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vendredi, 08 août 2025

Après l'agression d'Erik Tegnér : Boutons hors de nos places les chevaliers braillards de l'antifascisme d'opérette

LES BIENFAITS DU COUP DE PIED AU CUL... - Olivier Masselot, Coach ICF,  auteur, consultant, formateur

Synthèse nationale

Dans le monde binaire des homo eructus, il y a d’un côté les "gentils", c’est-à-dire eux, les chevaliers braillards de l’antifascisme d’opérette, au blason coupé de gueules (rouge) et de sable (noir), veillant aux créneaux pour la défense de la veuve Anesthésie ; et de l’autre les "méchants", hordes mercenaires à la solde du grand vilain capital, ramassis de nazis-fascistes-racistes-suprémacistes blancs-islamophobes-homophobes répugnants.

Au fil de leurs interventions, sur les ondes, les réseaux sociaux ou dans l’espace public, l’histoire ne cesse de bégayer. La magie (noire) de leur verbe n’en finit plus de ressusciter l’entre-deux-guerres. À les en croire, comme aux "heures les plus sombres de notre histoire", la bête immonde, cornaquée par des milliardaires à la Bolloré ou à la Stérin, s’infiltrerait partout. Elle gagnerait en visibilité, en assurance, en malfaisance. Jusqu’à l’Assemblée nationale où Bayrou-Daladier copinerait avec Bardella-Vallat.

En fait, si les groupies des joueurs de pipeau "éléfiste" sont souvent jeunes en âge, leur pensée formatée, elle, est fortement faisandée. Elle est vieille comme Hérode-Mélenchon. Elle grésille sous l’action des lampes "audion" qui amplifient le signal des postes à galène. Depuis l’aube du XXe siècle, en effet, la lignée de clones robespierro-léninistes à laquelle appartiennent ces sombres hérauts du totalitarisme est de tous les combats "émancipateurs", "anticolonialistes", "antifascistes", "inclusifs"… À grand renfort d’injures et d’horions, au nom de l’"autodéfense" (car ainsi font les "antifas") ! Aussi leur mémoire de Mathusalem rouges se brouille-t-elle. Le temps se distord. Les souvenirs, les images, les combats s’entrechoquent, se mélangent. Les poupons de pépé Baudruchon, en plus d’être cons, sont gâteux. Sous la faible lueur d’une lampe à acétylène, ils tremblotent, ils ruminent, ils radotent. 

Ils nous servent la même soupe à la grimace "épuratrice". Elle est rance, imbuvable, indigeste. Elle pue la profanation de sépultures, le taguage de monuments, le vandalisme, les coups de poing et de trique, la tyrannie, la rééducation… Elle est à gerber ! Cependant, l’agueusie est suffisamment répandue parmi nos semblables pour que nombre d’entre eux la prennent encore pour un breuvage miraculeux et s’en délecte, jusqu’à la lie !

Oui, les chevaliers braillards de l’antifascisme d’opérette sont vieux, très vieux. Mais, ne nous y trompons pas, ils ont encore un avenir et un réel pouvoir de nuisance. Nous ne pouvons donc relâcher nos efforts. Sans faiblir, pied à pied, à Plouha, en Bretagne, (voir l’article précédent, ci-dessous) comme partout en France, nous devons, inlassablement, dénoncer, combattre leurs idées, démonter leurs mots, leurs argumentaires, montrer leur ridicule, leur nocivité, leur perversité et opposer notre détermination à leurs entreprises de terreur rouge. Nous devons participer à leur ringardisation et contribuer, avec l’ensemble du front du refus du cauchemar "éléfiste", à leur disparition future dans les tréfonds des poubelles de l’histoire, bien profond.

12:27 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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