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jeudi, 07 septembre 2023

Eric Zemmour, entretien au Figaro

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Dans cet entretien avec Paul Laubacher et Albert Zennou du Figaro, Eric Zemmour confirme qu’il a confié la tête de liste de Reconquête à Marion Maréchal pour les prochaines échéances électorales européennes de 2024. Comme il l’affirme, « Je n’ai pas vocation à être candidat à toutes les élections ». et en profite pour se livrer à une analyse subtile de la situation politique de notre pays. Tout en se désolant que l’union des droites, en l’état actuel des choses, soit impossible à réaliser. Instructif.

Lire l'entretient ICI

Source : Figaro 7/9/2023

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Quand Macron prétend « refaire » la nation

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Vincent Coussedière*

Les émeutes de fin juin 2023 auraient-elles enfin fait prendre conscience à Emmanuel Macron de la gravité de la crise nationale et identitaire traversée par la France ? L'entretien que le président a accordé au Point pourrait le laisser croire, tant il ne cesse de répéter que le défi de son second quinquennat sera de « refaire », « rebâtir », « refonder » la nation.

On pourrait penser que si la nation est à refaire c'est parce qu'elle a été défaite par les émeutiers. Or la lecture de « la grande explication » du président fait apparaître le contraire. A ses yeux, il semble que la nation soit responsable des émeutes davantage que les émeutiers eux-mêmes.

En effet, que nous dit Emmanuel Macron à propos des émeutes ? Que c'est parce qu'elle n'a pas su « intégrer » ses  propres  enfants que la France est contestée par ceux- ci. Il faut donc que la nation se remette en question à travers son Etat et que celui-ci ouvre davantage de "chantiers" permettant l'intégration: celui de la famille, de l'école, de l'offre économique. A aucun moment, le discours présidentiel ne porte sur la responsabilité des émeutiers dans les émeutes, et Macron reste prisonnier d'une forme de renvoi dos à dos entre ceux-ci et les détenteurs de l'autorité publique: « Ce qui se passe, c'est que vous avez une relation qui n'est pas réglée entre une partie de la jeunesse et l'autorité. » Le lecteur se demande alors qui est responsable de cette relation non réglée avec l'autorité, le président se plaçant dans une curieuse position d'extériorité alors qu'il incarne lui-même le niveau le plus élevé de l'autorité publique !

Tout, dans le portrait des émeutiers brossé par le président, concourt à les déresponsabiliser. « Ce ne sont pas les étrangers qui ont causé ces émeutes, 90 %sont nés français ! »: le sous-entendu étant que la France, mauvaise mère, reconnait les individus issus de l'immigration "français" sans leur donner les moyens de l'être, sans avoir cherché à les "intégrer" véritablement. Déresponsabilisation aussi lorsque le président fait des émeutes une simple réaction à l'injustice ressentie: « Il n'y a pas eu de message politique, pas davantage de message social ni religieux. » Comme si l'irrespect de la loi n'était pas soutenu par le respect d'une autre "loi" qui la conteste : loi de la bande, loi des caïds, loi religieuse.

Déresponsabilisation encore quand il souligne la jeunesse des émeutiers, la fragilité de leur lien familial et la faiblesse de leur nombre: « Une immense majorité des personnes interpellées vient de familles monoparentales ou de l'aide sociale à l'enfance ». « 10 000 personnes environ qui ont créé du désordre », « D'abord, on parle de quelques milliers de jeunes, très jeunes. » Or ce point est contesté par de nombreux spécialistes qui multiplient au moins par dix le chiffre cité par Macron et soulignent que les très jeunes étaient souvent encadrés par des moins jeunes...

Sur les bases d'un tel diagnostic, la solution ne peut venir que d'un effort supplémentaire de cette mauvaise mère qu'a été la France. L'Etat doit se substituer à la famille plus tôt encore: les enfants devant pouvoir entrer dès 2 ans à l'école. Il doit contrôler l'usage des écrans qu'il a lui-même introduits en suréquipant les écoles. Il doit proposer une école ouverte de 8 heures à 18heures pour que les enfants ne soient pas dans les rues. Il doit travailler avec les familles pour leur apprendre à être des familles Il doit proposer de l'emploi à tout le monde car « intégrer suppose de trouver une place dans la société. par le travail ». Bref, Macron reprend toutes les solutions d'intégration "républicaine" ayant échoué depuis quarante. ans et ayant conduit au point ou nous en sommes.

Cette continuité dans l'erreur se révèle au moment où la rédaction du Point l'interroge sur la question du nombre. « Est-ce qu'on est submergés par l'immigration ? Non. C'est faux de dire cela. Cela dit, la situation que nous connaissons n'est pas tenable et nous devons réduire significativement l'immigration. » Et pourquoi la situation ne serait "pas tenable" si tout risque de submersion est exclu ? On ne le saura pas. C'est tout juste si le président accorde qu'il faut réduire l'immigration : « Il faut réduire l'immigration, mais il faut continuer en parallele d'agir par l'école, l'intégration, l'autorité, la République. Et l'économie. »

Rien, dans cette «grande explication » présidentielle, ne temoigne d'un veritable travail de reflexion. Au lieu de comprendre que la France en a trop fait en matière d'immigration, Macron dit qu'elle n'en a pas fait assez.

Réduire l'immigration d'un côté, accentuer l'effort étatique de l'autre: il poursuit la "chimère de l'intégration" sans s'interroger sur le fait que c'est cela qui a produit des Français qui n'aiment pas la France. La « conversion au réel » qu'espérait le préfet Brochand, inquiet que le « pronostic vital du pays » ait été engagé dans ces émeutes n'a pas eu lieu. 

(*) Vincent Coussedière est philosophe et essayiste

Source :Valeurs Actuelles 7/9/2023

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mercredi, 06 septembre 2023

Marion Maréchal conduira la liste Reconquête ! aux élections européennes de juin 2024

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Un communiqué de Eric Zemmour :

Je veux vous annoncer que j'ai décidé de confier à Marion Maréchal la mission de conduire la liste de Reconquête pour les élections européennes. 

Je souhaite qu'elle soit accompagnée par toute la jeune génération, venue de tous les partis de droite, qui m'a rallié pendant la présidentielle et que notre liste fasse le meilleur score possible.

Vous le savez : je ne suis pas un politicien comme un autre. Je n'ai pas vocation à être candidat à toutes les élections. Je me suis présenté à l'élection présidentielle pour des raisons précises et je ne serai pas systématiquement candidat à toutes les élections. 

Marion Maréchal a du talent. Toute la jeune génération de mon parti a aussi beaucoup de talent et j'estime qu'ils seront très à même de défendre ma conception de l'Europe, ma conception de la civilisation. 

Comme président de Reconquête, je serai évidemment à leurs côtés et j'espère que vous aussi. Je ferai évidemment campagne. On peut faire campagne, défendre ses convictions, sa conception de l'Europe sans forcément être tête de liste.

Une belle année de combats nous attend. Nous avons un pays à reconquérir. 

Vive la Reconquête, et surtout, vive la France ! 

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23:56 Publié dans Européennes 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

IL N’Y A PAS D’URGENCE CLIMATIQUE

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Robert Spieler

La climatologue Judith Curry, une climatologue américaine de premier plan, explique que la science a été corrompue par la politique et qu’il n’y a pas d’« urgence climatique ». Judith Curry, qui est présidente et cofondatrice du Réseau d’applications des prévisions climatiques, qui a occupé la chaire des sciences de la terre et de l’atmosphère pendant 13 ans, qui est un ancien membre du comité de recherche sur le climat du Conseil national américain de la recherche, membre de l’American Meteorological Society, de l’American Association for the Advancement of Science et de l’American Geophysical Union, a publié plus d’une centaine d’articles scientifiques, et a codirigé plusieurs ouvrages majeurs sur le climat. Ses recherches portent sur les ouragans, la télé- détection, la modélisation atmosphérique, les climats polaires, les interactions air-mer, les modèles climatiques. Elle connaît a priori son sujet, en tout cas mieux que Sandrine Rousseau. Elle était interviewée dans le Marc Morano Show sur TNT Radio Live. Elle s’est moquée des prédictions selon lesquelles la Terre entre dans l’ère « de l’ébullition mondiale », rappelant que les records de chaleur ne remettent pas en question les limites de la survie humaine et que le froid tue beaucoup plus de gens que la chaleur. Elle note aussi perfidement qu’aux Etats-Unis, la population des 50 comtés les plus exposés à un « risque de chaleur extrême » a augmenté en moyenne de 4,7 % entre 2016 et 2020, et les localités où le risque climatique est relativement faible ont vu leur population diminuer. « Soit ils sont tous idiots », dit-elle, soit, le « risque climatique » est une amplification médiatique.

Se moquant du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, très en pointe sur le sujet, elle conclut : « Je me demande qui invente ce genre d’âneries pour Guterres ». Judithe Curry n’est pas seule, loin de là. Plus de 1 600 scientifiques, dont deux lauréats du prix Nobel, viennent de déclarer que « l’urgence climatique est un mythe » et qu’ils « s’opposent fermement à la politique néfaste et irréaliste de réduction nette des émissions de CO2 » qui est préconisée dans le monde entier. Ils ne nient pas l’effet nocif des gaz à effet de serre, mais remettent en question l’hystérie provoquée par le récit d’une catastrophe imminente, demandant aux autres scientifiques de « s’attaquer aux incertitudes et aux exagérations dans leurs prévisions du réchauffement climatique ». Ils affirment que la politique et la frénésie journalistique ont propulsé une hystérie apocalyptique sur le changement climatique. Leur conclusion : « la science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques ».

Le Docteur John F. Clauser, lauréat du prix Nobel de physique 2022, a déclaré, quant à lui : « La science climatique erronée s’est métastasée en une pseudo-science journalistique massive et choquante. À son tour, cette pseudo-science est devenue un bouc émissaire pour une grande variété d’autres maux sans rapport. Elle a été promue et étendues par des agents de marketing commercial, des politiciens, des journalistes, des agences gouvernementales et des écologistes tout aussi malavisés ».

Source Rivarol 6/9/2023

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mardi, 05 septembre 2023

Michel Festivi sera samedi au Puy-en-Velay

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Samedi 9 septembre, à 17h, la librairie Arts Enracinés recevra notre collaborateur Michel Festivi pour une conférence sur la guerre d’Espagne et une signature de ses livres.

Michel Festivi présentera notamment les ouvrages suivants :

​- Miguel Primo de Rivera : un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne (1923-1930)  cliquez ici ;

L’Espagne ensanglantée : anarchistes, milices socialistes, communistes et révolutionnaires (1880-1939) ;

Les trahisons des gauches espagnoles : du républicanisme au totalitarisme (1930-1936).

L’entrée est à 10€.

Arts Enracinés 25 rue Raphaël 43 000 Le Puy-en-Velay - 06 32 25 93 59

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Espagne : Où en est Vox ? Quid de l’union des droites ?

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Michel Festivi 

A la suite des élections régionales et municipales du 28 mai, puis des législatives du 23 juillet, il était important de faire le point sur la situation du parti Vox emmené par Santiago Abascal, parti qui se bat pour l’unité de l’Espagne, l’unité de sa langue, la lutte contre l’immigration sauvage et débridée, et qui pourfend les doxas ultra féministes et la chape de plomb mémorielle des gauches qui se sont abattues sur le pays depuis plusieurs années.

S’agissant des élections législatives du 23 juillet dernier, il est de bon ton dans la grande presse et les grands médias du système, de soutenir avec délectation que Vox a singulièrement reculé et qu’il est en grande perte de vitesse.

Or, pour qui connaît bien la vie politique espagnole, c’est loin d’être le cas. Vox avait obtenu un score sensationnel en 2019 en engrangeant 52 députés (Les Cortès des députés disposent de 350 sièges). Mais ce que les commentateurs n’évoquent jamais, c’est qu’alors, le Parti Populaire était en totale perdition et avait recueilli 89 sièges soit l’un des pires résultats de son histoire.

Vox en avait logiquement profité, par le jeu des vases communicants (les élections ne sont qu’à un seul tour, à la proportionnelle par listes provinciales). En effet, dans la précédente législature Vox avait obtenu 24 députés. Il n’est pas inutile de rappeler que Vox n’a été créé qu’en 2013, d’une scission du PP d’ailleurs. Dès lors en obtenant 33 députés ce 23 juillet, Vox a fait un résultat des plus honorables, le PP obtenant 137 députés, soit 48 de plus qu’en 2019. Au demeurant tous les sondages prévoyaient qu’avec un PP en ascension fulgurante, Vox ne pouvait pas maintenir son niveau de 52 députés, c’est quasiment mécanique, certains sondages indiquaient même que Vox n’aurait que 20 à 25 députés.

Aujourd’hui on attend le dénouement de la tentative d’Alberto Nuñez Feijoo, le chef du PP, d’obtenir des Cortès son investiture, mais cela s’annonce difficile voire impossible de réunir une majorité absolue et même relative. Le résultat aura lieu pour le 27 septembre. En cas d’échec, c’est Pedro Sanchez du PSOE qui tentera l’investiture, et à défaut, les espagnols revoteront vers la mi-janvier.

S’agissant des municipales et des régionales du 28 mai, Vox a multiplié par 3 voire plus le nombre de ses élus. Avec le PP, Vox gouverne désormais dans près de 150 municipalités, dont plusieurs capitales provinciales, comme Tolède, Burgos, Aranjuez, Ciudad Real, Alcala de Henares etc…

Une municipalité en Espagne est une collectivité territoriale bien plus importante qu’en France en superficie, voire en habitants, l’Espagne ne comptant que 8112 municipalités, contre 34945 en France. Dans mon « municipio » de la province d’Almeria par exemple, avec une seule voix de majorité, le PP et Vox gèrent désormais cette cité andalouse de plus de 31000 Habitants, le PP avait comme le PSOE obtenu 10 sièges et Vox 1. Ici l’union des droites a prévalu. Le lecteur avisé observera qu’en Espagne pour une municipalité de plus de 31000 habitants, cela génère 21 conseillers, contre 39 en France.

Mais, et de loin, le plus important restait les élections aux communautés autonomes qui disposent de très larges pouvoirs en divers domaines, économiques, fiscaux, sanitaires, scolaires et d’infrastructures. Désormais et après bien des tergiversations, le PP et Vox ont réussi, non sans mal, à s’accorder dans les régions qui ne pouvaient être gouvernées qu’avec leur entente.

Il faut dire que le galicien Alberto Feijoo est franc comme un âne qui recule, et qu’il a passé son temps à envoyer des messages contradictoires aux électeurs de droite, ce qui lui a coûté cher, puisqu’il n’a pas obtenu avec Vox la majorité absolue aux Cortès (176 sièges). A cet égard, il ne peut que s’en prendre à sa très mauvaise campagne des législatives, alors qu’il surfait sur sa victoire aux municipales et régionales. Mais à vouloir effectuer, comme disait Lénine « un pas en avant, deux pas en arrière », on n’arrive à rien ou à pas grand-chose.

Si aux Baléares, Vox a accepté de soutenir le PP, sans sa participation directe à l’exécutif, il a obtenu néanmoins des conseillers locaux à Minorque et à Majorque. En Estrémadure, dans la région de Valence, en Castille et Leon, en Aragon et désormais dans la région de Murcia, Vox est rentré dans ces exécutifs régionaux, dans le cadre d’accords de gouvernement avec le PP.

Cela tranche totalement avec les rejets réitérés des LR chez nous, de refuser tous accords même locaux avec les élus RN, préférant laisser la gauche prendre le pouvoir. Malgré de nombreux obstacles liés essentiellement au Parti Populaire, dont le leader n’a aucune doctrine claire, les choses avancent et des jalons sont posés pour l’avenir. 

Reste maintenant à Vox à démontrer son sérieux, sa constance et sa volonté de faire triompher les forces populaires et nationales contre les séparatismes, les indépendantismes, et les gauchismes de toutes obédiences. Ce sera l’enjeu crucial des prochaines semaines et des prochains mois.  

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Lâcheté, inculture et propagande : une prof lève le voile sur l’école de 2023

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Arnaud Florac Boulevard Voltaire cliquez ici

Puisque c'est bientôt la rentrée, l'occasion faisant le larron, intéressons-nous à ce que l'on apprend désormais à l'école. Demandons-nous ce que nos chères têtes (de moins en moins) blondes entendent toute la journée, ce qu'on leur fait dire, écrire et même penser. Comme pour nous épargner un fastidieux travail de recherche, la décidément excellente Judith Waintraub relaie, dans Le Figaro, de larges extraits de La Grande Garderie, un livre qui semble très prometteur, écrit par Lisa Kamen-Hirsig, une enseignante qui a tout vu et nous le fait partager. Alors, allons-y !

L'idéologie semble être, sans surprise, la base de tout. L'Éducation nationale fournit les grands sujets : sexualité et écologie sont au cœur du projet. Dans le domaine de l'éducation sexuelle, on commence dès le CP et on demande ensuite à des enfants de huit ans (dont le propre fils de l'enseignante) d'imaginer qu'ils changent de sexe. Au concours de professeur des écoles, on pose la question suivante : « En classe de moyenne section, vous remarquez que les garçons jouent aux voitures et les filles à la dînette : comment résolvez-vous ce problème ? » Parce qu'évidemment, il y a un problème là-dedans. On demande aux élèves de réécrire une histoire caricaturale, et totalement inventée par l'Éducation nationale, dans laquelle un père et son fils regardent le foot à la télévision pendant que la mère et sa fille préparent des crêpes. Sous prétexte de l'impayable « lutte contre les stéréotypes de genre », on fait donc n'importe quoi. Il n'y a guère d'autre terme. Dans le domaine de l'écologie, on fait des « jeux de rôle » pour négocier pendant une COP. Les élèves y jouent des militants d'ONG, avec des consignes tellement claires que, sur une fiche de poste pour les grandes personnes, cela semblerait très directif : « En tant qu’ONG, vos revendications en faveur de la nature peuvent paraître irréalisables aux yeux des autres participants. Les États pourront vous reprocher d’oublier leurs enjeux économiques (compétitivité et emplois). Pour légitimer vos propos, vous devrez donc vous appuyer sur votre expertise scientifique et votre expérience des négociations internationales. Vous aurez également un regard critique sur les conclusions de la négociation en produisant un compte rendu sur les mesures prises. » Quand on fait les questions et les réponses, comment cela s'appelle-t-il ? L'URSS, peut-être ?

Voilà pour le fond idéologique. Passons au contenu des programmes. Évidemment, rien de contraignant, pas de discipline à l'ancienne, pas d'apprentissages fondamentaux. En classe de première (!), on trouve les injonctions infantilisantes suivantes, dans une liste intitulée Ma petite planète scolaire, au chapitre « biodiversité » : « réaliser la posture du lion en yoga et en profiter pour méditer cinq minutes » ou encore « faire un câlin à un gros arbre (un dont tu ne peux pas faire le tour avec les bras) ». Les plus petits ne sont pas épargnés, rassurons-nous. Ainsi, entre le CP et le CE2, « cycle des apprentissages fondamentaux », on trouve la matière « questionner le monde », qui reprend peu ou prou les vocables ringards d'histoire, géographie et sciences naturelles. Curieux, vous direz-vous peut-être, de questionner le monde en général au lieu de poser des questions concrètes à des adultes précis, qui vous donneront des réponses, imparfaites peut-être mais du moins réelles. Elle est comme ça, l'Éducation nationale. Plus c'est abstrait, mieux c'est. Moment de sabir issu du programme, choisi parmi mille autres : « Utiliser et produire des représentations de l’espace. »

On termine ce consternant florilège par la dernière couche de vernis : fascination idiote pour le numérique et le ludique (avec la fin des tableaux noirs, la transformation de tout en jeu sans conséquence, etc.), couplée à une lâcheté totale du corps enseignant. Lisa Kamen-Hirsig raconte que deux harceleurs qu'elle avait punis, et dont elle avait demandé l'exclusion, ont été couverts par le proviseur, qui a refusé de les renvoyer pour ne pas avoir d'ennuis avec le rectorat.

Voilà, en somme, ce qui attend nos enfants ou nos petits-enfants à l'école de la République. Pour ceux qui en seraient atterrés, il y a toujours la solution adoptée par des élites qui savent très bien ce qu'elles ont fait et agissent en conséquence : mettre ses propres enfants dans des écoles privées exigeantes qui appliquent des méthodes intemporelles. Ainsi de Pap Ndiaye avec l'École alsacienne - comme tant d'autres avant lui. Ou alors, au hasard des listes de classe, il y a la possibilité de tomber sur un professeur passionné qui serpente entre les oukases académiques pour transmettre son savoir avec passion. Bon courage à tous les parents, bonne rentrée à tous les enfants ! La vie est un combat, si on veut, mais l'instruction ne devrait pas être une lutte.

La Grande garderie, Lisa Kamen-Hirsig, Albin Michel, 2023, 288 pages, 20,90 €

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SOS Santé

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Jacques-Olivier Martin

L’inaction et les mauvais politiques sont un poison redoutable.  Et voilà que l’on découvre politiques sont un poison redoutable. Les premiers symptômes sont très longs à se manifester. Mais, lorsqu’ils deviennent visibles, la dégradation s’accélère. Difficile alors, pour ne pas dire impossible, de faire machine arrière. Il en est ainsi du recours à la dette publique. Au début (il y a cinquante ans), quelques milliards d’euros, puis 100, 1 000 et plus de 3 000 milliards aujourd’hui. Toujours plus d’intérêts, de prélèvements, de promesses non tenues de baisse de l’endettement... Redoutable nœud coulant. Et que dire des 35 heures, qui ont sapé la valeur travail. Aux mêmes maux, les mêmes conséquences. Partout, y compris pour les pénuries de médicaments qui frappent notre pays. Là encore, elles sont la conséquence des errements politiques des décennies passées. Quels sont-ils ? La combinaison de trois calamités au minimum. L’abandon de l’industrie. Au départ, rien de bien visible. Les usines sont toujours là, mais leurs propriétaires n’y investissent plus et les nouveaux traitements sont produits ailleurs. Les principes actifs cruciaux pour la souveraineté du continent tombent à bas bruit dans l’escarcelle de la Chine ou de l’Inde. Et voilà que l’on découvre politiques sont un poison que l’on manque d’aspirine et d’antibiotiques.

La bureaucratie dévorante, ensuite. Celle du médicament, si lente et tatillonne, pousse les labos à mener leurs essais cliniques à l’étranger. Les moins téméraires ne veulent même plus demander l’autorisation de mise sur le marché de leurs traitenemts en France, tant la procédure est lente et coûteuse.  Et, enfin, une politique de santé qui a fait du médicament, et notamment du prix des génériques, la variable d’ajustement du financement d’une Sécurité sociale obèse et dispendieuse.

Alors, que faire ? Commencer par augmenter les prix pour que les laboratoires livrent nos officines. Et puis débureaucratiser la santé, restaurer les finances publiques pour retrouver des marges de manœuvre financières pour l’éducation, la formation, l’innovation, le prix des médicaments... Première urgence : passer à l’action. Désormais, la santé des Français en dépend.

Source : Le Figaro 5/9/2023

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Affaire Traoré : Rendons au Mali ses forces vives !

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La réaction du Parti de la France :

La justice a prononcé un non-lieu en faveur des trois gendarmes impliqués dans l'affaire du délinquant Adama Traoré, mort en juillet 2016 à la suite de son interpellation par des gendarmes à Beaumont-sur-Oise, dans le Val-d'Oise, selon une ordonnance des juges d'instruction.

Ça fait donc 7 ans que la smala Traoré excite les banlieues afro-maghrébines contre les forces de l'ordre et la France en général pour que, finalement, la justice admette au bout du compte que ces mythomanes ont raconté n'importe quoi depuis le début.
 
Remigration prioritaire pour toute cette racaille ! Rendons au Mali ses forces vives !

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lundi, 04 septembre 2023

Malgré les injonctions du préfet de la Vienne, les Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil ont remporté un grand succès...

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Comme chaque premiers samedi et dimanche de septembre, depuis le début des années 1970, se sont déroulées cette fin de semaine les traditionnelles Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil (86) organisées par Diffusion de la Pensée française cliquez ici.

Lancées par Jean Auguy, fondateur de DPF, et ses amis, ces Journées, parfaitement encadrées, se sont toujours déroulées, avec un succès croissant, sans qu'aucun incident ne viennent perturber "l'ordre républicain". Cependant, cette année, il a faillit en être autrement. Figurez-vous que l'annonce de la venue, samedi matin, de l'historien Pierre Hillard a visiblement contrarié le Préfet de la Vienne qui n'a pas trouvé plus malin que d'interdire à celui-ci de prendre la parole en menaçant purement et simplement d'interdire l'ensemble de ces Journées. Une fois de plus, la macronie aux abois nous a montré son vrai visage, celui de l'intolérance et de la répression. Rappelons qu'au même moment, il était interdit à Yvan Benedetti et à ses militants de déposer une gerbe sur la tombe de Pierre Sidos, au cimetière de Thiais (94), décédé il y a trois ans.

L'interdiction de s'exprimer faite à Pierre a eu un effet que ce malheureux préfet n'avait certainement pas prévu : les ventes de ses livres ont pulvérisé les records... Pauvre Darmanin, pauvre préfet... continuez comme cela et le jour viendra où vous vous en mordrez les doigts...

Synthèse nationale, comme chaque année, était aussi invitée à ces journées et notre stand a reçu un grand nombre de visiteurs qui en profitèrent pour acheter nos livres ou pour s'abonner à notre revue. Didier Lecerf, auteur de la biographie de François de La Rocque que nous avons publiée l'hiver dernier, a donné une conférence sur le sujet. Il passa ces deux journées à dédicacer son livre. Il en alla de même pour Bernard Germain et pour Michel Festivi aussi présents sur notre stand.

Remercions François-Xavier d'Hautefeuille, le directeur de DPF, Mickaël Savigny, l'éditorialiste de Lectures françaises, ainsi que toute l'équipe de Chiré pour leur aimable accueil et souhaitons que l'an prochain la folie liberticide darmanesque ne soit plus qu'un mauvais souvenir... 

R. H. 

Le stand de Synthèse nationale :

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Didier Lecerf et Roland Hélie

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Michel Festivi, Roland Hélie et un ami chouan

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Bernard Germain dédicaçant ses livres

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Abaya, hidjab, burkini et autres qamis, tout est religieux et politique en islam, et réciproquement.

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Michel Festivi 

On le sait, ou on devrait le savoir, le coran ne distingue pas le politique du religieux, contrairement aux Evangiles qui ne sont pas la retranscription de la parole de dieu, mais des témoignages humains sur la vie et les actes de Jésus, fils de Dieu : « Rendez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu » Matthieu, XXII page 21 ou Luc, XX, 25.

Tout, absolument tout procède du dieu des musulmans dans le livre incréé, le coran (la récitation), qui n’est que la retranscription littérale en langue arabe, des ordres d’Allah dictés à Mahomet par le truchement de l’ange Gabriel (Djibril). Et ce même si le coran nous explique dans plusieurs versets que Mahomet était illettré, ce qui renforce le caractère incréé du livre.

Le coran est une loi politique, religieuse, civile, pénale, qui ne donne tous les droits qu’aux croyants et voue aux gémonies certes les non croyants, athées ou agnostiques, mais aussi avec certaines nuances, les juifs et les chrétiens. Ensuite, le coran distingue les hommes qui sont supérieurs aux femmes, et les femmes croyantes qui ont plus de droits que les autres femmes, l’esclavage est aussi légitimé dans plusieurs sourates. Cf Malek Chebel, L’esclavage en terre d’islam Chez Fayard, 2007.

Dans le coran la « miséricorde de dieu » n’existe qu’envers les croyants et seulement pour eux. L’islam peut se traduire par « la soumission ».

Globalement, le voilement des femmes croyantes, donc ce qui ne recouvrent pas seulement leurs têtes et leurs cheveux, mais aussi leurs corps est inscrit dans les versets du coran, deux au moins sont explicites à cet égard. Mais surtout, les sourates consacrent l’inégalité ontologique entre les hommes et les femmes. Elles doivent en toutes circonstances obéir aux hommes de leur famille (Père, mari, fils, frères, oncles, cousins etc.). Ce n’est pas une coutume, c’est la parole de dieu. Une coutume peut se modifier, pas la parole de dieu.

Dans le coran, la femme, à tout âge, ne peut jamais se marier sans un tuteur. Elle peut être répudiée unilatéralement, elle doit baisser les yeux devant un homme et accepter de se laisser frapper si par exemple elle a désobéi à son mari etc. Elle doit admettre sans sourciller que son mari ait trois autres épouses, plus autant de concubines qu’il souhaite. La femme mariée ou pas doit toujours être sous l’autorité d’un homme. Tout cela est écrit noir sur blanc dans le coran et repris par les hadits qui sont la compilation des faits et gestes de Mahomet.

La femme en islam, se doit donc de couvrir son corps et de ne pas faire apparaître en aucune manière ses formes. C’est très exactement le pourquoi du fondement du port du voile et de tous ces vêtements qui couvrent le corps des femmes.

Ces vêtements sont bien des signes religieux en islam. Ce sont des porte-drapeaux de l’avancée conquérante de l’islam dans nos sociétés occidentales. Leurs symboliques représentent l’antithèse totale de la séparation des pouvoirs spirituels et politiques qui depuis les premiers Rois de France est le fondement de la France et de ses institutions. Leurs significations, (et cela devrait faire bondir de colère, toutes nos féministes révolutionnaires et nos islamo-gauchistes), sont que ces vêtements concrétisent l’inégalité fondamentale entre les hommes et les femmes et la séparation des sexes que les lois de l’islam imposent de manière draconienne. Ensuite, en fonction des périodes, cela peut être appliqué avec plus ou moins de rigueur, mais les fondamentaux sont toujours là et peuvent resurgir à tout moment.

Comme le souligne avec justesse Jeannette Bougrab : « l’abaya répond aux prescriptions religieuses rigoristes, pour respecter l’awra, « la pudeur ». Les femmes doivent ainsi porter un vêtement couvrant toutes les parties de leur corps, afin de ne pas se montrer désirables. »

« Il faut se couvrir les cheveux, dissimuler les formes de son corps dans des tenues larges, noires, beiges, surtout pas chatoyantes, pour ne pas attirer le regard des hommes. L’abaya est le symbole de l’enfermement du corps de la femme. » 

Comme elle l’indique dans sa tribune du 4 septembre dans le Figaro Vox, l’Algérie s’est islamisée de cette manière en citant l’éditorialiste Amin Zaoui de Liberté Algérie. Comme l’a très judicieusement rapporté Jean-Eric Schoettl, ancien secrétaire général du Conseil Constitutionnel : « le port de l’abaya conduit l’élève qui la revêt à se faire immédiatement reconnaître par son appartenance religieuse. Or, comme le souligne la circulaire du 18 mai 2004, prise pour l’application de la loi du 15 mars 2004… les signes et tenues interdits par la loi sont ceux dont le port conduit « à se faire immédiatement reconnaître par son appartenance religieuse ». Et selon le titre de son article du 30/08/2023 dans le Figaro : « la loi de 2004 interdit l’abaya, ceux qui en doutent sont les idiots utiles de l’islamisme. » Chez nous en France on sait parfaitement qui sont ces idiots (ou idiotes) utiles.

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Ecole : mettre fin au collège unique

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Pédagogisme, collège unique, laïcité à géométrie variable, égalitarisme... En cette rentrée marquée par l’arrivée de Gabriel Attal au ministère de l’Éduca- tion nationale, Jean-Paul Brighelli revient sur ses thèmes de prédilection. Dans son nouvel essai cinglant, L’École à deux vitesses (L’Archipel), il dénonce les hypocrisies de la mixité, et l’«héritocratie», qui «laisse dans le fossé 90% du potentiel du pays». L’auteur de La Fabrique du crétin (2005) n’y épargne ni la jeune classe politique aux commandes - sa « conformité aux codes », sa « superficialité brillante » - ni les professeurs satisfaits de « ronronner devant un public présélectionné ».

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Source : Le Figaro 4/9/2023

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Cette Amérique qui ne veut pas mourir

 

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Nous sommes témoins d’événements dont l’ampleur nous écrase. La disproportion semble ridicule avec des époques où les caractères nous semblaient à la hauteur des défis. À moins que ce soit l’inévitable distorsion du temps qui nous leurre ? Qui nous dit que les contemporains de la chute de Constantinople, de la Révolution française ou de la Grande Guerre n’étaient pas aussi timorés, aussi incompétents et aussi corrompus que ceux qui se retrouvent à piloter nos destinées alors que leurs pieds ne touchent pas terre? À moins, aussi, que nous ayons les lorgnons si bien ajustés sur la bassesse qu’il nous soit impossible de voir la grandeur ? De cette Amérique qui agonise, par exemple, ne voit-on pas émerger des figures épiques?

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Source : Antipresse

08:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 03 septembre 2023

Du suicide démographique

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Alors qu’une nouvelle loi immigration sera prochainement débattue au Parlement, les travaux de l’Insee devraient alerter le gouvernement sur l’ampleur des bouleversements démographiques qui attendent la France, explique le professeur émérite à l’université de Rouen Normandie, Pierre Albertini dans une chronique aussi inquiétante que pertinente du Figaro (31/08/2023). Vingt siècles et plus de culture et de civilisation pour en arriver là ! Désespérant.

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11:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 02 septembre 2023

Contre la tenue d'un colloque immigrationniste à Saint-Brévin

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Grande initiative contre le colloque "Saint-Brevin terre d'accueil" le 23 septembre

Le collectif de Préservation de la Pierre Attelée, qui mène le combat depuis plus d'un an contre l'implantation d'un Cada près d'une école maternelle et primaire, a pris connaissance de l'initiative, impulsée par la LDH, le Mrap et d'autres associations immigrationnistes, le week-end du 23 et du 24 septembre (voir ICI)

Nous considérons la tenue de ce colloque, alors que la construction du Cada se termine, comme une véritable provocation, soutenue par les pouvoirs publics. 

La majorité de nos compatriotes réclame un référendum sur l'immigration, 

La surdélinquance explose dans tout le pays, touchant à présent trop souvent des enfants et des adolescents, 

Quatre manifestations pacifistes ont été méprisées par les pouvoirs publics, et agressées par des militants d'extrême gauche, 

Promouvoir "Saint-Brevin terre d'accueil" dans un tel contexte ne peut que susciter des tensions supplémentaires dans une ville où de plus en plus d'habitants prennent conscience de la folie de ce projet. 

Nous ne renonçons pas à faire annuler un projet qui doit imposer 110 clandestins, extra-européens, sans la moindre consultation démocratique, à notre quartier et à notre ville. Nous n'accepterons pas que des associations nationales et locales, gavées de subventions, vienne narguer les habitants de Saint-Brevin.

Nous organiserons donc une riposte déterminée à cette provocation, ce même week-end, en respectant, comme toujours, le cadre démocratique, et appelons l'ensemble des partis et associations qui soutiennent ce combat à nous rejoindre pour contester cette initiative douteuse et la politique du fait accompli.

Fait à Saint-Brevin, le 1er septembre

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Le pouvoir fait arrêter Yvan Benedetti

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Ce matin, une fois de plus le pouvoir macronien a montré sa dérive dictatoriale en interdisant l’hommage rendu à Pierre Sidos, militant historique du combat nationaliste.

Synthèse nationale tient à exprimer son entière solidarité à Yvan Benedetti qui a été arrêté au cimetière de Thiais, là où est enterré Pierre Sidos, sur ordre du ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

 

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Journal du chaos

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vendredi, 01 septembre 2023

Guy Joncour, la « légende » à migrants de Callac, au tribunal : hic !

 

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Bernard Germain

Le journal Le Poher, vous savez, c’est le petit journal gauchiste situé non loin de Callac et dont le directeur Erwan Chartier a réussi depuis 6 mois à «survivre» à tous les complots fascistes dont il était la cible. Le journal qui était soi-disant l’objet de mails injurieux et menaçants, de coups de téléphone anonymes non moins menaçants et même victime d’une alerte à la bombe.

D’abord, on est bien contents de savoir qu’il va bien et qu’il a échappé aux tueurs de la fachosphère. Franchement ça fait plaisir. Enfin une bonne nouvelle.

On passage, on notera deux choses : d’abord que, curieusement, tout ce cirque s’est arrêté lorsqu’ils ont su que le procès que Erwan Chartier et sa journaliste me faisaient était repoussé à la fin de cette année et que ce ne serait pas comme prévu à la date du 3 mars au Tribunal de Lorient.

Et puis second élément, Erwan Chartier a tellement ameuté de monde, notamment les gendarmes, qu’on en est tout étonné qu’aujourd’hui 31 août les enquêteurs n’aient toujours rien trouvé comme preuve, ni personne à mettre en garde à vue et sous les verrous.

Mais c’est peut-être parce que Erwan s’est emporté, a largement exagéré et qu’il n’était nullement menacé.

Cela arrive que les gens se chauffent et racontent n’importe quoi. Allez savoir.

Reste qu’on entend à nouveau parler le 28 août du journal Le Poher mais cette fois, c’est pour nous annoncer qu’un de nos principaux opposants, on pourrait presque dire ennemis si on employait son vocable, va passer au tribunal.

Moi, je trouve cela assez drôle. Ce type a déposé pas moins de 12 plaintes contre nous qui avons combattu et gagné contre l’arrivée de centaines de migrants dans le cadre du projet Horizon. Il nous a insultés, traînés dans la boue et même menacés. Mais ses plaintes n’ont pas été suivies d’effet, par contre c’est lui qui se retrouve traîné devant les juges.

Faut dire qu’il n’y va pas pour rien. Le Poher nous apprend qu’il y va pour outrage «au commandant de la brigade de gendarmerie de Callac, dans l’exercice des ses fonctions».

À force de se croire autorisé à insulter ou menacer tout le monde, il s’est cru pouvoir faire de même avec ce gendarme, mais là il est tombé sur un os. Mais ce n’est pas moi qui vais le plaindre ni lui apporter mon soutien.

Par contre Le Poher nous apprend que d’autres se chargent de lui apporter du soutien. C’est notamment le cas des antifas du CVA22, la structure des antifas dans notre département des Côtes-d’Armor.

Et tous ces charmants individus vont organiser un «Fest Noz», une fête en breton, de soutien à Guy Joncour attaqué de manière honteuse par la justice suite à la plainte de la gendarmerie.

Cette Fête aura lieu vendredi 1er septembre à partir de 17 heures.

Le journal Le Poher, dont on pourrait aisément penser qu’il cautionne tout cela vu la manière dont il en parle dans ses colonnes, nous apprend que «l’objectif des organisateurs est de montrer que le centre Bretagne n’est pas un nid d’extrême droite. C’est aussi une démarche auprès des médias et des élus, pour les informer, et l’occasion de lever des fonds pour la lutte antifasciste».

Donc Le Poher et son directeur qui ont échappé aux complots de la fachosphère et survécu à toutes les menaces dont ils sont l’objet va utiliser cette fête pour montrer que le centre de la Bretagne «n’est pas un nid d’extrême droite». Ouf nous voila rassurés. L’affaire est moins grave qu’ils le disaient au début de l’année, mais même si ce n’est pas très grave… «No pasaran !»

En fait, ces pauvres gens n’ont toujours pas compris ce qui s’est passé à Callac, ni tiré les bonnes leçons.

Dans Le Poher on peut lire «Guy Joncour, cheville ouvrière de son organisation et partisan, parfois polémique, du projet Horizon, le confirme : “il s’agit d’un fest-noz de soutien contre le fascisme, la xénophobie et l’ostracisme, il est une conséquence des événements de Callac. Ce qui a fait capoter ce projet, c’est la xénophobie larvée, qui a généré une ambiance de peur et de repli sur soi, un manque de courage général.”»

Mais non mon pauvre Guy, ce qui a fait capoter le projet c’est deux choses toutes simples :

  • Tout d’abord votre refus d’organiser un référendum alors que ce projet n’était nullement dans le programme électoral du maire qui a ajouté le 5 octobre sur le marché «je ne ferais pas de référendum parce que je sais que 80 % de la population est contre»
  • Ensuite lorsque les gens ont vu que depuis des années il n’y avait pas un euro pour aider les Callacois, notamment ceux qui sont le plus en difficulté ainsi que les jeunes, mais que subitement il y avait des millions d’euros pour des gens venant de l’autre bout de la terre et qui n’ont jamais cotisé pour rien. Là les Callacois ont compris que vous pratiquiez la «préférence étrangère».

Les habitants de Callac ont alors compris que ceux qui les défendaient, c’était nous, que vous appelez les «fachos» ou «l’extrême droite».

Vous vous êtes coupé de la population de Callac et si le maire n’avait pas abandonné le projet, c’est tout le conseil municipal qui aurait explosé.

Voilà ce que vous n’avez pas compris et ne comprendrez jamais, car sinon il faudrait que Joncour et ses semblables se voient comme ils sont : des gens qui détestent la France, les Français, leur culture et leur identité.

Joncour préfère porter un tee-shirt (voir la photo en haut de cet article) qui résume tout :

«C’est compliqué d’être une LÉGENDE et un vétérinaire».

Vétérinaire… oui certes, Joncour l’a été mais ça remonte déjà à un moment.

Quant à la «LÉGENDE», là, Joncour s’emballe, on ne voit pas bien ce qui peut lui permettre de se croire une légende, sauf peut-être pour le lever de coude. Mais ça, jamais je n’oserais dire un truc pareil, ce n’est pas moi qui le dis, ce sont les habitants de Callac.

Pour conclure, on a bien noté que Joncour et ses amis font équipe avec les antifas et les migrants.

Nous, on fait équipe avec les habitants de Callac et les patriotes et on continue à se battre pour empêcher que Joncour et ses semblables ne fassent venir des migrants dans le bourg.

13:56 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : cette fin de semaine, on se retrouve à Chiré-en-Montreuil (86) aux 53es Journées chouannes

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Venez retrouver Roland Hélie et les collaborateurs

de Synthèse nationale sur notre stand :

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Les Journées chouannes cliquez ici

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Sortie prochaine du nouveau numéro (n°79) de Réfléchir & Agir :

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11:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"Affaire" du film scolaire sur Marti Luther King

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La réaction de Thomas Joly,

président du Parti de la France :

Derrière ce déferlement de haine contre des élèves blancs qui pensaient pourtant (ainsi que leurs profs) avoir coché toutes les cases du politiquement correct en rendant hommage à l'icône Martin Luther King, il y a quelque chose de grave. On ne se contente plus de demander des efforts aux Français de souche (tout en disant qu'ils n'en font jamais assez) : on veut qu'ils disparaissent. Tout simplement. De la diversité jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus.

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jeudi, 31 août 2023

SAMEDI 2 SEPTEMBRE : HOMMAGE À PIERRE SIDOS DÉCÉDÉ LE 4 SEPTEMBRE 2020

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Sur la disparition de Pierre Sidos cliquez ici

Un CHN sur Pierre Sidos cliquez là

23:16 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sur TV Libertés, Clémence Houdiakova présente le nouveau média souverainiste et réaliste "Tocsin"

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Épilogue aux Sables-d’Olonne : Saint Michel terrasse finalement la Libre Pensée

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Iris Bridier, Boulevard Voltaire cliquez ici

Le maire et le curé des Sables-d’Olonne en font l’annonce conjointe lors d'une conférence de presse, ce lundi 28 août : la statue de saint Michel demeurera sur la place Saint-Michel aux Sables-d'Olonne, au cœur du quartier qui porte son nom.

Quatre ans. C’est le temps qu’il aura fallu pour sceller le sort de cette humble statue qui déchaîna les passions. Au terme d’un combat judiciaire acharné, entamé en 2019 par la Libre Pensée, la Justice avait finalement donné raison, en décembre 2021, aux chantres de la laïcité, obligeant Yannick Moreau, le maire (divers droite) à déboulonner l’effigie de l’archange. En avril 2023, le Conseil d’État avait même retoqué le pourvoi en cassation de la ville des Sables-d’Olonne. C’était un Vendredi saint : telle Ponce Pilate, l'instance s’en lavait les mains. La Libre Pensée aura emporté une bataille, mais elle n’aura pas gagné la guerre.

Une solution incontestable

Yannick Moreau avait fustigé vivement « la poignée de laïcistes radicaux [qui] a traîné notre ville devant les tribunaux et obtenu que l'on déboulonne l'emblème du quartier ». L’édile avait promis à ses administrés qui s’étaient prononcés à 94 % pour son maintien de trouver une solution pour que saint Michel reste devant son église. C’est désormais chose faite.

À la faveur de la mise aux normes d’une rampe d’accès pour personnes à mobilité réduite devant l’église Saint-Michel, la paroisse des Sables-d’Olonne a récemment fait l’acquisition, auprès de la ville, d’une bande de terrain sur la place jouxtant l’édifice religieux. Cet espace, dûment déclassé et cédé devant notaire, ne relève plus désormais du domaine public. La rampe d’accès en projet n’occupera pas la totalité de l’emprise, elle laisse donc un espace disponible pour accueillir la fameuse statue, sur un beau socle neuf, joliment éclairé et parfaitement visible par les passants du boulevard et de la place, au pied de l’église. Le tout, en parfaite légalité.

L'abbé Antoine Nouwavi applaudit : « Les statues ne manquent pas, dans nos églises. Mais, étant à l'écoute du souhait de la majorité des Sablais de voir la statue sur le parvis, nous avons, sans hésitation aucune, apporté notre contribution. [...] En voulant déboulonner la statue, les diviseurs ont voulu nous faire croire à l'illusion du vide. Il en est de même dans la nature que dans la culture, elle a horreur du vide ! »

Les travaux de réalisation de la nouvelle rampe et du nouveau socle de la statue devraient débuter dès la semaine prochaine. Le coût est entièrement supporté par la paroisse, qui lance donc un appel aux dons via ce lien.

La statue des Sables-d’Olonne devient un symbole

Yannick Moreau s’y était engagé : il devait à la fois respecter la décision de la plus haute juridiction administrative tout en restituant au quartier Saint-Michel et à ses habitants leur symbole culturel. Pour mémoire, la statue attire chaque année porte-drapeaux, anciens combattants et parachutistes venant célébrer leur figure héroïque et tutélaire : « Les parachutistes ne se battent pas au nom de Dieu, ils sont au service de la nation [...], rappelle Yannick Moreau. N'oublions pas que l'homme a besoin de symboles et d'idéaux [...] La statue de saint Michel fait partie de notre patrimoine commun. »

Symbole des assauts de la Libre Pensée, saint Michel des Sables-d’Olonne devient ainsi, par un heureux retournement, le symbole de la résistance victorieuse. Le combatif maire des Sables-d’Olonne peut être fier aujourd’hui et, avec lui, tous les Sablais reconnaissants et les Français attachés à leur patrimoine vernaculaire de n’avoir pas plié devant les déboulonneurs de la cancel culture« Si la République est laïque, la France est bien chrétienne [...], dit-il, c'est une réalité objective que certains irréductibles laïcards aimeraient annuler, effacer. Et pourtant, depuis le baptême de Clovis il y a 1.500 ans, c'est une réalité qui est constitutive de ce que nous sommes, nous les Sablais, Vendéens, Français. » Décidément, cette terre de Vendée a la résistance dans les gènes.

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mercredi, 30 août 2023

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Samedi 2 septembre, en Vendée :

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Samedi 14 octobre : l'Okteberfest d'Academia christiana en Mayenne

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Academia christiana cliquez ici

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MICHEL FESTIVI DONNERA UNE CONFÉRENCE SUR MIGUEL PRIMO DE RIVERA SAMEDI 2 SEPTEMBRE AUX JOURNÉES CHOUANNES DE CHIRÉ-EN-MONTREUIL

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Le livre sur Miguel Primo de Rivera cliquez ici

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Jeudi 31 août, de 10 h à 11 h, Pierre Cassen et Bernard Germain invités sur Radio Courtoisie

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Nos amis Pierre Cassen et Bernard Germain seront, ce jeudi 31 août, les invités de Daniel Habrekorn, chef de l’émission “Anthologie de la Créaction”, à Radio Courtoisie, de 10 heures à 11 heures. Radio Courtoisie cliquez ici

Ils y présenteront, dans un contexte particulier, leur livre “Transgression, voyages du camp du bien vers le camp du mal”, édité par Synthèse nationale.

Pour écouter Radio Courtoisie en direct : cliquez là

Source cliquez ici

Le livre cliquez là

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lundi, 28 août 2023

SAMEDI 2 ET DIMANCHE 3 SEPTEMBRE : BERNARD GERMAIN DÉDICACERA SES LIVRES AUX 53es JOURNÉES CHOUANNES À CHIRÉ-EN-MONTREUIL (86)

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