolution.

Faut-il rappeler le contexte dans laquelle ces opérations de basse police se déroulent ? Nous sommes à quelques mois des Jeux olympiques, qui inquiètent de plus en plus, par les risques qu’ils comportent, et la légèreté de l’homme de Beauvau, selon de nombreux spécialistes. Dans le dernier Journal du Dimanche, des policiers s’inquiétaient notamment du recrutement de certains réservistes qui ont davantage un profil de terroriste que de policier ! On pourrait penser que l’ensemble des forces de police, dans ce contexte, est mobilisé pour surveiller les islamistes et les gauchistes, les seuls fauteurs de troubles possibles. Nous avons la preuve qu’il n’en est rien. Combien de policiers ont-ils été mobilisés pour écouter ces jeunes patriotes, les suivre, les surveiller, et finalement les arrêter ? Autant d’heures qui n’auront pas été utilisées contre les islamistes ! C’est tout simplement criminel, c’est de la non-assistance à peuple français en danger.

Depuis un an, Darmanin a accéléré la répression contre la mouvance patriote et identitaire. Au lendemain d’une manifestation en hommage à un militant nationaliste, Sébastien Deyzieu, Darmanin, sous la pression de la gauche, a sorti une circulaire liberticide, ordonnant à ses préfets d’interdire tout rassemblement “incitant à la haine”. Avec une telle circulaire, les rassemblements de Callac, Saint-Brevin, Bélâbre, Beyssenac, La Roche-sur-Yon et autres n’auraient jamais eu lieu.

Les décisions les plus invraisemblables, prenant des libertés avec l’État de droit dont ils se réclament, ont été prises. Des manifestations ont été interdites, comme celle de l’Action française, mais à chaque fois, le tribunal administratif désavoue le pouvoir, qui remet en cause un droit fondamental des libertés publiques, celui de se réunir, et de manifester. Mais il faut pour les associations financer un référé, qui coûte cher. On a même interdit à l’Iliade d’honorer, dans un lieu privé, la mémoire de Dominique Venner.

Darmanin a ensuite multiplié les dissolutions, avec des prétextes grotesques. Civitas s’est vu reprocher une phrase tenue par Pierre Hillard, qui n’est même pas membre de cette association, et se voit dissous en conseil des ministres pour antisémitisme, rien de moins ! Quand on entend les propos des députés Insoumis, de NPA et des pro-palestiniens qui, en toute impunité, comparent Israël à l’Allemagne nazie, on mesure encore plus le côté arbitraire d’une telle décision.

Comme si cela ne suffisait pas, c’est ensuite une association sans histoire, Academia Christiana, que Moussa, veut dissoudre. Cela se déroule dans un contexte où ce régime harcèle CNews, et où une commission parlementaire digne des procès de Moscou, impulsée par les Insoumis, a sommé la chaîne de rentrer dans l’ordre. Une quarantaine de jeunes ont voulu rendre hommage à Brasillach, ils ont passé 24 heures en garde à vue, et 48 heures pour celui présenté comme leur chef, Marc de Cacqueray-Valmenier. Notre site croule sous les plaintes (12 procès en attente), un de nos contributeurs, Charles Demassieux, a été placé à deux reprises en garde à vue, avec son matériel informatique espionné, tandis que notre fondateur, Pierre Cassen, a subi sa deuxième perquisition en sept ans, avec confiscation de tout son matériel informatique et téléphonique. Notre fondateur craint un coup tordu du pouvoir, et pense qu’il veut en finir par tous les moyens avec notre site. Rose Martin vient de prendre une plainte de la part du procureur de Rennes, Astruc, et d’un maire écolo, qui ont organisé une lecture pour enfants dans une bibliothèque municipale, effectuée par des drag queens. De jeunes militants identitaires de Rennes ont organisé une protestation pacifique. Le responsable a été condamné à 4 mois de prison ferme simplement pour avoir fait un discours expliquant pourquoi il était en désaccord avec l’attitude de la municipalité. Le procureur Astruc – encore lui – qui a la réputation d’un grand laxisme avec les racailles, en réclamait six ! Nos amis de Polemia ont dû changer de salle pour pouvoir tenir leur 15e Bobards d’Or, sous la pression du maire socialiste de Paris, soutenu par le sénateur communiste Ian Brossat. Et nos députés n’ont rien trouvé de mieux que de voter une loi qui criminalisera tout propos privé jugé haineux ! Sans oublier que Pierre Cassen vient d’être condamné, même avec du sursis, de manière ridicule… pour avoir donné des conseils de féminité à une avocate gauchiste, présidente de la LDH de Montpellier.

Voilà la France dans laquelle Darmanin nous entraîne tous les jours un peu plus. Des intimidations, des arrestations, des dissolutions, des perquisitions qui n’ont qu’un but : faire taire par tous les moyens la mouvance patriote et identitaire, quand les racailles et les migrants terrorisent les Français et multiplient les agressions et que les milices gauchistes, bras armés du régime, agissent en toute impunité, protégés par Darmanin.

Bien évidemment, chaque patriote doit apporter toute sa solidarité et tout son soutien aux militants politiques harcelés et pourchassés par ce régime de plus en plus totalitaire.

Le dossier de Darmanin s’alourdit passablement et le jour où il va passer devant un tribunal pour rendre des comptes sur son action au ministère de l’Intérieur, on lui souhaite de prendre de bons avocats. Et Dupond-Moretti ne sera pas disponible, car il sera dans le box avec lui, et beaucoup d’autres.

Pour informations sur le liberticide Darmanin :

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Samedi 6 avril, à Dunkerque : banquet de la Fédération du Nord du Parti de la France

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Samedi 6 avril, le Parti de la France organise un repas militant à Dunkerque (59) en présence de Thomas Joly, Président du Parti de la France, Maxime Leroy, Délégué régional du PdF, et Victor Jan de Lagillardaie, membre du Bureau politique du PdF.
 
Au menu : Welsh/Carbonade/Brioche perdue. PAF : 36 €.
Inscription obligatoire : pdfdunkerqueflandre@gmail.com
 
RAPPEL :

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mardi, 12 mars 2024

Général Harald Kujat à Berlin sur la guerre en Ukraine et le changement géopolitique

Peu avant le début de la Conférence de sécurité de Munich (MSC), l'ancien Inspecteur général de la Bundeswehr et président du Comité militaire de l'OTAN, Harald Kujat, a donné une conférence très suivie sur le thème : "La guerre en Ukraine, la rivalité des grandes puissances et l'affirmation de soi de l'Europe". L'invitation avait été lancée par le think tank "Eurasien Gesellschaft", qui se consacre, selon sa propre présentation, à une "coexistence pacifique et à des relations coopératives entre les pays de l'Eurasie".

Les NachDenkSeiten (Les sites critiques) étaient présents et ont filmé la conférence. Kujat, dans son discours, en plus d'une analyse complète de la situation militaire actuelle dans la guerre en Ukraine, a abordé des approches possibles de solutions, a regardé au-delà du cadre occidental-transatlantique et a également analysé le changement actuel vers un ordre mondial multipolaire ainsi que l'incapacité actuelle des élites européennes à s'adapter à ce changement.

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Avortement et euthanasie : Macron est devenu le croque-mort de la république

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Communiqué de Yann BALY, Président de Chrétienté-Solidarité

La cire ayant servi à sceller l’avortement dans la Constitution est à peine sèche que Macron-Néron annonce pour avril une loi visant à instaurer l’euthanasie et le suicide légal.

Plutôt que de mettre en place une véritable politique familiale et un vaste plan d’aide pour les mères isolées et en difficultés, la république macronienne, avec la complicité active des « oppositions » a inscrit le droit de tuer un enfant dans le ventre de sa mère comme norme suprême.

Au lieu de s’occuper sérieusement de notre système de santé en perdition et spécialement de développer, sur l’ensemble du territoire, les unités de soins palliatifs dont notre pays manque cruellement, les mêmes s’apprêtent à voter une loi qui réglera le problème des patients incurables par la mort chimiquement imposée.

Macron est devenu le croque-mort de la république. De panthéonisation en scellement constitutionnel, par ses gestes, son regard noir, ses tenues, il joue parfaitement et avec délectation ce rôle de garçon de chambre mortuaire.

Feu La République en Marche est devenue un corbillard et Renaissance un rassemblement de franche camaraderie.

Pour ces prochaines échéances mortifères, Macron sait qu’il pourra compter sur les oppositions fantoches qui, elles aussi, ont oublié le goût de la liberté et de la vie. Quand on a une opposition comme cela, on n’a vraiment pas besoin de majorité !

Puisse le peuple français se réveiller et sortir de ce cauchemar qui le mène à sa perte.

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Michel Onfray parle de l'Europe

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Soyez rassurés, la macronie trouve des solutions...

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Politique Tyrannie républicaine. Bientôt la Police à votre domicile et une amende pour une blague jugée raciste en privé ?

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Mathieu Lefevre, député #Renaissance du 94 : grâce à sa proposition de loi adoptée à l’unanimité de l’Assemblée nationale vous pouvez aller en PRISON ou être soumis à RÉÉDUCATION pour une simple BLAGUE prononcée en PRIVÉ (si elle est présumée raciste, homophobe ou islamophobe)

Jean-Yves Le Gallou

 

Source Breizh Info cliquez ici

Les députés qui font les lois à l’Assemblée nationale ont été élus par une minorité de Français. Mais ils s’appliquent, à grande vitesse, à tricoter un arsenal de lois toutes aussi folles les unes que les autres. Dernier exemple en date de tyrannie républicaine, l’adoption, en première lecture (avant passage au Sénat donc), d’une « PROPOSITION DE LOI visant à renforcer la réponse pénale contre les infractions à caractère raciste, antisémite ou discriminatoire »

Une proposition de loi déposée par le député Mathieu Lefèvre, député Renaissance de la 5ème circonscription du Val de Marne. Elu en 2022 avec 23 010 voix (sur 90 000 inscrits sur les listes électorales dans la circonscription, c’est à dire en réalité qu’il peut voter et faire voter des lois en ne représentant que moins d’un quart des électeurs de sa circonscription, selon la loi républicaine française).

Il s’agit de modifier le code pénal, et notamment le chapitre V du titre II du livre II en créant un une section 3 ter ainsi rédigée : « Section 3 ter « Des provocations, diffamations et injures non publiques présentant un caractère raciste ou discriminatoire « Art. 225-16-4. – La provocation non publique à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée est punie d’une amende de 3 750 euros. « Est punie de la même peine la provocation non publique à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes en raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, vraie ou supposée, ou de leur handicap ainsi que la provocation non publique, à l’égard de ces mêmes personnes, aux discriminations prévues aux articles 225-2 et 432-7. « Lorsque les faits mentionnés aux premier et deuxième alinéas du présent article sont commis par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, les peines sont portées à un an d’emprisonnement et à 15 000 euros d’amende. « Art. 225-16-5. – La diffamation non publique commise envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie,          Commenté [Lois1]: amdt n° 1 – 3 – une nation, une prétendue race ou une religion déterminée est punie d’une amende de 3 750 euros. « Est punie de la même peine la diffamation non publique commise envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, vraie ou supposée, ou de leur handicap. « Lorsque les faits mentionnés aux premier et deuxième alinéas sont commis par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, les peines sont portées à un an d’emprisonnement et à 15 000 euros d’amende. « Art. 225-16-6. – L’injure non publique commise envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée est punie d’une amende de 3 750 euros. « Est punie de la même peine l’injure non publique commise envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, vraie ou supposée, ou de leur handicap. « Lorsque les faits mentionnés aux premier et deuxième alinéas sont commis par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, les peines sont portées à un an d’emprisonnement et à 15 000 euros d’amende.

Vous ne rêvez pas. Avec cette proposition de loi, une simple blague raciste, en privé, chez vous, ou un propos jugé « offensant » ou « discriminatoire » par votre neveu en crise d’adolescence, pourrait vous valoir amende, et condamnation (et même prison si vous êtes dépositaire de l’autorité publique).

Nous fournirons bien entendu la liste, dès que nous l’aurons, de tous les députés qui se sont prononcés en faveur de cette disposition, une de plus, qui vise à pénétrer jusque dans vos foyers. En espérant que le Sénat soit un peu courageux désormais.

Nous reproduisons ici le fil Twitter de Xavier Van Lierde, journaliste à Radio Courtoisie, qui décrypte l’incroyable mécanisme liberticide derrière cette loi.

Je me suis infligé de regarder la séance de l’Assemblée nationale consacrée à l’examen de la loi proposant de faire des propos privés jugés discriminatoires, un délit. C’est un spectacle éprouvant tant il révèle la dérive liberticide et totalitaire de notre société.

1. TOTALITARISME
Pas un député pour s’inquiéter de l’extension du délit d’opinion à la sphère privée, alors que l’abolition de la frontière entre public et privé caractérise le totalitarisme. Preuve de cette dimension totalitaire, ces délits seront instruits sur… “délation” !

2. VERS LE TOUT DISCRIMINATOIRE
Pour faire passer en douce ce projet totalitaire, les députés mettent en avant la hausse de l’antisémitisme. Mais la loi vise en fait tous les propos prétendument discriminatoires : par exemple, les propos relatifs à l’orientation sexuelle.

3. EXEMPLE CONCRET
Un parent qui argumente en famille contre la “transition de genre” de son enfant au motif qu’un être humain ne peut changer de sexe pourra-t-il demain être poursuivi pour “propos discriminatoire” par l’association LGBT qui tient son enfant sous son emprise ?

4. POLICE DE LA PENSÉE
Comme les précédentes lois anti-discriminations, celle-ci ne vise pas seulement les “actes” mais les “propos”.
La conséquence inévitable est l’instauration d’une “police de le pensée” chargée de traquer les propos divergents jusque dans la sphère privée.

5. VERS UNE EXTENSION À TOUS LES SUJETS DE CONTROVERSE ?
Dès lors que cette intrusion dans la sphère privée sera validée, pourquoi ne s’étendrait-elle pas à d’autres sujets de controverses. Au hasard : les politiques sanitaires, les questions climatiques, géopolitiques…

6. CONCLUSION
Quelles que soient ses intentions (chaque député y mettra les siennes), cette loi enclenche une effroyable mécanique liberticide et totalitaire que tous les amoureux de la pensée libre devraient combattre de toutes leurs forces. On peut (encore) rêver…

 

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lundi, 11 mars 2024

Portugal :  La droite de conviction en très forte hausse

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Michel Festivi 

La droite de conviction a très largement augmenté ses résultats d’hier soir dans le cadre d’élections législatives anticipées. En 2022 Chega (assez en portugais) avait réalisé une percée avec 7,2% et 12 députés. Cette fois ci avec plus de 18% il obtient 48 sièges ce qui est considérable dans une assemblée composée de 230 députés la majorité étant fixée à 116 sièges. Cela est d’autant plus méritoire que cette formation politique est très récente.

André Ventura (en photo ci-dessus) le patron de cette droite forte et de conviction peut jubiler il obtient 10 points de plus et 36 députés de plus.

Toutes les autres formations ont subi d’une manière ou d’une autre un revers. Les socialistes d’abord empêtrés dans une affaire de corruption à l’origine de ces élections anticipées. Le PS portugais qui avait obtenu la majorité absolue en 2022 perd 43 députés et près de 14 points.

Le conglomérat du centre ensuite, l’alliance démocratique, même si elle devient le premier parti au parlement elle obtient seulement 79 sièges deux de plus seulement que les socialistes et ne pourra pas réunir même avec les libéraux de majorité absolue.

Luis Montenegro le chef de cette alliance démocratique s’est déjà tiré une balle dans le pied en annonçant il y a quelques semaines que jamais il ne s’associerait avec Chega. Décidément même au Portugal la droite molle reste la plus bête du monde. En 2015 les socialistes n’avaient pas hésité eux à s’associer avec les communistes et les extrêmes pour gouverner alors qu’ils étaient arrivés en seconde position.

L’important reste le score de Chega. Les sondages ne lui donnait pas plus de 16% au maximum , il a battu ces prédictions. Il faut dire que l’insécurité et l’immigration massive favorisées par huit années consécutives de gouvernement socialiste ont joué en sa faveur. Il devient l’arbitre de la situation politique désormais.

Le Portugal, il y a cinquante ans avait failli passer dans le camp communiste, suite à la révolution dite des œillets, bien mal nommée, c’était plutôt la révolution de la faucille et du marteau.

Ce résultat est une très bonne nouvelle et espérons qu’il anticipe un très bon score de toutes les droites de conviction en Europe le 9 juin prochain. C’est le souhait que l’on peut, que l’on doit former. Le Portugal semble se réveiller, gageons que cela se généralise.

À propos du Portugal, pour information :

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Pour le commander cliquez ici

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dimanche, 10 mars 2024

Le magnifique meeting de Marion Maréchal à Paris ce dimanche après-midi

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samedi, 09 mars 2024

RAPPEL : DEMAIN DIMANCHE, AU PALAIS DES SPORTS...

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Dimanche 7 avril, à Combourg (35) : grand Banquet du Parti de la France (Bretagne) avec Pierre Cassen, Roland Hélie et Pierre-Nicolas Nups

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Stand des éditions Synthèse nationale cliquez ici

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Le nouveau livre de Philippe Randa, "Coups d'oeil et tirs à vue", vient de paraître

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Un entretien avec l'auteur :

Dans vos XXIe chroniques barbares, vous ne semblez toujours pas sensible aux sirènes du Macronisme. Vraiment pas du tout ? Même pas un petit peu ?

Et encore moins que cela, si c’était possible… Et l’épisode tragicomique de la récente inauguration du salon de l’agriculture ne fait que confirmer ce que j’ai souvent écrit depuis l’entrée à l’Élysée de son locataire actuel ; sur lui et surtout sur la caste qui dirige depuis lors notre pays : ses représentants agissent avec un logiciel pas seulement obsolète, mais totalement erroné ; logiciel qu’ils ont acquis – ou plutôt reçu – dans les « grandes écoles » qu’ils ont hantées. Et d’ailleurs, la plupart en sont sortis avec des diplômes qu’ils doivent sans doute moins à leurs mérites personnels qu’à la cooptation de classe : la corruption, ça s’hérite autant que les comptes offshores ; certaines familles ont cela dans les veines comme d’autres avaient du sang bleu…

Logiciel erroné, c’est-à-dire ?

Quand vous ou moi faisons une erreur, quand nous nous trompons, quand nous essuyons un échec, nous assumons, payons la casse, réfléchissons et… ne refaisons pas la même erreur… Je me trompe ? Mais pas cette caste qui dirige la France (et pas que la France) ! Non, elle maintient le seul cap que son logiciel indique (jamais de mise à jour), ne pense jamais qu’elle a fait une erreur (sinon le logiciel le dirait), ne reconnaît jamais son échec (l’hypothèse n’est pas prévue), n’assume jamais les pots cassés (qui ne sont sans doute pour eux que des « sentiments de faillites » comme il y a des « sentiments d’insécurité » pour parodier le jovial Me Dupont-Moretti) et réfléchis encore moins pour comprendre pourquoi ça ne marche pas… et continue imperturbablement dans la même direction qu’indique leur vénéré logiciel.

Un logiciel qui est leur boussole, en quelque sorte…

Une boussole indique toujours le nord, comme on sait : le logiciel de cette caste indique, lui, toujours la direction de davantage de mondialisation, synonyme de profits. Comme l’alpha et l’oméga de la nature profonde de ces « diplomés-élus », c’est de générer toujours plus d’enrichissements personnels pour répondre à leur obsession de « mourir le plus riche de son cimetière », ils ne peuvent pas comprendre, et même percevoir, la réalité du quotidien de leurs compatriotes, ni les signes annonciateurs de guerres civiles – nous en sommes déjà quotidiennement ici et là aux guérillas –, et bien sûr de quelque choc de civilisation que ce soit… Cette caste fait penser – ô combien ! – à ces aristocrates de l’Ancien Régime dont la seule préoccupation, obsessionnelle elle aussi, était de parader à Versailles… Ce, au nom de leur particule héritée d’un lointain ancêtre qui, lui, s’était généralement distingué au péril de sa vie sur un champ de bataille… Et ce fut un jour la Révolution française alors même que personne, avant 1789 et même jusqu’en janvier 1793 et la condamnation à mort du Roi, n’avait même envisagé l’abolition de la monarchie. Pourtant, le 21 janvier 1793, Louis XVI était guillotiné. Cela devrait faire réfléchir tous ceux qui s’imaginent que la France restera éternellement une démocratie que le monde entier est censé nous envier.

Coups d’œil & Tirs à vue (Chroniques barbares XXI), Philippe Randa, Éditions Dualpha, préface d’Alain Sanders, 186 pages, 25 euros. cliquez ici

12:28 Publié dans Livres, Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Souvenez-vous, c'était le 9 mars 2014, Olivier Grimaldi nous quittait...

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Il y a 10 ans aujourd'hui, Olivier nous quittait. Pour celles et ceux, ses amis et camarades, qui l'ont connu et aimé, Olivier restera toujours présent à nos côtés. Nous ne pourrons jamais l'oublier.

Samedi 16 mars à midi, à Paris, une messe sera célébrée en sa mémoire. Nous nous y retrouverons tous pour l'honorer (1).

R H 

(1) Pour s'inscrire, écrire à cfh.grimaldi@free.fr

Voici l'article publié sur Synthèse nationale, le 9 mars 2014, après la disparition d'Olivier :

C'est avec une immense peine que nous vous annonçons le rappel à Dieu ce dimanche après-midi de notre Camarade et Ami Olivier Grimaldi.

Militant de la cause nationaliste depuis le début des années 1970, il avait participé à tous les combats historiques du mouvement. Catholique sincère, il a toujours défendu la Tradition. Au milieu des années 80, avec Hélène son épouse et quelques amis, il créa le Cercle Franco-hispanique (1) qui s'attache à faire connaitre l'Espagne nationaliste et le national syndicalisme de José Antonio Primo de Rivera dans notre pays.

Depuis près de deux ans, Olivier luttait avec un courage exemplaire contre la terrible maladie qui le rongeait. Celle-ci, hélas, a eu raison de lui dimanche après-midi.

Olivier nous a quittés entouré des siens. Il était notre Camarade, il était mon Ami. Nous nous sommes connus en 1978. C'était au siège du PFN, boulevard Sébastopol. Depuis, il s'est rarement passé plus d'une semaine sans que nous nous retrouvions pour passer un bon moment ensemble. J'ai toujours été impressionné par sa culture politique et historique et aussi par son humilité et son désintéressement. Toute sa vie il est resté fidèle à l'idéal nationaliste et jamais il n'a cherché à en tirer un quelconque avantage. Son honneur était d'être l'un des rares, si ce n'est peut-être le seul, Français décoré de la médaille de la Vieja Guardia.

Il venait d'avoir 61 ans vendredi dernier. Pour nous, Olivier sera toujours présent parmi nous.

Roland Hélie

(1) Le Cercle Franco-hispanique, grâce aux efforts d'Hélène son épouse, et de quelques amis, 10 ans après la mort d'Olivier, continue ses activités. Bel exemple de fidélité cliquer ici

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Souvenez-vous, c'était le 9 mars 1971, le Palais des Sports d'Ordre nouveau...

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Pour en savoir plus sur Ordre nouveau :

Réédition du livre

Ordre nouveau raconté par ses militants cliquez ici

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Le kitsch et le vide

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Vincent Tremolet de Villers

Milan Kundera définissait le kitsch comme « l’embellissement du mensonge ». Il était autorisé d’y songer devant la liturgie qui s’est déployée vendredi Place Vendôme. Un Terrien revenu de la Lune pouvait croire que la France était devenue le cinquante et unième État américain ou une nation entourée de pays défendant la mo- rale victorienne. Il aurait même été éberlué d’entendre le président de la République, comme en écho au discours de l’état de l’Union de Joe Biden, faire du droit à l’IVG le thème de lancement de la campagne des élections européennes. Paris n’est pas Washington, Marine Le Pen n’est pas Donald Trump, et personne, ni Maréchal ni Bellamy, ne remet en cause la loi Veil. Accessoirement, les sujets de société sont le propre des nations, ils n’entrent pas dans le spectre des compétences communautaires. Menace fantomatique, donc, qui prend le relais d’une menace bien réelle, la guerre en Ukraine. Laquelle aussi est abordée par l’Élysée dans une confusion dé- routante où l’escalade verbale et la tactique électorale s’entremêlent.

Si l’on veut une campagne européenne digne de ce nom, il faut donc d’urgence desceller le scrutin de la dialectique sommaire que la ma- jorité voudrait imposer : nous sommes le droit des femmes et la défense de l’Ukraine; les autres, c’est Trump, Orban, Poutine, Sauron ou Belzébuth. Si le propre du populisme, c’est d’évacuer la nuance, surjouer l’affrontement, caricaturer l’adversaire, cibler des ennemis imaginaires, il peut se retrouver chez ceux qui s’en croient préservés...

Pendant ce temps, notre Vieux Continent enchaîne les crises, agricoles, migratoires, démocratiques. Menacé par la volonté déstabilisatrice de la Russie, par la puissance numérique américaine, par la force commerciale chinoise, par la vitalité conquérante du «Sud global », il subit l’appauvrissement économique, la dépossession culturelle, l’angoisse existentielle. Tout cela mériterait une profonde délibération collective plutôt que la vacuité sonore qui nous tympanise. La démocratie, ce n’est pas seulement le droit de vote. C’est aussi, avant le scrutin, la possibilité d’un débat approfondi, civilisé et équitable. Intelligent, c’est utopique ; mais moins bête, c’est atteignable. I

Source : le Figaro 9/3/2024

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Une fin de semaine bien remplie en Vendée

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vendredi, 08 mars 2024

Faites demi-tour immédiatement

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Charles-Henri d'Elloy

Il est souvent reproché aux réactionnaires de mon acabit de répéter à longueur de temps que « C’était mieux avant ». Précisons que, même jeune, j’avais des idées de vieux et que je suis devenu réactionnaire vers mes dix ans. À cet âge, j’étais déjà nostalgique des époques que je n’avais pas connues. Charlemagne et le saint Empire me faisait rêver. J’idéalisais le Grand Siècle de Louis XIV où la France était la première super puissance mondiale. J’admirais l’Empire et sa grande Armée. J’enviais les écrivains du XIXème qui donnaient à notre pays une aura mondiale grâce à sa littérature. J’étais fier que la France fût pionnière en matière d’aviation avec ses pilotes légendaires. Les Clément Ader, Élisa Deroche, Jules Vedrines, Louis Blériot, Roland Garros, Jean Mermoz, Charles Godefroy,  Antoine de Saint-Exupéry étaient pour moi synonymes d’exploits, de records et d’aventure. Ils le sont toujours ! Enfant, j’avais le sentiment d’appartenir à une grande nation dont le paquebot France, le Concorde et le T.G.V. illustraient la puissance. J’aimais regarder la carte du monde et m’arrêter sur tous les territoires et les îles en rose, la couleur des possessions françaises. C’était autant d’étoiles scintillantes à travers le monde. Tout a commencé à se gâter au milieu de la décennie soixante-dix, vers 1975. À la suite du premier choc pétrolier, les médias parlaient de crise. Nous ne nous rendions pas vraiment compte que c’était la fin des Trente Glorieuses mais avions l’intuitions déjà que rien ne serait plus comme avant. Et puis, il y eu la loi Veil, et à partir de ce moment-là, du haut de mes dix ans, j’eus le sentiment que quelque chose n’allait plus. Je réalisais qu’une simple loi pouvait changer l’ordre naturel que je pensais immuable, dont le respect de la vie humaine et innocente faisait partie. L’âge d’or était terminé pour la France. Les funestes théories portées par  le sociologue marxiste Pierre Bourdieu, le chercheur Philippe Meirieu, le philosophe Michel Foucault, l’agitateur Daniel Cohn-Bendit, le médecin Bernard Kouchner, le philosophe André Glucksmann commençaient à faire florès. L’école devait devenir, non plus un sanctuaire du savoir et de l’instruction mais une manufacture à effacer les « inégalités sociales » et à insuffler l’esprit de mai 68. Il ne devait plus y avoir d’autorité verticale entre le maître et l’élève. Quarante ans plus tard les résultats sont là : les résultats scolaires sont en chute libre ! Plus il y a de bacheliers, plus le niveau baisse. La sélection devient taboue.

Je me suis souvent demandé si mon sentiment que « c’était mieux avant » était une impression personnelle de vieux regrettant ses vingt ans. N’est-il pas naturel d’enjoliver sa jeunesse parce que nous conservons en mémoire nos meilleurs souvenirs ? En faisant abstraction de mon cas, pour, autant que possible, m’éloigner d’un parti pris très personnel, je voulais trouver des critères objectifs susceptibles de convaincre la grande majorité de mes lecteurs sur le fait que la France est dans une situation moins enviable aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a cinquante ans. Il ne s’agit pas, vous l’aurez compris, de juger du bonheur des Français, car cet état dépend de multiples facteurs trop nombreux, subjectifs et intimes pour être mesurés. Non. Il s’agit d’établir un constat à partir de données extérieures, souvent chiffrées, et non de vagues impressions. Prenons un à un ces critères :

Le premier d’entre eux est démographique : un pays dont la population vieillit et régresse est sur la pente de l’effacement. Plus un pays est peuplé, plus il sera en mesure de compter sur la scène internationale. Il suffit d’observer les progrès de la Chine et de l’Inde. Malheureusement, la population française autochtone diminue et laisse naturellement la place à une immigration  extra européenne qui, ne s’assimilant plus, impose sa culture et ses mœurs. De fait, cette démographie décroissante entraîne un affaissement de la production et de l’innovation.

Un deuxième critère : la baisse du niveau de vie moyen des Français. Si ce dernier a augmenté jusque dans les années quatre-vingt, il a baissé pour toutes les générations depuis. Le plus grave étant que les générations les plus récentes vont bénéficier de niveaux de vie très inférieurs à ceux de leurs aînés. Ce triste constat est d’autant plus navrant que cette génération, que j’appelle la génération Maastricht1, née dans les années quatre-vingt-dix ne pourra pas s’enrichir comme ce fut le cas durant les Trente-Glorieuses, sauf à s’installer à l’étranger, ce qui entraîne le phénomène de « fuite des cerveaux ». Fait remarquable : la hausse de la pauvreté ! Après une baisse importante dans les années 1970 et 1980, le taux de pauvreté s’est stabilisé pour repartir à la hausse après l’An 2000. Un indice, la fréquentation des Resto du cœur a considérablement augmenté ces dernières années, jusqu’à plus de 25% ces cinq dernières années. En trente-cinq ans d’existence, les Resto du cœur sont passés de huit à cent quarante millions de repas distribués. 50% des gens qui fréquentent les Restos ont moins de vingt-six ans. Les nouveaux pauvres s’ajoutent aux anciens pauvres.

Troisième critère : le niveau scolaire. Les fameuses études PISA montrent que le niveau scolaire s’est effondré en trente ans. Malgré les résultats catastrophiques en lecture et en mathématiques, il n’y a eu aucun « choc PISA » comme dans certains pays qui se sont relevés.  Malgré ses lacunes, l’Éducation nationale n’a rien mis en œuvre pour progresser. Nos élites fabriquent un peuple d’idiots faciles à manipuler. On donne à ce peuple les capacités de déchiffrer les messages essentiels, mais les diplômes ne valent plus grand-chose.

Rien qu’avec ces trois critères, nous sommes en droit d’affirmer légitimement que c’était mieux avant !

Prenons en compte d’autres critères objectifs :

La France, pays d’Ambroise, de Corvisart, de Bichat, de Laennec manque de médecins ! Après avoir été un modèle en matière de médecine et de système de santé, la France est devenue un désert médical, obligée d’importer des médecins étrangers. L’état des hôpitaux français est lamentable. Dans mon enfance, les médecins de ville se déplaçaient le soir même lorsqu’une mère de famille l’appelait pour dire que son enfant avait de la fièvre. Belle époque révolue. Aujourd’hui il faut attendre trois semaines pour obtenir un rendez-vous chez un généraliste, quand on a la chance d’en trouver un qui accepte de vous recevoir. D’après les dernières statistiques, la longévité légendaire des Français commence à régresser. Alors, oui, c’était mieux avant !

L’industrie française était florissante jusqu’à la fin de la belle décennie soixante-dix. Le nucléaire nous faisait voir l’avenir avec confiance pour ne jamais manquer d’énergie à un prix raisonnable.

Avant les lois Pleven de 1972  et Gayssot de 1990, la liberté d’expression permettait de pouvoir aborder tous les sujets sans craindre un procès de la part des nouvelles ligues de vertu devenues de véritables procureurs. Depuis la baisse de niveau intellectuel et la communautarisation de la société française, il n’est plus question d’aborder certains sujets avec sérénité tels que l’immigration, les religions, l’homosexualité ou encore la colonisation. Il régnait jusque dans les années quatre-vingt une liberté de ton exceptionnelle que nous avons perdue depuis. Avant la monté de l’islam radical en France, personne n’aurait pensé qu’il pouvait recevoir des menaces de mort pour avoir caricaturé Mahomet. En outre, les humoristes sont obligés de s’auto-censurer pour ne pas être vilipendés sur les réseaux sociaux. La majorité des sketchs d’un Pierre Pechin ou d’un Pierre Desproges ne seraient pas diffusables aujourd’hui ! Vous rendez-vous compte que des parlementaires veulent empêcher toute discussion possible sur la remise en cause du réchauffement entropique de l’atmosphère !

Enfin, je vais prendre deux critères que beaucoup jugeront subjectifs car ils répondent à des considérations éthiques. L’Église catholique a disposé du magistère moral durant plusieurs siècles et la société entière baignait dans une culture religieuse dont les manifestations les plus évidentes ne gênaient personne. Qui aurait eu l’idée d’ester en justice pour faire retirer un calvaire ou une statue de la Vierge ? La société était homogène et même les « bouffeurs de curé » faisaient partie du décor parce qu’ils bénéficiaient de la très grande tolérance des clercs et qu’il n’y avait eu aucune persécution religieuse depuis bien longtemps en France. L’Église catholique ne lançait aucune fatwa, mais elle avait une influence sur la conscience commune. Aujourd’hui, des officines qui ne représentent pas grand monde, tels les Libres penseurs et quelques mouvements d’extrême gauche, s’emploient à démolir ce qui reste de l’héritage religieux chrétien, pendant que l’islam progresse. Du fait de la déchristianisation de la société, l’immoralité d’hier devient la normalité d’aujourd’hui.

Le fait même de songer à constitutionnaliser le droit à l’avortement est l’illustration d’un renversement des valeurs et d’un effondrement moral. L’avortement, selon la loi d’origine, était une exception, une tolérance dans les cas de détresse extrême. Une fois inscrit dans la constitution, il deviendrait un droit à garantir à égalité avec le droit à la liberté et à la sûreté des personnes, le droit à la liberté d'expression et à la liberté de conscience. Parallèlement, le pouvoir souhaite légaliser le suicide assisté. Au lieu de favoriser la vie, d’avoir une politique familiale pour son peuple, la France s’oriente vers la culture de mort et l’extinction programmée de sa population autochtone. C’est le déclin jusqu’à la mort.

La société que j’ai connue enfant et jeune homme était en pleine croissance et les Français étaient pleins d’espoir. Aujourd’hui, le peuple semble se résigner dans la tristesse du déclassement et sombre dans la désespérance.

Alors, oui, pour toutes ces raisons, c’était mieux avant.

Certains vont dire que la France est un paradis et que les Français n’en ont pas conscience, sous prétexte que ce serait bien pire ailleurs. Ces personnes nous comparent aux pays du tiers-monde ! Autrement dit, ils se satisfont du fait que nous ne déclinions pas assez rapidement pour rejoindre des pays pauvres. Personnellement, je ne me suis jamais comparé aux derniers de la classe et le malheur des autres ne me console pas du mien. Au contraire, je me dis que cela peut être encore pire. Lorsque nous étions enfants, nous nous comparions aux super-puissances de l’époque : les États-Unis, l’U.R.S.S, le Japon et non aux pays en voie de développement comme nous disions alors.

Les mêmes, ou leurs épigones, qui n’ont cessé de démolir la France depuis cinquante ans, nous donnent toujours des leçons en proférant des menaces de cataclysme économique et de fin du monde si nous n’appliquons pas les mêmes recettes qui nous ont plongés dans l’abîme depuis qu’ils conseillent les princes qui nous gouvernent.

Pour retrouver de l’espoir, il faudrait commencer par faire exactement l’inverse des politiques menées depuis un demi-siècle. La crise est d’abord morale avant d’être économique. Tout est question de volonté. Si les Français le veulent vraiment, ils seront maîtres de leur destin, encore faut-il qu’ils choisissent à la tête de la nation ceux qui auront la lucidité de faire demi-tour immédiatement ! 

1 -  Les enfants de Maastricht aux éditions Bouquins de Synthèse. cliquez ici

La chronique de Charles-Henri d'Elloy publiée dans le n°65 de la revue Synthèse nationale cliquez-là

18:13 Publié dans Charles-Henri d'Elloy | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Général André Coustou - Macron, «l’ennemi de la France»

L’armée peut-elle désobéir à l’ordre d’un chef d’État ? Qui veut mourir pour l’Ukraine ? Dans un entretien qu’il a accordé au magazine Nexus, le général 2s André Coustou revient sur les récentes déclarations d’Emmanuel Macron. Le 27 février dernier, en effet, devant les représentants des 27 pays de l’UE, le chef de l’État n’excluait pas l’envoi de troupes françaises sur le sol ukrainien pour tenter de contrer l’avancée de l’armée russe. Cette déclaration avait provoqué un tollé au sein de l’Otan. Pour le général Coustou, cette question de l’envoi de troupes françaises pose la question de la légalité ou non d’une telle opération. C’est ce qu’il fait savoir dans une lettre ouverte publiée sur le site Place d’armes.

Pour le général André Coustou, l’ennemi n’est pas Vladimir Poutine, mais Emmanuel Macron… « C’est lui le liquidateur, le destructeur de la France ! C’est lui qui devrait partir ! »

Entretien réalisé par Armel Joubert des Ouches, journaliste reporter au magazine Nexus.

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