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mardi, 07 novembre 2023

SIGNEZ POUR IMPOSER LE RÉFÉRENDUM SUR L'IMMIGRATION !

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65% des Français réclament un référendum sur l’immigration. À droite, ils sont même 83%, dont 77% chez LR, 95% chez Reconquête, et 96% au RN !
 
Emmanuel Macron refuse d'écouter les Français sur l'immigration ?
 
Il est temps de forcer ce gouvernement à respecter la volonté des Français en organisant enfin un référendum. 
 
Comment ?
 
Grâce au référendum d’initiative partagée (RIP) prévu dans notre Constitution.
 
Pour cela, nous avons besoin de 185 parlementaires - largement assez nombreux à droite - mais surtout, nous avons besoin de la signature de 4,8 millions de citoyens. 
 
Ensemble, nous pouvons réunir ces 4,8 millions de Français et imposer un référendum sur l’immigration ! 
 
Si vous signez maintenant et que vous partagez cette initiative à vos proches, nous réussirons à imposer le Référendum sur l'immigration.
 
Si vous n’agissez pas aujourd’hui, personne ne pourra le faire à votre place.

SIGNEZ POUR OBTENIR UN

RÉFÉRENDUM

MAINTENANT ! CLIQUEZ ICI

18:53 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un numéro hors-série d'une actualité brûlante, à lire et à diffuser largement

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Comme le rappelle Philippe Randa dans son interview reproduite un peu plus loin, "depuis les années 70, la mouvance nationaliste et populiste a seule dénoncé les graves dangers de l’invasion migratoire avec l’immigration sauvage non contrôlée parmi laquelle on trouve actuellement les acteurs de la quasi-totalité des agressions contre les Juifs". Et le directeur d'EuroLibertés d'ajouter : "cinquante ans durant, sans répit, on a assisté à des campagnes de diabolisation sans précédent de cette mouvance non seulement de la part des organisations d’extrême-gauche, mais également du Parti communiste, alors encore extrêmement puissant, ainsi que d’associations confessionnelles (UEJF, CRIF,…) ou politiques (SOS Racisme, Antifas,…)".

Notre nouveau hors-série de la revue Synthèse nationale a justement pour objet de rappeler les innom-brables avertissements qui ont émané de la "droite de la droite" dès les années 1970-1980, et que celle-ci n'a cessé d'adresser aux Français durant les décennies qui ont suivi. Des décennies durant lesquelles la formule de Chamfort a trouvé malheureusement une nouvelle confirmation : « En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin ».

Au sommaire :

P. 2 : Note de l'éditeur, Roland Hélie

P. 3 : Avant-propos : Ce n'est pas faute d'avoir pressenti et dit ce que l'on a pressenti, Didier Lecerf

P. 8 : Europe, les yeux grand fermés Bruno Gollnisch

p. 15 : Bilan et enseignements des émeutes, Didier Lecerf

P. 22 : Quelques déclarations datant des années 1980

P. 26 : Au cœur du débat : l'idée que l'on se fait de l'identité de la France, Maurice Bernard

P. 33 : Camp du bien contre camp du mal, Jacques Benoist

P. 41 : Ce n'est pas faute d'avoir prévenu, dossier réalisé par Didier Lecerf

P. 94 : Quelques chiffres, faits et avis pour nourrir la réflexion

P. 95 : L'immigration en 2023. Rapide état des lieux, Didier Lecerf

P. 105 : Les Mureaux, la radiographie d'une ville d'immigration, Maurice Bernard

P. 115 : Pour en finir avec les poncifs sur l'immigration, Philippa Randa

P. 122 : Grand remplacement tous azimuts, Georges Feltin-Tracol

P. 130 : Un problème français avant d'être celui des immigrés

P. 136 : Immigration, avenir de la France : à l'arrivée, plus de questions que de réponses, Didier Lecerf

P. 141 : Une conséquence de la politique du chien crevé au fil de l'eau, S N

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18:42 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

St Jean-de-Monts (85) : quelques heures après la manifestation de samedi, les craintes du Rassemblement vendéen s'avèrent justifiées

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Un communiqué de Eric Mauvoisin-Delavaut, président du Rassemblement vendéen :

Viol d'une enfant de 13 ans en Vendée par un migrant : les faits nous donnent raison une fois de plus...

A peine avais-je ramassé mes banderoles, la sono et appelé à la dispersion de notre manifestation à Saint Jean-de-Monts cliquez ici où nous dénoncions et refusions l'accueil de nouveaux migrants sur cette commune, que dès le lendemain j'apprends qu'à la Roche-sur-Yon, ce lundi 6 novembre, un migrant djiboutien de 26 ans a été interpellé pour le viol d'une adolescente de 13 ans !

La cerise sur le gâteau, ce prédateur était déjà visé par une autre affaire de viol ! Mais toujours en liberté dans nos rues vendéennes.

Allons-nous admettre qu'il existe une culture qui permet de violer nos femmes et filles en Vendée ?

Nous n'allons pas accepter encore comme circonstance atténuante que ce migrant djiboutien n'avait pas les "codes culturels"… Nous n'acceptons plus le laxisme criminel d'une justice qui n'en a que le nom !

Ces cultures allogènes, on n'en veut plus, on ne veut pas de leurs moeurs, on ne veut pas de leurs valeurs… Je ne veux pas que la Vendée devienne un pays du tiers-monde, je ne veux pas que ces "Chances pour la France" changent notre vie et notre avenir !

Je ne veux plus de ces vrai-faux migrants qui profitent allègrement du système et pleurnichent dans les jupons des associations collabos ! On ne veut plus de cette immigration qui casse, pille, viol, brûle, trafique la drogue, les bagnoles, les armes…

J'engage les décideurs politiques vendéens à prendre rapidement en compte le désarroi et la peur de leur peuple. 

18:38 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ces véritables responsables de la haine anti-juive et anti-« toubabs » en France  

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Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

(Propos recueillis par Guirec Sèvres)

Le déferlement de violences, verbales et physiques, contre les juifs dans notre pays – ce « déchaînement antijuif » comme titre Le Journal du dimanche – était-il prévisible ?

Tout d’abord, cette haine contre les Juifs est la même que celle, quotidienne, à l’encontre des « Français de souche » ou « toubabs » comme quelques millions de « malchances pour la France » se plaisent à nous nommer. Mais conflit israélo-palestinien oblige, les Juifs de France seraient ces temps-ci, davantage dans leur collimateur. Était-ce prévisible ? Ô combien ! Il fallait être un sacré singe aveugle, sourd ou stupide pour ne pas s’y attendre. Et ce ne sont guère les cris d’orfraie de la quasi-unanimité des médias, avec leurs grotesques et incessants rappels du nazisme, de la guerre, de la Shoah qui vont non seulement changer quoi que ce soit, mais qui ne peuvent qu’attiser encore plus le ressentiment, la haine et la violence de ces désormais millions de « devenus citoyens français ». Entendre certains auto-proclamés représentants de nos compatriotes juifs faire échos aux auto-proclamés directeurs de conscience mondialiste pour tenter de mettre en parallèle un anti-judaïsme d’une droite dite extrême avec la haine du juif de ces populations d’origines extra-européennes est pour le moins insupportable.

Vous ne croyez pas dans un antisémitisme politique à droite ?

D’abord, le terme « antisémite » employé à tort et à travers est impropre : les Arabes – Palestiniens en tête – sont tout autant des sémites que les Juifs. En l’occurrence, il s’agit donc d’anti-judaïsme. Si dans le passé de la France et de l’Europe, il y a eu indéniablement d’importants mouvements « de droite » (et tout autant « de gauche ») revendiquant ouvertement un anti-judaïsme intellectuel, politique ou religieux, quel observateur honnête peut aujourd’hui, et ce depuis la dernière guerre mondiale, soutenir que c’est toujours le cas ? Les accusations d’anti-judaïsme à l’encontre de Jean-Marie Le Pen et du Front national depuis les années 1980 jusqu’à nos jours encore ont toujours été aussi falacieuses qu’injurieuses. Ne serait-ce que par l’existence du Cercle d'Amitié française juive et chrétienne, dont le co-président, Jean-Pierre Cohen, ancien journaliste à Minute, était Membre du comité central du FN et candidat sous cette étiquette. Y a-t-il jamais eu une seule déclaration d’un responsable de ce mouvement ou de son président appelant ou même suggérant la remise en cause de l’existence de l’État d’Israël ? De même, une seule déclaration que les Français de confession juive ne devraient pas avoir les mêmes droits, comme les mêmes devoirs, que nos autres compatriotes ? S’il y a des responsabilités à chercher en France dans le passé expliquant le déchaînement de haine verbale et physique anti-juive actuelle, c’est à l’évidence vers ceux qui continuent d’accuser ce courant politique et ses successeurs, des maux dont ils sont, eux et eux seuls, les principaux responsables.

C’est-à-dire ?

Depuis les années 70, la mouvance nationaliste et populiste a seule dénoncé les graves dangers de l’invasion migratoire avec l’immigration sauvage non contrôlée parmi laquelle on trouve actuellement les acteurs de la quasi-totalité des agressions contre les Juifs.

Cinquante ans durant, sans répit, on a assisté à des campagnes de diabolisation sans précédent de cette mouvance non seulement de la part des organisations d’extrême-gauche, mais également du Parti communiste alors encore extrêmement puissant, ainsi que d’associations confessionnelles (UEJF, CRIF,…) ou politique (SOS Racisme, Antifas,…) qui trouvaient au passage leur raison d’exister dans les multiples subventions qu’elles recevaient des partis politiques « de gouvernement » (RPR, UDF, PS…), ceux-ci trop heureux de les payer pour ne pas avoir à partager le gâteau électoral avec d’éventuels élus du Front national, ainsi diabolisés. Ces partis et associations, tous complices de l’invasion migratoire, anônnaient d’une même voix qu’on verrait ce qu’on verrait avec l’assimilation et l’intégration de ces populations extra-européennes à notre beau modèle démocratique… Tous de braves gens qui ne nous remercieraient jamais assez de leur avoir enseigné les sacro-saintes « valeurs de la République » que le Monde entier est sensé nous envier… et donc, sous-entendu, affirmaient-ils, que ces nouveaux Français – la France créolisée comme la nomme faussement Jean-Luc Mélenchon – abandonneraient comme il se doit leurs coutumes « exotiques », incompatibles avec notre modèle de société, tel la polygamie, l’inégalité des femmes et leur soumission au mâle, l’excision, l’homophobie et autres joyeusetés culturelles, sans oublier, bien évidemment, ce qu’elles ne prônaient en aucune manière, soit le racisme, le mépris et/ou la haine de « l’autre » dont seuls les Européens pouvaient être coupables.  Ce n’est certes pas d’eux que le « toubab » ou le « Feuj » avait quoi que ce soit à craindre ! On allait voir et on a vu ! Alors, oui, aujourd’hui, quand nos compatriotes Juifs ont peur, se font insulter, violenter, quittent la France pour se « réfugier » notamment en Israël qu’ils considèrent comme plus « sûr » malgré les horreurs récentes du Hamas… et que je vois et entends les mêmes auto-proclamés (ou leurs successeurs) représentants de ces compatriotes persécutés ou en fuite, continuer les mêmes discours grotesques et mensongers, sans jamais reconnaître leurs écrasantes responsabilités dans leurs malheurs, ça donne au choix envie de hausser les épaules… ou de vomir.

11:20 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Déprime ukrainienne

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de Philippe Randa

La guerre où ça ?

Ah ! oui en Ukraine, là-bas, tout là-bas en Europe et dont on parlait tant – on ne parlait même « que » de ça – et qui avait fait passer en « perte, profits et surtout oubli » le délire sanitaire autour du covid.

La guerre russo-ukrainienne, donc ! il y a… mais si, c’était avant… avant que les Fous d’Allah du Hamas – « terroristes » pour les uns, « résistants », pour les autres – ne commettent leurs massacres pour le moins crasseux en Israël… et qu’Israël ne ravage en représailles, et comme on pouvait s’y attendre, la bande de Gaza !

Rappelez-vous, commencée en février 2014, cette guerre larvée avait pris une ampleur tout autre lorsqu’en février 2022 les armées de Vladimir Poutine avaient conquis tout l’est de l’Ukraine ; quatre territoires de l’est et du sud avaient ainsi été annexés par Moscou. Une guerre qui n’en finissait pas, qui n’en finissait plus et qui n’est donc toujours pas finie, malgré une contre-offensive ukrainienne qui devait bouter les hordes barbares du terrible maître du Kremlin hors de leur sainte patrie.

Contre-offensive lancée en juin dernier et qui, en plus de cinq mois, n’a « n’a pas eu l’effet escompté… (est) dans une impasse… (et) il n’y aura probablement pas de percée profonde et belle », selon les aveux du commandant en chef de l’armée ukrainienne Valeri Zaloujny à l’hebdomadaire britannique The Economist.

Aveux qui ne font que confirmer ce que nombre d’observateurs, neutres ou peinés, indiquaient depuis la fin de l’été, voire pour les plus perspicaces dès le début même de la contre-offensive.

Les causes ? Non pas les pertes russes réelles ou supposées suivant la propagande d’un camp ou de l’autre, non pas le mérite des officiers ukrainiens un temps mis en doute par Valeri Zaloujny lui-même qui reconnaît son erreur ou encore la valeur des soldats ukrainiens…

Non, la cause serait l’armement dépassé que l’Occident a livré à Kiev, tout autant que la livraison tardive de missiles longue portée et de chars qui « auraient été particulièrement utiles l’année dernière […] Mais ils ne sont arrivés que cette année ».

« L’Occident », un rien distrait, aurait-il utilisé les services de Chronopost dont la ponctualité n’est effectivement guère la première des qualités ? Sans doute…

Le plus inquiétant dans les aveux du général ukrainien est toutefois qu’il estime « important de comprendre que cette guerre ne peut être gagnée avec les armes de la génération passée et des méthodes dépassées » et que « la technologie fera la différence dans cette guerre ».

Des propos qui rappellent fâcheusement l’espoir que le IIIe Reich mettait dans l’arrivée miracle d’armes secrètes qui auraient changé l’issue de la IIe Guerre mondiale ; jusqu’aux derniers jours du conflit, la propagande du régime avait ainsi entretenu l’espoir… en vain !

Mettre ses espoirs dans le même hypothétique miracle technologique, ça ne sent guère la gagne, tout de même…

01:35 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

St Jean-de-Monts (85), samedi 4novembre : le message de Bernard Germain, porte-parole de Partout Callac, aux opposants à l'arrivée de migrants

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Aujourd’hui, 4 novembre, vous êtes réunis pour protester contre la venue de 22 migrants à St-Jean-de-Monts cliquez ici. Cette venue s’est décidée dans votre dos, organisée par le préfet et l’association pro-migrants dénommée Groupe d’accueil des migrants de Vendée avec la complicité de votre municipalité.

Malheureusement, votre situation est tristement banale. Dans certains villages, les maires n’acceptent pas de piétiner la démocratie et d’appliquer les directives de Macron et ses préfets pour répartir dans toutes les campagnes des migrants dont les villes ne savent plus quoi faire tellement il y en a.

Mais dans beaucoup d’autres bourgades, comme la votre, les élus se moquent de l’avis de la population et appliquent servilement les directives du pouvoir.

C’est insupportable, pour plusieurs raisons :

  • D’abord sur le plan de la démocratie, un maire ne peut pas ne rien avoir annoncé dans son programme et mettre en œuvre une politique comme cela sans consulter sa population. C’est inacceptable.
  • Ensuite, ces arrivées de migrants sont socialement très injustes. Partout en France, il y a des Français pauvres. Environ 10 millions dont certains dorment dans la rue ou leur voiture et qui ne mangent pas à leur faim tous les jours. Pour nous c’est simple : c’est d’abord les nôtres dont on doit s’occuper. Or, on constate qu’il y a des millions d’Euros pour des gens qui viennent de l’autre bout de la terre, mais pas un sou pour aider les nôtres. C’est inacceptable.
  • Enfin, la quasi totalité de ces migrants viennent d’Afrique du Nord ou Subsaharienne. Et l’immense majorité sont musulmans. Ils viennent mais ne veulent pas s’assimiler. Cela provoque un choc de civilisations sur notre sol. Au rythme où c’est parti, un affrontement semble inévitable. Chacun le sait à commencer par les autorités. C’est inacceptable.

En conséquence, il faut arrêter de toute urgence la venue de tous ces migrants. Chez vous et partout dans le pays.

Les autorités doivent cesser de financer toutes les associations pro-migrants qui vivent grassement de leurs minables activités grâce aux subventions qu’elles reçoivent, c’est à dire avec nos impôts. Le ministre de l’intérieur a indiqué que cela représentait 750 millions d’€ par an pour 1350 associations.

Depuis leur complicité avec la mafia des passeurs en Méditerranée jusqu’à leurs actions de terrain comme dans votre commune, ces associations sont les auxiliaires du pouvoir et agissent contre la volonté des Français qui à plus de 80 % veulent l’arrêt immédiat de toute immigration.

Les Français veulent également le départ et le retour dans leur pays d’origine de ces migrants dont une large majorité est source de problèmes dans notre pays. On nous dit que c’est impossible si les pays d’origine ne le veulent pas. MENSONGE… ! si le Pakistan peut expulser de son sol 1,73 millions d’Afghans en quelques jours, pourquoi un pays comme la France ne le pourrait-il pas ? Et puis n’oublions pas qu’en Algérie en 1962, plus d’un million de Français ont du quitter précipitamment ce pays car pour eux c’était « la valise ou le cercueil ».

La Coordination Partout Callac soutient votre combat. Vous avez raison de vous battre pour empêcher ces arrivées décidées dans votre dos et qui vous sont imposées. Non à cette invasion ! La France doit rester la France !

Ne vous découragez pas. Ne baissez pas les bras. À Callac, nous avons lutté pendant des mois et nous avons gagné. Vous aussi, vous pouvez gagner. Ne lâchez rien !

Le 04 novembre 2023.

Bernard GERMAIN

Porte-parole de la Coordination Partout Callac

Partout Callac cliquez ici

01:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 06 novembre 2023

Michel Vial, auteur du Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à Jozef Pilsudski, invité par Pascal Lassalle sur Radio courtoisie

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Samedi 4 novembre, sur Radio Courtoisie cliquez ici

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Pour acheter le livre cliquez là

15:24 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 05 novembre 2023

JEAN-PIERRE STIRBOIS, DÉCÉDÉ UN 5 NOVEMBRE... C'ÉTAIT EN 1988, IL Y A 35 ANS

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Il était le secrétaire général du Front national, beaucoup hélas l'ont oublié.

Pour ceux qui veulent mieux connaître la vie et le combat de Jean-Pierre Stirbois cliquez ici

11:49 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il faut lire Jean-Claude Michéa

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Pascal Meynadier

Jean-Claude Michéa est un philosophe français qui a l’étonnante particularité d’être un penseur socialiste détesté par la gauche. Le paradoxe n’est qu’apparent, et ce n’est pas le seul. De plus en plus d’intellectuels désertent leur camp d’origine. Mais qu’ils passent à droite, se revendiquent de la « vraie gauche » ou refusent le clivage droite-gauche, tous considèrent qu’il est aujourd’hui devenu impossible de respirer à gauche, faute d’une vraie liberté de pensée. À la fin du XIXe siècle, la droite était moraliste, puritaine, et hypocrite. C’est très exactement ce qu’est devenue la gauche au début du XXe siècle ! C’est sans doute ainsi qu’il faut comprendre le titre de son dernier opus Extension du domaine du capital (Albin Michel), clin d’œil appuyé à Michel Houellebecq, et c’est sans doute aussi la raison pour laquelle Michéa n’a jamais cogné aussi fort contre la bourgeoisie verte et métropolitaine, coupable, à ses yeux, de trahison à l’encontre des classes populaires. Il n’est pas en reste non plus contre une certaine droite conservatrice incohérente qui « vénère le marché tout en maudissant la culture qu’il engendre ».

Depuis ses premiers livres, l’essayiste a mis au jour une des vérités de notre temps : l’unification programmée des deux libéralismes, culturel et économique, de gauche et de droite. Bien loin de n’être qu’un système éco- nomique, le libéralisme est devenu un « fait social total » à la fois économique, politique et culturel. Son ressort secret, c’est le refus des limites, qu’elles soient morales, religieuses, étatiques ou culturelles.

Dans son village des Landes (« à dix kilomètres du premier commerce et à vingt kilomètres du premier feu rouge »), où il s’est réfugié il y a sept ans, le philosophe marxiste élève désormais ses bêtes et cultive son potager, loin de l’« ethnocentrisme métropolitain ». Avec ce nouvel essai jubilatoire qui rassemble articles et interviews, notes et, comme à son habitude, notes de notes, il se rappelle à notre bon souvenir grâce à un sens inégalé de la formule « No Border est le slogan libéral par excellence ». Et ses rappels historiques sont autant de flèches : « C’est mon droit, c’est mon choix » est la devise aussi bien du consumérisme que de la campagne de François Hollande.

Curieusement, avec le temps, le philosophe s’est mis à ressembler de plus en plus à son père Abel Michéa, capitaine dans les maquis FTP de Haute-Savoie pendant la Seconde Guerre mondiale et chef des pages sport de L’Humanité. Bon sang ne saurait mentir. Bien avant son fils, Abel Michéa a lui aussi voué aux gémonies le clivage droite-gauche avec un ton et une gouaille uniques, une franchouillardise charmante, au risque de déplaire. « Je préfère boire un verre avec un confrère de mes amis, plutôt que de discuter politique sur un trottoir. » Tête des militants communistes ! D’autant que le confrère en question Antoine Blondin, alors hussard de droite, était son grand ami. Les deux compagnons formaient un sacré tandem sur le Tour de France. Abel Michéa prenait la vie par le bon goût — titre d’un de ses livres —, aimant la bonne cuisine, française évidemment, le bon vin et le Tour de France. Inutile de dire que le père comme le fils font figure d’épouvantails pour Sandrine Rousseau.

Source : Journal du dimanche, 5/11/2023

02:50 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SAINT-JEAN-DE-MONTS (85) : BELLE MOBILISATION DU RASSEMBLEMENT VENDÉEN CONTRE LE PROJET DE GRAND REMPLACEMENT

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Les habitants de St-Jean-de-Monts (85) ont répondu nombreux à l'appel du Rassemblement vendéen samedi matin devant l'Hôtel de Ville pour protester contre le projet d'implantation de migrants dans leur commune.

On peut dire que Eric Mauvoisin, le dynamique président du Rassemblement vendéen, à parfaitement gagné son pari de mobiliser, comme à Callac (22), à Saint-Brevin (44) et dans de nombreuses autres communes, les patriotes locaux.

Nous reparlerons prochainement de cette manifestation populaire.

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Parmi les personnalités vendéennes présentes, on reconnait ici l'écrivain Alban d'Arguin, auteur, entre autres, du livre Eoliennes, un scandale d'Etat que nous avons publié il y a quelques années cliquez ici.

01:17 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 04 novembre 2023

Journal du chaos

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Pour télécharger, cliquez ICI

01:40 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 4 novembre, à Saint-Jean-de-Monts :

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vendredi, 03 novembre 2023

Pierre Conesa : ''Plus de 2 millions de Gazaouis vivent dans les conditions effroyables''.

Aujourd'hui, Irina Dubois reçoit Pierre Conesa, écrivain, ancien haut fonctionnaire au ministère de la Défense, auteur de plusieurs ouvrages, notamment ''La Fabrication de l'ennemi", ''Vendre la guerre : le complexe militaro-intellectuel''

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Source : Association Dialogue Franco-Russe

17:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pédophilie : Le tabou français

Ce reportage traite d’un des sujets les plus tabous en France, la pédocriminalité.

Pour ce reportage, nous sommes allés voir le film « Le consentement » sorti ce mois-ci. C'est à travers un micro-trottoir et l’intervention de la team Eunomie, une association spécialisée dans la traque de pédocriminels, que nous avons recueillis des informations et des témoignages graves. Un sujet qui passe souvent sous les radars.

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Source : Livre Noir

17:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Chaillot : "On avance de crise en crise avec des pertes de libertés"

L’avocat italien à la cour de Paris Carlo Brusa, très actif pour dénoncer le covidisme, donne la parole à Pierre Chaillot pour faire un point sur l’arnaque statistique de la prétendue pandémie de Covid-19, et sur ses effets secondaires, bien réels, eux, notamment la baisse de natalité.

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Source : E&R

16:54 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Charmes (88), samedi 2 décembre : centenaire de la mort de Maurice Barrès

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15:47 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Russie est-elle un agent du mondialisme ? Débat entre Pierre Hillard et Xavier Moreau

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14:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ON NE DIFFUSERA JAMAIS ASSEZ LE NUMÉRO HORS-SÉRIE DE SYNTHÈSE NATIONALE : "CE QUI DEVAIT ARRIVER ARRIVA !"

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Au sommaire :

P. 2 : Note de l'éditeur, Roland Hélie

P. 3 : Avant-propos : Ce n'est pas faute d'avoir pressenti et dit ce que l'on a pressenti, Didier Lecerf

P. 8 : Europe, les yeux grand fermés Bruno Gollnisch

p. 15 : Bilan et enseignements des émeutes, Didier Lecerf

P. 22 : Quelques déclarations datant des années 1980

P. 26 : Au cœur du débat : l'idée que l'on se fait de l'identité de la France, Maurice Bernard

P. 33 : Camp du bien contre camp du mal, Jacques Benoist

P. 41 : Ce n'est pas faute d'avoir prévenu, dossier réalisé par Didier Lecerf

P. 94 : Quelques chiffres, faits et avis pour nourrir la réflexion

P. 95 : L'immigration en 2023. Rapide état des lieux, Didier Lecerf

P. 105 : Les Mureaux, la radiographie d'une ville d'immigration, Maurice Bernard

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Notre écologie authentique

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Il y a 44 ans, une violente campagne de presse contre la « Nouvelle Droite » marquait l’été 1979. La saison estivale de cette année a vu une autre campagne, moins violente et plus insidieuse, contre le spectre fantasmatique de l’« écofascisme ».

L’Obs (du 17 au 23 août 2023) se demande « Pourquoi l’écofascisme nous menace » et interroge Pierre Madelin, auteur de La tentation écofasciste. Écologie et extrême droite (Éditions Écosociété, 2023, 264 p., 18 €). Coup sur coup, le tristement célèbre quotidien qui sort en début d’après-midi s’empare du sujet. L’éditorial de sa livraison des 15 et 16 août 2023 alerte sur « Écologie et extrême droite : un dangereux mélange ». Comme quoi tous les mélanges ne se valent pas... La veille, son édition des 13 et 14 août 2023 prévenait que « Le RN veut tirer parti du clivage sur l’écologie ». Quelques mois plus tôt, Le Monde (du 24 décembre 2022) s’inquiétait de « Ces jeunes identitaires qui virent au vert ».

Auteur de l’article des 13 et 14 août dernier, Clément Guillon rapporte que Jordan Bardella, le président du RN, aurait déclaré sur CNews que « le meilleur allié de l’écologie, c’est la frontière ». Quelle surprise ! Aux élections européennes de 2019, il plaçait en position éligible l’essayiste Hervé Juvin qui, en compagnie de l’ancien militant de La France insoumise devenu président du groupe RN au conseil régional Auvergne – Rhône-Alpes, Andréa Kotarac, fonde un micro-parti affilié au RN, Les Localistes. Or, condamné en appel pour des violences conjugales, Hervé Juvin a été exclu en novembre 2022 du groupe Identité et Démocratie au Parlement européen, puis du groupe RN au conseil régional des Pays-de-la-Loire, groupe qui d’ailleurs n’existe plus. Son éviction destinée à satisfaire le Système médiatique d’occupation mentale constitue une faute supplémentaire à inscrire au débit de cette formation politicienne.

Clément Guillon estime que le RN combinerait des positions technosolutionnistes et des thèses néo-agrariennes. Le technosolutionnisme postule que le progrès technique peut à terme résoudre les problèmes écologiques, ce qui est une approche optimiste de la crise de l’environnement. Cette posture faustienne, ou pour le moins prométhéenne, rappelle la vision du monde de Louis Pauwels dans son recueil Le droit de parler (Albin Michel, 1981). Quant à l’agrarisme, il s’agit d’une force socio-politique présente dès la fin du XIXe siècle en Occident afin que le monde rural puisse peser sur la Modernité industrielle. Le Parti paysan croate a longtemps dominé la vie politique de la Croatie. À Varsovie, le Parti paysan polonais allié aux démocrates-chrétiens conserve les faveurs de l’électorat campagnard. Existe en Hongrie un petit Parti civique indépendant des petits propriétaires et des travailleurs agraires qui est néanmoins l’un des plus anciens. En Lettonie, jusqu’en 2022, les Verts participaient à l’Union des Verts et des Paysans, une alliance électorale avec l’Union des paysans de Lettonie, ensemble qui a déjà gouverné le pays. En France, outre les fameuses « Chemises vertes » de Henri Dorgères, chef des Comités de défense paysanne, le député de la Haute-Loire entre 1936 et 1958, Paul Antier, anima le Parti paysan d'union sociale, soutint un temps Pierre Poujade et contribua au lancement du CNIP (Centre national des indépendants et paysans).

Voyant venir l’accident industriel majeur aux européennes de juin prochain, l’Élysée encourage en sous-main la constitution, sous la houlette de l’influent lobbyiste Thierry Coste, d’une liste de chasseurs, de défenseurs de la corrida et de ruraux. Sa conduite reviendrait à Willy Schraen, le président de la Fédération nationale des chasseurs, dont l’ouvrage, Un chasseur en campagne. Pour une défense de la ruralité, est sorti en 2020 avec une préface d’Éric Dupond-Moretti… La Macronie voudrait-elle par ce moyen détourné relancer l’électorat chasseur ?

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jeudi, 02 novembre 2023

Cette époque que les « moins de 1000 ans » n’ont pas connue

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La chronique de Philippe Randa

Je viens de prendre un sacré coup de vieux ! Bien plus terrible que celui qui, comme tout le monde, me tombe dessus, chaque année, à date fixe, le jour de mon anniversaire !

À la lecture de la tribune de Michel Onfray dans le JDD de ce dimanche 29 octobre 2023, j’ai pris… 1 000 ans ! C’est d’ailleurs le titre de sa tribune : « Le 3 avril 1987… il y a mille ans ». Il y explique ce qu’était alors la liberté d’expression, de débats, de confrontation des idées en rappelant (entre autres exemples) cette émission de télévision où un Bernard Pivot « pouvait inviter sur le plateau d’Apostrophes Maurice Bardèche, fasciste revendiqué, et Bernard-Henri Lévy sans que… […] Il y avait juste eu débat. C’était le 3 avril 1987, il y a mille ans. »

Je ne peux que recommander la lecture de cette excellente tribune, même si, à cause d’elle, beaucoup prendront aussi mille années dans la figure, comme une énorme et vilaine gifle ou comme un aussi terrible que maléfique coup de déprime.

1987, les années quatre-vingt du siècle dernier, donc… qui ravivent en moi certains souvenirs de ce qu’était encore le monde des Lettres d’alors !

Une époque où j’écrivais – par passion autant que par besoin financier, la première étant aussi obsessionnelle que le second – des romans populaires aux éditions du Fleuve noir d’abord, puis des Presses de la Cité ensuite.

Jamais alors, malgré mes idées politiques que je ne mettais guère dans ma poche, même si j’évitais toute provocation inutile, et qui, forcément, transparaissaient de-ci, de-là dans mes écrits, je n’ai eu à subir la moindre querelle, la moindre remarque désobligeante… et encore moins la moindre censure.

Lors d’un rare échange « politique » avec le directeur du Fleuve noir qui avait publié mon premier livre, celui-ci m’a avoué au cours d’un déjeuner qu’il se considérait comme royaliste, qu’il pourrait éventuellement accepter une invitation à la Fête de l’Huma, mais que jamais, évidemment, il n’accepterait de se rendre à la fête des Bleu-Blanc-Rouge. Pour lui, ça tombait sous le sens. Mais il ne m’interdisait nullement de m’y rendre moi-même, bien sûr… et d’y dédicacer mes romans qu’il publiait.

Quant aux Presses de la cité, il y eût ce lundi matin où j’avais rendez-vous avec une des deux directrices littéraires des collections « Gérard de Villiers » pour lesquelles j’écrivais des romans policiers et d’espionnage. C’était le 18 juin 1984. La veille avaient eu lieu les élections européennes où furent élus les dix premiers députés du Front national de Jean-Marie Le Pen.

Je frappais à la porte de son bureau. La directrice me pria d’entrer, me faisant signe ensuite de m’asseoir, le temps de terminer sa conversation. Furieuse, elle vilipendait ces « 11 % de cons » qui avaient voté Le Pen. Elle raccrocha et devant mon sourire quelque peu moqueur et terriblement explicite de ce que j’en pensais moi-même, elle grommela que bien évidemment, ça devait me ravir, mais que c’étaient quand même des « cons », etc., etc., ce à quoi je pris un malin plaisir à lui faire remarquer que c’était la démocratie, etc., etc.

Nos rapports, excellents, ne changèrent nullement après cet échange… Quant à mes romans, pourtant lus, relus et corrigés par cette excellente professionnelle, jamais je ne subis la moindre censure, pas même une simple remarque contrariée, même quand j’écrivais dans le premier chapitre de Poudrière javanaise (Skal n° 14) : « Robert Czskalszski (alias Skal, le héros), assis à l’avant de sa Porche 928, parcourut rapidement la une de Présent : Nouveau scandale dans les services secrets français… Suivait un article lapidaire d’Alain Sanders, connu pour ses positions radicales sur tout ce qui concernait la politique étrangère de la France, qui résumait l’affaire… »

Et comme si cela ne suffisait pas à me vouer aux gémonies de la bien-pensance, quelques lignes plus loin, j’en rajoutais une couche en écrivant que « la sœur de l’honorable correspondant venait de déposer, accompagné par son avocat, Maître Éric Delcroix, (1) une plainte en bonne et due forme… »

Imagine-t-on de nos jours la possibilité pour un romancier de commettre ce genre de fantaisies chez un éditeur renommé de la République des Lettres ? (2)

Poser la question est évidemment y répondre.

Notes

(1) Militant d’Ordre nouveau, candidat du Front national, conseiller régional de Picardie (1998-2004), avocat (entre autres) de Claude Autant-Lara, Marie-Caroline Le Pen, Vincent Reynouard, Catherine Mégret, Jean Plantin et… Robert Faurisson ! Auteur de plusieurs ouvrages dont certains que j’ai publiés (La Francophobie et Le Théâtre de satan aux éditions de l’Æncre), cet ami fut également mon avocat.

(2) Pour ce genre de fantaisies, justement, les amateurs pourront désormais trouver leur bonheur parmi les titres du « Lys noir » des éditions Auda Isarn… ou des « bergers de l’évasion » des éditions Dutan.

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Sortie le 15 novembre du nouveau livre de Gabriele Adinolfi : Le Défi au futur

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“Nous sommes parvenus à une ère de léthargie angoissée, caractérisée par des. abstractions en forme de slogans au sein desquelles tout ce qui était le fruit d’une pensée vivante a été comme gelé”.

Ainsi s’exprime Gabriele Adinolfi au début de ce livre dans lequel il explique comment, dès les premières années de son exil, dans les années 1980, il a travaillé de manière très différente des pratiques habituelles, en mettant en place des réseaux politiques et méta politiques internationaux, composés de centres d’études italiens et européens, de Rome à Bruxelles, d’associations, de média en ligne, en se concentrant sur la formation et l’innovation, tout en veillant à ce que les fondamentaux de l’Idée du Monde dont l’auteur est issu soient toujours respectés. De cette volonté, naquirent Les Lansquenets d’Europe…

L’auteur ajoute : ”Avec ce livre, j’ai voulu expliquer ce que sont et ce que doivent devenir les Lansquenets, au coeur d’un projet de Réseau Impérial avec toutes ses composantes telles qu’elles sont produites par tout ce à quoi nous sommes liés, ou se formant d’elles-mêmes au sein d’un même courant en vue d’objectifs communs poursuivis indépendamment (…) Nous ne pouvons pas dire que le rôle joué par les Lansquenets soit devenu décisif, car en réalité il l’a toujours été.

Aujourd’hui, cependant, la nécessité de ce rôle commence à être comprise, et c’est la raison pour laquelle il est opportun qu’ils gagnent en nombre et en visibilité par rapport au passé”.

L’auteur : 

Gabriele Adinolfi est né à Rome en 1954. Dans les années 1970, il a fondé le mouvement “Terza Posizione“. Traqué dans son pays pour ses idées, il a passé près de vingt ans exilé en France. Depuis son retour en Italie, il dirige des centres d’études et anime diverses initiatives en Europe, dont celle des Lansquenets d’Europe. C’est ce qu’il nous explique dans cet essai.

Le Défi au futur, Gabriele Adinolfi et les Lansquenets d'Europe, Synthèse nationale, collection "Idées", 104 pages, 20,00€ (+ 6,00€ de port), sortie le 15 novembre 2023.

Vous pouvez le commander dès maintenant cliquez ici

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La haine en réseaux

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La mécanique des réseaux sociaux est celle de la partition ethnique et religieuse, de l’exacerbation des différences et des haines. Seuls des individus qui auraient reçu les anticorps à cette logique abrutissante et mortifère avant de s’y retrouver confronté peuvent se protéger de leurs effets pervers. Mais les sociétés occidentales ne semblent pas encore décidées à en tirer les conclusions qui s’imposent pour préserver ce qui reste de démocratie et de paix civile.

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Source : Marianne 2/11/2023

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mercredi, 01 novembre 2023

Samedi 18 novembre : Forum de Polémia

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Samedi 18 novembre 2023 de 9h30 à 19h00, aura lieu le 9ème Forum de la Dissidence. Le thème : « Gouvernement des juges : quel bilan, quelle légitimité ? »

Limiter le droit d’asile ? Impossible : la Cour européenne des droits de l’homme fulmine. Arrêter le regroupement familial des étrangers ? Impossible : le Conseil d’État l’impose depuis 1978. Condamner l’aide au franchissement de la frontière par les clandestins ? Impossible : le Conseil constitutionnel l’a sanctuarisé au nom du principe de fraternité. Lutter efficacement contre l’insécurité ? Impossible avec le laxisme des juges judiciaires.

Gouvernement des juges ? Quel bilan ? Quelles conséquences ? Il est temps d’ouvrir les yeux !

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23:18 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 4 novembre, toute la Vendée debout à St Jean-de Monts contre l'installation d'un centre de migrants

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COMMUNIQUÉ DU RASSEMBLEMENT VENDÉEN

La Vendée ne veut plus de clandestins africains

Appel au rassemblement 

Samedi 4 Novembre 2023 à 10 h

Hôtel de ville - 85160 St Jean De Monts

Ce sont 624 personnes SDF (Sans chez soi) qui ont trouvé la mort en 2022 dans les rues de France. Ce sont tous des Français de souche. Il n'y a parmi eux ni musulman, ni Africain. Sinon, la France aurait été mise à feu et à sang…

Les migrants vont dans les hôtels comme à Saint Jean de Monts en Vendée et les Français crèvent dans la rue. Les Français sont à bout de souffle, saignés de toutes parts, ils n'en peuvent plus!

L'immigration sème la violence, les émeutes sanglantes..et le terrorisme djihadiste, l'écart culturel qui nous sépare des arrivants n'a aucun équivalent dans notre histoire.

Les Nôtres avant les autres !

Le Groupe " Accueil migrants Vendée (GAM)" invite et installe des migrants sur la commune de Saint Jean de Monts en Vendée, à nos frais, avec la complicité de la municipalité dirigée par Véronique Launay et qui évidemment n'organise pas de consultation citoyenne sur cette question.

64% veulent l'arrêt pur et simple de cette immigration 

Bruno Leroy, représentant de cette association immigrationniste, le GAM , invite donc à une contre-mobilisation ce samedi 4 novembre à St Jean de Monts…

Le Rassemblement Vendéen appelle donc l'ensemble des Vendéens et des Français qui veulent que Saint Jean de Monts reste Saint Jean de Monts, que la Vendée reste la Vendée et que la France reste la France à venir nombreux à ce rassemblement, et en assurer un succès éclatant, en présence de :

• Pierre Cassen : Fondateur de Riposte Laîque.

• Jacline Mouraud : Grande figure des Gilets Jaunes

• Alain Avello : Responsable National des Patriotes

• Alban d'Arguin: Auteur du livre "Réchauffement climatique-Enquête sur une manipulation mondiale"

• Raymond de Malherbe : Conseiller Régional Pays de Loire

• Jacques Leblay : Porte-parole du Collectif Préservation de la Pierre Attelée de Saint Brévin

• Bernard Germain : Porte-parole de la coordination Partout Callac

• Ludivine Fassiaux : Présidente de l'Union Belâbraise

• Philippe Ponge : Collectif Sauvons Beyssenac

• Eric Mauvoisin-Delavaud : Président du Rassemblement Vendéen

Face aux complices du chaos, nous fédérons les partisans du sursaut, tous ceux qui croient en la France, en son identité, en sa culture et ses valeurs! C'est, ensemble, sûrs de nos forces et fiers de nous-mêmes, que nous écrirons une nouvelle page de l'histoire et du roman Vendée.

Nous exigeons donc une consultation citoyenne sur cette question, et l'annulation du projet du Groupe d'Accueil de Migrants en Vendée en attendant.

Haut les coeurs!

Eric Mauvoisin-Delavaud

président du Rassemblement Vendéen

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L'appel de la Coordination Partout Callac cliquez ici

18:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

1er et 2 novembre : Souvenir et fidélité

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15:04 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 31 octobre 2023

Soutenez le militant rennais de l'Oriflamme condamné pour avoir dénoncer un spectacle impudique

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Il y a quelques jours, nous avons rapporté sur ce site cliquez ici l'action pacifique menée par les militants rennais de l'Oriflamme contre un spectacle de drag-queens destiné aux écoliers dans une ville de la banlieue de Rennes.

Un militant a été lourdement condamné et vous êtes nombreux à nous avoir demandé comment le soutenir. Voici le communiqué de l'Oriflamme et le lien vers la "cagnotte" ouverte pour lui venir en aide.

Je me suis rendu à Rennes rencontrer ces militants vendredi dernier et je pense qu'ils méritent vraiment d'être soutenus.

Roland Hélie

Le communiqué de l'Oriflamme :

Lundi 9 octobre, un militant a été condamné par le tribunal correctionnel de Rennes à 4 mois de prison ferme pour le simple fait d'avoir participé à une contre-manifestion pacifique de dix minutes qui visait à dénoncer la tenue d'une lecture organisée par des drag-queens dans la médiathèque de Saint-Senoux et cela devant des enfants âgés de trois à six ans.

Cette lecture, faite par des drag-queens militants visait notamment à présenter la "diversité des familles" à des enfants qui ne disposent encore d'aucun esprit critique. Il est inadmissible que des drag-queens disposent de jeunes enfants dans des lieux publics dans le but de leur enseigner leur catéchisme déconstructionniste.

Toutefois, la justice a décidé de condamner ce militant à 4 mois de prison ferme pour incitation à la haine et organisation d'une manifestation non déclarée, et l’a en outre condamné à indemniser les parties civiles qui s’estiment victimes d’une contestation légitime et pacifique des leurs actions militantes.

Alors que la France s'effondre, les patriotes sont les seuls à être réellement condamnés par des magistrats qui ne cachent plus leur idéologie et leur dépendance à l'État, alors que les infractions reprochées n’étaient nullement qualifiées juridiquement.

La pression du tribunal médiatique dans une ville gangrénée par l’extrême gauche aura-t-elle contraint l’autorité judiciaire ?

En outre, la perspective d’une condamnation définitive est de nature à compromettre son avenir professionnel.

Cette cagnotte vise donc à soutenir le militant condamné, sa femme et son jeune fils, pour payer les frais d'avocats et affronter son avenir.

Pour aider le militant condamné cliquez ici

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17:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

IVG dans la Constitution : quand l’idéologie vient contaminer notre norme suprême

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Guillaume Drago *

Le président de la République vient de confirmer sa volonté de « graver dans notre Constitution la liberté des femmes de recourir à l’IVG », selon ses propres termes, de façon à la rendre « irréversible ». Cette volonté déjà affirmée le 8 mars dernier lors de la Journée de la femme intervient à un curieux moment, à l’heure de deux conflits majeurs, en Europe et au Moyen-Orient, suscitant une tension mondiale et décuplant le risque terroriste. Le citoyen peut légitimement s’interroger sur l’ordre des priorités présidentielles. Il existe pourtant une raison conjoncturelle qui explique la parole dominicale du président.

On se souvient que plusieurs propositions de loi constitutionnelle ont été déposées, à l’Assemblée nationale et au Sénat, pour défendre l’inscription de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution, depuis 2018. Sans toutes les reprendre, il faut signaler celle votée en novembre 2022 à l’Assemblée nationale puis au Sénat en mars 2023, après une modification sensible.

À l’Assemblée, la proposition défendait un « droit » à l’avortement pour toutes les femmes. Au Sénat, la finesse de la Haute Assemblée avait préféré conforter la compétence du législateur en cette matière, ajoutée à l’article 34 de la Constitution sur la compétence du législateur, en énonçant que « la loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté de la femme de mettre fin à sa grossesse », ce qui est fort différent. Le Sénat reconnaît bien une « liberté de la femme », ce qui n’est pas un « droit » que l’on pourrait revendiquer en toutes circonstances, mais il fait du législateur l’organisateur et, d’une certaine façon, le garant de cette liberté, qui pourrait comporter des limitations et des conditions d’exercice précisément définies. Ces différences entre les textes des deux assemblées ne sont donc pas que sémantiques. Cette dernière version devait revenir à l’Assemblée nationale le 30 novembre prochain, dans la « niche parlementaire » ouverte au groupe d’opposition La France insoumise. Les égéries de ce groupe pouvaient espérer un vote de ralliement à la version du texte issue du Sénat, cette « liberté » étant un « premier pas » vers un « droit » qui serait reconnu plus tard.

Mais le vote conforme d’un texte par l’Assemblée et le Sénat, pour une proposition de loi constitutionnelle d’origine parlementaire, devait obligatoirement conduire à la présenter aux Français par la voie du référendum, ce qu’impose l’article 89 de la Constitution (« la révision (constitutionnelle) est définitive après avoir été approuvée par référendum »). Autrement dit, le président de la République aurait dû organiser un référendum, ce qui n’est pas le mode d’action préféré des présidents, ce que chaque Français constate souvent avec regret... C’est ce qui justifie cette déclaration du président de la République, selon un contretemps difficilement explicable sans ces précisions. Annoncer un projet de loi constitutionnelle permet au président de reprendre la main et de solliciter alors le Congrès - réunion des deux assemblées parlementaires - pour un vote commun, évitant ainsi le référendum. Les Français apprécieront.

Ce rappel nécessaire de la procédure permet de comprendre combien ce thème de l’avortement suscite de tensions dans la société. À la vérité, personne, dans la société française contemporaine, ne considère que l’avortement est menacé. Il faut même dire que, plus que jamais, le recours à l’IVG est généralisé puisque, en 2022, 234 300 avortements ont eu lieu, en augmentation de 7 %, soit un quart des naissances potentielles dans notre pays. Ce chiffre considérable devrait inquiéter nos politiques, signe de paupérisation, de jeunesse à la dérive, d’immaturité affective et sexuelle, signe tragique qui révèle le grand tabou de la société française. Au lieu de s’interroger sur les causes du recours à l’IVG et sur les moyens d’aider les femmes en difficulté conjugale, affective, sociale, familiale, on veut inscrire dans le marbre constitutionnel ce que la loi de 1975 identifiait clairement  comme une situation de « détresse », terme employé alors par la loi.

Rappelons que la loi du 17 janvier 1975 sur l’IVG énonce, dans son article premier, que « la loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu’en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi ». Ce principe législatif était, lors du débat de 1975, un élément essentiel qui avait conduit à accepter une « suspension » (c’est le terme employé par l’article 2 de la loi) des dispositions du code pénal réprimant la pratique de l’avortement (ancien article 317). Il s’agissait d’équilibrer les droits de la mère et ceux de l’embryon, en posant une règle dérogatoire au « respect de tout être humain dès le commencement de la vie ».  On voit combien l’esprit de cette législation, par essence dérogatoire, a été détourné au profit de ce qui deviendrait une « liberté » constitutionnelle, revendiquée par chaque femme. Si la proposition de loi constitutionnelle était votée, elle s’imposerait à cette législation qui deviendrait en quelque sorte sans objet. C’est l’ensemble de l’édifice législatif relatif à l’IVG qu’il faudrait modifier.

L’inscription de l’IVG dans la Constitution, en tant que liberté fondamentale, conduira nécessairement à la fin de la liberté de conscience des personnels de santé, qui ne pourront pas s’opposer à une liberté fondamentale de la femme. Les droits de l’enfant, la protection de la santé publique, la liberté personnelle des soignants seront gravement en danger avec cette « liberté » constitutionnelle de la femme. Pourra-t-on encore dire que l’on est en désaccord avec l’avortement ? L’enjeu est celui de la liberté des citoyens, et pas seulement de la femme. C’est un enjeu global, celui de la protection du plus faible, l’enfant à naître, ignoré des débats parlementaires et d’un président indifférent.

(*) Guillaume Drago est professeur de droit public à l’université Paris-Panthéon-Assas.

Source : Le Figaro 31/10/2023

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Que du bon sens !

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"QUE NOTRE JOIE DEMEURE" : 2024, sortie d'un film de Cheyenne-Marie Carron consacré au Père Hamel

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lundi, 30 octobre 2023

Transhumains trop humains

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La chronique de Philippe Randa

Jamais l’adage populaire « on n’est jamais trahi que par les siens » n’aura été si vrai. Preuve par les « monsieur-madame-tout-en-un » en général et par les responsables de La Fondation du Refuge, sise à Montpellier et ses victimes, en particulier.

Celle-ci, reconnue d’utilité publique, se doit d’avoir un objet « à caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, familial ou culturel » : pour cela, lit-on sur son site, elle « héberge et accompagne les jeunes LGBT +, âgés de 14 à 25 ans, rejetés par leurs parents, chassés du domicile familial, parce qu’ils sont homosexuels ou trans et/ou en questionnement identitaire ». Tout un programme !

Tout pourrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes LGBTXYZ + etc. si une autre association au nom explicite – l’Association des victimes de la Fondation Le Refuge, domiciliée elle aussi à Montpellier – n’avait pas porté sur la place publique la condamnation de la première pour… discrimination sexuelle envers un ? une ? autre ? (sans opinion ?) de ses salarié(e) s.

Monsieur devenu Madame Krystal Gil aurait en effet, selon son avocat, été victime de discrimination pour avoir été licencié(e) le 3 mai 2021 pour « faute grave », ce que bien évidemment l’association dément avec la plus haute indignation.

Le licenciement pour faute grave ayant été requalifié en « licenciement nul », l’employé devenu indésirable a obtenu 15 000 euros en réparation de sa perte d’emploi, du préjudice sexuel et de sa discrimination morale… ou plutôt de son préjudice moral et sa discrimination sexuelle (à force de tout retourner dans tous les sens, on finit par s’y perdre)…

Évidemment, l’association condamnée fait appel et les Montpelliérains auront droit à un deuxième round d’affrontement judiciaire qui restera toujours préférable à quelques castagnes à coups de sac à main, de bas filés et de talons aiguilles cassés.

Quelle que soit l’issue de ce règlement de comptes transhumains trop humains, l’avenir de l’association risque d’être tout de même assombri par un tel crêpage de chignon… et les dons, si ce n’est les subventions publiques, risquent de se faire plus chiches à l’avenir.

Preuve s’il en est une fois encore qu’une révolution, fut-elle sexuelle, finit toujours par dévorer ses propres enfants au nom des grands principes qu’elle est censée défendre ou promouvoir !

Ou, si l’on préfère, qu’un « pur » trouve toujours un plus « pur » qui l’épure !

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