Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 08 décembre 2025

La France Insoumise et ses liens éhontés avec l’islamisme le plus radical, et des mouvements terroristes 

téléchargement (2).jpeg

Michel Festivi 

Jean Luc Mélenchon a réussi son coup, devant la commission d’enquête parlementaire, en dupant les députés, pour nier l’accointance entre son parti, LFI, avec les islamistes. Devant des élus qui visiblement n’avaient pas travaillé leurs dossiers, il lui a été facile de les berner d’illusions et de sarcasmes.

Néanmoins, personne ne peut être dupe de la stratégie du parti mélenchoniste, s’approprier l’ensemble voire la quasi-totalité de ces voix-là. Des journalistes ont publié, ces derniers temps, plusieurs ouvrages dénonçant les liaisons plus que dangereuses avec les pires théocratistes islamistes qui soient. Exemple, le livre de Omar Youssef Souleimane, Les complices du mal, rapportant une complicité toxique entre LFI et les islamistes. D’ailleurs, LFI avait tenté une procédure judiciaire, pour envisager une interdiction du livre, ou la suppression de certains passages. Elle avait demandé en justice, la primeur de le lire avant sa publication, ce qui lui avait été justement refusé. Un militant du Nord de la France, Cédric Brun, a démissionné, à cause également de cette emprise islamiste massive qu’il a dûment constaté sur le terrain, et il l’a dénoncé à plusieurs reprises.

Au terme d’une enquête de deux ans, deux journalistes de gauche, une de Libération, l’autre du Monde, ont publié en mai dernier chez Flammarion, La Meute, qui passe au crible ce « parti-secte », qui traque ses oppositions internes avec âpreté, dans le cadre d’un système totalement « opaque », une machine dévouée au chef, une sorte de leader Maximo, dans la stricte observance du trotskisme de toujours, c’est-à-dire le plus totalitaire qui soit. Ces journalistes posent la question de l’antisémitisme de LFI. D’ailleurs, depuis la sortie du livre, Charlotte Belaïch de Libération fait l’objet d’un déferlement antisémite, sur les réseaux sociaux.

Mais, pire encore, tout dernièrement, Olivier Vial, directeur du CERU, sur Europe 1, a révélé les liens existants entre LFI et un apôtre du palestinisme le plus extrémiste, Andreas Malm, très proche du mouvement classé terroriste, le FPLP. Malm, qui a totalement légitimé les massacres du 7 octobre 2023, s’est vu confier par les chefs de LFI, la formation des cadres et militants de ce parti. On peut prendre connaissance de cette interview sur Youtube.

Olivier Vial explique que Malm se passait les vidéos des massacres du 7 octobre « comme une drogue, qui lui donne de l’enthousiasme et de l’espoir », dans le cadre d’une conférence en date du 7 décembre 2023. Trois mois plus tard, Malm était désigné par Jean Luc Mélenchon, comme formateur de ses cadres, à l’Institut de la Boétie. Cet institut a été crée en 2019 par un conseiller d’État, Bernard Pignerol. Affilié à LFI, ce think tank est co-présidé par Jean Luc Mélenchon et Clémence Guetté.

Dans un ouvrage, Andréas Malm, avouera avoir commencé à militer au FPLP, organisation classée terroriste, notamment par l’Union européenne, donc par la France. Pour lui, « les massacres des civils du 7 octobre étaient inévitables, et que les marxistes sincères devraient être solidaires de cette lutte armée ». C’est donc ce personnage plus que sulfureux, que Jean-Luc Mélenchon et Clémence Guetté, ont choisi, en toute connaissance de cause, pour former leurs militants les plus aguerris. On ne s’étonnera pas ensuite de ces proximités, voire complicités.

De plus, Olivier Vial, sur le site Observatoire des radicalités, a publié, le 5 décembre 2025, un article intitulé « Andreas Malm : du FPLP à LFI, itinéraire d’un prophète de la violence ». Cet universitaire suédois, justifie la violence politique et même la promeut dans le cadre de la lutte contre la société dite capitaliste. Vial révèle aussi, dans ce texte, que des documents déclassifiés du Hamas, révèleraient que l’ONG Oxfam, dirigée par Cécile Duflot et ayant compté Manon Aubry comme ancienne porte-parole, aurait mené des projets financés par l’Union européenne servant les intérêts militaires du Hamas à Gaza, ce que conteste bien sûr Oxfam. Olivier Vial, explique cela très en détails dans cet article, très documenté. Marion Maréchal a saisi l’Office européen de lutte antifraude et le Parquet national antiterroriste. Est-ce que de l’argent public européen aurait servi à financer, même indirectement, une organisation classée comme terroriste ? C’est toute la question, que les enquêteurs devront établir, si cette plainte est suivie d’effet.

En tout cas dès le début des années 2000, Andréas Malm s’engageait au côté du FPLP, c’est pourquoi sans doute, il a été l’invité vedette de LFI. Il militait dans les années 1990 comme trotskiste au sein de la IVème internationale. Il s’installera ensuite en Palestine. Il établira toute une théorie de la violence écologiste, il affirmera notamment « Il faut intégrer le sabotage dans le répertoire d’action du mouvement climat... ». Il dit aspirer à « un communisme de guerre écologique », il a avoué, ne connaître en français que les mots suivants « tout le monde déteste la police », propos qu’il a appris à son fils de 4 ans. La relève marxiste-léniniste est assurée !

S’agissant des massacres programmés du 7 octobre 2023, il a notamment écrit : « Clairement, un massacre de personnes en train de danser, ce qui est hautement déplorable, mais pas incompréhensible. » Et c’est cette même personne qui est chargée de la formation politique chez LFI. Malm a aussi justifié le Hamas « Le Hamas n’est certes pas un modèle absolu en matière de pratiques démocratiques. Mais les choses sont relatives…alors, il nous faut conclure que Gaza, sous l’autorité du Hamas est l’incarnation la plus complète qu’on puisse trouver entre Beyrouth et Tunis d’une telle démocratie... ». Un tout autre parti aurait fait, le tiers du quart de cela, qu’une procédure de dissolution aurait déjà été engagée. Mais toujours ce fameux « privilège rouge », et cette peur de nos autorités devant l’extrême gauche.  Il est vrai que de Gabriel Attal, à Xavier Bertrand et Edouard Philippe, on a appelé à voter pour le NFP en cas de duel avec le RN, dans le pire des cas, où à s’abstenir, ce qui revient de toute façon à donner une prime aux plus extrémistes.

Visiblement, ces messieurs les députés n’avaient pas, ou mal préparé leur affaire.

18:13 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les commentaires sont fermés.