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samedi, 02 août 2025

Les macronistes veulent ripoliner les vestiges de leur cabine téléphonique

8 800+ Au Bord Du Gouffre Photos, taleaux et images libre de droits -  iStock | Vertige

Synthèse nationale

Selon BFMTV, Gabriel Attal, désormais secrétaire général de Renaissance a lancé une consultation interne portant sur un éventuel – et quatrième – changement de nom de la cabine téléphonique macroniste. En cause : la « faible notoriété » de la formation ectoplasmique du fantôme de l’Élysée que beaucoup, horresco referens, confondraient même avec Reconquête !, le parti d’Éric Zemmour.

Selon un cadre de Renaissance, cité par la chaîne d’information en continu, ce nom « n’a pas marqué les Français ». Qu’il nous soit permis de compléter son propos en ajoutant que les soi-disant réussites de sa politique non plus. En fait, ce n’est pas le nom ou la forme de l’emballage qu’il faut changer mais le contenu. "En marche", "La République en marche", "Renaissance" ou "Attal devant et tous derrière", peu importe, tant que l’identité du machin demeurera ce qu’elle est : une coterie de nantis du système, aux semelles de vent, sans véritable enracinement, ni vision, ni projet.

Toutefois, comme nous sommes bien élevés et charitables, nous allons quand même leur donner un coup de main en leur proposant "Bye-bye". C’est jeune, décontracté, ça devrait plaire aux Français et faire un tabac lors des prochaines élections…

19:09 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les nervis d’extrême gauche ont encore frappé : le journaliste Érik Tegnér agressé sur son lieu de vacances

Extrême droite: Frontières, le magazine sans limites - l'Opinion

Synthèse nationale

Dans le nuit de jeudi à vendredi, le directeur de la rédaction de l’excellent magazine Frontières, accompagné de sa fiancée, a été reconnu et agressé par des "tricoteurs" d’extrême gauche alors qu’il participait à une fête, dans son village de Bretagne. Comme à leur habitude, les apprentis guépéistes ont agi en nette supériorité numérique : dix jeunes mous du bulbe contre un homme et une femme ; on n’est jamais trop prudent…

Ce n’est pas la première fois que des chiens de garde de la pensée conforme s’en prennent à des journalistes de cette publication ; et la liste de leurs méfaits (violences en tout genre, profanations diverses, de monuments, de sépultures…) ne cesse de s’allonger.

Depuis les années 1930, les nervis marxistes-léninistes s’emploient à imposer leur terreur. Dissimulant (de plus en plus mal) leur démarche totalitaire derrière l’alibi de l’antifascisme (qui trompe de moins en moins de monde), ils s’arrogent le droit de se constituer en bandes violentes et de décréter qui a le droit - ou non - de parler, d’écrire, de se réunir…

L’impunité dont ils ont joui jusqu’à présent n’a que trop duré. Les pouvoirs publics doivent prendre leurs responsabilités et faire ce pourquoi ils sont en place. La loi interdit les milices privées, les menaces, les violences : qu’ils la fassent respecter !

En attendant, Synthèse nationale apporte tout son soutien à Érik Tegnér, à sa fiancée et à toute l’équipe de Frontières. Les céphalopodes d’extrême gauche ne cessent d’éructer : « No pasarán ». Effectivement, « ils ne passeront pas ». Du moins, avec Frontières et toutes les autres publications ou les mouvements de la droite nationale au sens le plus large, nous continuerons de faire en sorte qu’il en soit ainsi. Malgré leurs insultes, leurs intimidations et leurs violences ! "Merde au roi d'Angleterre", disait Surcouf. Nous, nous disons : "Merde à l'extrême gauche" !

Pour en savoir plus sur cette agression, cliquez ici.

10:26 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tambouille et gastronomie

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Le billet de Patrick Parment

Dans l’un de nos quotidiens, j’apprends que le chef étoilé Alain Passard a décidé de ne proposer désormais dans son restaurant qu’une tambouille purement végétarienne. De l’entrée au dessert, vous allez becter du fruit et du légume, mais rien d’animal ! Et ce mec a trois étoiles au fameux guide Michelin ! C’est un choix mais, dès lors, on ne peut plus parler de cuisine française, celle qui a fait notre renommée et qui demeure le fond de commerce aussi bien des restaurants – quel que soit leur niveau – que de la cuisine domestique, en référence souvent à celle de nos grands-mères. On fait évidemment exception de toute cette malbouffe qui va du plat cuisiné – sous vide en général -, au McDo et qui constitue néanmoins le quotidien d’une majorité de Français. Globalement dans la France d’aujourd’hui, on ne meurt plus de faim. Cela reste malgré tout un acquis de cette modernité et d’un système économique que l’on ne manque pas pour autant de critiquer.   

Ce qui m’amène à réagir au choix d’Alain Passard – que je ne critique pas au demeurant -, c’est qu’il décide ainsi de faire l’impasse sur des métiers de bouche, comme l’on dit, qui font le sel et la renommée de la cuisine française dans les domaines aussi variés que la charcuterie, la boucherie, la poissonnerie, la fromagerie, la boulangerie et les fruits et légumes. Monsieur Passard fait ainsi l’impasse sur tous ces artisans de France qui suent sang et eau et s’illustrent chaque année dans tous ces domaines auxquels, tout un chacun (c’est-à-dire les pékins que nous sommes) a accès. À côté de chez moi, j’ai deux ou trois magasins dont les propriétaires affichent fièrement leur diplôme d'un des « meilleurs ouvriers de France » : un charcutier, un fromager, un boulanger ! Mais sans aller jusque-là, il faut honorer tous ces artisans qui œuvrent à maintenir nos traditions culinaires et qui magnifient le travail de nos paysans. C’est cela que Monsieur Passard raye d’un trait. Rien de grave, me direz-vous, dans la mesure où ce que l’on nomme les temples de la gastronomie que sont les deux ou trois étoiles au Michelin ne concerne qu’1% de la population. Ces étoilés sont à la cuisine ce que les formules 1 sont à la guimbarde du prolétaire. Ils proposent une cuisine quasi expérimentale, fruit de leur imagination et d’une complexité d’exécution qui emprunte, certes, à la tradition mais pour la torturer et qui n’a rien à voir avec le bœuf mironton ou le gratin dauphinois de maman, si tant est qu’elle cuisine encore. Il ne reste plus à Monsieur Alain Passard que d’inviter Sandrine Rousseau -  « qu’en a rien à péter de la rentabilité » de nos agriculteurs - , à venir brouter dans son jardin.

PS/ Il serait judicieux de le retirer du Michelin étant donné qu’il n’illustre en rien la traditionnelle cuisine française. 

02:23 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |