dimanche, 17 décembre 2023
Décès de Jacques Le Morvan, figure du combat national et catholique
Communiqué de Chrétienté Solidarité :
« Gaudete in Domino semper »
A la veille du dimanche de Gaudete, ce samedi 16 décembre 2023, à l’heure où l’on chante les complies, Jacques Le Morvan a été rappelé à Dieu.
Militant fondateur du Centre Charlier, Jacques a été de tous les combats pour la France et la Chrétienté. De Saint Nicolas du Chardonnet à Saint Louis de Port Marly, sur les routes de Chartres ou dans les rues de Paris, il a toujours été aux avant-postes de la résistance catholique et française.
Par son talent, il a su offrir au Centre Charlier et à Chrétienté-Solidarité l’écrin qui enveloppe chacune de nos initiatives et de nos luttes. Les bannières et les drapeaux qu’il a dessinés et confectionnés, avec son épouse Colette, continuent de guider nos pas.
A la manière de Jacques Perret, qu’il affectionnait tant, Jacques était, tout simplement, un défenseur du Trône et de l’Autel, un chouan poursuivant la lutte au XXe siècle finissant et en ce début de XXIe siècle si menaçant.
Les portes du Paradis sont grandes ouvertes pour ceux qui ont aimé et servi Jésus Christ ici-bas. Nul besoin d’en crocheter les serrures, ni de les enfoncer avec un bélier. Pas de policier irascible, ni de méchants évêques pour en empêcher l’accès à ceux qui ont combattu sous les bannières du Christ-Roi.
Que Notre Dame de France accueille Jacques, dans la Paix qui ne finit jamais.
A Dieu Jacques, au revoir mon cher ami.
Yann Baly
Président du Centre Charlier
NDLR SN : Jacques est décédé presque un an après son frère Pierre cliquez ici. Depuis les années 1970, à Angers puis à Paris, il était devenu un militant incontournable de la cause nationale. Sachant passer au-dessus des clivages qui traversent régulièrement notre camp, il faisait de l'intérêt de la France une priorité absolue. C'est un valeureux camarade que nous venons de perdre.
R H
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samedi, 16 décembre 2023
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15:30 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
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François Bousquet publie Alain de Benoist à l’endroit, « Pour rendre justice à l’immense travail de renouvellement des idées auquel il s’est livré depuis 60 ans »
Source Breizh-info cliquez ici
François Bousquet, patron de la Nouvelle librairie et des éditions du même nom, rédacteur en chef de la revue Eléments, vient de publier un ouvrage intitulé Alain de Benoist à l’endroit, ouvrage hommage au parcours du plus fertile des écrivains de la Nouvelle droite au cours de la seconde moitié du 20ème siècle et du début du 21ème siècle.
« Quel est celui qu’on prend pour moi ? », s’interrogeait Aragon. Quel est celui que l’on prend pour moi, doit se demander Alain de Benoist, depuis le temps qu’il y a méprise autour de son nom? Il est temps de la corriger. C’est l’objet même de ce livre : rendre à Alain de Benoist ce qu’il nous a donné. Voilà ce que cet homme a fait; voilà ce qu’il a dit; voilà ce qu’on a dit de lui. L’actif d’une pensée et le passif – trop souvent – de sa réception. Au bilan, c’est une entreprise intellectuelle hors norme, tant individuelle que collective. Celle d’un homme inclassable, lui qui, ironiquement, aime tant classer. 120 livres, 2 000 articles, 850 entretiens qui dessinent une œuvre fleuve et alluvionnaire. Il sera de plus en plus difficile à l’avenir de faire comme si elle n’avait pas existé.
Nous avons évoqué cet ouvrage avec François Bousquet, dans une interview à découvrir ci-dessous.
Breizh-info.com : Qu’est-ce qui vous a motivé à écrire sur Alain de Benoist et quel était votre objectif principal en retraçant l’histoire de la Nouvelle Droite ?
François Bousquet : Pour ne plus lire les âneries habituelles que nos adversaires, sinon nos ennemis, déversent sur nous. Pour ne pas leur laisser le monopole du discours et le ministère de la parole autorisée. Pour juger sur pièces notre histoire, et non sur la base de racontars ineptes et démoniaques qui, tous, reviennent à dire qu’on tend le bras alors qu’on n’a jamais tendue que la main. Les exemples ne manquent pas. Il suffit d’ouvrir les notices Wikipédia d’Alain de Benoist et de la Nouvelle Droite pour s’assurer que ce ne sont rien d’autre que des fiches démonologiques rédigés par des démons de petite envergure, comme les appelait Fiodor Sologoub. Car aujourd’hui ce sont les « démons » qui jugent – et condamnent – l’œuvre de Dostoïevski.
Pour dresser un bilan de parcours à l’occasion des anniversaires et commémorations de cette année 2023, marquée par les 80 ans d’Alain de Benoist et les 50 ans d’Éléments.
Pour rendre justice à Alain de Benoist et à l’immense travail de renouvellement des idées auquel il s’est livré depuis 60 ans.
Pour remettre à l’endroit notre histoire dans un monde de plus en plus de travers.
Pour prendre date avec le futur.
Breizh-info.com : Comment décririez-vous Alain de Benoist en tant que personnalité intellectuelle et quel impact pensez-vous qu’il a eu sur la pensée politique contemporaine ?
François Bousquet : C’est un personnage hors norme, hors cadre, au savoir encyclopédique et à la curiosité sans bornes, décidément inclassable, lui qui aime tant classer. Un intellectuel, une tête chercheuse, un philosophe politique, premier parmi ses pairs intellectuels, parce que, comme Charles Maurras avant lui, et certes dans un registre doctrinal différent, il laisse une œuvre personnelle et collective, française et européenne, en amont et en aval de la modernité : celle d’un courant de pensée auquel le nom de Nouvelle Droite est associé. Qu’ajouter de plus ? C’est un maître-penseur et un maître-passeur, tant il a introduit dans l’espace francophone quantité d’auteurs et de concepts qui n’étaient pas familiers sous nos latitudes. Quand bien même il ne se reconnaît plus sous cette étiquette, il a sorti la droite des cycles de répétition et de la fatalité de la relégation intellectuelle. Sur le fédéralisme, sur la critique de l’idée de progrès, sur l’identité, sur l’écologie, sur la subsidiarité, sur le politique, etc., etc. C’est une boîte à outils conceptuels, un thésaurus politicus, et une base de données pléthorique. Son influence a suffisamment été décisive pour que ses adversaires aient cherché à le tuer, médiatiquement parlant, à plusieurs reprises.
En 60 ans de vita intellettuale, il a beaucoup semé, jamais en vain, mais non sans toujours en recevoir les lauriers. Si certains ne lui concèdent que du bout des lèvres leur dette intellectuelle, impossible de s’intéresser au combat culturel, à la critique du libéralisme, à la démystification des droits de l’homme, au renouveau des politiques communautaires, aux politiques de civilisation – pour nous, l’Europe – sans passer par lui. L’Europe est du reste son terrain d’élection, le sien et celui de la Nouvelle Droite. Quelle famille de pensée peut se flatter d’avoir donné naissance à autant de « sœurs » dans l’espace européen, en italien, en allemand, en espagnol, en flamand, en russe, en latin et en cyrillique ? Nul n’est prophète en son pays, peut-être, mais Alain de Benoist l’aura été en son continent.
Breizh-info.com : Comment la Nouvelle Droite a-t-elle évolué au cours des 50 dernières années et quel rôle Alain de Benoist a-t-il joué dans cette évolution ?
François Bousquet : Il y a dans toute grande pensée des éléments de continuité et de rupture. La Nouvelle Droite n’y échappe pas, mais les grandes orientations restent les mêmes. La charpente et les murs porteurs. Il peut arriver que certaines thématiques soient mises en sourdine, au sens musical du terme. Par exemple, l’inégalitarisme, mais il serait faux d’en déduire qu’il a été révoqué : il a mûri, il s’est affiné. La critique de l’idéologie du Même et celle de l’homogénéisation du monde peuvent être interprétées comme en étant un des prolongements possibles. Pareillement de la cause « des » peuples, présente de bout en bout : concédons cependant qu’elle a pris une vigueur nouvelle en rencontrant la cause « du » peuple et celle des populismes. Il n’y a pas opposition, seulement incorporation de nouveaux thèmes qui viennent rééquilibrer les prémices de la Nouvelle Droite première manière. Prométhée corrigé par Orphée, Konrad Lorenz amendé par Marcel Mauss, Nietzsche confronté à Proudhon. Il en va de même de l’aristocratisme, qui ne serait qu’une lente agonie sans son fertilisant plébéien ; de l’ethno-différentialisme s’il n’était qu’un ethnocentrisme, etc.
Breizh-info.com : Comment répondez-vous aux critiques qui associent la Nouvelle Droite à des idéologies extrémistes ou radicales ?
François Bousquet : De confondre l’étymologie et l’idéologie. La radicalité remonte les fleuves, là où l’extrémisme se laisse porter par les courants tempétueux. Le prêt-à-penser médiatique est confusionniste, mélangeant les deux termes, alors que tout les sépare. L’un cherche à agir en profondeur, comme en atteste son étymologie – du latin radicalis, dérivé de radix, la « racine » (et non pas la race), qui va à la racine des choses et à la longue mémoire. L’autre s’en tient à la surface. Radical est actif, proactif, agissant ; l’extrémiste n’est même pas réactif, il est surréactif. L’extrémisme est un piège sémantique dans lequel notre adversaire cherche à nous enfermer en nous déclarant d’emblée infréquentables (voir le dernier livre de Mathieu Bock-Côté à cet égard). Longue cuillère ou pas, on ne dîne pas avec le diable.
Breizh-info.com : Quel avenir envisagez-vous pour la Nouvelle Droite dans le contexte politique et social actuel ?
François Bousquet : Continuer de produire une intelligence collective appelée Nouvelle Droite. L’intelligence collective n’est pas la somme des intelligences individuelles (elles comptent en tant que telles, celle d’Alain de Benoist est suffisamment évidente pour n’avoir pas à insister sur ce point), elle les dépasse et les transcende par les propriétés propres à chaque école de pensée, propriétés émergentes, polyphoniques, « consociationistes », comme dirait le grand penseur politique Althusius, qu’Alain de Benoist a fait connaître au public français. Les compositions instrumentales réussies et les orchestres ne fonctionnent pas autrement.
Propos recueillis par YV
Alain de Benoist à l'endroit, François Bousquet, Editions Nouvelle Librairie, 180 pages cliquez ici
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Vendée : Honte à la Sardinerie Gendreau, complice de l’invasion migratoire
Éric Mauvoisin-Delavaud
Président du Rassemblement Vendéen
Alors que la loi immigration est actuellement débattue à l’Assemblée nationale, La Sardinerie Gendreau de Saint-Gilles-Croix-de-Vie prend les devants…
En Vendée, face à “la pénurie” de main-d’oeuvre rencontrée par certains secteurs et particulièrement l’agro-alimentaire, l’article 3 du projet de loi crée une carte de séjour “travail dans des métiers en tension” d’une durée d’un an.
La conserverie de sardines Gendreau de Saint-Gilles-Croix-de-Vie s’en frotte les mains et a largement devancée le processus en organisant des convois de migrants pour alimenter en main-d’oeuvre son usine. Sauf que tout ceci est un tour de passe-passe. En effet, cette main-d’œuvre corvéable à merci coûte très cher aux contribuables mais pas aux patrons indélicats qui en profitent allègrement avec nos deniers (subventions aux associations qui organisent les flux, AME, RSA, allocation logement, aide sociale… et les 50 000 euros par jeune migrant arrivée en Vendée).
Ces employeurs devraient mettre la même énergie à une politique salariale novatrice et reconnaissante, et respectueuse des salariés vendéens (salaires plus élevés, horaires et amplitudes de travail en accord avec la vie familiale, etc.).
En attendant, ceci provoque un appel d’air migratoire dans notre département à cause de ce genre d’initiative que le Rassemblement Vendéen condamne avec la plus grande fermeté.
Alors que 80 % des Français souhaitent un arrêt total de ce processus destructeur, l’entreprise Gendreau fait une erreur commerciale majeure… les Vendéens apprécieront… Pour ma part je ne souhaite pas collaborer à ce projet immigrationniste funeste pour la Vendée.
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vendredi, 15 décembre 2023
Dimanche 17 décembre, 18 h, sur BFMTV :
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Paris, ce vendredi après-midi, retrouvez Miège à la Librairie Vincent
Le vendredi 15 décembre, David Miège dédicace son dernier livre En traits libres (éditions Dualpha, préface de Francis Bergeron) de 17h00 à 19h00 à la librairie Vincent (115 avenue de la Bourdonnais 75007 Paris
10:43 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samuel Huntington avait raison
Que nous dit au fond Samuel Huntington ? Que le facteur culturel est le facteur décisif de la politique globale. Que la mondialisation des échanges, loin d’effacer les différences entre les civilisations, les a exacerbées. Que la question « dans quel camp êtes-vous ? », qui était celle du XXe siècle et de la guerre froide, a été remplacée par une interrogation bien plus fondamentale : « Qui êtes-vous ? » Ce glissement est nettement visible dans le cas du conflit israélo-palestinien où l’empathie n’est plus dictée par des choix rationnels ou idéologiques mais par des appartenances religieuses et identitaires. Une relecture du Choc des civilisations - qui vient d'être réédité - par Eugénie Bastié.
Lire la suite ICI
Source : Figaro 13/12/2023
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Confinement olympique
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
L’Hexagone cumule les malheurs ! Avant que débutent les fumisteries parisiennes du 26 juillet au 11 août appelées « Jeux olympiques » (JO) et du 28 août au 8 septembre 2024 pour des Jeux dits « paralympiques », les Jeux olympiques d’hiver de 2030 reviendraient encore une fois à la France.
Le Comité international olympique a dès à présent écarté les dossiers de candidature de la Suisse, de la Suède et des États-Unis. Il semble privilégier l’option des Alpes françaises portée par le président sarközyste de la région Auvergne – Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, et le président macroniste de la région Provence – Alpes – Côte d’Azur, Renaud Muselier.
La candidature hivernale alpine tablerait sur un budget insignifiant d’un milliard et demi d’euros, car pourraient servir 90 % des infrastructures construites pour les JO d’hiver d’Albertville en 1992. Ces jeux de 2030 se dérouleraient sur quatre territoires qui n’auraient plus qu’à bâtir les 10 % restants. Gageons que ce montant s’amplifiera au fil des mois.
Il paraît par ailleurs étonnant d’investir dans des endroits déjà nantis (Haute-Savoie, Savoie, Hautes-Alpes avec le Briançonnais et Alpes-Maritimes avec la métropole Nice – Côte d’Azur). Il est vrai que pratiquer le ski de fond sur la Canebière à Marseille ou organiser des descentes de ski à Super-Besse dans la chaîne des Puys en Auvergne relèveraient de situations incongrues.
Ce divertissement - détournement sportif mobilisera quand même des sommes gigantesques alors que le pays est surendetté et qu’il manque des moyens financiers tant pour les services publics vitaux (hôpitaux, Poste, armée, police, justice, prison) que pour les infrastructures ferroviaires indispensables rien qu’en Provence – Alpes – Côte d’Azur et en Auvergne – Rhône-Alpes. Outre le dépassement financier prévisible, la tenue des JO de l’été 2024 et de l’hiver 2030 permet au Régime d’améliorer le flicage généralisé de la population. Les réclusions covidiennes de 2020 – 2021 ont déjà montré la très grande passivité d’une population de plus en plus bovine. Les décisions prises pour assurer la sécurité maximale des JO à Paris constituent une nouvelle expérience de gestion des foules dans un cadre de plus en plus cosmopolite.
Le mercredi 29 novembre dernier, à côté de la mairesse socialiste de la capitale, Anne Hidalgo, du maire socialiste de Saint-Denis, Mathieu Hanotin, et de Tony Estanguet, président de Paris 2024, le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, au moment des Gilets Jaunes, exposait les premières mesures du plan de sécurité et de circulation pendant la période olympique. En plus du doublement prévu du prix du ticket des transports en commun (train, tram, métro et bus) en Île-de-France et du risque de paralysies fréquentes de certaines lignes saturées, Parisiens et Franciliens subiront une surveillance permanente qui se prolongera jusqu’en 2025 !
La préfecture de police de Paris prévoit en effet la mise en place de quatre périmètres d’accès. Le premier – compréhensible – concernera les sites olympiques proprement dits et le village des sportifs situé en Seine – Saint-Denis, ce nouvel Eldorado départemental fantasmé. Pour y pénétrer, des fouilles individuelles seront réalisées avant de montrer une accréditation officielle. Le deuxième périmètre ne sera accessible qu’aux titulaires de billet (ou aux personnes accréditées) qui assisteront aux compétitions dans les tribunes. Le troisième périmètre s’exercera hors des terrains sportifs. Les zones rouges interdiront la circulation de tout véhicule motorisé, sauf si l’engin appartient aux riverains détenteurs d’une place permanente de stationnement chez eux, aux aidants de personnes âgées ou dépendantes, aux personnes qui travaillent dans le coin, aux services de livraisons et de dépannage sans oublier les taxis et les VTC. Pour pouvoir circuler en voiture dans ces zones rouges, il faudra au préalable s’enregistrer sur une plate-forme numérique en fournissant une quantité incroyable de justificatifs. En revanche, ces contraintes ne devraient pas toucher les piétons et les cyclistes. Attendons néanmoins le printemps pour leur finalisation. Toutefois, inviter des amis à assister depuis son balcon ou derrière ses fenêtres aux cérémonies d’ouverture et de clôture impliquerait que l’hôte donnât à cette plate-forme d’enregistrement l’identité complète de ses invités, ce qui rabote la liberté de réunion dans un lieu privé. Rappelons que le Conseil constitutionnel avait censuré à l’époque covidienne la limite du nombre d’invités présents à son domicile. Toutes les personnes enregistrées obtiendraient sur leur téléphone intelligent un QR-code, forme sophistiquée de l’attestation de sortie covidienne de sinistre mémoire. Enfin existeraient des zones bleues autorisant la circulation limitée des résidents, des travailleurs et des livreurs. Les mesures les plus draconiennes sur les restrictions de circulation débuteraient deux heures - deux heures trente avant le départ des rencontres sportives et se termineraient une heure après. Dans ces conditions, il est plus que probable que tout le centre de Paris soit figé de 6 h 30 à minuit.
La vie courante des Parisiens et des Franciliens sera infernale sans omettre le recours massif aux drones de surveillance et un développement impressionnant de la vidéosurveillance. On ne peut que craindre de retrouver en 2030 un dispositif semblable amélioré de redoutables innovations techniques. Par exemple, au lendemain de l’attentat d’Arras du 13 octobre 2023, Laurent Wauquiez a réclamé des caméras de reconnaissance faciale à proximité des établissements scolaires. Auparavant, le même avait soutenu l’emploi de la reconnaissance faciale dans les gares ferroviaires et routières.
Un pareil paquet d’applications sécuritaires pour cet été surprend. Le préfet de police se couvre en précisant que la loi permet ce dispositif à partir d’un acte réglementaire paraphé du ministre de l’Intérieur. Quelques heures plus tard, des sénateurs s’élevèrent contre ce projet liberticide. « Ces dispositions sont typiques d'un état d'urgence, s’indigne le sénateur centriste du Tarn, Philippe Bonnecarrère. Mettre en place de telles mesures dans une situation qui a vocation à être heureuse [...] est extrêmement curieux. » La sénatrice centriste de l’Orne Nathalie Goulet dénonce pour sa part « des dispositions attentatoires aux libertés ».
Les attentats islamistes, les agressions sanglantes et les manifestations d’ultra-violence encouragent la démarche despotique du Régime multiculturaliste. Le confinement covidien à l’échelle nationale et le confinement olympique à l’échelle parisienne préfigurent la mise en place, tôt ou tard, d’un « pass carbone » individuel destiné à lutter contre le réchauffement climatique en attendant le puçage obligatoire de tous.
Le contrôle médiatique, la surveillance accrue des réseaux sociaux, la censure active sur Internet, l’opposition – parfois levée – de manifester et l’interdiction de colloques et d’autres réunions de la dissidence oppositionnelle confirment malheureusement la tendance intrusive des gouvernements occidentaux à vouloir s’occuper de tout et à tout régenter dans un environnement de plus en plus chaotique. L’Occident globalitaire n’est plus seulement un grand hospice selon le défunt Édouard Limonov; il se transforme en un gigantesque bagne à ciel ouvert.
Salutations flibustières !
« Vigie d’un monde en ébullition », n°96 mise en ligne le 13 décembre 2023 sur Radio Méridien Zéro.
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mercredi, 13 décembre 2023
Quand l’insécurité n’est pas un simple « sentiment »
La chronique de Philippe Randa
La nature a horreur du vide, c’est bien connu… et quand les défaillances de l’État deviennent trop visibles, trop dramatiques, des solutions sont trouvées.
Le niveau scolaire s’effondre ? On n’apprend plus à lire, à écrire et encore moins à compter en usant ses fonds de culotte sur les bancs de cette école qu’un sacré Charlemagne avait eu « l’idée folle » d’inventer ? Qu’à cela ne tienne, des sociétés type Acadomia fleurissent pour offrir « aide aux devoirs, soutien ou perfectionnement dans une matière spécifique, préparation aux concours, maîtrise de l’anglais scolaire et professionnel, etc., etc. »
Des conflits extérieurs nécessitent des interventions modérément officielles, des moyens peu conventionnels et des solutions moyennement inspirées des Droits de l’Homme ? Qu’à cela ne tienne, le mercenariat répond à tous besoins que la raison d’État exige dans la plus grande discrétion (enfin, pas toujours !).
Et la pauvreté ? Qu’à cela ne tienne, rappelez-vous, quand elle a explosé en notre doulce France, Coluche, humoriste condamné à un travail d’intérêt collectif pour avoir insulté un représentant des forces de l’ordre, lança les Restos du cœur en guise d’accomplissement de peine… et 37 ans plus tard, cette « institution » soulage toujours de façon non négligeable la bourse de l’État qui ne s’en trouve pas plus humilié que cela.
Dernier exemple en date ? La sécurité !
Le ministre de la justice, Éric Dupond-Moretti refuse d’utiliser le terme « ensauvagement » au motif que celui-ci entretiendrait « le sentiment d’insécurité »… Le « sentiment d’insécurité » stupidement ressenti par de stupides citoyens stupidement sensibles aux discours de l’ultra-droite faschistoïde est un fantasme, il n’empêche que la situation se dégrade fâcheusement dans nombre de territoires désormais qualifiés de « non-droits », de « zones interdites » ou de « territoires perdus de la République » (sauf par l’ultra-gauche et le Ministre de l’Intérieur, cela va s’en dire) ; aussi, qu’à cela ne tienne encore une fois, quoi de mieux que d’en appeler aux services de vigiles de sociétés privées pour remédier à ce souci… et combattre, de fait, le « sentiment d’insécurité », si insupportable à l’actuel ministre de la Justice ?
Ainsi, « pour éloigner les dealers des résidences, des vigiles de sociétés privées patrouillent dans les quartiers sensibles de Toulouse (Haute-Garonne). Les membres du Groupement interquartiers de tranquillité et de sûreté interviennent dans une quarantaine de résidences », rapporte Ouest France. « Ces patrouilles ont été mises en place depuis plusieurs mois. Les membres du GITeS (groupement interquartiers de tranquillité et de sûreté) exercent dans une quarantaine de résidences. Ils sont employés par les bailleurs sociaux pour faire régner l’ordre et améliorer le cadre de vie des habitants. S’ils ne peuvent pas procéder à des interpellations, ils sont autorisés à intervenir physiquement et à verbaliser ».
Équipés d’armes de catégorie D (bombonnes de gaz lacrymogène, gilet pare-balles, chiens de défense et bâtons télescopiques), ils sont chargés de déranger autant que faire se peut les dealers et s’ils ne peuvent interpeller qui que ce soit, ils sont toutefois autorisés à dresser des procès-verbaux qui peuvent engendrer des poursuites du parquet et des amendes jusqu’à 1 500 euros.
Un modèle de sécurité parallèle qui a aussitôt intéressé la municipalité de Nice dont le Maire Christian Estrosi envisage de faire également appel à des agents de sécurité privés et armés pour pallier « “l’inertie du gouvernement”, dont il s’est agacé avec virulence ces dernières semaines. “Nous allons recruter 24 agents de sécurité formés, armés et assermentés d’ici la fin de l’année, dont 12 pour le 1er juillet” », déclarait-il au Figaro en avril dernier.
Et l’exemple toulousain faisant tache d’huile, près de Nice, justement, la petite commune de Blausasc a ainsi recruté deux agents de sécurité privée pour se poster devant les entrées des écoles et de la crèche du village : « On a reçu des consignes de la préfecture pour élever le niveau de vigilance devant les écoles en usant de notre police municipale, explique Michel Lottier, lui-même ancien policier. Si on demande cela à notre garde champêtre, on n’aura plus personne pour surveiller le reste de la commune. Donc, on a fait appel à ces agents ».
On ne sera guère surpris d’apprendre que tout le monde ne voit pas d’un œil favorable cette – au pire – « dérive milicienne » ou – tout de même gênant – « système à l’anglo-saxonne au coût jugé quand même élevé »…
Le comble, évidemment, serait d’avoir à supporter le ministre de l’Intérieur vanter le retour de la tranquillité dans certains quartiers, alors qu’il n’y serait à l’évidence pour rien et que les municipalités n’auraient fait que pallier les défaillances de ses services.
C’est que les incapables aussi, ça ose tout, parfois !
Lire EuroLibertés cliquez là
23:22 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Faudra-t-il repasser son permis de conduire tous les 15 ans ?
Nicolas Gauthier
L’automobiliste serait-il en passe de devenir l’ennemi public numéro un ? C’est à croire. Ainsi, ce 7 décembre, les eurodéputés ont-ils décidé « d’introduire une période probatoire de deux ans, puis une visite médicale, avec un test de vision, pour prolonger la validité de son document au moins tous les 15 ans », rapporte La Croix. De nouvelles règles durcies pour rouler dans l'Union européenne, votées de justesse en commission Transports (22 voix contre 21) et qui concerneront tout le monde. Ouest-France se veut toutefois rassurant, expliquant que « le vote au Parlement est annoncé en janvier ou février et il faudra accorder le texte avec celui des États. Aucune chance que cela aboutisse avant les élections européennes du 9 juin. »
Ainsi faut-il savoir que le renouvellement du permis de conduire devrait donc être soumis à une batterie d’examens médicaux, de plus en plus délicats à affronter, au fur et à mesure de l’âge. Bref, les bien-portants sont des malades qui s’ignorent et la loi des suspects devient la règle ; ce, dans l’indifférence générale et au nom de la sacro-sainte sécurité routière.
Mais que nous disent les statistiques en la matière, méticuleusement compilées par la Ligue de défense des conducteurs ? Tout simplement que les seniors « causent deux fois moins d’accidents » que les juniors, pourtant en évidente meilleure santé. Aurélie Troussard, secrétaire générale de cette association ramant à contre-courant de la « bagnolophobie » ambiante, a ainsi beau jeu de rappeler : « Tout porte à croire que cette mesure fera peser de nouvelles contraintes, aussi humiliantes qu’inutiles et coûteuses. » Et la même de poursuivre : « Les coûts administratifs et d’examens médicaux représentent autant d’argent qui serait si utile, par exemple, pour améliorer les secours et la médecine d’urgence qui sauvent des vies. » Et la cerise sur le pompon : « Il ne faut pas oublier qu’avec les déserts médicaux, on va assister à un engorgement des demandes. Que feront les conducteurs dont le droit à la conduite aura expiré et qui devront attendre de longs mois pour le renouveler ? »
Et la France rurale ?
Ainsi vont ces lois, votées par des élus se déplaçant dans des berlines conduites par des chauffeurs payés aux frais du contribuable et souvent concoctées par des assistants parlementaires ne se déplaçant qu’à pied, bicyclette ou taxi ; lesquels ignorent tout de la réalité de cette France tentant d’exister en dehors des mégapoles.
Là, en ces campagnes abandonnées des pouvoirs publics, où les facteurs ne passent plus ou que peu, où il faut bien prendre sa voiture pour aller chercher de quoi se nourrir pour la semaine, ce projet de loi européen pourrait faire figure de cataclysme. Car pour ces Français devenus étrangers en leur propre pays, la voiture n’est pas qu’un mode de vie mais juste la dernière façon de survivre. D’ailleurs, si le but de ces manœuvres européistes consiste à sauver des vies, ne serait-il pas plus urgent de se pencher sur l’état avancé de délabrement de nos petites routes, responsables à elles seules de plus de 30 % des accidents mortels en France ?
Une pétition tentant de bloquer cette mesure, aussi arbitraire qu’inique, et issue de sphères ne pouvant exciper de la moindre onction démocratique, a déjà rassemblé près de 200.000 signatures de citoyens refusant qu’on vienne s’immiscer en leur existence quotidienne.
Comme toujours, il convient de se méfier de la colère de la France bien élevée. À force de l’oublier, le gouvernement pourrait bien, un jour ou l’autre, en payer le prix. Plus ce jour tardera et plus ce prix sera élevé, à n’en point douter.
Source Boulevard Voltaire cliquez là
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Hervé Juvin: les modifications génétiques tolérées par Bruxelles auront-elles raison de notre santé ?
L’eurodéputé, homme d'affaires et essayiste Hervé Juvin que l'on ne présente plus sur IDL est l'invité de Charles Gave à la veille d’un vote crucial du Parlement européen sur les Nouvelles technologies génétiques.
À Bruxelles, l’assouplissement de la réglementation sur les "nouveaux OGM" inquiète. Les promoteurs des nouvelles technologies génétiques, ou NGT, veulent faciliter la vente de leurs produits : grâce à la manipulation génétique, il est possible de rendre des plantes plus résistantes ou d’améliorer leur composition nutritionnelle.
Pour l’heure, la Commission prévoit de faire échapper à la réglementation d’étiquetage et de traçabilité des OGM, les produits qui présenteraient moins de 20 modifications génétiques. La clause de sauvegarde a aussi disparu : dans la réglementation de 2001, elle permettait à un État membre d’interdire les OGM sur son propre territoire.
Source : Institut des Libertés
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Jeudi 14 novembre, 17 h, à Versailles
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Le nouveau numéro de la Lettre des Amitiés franco-espagnole est sorti
Dans ce numéro, un bel hommage à Alberto Torresano décédé en septembre dernier cliquez ici.
Sommaire :
- Éditorial d’Hélène Grimaldi
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mardi, 12 décembre 2023
Jean Messiha arrivera-t-il à redonner la parole au peuple ?
Bernard Germain
Jean Messiha l’a annoncé début décembre 2023, il veut réunir 5 millions de signatures afin d’obliger le pouvoir à organiser un référendum sur l’immigration. Ce qui revient à recueillir les signatures de 10 % du corps électoral (donc 4,8 millions pour être précis). Ce n’est pas énorme sur le papier, mais cela relève des travaux d’Hercule dans la réalité.
Pourquoi ?… parce que toute la classe politique est contre lui. La quasi totalité de la classe politique est contre le peuple. Personne ne veut demander au peuple ce qu’il veut, pas plus que la classe politique institutionnelle ne veut respecter ce qui sort des urnes lorsque par exception le peuple a eu la possibilité de s’exprimer.
Qui ne se souvient pas du référendum de 2005 ?
Hollande et Sarkozy avaient posé ensemble en couverture de Paris-Match pour appeler à voter oui. La presse et tous les médias audiovisuels ont pendant des mois inlassablement répété qu’il fallait voter oui. Les instituts de sondages ont pendant des mois publié des résultats truqués annonçant la victoire du oui. Mais au final c’est le non qui l’a emporté et pas qu’un peu… 55 % contre et 45 % pour.
Une incroyable déroute pour les européistes. Qui plus est indiscutable parce que 55 à 45, c’est sans appel. Pourtant, arrivé au pouvoir Nicolas Sarkozy avec la complicité de toute la classe politique, c’est à dire la gauche, la droite et le centre, va faire en sorte de ne pas prendre en compte la volonté du peuple.
Le moyen utilisé sera très simple. Le congrès (députés et sénateurs) sera réuni à Versailles et il suffit des 3/5 pour que le texte soit adopté. Ce qui fut fait. Et le texte en question c’est le traité de Lisbonne qui n’était que le projet de constitution européenne auquel on a changé trois virgules. Donc le texte que venait de rejeter le peuple par 55 % des voix. Peut-on faire un viol plus manifeste de la démocratie ? Peut-on refuser de prendre en compte le vote du peuple de manière plus claire ?
2005 et son épilogue en 2008 restera dans l’histoire de notre pays comme une tache indélébile prouvant l’abominable trahison de la classe politique et son rejet pur et simple de la démocratie et de la volonté populaire. Pourtant, et c’est hallucinant, ce sont les mêmes qui passent leur temps à nous faire des leçons de morales et des déclarations sur leur attachement indéfectible à la démocratie.
Tartuffe et menteurs comme des arracheurs de dents. Tous sans exception ! C’est à cette bande que s’attaque Jean Messiha avec son projet de récolter 4,8 millions de signatures. Pourtant, même si l’affaire se présente comme une entreprise des plus compliquées, je suis persuadé que c’est possible.
Je puise ma certitude dans certains éléments qui ne sont pas contestables. Le premier c’est que 70 % de la population française veut l’arrêt de toute immigration. C’est un chiffre qui ne bouge pas. Plus exactement qui ne descend pas. Par contre, il peut aisément monter. En effet, avec sa « transition démographique » annoncée le 15 septembre 2022 c’est à dire l’envoi dans les campagnes d’un grand nombre d’immigrés, Emmanuel Macron saupoudre les problèmes partout en France. De ce fait, il n’y a quasiment plus d’endroit en France qui soit épargné par les problèmes. Il y a encore peu, c’étaient les villes grandes et moyennes qui étaient principalement affectées.
Aujourd’hui, les quartiers conquis par les dealers et les islamistes ne se comptent plus partout sur le territoire. Même des petites villes comme Guéret (12.000 habitants) en Creuse sont touchées par le fléau.
Mais avec l’extension de tous ces problèmes ce sont autant de français impactés qui auparavant se disaient : « Tout cela c’est dans les banlieues des grandes villes. Ici on est tranquilles ». Or, justement c’est terminé. Plus personne n’est épargné. Nulle part.
Ici c’est une maison cambriolée, là c’est un vol avec violence, là encore c’est un coup de couteau pour voler un téléphone ou simplement pour « un mauvais regard » … etc.
Il y a un autre point des plus importants.
Ainsi, beaucoup de Français sont pauvres. Il y a 10 millions de pauvres dans notre pays, dont la grande majorité sont des Français « de souche ».
Pour eux, et à juste titre, il est insupportable que des migrants puissent avoir un logement social alors qu’eux sont obligés de dormir dans leur voiture et même pour certains dans la rue.
N’est-ce pas logique de dire : on s’occupe d’abord des nôtres ?
Avec Macron, soutenu par la gauche et tous les immigrationnistes, c’est d’abord les migrants. Les Français ils peuvent crever. Cela, nos compatriotes ne le supportent plus. Et ils ont entièrement raison.
Il en va de même pour la santé. Dans son projet de Loi dont l’assemblée vient de lui dire qu’elle ne voulait même pas en discuter, Darmanin avait prévu le maintien et même le développement de l’AME, alors que le texte adopté par le sénat avait supprimé cette mesure en la réduiant à une AME en cas d’urgence.
Pendant ce temps des tas de Français n’ont pas assez d’argent pour se soigner, par exemple en allant chez le dentiste.
Et l’on croise donc fréquemment dans les rues des… « sans-dent » comme le disait de manière odieuse le méprisant et méprisable Hollande. Un homme se disant de gauche.
Là aussi, il faut commencer par aider les nôtres. Quant il n’y aura plus un Français qui renonce à se soigner par manque d’argent, il sera temps de se demander si on peut aider quelqu’un d’autre. Ajoutons à tout cela les problèmes de délinquance et de violence qui se développent partout à une vitesse et dans des proportions vertigineuses.
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Rappel : Gabriele Adinolfi dédicacera son nouveau livre mercredi après-midi à la Librairie Vincent à Paris
Sur le livre cliquez ici
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Philippe Béchade - Guerres, dette, énergie, vers l'explosion économique ?
Depuis quelques années, les bouleversements mondiaux ont eu un impact direct sur notre économique. Les décisions politiques lors de la crise de la covid-19 ont paralysé les systèmes de production pour ensuite gonfler illusoirement l’économie grâce au fameux argent magique. Après un rebond éphémère, l’Union européenne a fait le choix de sanctionner la Russie pour la guerre en Ukraine… Ainsi, l’UE a suspendu ses importations de gaz et… au cas où certains auraient eu des tentations de désobéissance, d’aucuns ont littéralement saboté les gazoducs Nord Stream…
Des décisions toxiques pour les économies européennes, lesquelles avaient déjà rompu pour des raisons obscures avec la politique nucléaire. Les prix de l’énergie ont donc littéralement explosé, au point de mettre en péril l’artisanat, l’industrie et des pans entiers de l’économie réelle. Les petites et moyennes entreprises souffrent, prises à la gorge par des prêts impossibles à rembourser, à l’image des États qui croulent sous des dettes aux intérêts pharamineux.
Si les États-Unis ont vu leur dette atteindre des proportions inimaginables, leur géopolitique agressive venue en renfort permet de réactiver en permanence la machine productive, à commencer par l’industrie de l’armement. L’Europe, elle, n’a pas cette ressource.
Loin de l’Occident, les pays des BRICS, la Chine en tête, savent pragmatiquement se saisir de toutes les opportunités qui se présentent. De quoi créer un fossé infranchissable pour le Vieux Continent, toujours plus déclassé.
L’économiste Philippe Béchade, président des Econoclastes et rédacteur en chef de "La Chronique Agora" et de "La lettre des Affranchis", analyse cette situation mondiale où la France fait figure de nain économique dirigé par des politiques incompétents et aveugles.
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Trop lâche face aux islamistes, Darmanin est dans une dérive totalitaire
Source Riposte laïque cliquez ici
Nous avons sollicité l’avis de Maître Pichon, suite à l’annonce de Darmanin, ce dimanche soir, de dissoudre l’association catholique Academia Christiana.
Riposte Laïque : Gérald Darmanin a donc annoncé, ce dimanche, la dissolution prochaine d’Academia Christiana, une association catholique créée en 2013. Et il annonce la prochaine dissolution de trois autres mouvements qu’il classe à l’ultra-droite. Cela vous surprend-il et quelle est votre première réaction ?
Maître Pichon : Je suis consterné. Je dois dire que s’agissant d’Academia Christiana, je suis quelque peu surpris et, ironie du sort, j’ai accordé il y a quelques jours une interview à cette association et nous avons évoqué la question des dissolutions d’associations non conformistes. Je ne pouvais imaginer que cela puisse concerner Academia Christiana tant cette association sympathique se borne à faire des conférences et des universités d’été. Nous sommes donc dans une dérive totalitaire.
Riposte Laïque : Faites-vous un rapprochement entre ces dissolutions et les interdictions de rassemblements en hommage de Thomas, ou pour d’autres raisons, qui se multiplient ?
Maître Pichon : Oui bien entendu. Cela s’appelle un contre-feu. Le pouvoir a été surpris par la réaction de l’opinion qui ne croit plus depuis longtemps les mensonges de la classe politico-médiatique sur les « jeunes », expression pour ne pas nommer les voyous issus de l’immigration. Qu’on le veuille ou non, les médias de Bolloré (Cnews, le Journal du Dimanche, etc.) donnent une crédibilité, contrairement aux infos sur les réseaux sociaux. Cette fois-ci il y a un risque de basculement et le pouvoir le sait.
Il préférera toujours les voyous de cité – qui ne menacent pas le pouvoir (on tolère même les zones de non-droit tant qu’elles ne menacent pas politiquement l’État) – à des mouvements de contestation plus sérieux comme les Gilets jaunes ou les mouvements patriotes. Donc on invente ce prétendu danger d’ultra droite pour faire peur à l’opinion.
D’autre part, Darmanin étant trop lâche pour nommer l’islamisme comme l’une des menaces numéro 1, il a besoin de dire qu’il combat tous les extrémismes et intégrismes pour faire avaler la pilule. Mais jamais un intégriste catholique ne se fera sauter avec un ceinture d’explosifs. Il récitera tout au plus le chapelet devant un centre d’avortement.
Riposte Laïque : Mais en dehors de protester, et d’aller devant le Conseil d’État, que peuvent faire les patriotes ?
Maître Pichon : Il faut bien entendu exploiter tous les recours possibles. En première instance, les tribunaux administratifs peuvent faire preuve d’indépendance mais le conseil d’État est devenu une institution serpillière qui valide toutes les restrictions des libertés depuis longtemps. Cela s’est renforcé depuis le COVID.
Riposte Laïque : Comment expliquez-vous que le pouvoir ne frappe qu’un camp, et ne s’attaque absolument pas à la violence de l’extrême gauche, ni aux associations islamistes ?
Maître Pichon : Je pense que si les islamistes peuvent constituer une menace physique évidente et dans une moindre mesure l’extrême gauche, ils ne prendront pas le pouvoir contrairement à Marine Le Pen – qui est pourtant très tiède sur ces questions d’atteintes aux libertés publiques – qui pourrait être élue si des élections avaient lieu aujourd’hui.
C’est la crainte numéro un du pouvoir et le concept d’ultra-droite constitue cet épouvantail facile. Je pense aussi que dans l’hypothèse où Marine Le Pen remporterait les élections, l’État profond ne laisserait pas les clés du camion aussi facilement et trouverait un moyen pour invalider les élections.
Donc on cherche à neutraliser à l’avance tous les patriotes un peu déterminés qui pourraient s’opposer à un coup de force du pouvoir qui glisserait alors vers la tyrannie en refusant de reconnaître le verdict des urnes.
Riposte Laïque : Pensez-vous que dans cette dynamique liberticide, des sites de réinformation contre le nôtre et d’autres puissent être un jour visés, et que des partis politiques comme Reconquête et le RN être aussi l’objet de demandes de dissolution ?
Maître Pichon : Pour les partis politiques je ne pense pas que ce soit immédiatement à l’ordre du jour même s’il faut s’attendre à ce que la justice persécute Marine Le Pen comme elle l’a fait pour Fillon. Quant aux sites, nous ne sommes pas en effet à l’abri même si le pouvoir s’était fait retoquer avec le projet de loi Avia contre la haine.
Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Maître ?
Maître Pichon : Face à la tyrannie, la seule réponse est la solidarité. Solidarité politique et financière avec tous les patriotes persécutés. Mais il faut aussi garder le calme des vieilles troupes et ne pas tomber dans les provocations du pouvoir même si cela peut paraître rageant.
Nos idées ne cessent de progresser depuis des années face à l’implacable force du réel et le pouvoir le sait. Ne lui tendons pas la perche inutilement.
Propos recueillis par Pierre Cassen
12:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 11 décembre 2023
Victor Aubert, président d'Academia christiana : “J’ai créé Academia Christiana parce que je me suis converti au catholicisme et j’avais envie de transmettre ce que j’avais reçu
Victor Aubert, président et fondateur d’Academia Christiana, est interrogé par Valeurs Actuelles :
Academia Christiana est un institut de formation, un laboratoire d’idées et un réseau d’initiatives créé en 2013 par des étudiants et qui a pour objectif d’aider des jeunes à s’engager en vue du bien commun. Nos activités sont des universités, des sessions de formation, des conférences, des fêtes traditionnelles et des bals populaires.
Gérald Darmanin évoque un groupe de catholiques traditionalistes, revendiquez-vous cette appartenance ?
Je me revendique comme catholique tout court, attaché aux traditions de l’Église, à la liturgie traditionnelle, parce que je pense qu’elle m’aide et elle aide la jeunesse en particulier, on peut voir avec l’influence au pèlerinage de Chartres, à se rattacher au sacré, à mieux prier. Elle aide aussi une jeunesse en manque de repères dans le monde aujourd’hui. J’ai créé Academia Christiana parce que je me suis converti au catholicisme et j’avais envie de transmettre ce que j’avais reçu.
Vous attendiez-vous à être visés par une procédure de dissolution ?
Je ne m’attendais absolument pas à la dissolution. Je travaillais à mon bureau quand mon fils de 8 ans est venu me voir pour me dire que la police me demandait. J’ai été extrêmement surpris. J’ai cru que c’était une blague au départ. Je suis descendu et j’ai vu effectivement plusieurs gendarmes qui étaient sur le pas de ma porte et qui m’ont demandé de rentrer chez moi pour me remettre une lettre du ministère de l’Intérieur. Mes enfants étaient apeurés et ont été assez traumatisés par le fait de voir la police entrer chez lui pour dissoudre l’association créée par leur papa.
Que vous reproche le ministre de l’Intérieur ?
Gérald Darmanin nous reproche toutes sortes de motifs qui nous paraissent tous hallucinants, incompréhensibles, et manifestement sans aucun lien avec notre association. Il n’y a aucun fait dans cette lettre du ministère de l’Intérieur, si ce n’est que des propos d’intervenants, des articles qui sont détournés de leur signification originale. Comme on le dit dans une vidéo, on appelle à faire une armée de bâtisseurs et comme on peut appeler parfois à faire une armée d’entrepreneurs, le président peut demander une armée de médecins, etc. L’utilisation du mot « armée » est évidemment à prendre dans un sens métaphorique, spirituel. Il y a quelque chose d’assez ridicule dans ces accusations.
Que lui répondez-vous ?
Le gouvernement se trompe d’ennemis. Nous essayons de prendre des jeunes qui sont parfois traumatisés par des questions d’injustice dans notre société et nous essayons justement de transformer leur révolte, leurs sentiments en des choses créatrices pour les orienter vers un engagement au service du bien commun, que ce soit au sein d’écoles, au sein de la transmission, au sein de la culture, au sein de l’éducation, au sein du sport, dans les élections locales, d’être actifs dans leurs villes, dans leurs mairies, au nom du bien commun.
Cette procédure de dissolution intervient une troisième fois du côté de « l’ultra droite », depuis la mort de Thomas. Est-ce pour vous une dérive ?
Il est effectivement extrêmement curieux et étrange que notre dissolution intervienne après l’assassinat d’un jeune Français, comme si finalement la réponse à l’insécurité et à l’ensauvagement de la France, comme le dit le ministre Gérald Darmanin, était en gros l’interdiction de se réunir, de penser, de réfléchir autour de l’avenir de notre pays dans une démarche qui n’a jamais été belliqueuse. Je suis extrêmement inquiet parce que ce que nous avons fait, c’est simplement inviter des jeunes à réfléchir, inviter des gens à penser, les former, leur donner envie de s’intéresser à notre culture, à aimer notre héritage, nos traditions, notre pays. On souhaite nous condamner pour un délit d’opinion, pour des idées qui ne plaisent pas au gouvernement, parce qu’on ne souscrit pas à la doxa progressiste d’un gouvernement qui devient de plus en plus totalitaire.
Payez-vous votre proximité avec le mouvement angevins déjà dissous en 2021, l’Alvarium ?
Nous sommes en effet amis avec des jeunes qui ont participé au mouvement l’Alvarium. Eux- mêmes ont subi des attaques à la fois par les brigades antifascistes violentes et la seule chose qu’ils ont fait a été de résister à ces attaques, de se défendre. Leurs activités ne consistaient qu’à distribuer des maraudes en soutien aux SDF, faire découvrir la culture angevine, faire redécouvrir la gastronomie française. Comme ce sont nos amis, il est fort probable que nous payions cette amitié par une dissolution.
Que comptez-vous faire dans les prochaines semaines, prochains mois ?
Nous allons répondre à cette lettre du gouvernement point par point en montrant que tous les faits qui nous sont reprochés ne sont pas susceptibles d’être condamnés par la loi. D’ailleurs, pourquoi ne pas nous condamner plutôt que de nous dissoudre si ce que nous faisions était vraiment répréhensible ? Si le gouvernement décide réellement d’entamer cette procédure de dissolution, nous irons jusqu’au Conseil d’État et nous nous battrons jusqu’au bout pour la vérité et pour la justice dans notre pays.
Source Le Salon beige cliquez ici
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La malédiction de l'État profond
16:22 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le lycée musulman Averroès de Lille va être privé de ses fonds publics
Michel Festivi
Comme la suite logique du vote de la commission qui avait donné son avis favorable à l’unanimité moins 9 abstentions, à la rupture du contrat liant l’état à ce lycée, le préfet de la région des Hauts-de France, Georges-François Leclerc a annoncé avoir résilié le contrat d’association entre l’État et le lycée musulman. Une longue bataille judiciaire va désormais commencer.
L’argent public à ce lycée représente les salaires des enseignants soit environ 1,2 millions d’euros par an, versés par l’état, outre 300 000 euros par an versés par la région. Depuis 2019, Xavier Bertrand son président refusait de la verser et à chaque fois, il y était contraint par une décision de justice.
Xavier Bertrand a dénoncé les lenteurs des procédures étatiques, « l’insuffisance du cadre actuel prévu par la loi séparatisme ». Effectivement, les dissolutions des mouvements patriotes pâtissent de l’extrême célérité des autorités, eux.
Les reproches publics adressés au lycée Averroès touchent à la fois la gestion financière totalement opaque de l’établissement, soit « une insincérité générale dans les comptes du lycée, dont la gestion présente de nombreuses anomalies. » soit des prêts consentis par des associations et des dons réalisés dans un manque de transparence absolue.
Tout cela aussi en liaison avec une plainte pénale en cours diligentée par le Parquet de Lille sur le centre islamique de Villeneuve d’Ascq, enquête qui aurait mis en évidence un système de financement illicite de l’association Averroès par le biais de prêts non remboursés, outre la quantité anormalement importante d’argent liquide qui circulerait, selon le préfet.
Le rapport détaillerait que « la quasi-totalité des flux importants... sont liés à la mouvance frériste au travers de leur participation au collectif Mosquées du Nord », on retrouve là, une partie des arguments repris plus globalement par Madame Bergeault-Blackler sur sa dénonciation de l’emprise des Frères musulmans.
Les dirigeants de l’association Averroès seraient en lien avec les Frères musulmans, une partie importante des dons serait aussi d’origine qatarie. Sans compter le fait que des ouvrages prônant la peine de mort pour apostasie, ou la ségrégation des sexes ont été retrouvés dans la bibliothèque du lycée.
Déjà les avocats du lycée se sont mis à l’œuvre, cela promet de belles batailles judiciaires, le dossier est loin d’être fini. Les échanges lors de la réunion de la commission auraient été très tendus et l’agressivité des avocats à l’égard du préfet assez violente selon des personnes ayant assisté aux échanges.
Il est symptomatique de noter que le lycée Averroès a obtenu le soutien de Science Po Lille, le frérisme semble avoir beaucoup essaimé dans le Nord. Les députés LFI ont pris position, cela n’étonnera personne en faveur du lycée, dénonçant la décision du préfet avant même qu’elle ne soit prise. Les LR semblent divisés, puisque d’un côté Xavier Bertrand est déterminé contre ce contrat public, de l’autre, l’ancien sénateur LR et ancien président du conseil général du Nord, Jean-René Lecerf, soutien lui le lycée.
Le député PS du Nord Roger Vicot a tenu des propos stupéfiants : « Il y a une chape de plomb. Certains ont peut-être peur qu’on les taxe d’islamistes ». Qu’a-t-il voulu dire ?
Bien sûr les syndicats de gauche sont à fond pour le maintien du contrat d’association. Comme je l’indiquais, le dossier n’est pas près d’être clos.
10:49 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Parti de la France dénonce la menace de dissolution d'Academia christiana
Un communiqué de Bruno Hirout, secrétaire général du PdF :
Dimanche soir, Gérald Darmanin a annoncé sa volonté de lancer la dissolution d’Academia Christiana, une association catholique qui organise des formations, des colloques et des universités d’été.
Rien, dans les objectifs et les événements de cette organisation, ne justifie cette initiative du Gouvernement.
Dans un pays en proie à des attaques quotidiennes de délinquants et de criminels d’origines étrangères, la réaction du ministre de l’Intérieur est de s’en prendre aux manifestations, aux rassemblements et aux mouvements patriotes. Voilà une belle démonstration du caractère fondamentalement antinational de ce régime aux abois.
Ce ne sont pas les organisations patriotiques qui sont responsables de l’état déplorable de la société, ce fruit pourri est le résultat de la politique désastreuse menée depuis des décennies par nos gouvernements successifs. Et face à ce désastre, l’existence et l’activisme des partis et associations patriotes, identitaires et enracinés sont une chance pour la France et un authentique espoir de renouvellement du visage politique français, ce qui effraie les dirigeants qui ne veulent rendre aucun compte des conséquences de leurs politiques et qui préfèrent multiplier les décisions abjectes et liberticides plutôt que d’être contestés par des citoyens sensés et responsables.
Le Parti de la France apporte évidemment son soutien à Academia Christiana et à ses cadres, qui ont d’ores et déjà communiqué à la presse leur intention de contester cette décision inique devant les tribunaux.
Être catholique et Français n’est pas un crime. Refuser d’être victime de la racaille et du Gouvernement est un signe de bonne santé mentale et l’honneur des organisations politiques de la mouvance nationale.
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LES TYRANS AU POUVOIR VEULENT MAINTENANT DISSOUDRE ACADEMIA CHRISTIANA
« Nous ne sommes pas les fils et les filles de rien, ce sont nos ancêtres qui ont bâti les châteaux et les églises de notre pays, qui ont marqué la pierre par leur esprit et irrigué cette terre du sang des martyrs et des conquérants. Nous sommes des descendants, et nous voulons renouer avec cet héritage rongé par une poignée de technocrates. » telle est la raison d'être du mouvement de jeunesse Academia christiana cliquez là.
Un tel manifeste, c'en est trop pour le pitoyable Darmanin, ce ridicule petit personnage à l'allure de rond-de-cuire courtelinesque qui encombre actuellement le ministère de l'Intérieur. Dans son délire liberticide, il envisage maintenant de dissoudre cette magnifique organisation qui oeuvre sans relâche depuis des années pour le salut de notre nation et de notre civilisation. Si cette décision est appliquée, après la dissolution de Civitas et celle de l'Alvarium récemment, un pas de plus serait franchi par le gouvernement vers la tyrannie.
Restons vigilants, plus que jamais la riposte nationale unitaire doit se mettre en place. On en reparle très vite...
S.N.
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Moussa Darmanin, taupe de l’islam, dehors !
Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque
Voilà ce que j’aurais dit si j’avais pu prendre la parole, comme prévu, à La Roche-sur-Yon cliquez ici.
Chers amis vendéens, permettez-moi, même si je sais que la Vendée n’est pas un bastion laïque, de vous parler, comme fondateur de Riposte Laïque, de la spécificité du modèle français et de la nécessité de le préserver. Je sais que l’Histoire et les massacres perpétrés ne font pas des Vendéens les plus grands défenseurs de la République. Pourtant, je suis certain que nous serons tous d’accord avec ce que disait le grand Victor Hugo, du haut de l’Assemblée nationale en 1850 : “Je veux l’Église chez elle, et je veux l’État chez lui”. La spécificité du modèle laïque français tient dans cette notion de séparation et elle rend l’islam, qui est une foi et qui est une loi, incompatible avec la France. Ce qu’a fait Macron, en commémorant une fête religieuse juive à l’Élysée, quand ses préfets harcèlent les crèches des maires patriotes, est un nouveau crime contre la France, et je vous engage à conspuer comme il le mérite ce nouveau forfait du fossoyeur de l’Élysée.
Je vais à présent vous parler de notre ministre de l’Intérieur, qui se vante de sa double culture, incarnée selon lui par le fait qu’il se prénommerait Gérald, mais aussi Moussa. J’avoue, quand je vois son bilan, que je ne vois pas grand-chose de Gérald, qui défendrait la France, mais que je ne vois que du Moussa, qui défend les adeptes de la RATP (Religion d’Amour, de Tolérance et de Paix) dans toutes ses décisions et prises de position.
Son bilan est d’abord accablant, puisque chaque année 500 000 nouveaux venus arrivent, majoritairement d’Afrique, et presque tous musulmans, renforçant donc une cinquième colonne qui, par son nombre et ses objectifs, constitue un péril mortel pour la France et ses ressortissants. Il se vante, depuis peu, d’expulser trois ou quatre clandestins par jour, quand il en laisse rentrer plus de 1 000 !
Cet homme est un menteur compulsif. Dès qu’un fait divers se produit, il n’a qu’une seule obsession : protéger les racailles musulmanes en proférant les pires inepties, qui se révèlent des mensonges d’État. La finale de la Coupe d’Europe de football se joue au Stade de France (elle aurait dû avoir lieu en Russie, mais il fallait punir Poutine !) et la France entière voit l’ampleur du scandale : une demi-heure de retard, des supporters espagnols et surtout anglais agressés par les habitants de Saint-Denis, et notre Moussa national qui raconte, un mois durant, y compris devant la représentation nationale, que tout est la faute des supporters anglais.
Suite à la mort de la racaille Nahel Merzouk, des émeutes ethniques secouent la France, et pas seulement les grandes villes, durant six jours. Alors que tout le monde voit qui sont les pillards, ceux qu’on appelle des chances pour la France, notre ministre de l’Intérieur nous fait le coup des Kevin et des Matteo, quand tous les rapports de police montrent que si les jeunes interpellés sont majoritairement français, ils s’appellent quand même pour la plupart Mohamed ou Youssef !
Le malheureux Thomas, pour lequel nous sommes présents ce jour, et qui aurait eu 17 ans hier, se fait poignarder mortellement par une équipe de racailles à couteaux, à Crépol, petit village de la Drôme. Moussa a les noms des sept principaux suspects, aucun n’a un nom ni un prénom français. Et pourtant, il osera accuser, à l’Assemblée nationale, une élue du RN de vouloir ethniciser un drame, de vouloir le récupérer politiquement, et de ne pas savoir l’identité des prétendus assassins, alors qu’en Conseil des ministres, il avait révélé cela à tous ses collègues.
C’est le même Moussa qui laisse les Français se faire tuer tous les jours par des coups de couteaux, car, comme le disait Éric Zemmour, “ce sont toujours des Thomas qui sont tués par des Chahid”. Ce ministre de l’Intérieur s’est vanté de vouloir désarmer les Français, en leur intimant l’ordre de rendre leurs armes illégales dans les commissariats ou gendarmeries. Mais depuis des années que des migrants et des racailles se baladent dans les rues de France avec des couteaux, qu’a-t-il fait pour protéger les Français ? A-t-il ordonné des fouilles systématiques des jeunes au profil inquiétant, avec lourdes sanctions pour ceux qui auraient des poignards sur eux ? Jamais, comme si la situation actuelle paraissait lui convenir, à lui et à son patron Macron.
C’est cet homme qui, incapable de faire régner l’ordre dans le quartier de La Monnaie, à Romans, a donné à ses policiers et à son pathétique préfet de la Drôme des consignes impitoyables contre des jeunes patriotes venus exprimer leur colère après la mort de Thomas. Vingt arrestations, 6 comparutions immédiates, de très lourdes condamnations à six mois de prison pour certains, à 10 mois de prison pour d’autres. C’est le même qui a fait arrêter des jeunes patriotes lyonnais, coupables eux aussi d’avoir manifesté pour Thomas et collé des affiches en sa mémoire. Ils seront gardés à vue 48 heures et perquisitionnés, les flics piquant même l’argent d’un couple ! Voilà les priorités de Moussa, qui persécute les patriotes, et fout une paix royale à la racaille et aux fous d’Allah.
C’est cet homme, bafouant les lois et la Constitution qui donne aux citoyens le droit de manifester, qui, depuis six mois, use et abuse d’une circulaire illégale et ordonne à ses zélés préfets d’interdire toutes les manifestations patriotes, sous prétexte qu’elles inciteraient à la haine, ou pourraient voir des propos dangereux pour les valeurs de la République être tenus. Il a même réussi à faire interdire nos glorieux militaires de “Place d’Armes” de rassemblement parisien, poussant le vice jusqu’à les faire verbaliser de 135 euros comme s’ils étaient des malfrats. Il a réussi l’exploit de faire interdire, dans un lieu privé, l’hommage que l’Iliade voulait rendre à Dominique Venner, en banlieue parisienne, dix ans après sa mort.
Hommage aux jeunes Parisiens des Natifs, qui, en faisant un référé (coût 2 000 euros) ont permis de déjouer les interdits, la semaine dernière, comme les militant de l’Action française l’avaient fait, l’été dernier. Les juges du tribunal administratif ne peuvent en effet, quitte à discréditer encore plus la justice, cautionner de telles remises en cause du droit français. Or, pourquoi Darmanin, par tous les moyens, veut-il nous empêcher de manifester, quand il tolère toutes les manifestations des casseurs gauchistes et des pro-Palestiniens islamistes et racistes ? Tout simplement parce qu’il sait que nous représentons la majorité de moins en moins silencieuse des Français qui en ont de plus en plus marre de l’immigration, de l’islam, de l’ensauvagement de la France et des crimes quotidiens commis contre les nôtres, à cause de l’incompétence ou de la trahison de Darmanin.
Nous sommes donc obligés de constater que toutes les décisions de ce ministre vont à l’encontre de l’intérêt de la France, de la sécurité des Français, et ne pouvons donc que nous poser la question : Darmanin est-il une taupe de l’islam ? Poser la question, c’est y répondre, et nous ne pouvons que conclure cette hypothèse par ce mot d’ordre, que je vous invite à reprendre.
Dehors Darmanin, complice des islamistes !
Dehors Darmanin, complice de la racaille !
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dimanche, 10 décembre 2023
L’immigration, ce tabou dans l’effondrement du niveau scolaire en France
C’est peu dire que l’école est un vrai sujet à l’heure même où chacun s’accorde à constater son effondrement. Les raisons sont multiples évidemment et l’ombre de mai 68 plane encore sur cette institution. Le gauchisme est passé par là avec la complicité des professeurs et le laxisme de l’Education nationale. De Jack Lang en passant par Bayrou, notre Education était de toute manière mal barrée. Sauf que c’est bel et bien à partir de l’école que se forge l’identité d’une nation et le sentiment d’appartenir à une communauté de destin. Hier, nos ancêtres étaient les Gaulois, mais aujourd’hui ? Joachim Le Floch-Imad, enseignant, met le doigt sur un sujet tabou : le poids de l’immigration dans notre système éducatif lourd de conséquences. Ce qu’il analyse ici, pour Le Figaro.
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Source : Figaro : 8/12/2023
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Journal du chaos
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samedi, 09 décembre 2023
Les Français en ont ras-le-bol de la violence
De Charybde en Scylla depuis les années Mitterrand, jamais la France n’avait connu un tel taux de violence. Emmanuel Macron culmine au sommet de cette Everest insécuritaire malgré les ronds de jambes d’un ministre de l’Intérieur dépassé par les événements et d’une Première ministre réduite aux déclarations rassurantes. Laurent Obertone avait déjà donné de la voix dans son premier ouvrage, La France orange mécanique… en 2013 ! Il fait ici le point pour Le Figaro.
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Source : Figaro 7/12/2023
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La Roche-sur-Yon : Darmanin fait honteusement interdire un hommage à Thomas
Un communiqué du Rassemblement vendéen :
Nous avons appris par Ouest-France, ce vendredi, à 12 h 45, que le préfet de Vendée, Gérard Gavory, sous les ordres du ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a interdit le rassemblement que le Mouvement Vendéen avait organisé, avec le Mouvement Chouan, ce samedi 9 décembre, à 14 h 30, devant le tribunal de La Roche-sur-Yon.
Cette initiative avait pour objectif de rendre hommage à Thomas, assassiné par des racailles de Romans, et de réclamer justice pour lui, de protester contre l'invasion migratoire subie par les Français, et d'exiger une justice qui protège l'intégrité des citoyens de notre pays.
Les mêmes interdictions ont été prononcées contre des rassemblements prévus à Lyon, Reims, Bordeaux, Toulouse, Lille, Brest, Tours, Bourges et Clermont-Ferrand.
Les prétextes évoqués, sur instructions du ministère de l'Intérieur, sont grotesques, et souvent identiques. Cliquez ici
Les organisateurs sont diffamés de manière grotesque, dans l'arrêté du Préfet, et l'interdiction est justifiée par de possibles appels à la violence. Depuis six mois, ce régime, violant la constitution et les lois de la République, interdit toutes les manifestations du la mouvance patriote, mais laisse la gauche, l'extrême gauche et les mouvements pro-palestiniens occuper la rue, avec les violences habituelles de cette mouvance.
La France n'a plus que l'apparence d'une démocratie, où l'autorisation de manifester n'est accordée qu'à ceux qui veulent la détruire, et refusée à ceux qui veulent la sauver.
Les organisateurs du rassemblement, dans un contexte de violence contre les patriotes - six jeunes garçons ont été condamnés à un an de prison pour avoir manifesté à Romans, des jeunes colleurs d'affiches lyonnais ont été placés en garde-à-vue 48 heures - appellent les manifestants à ne pas tomber dans le piège tendu par le pouvoir, et donc à ne pas se rendre ce samedi à 14 h 30 devant le palais de Justice de La Roche-sur-Yon. De nombreuses forces de l'ordre seront présentes, et les autorités souhaitent faire arrêter et condamner lourdement quiconque violerait l'interdiction.
Le Rassemblement Vendéen ne se laissera pas intimider par ces pratiques totalitaires, et continuera à mener inlassablement, avec les formes d'action adaptées, le combat pour la survie de la Région, et du pays.
Eric Mauvoisin
Président du Rassemblement vendéen
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vendredi, 08 décembre 2023
Facture des 35 heures
Gaëtan de Capèle
Quatre semaines de moins que les Italiens, trois semaines de moins de qie les Allemands… Les statistiques sont têtues : la France demeure, jusqte après la Finlande, le pays d’Europe où l’on passe le moins de temps au travail sur l’ensemble de l’année. Peut-être a-t-on coutume de rétorquer, pour justifier cet état de faut, que nous sommes beaucoup plus productifs que les autres. Cette tarte à la crème ne vaut même plus : depuis plusieurs années, la richesse produite chez nous augmente bien moins vite que le nombre de salariés. C’est le revers de la médaille de la baisse du chômage. La productivité chute mécaniquement, et bien davantage ici qu’ailleurs.
Le point de départ de cette fâcheuse spécificité française, aggravée par le fait que les Français entrent plus tard dans la vie profes- sionnelle et partent plus tôt à la retraite, ne fait plus débat. Depuis plus de vingt ans, nous payons la loi sur les 35 heures, qui a sapé notre compétitivité en renchérissant le coût du travail, mais qui a aussi durablement détérioré sa valeur. Offres d’emplois infructueuses par centaines de milliers, absentéisme record, télétravail massif... La nouvelle relation au travail, devenu secondaire notamment parmi les jeunes génération, témoigne de ce délitement. Malgré toutes les possibiités données aux entreprises de contourner – au prix fort – ce carcan hebdomadaire, la France n’a jamais pu combler son retard sur ses concurrents. Résignés, les chefs d’entreprise ont fait le deuil de la suppression pure et simple des 35 heures, qu’ils traînent comme un boulet.
Emmanuel Macron a placé, à juste titre, la réindustrialisation au cœur de ses priorités économiques. Chacun constate combien la réouverture d’usines permet de ressusciter des régions autrefois sinistrées. Si le regain d’attractivité de la France ne fait pas de doute, beaucoup reste encore à faire afin de regagner les avant-postes de l’Europe. Le gouvernement promet de réformer jusqu’au dernier jour pour y parvenir. Mais sans répondre à cette énigme : comment redevenir les meilleurs et les plus compétitifs en travaillant moins que les autres ?
Source : Le Figaro 7/12/2023
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Ils seront samedi à La Roche sur Yon pour rendre hommage à Thomas :
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