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mercredi, 05 juillet 2023

LA MOUVEMENT NATIONAL-DÉMOCRATE PRÉSENTE SON PROJET POUR ORGANISER LA REMIGRATION

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Vincent Vauclin, président du Mouvement national-démocrate

En quelques jours, la France a basculé dans le chaos. Des milliers de véhicules incendiés, de commerces pillés, de mairies et de commissariats attaqués, d'écoles et de bibliothèques vandalisées, des centaines de policiers et de pompiers blessés... Tel est le bilan - encore provisoire - de ces quelques nuits d'émeutes durant lesquelles les pouvoirs publics ont été débordés malgré le déploiement de 45 000 policiers et gendarmes sur l'ensemble du territoire. Une situation quasi-insurrectionnelle mêlant violences gratuites, attaques ciblées contre les représentants de l'État et pillages systématiques, y compris dans des villes de taille moyenne jusqu'ici épargnées par les émeutes urbaines.

Après des décennies de laxisme judiciaire et migratoire, la France est toujours confrontée aux conséquences inévitables du multiculturalisme et de la faillite de son modèle d'assimilation. Multiplication des zones de non-droit, sédition communautariste, ressentiment et racisme anti-français assumé : le déni n'est plus permis, et seul le Ministre de l'Intérieur peut encore prétendre qu'il n'existe aucun lien entre ces évènements dramatiques et l'immigration massive imposée à notre pays depuis plus de quatre décennies.

Ces nuits d'émeutes ne sont que la préfiguration de l'embrasement qui menace la France à court terme si rien n'est fait. Mais une autre politique est encore possible, à condition d'aller au-delà des considérations superficielles et du déni dans lequel les médias subventionnés entendent enfermer l'opinion publique. Voilà pourquoi le Mouvement National-Démocrate dévoile aujourd'hui son dossier CTRL+Z : le projet des nationaux-démocrates pour organiser la remigration cliquez ici

Site du MND cliquez là

00:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 04 juillet 2023

Les islamo-gaucho-écolos vs les « M’sieurs-dames tout en un »

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La chronique de Philippe Randa

Je relatais dernièrement (Nouveau Présent du 20 juin 2023 « Poor lonesome wokistes »), les soucis outre-atlantique des « M’sieurs-dames tout en un » avec le conseil municipal 100 % musulman de Hamtramck dans le Michigan qui a interdit le déploiement du drapeau LGBTQ+ Pride sur les propriétés publiques de la ville… Mais outre-Manche également, tout ne va pas pour le mieux dans le meilleur des paradis fantasmé LGBTQXYZ (et plus si affinités).

À Londres, c’est par les écologistes que la 51e Marche des Fiertés a été contrarié. Quelques minutes seulement, certes, mais le temps ne fait rien à l’affaire et quand on veille à enquiquiner son prochain, qu’importe l’arc-en-ciel des sentiments : le groupe Just Stop Oil a bloqué un char du cortège dénoncé comme « le pire pollueur plastique au monde » ; rien que ça !

Et quel est ce char impie frappé par l’opprobre escrologique ? Celui de Coca-cola qui a ainsi pu tester l’efficacité de son nouveau slogan 2023 « Taste the feeling/goûte la sensation » (qui a remplacé celui datant de 2009 : « Ouvre un Coca-Cola, ouvre du bonheur ») !

Car, nous apprend le site euronews, « Just Stop Oil avait auparavant demandé aux organisateurs de renoncer à être sponsorisé par “des industries hautement polluantes”. La Marche des Fiertés compte parmi ses plus grands sponsors la compagnie aérienne United Airlines »… et Coca-Cola a signé en 2007 avec United Airlines un accord de cinq ans sur les boissons, devenant ainsi son principal fournisseur de boissons non alcoolisées… C’est ballot, tout de même !

Mais comme si les déboires LGBTruc-machins d’outre-Altlantique et d’outre-Manche n’étaient pas déjà si révélateurs d’un « pas vivre avec tout le monde », voilà qu’« outre-Couesnon », en Bretagne extrême, donc ! le bar LGBT Happy Café à Brest a été obligé, « en catastrophe, de fermer ses portes après un signalement de messages haineux des émeutiers sur les réseaux sociaux » parce que pris pour cible sur les réseaux sociaux par de susceptibles « chances pour la France » qui se répandaient depuis le début des émeutes de la fin de semaine en messages d’amour explicites tels que : « Les gars priorité à l’happy Café on brule les PD qu’ils crèvent en enfer le Coran », « Exploser l’happy café faut respecter notre religion Allah Akbar », « Happy café zéro pitié »… et autres aimables sentiments de fraternité religieuse !

Seuls, bien sûr, des esprits chagrins se réjouiraient de voir tout ce beau monde s’entre-dévorer ainsi à pleines dents et leur souhaiteraient « bon appétit ! »

Eurolibertés cliquez ici

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Décès du « petit ange », au profil de racaille.

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Pieter Kerstens

Le docteur Micron et son assistante, Elisabeth Borne, avaient déclaré publiquement que la mort de l’adolescent à Nanterre était « inexcusable », « injustifiable » et « intolérable », en condamnant l’acte du policier dès le lendemain, mercredi 28 juin.

Après les prises de positions des plus hauts responsables de l’Etat français, quelle place reste-t-il encore à la Justice ?

Avec quelle sérénité le dossier va-t-il être instruit ?

Et contrairement à ces déclarations et aux affirmations des footeux et artistes divers, Nahel n’était pas tout à fait un « ange », mais un véritable délinquant connu des services de police à Nanterre pour plusieurs « refus d’obtempérer » et délits divers, sans avoir été condamné et donc avec un casier judiciaire vierge.

MIEUX VAUT OBEIR AUX FORCES DE L’ORDRE.

On peut se demander s’il est normal qu’un garçon de 17 ans conduise une Mercédès immatriculée en Pologne, sans permis de conduire, ni assurance. Les motards de la police avaient pris Nahel en chasse, car celui-ci roulait dans un couloir réservé aux bus et aux véhicules de secours. Refusant une première fois de s’arrêter, Nahel grille un feu rouge et manque d’écraser un piéton, puis ensuite de renverser un cycliste. Ce n’est que dans les embouteillages que les deux flics arrivent à coincer le véhicule, dont le conducteur refuse d’obéir aux injonctions des forces de l’Ordre et repart, ce qui déclenche le tir mortel.

Il est absolument inacceptable que le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, se mêle des faits divers en France et exige du docteur Micron que celui-ci « protège les citoyens algériens résidants dans l’Hexagone » !

Les syndicats de la police ont bien raison de parler de la « guerre aux nuisibles ».

En outre, la population a bien compris que le fond de ce drame concernait évidemment les séquelles de l’échec d’une intégration mal vécue. Suite à un sondage du Figaro auprès de 71.000 lecteurs, 84% sont favorables à la cagnotte lancée en faveur de la famille du policier actuellement en garde à vue. Ce mardi 4 juillet, cette cagnotte s’élevait à 1.380.000 euros, quand la cagnotte pour Nahel ne recueillait, elle, que 340.000 €, soit quatre fois moins !

PILLAGES ET RAZZIAS SONT LES DEUX MAMELLES DE LA CRAPULE.

Dès le mardi soir, 27 juin, partout en France (en aussi en Belgique) les émeutes ont émaillé les villes où des jeunes issus de l'immigration ont montré qu'ils se considéraient comme des Français de papier en déversant leur haine contre nos lois et règlements, contre nos us et coutumes, en cassant et en brûlant tout ce qui leur tombait sous la main, qu’il s’agisse de biens publics ou privés.

La racaille jeune et moins jeune s’est abattue comme un vol de prédateurs sur les commerces les plus divers (tabacs, électroniques, parfumeries et boutiques de luxe), dont les vols se montent à plusieurs centaines de millions d’euros, qui s’additionnent à tous les dégâts survenus aux bâtiments publics et privés, ce qui va aboutir à une addition que les contribuables français vont devoir payer dans l’avenir. Merci aux gouvernants qui, au fil des années, ont ignoré les conséquences d’une immigration sauvage, dénoncée par mes camarades d’Ordre nouveau en juin 1973 et relatée par Jean Raspail dans son livre prémonitoire « Le camp des saints » la même année.

19:45 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce n'est pas nous qui le disons...

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"Un pitbull avec un air de cocker" (Paul Benayoum)

Synthèse nationale

Avec les émeutes, de nombreux commentateurs se souviennent brusquement du "père de la rénovation urbaine (...) qui porta l'un des plus grands programmes publics en faveur des quartiers difficiles" (selon Le Point), Jean-Louis Borloo, ministre délégué à la Ville sous Chirac, de l'Ecologie sous Sarkozy puis auteur d'un plan d'action pour les banlieues qu'Emmanuel Macron enterra sans fleurs ni couronnes en 2018....

Espérons qu'ils se souviennent également de ce que l'intéressé déclarait en 2002, dans Un homme en colère (éd. Michalon), un livre écrit par Jean-Paul Brighelli (l'auteur de La fabrique du crétin) :

"Je me souviens d'une époque où la peau d'un flic, dans le cadre de sa mission, était sacrée. Je souhaite (...) que, sauf preuves contraires, comme pour les douanes, la parole d'un policier dans l'exercice de ses fonctions prédomine. Il me paraît, par ailleurs, indispensable que les délits constitués à l'encontre du policier dans le cadre de ses fonctions (...) vaillent double sanction à leurs auteurs".

"A côté du délit de faciès (...) se développe aujourd'hui surtout le délit d'uniforme. Oui, nos forces de sécurité sont en péril, démobilisées, démoralisées, abandonnées (...). Oui, j'en ai assez de voir nos gendarmes et nos policiers pris pour cibles, non respectés (...)". 

"Si l'on n'y prend pas garde, il y aura de plus en plus de bus qui brûleront, de gamins qui se drogueront, d'échecs scolaires qui deviendront des violences urbaines (...). La sécurité pour tous est une impérieuse nécessité de l'Etat. Dans ce domaine, on constate en partie sa défaillance (...). Défaillance dans les résultats, défaillance dans l'état d'esprit des commentateurs pour qui il n'y a de bavures que policières".

"L'absence de répression est une forme d'oppression, car elle revient à supprimer tout repère (...). Le meilleur moment pour dire non, c'est le premier. Disons non tout de suite, à la première déviance".

 On le voit : comme trop souvent, des constatations et des réflexions frappées au coin du bon sens... qui, au final, ont débouché sur rien ou pas grand chose... Derrière les mots, l'inaction... Paroles, paroles, paroles, encore et toujours des paroles, chantait Dalida... Aujourd'hui, vingt-et-un ans après ces propos du "pitbull avec un air de cocker", les Français constatent les résultats de la politique du chien crevé au fil de l'eau. Espérons que cette fois, ils sauront en tirer les bonnes conclusions et voter en conséquence...

18:01 Publié dans Didier Lecerf | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand il n'y a ni immigrés ni migrants, il n'y a pas d'émeutes

Logo-Callac.jpegUn communiqué de la

Coordination Partout Callac :

Le jeune Nahel est mort à Nanterre le mardi 27 juin lors d’un refus d’obtempérer, au volant d’une voiture de grosse cylindrée, alors qu’il n’avait ni permis de conduire ni assurance et après avoir été repéré par la police pour de multiples infractions au code de la route.

Nahel n’était pas un inconnu des services de police : 17 mentions au casier judiciaire et 5 refus d’obtempérer au compteur, avant celui de mardi dernier.

Pourtant c’est lui qui fut présenté comme la victime et le policier comme l’horrible personnage de l’histoire.

Toute la gauche et les bien-pensants ont récupéré l’affaire et relancé l’inacceptable : « la police tue ».

Même le président de la république déclara que cette mort était « inexcusable », condamnant ouvertement le policier en cause avant même que l’enquête n’établisse s’il avait commis ou pas une faute et au mépris de la présomption d’innocence.

Dans les banlieues, prenant prétexte de cette mort, d’un bout à l’autre du pays ce fut une explosion de violence contre la police, contre tout ce qui représente l’autorité et porte un uniforme.

Des bâtiments publics (écoles, mairies, commissariat de police, bibliothèque,… etc.) ont été détruits par le feu. De même une multitude de véhicules ont été incendiés, ainsi que des bus et des tramways.

À cela il faut ajouter les pillages qui eurent lieu sur le mode « razzias » dans les magasins, notamment de centre-ville et zones commerciales, dont le butin fut ramené dans les quartiers.

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17:46 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Franc-Maçonnerie : révélations politiques d’un ex-Vénérable Maître - Serge Abad-Gallardo

Serge Abad-Gallardo est un ancien haut fonctionnaire territorial qui a passé plus de vingt ans au sein des loges maçonniques du Droit humain qui est une obédience mixte et internationale. Il a occupé la plupart des postes d'officier de loge, y compris celui de Vénérable Maître. Revenu à la foi chrétienne en 2012, il témoigne de sa connaissance du monde de la franc-maçonnerie dans de nombreuses conférences qu'il donne en France et à travers le monde.

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Ce livre est disponible ICI

16:49 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

" Sound of Freedom " La terrible réalité

Ce 4 juillet 2023 sortira – enfin – dans les salles de cinéma américaines le film Sound of Freedom réalisé et coécrit par Alejandro Monteverde. Il met en vedette l’acteur catholique Jim Caviezel, qui a notamment interprété le Christ dans le film La Passion réalisé par Mel Gibson. Cette fois, Caviezel joue Tim Ballard, un ancien agent du gouvernement devenu justicier et qui se lance dans une mission pour sauver les enfants des trafiquants sexuels en Colombie.

Il s’agit d’une histoire vraie. Tim Ballard a quitté son emploi d’agent spécial auprès de US Homeland Security Investigations (HSI) pour devenir justicier et se lancer dans une mission de sauvetage d’enfants prisonniers des cartels et des trafiquants d’êtres humains en Amérique latine.

Ballard a personnellement demandé à Jim Caviezel de tenir son rôle, même si l’acteur ne lui ressemble pas.

Le tournage a commencé à l’été 2018. Une partie du film a été tournée aux États-Unis (Calexico, Californie), mais la plupart des tournages ont eu lieu à Carthagène, en Colombie.

Le film a été achevé il y a plus de quatre ans et un accord de distribution avait été conclu avec la 21st Century Fox. Mais, lorsque ce studio a été acquis par Walt Disney Pictures, le film Sound of Freedom a été rangé au placard. Les cinéastes ont passé des années à batailler avec Disney pour essayer de récupérer les droits de distribution et pouvoir le projeter enfin en salles.

En mars 2023, la bonne nouvelle s’est répandue qu’Angel Studios avait acquis les droits de distribution mondiaux, avec une sortie prévue au cours du second semestre 2023. Angel a ensuite fixé une date de sortie au 4 juillet 2023.

Angel a utilisé le financement participatif pour collecter les fonds nécessaires au marketing et encourager les clients à “payer pour un autre” afin de permettre à d’autres personnes de venir gratuitement regarder ce film. Goya Cares, une fondation contre la traite des êtres humains, a annoncé son soutien en tant que producteur exécutif pour la sortie.

Le 30 juin 2023, Deadline a rapporté que les préventes de billets avaient déjà rapporté 7,2 millions de dollars et concernaient 2 626 salles de cinéma, avant même sa sortie officielle aux États-Unis ce 4 juillet 2023.

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Une odeur de révolution colorée en France

Quel sens donner aux émeutes en France ?

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15:24 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Angers. Racailles et militants antifas ont attaqué le local du RED ce lundi soir

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Source Breizh info cliquez ici

La racaille et l’ultra gauche se sentent pousser des ailes à Angers depuis qu’une certaine presse, mais aussi les pouvoirs publics, semblent avoir fait des jeunes du Rassemblement des étudiants de droite (RED) une cible prioritaire. Résultat, depuis samedi soir, chaque soirée est ponctuée par de violentes attaques par des bandes armées, en plein centre ville d’Angers, attaques visant le local qui appartenait par le passé à l’Alvarium.

A chaque fois, les jeunes présents dans le local tentent de riposter et de faire fuir des agresseurs de plus en plus nombreux et armés. Les vidéos, diffusées sur les réseaux sociaux, montrent que manifestement, les forces de l’ordre ont des consignes pour ne pas mettre hors d’état de nuire les assaillants (il est impossible de se battre aussi longtemps sans intervention policière, sinon cela signifie que même le centre ville d’Angers n’est plus protégé de rien)

Nous vous laissons découvrir les vidéos, aux allures de véritable guerre ethnique, et les violences auxquelles font face, seuls contre tous (la presse mainstream et les politiques déformant totalement la réalité), les jeunes militants identitaires.

Lire la suite sur Breizh info cliquez ici

NDLR SN : à Nantes, la Librairie Dobrée elle-aussi aussi attaquée cliquez ici

11:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Emeutes en France : Comment en est-on arrivé là ? Le déni du « gauchisme culturel ».

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Michel Festivi 

Il est toujours particulièrement valorisant, dans le cadre du combat des idées, de trouver chez ceux qui peuvent apparaître à des années lumières des convictions du camp dit « patriotique » ou « national » pour faire très court, des arguments forts qui vont dans notre sens et qui donnent de l’eau à notre moulin.

Je ne rapporterai donc pas, cette fois, les propos solides d’un intellectuel de droite, voire « d’extrême droite », ou d’un chroniqueur régulier d’un périodique de notre famille de pensée, mais celle d’un historien de la Shoah, d’un intellectuel d’origine juive qui avait subi par le passé la vindicte des bien- pensants de l’islamo-gauchisme, pour avoir affirmé que les banlieues promouvaient l’antisémitisme.  

Je veux évoquer ici, Georges Bensoussan (ci-dessus), qui avait dirigé en 2002 déjà, un ouvrage collectif qui avait fait grand bruit alors, Les Territoires perdus de la République, qui lui avait attiré les foudres des élites aveuglées et contaminées par le refus d’appréhender le réel. 2002, nous étions alors en plein chiraquisme, c’est-à-dire dans un déni total de réalité et ça continue allègrement depuis.

Que nous dit d’éclairant Georges Bensoussan, dans un entretien du 2 juillet 2023 au Figaro ? Il n’a pas apprécié visiblement, l’incompréhensible minute de silence imposée à l’Assemblée nationale. Cela ne lui inspire que « du chagrin et de la pitié », et aucune minute de silence « pour Sarah Halimi, ni pour d’autres victimes civiles ou policières » dénonce-t-il.

Il professe que le déni est l’une des causes majeures de la situation actuelle, déni « entretenu par les classes dirigeantes qui, pour partie, dominent médiatiquement ce pays ». C’est le nœud de son propos.

Implicitement, il compare la situation actuelle avec la montée du nazisme, que les élites de l’époque se refusaient à percevoir alors. Aujourd’hui, tout le monde voit le naufrage arriver, mais les gouvernants se sont tellement auto-entravés, auto-censurés, qu’ils sont d’une impuissance absolue, qu’ils sont paralysés face aux drames qui arrivent. Et il reprend le mot de Walter Benjamin : « le cheminement vers la catastrophe ». Nous y sommes en plein. 

Et les références pleuvent. La haine entretenue à l’égard du pays d’accueil que notait Pierre Legendre, historien du droit et psychanalyste, haine facilitée par la volonté mortifère de refuser d’imposer nos lois et nos mœurs aux arrivants. L’hyperviolence des adolescents des cités, devenus des « enfants-roi », fonctionnant au « code de l’honneur » « par un sentiment de toute puissance et d’absence de limites », caractères qui ont été analysés par le pédopsychiatre Maurice Berger, qui déplorait le laxisme judiciaire, surtout celui de la politique pénale des mineurs.

L’analyse de l’ethnologue Germaine Tillon, qui dans son ouvrage, Le harem et les cousins, avait disséqué que dans les sociétés maghrébines où : « Le garçon… plus particulièrement le fils aîné- est un roi fainéant, autour duquel convergent les attentions serviles de toutes les femmes de la famille… il doit (être) continuellement disposé à égorger tous les hommes et à violer toutes les femmes ».

Selon Georges Bensoussan, Germaine Tillon faisait le distinguo entre « une société des cousins » et « une société des citoyens », où le « code de l’honneur » affronte frontalement nos sociétés dites « libérales ». Et d’ajouter opportunément : « Les accusations de racisme pleuvent. Répétées ad nauseam, elles vont condamner ce pays à une atrophie du débat public. ». C’est déjà le cas.

Il fustige l’antiracisme dévoyé qui ne permet plus une vision saine du réel, allant jusqu’à « travestir la réalité et trafiquer le passé historique ». On le constate avec des déclarations inconséquentes de Macron ou de Borne qui vont jusqu’à falsifier de l’Histoire de France.

Et c’est ce même Georges Bensoussan qui nous dit : « Le chantage à l’extrême-droite a rendu impossible la peinture vraie de la réalité française ». Cela conduit tout droit, nous affirme-t-il, à taire le sort fait aux jeunes filles, aux femmes célibataires ou divorcées dans les cités, à taire l’identité des auteurs de viols collectifs etc…Comme à taire l’identité de ceux qui égorgent, les attaques aux couteaux ayant subi une augmentation considérable ces dernières années.

A quoi alors ont servi depuis 40 ans les 14 plans banlieues ?  A rien à l’évidence, sauf à une augmentation effarante de la fiscalité française, l’une des plus importante des pays de l’OCDE.

Il pointe du doigt le grand patronat, qui a voulu et mis en place à partir du séisme de mai 1968, et avec la complicité de tous les pouvoirs publics successifs, une politique migratoire démesurée et finalement incontrôlée pour peser sur les salaires, dans le cadre d’une main d’œuvre à très bon marché, mais avec toutes les conséquences sociales que cela a induit, dans le cadre de la mondialisation dévoyée à la Georges Soros, et Jacques Attali, et l’incontrôlable regroupement familial.

La faillite de l’intégration est soulignée avec comme corollaire, « la multiplication des proclamations sur la République, la laïcité et la citoyenneté qui toutes évitent soigneusement le mot Nation. » Et d’enfoncer brillamment le clou, dans une envolée que n’aurait pas renié ni Charles Péguy ni Maurice Barrès : « Le contenu charnel (de la nation) dont le paysage français témoigne depuis la plus petite église romane de Saintonge jusqu’au plus modeste des monuments aux morts de 1914-1918. La nation… c’est notre héritage et la perspective d’un avenir commun. ». Bref le rappel de la France de la terre et des morts. Rappelons-nous que Chirac s’était fortement opposé à l’affirmation des racines chrétiennes de l’Europe dans le projet de constitution européenne, et une Europe sans racine, c’est une construction totalement artificielle mais qui promeut le port du voile. 

Bien sûr, l’islamisation, voire la « palestinisation » de nos sociétés sont évoquées, ce qu’il nomme « l’archipélisation » de la France, déstructurant tout, du fait dit-il « de la chute de la pratique religieuse, une véritable révolution anthropologique concomitante de l’effondrement des grandes structures d’encadrement de jadis. », une analyse que Patrick Buisson a fait sienne depuis longtemps.

Car c’est bien « un antiracisme dévoyé qui nous a empêché pendant des années de nommer la réalité », et il faut lutter contre les discours moutonniers invoquant le racisme, ou les conditions socio-économiques pour expliquer ces émeutes qui pourraient s’apparenter à des prémices de guerre.  La loi du nombre dans le cadre de l’immigration illégale et massive faisant le reste. La libanisation de la France approche à une vitesse qui prend tous les jours de l’ampleur.

11:28 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Aux armes citoyens… Formez vos bataillons…

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Jarente de Senac

A l’initiative de l’homme politique et chroniqueur Jean Messiha, a été lancé un compte sur la plateforme Godfundme afin de venir en aide a la famille du policier qui a tiré et tué le jeune Nahel, 17 ans, fils d’immigrés, dans des circonstances qui ne sont pas encore totalement établies. En attendant, le policier a été mis en examen. En a peine trois jours, la cagnotte constituée pour venir en aide à sa famille a déjà recueilli plus de 1,3 million d’euros de la part de plusieurs milliers de donateurs quand celle lancée pour la famille de Nahel, Laetchi,  atteint péniblement les 180 000 €.

Godfundme est une plateforme américaine de collecte de fonds de crowfunding (financement participatif). Celle-ci a fait savoir que les conditions de la collecte étaient parfaitement régulières et que les fonds recueillis seraient versés à la famille. Car il ne s’agit nullement, d’un soutien financier pour la défense juridique du policier. La loi française interdit d’ouvrir des souscriptions pour indemniser des frais de condamnation judiciaire. Ce qui n’est pas le cas. Et le montant recueilli en si peu de temps en dit long sur le sentiment et l’exaspération des Français.

Inutile de dire que dans la majorité comme à gauche, les pleureuses ne se sont pas faits attendre pour dénoncer cette initiative et valider une incitation à l’émeute. Les médias publics comme ceux de gauche – en fait la même chose -, montent au créneau et dénoncent un « appel à la haine ». Sauf que les Français disent le contraire.

Ils en ont marre d’une violence qui est dans sa grande majorité la conséquence de l’immigration. Une immigration qu’elle soit contrôlée ou non et qui aboutit aujourd’hui à des émeutes, où le pays est mis à feu et à sang, où des maires sont menacées quand ce n’est pas leur famille qui est visée comme ce fut le cas à Lhaÿ-les-Roses.

Les Français en ont marre de cette gauche autant que de cette majorité qui voudraient de surcroît soupoudrer nos campagnes de cette racaille incontrôlable comme ce fut le cas à Callac et à Saint-Brévin-les-Pins. Marre de leur politique de la ville qui est un échec depuis Bernard Tapie et dans laquelle tous les gouvernements, de gauche comme de droite, ont investi des milliards… en vain.

Les Français en ont marre de cette insécurité qui gangrène nos villes et nos villages. Marre aussi de cet Etat qui ne cesse de nous montrer sa trouille et son impuissance et qui laisse la société s’islamiser, les soignants, les pompiers, les policiers se faire agresser, caillasser, insulter. Ces émeutes ne sont rien moins qu’un état de guerre civile. Ces jeunes émeutiers de 13 ans et plus sont désormais irrécupérables. Ils sont en guerre contre la République et ses lois. Et le pire c’est qu’ils agissent en toute impunité sous l’œil goguenard d’un Mélenchon ou d’une Sandrine Rousseau et de toute cette gauche qui a détruit l’école, piétiné l’histoire de France, vomi l’armée et dont l’idéologue délétère tend à nous faire prendre des vessies pour des lanternes. La gauche… ce grand mensonge national, cette haine de l’autre !  

Et le pire dans cette histoire, est que les Darmanain et autres Dupond-Lajoie-Moretti vont vouloir jouer les gros bras en enchristant des manifestants dans des prisons déjà surchargées d’immigrés où ils pourront renforcer tout à loisir leur haine de ce pays et de sa République.

03:41 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Condamnations très dures pour le mouvement italien Casapound : « Nous ne reculerons pas d’un mètre »

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Audrey D’Aguanno

Il y a exactement vingt ans, le mouvement Casapound occupait un immeuble dans le centre de Rome, rue Napoléon III. Accusés d’occupation abusive, dix de leurs militants viennent d’écoper de peines de prison de deux ans et deux mois, ainsi que d’amendes très élevées. Une décision politique comme l’indiquent, en miroir, la complaisance et le financement publics des occupations opérées par les organisations d’extrême gauche.

L’édifice de six étages était à l’origine une école publique désaffectée, squattée et réduite à taudis par des immigrés en situation irrégulière, où trafic de drogue et délinquance étaient la norme. Les “fascistes du troisième millénaire”, comme les surnomment les médias – le terme de fasciste n’étant pas en Italie synonyme de totalitarisme, mais renvoyant à une idéologie de troisième voie et une période historique précise – nettoient, réparent, remettent en état le bâtiment. Ils en font un espace social où sont organisées, entre autres, rencontres, conférences, expositions et autres initiatives à caractère social et culturel. Mais pas que. Car de nombreuses familles y trouvent refuge, dans un contexte de grave crise immobilière après que dans les années 90, les banques ont spéculé rachetant la plupart des logements vides, avec comme conséquence une augmentation drastique des prix des loyers. Des milliers de Romains se retrouvent à la rue.

À côté de cela, de nombreuses occupations rouges sont financées par les pouvoirs publics, recevant des centaines de milliers d’euros. Même lorsqu’elles ne sont que des squats où règnent l’anarchie, le délabrement et… le meurtre comme, celui de l’adolescente Desirée Mariottini, morte des suites d’un viol collectif par quatre migrants africains qui fréquentaient l’endroit. Sans aller jusqu’au décès, les histoires sordides sont légion, et les riverains se plaignent de la détérioration et de l’insécurité qui font suite à l’installation abusive de centres sociaux d’extrême gauche, notoires repères d’illégalité.

Rien de tel, ne s’est produit au 8, rue Napoléon III à Rome. Tout au contraire. Si le quartier entier n’était pas laissé à l’abandon par la politique de la ville, on pourrait même parler de requalification. Pourtant, c’est cette occupation non-conforme qui est visée par les autorités, une association qui avait fait de la défense du logement sa priorité.

Parmi les accusés,  le Président Gianluca Iannone, Simone et Davide Di Stefano qui ont quitté le mouvement. Une amende immédiate de 20.000 euros, l’indemnisation à l’État, et l’évacuation ont aussi été ordonnées. Nous publions ci-dessous le communiqué signé Casapound :

« Alors qu’à Rome, la Mairie achète avec des millions d’euros des espaces et les offre aux centres sociaux comme dans les cas du Porto Fluviale et du Spin Time, on frappe l’unique occupation non-conforme de la ville où des familles italiennes ont trouvé au fil des années un lieu d’aide et de confrontation. Sans Casapound, l’immeube de la rue Napoléon III serait l’énième symbole de la dégradation de la capitale, alors qu’il est actuellement un point de rencontre culturel, social et politique dans un quartier totalement délaissé par la politique.

Dans tous les cas, cette sentence ne nous trouve pas pris au dépourvu : nous sommes prêts à défendre l’immeuble et les familles en difficulté qui y ont trouvé un endroit sûr et nous recourrons évidemment en appel. Il s’agit du premier cas où, pour une occupation qui remonte, qui plus est à deux décennies, on en arrive à des condamnations de plus de deux ans impliquant même des familles en situation d’urgence qui avaient trouvé un toit en Casapound. Cela démontre, une fois de plus, de quel côté sont ceux qui combattent depuis des années un système pourri et qui, de l’autre, joue au rebelle avec le soutien de la politique et de la magistrature, comme les centres sociaux et l’extrême gauche. Qu’il soit bien clair à tout le monde que nous ne reculons pas d’un mètre ».

Source Breizh info cliquez ici

00:22 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 03 juillet 2023

IL N'Y A PAS PIRES SOURDS QUE CEUX QUI NE VEULENT PAS ENTENDRE

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11:39 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le n°2 de la revue "Omerta" est sorti

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Site Omerta cliquez ici

10:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rétablir la sécurité et organiser la remigration, c'est juste une question de volonté politique.

téléchargement.pngUn communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France :

Si j'étais aujourd'hui à la tête de l'État, je n'hésiterais pas à faire appel à une milice privée, de type Wagner, pour rétablir l'ordre en France avec une impitoyable férocité.

Pour accomplir leur mission sans la moindre entrave juridique, une immunité totale serait accordée à ces mercenaires qui n'auraient ni à se soucier des lois françaises ni des droits de l'homme.

En quelques jours, le pays serait pacifié. En quelques semaines, plusieurs millions d'extra-européens seraient expulsés grâce à la réquisition de la flotte aérienne publique comme privée.

Pour financer tout cela, la suppression de toutes les aides sociales pour les étrangers et les Français de papier serait largement suffisante.

Rétablir la sécurité et organiser la remigration, c'est juste une question de volonté politique.

Site du PdF cliquez ici

10:11 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 02 juillet 2023

ÉMEUTES - MAINTENANT IL FAUT RÉPONDRE PAR LA FORCE

Protéger les Français, rétablir la paix civile, est la seule et unique priorité, et il faut être prêt à l’assumer jusqu’au bout.  Sans avoir la main qui tremble, et sans baisser les yeux devant les caïds qui utilisent un prétexte pour mettre le pays à feu et à sang.

À situation exceptionnelle, mesures d’exception.

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Source : Tatiana Ventôse

23:20 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Expiation

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Bernard Plouvier

Les émeutes raciales qui agrémentent la vie des Français de souche européenne depuis plus de trente ans ne sont qu’une expiation d’à peu près 50 années d’une lâcheté qui confine au crime contre la Nation - le seul crime irrémissible, n’en déplaise aux théologiens, ces gens qui osent faire parler une ou des divinités !

50 années, cela nous ramène au règne désastreux de Valéry Giscard de notre destin. Le 17 janvier 1975, la Loi Veil dépénalise l’avortement non-thérapeutique et promeut ainsi le droit à l’avortement de complaisance. En pratique, seules des femmes de souche européenne – en plus de quelques prostituées exotiques – y ont recours, privant ainsi la France d’environ 225 000 enfants de souche européenne chaque année.

Le complément naturel de cette loi dévastatrice, édicté pour stimuler la consommation intérieure, fut le Décret du 29 avril 1976 (Giscard–Chirac) instaurant le regroupement familial pour les travailleurs immigrés. Les conditions légales pour en bénéficier furent très vite dépassées, oubliées !

Et ce fut une arrivée massive d’Africains, noirs et maghrébins, suivis de Proche-Orientaux, puis d’Afghans, Tchétchènes et autres ressortissants de pays où la culture du pavot est une institution nationale, tandis que la culture du cannabis et la consommation du Haschisch suivent fidèlement les progrès de l’extension de l’islam – c’est une notion bien connue des historiens.

De 1981 à nos jours, les merveilleux électeurs français n’ont jamais cessé de d’attribuer les apparences du pouvoir aux partisans de l’immigration massive, en dépit de ses nuisances (années 1980-90), puis de ses crimes (viols massifs, émeutes raciales, attentats terroristes et assassinats racistes) qui font notre quotidien joyeux au XXIe siècle.

Le Président perpétuel, interchangeable car obéissant aux mêmes ordres issus des globalo-mondialistes, Mitterrand-Chirac-Sarkozy-Hollande-Macron poursuit la noble œuvre giscardienne : immigration massive ; destruction systématique de l’industrie, « délocalisée » ; disparition des infrastructures publiques, sauf dans les grandes villes où les émeutiers détruisent ad libitum, ce qui exige une reconstruction permanente, d’où une absence de crédit pour les campagnes et les petites villes encore calmes car peu envahies de voyous.

Et nos prostitués de la politique et des media en rajoutent sur la repentance, alors que les soi-disant « bavures policières » sont toujours réactionnelles aux ignominies comportementales des voyous de l’immigration et des voyous gaucho-fils-à-papa friqués.

La prostitution de nos chefs n’est que le reflet du crétinisme de l’électorat. 40% des électeurs ne vont plus voter, dégoûtés de la nullité, de la démagogie, de la corruption du personnel qui fait semblant de diriger la Ripoublique depuis le départ gaullien en 1969… de ce fait, De Gaulle passe pour un grand homme, alors qu’il était surtout un géant de la mégalomanie. On partage l’écœurement de ces Français ; on comprend moins leur passivité, qui est une complicité de crime contre la Nation.    

Environ 35% d’électeurs lobotomisés suffisent à placer à la tête de l’État les petits génies qui font semblant de nous gouverner avec le soutien du bourrage de crânes des prostitués fort bien payés des media-menteurs.

Les 25% restant – d’ailleurs incapables de se regrouper derrière un vrai chef honnête et droit – sont diabolisés. Ce sont les « Fâchos » indispensables à la propagande des pourris qui manipulent les crétins, pendant que la racaille ravage notre pays.

En définitive, les Français n’ont que ce qu’ils méritent : corruption et incapacité « en haut », sauvagerie importée sans qu’aucun avis n’ait été demandé au Peuple Souverain, et pleurs imbéciles « en bas ». Le Président-perpétuel attend que les envahisseurs naturalisés soient en nombre suffisant pour décider d’un referendum sur l’immigration extra-européenne !

Les Français de souche européenne expient leur crime contre la Nation française. Leurs descendants se révolteront ou seront esclaves.          

22:19 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 01 juillet 2023

SONT-ILS LÂCHES LES COMMERCANTS, CRAINTIFS, OU ONT-ILS, EUX, CONTRAIREMENT AUX VOYOUS, PEUR DE LA LOI ?

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Je suis atterré de voir des commerçants, restaurateurs et autres boutiquiers, se lamenter devant les saccages de leurs biens.

Que ne se sont-ils ligués, solidairement, côte à côte dans les centres commerciaux, dans les rues du même tabac, pour attendre les émeutiers, gourdin et puissant aérosol de défense à la main, avec des pancartes d’avertissement du genre, « le premier qui entre ne sortira pas debout » ? Quand les braves gens deviennent des gens braves, les bandits reculent. La légitime défense a un sens !

Face au grand nombre de « bavures », la « justice » ne pourrait pas instruire dix, cent, mille affaires !

Il parait que dans un État de droit, on ne peut pas faire justice soi-même. Soit. Mais justement, où est le respect du droit, notamment du droit de propriété dans cette violente situation ? Faire confiance à la « justice » ? Elle est partiellement livrée au Syndicat gauchiste de la magistrature, qui préfèrera toujours le coupable à la victime, l’ouvrier au patron, l’immigré à l’autochtone. Et puis, pour beaucoup des émeutiers, l’excuse de minorité est là. Ils ont déjà quitté les commissariats pour rentrer chez eux. La  canaille, dont certains de ses membres sont d’origine étrangère, « issue de » – même si, ici ou là, quelques « Gaulois » sont allés aussi à la « dépouille » - est, hélas, IRRECUPÉRABLE.

C’est là le résultat de 50 années de lâcheté et d’abandon. Nous avons - nous, ceux du FN et membres de  mouvements parallèles ou identiques - crié dans le désert sous l’opprobre de certains de nos concitoyens, et les insultes des médias pourris : nous avons eu le tort d’avoir raison trop tôt. Les évènements actuels, sur le sujet de l’immigration, donnent totalement raison à Jean-Marie Le Pen. Trop tard, le cancer est là, quasiment inguérissable sauf CHIRURGIE !

Hélas, je ne vois guère de monde capable de prendre le bistouri avec fermeté et détermination. Il faudrait bien pourtant en passer par là si nous voulons sauver l’essentiel : pas le pouvoir d’achat, pas l’âge de départ à la retraite, pas la semaine des quatre jours, pas le télétravail, pas les horaires flexibles, pas l’intéressement, non, tout simplement la France… française !

16:58 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'actu vue par Ignace :

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Les albums de dessins d'Ignace cliquez ici

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Nuits chagrines… nuits d’émeutes

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Le billet de Patrick Parment

La presse frémit, nos politiques s’indignent, le président s’interroge et demande à ses ministres de lui offrir des solutions. Les flics, contraints et ficelés par des lois encadrant leurs actions n’osent même plus se défendre au risque de passer pour des tueurs. Et la justice aux mains de certains magistrats « politiques » prend la défense des agresseurs plus sûrement que celle des policiers. La lâcheté de nos politiques gangrène depuis des décennies la société française, tant ceux-ci se refusent de voir la réalité en face. De gauche comme de droite. Le seul à avoir dénoncer cette atmosphère délétère, c’est Jean-Marie Le Pen. Mais que vaut la parole d’un soi-disant « facho » ? L’autre raison que l’on cache soigneusement sous le tapis, c’est l’école. Depuis que la gauche n’a eu de cesse de déconstruire le roman national, depuis que nos ancêtres ne sont plus les Gaulois, il y a errance en la demeure et le petit écolier ne sait plus à quoi il appartient, d’où il vient et pourquoi défendre ce bout de terre où il use ses baskets. Alors, vous comprendrez pourquoi, ce n’est pas à l’école que le petit Maghrébin va apprendre l’amour de sa patrie d’adoption. Ni pourquoi il irait se fondre dans une République qui ne correspond en rien aux enseignements du coran. D’ailleurs, c’est ce que ne cesse de lui rappeler son imam à l’école coranique. Et ceux qui fréquentent les écoles catholiques n’en savent pas plus non plus. Et pour cause, elle se doit d’accueillir toute la misère du monde.

Tout ce fatras aboutit au final à ce que la rue devienne un lieu d’expression d’on ne sait quoi ? Des gamins qui se défoulent, parce que c’est quand même plus marrant que l’école et la cité quand ils ne font pas le guet pour leurs frères dealers de drogue. Parce que la France est à leur yeux un no man’s land autant qu’une vache à lait grâce à des lois et des aides qui leur permettent de revendiquer des droits qu’ils n’auraient pas dans leur pays d’origine. Combien vivent de ces allocations diverses et variées ? Une majorité eu égard à ceux qui travaillent réellement. On a même assisté au spectacle de ces élus de droite qui refusent la régularisation de sans-papiers qui bossent au noir chez les esclavagistes du bâtiment ou de la restauration. Et le Medef d’applaudir. Quand nos politiques valident la planète des singes, il est normal que le singe se rebiffe. Les responsables de ces événements ce sont bien nos politiques. Les émeutiers n’en sont que la conséquence. On se demande bien comment politiques et gouvernants confondus vont sortir de ce merdier dans lequel ils se sont fourrés ! Car le nombre de forces de l’ordre dans la rue n’y changera rien. Et comme d’habitude, ce sont les « gilets jaunes » qui paieront l’addition.

07:21 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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07:17 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 30 juin 2023

« L’ONU est l’endroit où l’on prend la température du monde » (un ancien secrétaire général de l’organisation)

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Didier Lecerf

Il y a quelques heures, Ravina Shamdasani, la porte-parole du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme a appelé la France à « s’attaquer sérieusement aux profonds problèmes de racisme et de discrimination raciale parmi les forces de l’ordre » avant d’appeler les autorités « à garantir que le recours à la force par la police pour s’attaquer aux éléments violents lors des manifestations respecte toujours les principes de légalité, de nécessité, de proportionnalité, de non-discrimination, de précaution et de responsabilité »…

Pour mémoire, rappelons que ce HCDH, rattaché au Secrétariat général de l’ONU, a été créé en décembre 1993 par l’Assemblée générale dont de nombreux Etats membres violent allégrement les droits les plus fondamentaux d’une partie ou de la totalité de leurs habitants. Rappelons aussi que parmi les 15 membres du Conseil des droits de l’homme du "Machin" (dixit De Gaulle) élus en 2021 se trouvent, outre la France et le Royaume-Uni, Cuba, la Chine, le Pakistan, l’Ouzbékistan, la Russie ou encore le Sénégal où 23 personnes au moins ont été tuées lors des manifestations qui ont eu lieu  au début du mois…

Déjà en 1955 Albert Camus écrivait : « La bonne manière d’entrer aux Nations unies est de froisser leur charte immaculée. Pour l’ONU, comme pour le marquis de Sade, on ne s’unit bien que dans le viol ».

20:53 Publié dans Didier Lecerf | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une fois n'est pas coutume, paraphrasons Churchill...

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18:20 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

C’était il y a quelques décennies… Il n'y a de pire sourd que celui qui ne veut entendre...

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Un extrait du numéro d’octobre-novembre 1982 de Pour une force nouvelle, le journal du Parti des forces nouvelles (PFN)

« (…) Il serait grotesque de déclarer que l’immigré porte en lui le gêne de la petite délinquance. Et nous ne le pensons pas. Mais n’est-il pas aussi absurde de nier ou d’oublier que le problème de la délinquance juvénile est trop souvent lié à l’immigration ? Et particulièrement à l’immigration maghrébine. (…) Il y a un problème. C’est évident. Ses causes sont multiples. Le chômage très souvent : plus d’un tiers des musulmans de moins de 25 ans, généralement fils d’immigrés, sont sans travail. Dans l’ensemble, la scolarité en France ne leur a pas permis d’acquérir une formation supérieure à celle de leurs parents. Ils ont en revanche assimilés le système de valeur dénigrant le travail manuel et les "métiers d’immigrés". Mais le chômage n’explique pas tout puisque la délinquance est bien souvent le fait de jeunes de moins de 16 ans. Le mal est plus profond : alors que les enfants d’immigrés d’origine latine (Espagnols, Portugais, Italiens) se sont adaptés à la vie de notre pays, les enfants de Nord-Africains se sentent profondément déracinés. Ni français, ni arabes (ils parlent souvent très peu la langue de leurs parents), ils ne se sont absolument pas assimilés à notre société et n’envisagent pas un retour dans leur patrie. Or la population d’origine musulmane croît très vite. Beaucoup plus que l’ensemble de la population française. Grâce au simple dynamisme de leur fécondité, les musulmans de France seront vraisemblablement plus de 5 millions en l’an 2000. Si cette population reste concentrée dans quelques grandes villes et quelques quartiers, comme c’est le cas aujourd’hui, il est évident que les affrontements ethniques et les "rodéos", comme ceux de Lyon et de sa banlieue l’an passé, seront de plus en plus nombreux. Il y a donc des mesures minimum à appliquer dès aujourd’hui (…). Malheureusement, Monsieur Defferre, ferme dans ses paroles, ne l'a jamais été dans ses actes. Il préfère, lorsque se produisent de graves incidents ethniques, accuser de mythiques provocateurs d’extrême droite. C’est plus facile, mais c’est aussi plus dangereux ».

Un extrait de Pour la France, le programme du Front national de Jean-Marie Le Pen et de Jean-Pierre Stirbois, publié en février 1986

« Si le Front national se préoccupe de l’immigration, c’est d’abord parce qu’elle concerne au premier chef les conditions de vie des Français, en particulier des plus modestes de nos concitoyens. Les cités des grands ensembles où les conditions de vie sont les plus difficiles sont aussi celles où il y a le plus d’immigrés. (…) C’est la cohabitation d’hommes et de femmes aux cultures, aux mœurs, aux modes de vie différents et souvent incompatibles avec les habitudes de vie des Français qui crée le mal des grands ensembles. Dans la réalité de tous les jours, le heurt des cultures est parfois difficile à supporter. Encore faut-il ajouter que le déracinement des populations étrangères débouche sur une délinquance grave. (…) La liaison entre immigration et insécurité est incontestable. (…) l’immigration est devenue un problème grave pour la vie quotidienne des Français et pour l’avenir de la France. Elle constitue non une chance mais une charge et une menace. (…) Dans quelques années, les 6 millions d’immigrés qui sont actuellement chez nous risquent d’être encore plus nombreux (…). D’ores et déjà des enclaves étrangères se constituent dans les villes et échappent à l’autorité commune. (…) L’alternative est la suivante :

  • Accepter la fatalité, c’est-à-dire la présence et la multiplication de communautés étrangères vivant sur notre sol, isolées autour de leurs propres valeurs sinon de leurs propres chefs (…). C’est (…) se préparer des lendemains qui déchanteront car une fois engagé sur la logique d’une société multiculturelle, il faudra renoncer à l’état de droit et admettre que des droits différents s’appliquent à des communautés différentes.
  • Rester fidèle à la tradition française d’assimilation et placer les étrangers devant les choix suivants : devenir pleinement français ou partir. C’est-à-dire connaître et aimer la France et adopter ses valeurs et sa loi civile. Cela n’exclut pas de rester fidèle ni à ses origines, ni à ses traditions, pour peu qu’elles ne soient pas incompatibles avec les normes culturelles et le droit français ».

Sur le PFN cliquez ici

Sur le FN cliquez ici, cliquez là et cliquez là

15:40 Publié dans Didier Lecerf | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les audaces de Sahra Wagenknecht

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Outre-Rhin, Jean-Luc Mélenchon est de sexe féminin et s’appelle Sahra Wagenknecht, l’une des vedettes de la scène politique allemande. Ses prises de position récentes la mettent presque en rupture avec les responsables du parti contestataire de gauche radicale, Die Linke (« La Gauche »).

À 53 ans, cette originaire d’Iéna en République démocratique allemande (RDA) a l’habitude des polémiques. Elle applique ce que la philosophe belge Chantal Mouffe, théoricienne du « populisme de gauche », conçoit comme la « démocratie agonistique », soit un système de relations politiques qui ne repose pas sur la recherche permanente du consensus. Sahra Wagenknecht se méfie du compromis qu’elle assimile à tort à de la compromission.

Sa notoriété contraste avec son parcours militant particulièrement incorrect pour le système en place. Née d’un père iranien et d’une mère allemande de l’Est, elle s’engage adolescente dans la Jeunesse libre allemande, l’organisation officielle des jeunes en RDA. Début 1989, elle adhère au SED, le Parti socialiste unifié d’Allemagne qui gouverne Berlin-Est depuis 1949. Aux lendemains de la chute du Mur de Berlin en 1989 et de la disparition de la RDA en 1990, elle accompagne la transformation du SED en Parti du socialisme démocratique (PDS). Elle s’investit dans la tendance marxiste la plus orthodoxe, la Plate-forme communiste, qui salue l’action de Joseph Staline et joue sur la nostalgie grandissante de la RDA.

L’équivalent occidental de la Stasi, en plus puissant et en plus hypocrite, l’Office fédéral de protection de la Constitution surveille très tôt cette nouvelle Rosa Luxemburg. En 2007, elle participe à la création de Die Linke. Soutien du Vénézuélien Hugo Chavez et du Bolivien Evo Morales, hostile à l’OTAN, Sarah Wagenknecht approuve le mariage pour tous. Députée allemande au Parlement dit européen de 2004 à 2009, elle accède à la vice-présidence de Die Linke en 2010 et y reste jusqu’en 2015. Depuis 2009, elle siège au Bundestag en tant qu’élue de la Rhénanie du Nord – Westphalie. Elle co-préside même le groupe parlementaire entre 2015 et 2019.

Cette ancienne étudiante en philosophie et en économie épouse en secondes noces en 2014 Oskar Lafontaine aujourd’hui âgé de 79 ans. Dirigeant du Parti social-démocrate SPD de 1995 à 1999, il est ministre-président du Land de la Sarre de 1985 à 1998. Le chancelier Gerhard Schröder le nomme en 1998 ministre fédéral des Finances. Mais il en démissionne quatre mois plus tard en 1999 parce qu’il n’accepte pas le tournant néo-libéral de la sociale-démocratie. Après bien des péripéties politiques au cours desquelles il réclame la dissolution de l’euro, il parvient à fonder Die Linke qui réunit le PDS devenu le Parti de gauche et des anciens Allemands de l’Ouest rassemblés dans l’Alternative électorale travail et justice sociale. Sahra Wagenknecht incarne alors la figure du principal courant interne d’opposition, La Gauche anticapitaliste.

Elle s’enflamme pour Podemos en Espagne et La France insoumise. Elle lorgne avec envie vers les Italiens du Mouvement Cinq Étoiles. En 2018, elle pose en gilet jaune devant l’entrée de la Chancellerie fédérale. Le milieu politico-médiatique allemand bien plus compassé qu’en France n’apprécie pas sa liberté de ton.

Ainsi, dès 2015, met-elle en garde ses amis de Die Linke sur l’ouverture inconsidérée des frontières. Elle estime en effet qu’« une frontière ouverte à tous, c’est naïf ». Elle veut néanmoins le maintien des conditions libérales d’accès au droit d’asile… En 1996, elle co-signe avec le journaliste Jürgen Elsässer, ancien militant de gauche rallié au national-conservatisme, Vorwärts und vergessen ? Ein Streit um Marx, Lenin, Ulbricht und die verzweifelte Aktualität des Kommunismus (« En avant et oublier ? Une dispute sur Marx, Lénine, Ulbricht et l'actualité désespérée du communisme »), une discussion argumentée sur le poids de l’héritage communiste dans la société allemande.

Hors de Die Linke, elle lance en 2020 un mouvement d’action publique Aufstehen (« Debout » ou « Se lever »), sans grand succès populaire. Un an plus tard paraît son essai, Die Selbstgerechten. Mein Gegenprogramm – für Gemeinsinn und Zusammenhalt qu’on peut traduire imparfaitement par  « Les bien-pensants. Mon contre-programme. Pour le sens de la communauté et la cohésion ». Dans la continuité de l’État économique fermé de Fichte, elle prône un État national fort, veut une limitation draconienne de l’immigration et qualifie de « pharisiens » Black Lives Matter et Fridays for Future (les grèves lycéennes du vendredi pour le climat lancées par la délicieuse Greta Thunberg). Elle critique une gauche multiculturaliste ultra-libérale progressiste.

S’élevant contre les sanctions qui s’abattent sur la Russie tant par intérêt socio-économique que par tropisme politique, Sahra Wagenknecht organise le 25 février 2023 un imposant rassemblement pacifiste devant la Porte de Brandebourg à Berlin. Elle bénéficie de l’aide d’Alice Schwarzer. Ancienne élève de Michel Foucault, rédactrice en chef du magazine EMMA, cette octogénaire est une fervente féministe universaliste qui pourfend la pornographie et la prostitution. Cette ardente pacifiste co-signe en 2010 un ouvrage qui attaque l’islamisme au nom des valeurs féministes occidentales.

Outre des pacifistes, des militants de Die Linke et des féministes, cette manifestation attire de nombreux sympathisants de l’AfD (le parti patriotique Alternative pour l’Allemagne). Quelques semaines plus tard, l’AfD invite Sahra Wagenknecht à la rejoindre. Le 10 juin dernier, la direction de Die Linke la somme de se démettre de son mandat de députée, ce qu’elle refuse, précisant l’absence constitutionnelle du mandat impératif.

Le microcosme politicien lui prête maintenant l’intention de fonder un nouveau parti qui pourrait selon les baromètres d’opinion obtenir près de 20 % des suffrages aux dépens de Die Linke et, surtout, de l’AfD. Régulièrement interrogée sur son avenir, elle répète qu’elle pense plutôt à un engagement intellectuel sans toutefois exclure la moindre hypothèse politique.

Sera-t-elle l’ultime recours d’une caste qui assiste avec effroi à la croissance dans les intentions de vote de l’AfD ? Osera-t-elle au contraire se libérer des clivages conventionnels et se rapprocher de l’AfD afin de constituer un front de salut national et populaire ? On n’a pas fini de parler de Sahra Wagenknecht.

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°80, mise en ligne le 27 juin 2023 sur Radio Méridien Zéro.

11:53 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mort de Nahel : la guerre civile a-t-elle commencé ?

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Bernard Germain

Commençons par présenter les principaux acteurs de ce « fait divers » qui embrase tout le pays et le met au bord de l’explosion.

D’un côté, un policier - motard de son état - 38 ans, 9 lettres de félicitations et 2 médailles notamment pour actes de courage.

De l’autre Nahel, 17 ans, 15 mentions (sans inscription) à son casier judiciaire et 5 refus d’obtempérer au compteur, avant celui de mardi où il trouvera la mort au volant d’une voiture alors qu’il n’a pas de permis et donc pas d’assurance.

Comme d’après son prénom et les photos, il s’agit d’un jeune d'origine maghrébine, il va certainement s’en trouver pour dire qu’il a été contrôlé au faciès. Mais non, ce n’est pas pour sa tête qu’il a été contrôlé, mais parce qu’ils s’est fait repérer pour ses multiples infractions au code de la route ce matin-là. Donc deux motards ont été envoyés pour contrôler le véhicule, le conducteur et le verbaliser.

Que s’est-il passé lors du contrôle soldé par la mort du conducteur. Personne ne peut répondre précisément. Par exemple qu’est-ce qui prouve que le passager avant n’avait pas une arme ? Il s’est enfui après la mort du conducteur. Donc il y a une enquête et il est normal d’attendre ses conclusions.

Mais pas pour le président de la République qui déclare dans les minutes qui suivent que la mort de ce jeune est «inexcusable». Idem pour le Premier ministre qui déclare à l’Assemblée nationale, que le policier qui a fait feu «n’a pas respecté les règles d’engagement». Les plus hauts personnages de l’État violent les principes les plus fondamentaux d’une société démocratique et avant même le résultat de l’enquête déclarent que ce policier est coupable. C’est un scandale absolu.

Mais si en haut, on est capable de déraper ainsi, il ne faut pas s’étonner qu’à la suite, en bas, on assiste à tout et n’importe quoi. Ainsi, au plan politique, tout ce qui peut se regrouper sous le vocable «gauche» a sombré dans un délire anti-police. C’est à qui sortira la plus grosse énormité. Celle qui revenait le plus était la célèbre « la police tue ».

Si ces gens étaient raisonnables et objectifs, ils devraient dire, selon leur logique : « Un policier a tué sans raison valable un jeune ». Mais non, la gauche « essentialise » comme on dit maintenant. C’est-à-dire qu’ils pratiquent exactement et en permanence ce qu’ils reprochent aux autres (l’"extrême droite").

Appliquons cette façon de faire au drame d’Annecy… où l’on a vu un « Syrien » frapper à coups de couteau des petits enfants. Cela donnerait : « Les Syriens tuent les petits enfants à coup de couteau ». Vous imaginez le scandale que cela ferait ? Celui qui s’aventurerait à faire une pareille déclaration se retrouverait automatiquement traduit devant la 17° chambre correctionnelle. Pourtant, c’est ce que la « gauche » passe son temps à faire, sans que cela ne déclenche les réactions que cela devrait. On me permettra aussi de m’indigner devant l’odieuse et immonde récupération que pratiquent sans vergogne la gauche et tous les bien-pensants à l’occasion de la mort de Nahel.

Quant nous avons dénoncé l’abominable assassinat de Lola, nous avons été calomniés et vilipendés. Nous avons été traités de « vautours qui instrumentalisent la mort d’une petite fille de 12 ans » du fait de notre soi-disant racisme. Bref nous étions des personnages abjects qui avaient l’indécence de penser que le pays devait descendre dans la rue pour exprimer son indignation et son dégoût face à l’horreur de la mort de Lola due à une clandestine algérienne qui n’avait rien à faire sur notre territoire puisqu’elle faisait l'objet d'une OQTF.

Mais curieusement, pour Nahel, au "palmarès" pourtant déjà conséquent en terme de délinquance et de refus d’obtempérer, la gauche n'a aucun problème à s’emparer du sujet, à dénoncer, à en faire des caisses... Et pas seulement elle !

D’ailleurs à ce sujet, on a quand même vu des choses incroyables, même époustouflantes. Par exemple, Macron a fait sa déclaration ("c’est inexcusable") depuis l’hôpital militaire de Marseille. Moi, je pensais qu’il aurait pu saisir l’occasion pour rendre hommage à Alban Gervaise, médecin militaire qui travaillait dans cet établissement et qui a été égorgé au cri de Allahu Akbar, il y a quelques mois. Mais non, Macron n’y a pas pensé, il n’a pensé qu’à Nahel… Sans doute l’émotion.

De plus, j’ai été pour le moins stupéfait de la décision de la présidente de l’Assemblée nationale de faire observer une minute de silence à la mémoire de Nahel. Minute observée par TOUS les députés, y compris par les quelques députés du RN qui se trouvaient dans l’hémicycle. Ce qui m’amène à me poser une question : Pourquoi n’y a-t-il pas eu de minute de silence à l’Assemblée nationale pour Lola ?… sans doute que Nahel vaut mieux que Lola.

Et puis il y a la cohorte des acteurs, des sportifs, des intellectuels, bref des gens célèbres qui ont pris position. Là, il faut reconnaître que cela envoyait du lourd. Du très lourd. Le pompon étant indiscutablement décroché par Kylian M’Bappé. Excellent dans le football, mais absolument pitoyable quand il s’exprime sur Nahel. Voici son tweet : « J’ai mal à ma France. Une situation inacceptable. Tout mes pensées vont pour la famille et les proches de Nahel, ce petit ange parti beaucoup trop tôt »

On observera d’abord que SA France n’est pas LA France. Et ensuite qualifier Nahel de « petit ange » faut être en plein délire pour oser écrire ça. Moi je ne connaissais qu’un « petit ange », c’était Lola et elle n’a pas eu droit à un tweet de Kylian M’Bappé. Sans doute parce qu’elle ne faisait pas partie de SA France.

Mais revenons au problème des refus d’obtempérer. En 1993, il y a eu 1 099 refus. En 2021, il y e a eu 27 756 selon le ministère de l’Intérieur.

Ces 27 756 refus ont amené 201 tirs, qui ont provoqué la mort de 13 personnes. Sur ces 13 morts, 8 ont été jugés tués sans infraction avec la Loi. 5 ont été jugés problématiques et ont occasionné des poursuites contre les auteurs des coups de feu. Ces 5 morts problématiques, chacune étant dramatique, représentent donc 0,0002 % par rapport aux 27 756 refus d’obtempérer. On ne peut donc nullement dire qu’il existerait un grave danger de mourir pour les citoyens lorsqu’ils sont contrôlés.

D’ailleurs, pour éviter tout problème, ne serait-il pas plus simple d’accepter de s’arrêter lorsque la police le demande ? J’observe que ceux qui pleurnichent aujourd’hui refusent ce principe tout simple et considèrent qu’il est normal de ne pas s’arrêter.

Quant au policier en cause, il vient d’être placé en détention provisoire. Par lâcheté des autorités. Pourquoi ? Pour essayer de calmer ceux qui veulent sa peau et appellent à l’insurrection.

Or, il aurait suffit de le mettre sous contrôle judiciaire. Il n’allait pas quitter la France pour échapper à la Justice. Mais il fallait donner des gages à la « diversité », donc il se retrouve en prison.

Ce serait intéressant de voir les réactions si les responsables syndicaux de la police disaient, « vu ce qu’on constate presque à chaque fois, si les autorités nous envoient au front pour défendre la République, mais ne nous défendent pas lorsque nous faisons notre travail et qu’il y a des morts, alors déposons nos armes, refusons de les porter tant qu’on nous accable si nous les utilisons ».

Une police refusant de porter ses armes et de les utiliser afin de ne pas être accablée… à mon avis, l’État ne mettrait pas longtemps avant de revoir sa position.

Mercredi soir, dans une multitude de villes, l’insurrection et de nombreuses violences ont été constatées. Du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest du pays. On ne compte plus les voitures brûlées, les écoles et autres médiathèques détruites, ainsi que les mairies et bâtiments et services publics dégradés. Même la prison de Fresnes a été attaquée avec pour objectif de libérer les prisonniers. Du jamais vu.

Jeudi après-midi il y a eu une marche « blanche » à Nanterre. Je l’ai regardée. J’avoue avoir été frappé par deux choses. La première c’est l’attitude de la mère qui ne semblait pas du tout affectée alors que son fils était mort. Elle souriait, envoyait des baisers et faisait des signes à de nombreux participants. J’ai vraiment beaucoup de mal à comprendre son attitude. La seconde, c’est la présence d’Assa Traoré sur le camion où était la mère. Elle a réussi à s’immiscer dans cette marche, arrivant avec ses tee-shirts «Justice pour Nahel». Un monument de récupération. Quant à la fin de la marche, elle a bien sûr dégénérée en affrontements avec la police.

Le gouvernement ne s’y est pas trompé. De 2 000 hier on est passé à 40 000 policiers mobilisés ce soir pour assurer l’ordre public. Est-ce que la guerre civile a commencé en France ? On est en droit de penser que oui, en tout cas nous allons le savoir dans pas longtemps. Pourquoi ?

D’abord parce que par peur de nouvelles émeutes telles celles de 2005, la classe politique dans son ensemble a, par lâcheté, capitulé sur tous les plans devant les «quartiers» depuis des années. Ensuite, le laxisme de la justice qui au lieu d’appliquer le principe de Maurice Berger (spécialiste de la violence), de sanctionner dès la première infraction, passe son temps à dire aux jeunes «attention, ne recommencez pas» et n’impose aucune sanction dès le premier acte. Résultat : un sentiment d’impunité qui avec les années devient la certitude qu’on peut faire n’importe quoi aucune sanction n’en découlera.

Le résultat de tout cela est un constat consternant, mais indiscutable.

Il y a en France de plus en plus de zones, de quartiers, de villes dans lesquels les marchands de drogue qui sont les alliés des islamistes sont devenus les maîtres où les lois de la République ne s’appliquent plus. D’ailleurs de nombreuses inscriptions étaient visibles sur les murs «Ici on est chez nous». Et de ce point de vue, la police est vue comme une bande armée étrangère qui vient essayer de conquérir un territoire qui n’est pas le sien. D’ailleurs, dans ces zones, la police ne rentre quasiment plus -interdite de séjour- et les lois de la République ne s’appliquent plus.

Il y a eu des émeutes en 2005. Par peur de les voir se déclencher à nouveau, depuis des années, on accepte tout, sans réaction appropriée. Par lâcheté. Les gouvernants, tous les gouvernants, ont cru éviter le renouvellement de ces affrontements en mettant la poussière sous le tapis. Ils sont aujourd’hui rattrapés par la patrouille, mais doivent faire face aux mêmes problèmes dans des conditions bien pire qu’en 2005. Cette nuit risque d’être particulièrement violente, partout en France.

Est-ce la guerre civile qui a commencé… j’ai tendance à penser que oui.

Mais si ce n’est pas le cas cette fois-ci, il est évident que l’existence de ces zones conquises par les dealers et les islamistes seront, un peu plus tôt ou un peu plus tard, une source d’explosion sociale. C’est certain. Seule la date est encore une source d’interrogation.

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jeudi, 29 juin 2023

Banlieues en feu sur fond de pression politique et médiatique

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« Entre ici, Nahel, avec ton terrible cortège

de refus d’obtempérer… »

Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

(Propos recueillis par Guirec Sèvres)

Un adolescent a été tué lors d’un contrôle routier à Nanterre auquel il n’a pas voulu se soumettre ; qu’en pensez-vous ?

En tant que père, je n’imagine pas… et n’ai d’ailleurs jamais imaginé… que mes enfants pourraient… ou auraient pu… ne pas obtempérer à un ordre de la police sur la voie publique, ni qu’ils puissent tenter de s’enfuir, qui plus est en menaçant un représentant des forces de l’ordre pour cela. Question d’éducation… Je me rappelle qu’un jour, avec un de mes fils qui devait avoir une dizaine d’années, nous cherchions notre route (nous n’avions pas encore de GPS) et apercevant un commissariat, je lui ai dis que nous allions demander notre chemin aux policiers… À ma grande stupéfaction, mon fils a semblé effrayé et ne voulais pas qu’on le fasse. Je lui ai demandé pourquoi et il m’a répondu qu’il n’aimait pas la police, qu’il en avait peur. Je me suis enquis de savoir s’il avait quelque chose à se reprocher et s’il était un bandit ? Il m’a évidemment répondu que non. Je lui ai donc expliqué qu’alors, non seulement, il n’avait rien à craindre des policiers et qu’au contraire, ils étaient là pour assurer la sécurité et la protection des honnêtes gens : le seul discours, me semble-t-il, à tenir à un enfant de dix ans… Si mes enfants devaient par la suite nuancer un tel propos – comme il peut m’arriver de le faire moi-même – il n’en reste pas moins que sur le principe et sur le fond, un parent responsable n’en a pas d’autre à tenir.

Et en tant que citoyen, qu’est-ce que cela vous inspire ?

Comme à tous les conducteurs, des policiers chargés de la circulation m’ont déjà à plusieurs reprises demandés de stopper mon véhicule et de leur présenter mes papiers pour qu’ils les contrôlent. J’ai toujours obtempéré et ne me suis jamais senti en danger… Pas davantage quand il m’est arrivé d’être verbalisé pour des infractions mineures (et même si, tout au fond de moi-même, les noms d’oiseaux à leur intention n’étaient pas forcément aimables). Pourquoi personne ne fait-il remarquer que le moindre automobiliste est aujourd’hui traqué, verbalisé, condamné pour des excès de vitesse parfois limité ou parce que son véhicule présente un défaut de réglementation minime, tandis qu’on semble considérer parfaitement normal de rouler à fond la caisse dans les rues d’une ville après avoir selon les premiers éléments de l’enquête rapportés de source policière, commis plusieurs infractions au code de la route ? Pas un mot sur les dangers que cet adolescent et ceux qu’il véhiculait ont pu faire courir aux habitants de Nanterre qu’ils ont pu croiser. Et ce n’était pas une première fois, car, comme le rapporte Le Figaro : « L’adolescent, au volant ce jour-là d’une Mercedes immatriculée avec une plaque polonaise, qu’il conduisait sans permis, avait déjà fait l’objet de douze interpellations pour des délits divers, selon des sources concordantes. Au traitement des antécédents judiciaires, son nom était rattaché à quatre refus d’obtempérer. Certains ont été classés sans suite, un autre a débouché sur la mise en place d’une mesure éducative prononcée par un juge des enfants, d’après Europe 1. Enfin, son dernier refus d’obtempérer – le quatrième, avant le drame – remonte au 24 juin. Nahel avait alors été placé en garde à vue et devait comparaître devant le tribunal des enfants en septembre prochain. Ce qui ne l’a pas empêché de recommencer trois jours plus tard. » 

Aujourd’hui, une fois de plus, les banlieues flambent après la mort tout de même tragique de cet adolescent…

Tragique par la mort d’un adolescent « connu des services de police » ou tragique parce que les médias, une grande partie de la classe politique et jusqu’au gouvernement la présentent « tragiquement », les uns pour jeter de l’huile sur le feu, les autres par lâcheté d’être lynchés médiatiquement ?

Ceux qui « jettent de l’huile sur le feu » sont les représentants de la NUPES et la floppée d’association anti-çi, pro-ça… Mais les lâches, pouvez-vous préciser ?

Avant même que les enquêtes internes de la police rendent leur conclusion sur une éventuelle mise en cause policière – la présomption d’innocence ne s’appliquant visiblement qu’aux présumés bandits ou aux auto-proclamées « chances pour la France » – Emmanuel Macron, président de la République, Elisabeth Borne, Première ministre et Gérald Darmanin n’ont pas manqué de s’exprimer. Ainsi, le premier a considéré que « rien, rien ne justifie la mort d’un jeune » : un jeune aurait donc par principe toute impunité d’exercer un droit de désobéissance, de violence, de sauvagerie, Ah bon ! dont acte !… La deuxième déclarant que « les images choquantes diffusées montrent une intervention qui ne semble manifestement pas conforme aux règles d’engagement de nos forces de l’ordre (…) (elles) donnent à penser que le cadre d’intervention légal n’a pas été respecté », mais est-ce à elle de faire ces commentaires ou au procureur de la République une fois l’enquête interne terminée ? Quant au troisième, il « a fait part de son choc face aux images (du tir policier sur la voiture) » : la cause est donc entendue : le policier est coupable et le fou du volant devrait peut-être être inhumé au Panthéon, pourquoi pas ! « Entre ici, Nahel, avec ton terrible cortège de refus d’obtempérer… » (source France Info qui a confirmé que garçon « avait été déféré au parquet de Nanterre le week-end précédant les faits pour refus d’obtempérer, sans être présenté à un juge pour enfants (et qu’) il avait été déjà mis en cause pour un autre refus d’obtempérer, en 2022). Et la justice dans tout cela ? Quelle indépendance, après de telles charges politiques contre les policiers mis en cause ? J’ignore encore, comme tout le monde d’ailleurs, ce qui s’est réellement passé ; peut-être que le policer qui a ouvert le feu est un imbécile, un salaud ou un criminel, voire les trois à la fois : c’est à la justice de se prononcer et à elle seule, mais sans pression d’aucune sorte, ni politique, ni médiatique. Imagine-t-on que le policier incriminé puisse désormais être mis hors de cause ? Et s’il était, preuves à l’appui, reconnu que son collègue et lui ont agi dans les règles pour se protéger d’un danger réel ? Tous ceux qui beuglent « La police tue ! » reconnaîtraient-ils leur erreur ?

Entre les incendiaires et les irresponsables, cela ne va pas être simple de rétablir l’ordre dans les banlieues en feu…

Il y aurait bien la solution de demander au groupe Wagner, moins occupé à l’autre bout du continent depuis quelques jours, mais ce serait encore faire appel à de la main-d’œuvre étrangère… enfin, pour une fois, hein !… Quoique, je dis ça, je dis rien…

Philippe Randa a récemment publié La France macronisée (Chroniques barbares XX) aux Éditions Dualpha, 254 pages, 27 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici.

18:42 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

QUE D’ÉMOTION POUR LA MORT D’UN « JEUNE » BIEN CONNU DES SERVICES DE POLICE…

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La mère éplorée du conducteur Nahel

cet après-midi lors de la marche blanche à Nanterre ¹

Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Lorsque la petite Lola a été assassinée par une Algérienne en situation irrégulière, on a fait moins de bruit : les excités de la France insoumise étaient bien silencieux !

Si, apparemment, d’après les premières images, le policier auteur du coup de feu mortel et son collègue n’étaient pas en danger, on peut, on devrait, légitimement se poser une question :

  • que faisait un jeune mineur, sans permis de conduire, au volant d’une voiture de location, un matin à Nanterre ? Sa mère ne s’occupait pas de lui ? Il n’allait plus à l’école, n’avait pas de travail ?
  • La précipitation avec laquelle Macron a condamné l’acte du motard, sans attendre les conclusions de l’enquête, est indigne de la fonction qu’il prétend indûment assumer !

Le pédigrée de la victime nous indique qu’elle était coutumière du fait, à savoir ne pas obéir aux sommations lui intimant l’ordre de  s’arrêter.

Moralité de l’affaire, si ce jeune des cités avait respecté l’ordre de stopper, il serait encore en vie. (cqfd)

Conséquences statistiques : un délinquant potentiel de moins en France,  un flic de moins dans les effectifs… Et, surtout, des millions d’euros pour les dégâts commis par les émeutiers anti-police, disons carrément « anti-France ». CONtribuables « franchouillards », à vos bourses !

Détail amusant : le député LFi Martens Bilongo, pourtant d’origine africaine, a été prié de déguerpir rapidement par les « jeunes » des cités  Nanterre, alors qu’il venait en « récupération » de leur douleur. « L’arroseur arrosé, en quelque sorte » !

¹ Chacun a sa façon d'exprimer sa tristesse, dit-on...

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18:01 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Situation insurrectionnelle : la réaction du Parti de la France

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Un communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France

La situation insurrectionnelle dans différentes villes de France colonisées par l'immigration afro-maghrébine est directement imputable à l'attitude lamentable de nos gouvernants suite à l'élimination d'un mineur délinquant à Nanterre par un agent de police.

En prenant partie pour le jeune voyou multirécidiviste, gouvernement, politiques, médias, vedettes sont les complices directs des émeutiers qui n'attendaient qu'une étincelle pour faire exploser leur haine et leur violence à l'égard de la France et des Français.

Il s'agit clairement d'émeutes raciales. Ces gens ne veulent pas vivre avec nous mais nous imposer leurs us et coutumes par la sauvagerie et la terreur.

C'est pourquoi le Parti de la France propose d'établir un couvre-feu dans toutes les villes de France touchées par cette guérilla urbaine, avec l'aide de l'armée s'il le faut. En plus de cette mesure d'urgence, il apparaît évident que, pour rétablir la sécurité des Français, une remigration massive des populations allogènes doit être engagée sans tarder et avec la plus grande fermeté.

17:20 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le hijab reste interdit dans le sport, une victoire contre l’islamisme.

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Michel Festivi 

Le Conseil d’Etat vient de rendre sa décision. Contre l’avis de son rapporteur public, ce qui est à souligner, la plus haute juridiction administrative française a décidé que la Fédération française de football peut édicter les règles qu’elle estime nécessaire au bon déroulement des matchs.

Dès lors l’article du règlement de la FFF qui « interdit tout port de signe ou tenue manifestant une appartenance ostensiblement religieuse, politique, philosophique ou syndicale » a été validé.

C’est incontestablement une victoire contre l’islamisme et contre la pénétration du frèrisme dans toutes les sphères de la société, même si le combat est très loin d’être gagné.

Car le hijab est fondamentalement l’un des symboles de l’islam conquérant. Comme le souligne Guylain Chevrier, docteur en histoire, enseignant et ancien membre de la mission laïcité du Haut Conseil à l’Intégration : « N’oublions pas que le hijab est un instrument de soumission », selon une tribune du FigaroVox du 28 juin dernier.

Très justement, il rejette les faux arguments des nupes et autres islamo-gauchistes : « Le voile est un symbole de soumission religieuse à une conception inégalitaires des rapports entre les sexes ». Ce n’est pas du tout une liberté vestimentaire parmi d’autres, comme nous le serinent les tenants de l’extrême gauche, ou les écolos-islamistes.

Si on lit le coran tout simplement, texte incréé de la révélation de dieu à Mahomet, on y découvre des dizaines de versets qui relèguent la femme bien loin derrière l’homme, comme des dizaines de versets relèguent les incroyants, les associateurs, les juifs et les chrétiens bien loin derrière les croyants au dieu des musulmans. Il suffit tout simplement de les lire, sachant que ces versets n’ont jamais été remis en cause par toutes les autorités de l’islam, qu’elles soient chiites, sunnites, ou d’autres branches minoritaires, que ce soit en France ou partout dans le monde. Au contraire, les quelques musulmans qui ont voulu faire officiellement supprimer ces versets ont été soit passés par le fil de l’épée, soit aux mieux rejetés de leur communauté.

En réalité, ces hijabeuses qui ont formé ce recours, ne sont que le bras armé de l’islam militant, comme le décrit fort bien Guylain Chevrier dans sa chronique, rappelant fort à propos, certaines sourates du coran.

Que cela plaise ou non, que cela déplaise ou non, le texte coranique, considéré par les musulmans comme la parole même de dieu, affirme haut et fort la supériorité de l’homme sur la femme, la supériorité du musulman sur tout autre être humain, juif, chrétien, et pire encore s’il est athée ou s’il a renoncé à l’islam, s’il est apostat, le crime suprême pour le coran. Il est d’ailleurs assez incompréhensible, que nos féministes patentées, égéries de l’islamo-gauchisme soutiennent cet apartheid officiel et cette impossibilité de liberté religieuse.

La ligue du droit international des femmes s’est vivement opposée, elle, à la requête des hijabeuses invoquant un « apartheid sexuel ». En 2014, une étude menée par l’Observatoire Sociovision avait indiqué que « la discrétion des appartenances religieuses, dans la vie collective, celle de tous les jours, et pas seulement dans les services publics, est le souhait de près de 82% des français », selon ce que nous rapporte Guylain Chevrier.

Fort de cet arrêt du Conseil d’Etat, nous attendons désormais de nos autorités politiques, - du Chef de l’Etat au plus humble des élus -, qu’elles combattent avec force et vigueur cet entrisme politique islamiste et qu’elles se donnent enfin les moyens juridiques, politiques et économiques de faire refluer cette vague déferlante, en coupant notamment les vivres de toutes ces associations, qui sous couvert de non-discrimination ou autres billevesées, n’ont qu’une volonté, établir des sociétés où la charia sera la règle de vie. Il faut lire et faire lire la chronique décapante d’un ancien frère musulman, Mohamed Louizi, ancien membre de l’UOIF, sur le port du voile, publiée dans une tribune du Figaro Vox le 26/10/2022, il indique notamment : « Je ne combats pas les femmes voilées, mais je combats le hijab et l’idéologie islamiste qui le sous-tend et le promeut ». Nos élites politiques françaises et surtout européennes feraient bien de méditer ce texte et d’écouter leurs peuples.

16:58 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |