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dimanche, 28 janvier 2024

Quand la Constitution se retourne contre la nation

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Mathieu Bock-Côté

Ce qui devait arriver arriva : le Conseil constitutionnel a censuré jeudi l’essentiel de la loi immigration. Certes, et c’est la petite musique du jour, on explique que le Conseil constitutionnel, pour l’essentiel, n’aurait pas touché le fond du texte, et viserait essentiellement ses vices de forme – c’est la question des fameux cavaliers législatifs. On ne se laissera pas bluffer : ce pointillisme juridique témoigne surtout de la mise sous tutelle du Parlement par les juges, qui lui contestent désormais le droit élémentaire d’amender un texte de loi.

La Cour suprême française, puisqu’il faudrait bien l’appeler ainsi, se donne unilatéralement le droit de modifier l’équilibre des pouvoirs à son avantage - ce qu’elle fait depuis le début le début des années 1970 avec l’invention du bloc de constitutionnalité. Le déploiement de « l’État de droit» correspond en fait à une prise de pouvoir par les juges, qui depuis ne cessent d’étendre leur pouvoir - souvent aussi en interprétant de manière exagérément créative les principes constitutionnels, en fonction de l’évolution de l’idéologie dominante, qui tend à se confondre avec le sens de l’histoire. Le véritable arbitraire du pouvoir est là.

En fait, la France vit déjà, depuis un certain temps, dans une forme de VIe République qui cherche à se faire passer pour une version évoluée de la Ve. C’est ainsi que s’opèrent les coups d’État depuis cinquante ans : les institutions anciennes, comme celles relevant de la souveraineté populaire, ne sont pas abolies mais vidées de toute substance. Elles demeurent à la manière d’un vieux décor, même si le vrai pouvoir ne s’y trouve plus. Elles demeurent, car comme le notait en son temps Machiavel, le peuple tend à se montrer attaché à ses coutumes, à ses vieux rituels - bien davantage qu’à l’exercice réel du pouvoir, d’ailleurs, et il est bien vu, pour éviter sa révolte, de feindre de les respecter. Ces institutions vidées du pouvoir pourraient toutefois en être réinvesties, ce que rappellent tous ceux qui plaident pour une réforme constitutionnelle.

À l’échelle de l’histoire, on assiste à une inversion de la philosophie constitutionnelle. Traditionnellement, une constitution avait pour vocation d’organiser politiquement un peuple, de structurer sa vie politique, en lui donnant les moyens nécessaires pour agir par lui-même dans l’histoire. Elle n’était toutefois pas à elle-même sa propre fin. La sagesse politique rappelait qu’une constitution qui paralyse un peuple, déforme sa vie politique, le condamne à l’impuissance publique, est une constitution qui doit être changée, tout simplement.

C’est pour cela d’ailleurs que le général de Gaulle a fondé la Ve République : il jugeait la IVe structurellement impuissante. Il n’y avait pas chez lui de fétichisme institutionnel. Les institutions devaient servir les hommes et non l’inverse. Une bonne constitution n’est pas qu’un texte juridique : elle tient compte de l’histoire d’un peuple, de sa psychologie collective. Il n’en est plus ainsi. La Constitution désormais désincarne : un peuple est ainsi appelé à s’immoler symboliquement dans le droit – les principes constitutionnels un jour fixés et par les juges interprétés sont jugés plus importants que son identité profonde – d’ailleurs, existe-t-elle vraiment ? La Constitution se retourne contre la nation, l’État aussi.

Peut-être faut-il aussi y voir une radicalisation du contractualisme moderne, où la logique du contrat social s’extrémise au point de se substituer à toute vie organique – au point de la neutraliser, et de juger son dépérissement comme nécessaire. Mais il faudrait alors en venir à la conclusion que la pente naturelle de la modernité est fondamentalement impolitique – ou plutôt, qu’elle invisibilise le politique dans une technostructure sur laquelle l’homme a bien peu d’emprise, et qui se déploie sans qu’il ne soit possible d’en dévier le sens. L’histoire s’écrirait sans les hommes, devenus pantins des systèmes qu’ils ont mis au monde.

Mais ce serait encore là céder à sa ruse, car derrière cette évolution des institutions, prend forme un régime oligarchique qui ne dit pas son nom, et qui sert globalement les intérêts de ce qu’on appelle un peu communément les élites mondialisées. Dans leur esprit, le peuple est une catégorie politique dangereuse, toxique : il n’apparaît plus qu’à travers le concept marqué de « populisme ». Il est nécessaire de le contenir, de l’emmailloter, idéalement de le démembrer, pour qu’il ne puisse pas faire de mal avec ses réflexes régressifs, son passéisme insurmontable, et l’incapacité qu’on lui prête à comprendre le mouvement du monde.

En fait, il est nécessaire de le désarmer institutionnellement. Sans quoi il pourrait, à travers ses représentants, voter des lois que la morale réprouve et que le sens de l’Histoire, deviné par les théologiens de la modernité, n’autorise pas.

Source : Le Figaro 27/1/2024

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samedi, 27 janvier 2024

Du berger à la bergère… ou d’un libraire à un autre, pourquoi pas ?

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La chronique de Philippe Randa

La campagne de haine, de délation et d’appel à l’indignation après la nomination de Sylvain Tesson comme parrain du Printemps des poètes 2024 semble donc faire long feu… et c’est extrêmement rassurant.

Non seulement, comme l’a rappelé l’excellent site de l’Observatoire du journalisme (OJIM), « les messages de soutien en faveur de l’écrivain ont rapidement dépassé la tentative d’intimidation culturelle », mais on a assisté à un véritable « raz-de-marée de soutiens pour Sylvain Tesson » de personnalités politiques et du monde littéraire auxquelles, certes, on pouvait s’attendre, mais pas que !

Ainsi, saluons (une fois n’est pas coutume) les soutiens de Rachida Dati, actuelle ministre de la Culture et de Jack Lang qui occupait ce poste sous François Mitterrand, sans oublier Bruno Lemaire, de fait plus sympathique en littérature qu’en économie… et l’OJIM de constater, avec une indéniable gourmandise que « créant une polémique de toutes pièces, le journal Libération a finalement fait une publicité de choix pour le Printemps des poètes comme pour Sylvain Tesson ». C’est incontestable !

Souvenirs, souvenir : dans une désormais lointaine époque, j’habitais un Paris encore habitable et avais l’habitude d’acheter chaque jour « mes journaux » dans une petite librairie du XVIIIe arrondissement ; elle était tenue par un jeune garçon qui n’avait rien d’antipathique… du moins jusqu’au jour où j’arrivais à sa caisse et lui tendis plusieurs titres que je désirais. Il commença à les comptabiliser… avant de s’arrêter brusquement et de me regarder, stupéfait, en m’exhibant entre deux doigts tremblants d’indignation l’exemplaire de Présent (ou Rivarol ou Minute, ma mémoire me fait défaut) :

– Où vous l’avez trouvé ?

– Ben… dans le rayon !

– Mais je le cache pour qu’on ne le trouve pas !… Vous êtes le premier.

J’ai dû répondre qu’il fallait un début à tout… et avec un large sourire un peu espiègle, un peu amusé et très sadique, attendis qu’il fit mon compte. Je payais, le saluais… et ne remis plus jamais les pieds chez lui, on s’en doute.

On a coutume de se désoler de la fermeture des petits commerces… Ce libraire-là disparut peu après (ma désertion n’en fut sûrement pas la cause principale, mais sans doute fut-elle tout de même symptomatique). On se doute que je n’en fus pas plus chagrin que cela.

Alors, suite à la pétition anti-Sylvain Tesson dans laquelle figure un certain nombre de librairies, il serait peut-être utile de songer à une réponse « du berger à la bergère » à apporter à toutes celles qui ont appelé à l’hallali contre cet écrivain : si le hasard voulait que certains lecteurs de ce « coup d’œil » y aient leurs habitudes, peut-être leur serait-il judicieux de « changer de crémerie »… et d’aller faire leurs futurs achats de livres… ailleurs !

Et à défaut de figurer dans l’infâme liste, est-ce peut-être l’occasion pour tous les clients fidèles d’une librairie de se renseigner si les livres de Sylvain Tesson (ou ceux d’autres auteurs tout aussi peu appréciés des pétitionnaires) sont disponibles dans leurs rayons… ou s’ils le seront… ou s’ils pourraient le cas échéant, les obtenir !

À la réaction qu’ils susciteront des libraires, à eux de juger s’ils méritent ou non leur fidélité…

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18:42 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rien n'est jamais écrit d'avance...

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17:30 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Synthèse nationale, plus que jamais !

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Il y a quelques semaines, Emmanuel Macron nommait le gouvernement Attal. Il ne fallait pas, alors, être grand clerc pour saisir l’objet essentiel de l’opération : relancer non pas la France mais un exécutif déjà à bout de souffle 21 mois après la réélection du président de la République et, au passage, appuyer là où ça fait mal chez Les Républicains... Sur notre blog, nous écrivions : « Les cocus patentés qui, il y a dix-sept ans, ont aimé se faire avoir par Sarkozy, adorent déjà ce nouveau cabinet. Ils veulent y voir le signe d’un basculement à droite répondant aux attentes d’un pays qui, à les en croire, pencherait de ce côté… Ils oublient un peu vite les enseignements de la dernière présidentielle et des législatives qui ont suivi. Ils oublient aussi que le maître des orientations politiques reste l’actuel occupant de l’Élysée et que de ce côté, il n’y a rien de particulier à attendre »…

Quinze jours plus tard, la réalité est venue se rappeler au bon souvenir du pays. Alors que le monde paysan a entrepris de bloquer les routes pour manifester sa lassitude et sa colère après des décennies de double langage du pouvoir (un discours au niveau national, un autre au niveau européen), le Conseil constitutionnel, saisi notamment par Macron, a retoqué les amendements à la loi immigration voulus par les LR et le RN. Ce faisant, il a donné raison à Éric Zemmour qui, sur CNews, le 21 décembre, se disait « éberlué par le cirque médiatique et parlementaire » autour de ce texte, avant de dénoncer « la macronie qui se déchirait pour des mesurettes, la gauche qui faisait semblant d’être offusquée par une loi qui faisait elle-même semblant d’être ferme et, cerise sur le gâteau, les LR et le RN qui criaient à la victoire idéologique alors que le grand résultat, ce sera toujours plus d’immigration ». Et le président de Reconquête ! d’ajouter : « Avec tous ces gens qui crient victoire, on voit bien que c’est la défaite, mais la défaite du peuple français parce que, quand on fait semblant de traiter les problèmes, c’est encore pire que si on ne faisait rien (…). J’avais l’impression que c’était une digue de sable face à une vague énorme qui allait tout submerger. J’avais l’impression de voir des joueurs qui jouaient à la belotte sur le pont du Titanic »…

Ainsi, à l’heure où tout semble s’accélérer ; où le gouvernement des juges bafoue la volonté populaire ; où le pouvoir prétend vider la mer avec une petite cuillère et ne cesse de se féliciter des pauvres rustines qu’il appose sur une France qui craque de toute part (de son fait, en grande partie), notre combat, plus que jamais, apparaît non seulement juste et nécessaire, mais urgent et vital. Alors, plus que jamais, lisez, faites connaître et soutenez Synthèse nationale !

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Le Journal du Chaos

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vendredi, 26 janvier 2024

Davos 2024 - Le WEF panique

Le Forum Économique Mondial à Davos était clairement en mode 100 % panique. Même la poudreuse n’arrive plus à les maintenir en mode confiance…. Leur plan capote, les infos passent, leur monde s’écroule.

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Persécutions quotidiennes subies par les paysans : des exemples incroyables !

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Bernard Germain

Depuis la fin des années 60 en France, la tendance en agriculture est à l’industrialisation du process de production. Ne cherchant pas à comprendre pourquoi nos anciens étaient arrivés, sur la base de leur sagesse et de leur expérience, à avoir tout un système de haies et des parcelles à taille raisonnable, les « experts » décrétèrent qu’il fallait remettre tout cela en cause. On arracha donc les haies afin de mettre en place des parcelles énormes, le matériel agricole devint lui aussi de taille monstrueuse…

Mais nos experts avaient juste oubliés que les haies jouaient un rôle majeur sur plusieurs plans. D’abord sur un plan écologique, ces haies abritaient une quantité phénoménale d’oiseaux qui pour se nourrir mangeaient les insectes qui attaquaient les cultures. Ensuite et c’est beaucoup plus grave, ces haies retenaient l’eau et évitaient qu’elle ne ruisselle. Aujourd’hui tout le monde se désole de voir lors de fortes précipitations des torrents de boue emporter tout sur leur passage. En fait c’est la terre agricole qui part à la mer. C’est l’indiscutable bilan de l’arrachage des haies. Ce désastre est tellement vrai et sa cause tellement évidente que les autorités sont en train de souhaiter remettre des haies.

Reste qu’au final, ces funestes orientations ont gravement transformé les campagnes et impactées les agriculteurs.

  • En 2019, l'INSEE recensait 400 000 agriculteurs et 250 000 ouvriers agricoles en France, représentant un peu plus de 2 % de la population active, alors que leur nombre était évalué à respectivement 1,6 million et 310 000 en 1982. Cette diminution de la part des actifs agricoles dans la population active française est encore plus forte lorsqu'on l’observe depuis 1945, où leur nombre était évalué à 10 millions. Aucun autre secteur économique n’a connu une régression d’emplois aussi massive.
  • La taille des exploitations ne cesse d’augmenter. 60 % des exploitations françaises de moins de 20 hectares ont disparu entre 1967 et 1997, tandis que le nombre de celles de plus de 50 hectares a quasiment doublé. Si ce mouvement de concentration se poursuit le nombre d'exploitations passera à 300 000 en 2025.
  • Quand aux « petits paysans », un rapport du Sénat exposait il y a seulement quelques années, qu’ils se suicident au rythme effarant de 1 à 2 par jour. Pourquoi ? Parce qu’ils travaillent 9 à 10 heures par jour, 7 jours sur 7, sans prendre de vacances. En retour, leurs productions sont payées une misère par les énormes structures agro-alimentaires. Évidemment, criblés de dettes qu’ils n’arrivent pas à payer, n’ayant quasiment rien pour vivre et surtout aucune perspective d’embellie, ils craquent et se pendent dans leur grange.

Si ces chiffres se confirment, cela officialisera la disparition de 25% des agriculteurs en 6 ans (2019-2025).

Si l’on se réfère au chiffre de 1982, cela représente une perte de plus de 75% des agriculteurs de notre pays.

Aujourd’hui, dans toute la France la révolte gronde et les agriculteurs se mobilisent et se retrouvent sur des barrages. Ils sont même en approche de Paris et avancent d’une quinzaine de Km chaque jour. Ils devraient y être ce week-end.

Les écolos sont fous de rage, eux qui détestent cette France qui se lève tôt, travaille dur et ne demande qu’une chose : pouvoir vivre de son travail.

Ne manquant pas l’occasion d’apparaître pour ce qu’elle est : une ennemi du peuple et des petites gens, la bobo écolo Sandrine Rousseau a publié cette prise de position sur X (ex-Twitter) :

« Ce que font les agriculteurs depuis deux jours : explosion dans un bâtiment, une personne tuée, rails dégradés, est inadmissible. Et le silence du gouvernement est absolument incroyable ». Pitoyable prose.

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Eric Zemmour commente le soulèvement paysan et la décision du Conseil constitutionnel...

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L’outrage

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Dans les années 1990, Renaud Dély travaillait à Libération, le quotidien gauchiste. Il y traquait le Front national. Il passa ensuite aux hebdomadaires Marianne et Le Nouvel Observateur avant de tenter l’aventure radiophonique à France Inter. Il pontifie aujourd’hui sur la chaîne télévisée Arte. Son profil dépasse le simple politiquement correct.

Renaud Dély vient de publier aux éditions JCLattès un bouquin ni fait ni à faire (on lit le Mouvement national du progrès et non le Mouvement nationaliste du progrès). Il veut peut-être terroriser les ultimes abonnés de Télérama et de Politis. Son titre ? L’Assiégé (2024, 248 p., 20,90 €). Le sous-titre est bien plus explicite : Dans la tête de Dominique Venner, le gourou caché de l’extrême droite. Ouf, on échappe à l’ultra-droite !

Dély se fait fort d’entrer dans l’esprit d’un défunt incinéré. Il ne fait que transposer ses frustrations, ses fantasmes et ses obsessions. Il appartient à cette coterie de plumitifs et d’universitaires diplômés au petit bonheur la chance. Ces gars vivent de la « bête immonde », pourtant à l’origine sociale-démocrate selon Bertolt Brecht. Sans elle, Renaud Dély couvrirait la chronique des chiens écrasés, la rubrique nécrologique et les affaires d’adultère de son patelin. Grâce à l’extrême droite, il concilie gagne-pain et militantisme. Lui et ses congénères scribouillards devraient avoir la décence de verser aux droites radicales des redevances ou des droits d’auteurs. À l’ingratitude s’ajoute chez eux la pingrerie ainsi que l’absence de la moindre reconnaissance du ventre. C’est lamentable ! Mais ne scient-ils pas la branche sur laquelle ils sont assis ?

L’auteur a l’audace de réduire la vie d’un remarquable activiste, puis d’un excellent historien méditatif en quatre chapitres : son sacrifice solennel à Notre-Dame de Paris, le 21 mai 2013; l’épopée guerrière en Algérie; l’aventure d’Europe-Action et du Rassemblement européen de la Liberté (REL); sa passion pour les différentes formes de chasse, son amitié pour François de Grossouvre, détenteur des secrets les plus inavouables de François Mitterrand, son œuvre d’essayiste et ses funérailles.

En classe de Terminale, cette pseudo-biographie vaudrait à son auteur un zéro pointé pour cause de paraphrase permanente. Il plagie en effet Le Cœur rebelle et l’agrémente de dialogues fictifs. Outre la dénonciation gratuite d’un mal-pensant selon les normes en place, il faut regretter que des personnalités-phares de la « mouvance », des intimes ou des amis proches de Dominique Venner, aient accepté de le rencontrer. Dély les remercie d’ailleurs très sincèrement. Pourquoi lui accorder un temps précieux en sachant que le résultat sera défavorable avec l’établissement d’une « légende noire » ? Aucun contact avec les stipendiés du Système médiatique d’occupation mentale ne devrait s’établir. Pas la peine que leurs affidés dénigrent dans un second temps le livre !

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jeudi, 25 janvier 2024

Jacques Baud - '' Sous-estimer l'adversaire: la recette de l'échec ''

Jacques Baud, ancien colonel de l'armée suisse, spécialiste du renseignement et du terrorisme, auteur de plusieurs ouvrages parus aux éditions Max Milo, notamment ''Ukraine entre guerre et paix'', "Opération Z'', ''Gouverner par les fake news'', ''L'art de la guerre russe'' etc

“ La principale raison de l’échec ukrainien est que Zelinsky a joué le rôle de commandant en chef et a conduit lui-même les opérations”, explique Jacques Baud, auteur de “L’ART DE LA GUERRE RUSSE”

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Dédicace de Jacques Baud à la Librairie Vincent le samedi 27 janvier 2024 de 15 h à 18 h

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Bernard Germain, auteur de "Union européenne : en sortir... au plus vite", invité de TV Libertés

Lors de chaque élection européenne, c’est toujours le même scénario : on nous promet "Une autre Europe". Cela ne s’est jamais fait et ne se fera jamais car tout est prévu pour rendre la chose impossible. Ce qu’est réellement l’Union européenne est soigneusement caché, depuis sa création. L’UE est en réalité une authentique dictature, une machine à broyer les nations. Un système qui décide pour les peuples sans jamais leur demander ce qu’ils pensent et ce qu’ils souhaitent. Dans son ouvrage "L'Union européenne : en sortir... au plus vite !", Bernard Germain revient sur les amitiés sulfureuses des pères de l'Europe et sur les secrets de la construction des institutions européennes. En livrant ces informations, les Français prendront conscience de la réalité. Pour Bernard Germain, quitter l’UE est la seule solution avant que celle-ci n’ait réussi à détruire nos nations, notre civilisation et nos identités. 

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Les livres de Bernard Germain cliquez ici

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2024 sera-t-elle « annus horribilis » pour Bruno Le Maire ?

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Arnaud Raffard de Brienne

Après une croissance économique poussive à 0,8% en 2023 et une perspective à 0,2% pour les deux premiers trimestres de cette année, le cap fixé par Bercy à 1,4% semble relever sinon de la folie douce tout au moins d’un optimisme de façade un rien excessif. Mais c’est l’usage et la convention et chaque année l’exécutif se croit ainsi obligé d’annoncer des objectifs inatteignables auxquels aucun observateur sérieux n’accorde le moindre crédit mais qui ont l’heur de flatter dans le sens du poil milieux financiers et citoyens. Un peu comme ces vœux qui chaque année vous augurent inlassablement fortune, amour, santé et bonheur.

Nous devrions assister cette année à une stagnation persistante de la consommation sur fond d’atonie de la production industrielle, d’une grande modération de l’investissement des entreprises et d’une aggravation de leur taux de défaillance qui devrait, selon la Banque de France, atteindre un sommet. Rappelons en passant qu’en la matière le quatrième trimestre 2023 aura été le pire depuis une trentaine d’années. Le tout dans un contexte d’inflation, certes un peu plus modérée que celle de ces deux dernières années, et de ralentissement global du commerce mondial.

L’inébranlable optimisme de notre ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, influera-t-il, même à la marge, sur l’érosion de nos parts de marché à l’exportation ? On peut en douter si l’on se réfère au déficit commercial historique de 2022 et à la désindustrialisation en profondeur de la France considérée aujourd’hui, très officiellement, comme dotée d’une économie de services.

Ajoutons à cela le ralentissement observé dans l’immobilier avec un effondrement de la construction des logements neufs, le coup de frein sur l’immobilier, la prévisible baisse du marché auto présagée par l’Association des constructeurs européens d’automobiles escomptant une croissante de 2,5% des nouvelles immatriculations dans l’Union européenne contre 12% en 2023.

Le contexte international et la convergence des difficultés et dangers ne sont évidemment pas étrangères à ces perspectives et à la nouvelle donne du monde multipolaire qui vient. C’est dans la tempête que l’on évalue les bons capitaines et leur capacité à prendre les bonnes décisions au bon moment. 2024 sera-t-elle « l’annus horribilis » de notre ministre de l’Economie au, au contraire, une opportunité de premier choix de faire preuve de ses talents ?

Source Nouveau Présent cliquez ici

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Le massacre organisé de l’agriculture

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Voici des décennies que nos braves paysans servent de variable d’ajustement – avec l’armée – dans les comptes de la nation, tous les gouvernements donnant la priorité aux affameurs de la grande distribution. Cet irréalisme est tout à la fois le résultat d’une élite qui ne sait plus ce qu’est un peuple, et de l’Union européenne qui autorise des concurrences déloyales issues de territoires extra-européens et ne respectant pas nos normes sanitaires. Par ailleurs, que peut-on exiger d’une population qui bosse soixante-dix heures par semaine pour toucher en fin de mois des queues de cerise ? Voici trop longtemps que l’on maltraite nos paysans. Aujourd’hui, ils sont dans la rue et ce gouvernement a tout à craindre, car ils n’ont rien à perdre. Une fois de plus Natacha Polony, dans Marianne, dresse un réaliste bilan.

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Source : Marianne 25/1/2024

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Flambée du prix de l’électricité : l’énorme mensonge de Bruno Le Maire

Fabien Bouglé, expert en politique énergétique. Auteur de “Éoliennes : la face noire de la transition écologique”, de “Nucléaires, les vérités cachées” et de “Guerre de l'Énergie : Au cœur du nouveau conflit mondial” le tout aux éditions du Rocher.

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Procès Beltrame : les étranges liens entre la Préfecture et un caïd des cités

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Jugé pour « association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un crime d’atteinte aux personnes » au procès de l’attentat de Trèbes et de Carcassonne, qui s’est ouvert lundi 22 janvier.  Reda El Yaakoubi entretenait des liens avec un délégué du préfet de l’Aube et bénéficiait de « traitements de faveur ».
 
Reda El Yaakoubi, le « parrain » de la cité d’Ozanam à Carcassonne, connu pour trafic de drogue, serait très proche de Radouane Lakdim. (il est suspecté de lui avoir fourni de l’argent et des armes) Le terroriste qui a tué Arnaud Beltrame, et semble adepte d’un islam radical. Lors d’une garde à vue, l’individu, qui a le droit de contacter un proche, a appelé le délégué du préfet. Ce dernier était chargé de négocier « des mises hors de cause ou des reports d’audition par la police dans des affaires où il paraît impliqué », tandis que le caïd devait obtenir « des informations relatives aux incidents dans le quartier et un retour au calme (dans la cité) ».

Reda El Yaakoubi avait ainsi pu « bénéficier d’informations couvertes par le secret professionnel », de « traitements de faveur » et « d’une forme d’impunité », relate Le Point. Le délégué lui aurait par exemple soufflé « une version à fournir à la police » lors de ses auditions.

Concernant le délégué, aucune procédure n’a été ouverte à son encontre. Il exerce désormais dans une mairie du sud de la France.

Source :   dan Le Salon Beige

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mercredi, 24 janvier 2024

Marion Maréchal et Reconquête aux côtés des agriculteurs en colère

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Agriculteurs en colère, éducation sexuelle, Yémen : Le ras le bol général s'exprime chez Bercoff

Avec Véronique Le Floc'h, présidente de la Coordination rurale de France ; Christelle Comet, vice-présidente des Mamans Louves ; Romain Molina, journaliste et auteur de journaliste et auteur de "Yémen - Les guerres des bonnes affaires – Al-Qaïda, Total et ONU, pillages organisés" publié aux éditions Exuvie.

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Rappel : JEUDI 25 JANVIER, BERNARD GERMAIN PRÉSENTE SON LIVRE "UNION EUROPÉENNE : EN SORTIR... AU PLUS VITE !" SUR TV LIBERTÉS

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Petite modification : cette émission devait initialement passer le 17 janvier, mais sa programmation a dû être reportée au jeudi 25 janvier.

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Le paysan et la « start-up nation »

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Vincent Trémolet de Villers

Des tripes et du sang jetés sur les grilles des préfectures, du foin qui pave les routes de la « start-up nation », une famille endeuillée, au petit matin, par un chauffard sous OQTF. Les roues immenses des tracteurs roulent déjà sur les confettis d’une rentrée où la politique fut trop souvent réduite à des querelles de casting, des polémiques de cour d’école. Bulles de savon à côté de la révolte existentielle de centaines de milliers de paysans qui ne veulent pas mourir.

Survivre, pour eux, c’est bien de cela qu’il s’agit. La conjugaison de normes écologiques de plus en plus contraignantes et d’une mise en concurrence intenable (puisque les concurrents n’obéissent pas aux mêmes règles) rend l’exercice suicidaire. Le harcèlement réglementaire, la surveillance sous couvert d’impératifs climatiques, le sentiment d’abandon face à l’ampleur de la tâche, la pauvreté matérielle sur fond de subventions nourrissent un peu plus le découragement. Il faut y ajouter les représentations dans lesquelles l’agriculteur français est trop souvent croqué comme une survivance des temps an- ciens, le dépôt d’une bouteille hors d’âge. Pour l’urbain méprisant, promoteur de viande de synthèse et du tracteur électrique, c’est au mieux le gardien d’un folklore qui agrémente un week-end à la campagne, au pire un pollueur qui assassine la terre, un voleur d’eau, une brute qui maltraite les bêtes : le moisi d’une société révolue. Pour l’opinion silencieuse (et majoritaire), le paysan, c’est un symbole, la figure immémoriale de la France laborieuse.

S’il est habile, Gabriel Attal parviendra à contenir la gronde avant qu’elle ne tourne en jacquerie. Supprimer la taxe sur le gazole, arracher les mauvaises normes, sortir du double jeu - non à Bruxelles et oui à Paris - sont un préalable, mais ce que nous disent ces engins agricoles sur l’autoroute résonne encore plus profondément. La puissance immatérielle du travail de la terre au pays de Sully, de Millet, de Giono est inversement proportionnelle à son déclin économique. Elle rejoint les attachements profonds et les vives inquiétudes de tous ceux qui ont quitté les champs depuis des générations mais veulent que continue la trinité de Braudel : pays, paysans, paysages.

Source : Le Figaro 24/1/2024

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Vendée : le Rassemblement vendéen aux côtés des agriculteurs et des pêcheurs

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Un communiqué du Rassemblement vendéen :

Amoureux de la France, tous aux côtés de nos paysans et pêcheurs

Amis, maraîchins, vendéens, amoureux et défenseurs de la France, l'heure est à la mobilisation générale !

En soutien à nos agriculteurs et marins-pêcheurs et à nous mêmes!

Le Rassemblement vendéen considère notre identité comme le guide d'un peuple qui sait d'où il vient et qui doit savoir où il veut aller. Nous devons perpétuer joyeusement notre héritage civilisationnel et culturel : agriculture, pêche, gastronomie, spiritualité, langues locales, ruralité…

Le Rassemblement vendéen considère la famille, les villes, les villages, les campagnes, la côte, les ports de pêche, les entreprises et les administrations locales comme cellules de base de notre société : le centralisme technocratique vide ces cadres naturels de leur substance et instaure un régime liberticide sur lequel prospèrent les magouilleurs et les puissances d'argent.

Le magma de l'Union européenne, le mondialisme et les puissances d'argent détruisent notre identité ! C'est pourquoi nous devons, ensemble nous opposer à la destruction de notre mode de vie, de nos paysages et de nos libertés !

J'en appelle donc à tout ceux qui ont fait et qui veulent faire notre Vendée et notre France, nos paysans, nos marins-pêcheurs, nos artisans et plus largement toutes les forces vivent à se rassembler le samedi 27 Janvier 2024 à 10 sur le Rond-point du Puits Tarraud à Saint Hilaire de Riez. Je compte sur tous!

Haut les coeurs !

Eric Mauvoisin-Delavaud
Président du Rassemblement vendéen

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mardi, 23 janvier 2024

Infrasons éoliennes : Attention danger

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Nord de l’Aisne, un technicien écoute les infrasons des éoliennes

Jean-Louis Rémouit passe la semaine aux confins du Laonnois et de la Thiérache, sur un territoire dans lequel les éoliennes sont très présentes. En lien avec l’association SOS danger éolien, il effectue des mesures d’écoute du son porté porté par les machines.

Jean-Louis Rémouit est administrateur de la fédération Environnement Durable 

Ne cherchez pas un casque ou un micro, Jean-Louis Rémouit écoute les éoliennes autrement. Sur la nappe vichy de la cuisine de Valérie Bernardeau, la présidente de SOS danger éolien, il a installé son ordinateur et surtout un boîtier abritant son enregistreur atmosphérique. Derrière cette dénomination un peu technique, il faut voir le principe du baromètre qui enregistre la pression générée et diffusée par les éoliennes. « Il s’agit d’évaluer la pression en Sound pressure level (SPL), unité de mesure utilisée par les physiciens. Pour faire plus simple, les SPL deviennent des hertz et des pascals comme l’unité de mesure du baromètre… », explique celui qui a une formation d’ingénieur agronome, a réalisé une thèse en mathématiques en lien avec une unité de l’armée dédiée aux radars, avant de se spécialiser dans le traitement du signal et le matériel de transmission.

Des résultats inquiétants

Autant dire, que le son, ça le connaît. « Ce que je capte avec les éoliennes, ce sont les infrasons. Ce qui peut perturber l’activité humaine ou les animaux. J’ai réalisé cette étude dans toute la Haute-Marne, l’objectif est de faire la même chose dans l’Aisne et notamment dans le nord du département où les éoliennes sont très présentes. Lorsque je réalise les écoutes, tout arrive sur le graphique, y compris le bruit du moteur du réfrigérateur de la maison. Chaque appareil à une signature particulière. Et pour les éoliennes, sur cette partie du département, je constate des résultats parfois inquiétants en fonction de la vitesse du vent », annonce encore le scientifique qui est aussi administrateur à la Fédération environnement durable, regroupant 1 700 associations de défense de l’environnement.

102 décibels

Lorsqu’il évoque des résultats préoccupants, c’est avec des chiffres à l’appui. « Quand les infrasons arrivent, ils sont traduits en pascals et en hertz, puis je réalise des calculs pour les convertir en décibels, via un logiciel d’interprétation des signaux sismiques. Ce lundi par exemple, il y avait 18 km/h de vent et nous avons dépassé à plusieurs reprises la limite d’exposition autorisée par le Code du travail. Un ouvrier en usine ou dans le bâtiment, ne peut pas être exposé à plus de 102 décibels, huit heures par jour et cinq jours par semaine. Sur ce territoire qui accueille de nombreuses éoliennes, lorsque le vent souffle même faiblement, c’est-à-dire très souvent, nous arrivons à 110, 115, voire 118 décibels 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. »

Un rapport d’écoutes

Sur les lieux de l’expérimentation, il n’y a pourtant aucun vrombissement perceptible, rien d’autre que le chant des oiseaux. Et pour cause, les premières machines se trouvent à 2 ou 5 km. « Les infrasons ne sont pas audibles, mais pèsent beaucoup sur le corps humain. Suivant les personnes, les réactions peuvent être différentes, mais le son porté par les éoliennes a des conséquences à plus de 10 km autour d’un parc. » Jean-Louis Rémouit effectue ces mesures afin de soutenir l’action des anti-éoliens. « Devant la justice, cela peut jouer. Nous avons de quoi justifier les troubles sur la santé. Les spécialistes et les médecins savent bien que les phénomènes vibratoires sont différents selon les personnes, mais ont des conséquences malgré tout. » Un rapport d’écoutes devrait ainsi voir le jour prochainement.

Source : Samuel Pargneaux dans l'Union du 17 janvier 2024

18:11 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Exemple d’insécurité urbaine : Montbéliard

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Célestine Gentilhomme, journaliste au Figaro, a enquêté dans la ville de Montbéliard (Doubs) pour évaluer les problèmes d’insécurité qui la mine. La maire LR, Maire-Noëlle Biguinet, en poste depuis dix ans, se bat avec ses moyens, trop limités, dont elle dispose. Car, note-t-elle, si la sécurité est du ressort de l’Etat, force est d’avouer que les élus locaux doivent, malgré eux, se substituer aux obligations de l’Etat en la matière. Elle a donc multiplié le nombre de policiers municipaux et installés des caméras dans les quartiers difficiles qui ont été rapidement détruites. Gérald Darmanin, à l’Intérieur, se contente de boucher les trous faute d’avoir une vision politique globale en matière de sécurité incluant la justice. La France de demain est là, en pire si rien n'est fait.

Lire la suite ICI

Source : Le Figaro 23/01/2024

14:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Véronique Bourgninaud : Les mensonges des idéologies de la déconstruction

Quelle drôle d'époque qui désespère d'elle-même et des hommes, alors même qu'elle est censée célébrer la jouissance ! L'heure n'est plus à l'insouciance. La préservation de la planète, la volonté de ne pas dévaloriser la femme, la difficulté d'octroyer du temps et de l'argent pour élever des enfants, obligent l'homme moderne à se déconstruire et à se réinventer. Ces bonnes intentions ne font cependant pas son bonheur, bien au contraire, elles engendrent un antihumanisme nourri désormais du transhumanisme, des études de genre et de l'antispécisme en particulier.

Dans son ouvrage "Contre la détestation de l'homme par l'homme", Véronique Bourgninaud, docteur en histoire moderne, démontre que ces nouvelles prétentions à l'amélioration physique et morale du genre humain sont des impasses. Plus grave, elles ne font qu'accentuer le désespoir des hommes et la détestation de l'homme par lui-même. L'auteur nous livre des clés pour surmonter le vertige du vide qui nous guette et retrouver le sens de la transcendance si intimement liée à l'homme. 

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11:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La grande détresse du sport français

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Patrick Parment

Les prochains Jeux olympiques auront donc lieu en France en cette année 2024 du 26 juillet au 11 août prochain. Ce sera moins la fête du sport que celle du fric et le reflet des tensions qui crispent le monde actuellement. La Russie est interdite de séjour, mais pas la Chine ; sans compter les relents du conflit israélo-palestinien qui pourraient se manifester à travers des attentats divers et variés. Ce sera également pour la France un énorme déficit financier en raison des investissements colossaux qu’il a fallu consentir. Et côté retour sur investissement, on sait déjà qu’il sera négatif. Cependant, on pourrait passer outre si cette manifestation nous permettait de crier « Cocorico », mais ça ne sera pas le cas.

Car le sport français est en pleine déshérence. Les seules victoires que l’on récolte relèvent d’exploits individuels dans des sports nécessitant des techniques particulières (perche, canoë kayak, etc.). Par ailleurs, alors que la plupart des pays alignent des nationaux et non pas des populations exogènes, la France semble bien faire figure d’exception. En athlétisme on note une forte majorité de Noirs et de Maghrébins. À l’image du foot-ball. On ne retrouve les Gaulois que dans les sports individuels et très techniques (équitation, gymnastique, vélo).

La France manquerait-elle d’athlètes de haut niveau ? Certainement pas ! Mais les Gaulois se sont détournés et se détournent de ce monde où l’on commence à poil et termine démuni. Par ailleurs, le sport n’échappe pas non plus à l’ère culturelle dans laquelle il baigne. Ni à ce qu’il représente. La plupart des sports sont nés d’intentions guerrières. Mais longtemps, le sport n’a pas existé en tant que tel. À Athènes comme dans la Rome antique, il avait pour but d’honorer les dieux, de célébrer le corps et de louer les meilleurs. Il avait également une vocation esthétique comme en atteste la statuaire de cette époque qui servira de modèle à la Renaissance. En Europe, le sport tel que nous l’entendons aujourd’hui n’avait pas cours. Seuls le cheval et la marche à pied animaient les armées. Et dans la noblesse on ne pratiquait que le cheval et l’escrime.

En fait, le sport tel que nous l’en-tendons est né au XIXe siècle dans l’Angleterre industrielle et capitaliste. Avec l’avènement de la IIIe République il s’est actualisé. Et c’est ainsi qu’est apparue la distinction sport d’élite et sport de masse. Comme l’ont bien vu Karl Marx dans Le Capital et Guy Debord dans sa Société du spectacle, le sportif de haut niveau est de-venu avec le capitalisme, une marchandise. Sous couvert d’être aussi l’étendard des nations. À travers le sport de haut niveau, les nations brandissent ce qui n’est rien moins qu’une forme de nationalisme exacerbé. En apparence du moins. Mais sur le fond, le sport olympique est dominé par l’argent.

Nationalisme. Certains contesteront peut-être cette vision mais tous ces athlètes, aux Jeux olympiques ou ailleurs, défendent d’abord une identité nationale. Encore faut-il en être convaincu. Car la dérive est grande aujourd’hui dans le sport de haut niveau de privilégier la performance au détriment du lieu et de la manifestation dans laquelle elle se produit. On le voit bien aux États-Unis mais aussi en Europe maintenant, où les athlètes noirs sont surreprésentés dans certaines disciplines, en particulier celles de l’athlétisme. Une surreprésentation qui n’est pas sans soulever diverses questions : il y aurait sans doute quelques études à consacrer à ce phénomène.

Paris 2024, la belle illusion…

Jadis, les natifs, les autochtones, les Européens « blanc de blanc », défendaient les couleurs de leur pays et en tiraient quelque fierté. Or, cette fierté, elle se forge à l’école. Car l’école est le creuset où se construit l’identité de l’enfant et noue son appartenance à un territoire, une culture, une âme. A partir du moment où cet enseignement est rompu comme c’est le cas aujourd’hui, il est inutile de demander aux élèves de défendre une identité qui ne s’affirme pas dans l’enseignement que l’on reçoit. Si les instits de la IIIe République n’avaient pas fait leur boulot, les petits paysans de Bretagne et d’ailleurs ne seraient pas partis au casse-pipe en 1914.

En 1940, les Français n’étaient plus très chauds pour engager la « drôle de guerre ». On connaît la suite.

Non seulement l’Éducation nationale ne remplit plus son rôle mais encore ce qui reste de volontaires pour s’engager dans l’armée sont le plus souvent des chômeurs. Si l’on ajoute à cela, la volonté de nos gouvernants d’encourager le métissage dans le sport – et ailleurs aussi - afin de nous faire accroire que ce pays a une vocation multi-culturelle et multiraciale, il s’est fourré le doigt là où il ne faut pas. Tous les sondages le montrent de manière systématique : les Français en ont ras-le-bol de l’immigration et de tous les dommages collatéraux qu’elle induit. Le sport, en France – et dans toute l’Europe je suppose -, est aussi une manière pour les immigrés de sortir du lot et gagner leur vie depuis que les instances internationales ont levé l’interdit d’avoir des athlètes étrangers dans ses rangs. Ouvrant ainsi la porte à sa mondialisation et anéantissant du même coup sa signification patriotique. Il ne faut pas s’étonner dès lors, si la France affiche de si médiocres performances.

Au regard des derniers résultats des Français aux championnat d’Europe, ces Jeux olympiques à venir vont s’achever dans d’une nouvelle Bérézina. De Coubertin, il ne reste que le nom d’un stade.

Article publié dans le n°65 de la revue Synthèse nationale cliquez ici                                

11:09 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 26 janvier, de 17 h à 19 h, Gabriele Adinolfi dédicacera son nouveau livre "Le défi au futur" à la Nouvelle Librairie à Paris

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La Nouvelle Librairie

11, rue de Médicis 75006 Paris

En savoir plus sur le livre cliquez ici

10:44 Publié dans Gabriele Adinolfi, Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution cette semaine du n°65 (hiver 2023-2024) de la revue Synthèse nationale

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Sommaire

N°65 (HIVER 2023-2024)

P 2 - ÉDITORIAL “FRANCE LIBÈRE-TOI !” Roland Hélie

P 6 - GENÈSE ET ESSENCE D’UN TEXTE LIBERTICIDE Didier Lecerf

P 14 - PANIQUE À BORD DE  L’UNION EUROPÉENNE André Posokhow

P 21- ILS NE VEULENT RIEN VOIR Pieter Kerstens

P 25 - METTRE FIN AU TOURISME SOCIAL Franck Buleux

P 30 - NOS « CHÈRES TÊTES BLONDES » Erwan Houardon

P 36 - LA GRANDE DÉTRESSE DU SPORT FRANÇAIS Patrick Parment

P 40 - L’ARCHIPEL DU GOULAG, LE DÉBUT DE LA FIN DE L’URSS Michel Festivi

P 46 - DERRIÈRE VICHY, C’EST LA FRANCE QU’ON ATTAQUE André Posokhow

P 55 - LA CHRONIQUE DE PHILIPPE RANDA

P 58 - RENCONTRE AVEC MAÎTRE PIERRE-MARIE BONNEAU Nicolas Zahar

P 69 - DERRIÈRE LES ATTAQUES CONTRE DEPARDDIEU Charles-Henri d’Elloy

P 70 - LES LIVRES AU CRIBLE Georges Feltin-Tracol

P 78 - BIOGRAPHIES LITTÉRAIRES Daniel Cologne

P 84 - LES FLANERIES DE SCIPION DE SALM

P 88 - LA LIBRE CHRONIQUE Charles-Henri d’Elloy

P 94 - LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayriges de Olmetta

P 98 - LA VIE DE SYNTHÈSE NATIONALE Guirec Sèvres

P 105 - BULLETIN D’ABONNEMENT

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10:36 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 22 janvier 2024

L'ANNÉE DU «GO FUCK YOURSELVES»

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12:40 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès de Grégoire Dupont-Tingaud, militant de la cause nationale

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C'est avec une très grande tristesse que nous apprenons le départ vers l'au-delà de Grégoire Dupont-Tingaud.

Grégoire avait 54 ans, il était, depuis sa jeunesse, un militant actif de la cause nationaliste. Il participa avec enthousiasme à toutes les campagnes menées pour tenter de sauver notre nation et notre civilisation. La dernière en date étant celle d'Eric Zemmour en 2022.

Il faut dire qu'il avait de qui tenir puisqu'il était le fils de notre Chère Claudine Dupont-Tingaud, elle-même infatigable et exemplaire combattante depuis le soulèvement Algérie française de 1961.

Toutes nos pensées affectueuses vont aujourd'hui vers Claudine, vers son épouse et ses enfants.

R H

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11:14 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 21 janvier 2024

Marche Pour La Vie 2024

 

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Lire le reportage publié sur Riposte laïque cliquez là

21:06 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Italie : la Cour de cassation estime que le « salut fasciste » n’est pas un délit dans le cadre d’une commémoration

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Source Le nouveau Présent cliquez ici

Alors qu’elle se déroule depuis de très nombreuses années, dans les mêmes conditions, sans le moindre incident, la commémoration romaine de la tragédie d’Acca Larenzia a cette année suscité de très nombreuses réactions scandalisées dans le monde politico-médiatique international, sans doute dans le but de tenter d’embarrasser le gouvernement de Giorgia Meloni.

Chaque année, en effet, des centaines de militants de la droite radicale italienne se réunissent le 7 janvier, à Rome, pour honorer la mémoire de trois jeunes militants du MSI assassinés en 1978, au cours des tragiques « années de plomb ».

Franco Bigonzetti et Francesco Ciavatta, âgés de 20 et 18 ans, ont été assassinés devant le siège du Mouvement social italien via Acca Larenzia, dans le quartier de Tuscolano par des militants d’extrême gauche. Stefano Recchioni, 20 ans, lui, a été tué quelques heures plus tard par un capitaine des carabiniers au cours d’affrontements avec la police lors d’une manifestation organisée sur le lieu de l’attentat, la situation ayant dégénérée après qu’un policier a jeté sa cigarette dans la flaque de sang entourant l’une des victimes.

Cette année, étrangement, les images de la commémoration ont fait le tour de la planète, les médias redoublant de propos horrifiés et scandalisés, semblant découvrir un événement pourtant traditionnel à Rome, laissant par ailleurs penser que sa tenue et son ampleur résulteraient de la récente prise de pouvoir de Giorgia Meloni et de son parti toujours qualifié de « post » ou « néo » fasciste malgré tous les gages donnés par la présidente du Conseil italien pour se dédouaner de cet héritage. Au coeur de la polémique, les « saluts romains » effectués par les participants à l’énonciation du nom de chacune des victimes de la haine d’extrême-gauche. Une gestuelle traumatisante pour les éditorialistes de gauche, hurlant au retour de «la bête immonde» et des «heures les plus sombres » de l’histoire. Pour toutes ces belles âmes, il convenait de toute urgence de mettre en place une répression implacable contre ces jeunes hommes et femmes qui venaient, dans un silence religieux et sans la moindre violence, honorer la mémoire de trois jeunes militants victimes de lâches assassins qui n’ont jamais été retrouvés ni évidemment condamnés.

Las, la Cour de Cassation italienne, réunie en urgence face au psychodrame médiatique, a estimé que le « salut fasciste » n’était pas un délit dans le cadre d’une commémoration et qu’il ne pouvait susciter des poursuites pénales que s’il était lié à une volonté de refonder le parti fasciste.

Pour CasaPound Italia, le mouvement organisateur de la cérémonie : « la décision de la Cour de cassation est une victoire qui met enfin un terme à une série d’accusations et d’indignes polémiques qui ont éclaté après la commémoration d’Acca Larenzia ».

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13:56 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |