lundi, 12 février 2024
Mayotte, et ailleurs ?
Yves Thréard
Parti sabre au clair pour contenir la déferlante migratoire qui accable Mayotte, Gérald Darmanin dit vouloir mettre fin au droit du sol sur l’archipel. Un tabou va- t-il enfin sauter ? L’expérience commande d’attendre pour juger. À plus d’un titre, cette réforme ressemble comme deux gouttes d’eau à celle de l’immigration, qui a défrayé la chronique ces derniers mois. D’abord, la fermeté affichée d’un côté est, au nom du « en même temps », compensée par une mesure de générosité : pour faire admettre une plus grande sévérité sur le front des expulsions, on se souvient que l’exécutif a sorti de son chapeau la régularisation des clandestins dans les métiers en tension. Ensuite, on l’a vu, le parcours législatif du texte peut changer pas mal de choses et déboucher sur un résultat très décevant.
Face à l’anarchie migratoire qui règne à Mayotte, une mesure peut également en cacher une autre. À la suppression locale du droit du sol, le ministre de l’Intérieur souhaite en effet ajouter l’abandon du visa territorialisé. En d’autres termes, les étrangers régularisés sur place pourront mettre, après, le cap sur le territoire métropolitain. Or de plus en plus d’Africains, venus du Mozambique ou de la région des Grands Lacs, débarquent à Mayotte. Tel un appel d’air, cette décision risque fort d’attirer encore davantage de migrants, effaçant du même coup l’objectif recherché en premier lieu. Il est à parier que l’archipel deviendrait une escale très prisée sur le chemin de l’Europe.
Gérald Darmanin veut, par ailleurs, inscrire son projet dans La nationalité le cadre d’une révision constitutionnelle. On sait la procédure longue et semée d’embûches. Le débat s’annonce houleux, en présence d’une majorité relative et tiraillée. La gauche est déjà vent debout contre ce qu’elle interprète comme une violation du principe d’égalité des territoires. Quant à la droite, elle devrait logiquement exiger que la suppression du droit du sol soit étendue à tout le pays.
À Mayotte, comme partout en France, pourquoi l’attribution de la nationalité serait-elle un dû ?
Source : Le Figaro 12/2/2024
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Droit du sol :… il faut le supprimer !
Bernard Germain
Tout d’abord prenons quelques secondes pour rappeler les possibilités permettant de devenir Français. Cela peut se faire par « attribution » ou par « acquisition ».
On dit que la nationalité est « attribuée » lorsqu'elle est obtenue de façon automatique.
C’est le cas, à la naissance, pour :
- un enfant né en France ou à l'étranger dont au moins un des parents est Français, c'est le "droit du sang" ;
- un enfant né en France de deux parents apatrides ("droit du sol") ;
- un enfant né en France dont au moins un des parents est également né en France, c'est le "double droit du sol".
La nationalité peut également être « attribuée » à la majorité lorsqu'un enfant est né en France de deux parents étrangers, c'est le "droit du sol". Pour cela, il doit résider en France à la date de ses 18 ans et avoir sa résidence habituelle en France pendant une période continue ou discontinue d’au moins cinq ans depuis l’âge de 11 ans.
Toutefois, l'enfant peut obtenir la nationalité française avant sa majorité sur demande de ses parents (entre 13 et 16 ans) ou sur demande personnelle (entre 16 et 18 ans), avec des conditions de durée de résidence en France. Dans ce cas, c'est une « acquisition » de la nationalité par déclaration.
En ce moment, cette notion de « droit du sol » est l’objet de très vives polémiques en France, principalement du fait de la situation à Mayotte, véritable poudrière. On se souviendra que Mayotte fait partie de l’archipel des Comores situé dans le canal du Mozambique.
Le 23 décembre 1974, un référendum fut organisé aux Comores pour demander à la population si elle voulait son indépendance vis à vis de la France. Le résultat fut sans appel : 96 % favorables à l’indépendance. Écrasante majorité pour l’indépendance, mais à une exception près : l’île de Mayotte choisira de rester avec la France. La France organisera un second référendum à Mayotte, le 8 décembre 1976, pour confirmer ce choix. La population confirmera par son vote sa volonté de rester liée à la France.
Le 18 avril 2008, à l’unanimité, le conseil général de Mayotte votera une résolution demandant que Mayotte devienne un département français.
Le 29 mars 2009, un référendum est organisé pour demander à la population si elle veut la transformation de Mayotte en département. Par 95,24 % de « oui », a approuvé le projet, avec une participation de 61,37 %. Mayotte deviendra donc le jeudi 31 mars 2011, le 101° département français et le 5° département d’Outre-Mer. Ce qui provoquera une grave crise dans tout l’archipel car les Comores revendiquent l’appartenance de Mayotte aux Comores et l’ONU n’a jamais reconnu le référendum de 1976 et la volonté des Mahorais de rester français.
En ce moment la situation est au bord de l’explosion à Mayotte car une immigration délirante y déferle de manière continue, en provenance des Comores, mais aussi d’Afrique. Des bidonvilles immenses se sont créés. La délinquance et la violence sont omniprésentes sur l’île, avec des crimes et délits innombrables. Les Mahorais n’en peuvent plus.
On pourrait se demander pourquoi les populations comorienne (qui ont souhaité leur indépendance) et africaine viennent si nombreuses sur le sol de Mayotte. La réponse est toute simple : parce qu’il y a le droit du sol !
De très nombreuses femmes viennent donc accoucher à Mayotte car pour elles c’est un avantage fabuleux. Par la magie du droit du sol, l’enfant qui naît à Mayotte est français. Avec bien sûr tous les avantages et droits sociaux liés à la nationalité française. Sans parler bien sûr des droits accordés aux parents, suite à cette naissance d’un petit « français ». Pour mesurer l’ampleur du problème, il faut savoir que Mayotte possède la plus grande maternité de France.
Afin de stopper cette immigration totalement incontrôlée, Gérald Darmanin a annoncé dès son arrivée à Mayotte aujourd’hui qu’il voulait supprimer le droit du sol sur l’île. Hurlements bien sûr à gauche. Notamment parce que cela serait une décision qui remettrait en cause l’égalité de traitement entre les citoyens Mayotte et ceux du reste de la France.
L’argument est parfaitement recevable et c’est justement pour cela qu’il faut supprimer le droit du sol, pas simplement à Mayotte, mais sur tout le territoire français y compris dans les DOM.
D’ailleurs, ce qui est en train de se passer à Mayotte, c’est ce qui va arriver à notre France métropolitaine dans les années à venir.
L’immigration y est de plus en plus nombreuse et totalement incontrôlée. On n’est pas encore au niveau de Mayotte, mais on y vient. Et comme à Mayotte, la délinquance et la violence ne cesse d’augmenter, comme l’ont confirmé les chiffres publiés par le ministère de l’intérieur en janvier 2024.
L’essentiel des immigrés viennent en France, au motif d’être des « réfugiés politiques », mais en réalité pour obtenir nos avantages sociaux. On voit à Mayotte où ce phénomène les a conduits. L’île est au bord de l’explosion. Si nous ne faisons rien pour endiguer l’immigration, dans quelques années, la France métropolitaine connaîtra la même situation et le même destin que Mayotte.
La suppression du droit du sol, véritable pompe aspirante pour l’immigration, est une nécessité vitale. Pour Mayotte mais aussi pour toute la France.
Il resterait donc simplement deux possibilités d’obtenir la nationalité française :
- Avoir au moins l’un de ses parents possédant la nationalité française.
- Avoir fait une ou des actions particulièrement favorables à la France. Mais l’attribution de la nationalité dans ce cas serait une décision à l’entière discrétion des autorités.
Au passage, ces modifications des conditions d’obtention de la nationalité française auraient l’avantage de nous éviter de voir proliférer les « français de papiers » qui veulent être français pour nos avantages sociaux, mais vomissent la France et les Français à la moindre occasion.
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Jeudi 15 février, à Nancy : conférence de Hilaire de Crémiers sur Charles Maurras
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Dimanche 10 mars, Paris : LANCEMENT DE LA CAMPAGNE ELECTORALE DE MARION MARÉCHAL
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dimanche, 11 février 2024
Nouvel exploit de Moussa : il arrête 39 jeunes rendant hommage à Robert Brasillach
Un communiqué de Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque :
Pendant que Moussa fait son cinoche à Mayotte, et se prépare à envoyer dans l’Héxagone tous les Comoriens et Africains dont les Mahorais ne veulent plus, on en apprend de belles sur les exploits de ses nervis, qu’on ne peut même plus appeler forces de l’ordre, en région parisienne.
La Brav-M a arrêté, ce samedi, 39 jeunes militants qui avaient rendu hommage à Robert Brasillach (que Mitterrand appréciait beaucoup), dans un cimetière. Parmi elles, l’ancien chef des Zouaves, qui paraît un des hommes à abattre du régime, Marc de Cacqueray-Valmenier cliquez ici.
Ils n’ont commis aucun délit. Mais selon les policiers, ils auraient pu en commettre, ils se préparaient à en commettre. Ils n’ont commis aucun attentat, mais ils seraient fichés S pour la moitié d’entre eux. Et bien sûr les médias de propagande essaient de justifier l’arrestation de ces jeunes, en les qualifiant de néo-nazis, en rappelant qu’ils auraient agressé des militants de Sos Racisme, oubliant de dire qu’ils étaient venus foutre le bordel dans un meeting d’Eric Zemmour. Ils précisent même, circonstance aggravante, que Marc de Cacqueray-Valmenier serait allé se battre en Arménie avec les chrétiens, contre les musulmans azeris.
Voilà donc les priorités, ces quinze derniers jours, de don Moussa et de son valet Nunez : garde-à-vue de Charles Demassieux, perquisition chez Pierre Cassen, dissolution de La Citadelle, et arrestation de 39 jeunes militants rendant hommage à Brasillach.
Pendant ce temps-là, à Rennes, les antifas ont tout cassé pendant une heure 30, sans intervention de la police, et sans la moindre arrestation. Pendant ce temps-là, dans toute la France, des apprentis djihadistes sèment la terreur, agressent, violent, poignardent…
Ordures !
Source cliquez ici
19:45 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Libération de la femme, féminisme et viols d’actrices…
Catherine Blein
Il ne se passe pas de trimestre sans que les médias n’abordent le sujet du « féminisme » et de la « libération de la femme ». Pas un trimestre non plus sans qu’on nous annonce que telle actrice porte plainte pour « viol », la plupart du temps trente ou quarante ans après les faits.
Arrêtons-nous quelques instants sur le mot « féminisme ». Il n’a pas toujours eu le même sens selon les époques. Jadis, au début du vingtième siècle, le féminisme se traduisait par de justes revendications, celle du droit de vote et celle de l’ouverture aux femmes de l’enseignement supérieur et des grandes écoles notamment. N’oublions pas que ce n’est qu’en 1944 que les Françaises ont obtenu le droit de vote, grâce au Général qui voulait les remercier ainsi de leur engagement durant la Seconde Guerre.
Pour l’enseignement supérieur et surtout l’accessibilité aux grandes écoles… il faudra encore attendre.
À tous les moins de 50 ans, je dirais, ou plutôt j’apprendrais qu’à mon époque, lorsque j’avais 18 ans, dans les années 64-65 et qu’il était temps de choisir une voie, tout ou presque était fermé aux jeunes filles, hormis l’Université. Les grandes écoles par exemple nous étaient fermées. Polytechnique sera ouverte aux jeunes filles en 1972, Saint-Cyr en 1983 et si votre rêve était d’entraîner des chevaux de course, vous pouviez aller vous rhabiller, ce n’est qu’en 1991, après un long forcing, que l’école des Courses s’ouvrira aux jeunes filles.
Tous ces combats étaient justes car nous ne nous contentions plus de faire la loi discrètement à la maison, nous voulions montrer nos capacités, intellectuelles notamment, et élargir nos horizons, mais en aucune façon renier ou combattre les hommes, hormis les jours d’examens.
Sur le plan « sociétal » comme on dit, et notamment dans leur comportement vis-à-vis des hommes, les jeunes filles de mon époque, et a fortiori celles de l’époque de ma mère, étaient, je crois, mieux armées que de nos jours. L’éducation était plus stricte, la religion nous incitait à la prudence et à la retenue, le porno et mai 68 n’étaient pas passés par là. On nous inculquait des règles simples : « l’homme propose, la femme dispose », et point barre. Celles qui enfreignaient ces règles étaient qualifiées de « Marie-couche-toi-là » ou de petites p… ou de gourgandines (époque Grand’Mère !).
Je suis frappée de tous ces « viols » déclarés aujourd’hui, souvent des décennies après lesdits faits, et m’étonne que l’on accepte de qualifier ainsi des actes consentis et acceptés durant des années.
Le viol, ce n’est pas cela, il bouscule tout et la force y joue un rôle prépondérant.
La femme « violée » d’aujourd’hui apparaît comme une pauvre petite chose faible et sans défense, livrée aux désirs impérieux des hommes auxquels elle est incapable de résister. Bien sûr le milieu du cinéma a toujours eu mauvaise réputation, tout comme celui du théâtre du temps de la grande Sarah.
Le théâtre, lui, a su prouver sa respectabilité, ne serait-ce que parce qu’il est d’un accès plus sélectif que le cinéma et que le vrai talent en est la clé, ce qui n’est pas vrai du cinéma, plus facile et où le physique joue un rôle souvent déterminant et peu exigeant sur le reste…
Toutes les exactions et les mauvais comportements viennent de lui (Epstein et les Lolitas Express etc.).
Je m’interroge donc sur ces jeunes actrices qui se laissent violer aussi aisément. Où sont leurs parents qui les ont lâchées à 14 ans dans la mare au diable ?
Quelle fut leur éducation ? certainement pas chrétienne ou alors ça n’a pas imprimé.
Je suis convaincue, pour ma part, qu’outre la démission parentale vraisemblable, le manque de spiritualité, il y a aussi une question de QI, désolée pour l’accusatrice de ces jours derniers.
Catherine Frot, Juliette Binoche, Sharon Stone semblent ne s’être laissé « violer » par personne.
Je ne suivrai en aucune façon les journaleux qui décernent des lauriers à Judith G. pour son tardif « courage » de dénonciation. Secourue par les psys, toujours là pour trouver des excuses à tout, elle accuse aujourd’hui de viol un type avec qui elle a accepté de coucher pendant six ans !
Les méchantes langues de ma jeunesse auraient dit qu’ « elle a couché pour faire du cinéma ».
Je me souviens d’une autre actrice, dont j’oublie le nom, qui, il y a quelques années, accusait également de viol le type avec lequel elle était montée boire un verre dans la chambre d’hôtel… Bon, elle n’avait, semble-t-il, pas grande imagination…
Quand on a couché « pour faire du cinéma », on peut se mordre les doigts d’avoir été aussi lâche et stupide, mais on ne fait pas porter à l’autre la responsabilité de son manque de caractère dans le but d’alléger sa conscience.
On ferme sa gueule et on demande pardon au Bon Dieu, ou à sa conscience, ou à qui l’on veut, pour avoir donné une si misérable image de la Femme. Je suis sans doute dure et sans empathie, mais j’ai de la femme une autre idée que celle véhiculée par des starlettes sans colonne vertébrale et sans cerveau et je trouve extrêmement grave ce laisser-aller moral qui excuse tout, y compris l’inexcusable et qui jette l’opprobre sur la mauvaise personne.
Je vois par ailleurs dans cette complaisance générale la vilaine patte du wokisme dégénérateur et anti-masculin, et porteur d’un féminisme bien pâlot.
Quand on pense au vrai courage de nos mères et grands-mères, courage physique autant que moral, on a honte des pleurnicheries d’aujourd’hui.
Les femmes, comme tout un chacun, peuvent faire des conneries et avoir des faiblesses, mais Bon Diou, qu’elles assument !
17:59 Publié dans Catherine Blein | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les miliciens antifas ont encore frappé à Paris : la Librairie Vincent vandalisée dans la nuit de vendredi à samedi
Une fois de plus, le régime macroniste aux abois s'en prend à la culture. Ses miliciens, dans la nuit de vendredi à samedi, ont attaqué la Librairie Vincent, espace de liberté à Paris.
Ils savent que leurs jours sont comptés et, dans leur folie suicidaire, ils multiplient les agressions contre les forces nationales et identitaires... Après les interdictions, les dissolutions et les perquisitions, les petits valets du liberticide de la Place Beauvau passent au stade des intimidations. Cet acte lâche et minable en est une preuve de plus...
Aujourd'hui, les patriotes doivent soutenir cette courageuse librairie, ainsi que notre ami Vincent, son animateur, face aux actions malveillantes qui les menacent.
S N
Librairie Vincent : cliquez ici
12:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 10 février 2024
10 février 1977 : la mort aux conséquences inattendues d'Alain Escoffier
Le 10 février 1977, sur les Champs-Elysée, se déroula dans l'indifférence presque totale un événement aux conséquences inattendues. Voici comment ce qui n'aurait pu être qu'un "fait-divers", est relaté dans le Cahier d'Histoire du nationalisme n°24 consacré aux 50 ans de la création du Front national cliquez ici :
Un événement aux conséquences inattendues se déroula le dimanche 10 février de cette année-là. Dans l'après-midi, un jeune militant solidariste, Alain Escoffier, probablement désespéré, s'est donné la mort en s'immolant dans les locaux de l'Aeroflot, la compagnie aérienne soviétique, situés sur les Champs Élysées. Cet acte terrible passa relativement inaperçu mais, sans le savoir, Alain Escoffier allait provoquer une rencontre prometteuse.
En effet, quelques jours plus tard, le hasard allait bousculer les choses. Une cérémonie fut organisée en mémoire du malheureux à la demande de ses camarades solidaristes dans une église parisienne. Jean-Marie Le Pen décide de se rendre à cette messe. À l'issue de celle-ci, sur le parvis de l'église, il retrouve un ancien militant de la campagne de Tixier qu'il n'avait pas revu depuis 1965, Jean-Pierre Stirbois. Ils déjeunent ensemble et, à la suite de ces retrouvailles, Stirbois décide de rejoindre le Front. Sans qu'ils le sachent, ni l'un ni l'autre, l'histoire politique de la France venait de prendre un tournant qui durera jusqu'à aujourd'hui.
En septembre, l'Union solidariste se rallie au FN. Jean-Pierre Stirbois était un militant chevronné, méthodique et déterminé, il allait désormais mettre ses talents et son charisme au service de Le Pen.
La suite, c'est Dreux, c'est 1984, c'est 2002, c'est...
Ayons une pensé pour ce camarade...
S N
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Le Journal du Chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
10:59 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Hommage à Pierre Taupin, héros de la chouannerie du Trégor
10:49 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 09 février 2024
Procession pour Sainte Scholastique au Mans ce samedi 10 février à 18 heures
16:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nouvelle folie liberticide de Darmanin : il vient de dissoudre le mouvement identitaire lillois La Citadelle
Aurélien Verhassel, président de La Citadelle lilloise
La réaction de Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque :
Au suivant ! Au suivant ! Notre Moussa national conserve son rythme de croisière. Bien meilleur que Borne, incapable de battre le record de 49-3 ! Moussa vient de pulvériser, en trois ans, le record de dissolutions d’associations, et curieusement très souvent celles des patriotes.
Son dernier exploit : la dissolution du bar Identitaire « La Citadelle », à Lille, tenu par Aurélien Verhassel. Ils avaient osé organiser une soirée débat autour du thème « Qu’ils retournent en Afrique ! ».
Bien sûr, grand cinéma du pouvoir, la Gravosse avait demandé l’interdiction, obtenue, les gauchos avaient attaqué le bar, la justice avait autorisé sa réouverture, cela ne pouvait plus durer. Moussa a donc frappé, et le Conseil des ministres a officialisé la dissolution de La Citadelle, comme en 2014 le Local de Serge Ayoub avait été dissous par Manuel Valls.
Demain le tour de Riposte Laïque ? Le pire est que c’est possible !
Et dire que certains comparent la France, le pays des Droits de l’Homme et de la défense des libertés, à la Corée du Nord !
Source cliquez ici
Lire aussi : l'article de Clémence de Longraye publié sur Boulevard Voltaire cliquez ici
15:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Convulsions rurales
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
À cinq mois des élections européennes, les campagnes du Vieux Continent s’emballent dans une exaspération variée. Espagnols, Britanniques, Belges, Allemands et Français suivent avec deux à cinq ans de retard la révolte de leurs homologues néerlandais. Ces derniers protestèrent contre les normes administratives, les injonctions officielles et les oukases écologiques punitifs. La Commission européenne a, d’une part, incité à prendre ces mesures et, d’autre part, insisté à ratifier les traités déments de libre-échange au moins disant agricole avéré.
Depuis bientôt trois semaines, les syndicats majoritaires de l’agriculture hexagonale, productiviste et mécanisée, la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles) et les Jeunes Agriculteurs, rencontrent la concurrence non plus de la Confédération paysanne altermondialiste, mais de la Coordination rurale. Dissidence de la FNSEA en 1991 en réaction contre la réforme libre-échangiste de la PAC (Politique agricole commune), la Coordination rurale fusionne avec la FFA (Fédération française de l’Agriculture) dont l’une des figures marquantes fut l’infatigable défenseur de l’enracinement et grand activiste agricole à l’instar d’Henri Dorgères, Alexis Arette. Qu’on se souvienne du magnifique blocus paysan de Paris en 1992 ! Quant au MODEF (Mouvement de défense des exploitants familiaux), proche du PCF, il se met à la remorque des événements…
La présente crise agricole résulte de plus de six décennies d’« industrialisation », de « tertiarisation » et de « bureaucratisation » du secteur primaire. Les agriculteurs sont de nos jours les formidables aventuriers d’une ère moderne finissante. Certains commentateurs voient dans ces manifestations et autres blocages autoroutiers la synthèse des Bonnets rouges bretons de 2013 et des Gilets jaunes de 2018 – 2019, d’où le bonnet jaune porté avec fierté par les mécontents. D’autres y transfèrent leur nostalgie ruraliste et agrarienne alors que le monde agricole est à 100 % urbanisé dans les mentalités. La césure entre les aires rurales et les espaces urbains n’existe plus d’un point de vue psychologique.
Ce constat, Bernard Charbonneau l’a fait dès 1973 dans son essai Tristes Campagnes (Éditions L’Échappé, coll. « Poche », 2023, 232 p., 12 €). Ami personnel du philosophe anti-technicien Jacques Ellul (1912 – 1994), Bernard Charbonneau (1910 – 1996) reste à l’écart des milieux politiques écologistes. C’est un paradoxe ! Son œuvre riche en essais édifiants constitue une belle somme intellectuelle non-conformiste. Méfiant envers le progrès technique, il clame son amour des patries charnelles. Il regardait d’un œil critique et sceptique l’entrée des écologistes dans l’électoralisme.
Amoureux des paysans du Béarn, des Landes et du Pays Basque, Bernard Charbonneau remarque qu’« autrefois maître de sa terre, le paysan béarnais n’en est plus que l’exploitant provisoire ». Il souligne que « la grande nouveauté de l’après-guerre c’est l’intégration de la campagne dans l’ensemble industriel et urbain, avec pour effet sa transformation en banlieue ». Il note en outre que « nous vivons dans une société qui n’a guère qu’une idée : produire ». Cette course au rendement explique l’endettement des exploitants agricoles, l’extension nécessaire des parcelles au grè des remembrements incessants et l’acquisition, de plus en plus en GAEC (Groupement agricole d’exploitation en commun), de machines automatisées coûteuses. L’introduction de la compétition dans le travail des champs explique le passage du paysan libre au salarié, plus ou moins direct, de l’industrie agro-alimentaire.
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Samedi 9 mars : conférence de Reynald Secher à Montréverd en Vendée
10:39 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 08 février 2024
Ingrid Courrèges - La dose de trop
19:07 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Tout politique qui ne dénonce pas cet agenda meurtrier (2030) est complice… » Jean Jacques Le Moel
Le dernier numéro de Nexus parle de « génocide », de l'agenda 2030, du CO2, des pesticides, et ne cache pas son désarroi face au système politique actuel. Pendant vingt minutes, devant la caméra, Jean-Jacques Le Moel, producteur de lait bio dans le centre de la Bretagne, répond aux questions de Nexus. Il exprime une profonde inquiétude quant à l'avenir du monde paysan.
« Ils ont menti sur tout ! Tant que les politiques avanceront masqués en tant que complices du génocide paysan, rien ne bougera ». Dans cet entretien, il aborde également la question des pesticides, de la robotique dans les exploitations agricoles, et de l'endettement des paysans.
Jean-Jacques Le Moel échange avec Armel Joubert des Ouches, journaliste reporter au magazine Nexus.
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Les cafards de Libération s'en prennent encore et toujours à Jean-Marie Le Pen !
Un communiqué de Thomas Joly, Président du Parti de la France :
Les sales cafards de Libé en sont encore à tenter de salir l'image de Jean-Marie Le Pen, combattant pendant la guerre d'Algérie, en racontant toutes sortes de bobards récoltés auprès de mythomanes patentés par des militants politiques d'extrême-gauche.
À bientôt 96 ans, il fait encore figure d'épouvantail pour les héritiers des traîtres à la France porteurs de valises pendant cette guerre - d'ailleurs gagnée par l'armée française trahie par De Gaulle.
La longévité du Menhir est un parfait bras d'honneur à tous ces cloportes qui ne lui arriveront jamais à la cheville !
Site du PdF cliquez ici
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mercredi, 07 février 2024
Psychodrame en Allemagne : Où en est l’AFD ?
Michel Festivi
Depuis plusieurs fins de semaines, dans toute l’Allemagne, des milliers de gauchistes et de centristes se rassemblent pour demander la dissolution de l’AFD assimilée aux nazis, à Hitler, et ce, suite à une réunion qui s’était tenue en novembre dernier, à laquelle participaient certains groupuscules dont un ou deux représentants de l’AFD, réunion où horresco referens aurait été abordé le thème de la « remigration », le retour des immigrés dans leurs pays d’origine, effectivement quelle horreur !
Il n’en a pas fallu plus pour que resurgisse aussitôt le spectre de la réapparition des « heures les plus sombres de notre histoire, car le ventre qui a vu naître la bête immonde est toujours fécond... ». Bien sûr la classe politique allemande actuellement en perdition, notamment les socio-démocrates - (qui n’ont de démocrate que le nom) - du SPD et les centristes de la CDU se sont joints aux chants des sirènes pour s’associer aux pires extrémistes de gauche, afin de demander la dissolution de ce parti et empêcher ainsi des millions d’Allemands, d’avoir les représentants de leur choix.
N'est- ce pas d’ailleurs ce communiste de Brecht, qui avait proclamé « Puisque le peuple vote contre le gouvernement, il faut dissoudre le peuple ». Effectivement, le 17 juin 1953, en RDA communiste, État prison où des milliers d’Est allemands fuyaient où tentaient de fuir vers l’Ouest, eurent lieu des insurrections ouvrières, contre une hausse des cadences de travail et des baisses de salaire, insurrections qui furent réprimées dans le sang, avec l’aide des troupes soviétiques. Brecht n’hésita pas à soutenir le gouvernement communiste qui avait fait arrêter près de 30 000 ouvriers, il avait notamment écrit « Des éléments fascistes organisés ont essayé d’abuser de ce mécontentement... Seule l’intervention rapide et décisive des troupes soviétiques a permis de déjouer cette tentative. »
Mais de cela, les gauchistes, le SPD, la CDU n’en parleront pas, comme ils refuseront d’évoquer les vagues permanentes de l’immigration massive et la montée exponentielle de la délinquance. On préfère se référer aux sempiternelles années 1930, pour supprimer un adversaire qui fait de l’ombre et qui dérange le bel ordonnancement de l’entre-soi.
Pourtant les derniers sondages créditent l’AFD de 23% des intentions de vote aux prochaines élections européennes de juin, elle avait réalisé 11% en 2019 et 7% en 2014, un an après sa création. En septembre prochain, des élections capitales auront lieu en Saxe, Thuringe et Brandebourg, régions de l’Est très attirées, plus qu’à l’Ouest, par les thèses de l’AFD. Les manifestations anti-AFD, devraient de plus belles reprendre, attisées par « la grande peur des bien-pensants ». Il est bien connu que l’incapacité gouvernementale, associée au refus de nommer le réel et de résoudre les problèmes qui assaillent nos peuples européens, rendent enragés les tenants du désordre établi.
18:01 Publié dans En Europe et ailleurs..., Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
FRANCE, LIBÈRE-TOI !
Roland Hélie
Editorial du n°65 de la revue
Synthèse nationale (Hiver 2023-2024) cliquez là
Le 9 juin prochain les électeurs de l’ensemble des pays qui forment ce que l’on appelle « l’Union européenne » vont élire les députés censés les représenter au Parlement européen. La belle affaire ! Une élection en plus et une multitude de pouvoirs en moins pour les peuples européens… En effet, 45 ans après la première élection au suffrage universel de cette assemblée, en juin 1979, force est de reconnaître qu’elle ne sert pas à grand-chose, si ce n’est que contribuer à la réduction de notre indépendance nationale et au recasement de quelques politicards en manque de mandats.
En fait, au-delà de sa caution « démocratique » qu’est son « parlement », c’est sur l’utilité de l’Union européenne qu’il convient maintenant de s’interroger. Si l’idée d’une communauté économique européenne pouvait sembler séduisante au lendemain du désastre de la Seconde Guerre mondiale, force est de constater que son aboutissement, à savoir l’Europe intégrée d’aujourd’hui, n’a plus rien de réjouissant. L’Europe devait garantir la liberté et la prospérité de ses peuples et, finalement, elle n’engendre que soumission, contraintes et décadence. L’Union européenne qui aurait dû s’imposer comme une puissance souveraine au niveau planétaire est devenue un marchepied pour les thuriféraires de la gouvernance mondiale qui entendent, à terme, imposer leur pouvoir sur la planète. Macron et sa clique n’en étant que les petits serviteurs locaux… Il est donc plus que temps de quitter cette machine à broyer les peuples et les nations.
Sortir de l’Europe, c’est justement ce que préconise notre ami Bernard Germain dans son dernier ouvrage que nous venons de publier (1). Il y démontre un par un les méfaits de cette construction insensée qui ne repose que sur la soif de profits immédiats, la vassalisation aux organismes mondialistes (à commencer par l’OTAN), la volonté d’accentuer le grand remplacement et l’acharnement contre les réactions identitaires de chacun. Face à cela, il propose tout simplement de reconquérir notre indépendance nationale.
Indépendance nationale ne signifie pas « mépris » ou « conflits » avec les autres nations européennes…
Bien au contraire, c’est en redevenant ce que nous aurions dû rester que nous pourrons établir des partenariats équilibrés et cordiaux avec nos voisins. C’est en redevenant cette nation unie et forte qui, dans l’Histoire, a joué un rôle primordial que nous serons à nouveau respectés et enviés. Ce n’est pas en restant la cinquième roue d’une carriole hétéroclite qui s’avance vers l’abîme, que nous redonnerons à notre peuple sa fierté, son audace et sa grandeur…
Mais, revenons aux élections européennes qui approchent. Selon tous les pronostics, celles-ci devraient voir s’accentuer sur l’ensemble du continent une poussée significative des droites nationales et identitaires, ce dont nous nous réjouissons. Certes, la plupart d’entre elles ne préconisent pas encore l’éclatement final et salvateur de l’UE, mais leurs positions respectives, de plus en plus réservées à l’encontre du despotisme bruxellois, vont dans le bon sens. En France, les deux principales listes nationales annoncées, celle du Rassemblement national conduite par Jordan Bardella et surtout celle de Reconquête ! menée par Marion Maréchal, se montrent très critiques par rapport à la destinée de l’UE. Mais le parlement européen n’a pas, et n’aura jamais, un pouvoir suffisant pour refreiner réellement les décisions nationicides de la Commission dirigée par la mondialiste Ursula Von der Leyen. Non ! Décidément non, la France n’a plus rien à faire dans cet étouffoir.
Au-delà de la critique, la sécession salvatrice…
S’il y a peu de chances que d’ici juin, en France, les listes nationales en arrivent à cette conclusion. Il n’empêche que l’ampleur de leurs scores respectifs sera significatif. Ils incarneront la révolte grandissante au sein de notre peuple à l’encontre de la mainmise oppressante de la Commission. Ils prouveront aussi la volonté de voir enfin naître en France ce véritable « bloc national » que nous préconisons dans les colonnes de Synthèse nationale depuis si longtemps. Un « Bloc national » respectant toutes les sensibilités et allant de frange souverainiste de la droite modérée jusqu’à l’avant-garde nationaliste du mouvement populaire et patriotique. Le plus petit dénominateur commun de ces forces complémentaires étant l’amour de la France et la conscience d’appartenir à une civilisation qui a éclairé le monde.
Depuis cinquante ans, le curseur se déplace vers « la droite ». Les utopies post-soixante-huitardes et leur émanation wokiste tournent à la ringardise. Face à la globalisation néfaste à notre économie, face à la destruction programmée de nos repères historiques et ethniques, face à une immigration massive et incontrôlée, les Français aspirent à l’indépendance, la liberté, à la défense de leur identité. Alors, plus que jamais, il est temps de scander haut et fort notre vieux cri de guerre rassembleur : « France libère-toi ! »
(1) L’Union européenne : en sortir… au plus vite ! Bernard Germain, préfacé par Alban d’Arguin, Synthèse nationale, 2023, 272 p., 25,00 €. cliquez ici
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mardi, 06 février 2024
Un nouveau livre de Marc Rousset : "Notre faux ami l'Amérique"
Dans son ouvrage « Notre Faux-Ami l’Amérique – Pour une Alliance avec la Russie », Marc Rousset constate que l’Europe ne va pas de Washington à Bruxelles, mais de Brest à Vladivostok. L’Océan Atlantique sépare l’Amérique de l’Europe, alors que l’Union Européenne et la Russie, le plus grand pays de l’Europe, sont deux grands voisins complémentaires.
En conclusion de son ouvrage, Marc Rousset nous dit que la seule vraie question pour les Européens, c’est de faire le choix suivant : Rester Européen en se rapprochant de la Russie ou devenir Américain en acceptant le protectorat de l’OTAN et en perdant leur identité européenne. La Russie et l’Europe ont des intérêts communs et un Avenir commun sur ce grand continent paneuropéen qui va de l’Océan Atlantique à l’Océan Pacifique.
Piotr Tolstoï (extrait de la Préface)
Marc Rousset, H.E.C, Docteur ès Sciences Economiques, diplômé des universités Columbia et Harvard, Prix de l’Académie des Sciences Morales et Politiques, est un ancien haut dirigeant d’entreprise. Chroniqueur, économiste, écrivain, auteur de « la Nouvelle Europe de Charlemagne » préfacée par Alain Peyrefitte, il en appelle à un sursaut salvateur et démontre dans ce livre que l’Avenir de la France et de l’Europe est à l’Est, avec la Russie, et non pas avec l’Amérique !
Les articles de Marc Rousset sont régulièrement publiés sur le site Synthèse nationale cliquez ici ou dans la revue éponyme.
"Notre faux ami l'Amérique", Marc Rousset, préface de Piotr Tolstoï, édition Librinova, 2024, 374 pages, 24,90 €.
17:44 Publié dans Livres, Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La guerre des États-Unis contre l’Europe. Conférence de Youssef Hindi à Bruxelles le 28 février
Artémus a le plaisir de recevoir, le chercheur et historien des religions Youssef Hindi, en exclusivité belge à l'occasion de la sortie de son dernier essai « La guerre des États-Unis contre l’Europe ».
L’Union européenne a été créée sous le prétexte de concurrencer les États-Unis sur le terrain commercial. Quelle est la véritable nature de cette guerre ? Les questions prosaïques et terrestres, économiques et géopolitiques dissimulent peut-être un autre genre de guerre qui ne dit pas son nom. Une conférence inédite de Youssef Hindi, le 28 février prochain.
Sur inscription uniquement, via notre billetterie.
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Revue de presse : Avoir des enfants, un « plus » pour un politique ? La réponse est oui
Gabrielle Cluzel Boulevard Voltaire cliquez ici
Stupeur et tremblement. Un propos de Guillaume Peltier au micro de Sonia Mabrouk sur Europe 1/CNews a déclenché une vague d’indignation : « Marion Maréchal est maman de deux petites filles et ça compte beaucoup. » Guillaume Peltier ajoute être « assez gêné » par cette « nouvelle mode », cette « tendance » des politiciens à ne pas avoir d’enfants : il cite Emmanuel Macron, Gabriel Attal mais aussi les têtes de liste aux européennes Bardella et Bellamy. Pour lui, « à l’heure où la natalité est en berne, la politique familiale est attaquée […] avoir des enfants est un message politique ». Il précise vouloir le dire « sans jugement et avec beaucoup de délicatesse » : pour lui, ce n’est pas « un moins » de ne pas en avoir, mais « un plus » d’en avoir : « Avoir des enfants, c’est la garantie de sérieux, de concret par rapport au présent et par rapport à l’avenir. C’est la certitude que la valeur de transmission va l’emporter sur la valeur de l’ambition. » « C’est la garantie, conclut-il, qu’on pensera davantage à la prochaine génération qu’à la future élection. »
Blessant mais vrai
On peut trouver le propos, en dépit des précautions oratoires, maladroit et potentiellement blessant pour les personnes nommément citées, car il fait fi des raisons intimes, qui sont parfois de grandes souffrances : on se souvient de l’ancien Premier ministre d’Écosse, Nicola Sturgeon, souvent cité parmi les dirigeants sans enfant, qui avait avoué avoir fait jadis une fausse couche. Mais la politique n’a jamais été le lieu le plus charitable du monde. Par ailleurs, si aborder la vie privée est interdit en politique, il faut que cette règle soit appliquée dans tous les sens : n’oublions pas que c’est Gabriel Attal lui-même qui a évoqué son homosexualité, dans un contexte totalement hors sujet, à l’Assemblée, il y a quelques jours.
Au fond, ce qu’assène Guillaume Peltier est-il fondamentalement faux ?
Les noms d’oiseaux fusent de partout, et en particulier du RN : « C’est tellement bidon, blessant et ridicule… », jette notamment, sur X, le député du Gard Pierre Meurin : Jordan Bardella n’a que 27 ans ; et il se donne à fond pour son pays. Louis XIII n’est devenu père de Louis XIV qu’à 28 ans. Il était pourtant un grand roi. »
Difficile, bien sûr, de faire grief à un jeune homme de 27 ans de ne pas (encore) avoir d’enfants. Mais puisqu’on répète à l’envi que la jeunesse est un atout, n’a-t-on pas le droit de dire qu’en revanche, le manque d’expérience en est le revers ? Or, il se trouve que la parentalité est une incomparable expérience empirique, qui « vous enracine et vous oblige à prévoir l’avenir », vous force à « ne pas travailler pour votre bien-être à vous », qui « vous oblige à prendre des décisions qui s’inscrivent dans le temps long ». Ce n’est pas moi qui le dis mais Marine Le Pen, à l’auteur du livre Femmes dirigeantes, comment elles ont osé (Plon, 2022). Marine Le Pen use, du reste, de ce statut personnel pour faire campagne : à Saint Rémy-sur-Avre (Eure-et-Loir), en 2022, c’est en « mère de famille » que Marine Le Pen s’est posée pour défendre les « plus vulnérables ». Une posture rassurante que lui autorise - légitimement - sa situation personnelle.
Nicolas Sarkozy, dans le livre Chérie, j’ai rétréci la droite (Robert Laffont), avance quant à lui que le manque d’autorité d’Emmanuel Macron serait lié au fait qu’il n’a pas d’enfant. A-t-on le droit d’aborder ces questions ou sont-elles taboues ? Quand Gabriel Attal affirme qu’ayant été lui-même harcelé, il comprend les enfants qui le vivent, il s’avance un peu : si jeune soit-il, il fait référence à l’école d’il y a vingt ans. La dégringolade est si rapide, en France, que le harcèlement d’aujourd’hui n’est pas comparable à celui d’hier. Il faut être parent pour en prendre la mesure.
Symbole et malaise
Puis si, individuellement, l’infécondité de ceux qui nous gouvernent (ou y prétendent) ne veut rien dire, elle est, collectivement, chargée de sens.
D'abord, pour le symbole : la natalité en berne de nos pays européens et de leurs dirigeants est révélatrice d’un état d’esprit - même si, encore une fois, chaque histoire est singulière - où la vie de famille, la procréation, l’envie de transmettre ne sont pas les priorités. Comme leurs nations, nos dirigeants acceptent de disparaître sans postérité.
Ensuite, pour le malaise qui en résulte : alors que l’horizon est si chaotique, que les peuples ont la certitude un peu plus forte, chaque jour, qu’une élite décide de leur avenir - et, donc, de celui de leur progéniture - sans les consulter, il y a comme une présomption d'« après moi le déluge » : quand, en 2015, celle qui, bizarrement, a été surnommée « Mutti Merkel » a ouvert la voie à une immigration massive en Europe, par la route syrienne, avec son célèbre « Wir schaffen das » [« Nous y arriverons ! »], c’est l’avenir des enfants qu’elle n’a pas qu’elle a obéré.
11:13 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
6 FÉVRIER : EN SOUVENIR DE ROBERT BRASILLACH
10:46 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les agriculteurs, lanceurs d’alerte sur le déclin de l’Europe
La colère des agriculteurs a mis en lumière les impasses du modèle de transition écologique promu par la Commission européenne, analysent l’économiste, Christian Saint-Etienne et le banquier d’affaires, Philippe Villin. En s’imposant des normes contraignantes sans exigence de réciprocité pour ses partenaires commerciaux, l’Europe est en train d’hypothéquer son avenir et de détruire sa croissance économique, estiment-ils. Si les dirigeants européens persistent dans leur aveuglement, cette politique ne fera qu’accélérer le déclin du Vieux Continent, concluent-ils, et cela profitera à la Chine et aux États-Unis, qui ont su donner la priorité à leur industrie nationale.
Lire la suite ICI
Source : Le Figaro 5/2/2024
09:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 05 février 2024
Notre Ami Daniel nous a quitté...
Depuis des années, Daniel était devenu une figure incontournable de nos Journées Bleu-Blanc-Rouge de Synthèse nationale. Il était en effet l'un des piliers du comité d'organisation, chargé en particulier de superviser la "partie restauration" (poste hautement stratégique s'il en est). Et, en plus, il maitrisait parfaitement l'utilisation du Système d'exploitation Apple, ce qui le rendait encore plus indispensable dans notre organisation.
Toujours aimable, toujours attentif, toujours efficace, répondant toujours "présent", il faisait parti de ces gens sur lesquels je pouvais m'appuyer sans souci aucun. Hélas, à la prochaine journée BBR, Daniel ne sera plus là. Il est subitement décédé, chez lui à Versailles, à la fin de la semaine dernière...
Personnage attachant, des années durant, il avait tenu une librairie au coeur de la capitale royale. Fin gourmet, il connaissait parfaitement toutes les bonnes tables de cette ville qu'il aimait tant. Observateur avisé, il avait toujours un avis intéressant sur l'actualité. C'était toujours un plaisir de passer un moment avec lui.
Repose en paix Ami Daniel, nous ne t'oublierons jamais.
Roland Hélie
20:02 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ni wokisme, ni cosmopolitisme – Conférence de Martin Peltier à Grenoble le 17 février
La section Rhône-Alpes d’Égalité & Réconciliation recevra Martin Peltier à Grenoble le samedi 17 février 2024 à 15 h pour une conférence intitulée « Le wokisme, faux-nez de la révolution arc-en-ciel ».
Ce que nous vivons n’est pas fortuit, pas plus la disparition de la paysannerie que l’appauvrissement des Français ou les émeutes de banlieue. Il n’y a ni crise ni déclin inévitable, il y a une révolution concertée, révolution mondiale et mondialiste, totale et totalitaire, touchant l’économie, les lois, les mœurs, la culture, la pensée, les us, les croyances.
C’est une révolution par le haut, par l’argent, mais pas pour l’argent. Une révolution non aversive, maîtrisant l’ingénierie sociale et le temps long. Une révolution par la peur qui soumet les esprits à des dogmes erronés, des « vérités à cours forcé », pour les couper de la réalité. Elle est spirituelle, elle a pour ambition de créer un homme nouveau dans un monde nouveau. Je l’ai dénoncée en octobre 2019 dans La Révolution arc-en-ciel et en mars 2020 dans L’Empire arc-en-ciel, annonçant avant le covid que l’un des moyens de cette révolution serait l’instrumentalisation des pandémies.
Je l’ai nommée révolution arc-en-ciel parce qu’elle a choisi de se désigner ainsi par ses drapeaux. Ils prétendent à tort représenter le Bien que symbolisait à l’origine l’arc-en-ciel : arc-en-ciel du pacifisme d’extrême gauche, arc-en-ciel de l’antiracisme représentant la nation arc-en-ciel de Mandela et Desmond Tutu, arc-en-ciel du Rainbow Warrior, navire amiral de l’écologisme, arc-en-ciel LGBTQ enfin. On constate que leur explication du monde est semblable, que leurs méthodes d’agitation sont communes, leurs bassins de militants poreux, leurs objectifs communs, d’ailleurs revendiqués par la « convergence des luttes ».
En somme, la révolution arc-en-ciel est une réalité objective et subjective, et elle est opératoire.
Depuis, des livres sont parus, d’abord au Canada sous la plume de Mathieu Bock-Côté, puis au Royaume-Uni, sous celle de Douglas Murray, pour dénoncer le wokisme. Ils reprennent une partie de la critique de l’arc-en-ciel, en se focalisant sur l’islam, d’un point de vue néoconservateur, sans concevoir l’unité de cette révolution polymorphe.
Un bref tour d’horizon de cette révolution montre qu’elle n’est ni hyperlibérale, ni prévue par George Orwell, ni l’effet d’une dictature des minorités, ni le produit d’un « wokisme » qui serait en perte de vitesse à en croire les augures. C'est la révolution arc-en-ciel.
Source : E&R
19:13 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'ère des peuples
15:53 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Écologisme, date de péremption 2024
Pascal Praud est un bon pourfendeur des idées reçues – enfin presque eu égard aux lignes à ne pas franchir -, chaque jour tout à la fois sur Europe 1 et sur la chaîne de télévision. CNews. Il tient également une chronique dans le Journal du dimanche, où, fort d’un solide bon sens, il dénonce les hérésies d’aujourd’hui. Sa plume est joyeuse, trempée dans le vinaigre quand il le faut, mais surtout sans illusion. Avec lui, on voit souvent l’envers du décor. La cuisine et ses tambouilles. Les agriculteurs dans la tourmente lui donnent l’occasion d’en remettre une louche contre Bruxelles, décidément la source de tous nos ennuis. Une Europe contre les Européens en quelque sorte, ce qui n’est pas le moindre des paradoxes.
Lire la suite ICI
Source : Le Journal du dimanche, 4/02/2024
12:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Revue de presse : Hommage à Jean-Pierre Stirbois
«… La présence de cinq millions d’immigrés pèse lourdement sur la vie économique de la France. Aussi, nous exigeons l’arrêt de l’immigration et leur retour dans la mère patrie. La priorité au travail doit se faire d’abord au bénéfice des Français »
(Propos tenus par Jean-Pierre Stirbois, lors des Législatives de… 1978).
Eric de Verdelhan, Riposte laïque cliquez là
Peut-être qu’un jour Marine Le Pen sera présidente de la République ? Tout est possible !
Elle n’a « pas de problème avec l’islam », elle est favorable à l’inscription du droit à l’IVG dans la Constitution, et elle est farouchement contre l’idée de « remigration ». Le RN ne s’interdit pas de rompre avec l’AFD allemand au Parlement européen. En voulant dédiaboliser son parti, Marine Le Pen a rejoint le système – « la bande des quatre » – que son père dénonçait autrefois.
Son parcours me rappelle celui de… François Bayrou, le crétin des Pyrénées. Il y a quelques années les grenouilles de bénitiers, les démocrates-crétins et les petits-bourgeois de province ne tarissaient pas d’éloge sur Bayrou, catholique, bien marié, père de six enfants, conservateur, etc. Il incarnait la droite telle qu’on la conçoit dans les salons mondains. Il était paré de toutes les vertus, de plus il avait commis un livre (1) sur le bon Roi Henri IV, le père de la « poule au pot », un des rares monarques qui fait l’unanimité auprès des Français. Certes le « Vert Galant » changeait plus souvent de religion que de chemise, il portait une ceinture de harengs pour éloigner les mouches, et l’une de ses nombreuses maîtresses lui déclara un jour « Ah Sire ! Il vous prend bien d’être Roi, sans cela on ne pourrait vous souffrir car vous puez comme charogne ! », mais il a laissé l’image d’un homme truculent, ripailleur, goinfre, trousseur de jupons, paillard, bref un roi bien français. Et puis un enfant baptisé – catholique – au vin de Jurançon ne pouvait pas devenir un mauvais monarque.
Au fil du temps, François Bayrou, dont l’air benêt cache une ambition démesurée et un ego susmentionné, a cheminé vers la gauche. Il a soutenu la candidature de François Hollande avant de s’allier avec Emmanuel Macron. Il a rejoint ce que j’ai appelé, dès 2017, « l’extrême centre ».
Marine Le Pen, elle, ne se réclame pas de la droite. Elle dit elle-même ne pas savoir ce qu’est la droite et racole chez les électeurs de Mélenchon. Certains – imbéciles, naïfs ou inconscients ? – trouvent qu’elle a bien mené sa barque en devenant enfin fréquentable. On nous dit que, grâce à sa dédiabolisation, elle fait dorénavant (presque) partie de « l’arc républicain ».
Si j’ai bien compris, ce fameux « arc républicain » est une sorte d’intronisation dans la secte (2) « ripoux-blicaine ». Un peu comme en franc-maçonnerie, il faut être parrainé pour en faire partie. C’est un entre-soi de la bien-pensance ; c’est elle qui définit le bien et le mal or, comme vous le savez, le mal absolu, bien pire que la vérole, c’est l’extrême droooâââte, le nationalisme, et le populisme.
Marine Le Pen, disais-je, sera peut-être au pouvoir en 2027, mais pour faire quelle politique ?
En attendant, elle ne semble avoir qu’un ennemi, « Reconquête ! » d’Éric Zemmour. Je note d’ailleurs que les médias consacrent leur une (ou leur antenne) à Jordan Bardella et évitent de parler de Marion Maréchal. On me dit que le RN a le vent en poupe pour les Européennes et que la liste conduite par Marion Maréchal fera un flop, donc qu’il faut voter RN. Ce raisonnement est stupide. Il s’agit d’un scrutin proportionnel donc il me paraît souhaitable, voire indispensable, que la liste de « Reconquête ! » obtienne un maximum d’élus, et ce pour trois raisons : la première c’est que le programme de « Reconquête ! » est le seul (pour l’instant) qui évoque sans la moindre ambiguïté le « Grand Remplacement » et la nécessaire « remigration ». La seconde est que le parti d’Éric Zemmour a subi deux échecs – à l’élection présidentielle et aux Législatives – et que je le vois mal se relever d’un nouvel échec. Si la liste de Marion Maréchal fait moins de 5 %, « Reconquête ! » ira rejoindre les partis qui font de la figuration faute d’arriver à s’entendre, comme « Les Patriotes » de Philippot, « Debout la France » de Dupont-Aignan ou « L’Union Populaire Républicaine » d’Asselineau. « La droite la plus bête du monde » aura, une fois de plus, réussi à se tirer une balle dans le pied.
10:51 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 04 février 2024
Face à l'acharnement du pouvoir liberticide à son encontre, le site Riposte laïque dans l'obligation de se mettre (momentanément) en sommeil...
Seuls les responsables de Riposte laïque sont aptes à prendre une telle décision et nous ne pouvons qu'admirer leur courage et leur sage prudence. En effet, et nous le rappelons sans cesse dans notre revue cliquez ici et sur notre site quotidien d'information, l'opposition patriotique, dans son ensemble, est victime de l'acharnement liberticide du pouvoir encore en place. Il ne recule devant rien pour nous asphyxier.
L'essentiel pour nous tous, c'est de sauver les structures combattantes. Parfois, tels les félins, il faut savoir se mettre en stagnation pour mieux bondir le moment venu. L'heure du réveil national approche... Soutien total à nos camarades de Riposte laïque !
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Pourquoi Riposte Laïque doit se mettre en sommeil quelque temps…
Source Riposte laïque cliquez ici
Nos lecteurs connaissent notre pugnacité au combat. Ils savent que depuis 2007 notre site et ses animateurs mènent un combat inlassable contre l’islamisation de la France, permise par l’invasion migratoire organisée par les mondialistes.
Nous savons que chaque matin des dizaines de milliers de lecteurs attendent avec impatience la sortie de notre lettre, qui amène une autre lecture de l’actualité que celle des médias propagandistes sur des sujets comme l’islam, l’invasion migratoire, l’imposture climatique, la dictature sanitaire, la guerre Russie-Ukraine, le conflit Hamas-Israël, le régime de Macron, l’Union européenne, les trahisons de la gauche immigrationniste et de la droite collabo, les agressions ethniques quotidiennes commises contre les Français par des envahisseurs, etc.
La plupart de nos contributeurs choisissent d’écrire à visage découvert, sous leur vrai nom, et certains, pour des raisons de sécurité physique ou professionnelle, choisissent un pseudonyme. Bien sûr, jamais un seul article de notre site n’a eu comme conséquence le passage à l’acte d’un de nos lecteurs.
Mais c’est parce que Riposte Laïque est devenu un outil de la réinformation de plus en plus lu que le régime de Macron a décidé d’utiliser les grands moyens pour le faire taire définitivement. Nos lecteurs connaissent l’acharnement judiciaire utilisé contre nous depuis plus de dix ans pour nous ruiner : des dizaines et des dizaines de plaintes, suivies d’interrogatoires policiers et judiciaires et de procès, que nous gagnons la plupart du temps mais qui affaiblissent notre trésorerie. Sans le talent de notre avocat, Maître Pichon, sans le soutien de nos lecteurs, par les dons et les achats de nos livres, nous n’aurions jamais pu faire face à cette offensive.
Mais depuis quelques jours, une nouvelle étape a été franchie par le régime. Profitant du procès de Charles Demassieux, un des piliers de Riposte Laïque, qui s’est comporté en héros pour sauver la vie d’une vieille dame de 83 ans agressée par un délinquant multirécidiviste alcoolique et toxicomane, les juges, sous les ordres du pouvoir, se sont lancés dans une énorme offensive contre notre site coupable d’avoir défendu notre contributeur.
Charles a en effet été lourdement condamné par le juge Michael Humbert : 18 mois de prison, dont 3 mois ferme, 3 500 euros de dommages et intérêts à verser à l’agresseur, cinq années d’inéligibilité, trois années d’interdiction de détention d’armes, quand le délinquant était condamné à 68 euros d’amende et à quelques heures de travaux d’intérêt général. Charles a témoigné sur ce scandaleux procès, sur l’attitude d’un juge qui s’est davantage comporté comme un militant du Syndicat de la magistrature que comme un magistrat rendant la justice au nom du peuple français.
Ce témoignage de Charles Demassieux a fortement indigné des lecteurs de Riposte Laïque, et bien plus largement des milliers de Français. Certains ont cru bon de réagir en insultant grossièrement le juge, voire en le menaçant de mort, comme l’a fait le site Réseau Libre. Une aubaine pour le régime, qui a infligé, dans la foulée, une nouvelle garde à vue de 36 heures à Charles Demassieux, et une perquisition contre Pierre Cassen qui s’est vu confisquer ses ordinateurs et son téléphone portable.
Notre fondateur paraît la victime d’un coup tordu digne des pires barbouzes. La chaîne sur laquelle il enregistrait ses vidéos quotidiennes a été bloquée et a été redirigée, au grand dam de Pierre, sur le site Réseau Libre, celui qui a proféré les menaces de mort contre le juge. Et donc, sautant sur l’occasion, le pouvoir, par le juge Grégory Weill, a diligenté cette perquisition contre lui, pendant que Charles était encore en garde à vue. Les policiers lui ont même demandé s’il était Léon, le signataire des textes les plus virulents de Réseau Libre !
L’appareil d’État, ses policiers et ses juges, qu’on suspecte de surveiller les animateurs de notre site depuis longtemps, espèrent donc trouver en fouillant dans les archives de Riposte Laïque des preuves que nous les suspectons d’être capables de fabriquer, impliquant les animateurs les plus actifs de notre site. Ce qui se profile, c’est une possible inculpation de nos dirigeants, voire des persécutions judiciaires dont nul ne sait jusqu’où elles peuvent aller. La dissolution de nos associations, la fermeture de nos sites ne peuvent être exclues, surtout quand on sait que les banques de Riposte Laïque et de Résistance républicaine ont fait savoir qu’elles nous viraient, et que le compte Twitter de RL a été fermé. Nous savons que nos communications, écrites ou orales, sont surveillées par la police politique de Macron-Darmanin-Dupond-Moretti.
Nous nous devons, dans une situation grave où la survie de notre site mais aussi la liberté de nos animateurs est en jeu, de prendre le temps de la réflexion. Or, publier un journal tous les jours avec la pression que cela représente, le temps que cela implique, n’est pas compatible avec ce recul nécessaire que la situation demande.
Nous avons donc décidé, et ceux qui nous connaissent savent que cela nous coûte, de suspendre momentanément le site Riposte Laïque. Nous ne le fermons pas et ses seize années de combat demeurent accessibles sur Internet. Nous éprouvons simplement le besoin de réfléchir ensemble à la suite. Devons-nous, après cette pause, continuer comme si de rien n’était, et attendre les éventuelles poursuites qui peuvent nous atteindre ? Devons-nous poursuivre Riposte Laïque, mais avec des changements dans les rythmes de publication, dans la ligne éditoriale, dans le nombre d’articles, dans la maquette ? Devons-nous inventer quelque chose de nouveau, de différent ? Nous sommes ouverts à toutes les suggestions de nos lecteurs, dans les commentaires qui demeurent ouverts. Cela peut durer quelques jours, ou quelques semaines, en fonction de l’évolution de la situation.
Bien évidemment, pour vous confirmer que nous n’abandonnons pas le combat, nous vous informons que Résistance républicaine continue à informer ses lecteurs de l’actualité, dans un esprit proche de celui de Riposte Laïque, et que Pierre Cassen va retrouver dans les heures qui viennent les moyens de reprendre ses vidéos quotidiennes, qu’il enverra comme tous les jours à des milliers d’abonnés.
Ne soyez donc pas inquiets, le combat continue, mais il est des périodes où il faut savoir faire une escale au port avant de repartir.
Hauts les cœurs, amis patriotes, et à bientôt !
Lire l'entretien que nous a accordé vendredi dernier notre Ami Pierre Cassen, fondateur de RL cliquez ici
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