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mercredi, 24 septembre 2025

La pseudo-"descente d'extrême droite" à Brest, le week-end dernier : "Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose"

Attaque éclair » à Brest : une vingtaine d'hommes masqués sèment la terreur  dans un café emblématique - Le Parisien

Synthèse nationale

Les méthodes de la gauche et de l’extrême gauche marxistes-léninistes modernes ont cours depuis l’entre-deux-guerres. Elles sont bien connues : le flicage, le fichage, la dénonciation publique, la traque, l’insulte, l’intimidation ou encore la reductio ad Hitlerum.

Le cas échéant, le recours à la violence, sous le vocable commode d’"autodéfense", généralement dans la plus parfaite impunité, ne les rebute pas.

Gauche et extrême gauche pratiquent également, volontiers, la victimisation. Chez elles, crier au fascisme est devenu un réflexe pavlovien. Une seule explication à leurs déboires éventuels leur vient à l’esprit : les agissements de l’extrême droite ! Encore et toujours !

En Bretagne, elles nous ont déjà fait le coup au moment de la campagne militante contre l’installation de migrants dans le petit bourg de Callac, dans les Côtes d’Armor. En 2022, elles ont ainsi lancé une campagne de délation et d’intoxication destinée à faire croire, sans aucun fondement (et donc aucune suite), que les élus locaux et le rédacteur en chef d’un petit journal local, Le Poher, étaient l’objet de menaces.

La dernière illustration en date de leur propension délirante à voir partout la patte de la "bête immonde" remonte à la nuit de samedi à dimanche derniers.

Premier acte : vers minuit, à Brest, une trentaine d’hommes masqués attaquent, sans lancer de slogans, un bar connu pour être un repaire de l’extrême gauche locale. Les clients présents ne se laissent pas faire. Les tables et les chaises volent de part et d’autre. Le gros des assaillants s’enfuit.

Deuxième acte : la "gauchosphère" s’enflamme. Comme à son habitude, elle tombe très vite dans le n’importe quoi et la surenchère. Pour Ouest France, les agresseurs, bien que silencieux, se sont revendiqués « nationalistes ». Pour le maire socialiste de Brest, François Cuillandre, aucun doute, il s’agit d’« un groupuscule d’extrême droite ». De son côté, sur BFMTV, le député LFI du Finistère, Pierre-Yves Cadalen, dénonce « la violence de l’extrême droite (qui) n’est pas combattue à la hauteur où elle se déploie partout » (!) ; tandis que son collègue, l’inénarrable Thomas Portes, évoque des « militants néo-nazis », des « milices d’extrême droite, galvanisées par CNews et chauffées à blanc par les discours de Retailleau, (qui) passent à l’action partout dans le pays »…

Troisième acte : Point de "fachos"… mais des supporters de foot ! En fait, l’enquête en cours s’oriente plutôt vers la mouvance hooligan. La descente serait l’œuvre de jeunes afficionados ultras du Stade brestois dont les motivations demeurent inconnues à cette heure (des supporters qui se sont déjà signalés par des violences en avril dernier en marge d’un match de football opposant l’équipe de Brest à celle de Lens). Ainsi, d’après les informations d’ICI Breizh Izel, cité par France 3 Bretagne, « l'un des blessés pris en charge samedi soir ferait l'objet d'une interdiction de stade suite à l'agression de supporters lensois en avril dernier ». Sans commentaires ! 

Nous voilà donc bien loin de la politique. Ce qui, pour nous, n'est en rien une surprise tant ce genre d'opération n'a pas grand chose à voir avec le vrai combat militant, nationaliste et identitaire, contre les méfaits de la gauche et de l'extrême gauche marxistes-léninistes...

15:41 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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