samedi, 13 janvier 2024
Le magazine identitaire québécois "Le Harfang" présente le Cahier d'histoire du nationalisme consacré au 50 ans du FN
Nous invitons tous nos lecteurs québécois à lire et à soutenir ce magazine de qualité.
L'article sur le CHN 24 sur les 50 ans du FN est en page 51 du numéro hiver 2023-2024 qui vient de sortir.
Lire ce nouveau numéro du Harfang cliquez ici
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Le Journal du Chaos
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vendredi, 12 janvier 2024
Dimanche 14 janvier à 10 h : Erix Zemmour invité de Sonia Mabrouk sur Cnews et Europe 1
16:52 Publié dans Eric Zemmour | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Orange (84), samedi 20 janvier : conférence de Reynald Secher
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Réflexion sur l'Afrique : un article Secours de France
Créé en 1961 par Clara Lanzi pour soutenir les "soldats perdus" de l'Algérie française détenus dans les geôles gaullistes et aider leurs familles privées de toutes ressources, le Secours de France continue sa mission :
• Secourir les détresses, et particulièrement accompagner les anciens Harkis
• Préparer l'avenir en aidant les écoles hors-contrat et en attribuant des bourses d'étude aux petits-enfants de Harkis
• Rétablir la vérité en soutenant l'armée française contre toutes les opérations de désinformation.
Vous l'avez compris, Secours de France une belle œuvre à soutenir !
J L
Le Secours de France vient de publier dans sa revue un article du général Henri Roure de réflexions sur l'Afrique cliquez là
Visitez le site de SdF : cliquez ici
16:26 Publié dans François Floc'h, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 13 janvier 2024 : Paris honore Sainte Geneviève
14:57 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’Allemagne politique est dans un cul-de-sac et elle s’enfonce dans la crise
Manifestations monstres à Berlin et en Allemagne, crise de l’énergie, fragilité de l’industrie, menaces de fermeture, de multiples crises touchent l’Allemagne. Quelle en est l’origine et comment le pays peut-il en sortir ? Samuel Furfari, professeur en politique et géopolitique de l’énergie à l’École Supérieure de Commerce de Paris, ancien haut fonctionnaire à la Direction générale énergie de la Commission européenne, a été interrogé dans Conflits :
Pourquoi la première puissance de l’Europe est-elle frappée par une telle crise ?
L’Allemagne a succombé à l’idéologie. Il ne faut pas oublier que les Allemands sont d’abord des pacifiques du fait de la Seconde Guerre mondiale. Ils ont associé guerre et nucléaire. Les pacifistes allemands sont donc antinucléaires aussi concernant la production d’énergie. Le deuxième élément est que les soviétiques d’Allemagne de l’Est ont convaincu les Allemands de l’Ouest que le nucléaire n’était pas nécessaire. L’URSS voyait que l’occident prenait un trop grand avantage avec le développement du nucléaire, il fallait stopper cet élan. Ces causes ont convaincu l’Allemagne d’être majoritairement antinucléaire. À partir de ce moment-là, il a fallu trouver autre chose pour produire de l’électricité.
Le pays a toujours beaucoup consommé de charbon, il possède la septième réserve mondiale de charbon essentiellement sous forme de lignite. Pour le maintenir tout en prenant une ligne écologique, les Allemands ont donc souhaité développer l’énergie renouvelable. Et après tout, pourquoi pas ? C’était logique d’essayer, l’Union européenne ayant développé ces technologies depuis les chocs pétroliers des années 1970. Mais,
14:42 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Antibiotiques, ARNm, corruption : Raoult envoie du lourd
On pourra faire la moue sur certains points (l’AZT anodin ?!), mais Raoult, on s’en serait douté, a conservé son mordant malgré la retraite forcée qu’on lui a fait prendre. On aurait tort de ne pas l’écouter, il y a toujours de quoi en sortir plus instruit, comme le démontre sa propre chaîne YouTube. Cette chaîne sur laquelle on a droit aux avancements scientifiques de son champ de recherche les plus récents, qui ne sont pas dans les derniers manuels universitaires.
Source : Tocsin via E&R
13:58 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Énergie verte : info ou intox ? Conférence de Jérôme Halzan le 20 janvier à Châlons-en-Champagne
La section E&R Champagne-Ardenne a le plaisir de recevoir Jérôme Halzan le samedi 20 janvier 2024 après-midi, pour une conférence intitulée « Énergie verte : info ou intox ? ».
Dans une époque où les éléments naturels semblent de plus en plus instables (sécheresse, inondations, gaz à effets de serre… ), l’Homme se doit de s’adapter pour sa survie.
Depuis plusieurs années, la France, sous le joug européen, se fait le phare de la transition énergétique en déployant tous les moyens nécessaires à cette cause honorable… à première vue.
Pourtant, on ne nous dit pas tout !
Un changement complet à l’électrique, sans plus aucune énergie fossile, suffira-t-il à renverser la tendance, ou du moins la maintenir ?
Le réchauffement climatique est-il causé par l’activité industrielle de l’Homme, de ses voitures, ou mieux encore… de ses vaches ?
Ou bien, tout ça n’est-il pas simplement une arnaque de plus et une attaque frontale de la classe dirigeante contre le peuple du travail ?
Nul autre qu’un docteur en physique comme Jérôme Halzan ne peut être mieux placé pour répondre à ces questions et nous ramener dans le champ scientifique des réalités.
- Inscription obligatoire par courriel : er.champardenne@gmail.com (Indiquez vos nom, prénom et numéro de téléphone)
- Entrée : 5 euros
- Ouvrages de Jérôme Halzan disponibles à la vente sur le stand Kontre Kulture
- Vente de Boissons et collations
- L’adresse vous sera envoyée la veille par SMS
13:18 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un Bistro Libertés anti-mondialiste
Le nouvel album d'Ignace cliquez ici
12:01 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ligue du Midi : Tarascon (13), dimanche 14 janvier, messe en hommage aux victimes du terrorisme
11:12 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Gouvernement Attal : un gouvernement pour relancer la France ? Non, pour relancer Macron !
« De mille traits que j’ai entendus, je conclurais que si les singes avaient le talent des perroquets, on en ferait volontiers des ministres ».
Chamfort.
Synthèse nationale
À peine annoncé, le gouvernement Attal apparaît comme un nouveau beau coup politique d’Emmanuel Macron. Son objet essentiel : relancer non pas la France mais un exécutif déjà à bout de souffle, vingt-et-un mois après la réélection du président de la République ; et, au passage, appuyer là où ça fait mal chez Les Républicains.
Bref, chapeau l’artiste ! Pour le reste, pas grand-chose à signaler ; beaucoup de réchauffé… Les cocus patentés qui, il y a dix-sept ans, ont aimé se faire avoir par Sarkozy, adorent déjà ce nouveau cabinet. Ils veulent y voir le signe d’un basculement à droite répondant aux attentes d’un pays qui, à les en croire, pencherait de ce côté…
Ils oublient un peu vite les enseignements de la dernière présidentielle et des législatives qui ont suivi (voir l’analyse des résultats dans le n°60 cliquez ici de notre revue Synthèse nationale). Ils oublient aussi que le maître des orientations politiques reste l’actuel occupant de l’Elysée et que de ce côté, il n’y a rien de particulier à attendre…
Décidément, alors que le pays ne cesse de se déliter, de s’enfoncer, de déprimer, les trois ans et demi à venir vont sembler interminables…
11:05 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 11 janvier 2024
Aux Sables d'Olonne, la statue de l'Archange saint Michel ne sera plus déboulonnée !
Vous vous souvenez du magnifique combat de résistance mené par la municipalité, la paroisse, les habitants des Sables d'Olonne pour que leur statue ne quitte son emplacement comme le voulait une petite clique de laïcards aigris. L'affaire avait été portée en justice et était montée jusqu'au Conseil d’État. Elle vient de connaître une juste conclusion grâce à une résistance de bon sens, ferme et intelligente. C'est ce que le curé-doyen de la paroisse relate dans Stella Maris, le bulletin de la paroisse Sainte-Marie.
Jean Leclerc
Éditorial : Saint-Michel, patron secondaire de notre ville. Par l'abbé Antoine Nouwavi, curé-doyen des Sables d'Olonne
La statue de l'archange saint Michel est désormais sur une parcelle acquise par la paroisse Sainte-Marie des Sables-d'Olonne pour y ériger une rampe d'accès pour handicapés ! Rien ne présageait de cette belle et heureuse solution qui a fait le bonheur de beaucoup de croyants de France et d'ailleurs.
En vérité, nous devons à saint Michel de nous avoir conduits à ce dénouement heureux. Dans la rude bataille que la ville a engagée pour sauver la statue, la paroisse, tout en priant pour que les recours réussissent, a continué à œuvrer pour la rénovation de l'église Saint-Michel.
Au carrefour stratégique de la ville des Sables-d'Olonne, l'église dont saint Michel est le patron, vétuste certes, a toujours été le lieu de ralliement de tous ceux qui honorent l'archange. Des manifestations, des rassemblements, des chapelets et des messes y ont toujours eu lieu en l'honneur du saint patron des parachutistes. Tel un général d'armée, Saint-Michel, au cœur du projet de rénovation nous a conduits, petit à petit, à découvrir que la rampe d'accès aux handicapés est aussi celle qui conduit à ériger sa statue sur cette parcelle qui est devenue celle de tous les Sablais. Saint Michel a-t-il gagné tout seul le combat ? Non, il nous a conduits comme un meneur d'hommes et de femmes, dans le dialogue, la concertation, la recherche inlassable du bien supérieur des citoyens de la ville des Sables, à trouver l'heureuse issue souhaitée par le plus grand nombre. Saint Michel nous a amenés à penser et à croire que la prière est aussi le lieu d'un engagement total pour la cause pour laquelle on se met à genoux devant Dieu. Dans la prière, nous découvrons comme l'apôtre Paul l'a pensé que "Tout ce qui est vrai et noble, tout ce qui est juste et pur, tout ce qui est digne d'être aimé et honoré, tout ce qui s'appelle vertu et qui mérite des éloges, tout cela, doit être pris en compte." (Ph, 4,8) En regardant désormais cette statue sur ce parvis, je pense au triomphe de l'archange saint Michel sur le dragon, je pense aussi que ce parvis ouvert à tous est désormais celui des gentils. Il est le lieu où notre église a plus que jamais été à l'écoute de la voix des sans voix.
Nous ne sortons donc pas de cette séquence usés par la bataille juridique et médiatique mais confortés qu'il y a encore dans notre pays des symboles qui rassemblent. Ainsi, nous savons tenir aux choses et aux symboles qui nous tiennent ensemble dans le vivre-ensemble qui transcende nos divisions. Pour toutes ces raisons, Après La Vierge Marie à laquelle notre ville a été consacrée à maintes reprises, je propose que l'Archange saint Michel soit le patron secondaire de la ville des Sables-d'Olonne.
Je remercie d'avance toutes les âmes de bonne volonté qui feront triompher cette proposition pour que notre ville vive.
Source cliquez ici
23:15 Publié dans François Floc'h, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mon pote condamné à 3 mois de taule : il a défendu une dame de 83 ans agressée
Pierre Cassen Riposte laïque cliquez là
C’est hélas une histoire authentique que je vous raconte. Comme disait Coluche, c’est l’histoire d’un mec…
Un homme de 50 ans qui décide de quitter la région parisienne, qu’il ne supporte plus, pour aller s’installer dans la France profonde, la plus profonde qui soit, la Creuse.
Avec son amie, ils achètent une vieille bâtisse, dans un petit hameau tout tranquille. Mais pas de chance, les autorités ont installé dans ce hameau un cas social, toxicomane et alcoolique, violent, déjà condamné à de multiples reprises, qui pourrit la vie des habitants depuis qu’il est là.
Et l’ami, depuis sa cuisine, entend des hurlements et un appel au secours de sa voisine, une vieille dame assez forte, donc dépourvue de défense, qui se fait menacer par son sympathique voisin. N’écoutant que son courage, il sort pour la défendre et, ayant gardé quelques habitudes, il ne part pas les mains vides mais prend sur la table un coupe-papier avec une lame de 4 centimètres. Il s’interpose donc entre le voyou et la vieille dame. Et l’homme se montrant de plus en plus menaçant, il se voit obligé de lui mettre un petit coup de lame dans le ventre. Sauf qu’un coup de lame avec 4 grammes dans le sang, cela fait du dégât, et le gars a été hospitalisé.
L’ami, suite à cela, a été interdit de séjour dans la Creuse pendant trois mois et assigné à un contrôle judiciaire. Il était jugé hier. Et comme on peut avoir confiance en la justice de son pays, il a été condamné par le juge Humbert (ci-dessus) à 3 mois de prison ferme, et à 3 500 euros d’amende.
Ah, j’ai oublié, aucune condamnation pour l’agresseur, si ce n’est une amende ridicule.
Comme je vous le dis toujours, un bon citoyen doit avoir confiance dans la justice de son pays…
18:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Marion Maréchal sur TF1 jeudi matin
18:22 Publié dans Européennes 2024, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dominique Venner et la guerre d’Algérie : Renaud Dély n’a rien compris !
Polémia cliquez ici
Le journaliste d’extrême gauche Renaud Dély vient de commettre un ouvrage sur Dominique Venner (L’assiégé, JC Lattès, janvier 2024). Il le croit inspiré. Il n’y plaque que sa vision de midinette – cheveux longs et idées courtes – sur des événements qu’il ne connaît que par les ‘digests’ proposés à Sciences Po ou par Netflix. Affligeant.
Renaud Dély ne manque pas de talent. Mais de conteur. Il devrait être romancier. Sa vision de la guerre d’Algérie relève moins de l’étude détaillée des journaux de marche des régiments engagés sur le terrain, ou des simples rapports de police, voire des articles de presse recoupés par les acteurs de l’époque, que de la trame wokiste des événements que l’on apprend désormais, en France, aux élèves de CM2 et des IEP.
Dans les pages que Dély consacre à l’engagement de Dominique Venner au début de la guerre d’Algérie, suintent toutes les phobies que la gauche bien-pensante retient de l’époque : violence aveugle et débridée de l’armée française, exactions sur des populations civiles évidemment innocentes, torture des prisonniers et exécutions sommaires – les « corvées de bois »… Dès lors, Dély fait de Venner un agent exalté du pire – à peu près le Diable incarné. Pensez-vous, chère Madame : il aurait lui-même et très évidemment, par caractère autant que par conviction, participé aux atrocités permises par les autorités de l’époque. Même l’EI et le Hamas réunis seraient outragés d’une telle bestialité.
La guerre d’Algérie à la sauce Netflix
Notre ami Dély, le camarade Renaud, aurait simplement pris la peine de lire ce que son sujet – Dominique Venner – en disait, qu’il se serait évité un peu de ridicule. Dély conçoit en effet la guerre d’Algérie très exactement comme le cinéaste américain Oliver Stone celle du Vietnam (Platoon, 1986) : rien n’est vrai, seule importe la projection de ses propres fantasmes sur une réalité qui, par nature et par vocation, échappe aux « sangs de navet » dont Jean-Marie Le Pen disait, à juste titre, qu’ils n’avaient jamais entendu siffler à leurs oreilles que des balles de tennis. En aucune façon des balles de 7.62 au fond d’un talweg au petit matin…
La guerre d’Algérie n’est certes pas un sujet anodin, dans la vie et l’œuvre de Dominique Venner comme dans « l’axe du destin » de ce qu’il restera à sauver, peut-être un jour prochain, de la France et de l’Europe. Le sujet mériterait quelques développements mais, pour en rester à l’ouvrage, sans doute de commande, du camarade Renaud, quelques mises au point s’imposent naturellement.
La première mise au point tient à la nature de l’engagement de Dominique Venner dans cette guerre. Engagement évidemment total – comment pourrait-on simplement concevoir un engagement en demi-teinte, de feignasse affaissée, a fortiori à 20 ans, lorsqu’enfin le conflit héraclitéen s’impose à soi ? Mais Renaud n’a pas lu Dominique. Venner ne regrette ni ne renie rien de son engagement de braise bien sûr, ne serait-ce que par élégance, pour ce que l’on « se doit à soi-même ». Il a fait la guerre, une « petite guerre », et aurait aimé la victoire, même de principe – pour l’honneur. Et pour la défense de ses compatriotes d’Algérie – « pour leurs droits de vivre librement sur la terre où étaient enterrés leurs morts. » (1)
Mais quand il évoque cet épisode, il pense davantage à Jünger, l’aimé de Mitterrand, qu’à Salomon, l’inspirateur des éternels maudits des complots condamnés à l’échec : « Dans les situations extrêmes, comme le disait Jünger, l’homme se résume au cœur qu’il porte en lui. Parce qu’il s’établit au-dessus des jeux de l’intelligence, l’impératif du cœur prime alors celui de la raison. » (2)
Le droit des peuples à vivre où sont enterrés leurs morts…
La seconde mise au point tient à la qualification des combattants. Sans doute faut-il avoir un « sang de navet » en effet comme Dély pour ne pas comprendre, à défaut de savoir, que la guerre est un affrontement de nature métaphysique, et que l’adversaire y tient toute sa place – de façon « mimétique » comme dirait René Girard.
Dans Le Cœur rebelle (Les Belles Lettres, 1994), Dominique Venner écrit sa compréhension et son respect pour le combat des fells, admettant même qu’il aurait fait de même à leur place, en combattant « identitaire » – ce qu’à l’évidence Dély n’a pas lu, ou compris.
La dernière mise au point tient à la portée du conflit. Jamais Dominique Venner n’écrit que « la guerre d’Algérie n’est pas finie ». C’est le romancier Alexis Jenni dans L’Art français de la guerre (prix Goncourt 2011) puis encore dans Féroces infirmes (2019). Ce sont les services de renseignement et quelques politiques actuels. Ce sont surtout les Algériens eux-mêmes, ivres de la frustration d’une victoire qu’ils ne savent acquise que par défaut, par refus de combattre de l’adversaire. Et dont ils veulent une revanche avide.
« Rebelle par fidélité »
Ce qu’écrit Venner en revanche, c’est que la signification et la portée de ce conflit restent évidemment actuelles, et que les combats menés ne le seront jamais en vain : « Refuser de s’abandonner à la fatalité, protéger les siens quand ils sont menacés, ce sont là des qualités que l’on apprécie par exemple chez les Israéliens. Pourquoi ne le seraient-elles pas chez les Français ? Malgré bien des torts, ce fut l’honneur des partisans de l’OAS d’avoir tenté de défendre jusqu’au bout les Français d’Algérie et les Musulmans fidèles, livrés par le gouvernement de la République à l’exode ou au massacre. » (3)
Chez Dominique Venner, rien n’est plus méprisable que la petitesse dont à l’évidence Renaud Dély s’est contenté.
Ignorant de la seule « verticalité des sentiments » qui fait le sel de la terre et des hommes qui tentent, depuis la nuit des temps, de l’habiter en poètes et non en esclaves – en rouages d’une machine qui les dépasse et niera jusqu’à leur qualité humaine.
Méprisant de ce fait « la vertu des cœurs insoumis et généreux » qui seule importait réellement à Dominique.
Pauvre Renaud…
Notes
Le Cœur rebelle, Les Belles Lettres, Paris, 1994, p. 187.
Ibid, p. 197.
Ibid, p. 79.
NDLR SN : Si vous voulez lire un livre de qualité sur Dominique Venner cliquez ici
11:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vendée : non à la propagande immigrationniste payée par nos impôts
Un communiqué de Eric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen :
Le mardi 23 janvier 2024 à 20 h, le film-documentaire “Moi, Capitaine” est programmée au Ciné Monts de Saint-Jean-de- Monts en Vendée.
Cette projection sera suivie d’un échange avec les représentants locaux d’associations “humanitaires” partenaires de ce film de propagande immigrationniste, tels que SOS Méditerranée, France terre d’Asile, Ligue des droits de l’Homme, le Gam St-Jean-de-Monts (Groupement d’accueil des migrants), etc.
La gauche-immigrationniste Montoise est prête à tout pour nous imposer l’immigration de masse. Elle fait la propagande de leur idéologie à travers ce film sur l’accueil des migrants.
Ce film est diffusé dans une salle associative fonctionnant avec l’argent du contribuable montois. Ce sont donc nos impôts qui financent ce genre d’événement avec le soutien de la municipalité dirigée par madame Véronique Launay.
Par le prisme du cinéma, les associations immigrationnistes peuvent continuer leur œuvre de propagande, mais le peuple français n’en peut plus et commence à le faire savoir. Ce dernier en a assez de payer des séances de cinéma pour se faire cracher au visage et s’entendre dire que sa police est raciste, que ses ancêtres sont esclavagistes, que son pays doit tout à l’immigration.
En conséquence, dans l’esprit républicain d’équilibre de la parole et de la liberté d’expression, le Rassemblement vendéen propose à madame Véronique Launay, maire de Saint-Jean-de-Monts de faire programmer au Ciné Monts le très beau film d’anticipation “Et les cloches se sont tues“…
Dans l’attente, nous restons très attentifs à la suite donnée à notre requête. Si toutefois la parité des idées venait à être bafouée, le Rassemblement vendéen se donne la faculté d’agir par tous moyens légaux pour se faire entendre et se faire comprendre…
11:10 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Européennes 2024 : Le Parti de la France soutient Marion Maréchal
Un communiqué du Parti de la France :
Le Bureau Politique du Parti de la France, réuni à Paris le 6 janvier, a pris la décision d'apporter le soutien du PdF à la candidature de Marion Maréchal pour les élections européennes du 9 juin prochain.
Le discours identitaire, souverainiste et civilisationnel de la petite-fille de Jean-Marie Le Pen est celui qui se rapproche le plus de la ligne de notre parti et c'est en toute logique que le PdF fera campagne pour sa liste.
Même si le PdF ne souscrit pas aux orientations hasardeuses de Reconquête en matière de politique internationale, la situation nationale et européenne est telle qu'il faut s'unir sur l'essentiel dans l'intérêt de la Nation et du peuple français.
Le 9 juin, pour retrouver une France française et une Europe européenne, votez Marion Maréchal !
11:06 Publié dans Communiqués de presse, Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 10 janvier 2024
La forfaiture de l’infâme Pierre Moscovici
Bernard Germain
Cet individu, socialiste de son état, fut d’abord député européen de 1994 à 1997 puis ministre chargé des Affaires européennes de 1997 à 2002 sous Lionel Jospin. Il fut également vice président du Parlement européen de 2004 à 2007. Il fut ensuite député en France puis directeur de campagne du candidat Hollande en 2012. Lorsque ce dernier fut élu, il nomma Pierre Moscovici ministre de l’Économie, des Finances et du Commerce extérieur. Il redeviendra ensuite député à l’issue de ses responsabilités ministérielles. En novembre 2014, il est nommé commissaire européen aux affaires économiques et financières, à la fiscalité et à l’union douanière, sous l’ère de Jean-Claude Juncker. En juin 2020 il sera nommé, par Emmanuel Macron, président de la Cour des comptes C’est à ce titre qu’il vient de s’illustrer à nouveau dans la rubrique forfaiture.
Mais tout d’abord, qu’est-ce que la Cour des compte ?
La Constitution de 1958, dans son article 47-2 dispose : « La Cour des comptes assiste le Parlement dans le contrôle de l'action du gouvernement. Elle assiste le Parlement et le Gouvernement dans le contrôle de l'exécution des lois de finances et de l'application des lois de financement de la sécurité sociale ainsi que dans l'évaluation des politiques publiques. Par ses rapports publics, elle contribue à l'information des citoyens.
Les comptes des administrations publiques sont réguliers et sincères. Ils donnent une image fidèle du résultat de leur gestion, de leur patrimoine et de leur situation financière. »
On peut donc dire que la Cour des compte a un double rôle : rôle d’expertise et rôle d’information du parlement, du gouvernement et des citoyens.
On comprend dès lors que dans des périodes où des décisions sur un sujet doivent être prises, cette institution a une action des plus importantes puisqu’il s’agit de donner les informations qui vont éclairer les décideurs avant qu’il ne tranchent dans un sens ou dans un autre.
Cette explication générale étant faite, venons-en aux éléments concrets. Comme chacun le sait, l’immigration est un sujet de la plus haute importance, à la source de multiples problèmes (notamment explosion de la délinquance et de violences partout en France). Les Français n’en peuvent plus et environ 70 à 80 % d’entre eux veulent un arrêt pur et simple de cette immigration ainsi que l’expulsion du territoire national de tous ceux qui commettent des crimes et délits.
Quant au coût de cette immigration il se situe entre 50 et 100 milliards par an. Somme que l’on peut sans doute doubler si l’on y ajoute la fraude sociale dont de multiples immigrés sont responsables.
On notera au passage que Bruno Le Maire, le ministre des Finances, vient de faire une déclaration alarmiste disant qu’il fallait absolument réaliser 12 milliards d’économie en 2024. Vu qu’il a l’air de chercher où faire ces économies, je lui suggère de simplement baisser l’immigration et il aura sans aucun problème ses 12 milliards. S’il arrête l’immigration, comme le demandent les Français, il ne saura plus où mettre les dizaines de milliards qu’il économiserait. Mais, là on est dans le rêve… revenons à la réalité.
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mardi, 09 janvier 2024
Nouveau remaniement, Attal Premier ministre, ambiance de fin de règne… Les quatre ans à venir vont être bien longs !
« Le macronisme n’est pas un hypercentrisme mais un égocentrisme. Il aura théorisé le relativisme par narcissisme ».
Bruno Retailleau, président des Républicains au Sénat, juillet 2023.
Synthèse nationale
À la fin du mois de juillet dernier, dans Valeurs Actuelles, Édouard Roux voyait dans le remaniement d’alors le « resserrement des derniers fidèles autour du président, (…) la mainmise, de plus en plus chancelante et désabusée, d’Emmanuel sur la Macronie » et « le symbole d’un essoufflement institutionnel et démocratique ». Cinq mois et demi plus tard, alors que Gabriel Attal devient Premier ministre en remplacement d’une Élisabeth Borne poussée vers la sortie, le commentaire n’a rien perdu de sa pertinence ; pas plus que cette sentence de Machiavel citée par le même journaliste : « Gouverner, c’est faire croire ». Emmanuel Macron et les membres de ses différents gouvernements sont en effet passés maîtres en la matière.
Réagissant au non-événement que constitue ce énième remaniement, Éric Zemmour, avec l’habituelle acuité de son analyse, a su aller à l’essentiel. Rien à enlever ou à ajouter à ses derniers envois sur X : « Vous pouvez remanier une fois par jour le "en même temps", vous obtiendrez toujours le "en même temps". On ne remanie pas le vide, le flou et le zigzag. (…) Attal remplace Borne. Une macronienne est remplacée par un macronien qui va remplacer des macroniens par d’autres macroniens. Emmanuel Macron est une toupie : s’il s’arrête de tourner en rond, il tombe ».
En ce qui nous concerne, dans cette "affaire", la seule (petite) satisfaction que nous pouvons faire valoir concerne Gérald Darmanin. Une nouvelle fois, l’ambitieux dont les dents n’arrêtent plus de rayer les parquets lustrés de la République voit Matignon lui échapper. Or, il paraît qu’en juillet dernier déjà, il n’en dormait pas de la nuit… C’est sans doute un peu mesquin de notre part, mais ça fait quand même plaisir…
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Dimanche 21 janvier, à Paris : MARCHE POUR LA VIE
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Samedi 3 février, à Vaucresson (92) : hommage du Parti de la France à Roger Holeindre
Samedi 3 février à 16h30, le Parti de la France organise son traditionnel hommage à Roger Holeindre au cimetière de Vaucresson (10 rue de Cazes).
La commémoration sera suivie, à partir de 19h30, d'un repas au restaurant (45 € par personne tout compris) où diverses personnalités de la droite nationale évoqueront, comme chaque année, le souvenir de Roger Holeindre.
Ne tardez pas à réserver pour le dîner, les places sont limitées :
07.66.51.27.24 ou partidelafrancesomme@gmail.com
A propos de Roger Holeindre, lire le livre C'est Roger : cliquez ici
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Tribune libre : ENCORE UN EFFORT ET GAZA NE SERA PLUS QU’UN TAS DE GRAVATS !
Pieter Kerstens
Depuis 3 mois, ce territoire de la Palestine subit une avalanche de bombes israéliennes de toutes sortes et les victimes se comptent en dizaines de milliers, dans l’indifférence des médias européens. Fort de sa puissance militaire, l’Etat hébreu multiplie ses opérations pour « éradiquer le Hamas » et son réseau de tunnels en réponse aux attaques du 7 octobre.
Devoir de mémoire.
Dès 1948, les sionistes méprisent au plus haut point les résolutions de l’ONU et poussent aux crimes, tel Jacques Kupfer, co-président du Likoud mondial, qui déclarait le 15 juillet 2014 :
« Lorsque les alliés ont voulu mettre un terme à la guerre contre l’Allemagne nazie, ils ont détruit la ville de Dresde. A juste titre.
Lorsque les Etats-Unis ont voulu mettre un terme à la guerre contre le Japon, ils ont détruit Hiroshima et Nagasaki en lançant la bombe atomique. A juste titre.
Si nous voulons mettre un terme à la guerre, nous devons raser Gaza.
Gaza doit devenir un champ de ruines d’où ne peuvent sortir que des gémissements. »
Le 9 mars 1943 les alliés avaient bombardé Tokyo en faisant plus de 100.000 morts.
En juillet 1943, à Hambourg, les avions anglo-américains infligeaient 42.600 victimes.
A Hiroshima et Nagasaki, en août 1945, 214.000 japonais succombaient aux bombes atomiques américaines.
Le 13 février 1945, à Dresde, ce sont 125.000 civils qui décédaient sous les bombardements alliés.
Selon les derniers chiffres, plus de 23.000 palestiniens sont morts sous les bombardements aériens et terrestres des Israéliens. Et selon les déclarations de Benjamin Netanyahu, ce n’est pas demain que ces déluges de feu vont s’arrêter. En effet, les sionistes disposent encore de milliers de bombes en tous genres et de milliers de tonnes d’obus dont le but est d’éliminer tous les combattants du Hamas. Les Israéliens prennent exemple sur les bombardements alliés en Allemagne durant lesquels Berlin avait reçu 67.600 tonnes larguées par l’USAF et la RAF et Cologne 44.900 tonnes pour sa part. A Gaza, on en est loin…
A quand la fin du conflit ?
A ce jour, personne n’envisage la fin des combats et sans mesures de rétorsion ni embargo sur les armes livrées par les Yankees aux Israéliens, les hostilités se poursuivront. En outre, les Houthis étendent le conflit en mer Rouge en attaquant les navires marchands et sur le front sud au Liban, le Hezbollah harcèle Tsahal avec des tirs de missiles. La paix entre les belligérants reste un vœu pieux et la solution de deux Etats pour deux peuples en Palestine, proposée par l’ONU il y a des décennies, parait une utopie aujourd’hui.
Evidemment, s’il n’y avait plus de Palestiniens à Gaza, enterrés sous les décombres, cela simplifierait le problème, pour le plus grand bonheur des sionistes, qui pourraient aussi profiter de l’exploitation des gisements de gaz et de pétrole aux large des côtes de Gaza !
Mais peut-on réellement croire qu’en éliminant le dernier des combattants du Hamas, Israël aurait également mis fin à l’idéologie de l’indépendance de la Palestine ? On en doute…
11:01 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 08 janvier 2024
Sympathique Galette des Rois du Rassemblement vendéen
Dimanche 7 janvier était organisée en Vendée la Galette des Rois du Rassemblement vendéen, mouvement identitaire local présidé par notre ami Eric Mauvoisin-Delavaud.
Près d'une centaine de convives venus des quatre coins de la Vendée militaire, auxquels s'était jointe une délégation du Trégor (rappelons que le RV s'est toujours déplacé en force pour soutenir le combat pour sauver Callac), se sont donc retrouvés pour écouter l'intervention politique du président Mauvoisin-Delavaud et partager, dans une une ambiance festive et pittoresque, la galette traditionnelle.
Synthèse nationale avait un stand sur place, ce qui permis de retrouver de nombreux amis, de diffuser notre revue et les ouvrages que nous éditons. Dans la prochaine livraison de notre revue (n°65, hiver 2023-2024), vous pourrez lire un entretien avec le président du Rassemblement vendéen.
S N
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Le leurre des européennes
Le billet de Patrick Parment
Seules élections avant la présidentielle, les européennes focalisent les énergies du marigot politique. Tous les sondages le confirment, le Rassemblement national arrive largement en tête. Il fallait s’y attendre, tant on assiste dans toute l’Europe à une montée de ce que l’on appelle les partis populistes qui oeuvrent moins pour la fin de l’Europe que sur un réaménagement de l’administration Bruxelloise et la fameuse Commission. Ce qui ne manque pas de sel à l’heure où on enterre un Jacques Delors à l’origine de ladite Commission. C’est la raison pour laquelle on est en droit d’attendre quelques bouleversements au sein de l’exécutif européen.
Bien évidemment quelques beaux esprits en profitent pour extrapoler et calquer les résultats des européennes sur la prochaine présidentielle française. Quelle erreur. Faut arrêter de prendre les Français pour des ouins ouins ! Les enjeux des européennes n’ont que peu à voir avec la présidentielle. Mais bien évidemment, s’agissant de faire peur, la presse de gauche s’en donne à cœur joie en plaçant derechef Marine Le Pen à l’Elysée. Si un tel scénario n’est pas à exclure – tout dépendra en grande partie de l’état d’esprit des Français à ce moment là -, la seule certitude que l’on puisse avancer est que la gauche ne figurera parmi les choix possibles de nos concitoyens.
Alors, balle au centre ou à droite ? Mais qu’est-ce que le centre ? Les copains de François Bayrou où les brebis égarées des Républicains passées à l’essoreuse macronienne ? On pense à Edouard Philippe en premier lieu. Mais qui connaît réellement ce garçon qui n’a pas laissé de traces en tant que Premier ministre. Il faut bien avouer qu’avec un Macron jouant les deus ex machina, l’espace du Premier ministre est retreint. On le voit bien avec Elisabeth Borne. Par ailleurs, la cote de Macron n’est pas non plus au mieux de sa forme auprès des Français qui ne comprennent pas grand-chose à cet ovni politique, incapable de leur expliquer le monde en général et la France en particulier. Il est surtout un homme qui a beaucoup œuvré pour le patronat et fort peu pour les « Gilets jaunes », cette France du labeur et qui paie tous les pots cassés. Il s’est emmêlé les crayons avec la réforme des retraites et rebelote avec sa piteuse loi sur l’immigration. Autant dire que l’héritage est lourd à porter.
Reste la droite ! Quelle droite ? Les Républicains messire ! Ici aussi la part de non-dit est révélateur de l’écroulement de ce parti taraudé entre des centristes qui se réfèrent à un soi-disant gaullisme social – en fait la remise à jour perpétuelle de la participation en entreprise – et une aile dure qui pourrait emprunter non pas à Marine Le Pen mais bien à Jean-Marie Le Pen du temps de sa splendeur et appliquer ce mot de Charles Pasqua de « terroriser les terroristes ». En un mot déborder le Rassemblement national sur sa droite depuis que celui-ci ne cesse de jouer au centre. Difficile de traiter un gaulliste de fasciste ! Quoique. Car les Français attendent d’un homme politique qu’il passe à l’action et ne donne pas dans le verbiage comme l’a fait Sarkozy. C’est sur cette crête, à mon humble avis, que se jouera la prochaine présidentielle. Pour ce qui est des européennes, on peut considérer que c’est bâché sans que cela fasse avancer pour autant le schmilblick !
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samedi, 06 janvier 2024
Jacques Delors,... traître à sa patrie
Bernard Germain
Le 27 décembre s’éteignait à 98 ans Jacques Delors, père de Martine Aubry la maire de Lille. Il commença sa carrière comme militant syndical CFTC puis CFDT et travailla auprès du Premier ministre Jacques Chaban-Delmas de 1969 à 1972. Il adhéra au Parti Socialiste à compter de 1974 et devint député européen en 1979. Lorsque François Mitterrand fut élu président de la république il devint ministre de l’économie et des finances de 1981 à 1984. C’est à lui qu’on doit le virage de « la rigueur » en 1983, qui viola sans état d’âme les engagements du candidat Mitterrand, au motif de l’indispensable réalisme économique et de la nécessaire conversion au libéralisme en vogue dès 1982 avec Thatcher et Reagan à leur apogée. Un moment pressenti pour devenir Premier ministre, il fut de 1985 à 1995 propulsé à la tête de la commission européenne à Bruxelles. En 1995, alors qu’il était favori pour l’élection présidentielle, il refusa d’être candidat.
Tel est en quelques mots le parcours de cet homme.
Ce qui me paraît le plus important dans le parcours politique de cet homme c’est le rôle qu’il eut au plan européen.
C’est sous sa direction que se mettra en place en 1985, l’espace Schengen.
En 1992, l’homme de Maastricht, c’est encore lui. Or Maastricht, c’est le tournant, c’est le moment clé dans l’histoire de l’Europe. Le moment où les nations acceptent de renoncer à leur souveraineté nationale au profit de l’Union européenne et où sont creusées les fondations de la dictature que nous connaissons actuellement.
C’est aussi Jacques Delors qui sera l’artisan de l’instauration de l’Euro, dont l’adoption fut votée en 1995 à Madrid. L’Euro cette monnaie prétendument « unique » alors qu’elle n’est qu’une monnaie commune, ce qui est d’ailleurs son tendon d’Achille.
On n’oubliera pas qu’au sujet de l’Euro, Delors déclara : « L'euro nous apportera la paix, la prospérité, la compétitivité et, rien que pour la France, il se traduira par la création d'un million d'emploi ». Si l’on est simplement honnête intellectuellement, on ne peut qu’être sidéré par le décalage entre cette déclaration et la réalité que connaîtra notre pays et que nous constatons depuis de si nombreuses années, avec une France « au fond du trou », contrairement à ce qu’il affirmait de manière péremptoire.
En 2005, pour le référendum sur la constitution européenne, il appellera bien sûr à voter oui.
Le 26 juin 2015, le Conseil européen nommera Jacques Delors « citoyen d'honneur de l'Europe ». Après Jean Monnet en 1976 et Helmut Kohl en 1998, il sera donc la troisième grande personnalité de la construction européenne à être distinguée par les siens.
Jacques Delors se sera donc dépensé toute sa vie pour l’Europe, plus exactement pour la construction de l’Union européenne qui est le cheval de Troie des États-Unis dont l’objectif était et reste de faire de l’Europe un protectorat américain, sur le plan économique mais également sur le plan militaire en recrutant au sein de l’Otan le maximum de pays européens.
Le général De Gaulle a été un infatigable défenseur de la France, de sa souveraineté et de son indépendance nationale. C’est pour cela qu’il s’opposa si violemment à Walter Hallstein, ancien nazi et premier président de la commission européenne de 1958 à 1967, qui présenta en 1965 un projet d’Europe « fédérale » provoquant la colère de De Gaulle et la « crise de la chaise vide » jusqu’à ce que les accords de Luxembourg n’instituent un droit de veto pour les États membres de la CEE. Le général voulait bien entendre parler d’une Europe des nations, et indépendante des États-Unis. Mais en aucun cas d’une Europe fédérale, asservie à la domination de « l’oncle Sam ». De Gaulle obtiendra le départ de Walter Hallstein en 1967.
On ne peut qu’être frappé par l’action absolument inverse de Jacques Delors qui aura été , contrairement au général, un fidèle serviteur des intérêts américains et de la mise en place de l’Union européenne, cette machine de guerre pour soumettre les nations et détruire le droit des peuples à décider librement de leur avenir. Jacques Delors laissera donc dans l’histoire le souvenir d’un homme soumis, qui joua constamment contre les intérêts de son pays et de son peuple.
Emmanuel Macron a décidé de lui rendre un « hommage national » le 5 janvier 2024 dans la cour des Invalides. On est en droit d’être perplexe devant cette décision car on peut légitimement se demander ce que la nation doit à cet homme.
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23:53 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Eric Zemmour invité sur LCI ce dimanche à midi
23:52 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 05 janvier 2024
Ezra Pound :
18:41 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Arrêté, jugé et condamné pour des affiches en hommage à Thomas : témoignage
Thibault a été arrêté, mis en garde à vue durant 48h, perquisitionné, jugé et condamné… pour avoir collé des affiches en hommage à Thomas. Voici le récit de son expérience kafkaïenne dans les méandres de la « justice » française.
Source : Vincent Lapierre via Jeune Nation
10:35 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La défaite de l'Occident
Le regard d’Emmanuel Todd, où se mêle géographie, sociologie, démographie et histoire est toujours intéressant car il se démarque ostensiblement de ces soi-disant spécialistes qui pontifient souvent leur incompétence. C’est ainsi qu’il avait prédit la chute du communisme en raison de la chute de sa natalité. Il s’en prend dans son nouvel ouvrage, La défaite de l’Occident, au chaos que connaît le monde actuellement. Il y a les raisons objectives à ce déclin occidental qui nous sautent aux yeux : la guerre en Ukraine, le conflit palestinien, d’autres qui le sont moins comme le recul de l’industrie, la fin de l’Etat-nation. Mais, plus encore nous dit Emmanuel Todd l’état zéro de la matrice religieuse et d’abord la chute du protestantisme ainsi que la hausse de la mortalité infantile aux Etats-Unis plus élevée que celle de la Russie. Serein l’avenir ? Pas vraiment.
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Source : Le Point 8/1/2024
09:15 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |