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dimanche, 04 février 2024

Parabole du militant, le semeur politique...

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Aujourd'hui dimanche, c'est la fête de la Sexagésime, l'approche du carême et de Pâques… Dans son Évangile, au chapitre 8, saint Luc nous conte la parabole du semeur. Je cite : « Ce jour-là, une foule énorme, accourue des villes voisines, s'é­tait rassemblée autour de Jésus, qui leur proposa cette parabole : "Un cultivateur sort pour semer son grain. Tandis qu'il jette la semence, du grain tombe sur le chemin; les passants l'écrasent et les oiseaux du ciel viennent le manger. Il en tombe aussi en terrain pierreux, mais, à peine levé, il se dessèche faute d'humidité. Il en tombe encore au milieu des broussailles; mais les épines poussent en même temps et l'étouffent. Enfin, il en tombe dans la bonne terre ; là, il pousse bien et rapporte au centuple. Et Jésus de conclure :  Si l'on a des oreilles, c'est pour entendre."»

Revenons à nos préoccupations plus terre à terre et, sans complexe, transposons cette belle parabole… « Les disciples de Jésus lui demandèrent alors quel était le sens de cette parabole... »

• La "semence", c'est la parole et l'expérience de nos Anciens. L'enseignement qui tombe sur le chemin de nos concitoyens, cela représente les gens qui se contentent d'écouter le discours du militant. Surviennent nos ennemis qui les effraient  et les empêchent de leur résister et ainsi d'être sauvés.

• "Le terrain pierreux", ce sont les gens qui écoutent les militants et qui accueillent avec joie leur parole mais sans qu'elle ne prenne racine. La conviction ne tient pas longtemps et, au premier obstacle, ils abandonnent.

• "Le terrain broussailleux", ce sont ceux qui écoutent, se documentent, suivent l'actualité, … mais sont étouffés par leurs affaires, leurs intérêts personnels, les plaisirs de la vie… Et, ils quittent le bon combat, et ne donnent jamais de bons fruits.

• Enfin, il y a ceux qui écoutent la bonne parole et la mettent en pratique sur le terrain, dans leur famille, dans leurs entourages... Les combattants de la vérité, ceux qui restent droit devant les réalités du monde et de la vie. Les cœurs fiers et bien disposés. Leur persévérance portera un jour ses fruits ! 

Osons conclure par une citation de Jean Mabire, grand militant d'une autre paroisse : « Nous ne changerons pas le monde, il ne faut pas se faire d’illusions, ce n’est pas nous qui allons changer le monde, mais le monde ne nous changera pas. »

J L

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19:01 Publié dans François Floc'h | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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12:38 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution du nouveau numéro (n°44) de la revue Livr'arbitres

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12:36 Publié dans Livres, Revue de presse, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 03 février 2024

Gestion par le pouvoir des colères du monde agricole : déjà, en 1964, François Brigneau mettait en garde les paysans…

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« Tout a été dit et fait, et aucune littérature ne peut dépasser le cynisme de la réalité. On ne soûle pas avec un verre celui qui a déjà bu une barrique ».

Anton Tchekhov

Synthèse nationale

Le 17 avril 1964, deux ans après la mise en place de la politique agricole commune (PAC) – et la fin dramatique de l’« Algérie française » -, François Brigneau (1) écrit un article intitulé Paysans, il vous a déjà compris ; le « il » en question étant, bien sûr, le général De Gaulle dont le journaliste s’employait alors à pourfendre les « impostures »… 60 ans plus tard, il nous paraît intéressant de publier des extraits de ce texte qui n’a rien perdu de sa profondeur et de son actualité… Il suffit juste de remplacer le général De Gaulle par Emmanuel Macron et Ben Bella par l’Ukraine ou « le Zambèze »…

 « (…) Aujourd’hui, enfin demain, il a accepté de recevoir les paysans désireux de lui parler du pays. (…) Le soldat donnera audience aux laboureurs. Dès lors que son intérêt coïncidera avec son bon plaisir, évidemment. (…) Si ce général ne s’appelait pas De Gaulle, une semblable entrevue prêterait à la composition d’un grand tableau, dans le genre de ceux de Prud’hon. Au milieu, le vieux chef, méditatif. Autour de lui, les paysans assemblés, tête nue, à la fois fiers et respectueux. Il y a le berger des montagnes et le vacher des grasses prairies vertes ; l’homme des océans à blé et celui des petites cultures dont les lopins changent de visage au gré des saisons, comme les calendriers changent d’images. (…)

Tous parlent à leur tour ; tous disent le drame de leur vie qui tient à ceci : dans un monde qui ne croit qu’à l’avenir, ils ne veulent plus appartenir au passé ! Pendant des siècles, l’inconfort, l’éloignement, la solitude, le travail jamais terminé, l’insécurité chronique, la misère, le silence, la lenteur avaient été leur lot. En contrepartie, ils éprouvaient cette mystérieuse satisfaction organique que donnent à l’homme le sentiment de sa responsabilité, celui de la liberté et l’accord de son mouvement profond avec celui de la terre. Certes, rien de cela n’était dit, par pudeur ou faute de mots. Mais l’important n’est pas de formuler ; l’important est de ressentir. Et c’était parce qu’ils éprouvaient dans tout leur être cette joie inexprimable qu’ils demeuraient des paysans.

Et puis, petit à petit, ce sort a cessé de leur paraître normal. Les guerres, les invasions, le grand brassage des populations, l’automobile, le cinéma et la télévision ont changé leur état d’esprit. La vie des villes n’est plus apparue comme un mirage inaccessible. Dans d’autres nations, (…) des paysans la connaissaient – ou semblaient la connaître. Pourquoi pas le paysan français ? C’était la question qu’ils voulaient poser au vieux chef. Garder l’accord avec leur sol, gagner l’accord avec leur siècle, telle était leur ambition. Était-ce possible de vivre comme dans des villes à la campagne ? Était-ce possible de demander un peu plus de confort, de sécurité, de bien-être sans perdre pour autant la liberté ? Était-ce trop exiger que de vouloir des écoles pour leurs enfants, des hôpitaux pour leurs malades, des distractions pour leurs femmes ? En vingt siècles, ils avaient puissamment aidé à faire la France. Il était temps que la nation cessât de les considérer comme des étrangers, des exilés de l’intérieur.

Sur ce thème, on imagine facilement le dialogue qui eût pu s’instaurer et sa portée. Il eût fallu, pour cela, un général moins amoureux de la manœuvre. Hélas, (…) ce qui lui importait, ce n’était pas d’écouter les paysans, de connaître leurs travaux et leurs jours, de découvrir une réalité dont nous ne pouvons rougir. Ce qui lui importait, c’était de se servir de cette demande contre eux, dans cette petite guerre civile qu’on appelle la politique.

Les benêts ! Ils demandaient audience au chef de l’État parce qu’ils croyaient à son sens de la justice, de l’intérêt national, peut-être même à sa bonté (…). Ils pensaient : "Ah ! Si le général savait (…) nos terres abandonnées par une jeunesse qui fuit la pauvreté de nos existences… S’il savait que nous vendons notre lait moins cher que l’eau minérale… S’il savait ce qu’il faut d’efforts, de soins, de tracas, de périls pour élever des bêtes et mener une récolte à son terme… S’il savait les dangers qui nous menacent, la grêle, le gel, la maladie, l’effondrement des cours, les marchés engorgés, les saisons rigoureuses qui font les récoltes catastrophiques et les récoltes trop généreuses qui mettent la ruine dans la maison… S’il savait comme il est difficile de moderniser une exploitation, les périls nouveaux auxquels on s’expose en le faisant, les traites, les réparations imprévues qui chargent un budget, l’angoisse qui vous saisit, le sommeil qui vous fuit quand la preuve s’établit que plus vous travaillez et plus vous allez manger d’argent ! (…) Ah ! Si le général savait ça, sûr qu’il ne tolérerait pas que ça dure davantage ; sûr qu’il préférerait nous aider plutôt que Ben Bella. Il suffira de lui expliquer, (…) de lui dire, avec nos mots à nous, et il comprendra (…).

Pauvre Jacques Bonhomme, t’as qu’à croire… Tu vas vite apprendre (…) que le général parle mais n’écoute pas. Si, par extraordinaire, il écoutait, c’est qu’il n’aurait pas trouvé de meilleur moyen pour ne pas entendre. Là est son génie : dans l’utilisation magistrale de la ruse. Qui veut la fin veut les moyens, dit-on. Lui veut tous les moyens sans fin et sans aucune fin ! Tout ce qu’il a vu, dans cette entrevue accordée mais sans date fixée, c’était le moyen de ne pas obtenir la fin : à savoir la solution des problèmes agricoles. C’était aussi le truc qui lui accordait une petite victoire : la remise à une date ultérieure (…) de la grève des fourches. Le bénéfice est court, sans doute, et cette duplicité ne fait que renvoyer l’affaire au mois prochain. C’est vrai, mais il est vrai aussi que ce personnage dont on nous dit tant qu’il se modèle pour l’éternité, réussit surtout dans la bricole à la petite semaine ».

(1) François Brigneau (1919-2012) a été l’une des grandes plumes de la droite nationale des années 1950 jusqu’au début des années 2000 (notamment à Minute, Initiative nationale, Présent, National hebdo et Le Choc du Mois). Ce journaliste, grand reporter et écrivain a été également un militant et responsable politique d’Ordre nouveau, du Parti des forces nouvelles et du Front national.

11:29 Publié dans Didier Lecerf | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La mairie socialiste du 10ᵉ arrondissement tente d’interdire la cérémonie des Bobards d’Or !

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Source Polémia cliquez là

Dans un communiqué de presse daté du 28 janvier, la maire socialiste du 10ᵉ arrondissement Alexandra Cordebard appelle le Théâtre du Gymnase Marie Bell à interdire la prochaine cérémonie des Bobards d’Or, que nous organisons dans ce théâtre depuis plus de 8 ans.

La cérémonie (parodique) des Bobards d’Or distingue, chaque printemps, les journalistes et les médias qui n’hésitent pas à mentir délibérément pour servir le politiquement correct. Elle est organisée depuis 2010 par l’association Polémia. L’édition 2024 se tiendra le 5 mars avec une nouveauté : les mensonges des personnalités politiques, répercutés dans leurs médias alliés, seront présentés au public.

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Ce communiqué diffamatoire d’Alexandra Cordebard reprend un certain nombre de mensonges que les bobardeurs professionnels ont répandu depuis des années. Bien loin des fantasmes, la réalité est tout autre : jamais Polémia n’a été poursuivi pour des propos qui tombent sous le coup de la loi.

Suite à ce communiqué, le Théâtre du Gymnase Marie Bell à décidé de refuser d’accueillir l’événement alors même que nous traitons depuis plusieurs mois avec eux et que la salle a déjà été réservée et entièrement réglée.

Nous ne céderons ni aux pressions de l’extrême-gauche parisienne, ni aux mensonges visant à nous salir.

Pour la 15ᵉ année consécutive, la cérémonie des Bobards aura lieu ! Rendez-vous le 5 mars prochain pour démasquer les propagandistes du système médiatique et leurs complices !

Réservez vos places cliquez là

10:53 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution du nouveau numéro de la revue Eléments

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Chez votre marchand de journaux, 7,90 €

09:15 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du Chaos

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Pour télécharger, cliquez ICI

08:47 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Soutien total à Pierre Cassen et à Riposte laïque persécutés par Darmanin, le liberticide de la Place Beauvau

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Dans sa folie liberticide à l'encontre des forces nationales et identitaires, le sinistre Darmanin semble faire une fixation contre le mouvement Riposte laïque cliquez ici qui, depuis des années, se bat sans relâche pour défendre la France française.

Ces jours derniers, sa police s'est acharnée contre des militants de RL et contre son fondateur, notre Ami Pierre Cassen. Il veulent le faire taire... C'est donc bien naturellement que nous lui donnons aujourd'hui la parole.

S N

Synthèse nationale : Vous êtes le fondateur de Riposte Laïque, un site bien connu par la plupart de nos lecteurs. Vous alertez, depuis quelques jours, vos lecteurs, sur ce que vous appelez un acharnement judiciaire contre certains de vos contributeurs, et notamment Charles Demassieux. Pouvez-vous expliquer à nos lecteurs ce qui se passe.

Pierre Cassen : Je précise d'abord que Charles Demassieux est un de nos piliers. Il a rejoint l'équipe de Riposte Laïque depuis plus de dix ans, il est sur le terrain le samedi pour couvrir toutes les manifestations parisiennes qui se déroulent, parfois dans des conditions tumultueuses, et il assume des fonctions essentielles sur le site. Il a eu la malchance, dans la Creuse, où il a décidé de s'installer, quittant la région parisienne, d'être confronté à une agression de vieille dame de 83 ans par un repris de justice, alcoolique et toxicomane. Pour protéger sa voisine, il a dû blesser, légèrement, l'agresseur. Et depuis, sa vie devient un enfer. Garde à vue de 48 heures, obligation de retourner en région parisienne, contrôle judiciaire, puis procès inique. Le juge Humbert paraît avoir fait siennes les théories du Syndicat de la Magistrature, puisque Charles a été traité comme un accusé, et l'agresseur comme une victime. Résultat : 18 mois de prison pour Charles, dont 3 mois ferme, 3500 euros de dommage et intérêts à verser au toxicomane, 5 ans d'inéligibilité, 3 ans d'interdiction de détention d'armes. Quant à l'agresseur, il s'en sort avec 38 euros d'amende et des travaux d'intérêts généraux !

Oui, mais n'avez-vous pas créé les conditions pour que le juge Humbert, quoi qu'on en pense, reçoive des menaces de mort , qui ont justifié une nouvelle garde à vue pour votre contributeur ?

Charles, soutenu par la rédaction de Riposte Laïque, a choisi de témoigner, et de tout dire sur la réalité de ce procès. Bien sûr, le verdict a indigné nombre de Français, qui ne supportent plus la dérive idéologique de trop de magistrats, influencés par les thèses du Syndicat de la Magistrature. Et des insultes, voire des menaces, ont fleuri sur certains sites. Mais en aucun cas, elles ne sont le fait de Charles Demassieux et de Riposte Laïque. D'ailleurs, notre ami, interrogé sur Sud Radio par André Bercoff, avait pris ses distances avec ces pratiques qui ne sont pas les nôtres.

Mais alors pourquoi a-t-il été arrêté de nouveau, placé en garde-à-vue, dans le même temps où vous subissiez une perquisition à votre domicile ?

On ne peut comprendre cette affaire si on n'intègre pas l'acharnement politico-judiciaire mené contre la mouvance patriote, sous la houlette de Darmanin et de Dupond-Moretti, avec un sérieux durcissement depuis le mois de juin dernier, après les émeutes ethniques. Les dissolutions plus grotesques les unes que les autres se multiplient, et les interdictions de manifestation se succèdent. C'est dans ce contexte que le régime croit le moment venu de se farcir Riposte Laïque et son fondateur. Charles Demassieux, contre lequel ils s'acharnent, n'est pour eux que le moyen de frapper notre site, et de me faire payer mon engagement quotidien contre leurs multiples trahisons...

En effet, ils ont profité de la situation pour vous perquisitionner, et vous saisir votre matériel, ordinateurs et téléphone portable. Pourquoi s'en sont donc pris à vous ?

Je suis le fondateur de ce site, que j'ai présidé de 2007 à 2012. Et depuis, j'ai passé la main, tout en continuant à amener mon savoir faire à Riposte Laïque. En 2016, Cazeneuve et Taubira avaient décidé de me faire tomber, et avaient orchestré une première perquisition chez moi. Mais l'affaire avait échoué, et des attendus de la Cour de Cassation avait rétabli les faits. Le pouvoir n'a pas digéré ce camouflet. Il saisit donc le prétexte de menaces de mort contre un juge pour m'impliquer, de manière grotesque, dans ces pratiques, et cherche à me confondre comme réel responsable de Riposte Laïque, et donc redevable de toutes les plaintes qui continuent de tomber contre nous. Ils veulent me faire endosser le fait que je serais le fameux Léon, de Réseau Libre, rien de moins !

Et comment voyez-vous la suite de cette offensive ?

Elle ne s'arrête pas là. Il y a une semaine, Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine, et par ailleurs ma compagne, s'est vue notifier par sa banque la radiation du compte de son association. Et hier, soir, le trésorier de Riposte Laïque me signifiait que le Crédit Agricole, chez qui nous étions depuis plus de quinze ans, nous a fait savoir par lettre recommandée qu'ils nous viraient. Un sort déjà connu par nombre de résistants patriotes, comme Génération Identitaire et Nemesis. C'est donc cette fois l'attaque de la diligence. Et n'oublions pas l'offensive contre Jean-Yves Le Gallou et les Bobards d'Or, qui, depuis dix ans, ridiculisent les journaleux de France et de Navarre et leurs "fake news". Sous la pression de la municipalité socialiste de Paris et de l'extrême gauche, le théâtre qui les accueille tous les jours n'a pas voulu d'eux. De quoi vous donner raison, à Synthèse nationale, quand vous publiez, dans votre dernier trimestriel cliquez ici, la tête de Darmanin avec ce titre "Le Liberticide". Je rappelle à cette occasion que "Moussa" est le premier homme de droite à avoir déposé plainte contre nous... et qu'il s'est ramassé de première, à Lille.

Comment voyez-vous la suite ?

Ils sont partis pour aller au bout. Je n'exclus pas la volonté du régime de bloquer Riposte Laïque, comme ils l'ont déjà fait pour d'autres sites. A mon avis, je vais avoir droit à un procès visant à me faire tomber, et à me tuer socialement, c'est le sens de tout ce qu'ils font. Maintenant, j'ai la chance d'avoir un bon avocat, Maître Pichon, Riposte Laïque a une équipe soudée d'une trentaine de contributeurs, qui, tous les ans, décortiquent l'actualité avec un autre regard que BFM, je fait une vidéo tous les jours qui connaît pas mal de succès, donc, s'ils veulent nous faire taire, je leur souhaite bien du plaisir !

Propos recueillis par Guirec Sèvres.

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Sur les Partisans de Dieu du Yémen

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Dans une vidéo datant de 2006, Judith Butler affirmait que « le Hamas et le Hezbollah sont des mouvements sociaux progressistes et font partie de la gauche mondiale ». L’essayiste queer étatsunienne montrait une maîtrise des problématiques de l’« Orient compliqué » aussi brillante que ses connaissances de l’intimité masculine. Cette prise de position entérina l’existence universitaire de l’islamo-gauchisme. On attend cependant la manifestation des wokistes pour le djihad ou la mise en vente des abaya pour hommes déconstruits.

Dans sa déclaration, Judith Butler aurait pu y inclure les Partisans de Dieu au Yémen qui existaient depuis déjà deux ans. Le monde entier les a découverts, le 19 novembre 2023, quand, caméras GoPro sur la poitrine, des commandos s’emparent du navire de transport Galaxy Leader et le détournent vers le port de Hobeida. Cette action est un acte de propagande réussi. Le monde médiatique parle dorénavant des « milices Houthi ». C’est un abus et une facilité de langage pour une opinion qui ignore le contexte politique agité en « Arabie Heureuse », nom antique du Yémen.

Ansar Allah, ou en arabe « Partisans de Dieu », sont fondés vers 2004 par Hussein Badreddine el-Houthi (1960–2004). Ce mouvement s’inscrit dans la complexité socio-culturelle du Yémen. La société traditionnelle yéménite se structure en effet autour des clans, des tribus et des fédérations tribales aux fortes traditions guerrières. À cette sociologie complexe s’ajoute la consommation généralisée et coutumière du khat, une « plante à mâcher » aux effets psychotropes majeurs. Il faut y ajouter les effets d’une histoire récente avec la division jusqu’en 1990 entre la République arabe du Yémen (ou Yémen du Nord) et la République démocratique populaire du Yémen (ou Yémen du Sud pro-soviétique). L’union de 1990 est rompue dès 1994 avec les velléités sécessionnistes du Sud contre la mainmise des « Nordistes ». Or le président Ali Saleh réprime avec violence ce séparatisme en moins de deux mois. Son autoritarisme irrite très vite de nombreuses tribus dont celle des Houthi du Haut-Yémen près de la frontière saoudienne.

Militant politique et prédicateur religieux, Hussein Badreddine el-Houthi conteste les autorités en place. Son assassinat déclenche la révolte de la région de Saada qui engendre ensuite une féroce guerre civile d’une rare intensité. Pour faire simple, les Partisans de Dieu affrontent non seulement les troupes gouvernementales, mais aussi les Frères musulmans,  les indépendantistes du Sud ainsi que les islamistes de Daech et d’Al-Qaïda (qui se détestent réciproquement) sans oublier l’intervention armée de l’Arabie Saoudite, des Émirats arabes unis, du Soudan, de la Jordanie, du Qatar et de l’Égypte. Au cours de leur avancée vers la capitale Sanaa, Ansar Allah amalgame en leur sein des unités nassériennes et baasistes. N’oublions pas qu’en 1990–1991, le Yémen soutenait l’Irak de Saddam Hussein dans la formation du gouvernorat du Koweït.

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00:12 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les EBE, ces petits hommes gris bien réels

Jimmy-Guieu-186x300.jpegLa chronique

de Philippe Randa

Le romancier Jimmy Guieu, un des pionniers de l’ufologie française dans les années 1950, avait enthousiasmé des milliers de lecteurs avec ses romans de science-fiction, puis avec des livres consacrés aux EBE (Entité biologique extraterrestre) qui dénonçaient, selon lui, un péril bien réel : la domination des Terriens (nous) par des êtres venus de l’espace (eux) ; il les avait nommé maladroitement les « petits gris » et ses détracteurs s’en gaussaient comme on peut l’imaginer en les identifiant ­ – Ah ! ah ! – aux escargots de Bourgogne.

Oui, contrairement à bien d’autres romanciers, Jimmy Guieu y croyait dur comme fer, lui, à la présence et à la dangerosité de ces… êtres-là ! Et quelques autres « Terriens » en étaient tout aussi convaincus que lui et, comme on l’imagine, brocardés derechef « complotistes ». Forcément.

Oui, mais ! Force est de constater que Jimmy Guieu avait bel et bien raison, n’en déplaisent à tous les moqueurs d’hier et d’aujourd’hui !

Les EBE existent bel et bien… et sont bel et bien aussi puissants et nuisibles qu’il les a décrits, même s’ils ne viennent pas de l’espace (jusqu’à preuve du contraire, toutefois), qu’ils ne sont pas armés de sabre-lasers et qu’on ne les identifie pas à leur petits doigts tordus (comme dans la série télévisée Les Envahisseurs) ou à leurs oreilles pointues (comme dans Star Trek).

Non, les EBE, plus communément nommés « petits hommes gris » (notamment par le journaliste Pascal Praud) sont reconnaissables à leurs études dites supérieures – soit pour le vulgum pecus celles des « grandes écoles » : HEC, ESSEC, Normal Sup, Polytechnique, ENA, IEP, ENS, etc. – et leurs armes sont les diplômes qu’obtiennent quelques 81 % des inscrits en premier cycle de l’enseignement supérieur. Ce n’est pas rien, 81 %, n’est-ce pas ! même si c’est un peu moins qu’au baccalauréat, toutefois (95,7 % en 2023 !), mais qu’on se rassure pour les 19 % de recalés : « Face à l’échec, les réorientations offrent des alternatives vers la réussite », selon une étude publiée par la DEPP (Direction de l’Évaluation, de la Prospective et de la Performance) du ministère de l’Enseignement supérieur.

Les EBE de nationalité française, armés de leurs diplômes, n’ont alors que l’embarras du choix de carrière : « Plus de 60 % des P-DG du CAC 40 étaient issus d’une grande école française en 2018. La plupart des présidents de la République sont, sous la Ve République, diplômés d’au moins une grande école. François Hollande est notamment diplômé de trois d’entre elles. Les diplômés des grandes écoles jouent un rôle majeur au sein des cabinets ministériels sous la IVe République et la Ve République, qui composent 52 % des membres des cabinets durant les vingt premières années de cette république. Sous la IIIe République plus de 57 % des membres des cabinets étaient diplômés de la seule École libre des sciences politiques (ELSP), communément appelée “Sciences Po” », (source Wikipédia).

Sachant cela, on comprend sans doute mieux le fossé plus béant que jamais entre « pays réel » et « pays légal », comme le dénonçait déjà dans l’entre-deux guerre le directeur de L’Action française Charles Maurras.

Alors, face à l’actuelle révolte des agriculteurs et éleveurs de toute l’Europe, qu’est-ce que les EBE peuvent bien penser quand ils entendent des revendications telles que vouloir « vivre simplement de son travail » – travail qui serait une « vocation » – d’« êtres » qui vivent « au milieu de nulle part » (c’est-à-dire hors des grandes aglomérations, chaque jour plus séduisantes comme on le constate) où ils triment de l’aurore jusqu’au coucher du soleil 7 jours sur 7… et en plus, sans prendre de vacances, ce qui est quand même le comble de l’obscurantisme au XXIe siècle, non ?

Ah, j’oubliais : et sans mettre leurs progénitures en école privée sous prétexte de moyens financiers déficients…

Car pour les EBE, on ne vit pas de son travail, non ! on  « fait du profit, 35 heures syndicales par semaine, hors congés payés, arrêts maladie et jours fériés, cela s’entend » en prônant « l’accueil des étrangers », tout en se préservant de la moindre promiscuité, particulièrement « d’odeurs et d’insécurité » et en inscrivant, cela va tout autant de soi, ses héritier(e)s dans d’« autres » établissements que les désormais centre de gardiennage publics de l’Éducation nationale, car « comme tous les parents, ils ont comme priorité le bien-être de leur(s) enfant(s) », à l’exemple de la préposée à multi-ministères Amélie Oudéa-Castéra et de son mari Frédéric.

Les EBE existent bien, oui… Mais elles ne sont pas extraterrestres, non, elles sont juste extrasociales !

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vendredi, 02 février 2024

Rassemblement vendéen : annulation de notre meeting de soutien à nos paysans en lutte !

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Communiqué du Rassemblement Vendéen :

Notre meeting, prévu ce samedi 3 février 2024, Rond-point de l’Europe, 85 800 St-Gilles-Croix-de-Vie à 10 heures 30 est ANNULÉ.

Amis, paysans, marins-pêcheurs, maraîchins, vendéens, amoureux et défenseurs de la France…

Après les nouvelles annonces du gouvernement pour répondre aux revendications des agriculteurs, les syndicats ont donc appelé à suspendre leur mouvement ! Les paysans rentrent donc chez eux, ayant apparemment obtenu gain de cause, même si nous pensons que les promesses du gouvernement ne sont “qu’un feu de paille” !
Le Rassemblement Vendéen salue le mouvement initié par les paysans qui apportait un espoir sérieux de faire trembler le gouvernement Macron et qui était soutenu par la majorité de la population française !

Le Rassemblement Vendéen, au vu du retrait du mouvement paysan, considère donc qu’il n’est plus justifié de soutenir les manifestions de mécontentement des agriculteurs qui n’est plus… pour le moment… et donc j’appelle les militants et sympathisants du Rassemblement Vendéen à ne pas se rendre Rond-point de l’Europe ce samedi 3 février à St-Gilles-Croix-de-Vie. Nous rappelons que notre identité est le guide d’un peuple qui sait d’où il vient et qui doit savoir où il veut aller. Nous devons perpétuer joyeusement notre héritage civilisationnel et culturel : agriculture, pêche, gastronomie, spiritualité, langues locales, ruralité…

Le Rassemblement Vendéen considère la famille, les villes, les villages, les campagnes, la côte, les ports de pêche, les entreprises et les administrations locales comme cellules de base de notre société : le centralisme technocratique vide ces cadres naturels de leur substance et instaure un régime liberticide sur lequel prospèrent les magouilleurs et les puissances d’argent.

Le magma de l’Union européenne, le mondialisme et les puissances d’argent détruisent notre identité ! C’est la ruine de l’agriculture, l’explosion des prix de l’énergie, la submersion migratoire, l’explosion des prix alimentaires, la suppression des frontières, la destruction de notre industrie. Les responsables de tout cela, c’est eux !

Éric Mauvoisin-Delavaud,

président du Rassemblement Vendéen.

23:38 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gérard Miller, l’arroseur arrosé ?

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Scipion de Salm (1) 

Miller est au cœur d’une tempête médiatique, depuis le mercredi 31 janvier 2024, suite à un article dans le magazine féminin Elle. Elle a été générée par le mouvement féministe international #MeToo (moi aussi en anglais). Il est dénoncé par trois femmes, pour des faits anciens remontant aux années 1990 à 2000, comme un dangereux violeur-manipulateur. Ces faits allégués sont prescrits, ou à la limite de la prescription, qui est de 20 ans pour viol. Nous détestons ce procédé de lynchage médiatique, qui vise à anéantir un homme, hors de toute procédure judiciaire. Néanmoins, pour le cas spécifique de Gérard Miller, on ne peut pas s’empêcher de penser que c’est bien fait pour lui. Il soutenait en effet ce mouvement, et avait exigé il y a peu la démission de Moussa Darmanin, « accusé par une femme » - ce qui est tout de même bien léger ! Ce « grand » philosophe, essayiste, psychanalyste, au carnet d’adresses impressionnant, hier encensé de tous, doit aujourd’hui, tomber de haut, et c’est mérité.

LA CHUTE D’UN MANDARIN ?

Gérard Miller faisait en effet partie de ces personnalités médiatiques majeures incontournables, qui pontifient depuis des décennies sur les plateaux télévisés, ou dans des tribunes dans des grands journaux, ou à l’université. Gérard Miller, âgé de 75 ans, vit avec la cinéaste Anaïs Feuillette, de 32 ans sa cadette ; il a donc sévi aussi dans le cinéma français d’aujourd’hui, inspirant les nullités gauchistes payées avec nos impôts et que personne ne va voir. Ces mandarins ne font que développer le pire de la pensée unique gauchisante, s’attaquant à tout ce qui est soupçonné de relever de la morale chrétienne, de la morale traditionnelle, du patriotisme français, et font la promotion hystérique de l’exact inverse, de l’immigration de masse, du féminisme et de l’homosexualisme de choc, de toute forme de lutte « écoclimatique ». Ils veulent promouvoir, avec une prétention d’infaillibilité, une antimorale complexe ; l’assemblage de tous les contraires ne forme pas facilement un édifice un minimum cohérent… Gérard Miller, est, sans être unique, de l’espèce la plus ridicule, de celle qui se prend, contre toute apparence, pour un vrai révolutionnaire ! Il résisterait au macronisme, un fascisme qui persécuterait les migrants et les minorités sexuelles… Dans quel monde délirant vit-il, s’il y croit vraiment ?

Gérard Miller s’affiche en très grand admirateur, sans rire ni ironie, de Sandrine Rousseau, personnalité dont les élans lyriques ridicules ou extravagants vont jusqu’à gêner ses amis politiques. Sandrine Rousseau, pour une fois reconnaissante, n’a d’ailleurs pas encore accablé son ami Miller. Nous ne douterons pas qu’elle finira par le faire, mais après une retenue de quelques jours, un record dans le genre chez elle. En attendant, elle attaque les agriculteurs, promeut l’avortement, et défend le droit à la paresse, sérieusement. Toute la caste médiatique ou presque le soutient toujours, au moins indirectement : ainsi, Libération, qui avait fait sa une le 6 janvier 2024 sur une mise en accusation de Gérard Depardieu, avec une photographie géante de l’acteur, pour des faits allégués de viol aussi, a fait le service minimum pour Gérard Miller en son édition du jeudi 1er février, expédiant son cas en pages intérieures profondes - page 18 précisément -, les moins lues du journal, avec un résumé discret de quelques lignes, sans illustration, et le mettant en parallèle avec un handballeur inconnu.

FAUSSES ET VRAIES VALEURS

Gérard Miller a été précisément accusé d’avoir abusé de sa pratique paramédicale de la psychanalyse, mêlée d’hypnose. Il s’agit d’une double imposture, ni l’une ni l’autre n’ont jamais guéri personne, et sont suspectables de bien des dérives avec des raisonnements tournant de manière obsessionnelle autour de la sexualité, et de toutes les fantaisies en la matière, à commencer par le dogme singulier des envies incestueuses qui prendraient à tous les enfants envers leurs parents - dit « complexe d’Œdipe ». Soucieux subitement de présomption d’innocence, Gérard Miller a publié une longue tribune pour se défendre, privilège déjà rare, où il sous-entend qu’il serait victime d’hystériques - ah bon, cela arriverait finalement ?. Se manifesterait, au-delà de sa personne, un complot obscurantiste, méconnaissant la psychanalyse, et lui attribuant des pratiques abandonnées depuis un siècle, comme l’hypnothérapie. Or, le site FrançaisdeSouche a exhumé une vidéo de 2001 où il avait avoué sa fascination pour l’hypnose, sa pratique « d’expériences » en la matière, ce qui correspond à peu près aux dires des plaignantes…

Ainsi, tous ces donneurs de leçons finissent par donner l’impression qu’ils appliquent peu à eux-mêmes leurs grands principes affichés. On songe récemment aux affaires Adrien Quattenens, Thomas Portes ou Eric Coquerel (classée sans suite en février 2023 par la justice). Il faut décidément se débarrasser de cette caste nocive, et hypocrite, de penseurs officiels et procureurs médiatiques, en les mettant à la retraite ou au chômage - avec obligation de chercher un vrai travail -, et reconstruire une société sur des bases saines, mettant en valeur l’amour du pays, l’amour durable entre conjoints, le travail, et ce par des individus sains défendant ces principes authentiques et nécessaires à toute société, sur les écrans grands et petits comme dans les cours universitaires.


(1) Membre du Bureau politique du Parti de la France. Il collabore aussi régulièrement à Synthèse nationale, à Réfléchir et Agir et à Rivarol.

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Samedi 27 avril 2024 : la Vendée n'oublie pas...

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jeudi, 01 février 2024

Macron nous entraine vers la guerre mondiale - François Asselineau

"Larbin des États-Unis", "singe savant"... Le président de l'UPR, François Asselineau, n'a pas épargné Emmanuel Macron. Il faut dire que le président de la République (bananière) n'a de cesse de tendre le bâton pour se faire battre. En témoigne sa conférence de presse face à des journalistes complices, où il avait réponse à tout, n'était responsable de rien. Tous les sujets fondamentaux ont été éludés : explosion de la dette, effondrement du niveau de vie et surtout le risque de guerre mondiale dans laquelle il nous amène. Les armes continuent en effet à affluer vers l'Ukraine : Washington, Davos et Bruxelles l'ont décidé, Macron et Attal sont leurs obligés.

Face au désespoir de millions de Français, agriculteurs en tête, François Asselineau en appelle au sursaut pour les européennes du 9 juin et invite les abstentionnistes à se mobiliser pour le Frexit, seule arme susceptible de faire sauter le Système oligarchique.

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mercredi, 31 janvier 2024

Charles Demassieux en prison ce soir ? Les juges s’acharnent contre un héros !

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Un communiqué de Riposte laïque cliquez ici :

Nous venons d’apprendre une nouvelle mise en garde à vue de notre collaborateur, Charles Demassieux, arrêté par la police judiciaire de Versailles, ce mercredi 31 janvier, à 10 heures 30, sous le prétexte fallacieux de menace de mort contre magistrat. Son ordinateur et son téléphone portable ont été saisis par les policiers.

Le destin de Charles Demassieux a basculé le 15 octobre 2023, dans un petit village de la Creuse où il avait décidé de venir vivre, lassé par les turpitudes de la région parisienne. cliquez ici

Confronté à l’agression violente et menaçante d’un alcoolique toxicomane qui, en état de démence, menaçait sa voisine, une vieille dame de 83 ans, Charles Demassieux, n’écoutant que son courage, a fait face à l’agresseur, et devant l’attitude de plus en plus agressive de ce dernier, a dû le repousser avec un stylo coupe-papier, qui a occasionné une blessure légère au dément.

Il a d’abord été mis en garde à vue pendant 48 heures, et s’est vu imposer un contrôle judiciaire, en région parisienne, avec interdiction de revenir dans la Creuse jusqu’à son procès.

Le 15 janvier, il a été jugé, et lourdement condamné, bien que son casier judiciaire ait été vierge, par le juge Michaël Humbert, président du tribunal de Guéret. 18 mois de prison, dont 3 mois ferme, 3 500 euros de dommages et intérêts, 5 ans d’inéligibilité, et 3 ans d’interdiction de port d’armes. Dans le même temps, l’agresseur, multirécidiviste, déjà condamné à 4 ans de prison pour violences dans le passé, était condamné à 68 euros d’amende et à un stage de citoyenneté.

Charles Demassieux a décidé de faire appel de ce verdict inique. Il avait expliqué cela sur Sud Radio, invité par André Bercoff, sur le thème “Quel est le prix à payer quand on s’interpose lors d’une agression ?”

Qu’a-t-il bien pu se passer depuis le procès de Charles Demassieux pour justifier cette nouvelle garde à vue ? Le juge Humbert a certes reçu des menaces, suite à ce verdict qui a choqué beaucoup de Français. Mais en aucun cas elles ne viennent de Charles Demassieux, qui, d’ailleurs, interrogé par André Bercoff, s’était démarqué de pratiques qui ne sont pas les siennes. Notre contributeur va-t-il encore passer 48 heures en garde à vue, voire être jeté en prison comme un malfrat ?

Cet acharnement judiciaire contre un homme qui s’est conduit comme un héros, sauvant la vie d’une femme menacée et lourdement traumatisée, est digne des pratiques du Syndicat de la magistrature (30 % des magistrats), qui transforme les agresseurs en victimes, et les victimes en coupables.

Il semble, au vu de l’actualité, que nos policiers et nos juges aient mieux à faire pour défendre la sécurité de nos compatriotes que de s’acharner sur un héros qui n’a écouté que son courage pour sauver la vie d’une dame de 83 ans.

Riposte Laïque soutient son contributeur, et demande à ce que les persécutions judiciaires dont il est l’objet cessent immédiatement, en attendant un nouveau procès, suite à l’appel de Charles Demassieux.

Notre site tiendra informés ses lecteurs de l’évolution de la situation.

DERNIERES MINUTES

Mercredi 21 heures : Charles Demassieux a été arrêté depuis 10 heures. Aucune nouvelle de lui, il va donc passer une nouvelle nuit en garde-à-vue.

Ecoutez aussi : cliquez ici

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Parution du nouveau numéro (n°98) de Terre & peuple Magazine

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Espagne : Pedro Sanchez pris à son propre piège, pour le moment.

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Michel Festivi 

A vouloir tout céder, à vouloir en permanence finasser, non seulement on perd son honneur, mais qui plus est, on est rejeté par ceux-là même qui devaient vous soutenir. C’est exactement ce qui est arrivé mardi 30 janvier aux Cortès, les 7 députés indépendantistes Catalans de Junts n’ont pas voté la loi d’amnistie pourtant concoctée, négociée et renégociée depuis des semaines avec le gouvernement socialo-communiste espagnol.

Dimanche 28 janvier encore, des milliers de madrilène, à l’appel du Parti populaire avaient battu le pavé pour s’opposer à ce projet de loi très controversé. Condamné par nombre de juristes et de magistrats, ce texte qui bafoue allègrement la séparation des pouvoirs, qui prévoit même l’amnistie pour les actes de terrorisme, sauf les plus graves, ce qui ouvre la porte à toutes les interprétations possibles, n’allait pourtant pas assez loin pour les plus excités, les plus furieux des indépendantistes.

Le PSOE avait à l’avance proclamé, prévoyant sans doute cet échec « nous sommes satisfaits par le texte et n’envisageons aucun changement. ». Bien mal lui en a pris, car les socialistes vont devoir revoir leur copie, le projet va retourner en commission parlementaire et faire de nouveau l’objet d’âpres négociations, et n’en doutons pas, les socialistes et Pedro Sanchez en tête, vont une fois de plus se renier. C’est leur marque de fabrique.

Cet épisode parlementaire révèle une chose, l’extrême fragilité de ce gouvernement de bric et de broc, qui ne tient qu’avec le soutien de 7 députés jusqu’au-boutistes, qui en permanence font monter les enchères, selon le bon vieux principe, si on lui donne un doigt, il prend la main, puis exige le bras tout entier. En réalité, le patron de l’Espagne depuis les dernières législatives est un dénommé Carles Puigdemont, ancien Président de la Catalogne, condamné en Espagne pour sédition, et qui tapi en Belgique, attend son heure. Il n’a de cesse, lui et ses sbires de dénigrer la justice espagnole, de s’attaquer nominativement à certains courageux magistrats qui dénoncent des atteintes gravissimes à l’état de droit, sans que la Commission européenne ne s’en offusque au demeurant.

Car cette éventuelle future loi d’amnistie, concerne environ 400 délinquants qui ont bravé et bafoué la Constitution espagnole, en jouant avec le feu et les institutions. Lorsque j’avais interrogé à Madrid en octobre dernier l’historien Luis Pio Moa (entretien paru dans la revue Reconquête du Centre Charlier numéro 402 de novembre 2023), ce dernier m’avait affirmé que depuis l’arrivée des socialistes, la séparation des pouvoirs si chère à Montesquieu n’existait plus en Espagne. Les faits lui donnent raison.

En tout cas, tout va mal en Espagne aussi. Le 30 janvier, les trois principaux syndicats espagnols ont annoncé une série de mobilisations dans tout le pays au cours des prochaines semaines. Au-delà des Pyrénées, on invoque également « la bureaucratie étouffante générée par les règlementations européennes » et l’on dénonce aussi « les concurrences déloyales qui menacent la viabilité de milliers d’exploitations agricoles. ». Décidément, les institutions européennes, totalement déconnectées du réel, sont une machine à broyer les hommes et les peuples.

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Pour information : les députés RN qui ont voté la constitutionnalisation de l'avortement

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Samedi 3 février, en Vendée : meeting de soutien aux agriculteurs organisé par le Rassemblement vendéen

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Les climato-tarés s'en prennent à la Joconde !

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Un communiqué du Parti de la France :

Pour exprimer leur éco-anxiété, deux climato-tarées n’ont rien trouvé de mieux que de s’en prendre à la Joconde dimanche 28 janvier au musée du Louvre. Heureusement, ce tableau, symbole d’une culture supérieure, est bien protégé.

Cet acte abject, aussi débile qu’inutile, démontre bien que ces groupuscules islamo-écolo-gauchistes sont une nuisance dans notre société. Il est grand temps d’interdire tous ces mouvements nocifs et destructeurs de notre civilisation.

Au Parti de la France, la défense de notre patrimoine culturel et historique est une priorité.

Laurent Spagnol, membre du Bureau politique du Parti de la France

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mardi, 30 janvier 2024

Révolte des agriculteurs : « Nous sommes face à un choix de société et de civilisation »

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Pour l’historien Pierre Vermeren, la colère des agriculteurs est la conséquence de décennies de destruction de l’économie paysanne et d’ouverture au marché mondial, qui a livré les exploitants à des concurrences déloyales. À cela s’ajoute la multiplication des normes, des taxes et des lois sans prise en compte de la réalité du terrain. Au-delà du modèle agricole, c’est notre mode de vie qui est en jeu, explique-t-il. Face à la flambée des coûts de la vie, les Français consacrent une part toujours plus faible de leur budget à l’alimentation et délaissent les produits français pour des aliments de moindre qualité importés par la grande distribution.

Dans une société à la dérive qui doit suivre les injonctions contradictoires de ses dirigeants, les paysans sont devenus un refuge culturel de l’identité de la France, et il est temps, conclut-il, de leur faire confiance pour préserver notre art de vivre et protéger l’environnement dans lequel ils évoluent.

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Source : Le Figaro 30/1/2024

 

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lundi, 29 janvier 2024

Savez-vous seulement ce que sont les GOPÉS ?

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Bernard Germain

Je suis frappé par le caractère « lunaire » de la plupart des discussions politiques qui se mènent sans qu’aucun argument sérieux ne soit exposé. D’ailleurs, la plupart des gens ou des hommes politiques n’en ont pas ou cherchent à camoufler la réalité comptant sur l’ignorance de leurs interlocuteurs pour arriver à leurs fins. C’est particulièrement vrai pour tous les sujets qui touchent à l’Europe. Un petit rappel historique s’impose.

Le traité de Maastricht en 1992 avec le référendum auquel il donna lieu, fut le véritable tournant. Le oui l’emporta en France d’une courte tête (51,07%) et cette victoire est due, selon moi, à la conjonction de deux causes principales :

  • la principale fut le débat entre Mitterrand et Séguin tenu peu avant le vote. Mitterrand était au crépuscule de sa vie. Lors du débat, des médecins étaient en coulisse pour le « préparer » et Séguin le savait. Lors du débat Séguin n’a vu en face de lui qu’un vieil homme malade et a eu pitié. Il ne porta donc pas l’estocade qui était pourtant à sa portée et laissa Mitterrand « gagner » le débat.
  • La seconde raison fut la position de Mélenchon et de son courant politique, même si ce dernier ne représentait pas énormément. Si Mélenchon avait mené campagne pour le non, les écarts étant tellement faibles, c’est le non qui aurait gagné/

Toujours est-il que ce résultat va avoir des conséquences absolument considérables, car Maastricht c’est l’acte qui fait que les pays membres de l’Union Européenne acceptent de déléguer à l’UE une part de leur souveraineté. C’est à dire qu’ils acceptent que ce soit l’Europe qui soit en charge de tel ou tel domaine et décide de la politique à conduire, politique que tous les pays membres devront appliquer,… dans l’intérêt général.

Peu de gens à l’époque ont compris la portée de cette décision et que cela nous engageait sur une voie nous conduisant directement en enfer.

Depuis, logiquement, les choses n’ont fait que se renforcer. Une répartition des « domaines de compétences » a été élaborée et mise en œuvre, entre UE et pays membres. Elle se divise en trois catégories :

  • les compétences « exclusives » de l’Europe. Les États membres n’ont aucun droit de regard, c’est l’UE seule qui décide et impose ses vues à tous les membres
  • les compétences « partagées » entre l’UE et les pays membres
  • les compétences appartenant « en propre » aux seuls États membres.

En résumé, la première catégorie ce sont les sujets sur lesquels les États n’ont plus leur mot à dire.

La troisième catégorie, ce sont les sujets sans aucune importance laissés à la charge des seuls États.

Quant à la seconde catégorie, les compétences dites « partagées », elles ne sont partagées, c’est à dire que les États ont un droit de regard, que « si l’UE n’a pas légiféré sur le sujet ou ne souhaite pas le faire ». En clair, ce n’est partagé que si le sujet n’intéresse pas l’Europe. Sinon, cela tombe dans la première catégorie et les États n’ont plus rien à dire. C’est là qu’on se rend compte du caractère vicieux et retord du dispositif. En réalité, il n’y a donc pas plus de compétences « partagées » qu’il n’y a de beurre en broche. L’UE contrôle tout. Avis à tous les naïfs… !

Avoir le contrôle de tel ou tel domaine est une chose, mais comment cette main-mise de l’Europe s’exerce-t-elle dans la réalité ? Là, nous passons au second étage de la fusée : le traité de Lisbonne qui fut signé le 13 décembre 2007 et qui est entré en vigueur le 1er décembre 2009. Il est constitué de deux parties, mais celle qui nous intéresse s’appelle le TFUE (traité sur le fonctionnement de l’union européenne), plus exactement l’article 121. C’est cet article qui décrit la mise en œuvre des GOPÉS (Grandes orientations des politiques économiques).

Les GOPÉS élaborées par la commission pour chaque pays sont transmis aux différents gouvernements sous forme de « recommandations » ce qui en langage de l’UE veut dire en réalité « obligations ».

En France, c’est le ministère de l’économie et des finances qui assure le suivi des GOPÉS, sous le contrôle du secrétariat général des affaires européennes (SGAE), service chargé, sous l’autorité du Premier ministre, de la coordination interministérielle pour les affaires européennes afin de mettre en œuvre les procédures qui incombent au Gouvernement en vertu de l’article 88-4 de la Constitution .

Sur le site du SGAE (https://sgae.gouv.fr) on peut découvrir les missions précises de ce service qui est dirigé par Emmanuel Puisais-Jauvin, nommé Secrétaire général des affaires européennes en Conseil des ministres, le 25 juillet 2022. Né en 1971, normalien et agrégé de philosophie, il est issu de la promotion Copernic de l’ENA (2000-2002).

S’agissant des différentes étapes de la procédure, les GOPÉS – apparus pour la 1ere fois en 2011 pour la période 2011-2012 – sont transmis au gouvernement français durant la seconde quinzaine de Mai. Entre ce moment et le mois d’Avril de l’année suivante, les services français élaborent le plan national de réforme (PNR) qui est la mise en musique des décisions de la commission européenne contenues dans les GOPÉS.

C’est un document qui est constitué notamment de tableaux de suivi. Chaque tableau contient trois colonnes : la première étant la recommandation indiquée dans les GOPÉS, la seconde contient les décisions du gouvernement français pour mettre en œuvre la recommandation et la troisième colonne les mesures juridiques ou économiques qui ont été prises ou vont l’être pour prendre en compte et appliquer la recommandation.

La fin du processus est constitué d’un rapport de synthèse, élaboré par le SGAE qui lui permet de rendre compte à la commission européenne de la prise en compte des recommandations et de l’état d’avancement de la transposition en droit français de ces recommandations/directives de la commission.

Certains politiciens, comme Mélenchon, affirment qu’il serait possible de ne pas obéir à la commission. En fait c’est un énorme mensonge de plus.

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21:10 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lyon, samedi 9 mars : un colloque sur l'écologie véritable

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Inscriptions : lyonpopulaire@gmail.com 

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dimanche, 28 janvier 2024

Pourquoi cet étalage de blancs-becs en Occident ?

Les individus à la tête des principaux pays occidentaux ont tous en commun d’être totalement dépourvus d’expérience.

Cette aberration n’est pas le fruit du hasard, elle résulte de la volonté d’oligarques qui placent leurs pions aux endroits stratégiques. En faisant élire, par des stratégies de manipulation d’opinion, des jeunes gens sans expérience, ils s’assurent la docilité d’obligés qui conduiront des politiques favorables à leurs intérêts.

François Asselineau analyse cette situation et dénonce les motivations des responsables de ce jeu de dupes dans lequel les peuples sont les grands perdants.

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Virginie Joron - Vaccin, Agriculture : contre Davos et ses lobbys

La révolte des agriculteurs est la démonstration des maux de l’époque. Alors que c’est un secteur incontournable pour la survie du pays et de la population, les agriculteurs sont perfusés par des subventions qui les contraignent à rompre avec la tradition de leur métier. Des normes surréalistes entravent leur quotidien, une concurrence déloyale organisée par les mondialistes grève leur compétitivité et bien sûr, sape leur moral. Les paysans se meurent et se tuent pendant que Bruxelles plaide pour la viande artificielle et les insectes dans votre nourriture à votre insu.

Des mensonges, des conflits d’intérêts et de la manipulation qui se retrouvent aussi bien dans ce dossier de l’agriculture que dans le scandale autour du Covid-19 et des prétendus vaccins. Le député européen Virginie Joron (RN), engagée pour la transparence sur les contrats Pfizer élaborés en secret par Ursula von der Leyen et le PDG de la firme Albert Bourla, nous livre les secrets des coulisses du Parlement européen, entre mensonges de la Commission et de sa présidente, pressions, censures et manipulations.

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18 ans de combat national et identitaire : Synthèse nationale, plus que jamais !

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Synthèse nationale a été créée en 2006. Cette année, cela fait donc 18 ans que, chaque jour avec le site d’information et chaque trimestre avec la revue, nous contribuons à ce vaste travail de réinformation indispensable pour susciter le salvateur réveil de notre peuple.

Et, force est de le reconnaître, ce travail commence à payer. Chacun peu l’observer, depuis 18 ans, le curseur se déplace de plus en plus « vers la droite », ce dont nous ne pouvons que nous féliciter.

Si les yeux d’un nombre croissant de nos compatriotes se dessillent aujourd’hui, c’est grâce à l’immense combat mené depuis des décennies par l’ensemble des forces nationales et identitaires. Au sein de ce vaste mouvement de redressement patriotique, Synthèse nationale, de par son travail éditorial et militant, a joué pleinement son rôle.

Seul le soutien fidèle de nos abonnés et de nos donateurs a permis de tenir depuis aussi longtemps et d’accroître notre audience. Mais, ne soyons pas naïfs, il reste encore beaucoup à faire.

Pour amplifier notre offensive, nous avons besoin de votre aide. Abonnez-vous à notre revue, achetez et diffusez les livres que nous publions, faites connaître notre site autour de vous. L’heure de la Libération nationale et identitaire sonnera bientôt. À nous tous de faire en sorte qu’elle ne tarde pas trop…

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Général Didier Tauzin : Rwanda, la vérité sur l’opération Turquoise

Le général Didier Tauzin, ancien commandant du prestigieux 1ᵉʳ RPIMa, a servi les intérêts de la France sur de multiples théâtres d’opérations. Partagée entre ombre et lumière, son action a retenu l’attention internationale durant l’opération Turquoise, menée en réponse au génocide Rwandais.

Candidat à la candidature lors de l’élection présidentielle de 2017, Didier Tauzin a touché de près la crise démocratique que traverse notre pays. Aujourd’hui, il livre une analyse sans concession sur les trahisons de sa classe dirigeante. Didier Tauzin entend également susciter l’engagement des Français, de toutes générations et de tous horizons. Convaincu que notre Patrie peut encore échapper au pire, il publie ses mémoires : "Apprends-lui à aimer la France à en crever", chez Mareuil éditions.

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Le dernier album d'Ignace : IL NOUS EN RESTE QUELQUES-UNS, PROFITEZ-EN !

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Vendée : le Rassemblement vendéen soutient les agriculteurs en lutte

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Samedi, toute la journée, les militants du Rassemblement vendéen et leur président, Eric Mauvoisin-Delavaud, ont occupé, dans le calme et la bonne humeur, le rond-point très fréquenté de Puits Tarraud à Saint Hilaire de Riez. Une cinquantaine de militants a participé à cette opération qui a eu un grand retentissement dans le département. Une fois de plus, les Vendéens montrent l'exemple à suivre.

Voici l'intervention du président du RV cliquez ici

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Vous pouvez aussi lire dans la dernière livraison de la revue Synthèse nationale un grand entretien avec Eric Mauvoisin-Delavaud cliquez ici.

10:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« Depuis 1971, le Conseil constitutionnel s’est érigé en quasi-législateur »

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Source Boulevard Voltaire cliquez ici

La loi Immigration, adoptée par le Parlement le 19 décembre dernier, a été lourdement censurée par le Conseil constitutionnel le 25 janvier. Guillaume Bernard, historien du droit et politologue, répond aux questions de BV et dénonce un coup d’État du Conseil constitutionnel.

Raphaëlle Claisse : La censure du Conseil constitutionnel sur la loi Immigration vous a-t-elle étonné ?

Guillaume Bernard : Cette censure était prévisible dans la mesure où, depuis une cinquantaine d’années, depuis 1971 plus précisément, le Conseil constitutionnel s’est érigé en quasi-législateur. Certes, il ne peut pas s’autosaisir, mais il a transformé le contrôle de constitutionnalité tel qu’il avait été prévu en 1958 par Michel Debré. En 1958, le contrôle était prévu après le vote de la loi et avant sa promulgation pour éviter qu’une loi ne déséquilibre les institutions. Or, depuis 1971, le Conseil a créé, de manière prétorienne, le bloc de constitutionnalité. En effet, il utilise un certain nombre de normes, comme la Déclaration des droits de l’homme, le préambule de la Constitution de 1946, pour juger de la politique qui est décidée par la représentation nationale. Il ne fait pas que défendre l’équilibre institutionnel, il prend des positions politiques pour autoriser, ou non, ce qui est voulu par les représentants des Français.

Deux moyens auraient permis aux hommes politiques de prévenir un tel fiasco, le premier était d’organiser un référendum, car pour l’instant, le Conseil ne se permet pas de vérifier la constitutionnalité d’une loi référendaire. La deuxième possibilité est de réviser la Constitution et d'y introduire un certain nombre de principes de défense de la nation, comme le principe de préférence nationale.

RC : Selon une députée Renaissance, le Conseil constitutionnel ne fait pas de politique. Qu’en pensez-vous ?

GB : Je ne partage pas cet avis, notamment pour les raisons que j’ai évoquées, c’est-à-dire le bloc de constitutionnalité composé de différents textes qui contient des dispositions qui sont parfois contradictoires et dans lesquelles le Conseil peut piocher à sa guise pour autoriser, ou non, la politique voulue par les représentants des Français. C’est donc une décision politique. Certes, le Conseil ne peut pas s’autosaisir, mais dans la mesure où il est saisi, il peut se permettre d’autoriser ou non une politique. On sait que les dispositions déclarées inconstitutionnelles sont censurées, elles ne peuvent pas être promulguées. Il y a donc un choix politique qui va à l’encontre du principe démocratique de l’État de droit et qui peut aller à l’encontre de la volonté générale. C’est extrêmement choquant.

RC : Selon vous, quelle serait la solution face à la mainmise du Conseil constitutionnel sur la vie politique du pays ?

GB : Il y a deux mesures à prendre de manière urgente. Tout d’abord, dans le contrôle de constitutionnalité par voie d’action, c’est-à-dire celui qui intervient après le vote de la loi et avant sa promulgation, il faut revenir à ce qui était prévu en 1958, à savoir un contrôle strictement par rapport à un texte constitutionnel, pour empêcher qu’une loi ne puisse faire revenir, par exemple, vers les régimes d’assemblée des IIIe et IVe Républiques. C’est un contrôle pour protéger l’équilibre institutionnel. Deuxième mesure à prendre : le contrôle de constitutionnalité par voie d’exception, créé par la révision de 2008 dans le cadre de la question prioritaire de constitutionnalité, qui permet à un justiciable de dire à l’occasion d’un procès qu’une loi viole ses libertés fondamentales. Là, le contrôle de constitutionnalité pourrait continuer à se faire par rapport au bloc de constitutionnalité, parce qu’il ne s’agit pas de faire entièrement confiance au législateur. En revanche, il faut que la décision prise par le Conseil, ne concerne que le cas d’espèce : écarter l’application de la loi et non abroger la loi.

Propos recueillis par Raphaëlle Claisse

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