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mercredi, 04 septembre 2024

Nazis par-ci, nazis par-là, nazis partout…

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La chronique de Philippe Randa

Ce week-end, en Allemagne, le parti AFD a obtenu de larges victoires aux élections régionales (1er en Thuringe avec 32,8 % des voix, 2e en Saxe avec 30,6 % des suffrages, soit seulement 1,3 point de moins que la CDU à 31,9 %).

Ces victoires, l’immense majorité des médias les reconnaissent, bien obligés, mais assortissent leurs commentaires au mieux du constat laconique que « l’extrême droite progresse », au pire en s’horrifiant de ce qu’en Allemagne « l’AfD continue de gagner du terrain grâce au sulfureux Björn Höcke (…) personnage ouvertement néo-nazi », comme l’écrit une journaliste de RTL.

Vraiment néo-nazi ? Bien sûr, la preuve par sa condamnation « à deux reprises pour avoir utilisé l’expression nazie “Tout pour l’Allemagne” » (sic !).

Et pour les esprits lents ou distraits qui n’appréhenderaient pas vraiment la menace, cette journaliste enfonce le clou en interrogeant : « Le retour des néo-nazis au pouvoir ? »

Au moins ne pourra-t-on pas dire, grâce à de telles mises-en-garde, n’est-ce pas ! qu’on ne savait pas !

Pourtant, cela fait près de 80 ans maintenant que le IIIe Reich a mordu la poussière dans les décombres de Berlin et qu’il n’y a guère de jour où les crimes, atrocités, monstruosités, horreurs en tous genres ne sont pas rappelés, commentés, augmentés, multipliés, voire même supposés tant qu’à faire partout dans le monde autant que faire se peut et surtout, peut-on le constater, pour que certains se maintiennent au pouvoir coûte que coûte…

Des esprits chagrins pourraient ainsi faire remarquer qu’un peu partout en Europe ces dernières décennies, ces extrêmes droites tant honnies, ces « désignés nazis » si honnis, ne cessent néanmoins de convaincre de plus en plus d’électeurs.

Serait-ce parce qu’ils seraient vraiment si « nazis » que cela ou parce que le « nazisme » ne serait pas « cela » ou peut-être pas « que cela » ?

Ou pire encore : ces électeurs de l’AFD, pour ne parler que d’eux, n’ont-ils pas finis par considérer que tous les auto-proclamés anti-nazis sont finalement plus méprisables, sinon détestables que les nazis… ne serait-ce que par leurs évidents mensonges et leurs propagandes outrancières ?

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18:10 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 7 septembre, Claude Janvier dédicacera ses livres à la Librairie Vincent à Paris

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12:00 Publié dans Claude Janvier, Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Allemagne : la montée des populistes de l’AfD

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La percée de l’AfD lors des élections régionales en Saxe et en Thuringe est révélatrice de la crise profonde qui couve en Allemagne, et du fossé qui se creuse entre l’est et l’ouest du pays, explique le politologue Patrick Moreau.

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Source : Le Figaro 4/9/2024

 

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mardi, 03 septembre 2024

Sortie très prochaine du nouveau livre de Bernard Germain : "Démasquer la gauche, cette imposture permanente"

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Ces camarades qui nous quittent...

mmlo.jpegLa semaine dernière, quatre de nos camarades de combat nous ont quittés. Il s'agit de Dominique Vernhes (ancienne étudiante à Saint-Maur) et Christian Wirtz cliquez ici, qui avaient milité à Ordre nouveau dans les années 1970, de Jean-Claude Nadot cliquez là et de Jean Barone, décédé vendredi dernier chez lui dans les Yvelines, qui fut, lui aussi, de tous les combats depuis le Parti des forces nouvelles au début des années 1980.

Régulièrement (trop hélas), nous faisons part sur ce site, lorsque nous en sommes informés, des disparitions qui peinent les milieux nationalistes. Si la droite nationale est aujourd'hui aux portes du pouvoir, n'en déplaise à certains, c'est parce que, depuis des décennies, envers et contre tous, des mouvements et des militants ont maintenu la flamme allumée. C'est notre façon à nous de leur rendre hommage...

R H

En mémoire de Dominique Vernhes et de Christian Wirtz, en accord avec Jacques Mayadoux, coordinateur de l'ouvrage, nous vous proposons ici leurs deux contributions parues dans "Ordre nouveau raconté par ses militants" cliquez là

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11:31 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Emmanuel Todd : «La Russie gagne la guerre et l’Europe implose»

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11:22 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand l’Europe sera islamisée

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Dans un texte publié par la presse espagnole, et pour la première fois traduit en français, l’écrivain espagnol Arturo Perez-Reverte livre une réflexion sur la façon dont l’immigration bouleverse en profondeur la civilisation européenne. Selon lui, le terme qu’il faut employer pour qualifier l’attitude d’une partie de l’immigration musulmane est le mot grec « oikophobie », qui désigne la haine de sa maison, du lieu où l’on vit, et le refus d’en adopter les coutumes.

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Source : Le Figaro 2/9/2024

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Allemagne : L’AFD a remporté une élection régionale et progresse encore

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Michel Festivi 

Malgré les coups bas, les tentatives de dissolution, les attaques permanentes juridiques et politiques, les manifestations massives des « antifas », les désinformations continuelles et les dénigrements systématiques des partis dits de « droite » comme la CDU, l’AFD poursuit sa course en avant.
 
Des élections régionales avaient lieu ce 1er septembre en Saxe et en Thuringe, pour renouveler les parlements locaux et ainsi désigner un gouvernement pour ces deux Länders. 
 
En Saxe, la CDU et l’AFD sont au coude à coude. Les chrétiens démocrates obtiennent 31,9%, le parti anti immigration et qui entend défendre l’Allemagne et les Allemands d’abord, 30,6%. En sièges l’AFD a désormais 40 élus, soit 2 de plus, la CDU 41, mais 4 de moins par rapport à la dernière consultation de 2019.
 
Le SPD maintient 10 élus, les verts en perdent 4. Mais c’est le nouveau parti d’extrême gauche « Pour la raison et la justice » BSW, qui créé il y a quelques mois, fait une entrée fracassante avec 15 élus et 11,8% des suffrages. Ce parti qui provient d’une scission d’avec Die Linke (la gauche), prône lui aussi une stricte politique migratoire et un arrêt de toute aide militaire à l’Ukraine. Die Linke n’aura elle aucun élu, elle était restée sur des positions classiques d’extrême gauche, ce qui a provoqué cette scission et sa débâcle.
 
En Thuringe, l’AFD a obtenu une victoire historique. C’est la 1ere fois qu’en Allemagne, depuis 1945, un parti qui combat le système politique imposé après guerre, réussit à être le premier dans une élection d’importance. Avec 32,8% soit un gain de près de 10 points, l’AFD obtient 32 élus soit 10 de plus qu’en 2019. La CDU maintient ses positions avec 23 députés. Mais le plus significatif c’est que les verts et les libéraux disparaissent de ce parlement. Le SPD n’a que 6 députés et Die Linke qui dirigeait la région depuis 2019 s’effondre avec 12 élus alors que le BSW obtient 15 élus. Si l’AFD et le BSW s’entendaient, ils pourraient gouverner, mais cette combinaison semble aujourd’hui, en l’état, guère probable. 
 
En Thuringe comme en Saxe, la CDU a claironné qu’elle refuserait toute alliance avec l’AFD préférant rechercher des accords avec la gauche et les verts. Les mêmes trahisons qu’en France se profilent. D’ailleurs Olaf Scholz, le chancelier, a appelé à des coalitions sans l’AFD. Mais la combinaison nationale allant du SPD, des verts aux libéraux du FDP est aujourd’hui particulièrement fragilisée. Les derniers attentats islamistes ont provoqué une onde de choc dans  tous le pays. Les attaques au couteau se multiplient et les réponses gouvernementales sont dérisoires et pitoyables.
 
Fin septembre, des élections auront lieu dans le Brandebourg, autre région de l’Est de l’Allemagne où l’AFD espère là aussi un très bon résultat. En 2019 elle avait battu la CDU et talonné le SPD. En tout cas gageons que des tripatouillages vont s’engager pour tenter de priver l’AFD de briguer des postes dans les futurs exécutifs régionaux. Gageons aussi que les crises que subit aujourd’hui l’Allemagne vont perdurer : immigration massive, dépression économique, augmentation des actes de violences. Il n’y a aucune raison que cela ne cesse, tant qu’une vraie politique qui place les intérêts supérieurs du pays en première ligne, ne verra pas le jour. Toute ressemblance avec des faits ou des situations pouvant se passer France ne serait que purement fortuite bien entendu. 

00:45 Publié dans En Europe et ailleurs..., Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 02 septembre 2024

À PROPOS DU LIVRE "DÉFENSE DE L'OCCIDENT ET LA GARDE DE FER" QUI VIENT DE PARAÎTRE : UN GRAND ENTRETIEN AVEC DR MERLIN SUR BREIZH-INFO

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Source cliquez ici

Breizh-info.com : Pouvez vous vous présenter aux lecteurs qui ne vous connaîtraient pas ?

Docteur Merlin : Ayant produit une dizaine d’albums de chansons très politiquement incorrectes, j’ai la chance d’être apprécié depuis de nombreuses années dans les milieux dits « identitaires ». Mon engouement pour la Roumanie et son histoire m’ont amené à écrire le Cahier d’Histoire du nationalisme consacré à Cornéliu Zelea Codreanu cliquez ici. Depuis j’ai préfacé la réédition de « Pentru légionar » (titre français : la Garde de fer) le livre de ce leader charismatique assassiné cliquez là.

Breizh-info.com : Pourquoi avez-vous jugé important de rédiger une préface pour ce livre cliquez ici ? Quel est le message principal que vous souhaitez transmettre au lecteur ?

Docteur Merlin : S’agissant de ce nouvel ouvrage consacré au mouvement légionnaire roumain, c’est un peu par hasard que je suis tombé sur un exemplaire de « Défense de l’Occident » dont l’un des articles abordait ce sujet. J’ai eu l’idée de consulter la collection complète de cette revue qu’a aimablement mis à ma disposition Me Junod, l’infatigable président des « Amis de Robert Brasillach » et du souvenir de Maurice Bardèche (le créateur de cette revue mythique). Bien m’en a pris puisque j’ai découvert une quinzaine d’articles concernant le mouvement nationaliste roumain ou écrits par les survivants, exilés pour la plupart en Espagne et luttant contre le communisme.

Outre un gros travail de saisie, il restait à présenter ces textes et leurs auteurs. Ces écrits n’avaient jamais été réunis dans un même volume et leur intérêt historique, tout comme leur actualité inédite en font un ouvrage digne de figurer dans toute bonne bibliothèque.

Breizh-info.com : Pouvez vous nous explique plus en détail le contexte politique et social de la Roumanie dans les années 1920 et 1930 ? Comment cette situation a-t-elle influencé l’émergence de la Garde de Fer et de Cornéliu Zelea Codreanu ?

Docteur Merlin : Pour faire simple, le mouvement de Codreanu a pour origine la révolte des étudiants roumains « de souche » face à une oligarchie corrompue, une mainmise hébraïque sur l’économie et la presse et l’accès aux études supérieures et une répression farouche du pouvoir. Mais aussi face à la menace communiste. Il n’est pas inutile de rappeler les exactions des « soviets » de militaires russes en Bessarabie (l’actuelle République moldave) pendant la révolution de 1917, ainsi que la dictature sanglante de Béla Kun dans la Hongrie voisine, matée par les troupes roumaines. Plus tard, les famines de l’Ukraine toute proche ne feront qu’exacerber l’opposition absolue à la terreur rouge. Si vous ajoutez une imprégnation majeure de la religiosité, vous détenez le cocktail détonnant qui a vu éclore la « Légion de l’Archange Saint Michel ».

Breizh-info.com : Comment décririez-vous Cornéliu Zelea Codréanu en tant que leader et idéologue ? Qu’est-ce qui, selon vous, a fait de lui une figure emblématique pour certains, et controversée pour d’autres ?

Docteur Merlin : Vous dire que regarder sa photo répond à la question serait un peu rapide, mais il y a de ça ! Codréanu, (que ses fidèles appelaient le « Capitaine » en référence aux « Haïdouks », ces rebelles issus du peuple qui combattaient l’envahisseur Turc ou ses affidés.) réunissait les qualités d’un activiste révolutionnaire, d’un chef charismatique, d’un organisateur hors pair et d’un chrétien mystique. Il a su attirer à lui des masses imposantes de Roumains, paysans et étudiants, mais aussi un grand nombre d’intellectuels (les frères Blaga, Mircea Eliade, Emil Cioran, Nae Ionescu etc.). Il n’a guère été contesté que par une bourgeoisie gangrénée accrochée à ses privilèges et un pouvoir devenu, au fil des ans, dictatorial et sanguinaire, à tel point que le Roi Carol II, d’une jalousie maladive à son égard et influencé par sa maîtresse juive et son entourage (la « Camarilla ») finit par ordonner son assassinat.

Breizh-info.com : Quelle était la stratégie de Codréanu pour atteindre ses objectifs ? En quoi ses idées différaient-elles de celles des autres mouvements nationalistes de l’époque ?

Docteur Merlin : C.Z.C. n’avait qu’un objectif : créer l’homme nouveau, fait de droiture, de sacrifice (de sa vie si besoin) et d’empathie pour son peuple et sa terre et son histoire. C’est cet homme nouveau qui, seul, pourrait transformer la Roumanie et balayer toutes les scories antinationales. C’est par l’exemple, le travail, la prière, la propagande de tous les jours de tous les Légionnaires qu’en quelques années, des centaines de milliers d’âmes ont rejoint cette espérance. Codréanu avait coutume de répondre à cette question en disant que l’Allemagne appuyait sa révolution sur la Race, L’Italie sur l’État et qu’il comptait s’appuyer sur l’âme du peuple.

Breizh-info.com : Pourquoi considérez-vous ce livre comme un document historique indispensable pour comprendre cette période ? Quelles sont les leçons que les lecteurs modernes peuvent en tirer ?

Docteur Merlin : N’exagérons rien, ce livre a pour ambition de mettre à la disposition du lecteur des textes épars qu’il était difficile de consulter jusque-là. C’est un complément utile aux textes, assez rares, consacrés à la Garde de fer d’autant qu’il met en lumière la résistance idéologique anticommunistes des exilés.

Breizh-info.com : Le livre met en avant un nationalisme fortement lié à la Chrétienté. Comment ce lien a-t-il influencé le mouvement et son idéologie ?

Docteur Merlin : La longue histoire de la Roumanie est une suite d’occupations, Romaine, ottomane, Austro-Hongroise, Russe. Le Royaume de Roumanie n’a qu’une cinquantaine d’années d’existence quand éclate la première guerre mondiale. De la fin des combats, naît la « Grande Roumanie » réunissant enfin toutes les terres roumaines, unies dans l’orthodoxie de l’Église Roumaine. C’est la foi profonde du paysan roumain et l’intangibilité des ses rites (parfois hérités d’un passé lointain et juste tolérés par l’épiscopat) qui sont l’Âme du pays. C’est sans doute la raison pour laquelle Codréanu est apparu au peuple comme un envoyé du Ciel, et qu’il a mis son mouvement sous la protection de l’Archange Saint Michel. C’est aussi pourquoi de nombreux prêtres ont participé à cette « croisade », parfois au péril de leurs vies. Il est d’ailleurs significatif que l’Église Orthodoxe Roumaine (Autocéphale) qui vient de sanctifier 3 prêtres martyrs du communisme dont 2 avaient été Légionnaires, a fermement « renvoyé dans leur but » la fondation Elie Wiesel (l’équivalant roumain de la LICRA) et ses prétentions de gendarme de la mémoire.

Breizh-info.com : Pensez-vous que les idées de Codréanu et de la Garde de fer aient une résonnance aujourd’hui ? Si oui, dans quel contexte.

Docteur Merlin : Codréanu était sans doute idéaliste, mystique et charismatique, mais c’était aussi un pragmatique. Il affirmait qu’il fallait d’abord avoir des « hommes » avant d’avoir un « programme ». C’est pourquoi l’épopée tragique du mouvement légionnaire peut résonner au plus profond de chacun d’entre nous, bien au-delà des querelles politiciennes. Droiture morale, agir au lieu de parler, exemplarité, sens du devoir et du sacrifice…

Que de leçons à retenir !

Propos recueillis par YV

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Un monde qui s’efface

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Les générations d’après la Seconde Guerre mondiale qui ont connu une France « paisible », unitaire où dominait le sentiment d’appartenir à la même communauté de destin, sont pour le moins « estomaqués » par le paysage morale et politique qui se déroule désormais sous nos yeux. On se pose la question de savoir ce qui nous a amené à ces doses massives de masochisme, à cet abrutissement généralisé et à la soumission à des pseudo principes – les droits de l’homme – qui n’ont plus rien à voir avec la réalité. On en arrive au point de reconnaître un ovni de troisième sexe avec les transgenres ! Un élément de réponse nous est donné par ce texte qui nous a été envoyé par un confrère et issu d’une revue confidentielle, Antipresse.

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Magnifique réussite des journées annuelles de Chiré-en-Montreuil

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Samedi et dimanche, à Chiré-en-Montreuil, près de Poitiers, se déroulaient les traditionnelles Journées chouannes admirablement organisées par Diffusion de la Pensée française cliquez iciCes deux journées ont été marquées par une série d'interventions d'écrivains de talent.

Comme chaque année, Synthèse nationale était de la partie avec un stand sur lequel étaient proposés au public nos livres et notre revue. C'est avec joie que nous y avons retrouvé de nombreux lecteurs venus de toute la France. Nos amis Bernard Germain et Thierry DeCruzy dédicacèrent des dizaines d'exemplaires de leurs derniers livres et des centaines de tracts présentant Synthèse nationale furent distribués. 

Nous remercions l'équipe de Chiré pour son accueil si sympathique et pour le magnifique travail qu'elle effectue depuis des décennies pour la défense de la France et de la civilisation chrétienne.

La Minute de Ricardo était sur place :

 

dimanche, 01 septembre 2024

Ce n’est pas la France qui a tué Éric Comyn

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Pascal Praud

Ce n’est pas la France qui a tué le gendarme Eric Comyn.

Ce sont ses dirigeant. Ce sont ses gouvernants.

Ceux d’hier et ceux d’aujourd’hui.

L’homme politique décrit le réel. C’est son devoir.

Il dit non. C’est sa mission.

Le général De Gaule a dit non.

L’homme politique oublie devoir et mission quand il abandonne le courage.

L’homme politique oublie devoir et mission quand il abandonne le courage.Les hommes politiques que je connais, qu’ils soient de droite ou de gauche, sont lucides. Ils ne sont pas dupes de la tiers-mondisation du pays. Ils disent en privé ce qu’ils ne racontent jamais en public. École, service public, islamisation, immigration, insécurité, ils savent. Hélas ! Ils ont peur ! Les gouvernants ont peur. Peur des médias. Peur de France Inter. Peur des réseaux sociaux. Peur du qu’en-dira-t-on. Peur d’être taxés de racistes, de fascistes, d’extrême droite. Peur d’être éjectés du système, de perdre sa place, son fauteuil.

Ils sont lâches ! Ou ils sont pleutres !

En tout cas, ils sont timorés ! La droite monte au créneau.

La gauche se tait.

La sécurité est un sujet qui devrait entraîner le consensus. Ce n’est pas le cas.

Faut-il rappeler à la gauche cette formule de l’un des siens, Georges Clemenceau, qui plaçait la sécurité des individus au centre de son action : « Il faut savoir ce que l’on veut. Quand on le sait, il faut avoir le courage de le dire ; quand on le dit, il faut avoir le courage de le faire. »

Courage, fuyons !

Et c’est vrai qu’il faut mettre son casque pour sortir du bois. Il faut affronter la pensée dominante. «Généralement les gens intelligents ne sont pas courageux et les gens courageux ne sont  pas intelligents », aimait à répéter Charles De Gaulle.

Admettons que la nouvelle présidente du Festival de Deauville Aude Hesbert soit très intelligente. Elle a écarté le trompettiste Ibrahim Maalouf du jury en raison d’« un malaise dans l’équipe ». En 2017, une collégienne de 14 ans a accusé Ibrahim Maalouf de l’avoir embrassée sans son consentement. En 2020, la justice l’a relaxé. Il est innocent. Pas pour Madame Hesbert. Elle l’a congédié sans un coup de fil. Ces gens-la savent vivre.

La réalisatrice Maïwenn a aussi éprouvé les foudres de cette dame de la Côte. Maïwenn avait engagé Johnny Depp pour interpréter Louis XV dans son film Jeanne du Barry. Or Depp est toxique dans le petit monde du cinéma depuis son divorce et ses démêlés judiciaires avec Amber Heard. Maïwenn a manqué à la cause féministe. Elle n’ira pas à Deauville. Entre Madame Hesbert et nos gouvernants, il existe une différence de degré. Pas de nature. La peur commande.

Et que penser des autres jurés du Festival de Deauville ? Les suites de l’hôtel Le Normandy sont confortables. On ne fait jamais semblant d’être courageux.

Gramsci, encore et toujours

Les jeunes gens qui commencent dans la carrière, qu’ils soient intellectuels, universitaires, artistes, romanciers, journalistes, que sais-je, ces jeunes gens ont plutôt intérêt à montrer patte blanche s’ils veulent gravir les échelons là où ils ont posé leurs valises.

Au risque de me répéter et de citer une nouvelle fois Antonio Gramsci, le pouvoir culturel commande les autres pouvoirs. La société civile est le champ de bataille des idées. Elle fabrique selon l’expression de Gramsci du « consensus-consentement ». Il s’agit de marteler des axiomes qu’à force de répétition plus personne ne discutera. Une idéologie aura gagné. Un exemple ? « La prison fabrique des récidivistes » est une antienne reprise jusqu’à plus soif par des médias paresseux. La formule est devenue une vérité révélée que nul ne remet en doute. Voilà comment est gagnée une guerre des idées. Le combat idéologique précède la loi.

Cette bataille culturelle réclame des ambassadeurs. Les Thomas Jolly, Daphné Bürki et tant d’autres sont les ambassadeurs du progressisme ou du wokisme à visage humain dont la bonne parole dégouline matin, midi et soir sur les antennes du service public et irrigue les salons parisiens. Pas un film, pas un roman, pas une publicité sans qu’en filigrane, on devine les intentions et les objectifs. J’écoutais ce mercredi Madame Bürki expliquer durant la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques comment il fallait penser, pourquoi il fallait penser, avec qui il fallait penser, et je n’en pouvais plus. Ne doutez jamais de la haute idée que ces ambassadeurs de la moraline ont d’eux-mêmes. L’humour, la dérision, la distance n’entrent pas dans leur boîte à outil. Ils assènent. Ils excommunient. Ils assomment.

Source : Le Journal du dimanche du 1er septembre 2024

 

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Journal du chaos

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samedi, 31 août 2024

Chemin de croix

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Gaëtan de Capèle

Cela fait maintenant quarante-six jours qu’Emmanuel Macron est à la recherche d’un mouton à cinq pattes pour Matignon. Un extraterrestre qui mènerait une politique à la fois de droite - mais point trop - et de gauche - point trop non plus - pour espérer coaliser un bloc central jusqu’ici introuvable. Et dont la première priorité serait d’établir un budget pour l’an prochain. Souhaitons-lui bon courage ! Alors qu’il ne reste que quelques jours pour boucler cet exercice, aux dernières nouvelles, la situation, déjà critique, ne fait qu’empirer : les recettes attendues ne sont pas au rendez-vous et les dépenses des collectivités territoriales s’envolent. Résultat, l’objectif de ramener le déficit de 5,5 % du PIB à 5,1 % - chiffres déjà cauchemardesques - ne sera pas atteint.

Ce grand dérapage devrait faire dresser les cheveux sur la tête de n’importe quel parlementaire soucieux des finances publiques. L’Assemblée nationale - particulièrement celle dernièrement élue - compte, hélas, davantage de démagogues que de représentants de cette espèce en voie de dis- parition. Voilà bien le cœur du problème : comment réunir une majorité en prônant, si ce n’est la rigueur, ce faux épouvantail dont nous avons depuis longtemps perdu le sens, du moins un peu de sérieux budgétaire ? Par quel miracle trouver avec un Parlement en mille morceaux les économies que l’on a échoué à faire avec une troupe en ordre de marche? Lorsque neuf députés sur dix préconisent de nouvelles dépenses (augmentation du smic, embauche de fonctionnaires, remise en cause de la réforme des retraites...), ce n’est plus une discussion budgétaire qui s’annonce, c’est un chemin de croix.

Depuis plusieurs années, la France, quoique gérée en dépit du bon sens, bénéficie d’une grande clémence. Promettant beaucoup avant de s’asseoir systématiquement sur ses engagements, elle n’a jamais eu à subir les foudres de Bruxelles ni des marchés. Mais cela, c’était avant que la dérive de ses comptes atteigne à ce point la cote d’alerte. Et avant que le désordre politique qui s’installe donne la dangereuse impression d’un pays en train de se paralyser tout seul.

Source : Le Figaro 31/8/2024

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vendredi, 30 août 2024

Comme chaque année, Synthèse nationale sera présente aux Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil (86)

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jeudi, 29 août 2024

Jean-Claude Nadot, figure des milieux nationalistes parisiens, nous a quitté

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C’est avec une grande tristesse que nous apprenons le décès de Jean-Claude Nadot, fidèle camarade parisien de la cause nationale. Il était né le 20 août 1939 et s’en est allé le 27 août 2024, à 85 ans,

Jeune appelé du contingent en Algérie, il servit dans le service de santé des Troupes de Marine. De retour à Paris, il entra dans la banque où il fit une belle carrière,. Il soutiendra toute sa vie les associations  patriotiques et partis nationalistes, il fut régulièrement candidat du Front national à l’époque où il n’y avait rien à gagner à part des ennuis.

Ce bon vivant, célibataire, toujours d’humeur égale, était particulièrement généreux. Il était une figure du milieu nationaliste parisien apprécié aussi pour ses invitations à des repas pantagruéliques. 

Il avait à cœur de faire partager ses opinions politiques radicales et ses goûts pour le cinéma, Toujours en costume cravate, il était incollable sur l’histoire politique et avait une mémoire infaillible concernant les noms et les alliances familiales, Il a été de toutes les manifestations, meetings et congrès. Il ne manquait jamais une Journée Bleu-Blanc-Rouge de Synthèse nationale...

Nous nous retrouverons, Cher Jean-Claude, aux Alyscamps, au Paradis ou au Valhalla pour raconter des souvenirs de vieux fachos...

B C A

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Le pire n’est jamais certain… la preuve en BD !

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La chronique de Philippe Randa

Ayant acquis un lot de bandes dessinées chez un brocanteur pour une exorbitante somme de 50 euros pour 33 albums, choisis d’un (très) rapide coup d’œil, je pensais qu’il y aurait beaucoup de « très moyen » sinon du « pas terrible » en espérant, on ne sait jamais, acquérir une ou deux pépite(s), des fois que…

L’une de ses BD est intitulée La voyageuse de petite ceinture (Ed. Dargaud, 1986) ; j’y découvre dès la deuxième page cette phrase en exergue : « Par des images enthousiasmantes, nous voulons affirmer une France arc-en-ciel » et c’est signé « Frida, Candida et Barbara, “rouleuses” de l’antiracisme »… Oups !

J’ai donc décroché le gros lot d’une belle histoire qui ne va pas du tout, du tout, du tout me plaire, mais bon ! quitte à boire la cigüe de la propagande mondialisante et repantante jusqu’à la lie, je me console avec le prix de mon acquisition qui atténue tout de même mon épreuve !

Surprise ! De pages en pages, cette épreuve non seulement ne survient pas et au contraire, d’étonnements en surprises, je découvre sinon tout le contraire de ce à quoi je me suis attendu, du moins une vision très réaliste – et honnête – de la société française des années 80 du siècle dernier… telle que je l’ai connue.

Et où tous les protagonistes mis en scène, qu’ils soient européens, africains ou nord-africains en prennent pour leur grade ! Sans distinction ! Il ne faut donc jamais jurer de rien… et ne pas se fier aux apparences, le pire n’étant jamais certain.

L’histoire est celle de Naïma, une vagabonde d’origine nord-africaine, en rupture familiale, vivant d’expédients dans et autour du réseau ferroviaire de l’ancienne petite ceinture parisienne. Elle rêve tout éveillée d’une autre vie, forcément merveilleuse : celle d’être une princesse aimée et admirée de la Belle Époque avec « étole d’Astrakan et aussi un manchon »… Mais elle n’est « que » fille d’immigrés, honnêtes et travailleurs avec un grand frère prêt à sombrer dans la délinquance et un petit frère qu’elle veut et doit protéger des mauvaises fréquentations.

Son grand frère ? Mal lui en pris d’être retourné au bled où, la nuit de son arrivée, ses cousins lui ont fait son sac pour lui piquer son walk-man, ses santiags, son cuir, etc., tandis que son tonton, « un vrai sauvage qui se croit toujours dans l’armée de libération », lui a clairement signifié sa conception de la place de la femme dans la société : « Tout juste s’il (lui) a pas déchargé son flingot dans les tripes parce qu’(il) avait emmené la petite Yasmina au ciné »… et de conclure, désabusé : « Y sont vraiment pas comme nous… » (Le Pen ! Zemmour ! sortez de ce corps !)

Quant à Saïd, avec lequel ce fut « la première fois », il avait beau se faire appeler Dave (« Dave ! J’vous demande un peu, avec sa tronche !), la mère de Naïma « se méfiait de son mauvais genre » et son père l’avait jugé au premier et sûr coup d’œil : « Un bon à rien, qu’ce serait jamais un ouvrier qualifié », c’est-à-dire comme lui, ce dont il était fier ! Autre temps, autre dignité que celle procurée par « France travail » (ex-Pôle emploi, ex-ANPE) de 2024 !

Dave-Saïd alternant comme on s’en doute les séjours en prison et le trafic de stupéfiant, Naïma sera amenée à arracher in extremis son jeune frère des « pattes de cette ordure »…

Même une vagabonde rêveuse d’une vie princesse doit assurer le quotidien et pour cela, pourquoi ne pas faire un don rémunéré de sa jolie personne dans une soirée organisée pour cela. Oui, mais par des garçons qui croient « fort » dans le multiculturalisme (à l’époque, on ne les appelait pas encore « bobos »), surtout lorsque leurs généreuses idées peuvent servir leurs intérêts professionnels auprès de plus riches qu’eux portés sur des aventures aussi galantes qu’exotiques.

L’alcool aidant, notre héroïne ne pourra s’empêcher de rappeller que « les boxons français y-z-ont toujours, été comment vous dîtes ? multiracieux… pas vrai ? », mettant tout le monde mal à l’aise et s’attirant aussitôt la colère d’une grassouillette Africaine qui la traitera, entre autres amabilités, de « sac d’os » et, pour bien faire comprendre à l’assemblée le fond de sa pensée, de « mocheté de bougnoule ». Ambiance !

Naïma ayant quelque peu gâché la soirée, elle quittera les lieux sans problème, au grand dam de son « client » insatisfait hurlant qu’on appelle la police, mais non, impossible « avec la dope qui traîne »… Du beau monde, décidément, comme aurait dit ma grand-mère !

Évidemment, si j’ai été « déçu en bien » avec cette vision de « l’antiracisme » aux antipodes de celle imposée de nos jours – le racisme n’y étant pas dénoncé comme exclusivement européen – d’autres lecteurs n’ont évidemment pas partagés cet avis, jugeant ainsi sur internet qu’il « manque également de bonnes idées pour faire avancer l’ensemble. »

On imagine de quelles « bonnes idées » on parle… celles qu’on peut aisément trouver du côté de La France insoumise, à n’en pas douter.

Ah ! signalons également que les personnages les plus sympathiques finalement, sont certains employés (tous européens) du chemin de fer croisés ici ou là, s’inquiétant pour la sécurité de Naïma, la recueillant après qu’elle se soit évanouie entre les voies, lui offrant de voyager « dans le train de marchandise en partance pour Bercy (même si) c’est pas régulier » et lui offrant de partager « la gamelle qui réchauffe sur le pot d’échappement. »

On ne peut donc que constater, grâce à Pierre Christin et Annie Goetinger, les auteurs de La voyageuse de petite ceinture, que l’antiracisme proclamé en 1986 des « rouleuses » de celui-ci, n’a plus guère de rapports avec celui beuglé en 2024 par les autoproclamés indigènes de la République et leurs complices !

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TUCKER - PAVEL L'interview choc ! Version doublée en français

L'application de médias sociaux Telegram compte plus de 900 millions d'utilisateurs dans le monde. Son fondateur, Pavel Durov, a accordé à Tucker Carlson une rare interview dans ses bureaux de Dubaï.

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Traduction : Elo Traduction et Quadrillage Traduction
Doublage Quadrillage Traduction et Quantum Leap Traduction

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Discours complet de Robert Kennedy Jr. doublé en français

Robert F. Kennedy Jr., candidat indépendant à la présidence des États-Unis, a annoncé qu’il suspendait sa campagne et apportait son soutien à Donald Trump. Cette décision a été révélée lors d’une conférence de presse, où Kennedy a critiqué le Parti démocrate, citant des préoccupations concernant la liberté d’expression et la guerre en Ukraine comme raisons de son soutien à Trump.

Kennedy a précisé que son nom resterait sur les bulletins de vote dans de nombreux États, mais qu’il se retirerait des bulletins dans environ dix États clés où sa candidature pourrait influencer le résultat. Il a également noté qu’il n’avait plus de « chemin réaliste vers la victoire » en raison de ce qu’il appelle une « censure systématique » dans le paysage politique américain.

Sa décision a été accueillie avec des réactions mitigées de la part de certains membres de sa famille, qui ont exprimé leur désaccord avec son choix de soutenir Trump. Mais Kennedy ne s’en est pas laissé compter et a expliqué dans un discours émouvant les raisons de sa décision, prise après une longue prière et un recueillement intérieur.

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17:33 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 28 août 2024

Il y a 83 ans, la mort sacrificielle d’Honoré d’Estienne d’Orves

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Didier Lecerf 

Le 29 août 1941, le capitaine de frégate Honoré d’Estienne d’Orves, 40 ans, père de cinq enfants, était fusillé au Mont-Valérien, avec deux autres membres du réseau Nemrod, Maurice Barlier et Jan Doornik. Ses deux compagnons et lui-même tombèrent sans haine, en pardonnant à leurs bourreaux.

Issu d’une famille profondément catholique, de sensibilité royaliste légitimiste, acquise aux idées, aux actions du catholicisme social ; descendant des généraux vendéens d’Autichamp et Suzannet qui combattirent jusqu’au bout pour "Dieu et le Roi" ; filleul du commandant Driant, le gendre du général Boulanger et héros du bois des Caures en février 1916, Honoré d’Estienne d’Orves peut être rattaché à la droite nationale, monarchiste, catholique et sociale. 

Dans le chaos de 1940, à l’heure où, comme l’a souligné Pierre Nora, « l’occupation (força) les hommes à choisir explicitement leur allégeance », cet officier de la Royale, comme beaucoup de ses camarades, fit son choix. Les valeurs transmises par les siens, sa foi chrétienne, sa conception de l’honneur, son amour de la patrie l’amenèrent, malgré la sanglante attaque britannique contre Mers-el-Kébir, à opter pour la poursuite de la lutte sous les couleurs françaises au côté des Anglais, dans les rangs gaullistes. Pour « la libération intégrale » du pays et le maintien de « l’intégralité de l’Empire français ».

Pour autant, il ne retira pas son respect au Maréchal Pétain et ne voua pas aux gémonies ceux qui, au même moment, firent un autre choix que le sien (parmi lesquels plusieurs de ses amis, dont Paul Fontaine, directeur du cabinet de l’amiral Darlan ou Bertrand de Saussine du Pont de Gault, mort en novembre 1940 à bord de son sous-marin, au large du Gabon, après avoir tenté de couler un aviso anglais )…

Complexité et ambiguïtés de l’époque…

« Que personne ne songe à me venger. Je ne désire que la paix dans la grandeur retrouvée de la France. Dites bien à tous que je meurs pour elle, pour sa liberté entière, et que j’espère que mon sacrifice lui servira. »

Honoré d’Estienne d’Orves, 28 août 1941.

Pour commander le Cahier d'Histoire du nationalisme (n°18) consacré à Honoré d'Estienne d'Orves cliquez ici

Michel Festivi présente son nouveau livre, La désinformation autour du Parti communiste "français", sur TV Libertés

L’Histoire du PC "F" ne fut que constructions de mensonges, trahisons, mystifications, complicités avec les pires totalitarismes, au nom "des lendemains qui chantent".

Dans son ouvrage "La désinformation autour du Parti communiste "français"", Michel Festivi, avocat honoraire, revient sur la non résistance des communistes "français" jusqu’au 22 juin 1941, expose la nature totalitaire bolchevique du PC "F", son emprise sur ses militants, ses listes noires, la liquidation de ses opposants, l’escroquerie historique du Parti des "75 000 fusillés".

Sont décrits les liens organiques et financiers du PC "F" avec la IIIème Internationale et l’URSS jusqu’en 1991, l’aveuglement toujours existant des dirigeants français pour les pires régimes et tyrans : Lénine, Staline, Mao, Castro, Pol Pot, Kim.

L’auteur plaide enfin sur la nécessité d’un Nuremberg du communisme pour arrêter de falsifier l’histoire. Un ouvrage qui relie en permanence l’histoire et l’actualité du PC "F", qui est toujours "une passion française".

TV Libertés

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Pour commander ce livre cliquez ici

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Dimanche 6 octobre, en Vendée : rentrée militante du Rassemblement vendéen

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Rassemblement vendéen cliquez ici

Du coup de blues macronien au retour des Jacobins

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Bernard Plouvier

En aucun cas, le mot « jacobinisme » n’est synonyme de centralisation. Celle-ci fut d’origine monarchique, enclenchée en France à la jonction des XIIIe et XIVe siècles par Philippe IV Le Bel (Homme) et son équipe, poursuivie jusqu’à la fin du règne désastreux du colossal mollasson Louis XVI, qui a, par sa faiblesse et sa profonde nullité, largement mérité son sort : il n’était pas fait pour être roi, mais pour être un merveilleux artisan, bon époux et tendre père de famille. 

Le jacobinisme est la doctrine parlementaire, née en 1791, qui faisait des élus du domaine législatif les surveillants, voire les maîtres de l’Exécutif, en une époque où la Constitution donnait au roi des Français le droit de nommer les ministres, qui étaient des techniciens et non des politiciens.

De façon tout-à-fait abusive, les IIIe et IVe Républiques – que le millier de petits rois élus transforma trop souvent en Ripoubliques inefficaces et corrompues – furent fondées sur le principe jacobin qui permettait à tout élu, à condition d’être fortement soutenu par un groupe d’influence ou un relais médiatique, de devenir ministre un jour ou l’autre. Et pour qu’un maximum de ces augustes personnages influents puisse jouer aux excellences d’un semestre, il fallait organiser la foire connue sous l’expression : instabilité gouvernementale.

Pour le malheur des deux tiers des Français – un tiers d’abstentionnistes par mépris de la racaille politicienne et un tiers d’opposants à Sa Seigneurie -, le sieur Emmanuel Macron fut élu Jeunot Ier en 2017. Sa prestation ayant été lamentable, on pensait en finir très vite avec lui, quand un virus très peu meurtrier – sauf dans la propagande intéressée des fabricants de vaccins bizarres – lui permit de retrouver une assise. En 2022, il put jouer Macron-II, Le Retour, grâce à un discours « Je vous ai sauvés », très prisé des retraités, aimant beaucoup le plus jeune de nos Présidents.

Pourtant, ce discours ressemblait un peu trop à celui de 1958 : « Je vous ai compris », qui fut à l’origine d’un état de guerre civile. Macron recommença à faire peu et très mal, car il est difficile d’œuvrer pour une Nation, quand l’on est arrivé aux apparences du pouvoir grâce au soutien de la finance cosmopolite et de quelques très grosses multinationales. Macron-II, ce fut la négation de l’immigration-invasion et de l’insécurité publique. Et tout naturellement, le Président archi-détesté d’une majorité de Français prit 3 raclées électorales en juin-juillet 2024, suivies d’un coup de fatigue.

Car le désastre des élections européennes (en juin) avait déterminé une réaction de colère d’un individu émotionnellement immature. Le brillant énarque, très mal éduqué – il avait déclaré publiquement qu’il « avait envie d’emmerder les Français », du moins ceux qui ne vénéraient pas ses immenses qualités -, cassa son jouet (une petite majorité à la Chambre) et en appela à un électorat… qui, pourtant à l’évidence, le haïssait à hauteur des trois-quarts. Les deux baffes supplémentaires de juin-juillet désarçonnèrent Sa Suffisance, qui tenta d’amuser la galerie grâce à une présence très médiatisée aux Jeux Olympiques. Hélas, les problèmes non résolus ne s’effacèrent pas : aucun coup de baguette magique n’avait agi.

Bien au contraire, l’abominable Mélenchon – le grand vaincu des législatives : allez consulter le nombre d’élus de son petit groupe en le comparant à celui de la précédente législature – et ses très arrogantes pom-pom girls réclamèrent le pouvoir, tout le pouvoir, pour leur soi-disant Nouveau Front Populacier, qui n’avait fait que rééditer la supercherie de 1936 : en cas d’alliance républicaine des partis du centre et de gauche, ce sont les plus gueulards, les plus démagogues qui l’emportent.

Le résultat final des législatives n’a démontré qu’une chose : le caractère anti-démocratique du scrutin d’arrondissement qui, en l’occurrence, a mis en place une Assemblée qui ne peut dégager de majorité stable de gouvernement, mais peut – pour la première fois depuis 1958 – jouer à l’obstruction, à l’immobilisme, et donner libre cours aux querelles de Divas, qui sont l’essence même du jacobinisme.

On avait tort de voir en Emmanuel Macron un dictateur. C’est un « roseau peint en fer » (comme on disait autrefois en terres germaniques), soit un vrai faible qui joue au dur, mais se révèle désemparé lorsque les concurrents ne veulent plus accepter de jouer selon ses règles. Pour la première fois depuis l’instauration de la Ve République, l’Exécutif de la France est à l’encan. Et l’on assiste au déchaînement d’arrogance et de capacité de nuire des mille petits rois de nos deux assemblées.    

Si par bonheur, E. Macron démissionnait, il faudrait sauter sur l’occasion pour élire un vrai chef d’État et réformer une Constitution qui n’est fonctionnelle qu’avec d’authentiques hommes de gouvernement – à défaut d’hommes d’État qui sont des exceptions - et qui n’offre pas assez d’indépendance au Pouvoir Judiciaire, d’où doit être bannie l’influence du demi-monde de la politique, des sectes et des syndicats. Le Législatif est là pour voter ou repousser des projets de loi. C’est à l’Exécutif de gouverner.

Il faut cesser le mélange des genres et en revenir aux fondamentaux, qui sont immuables et ne dépendent absolument pas du type de régime. Toutes les institutions sont bonnes si elles sont adaptées à ce qu’il y a de mieux chez l’homme ; toutes sont mauvaises lorsqu’elles laissent libre cours au malsain, au grotesque et au malhonnête.

16:13 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’Espagne submergée par une arrivée massive de migrants

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Míchel Festivi

L’Espagne gouvernée par les socialo-communistes connaît actuellement une arrivée considérable de migrants clandestins. Les Îles Canaries sont en première ligne. Depuis le 1er janvier 2024 et jusqu’au 15 août dernier il est arrivé aux Canaries 22.304 migrants contre 9.864 en 2023 sur la même période, soit une augmentation de 126%.
 
Pour l’Espagne la hausse est de 66% : 18.745 arrivants hors Canaries contre 31.155 sur la même période. Ceuta et Melilla sont également totalement prises au piège par des milliers de marocains qui tentent de franchir illégalement les frontières de ces deux enclaves espagnoles. 
 
Le président du gouvernement canarien Fernando Clavijo a déclaré “l’archipel est sur le point de s’effondrer”. Pedro Sanchez le chef du gouvernement espagnol imaginait une loi lui permettant de dispatcher dans la péninsule ces migrants, et ce plutôt bien sûr dans les régions gouvernées par le Parti populaire. Pour l’instant cette loi stupéfiante est bloquée aux Cortes. 
 
Clavijo qui est l’impuissance même comme Sanchez au demeurant, a aussi marqué son incapacité à prendre ou à faire prendre des décisions drastiques en osant dire “ on ne peut pas mettre des murs à l’océan”. Belle preuve d’incompétence que voilà.
 
Comme en écho, l’Italie de Giorgia Meloni, qui au demeurant a largement remporté les élections européennes, vient de faire savoir que depuis le 1er janvier 2024, le nombre de migrants clandestins avait diminué de 65% depuis 2023, passant de 113.469 à 40.138, en 2022 ils étaient 55.921 toujours sur cette période du 1er janvier au 15 août.
 
Les mineurs représentaient 5.044 individus en 2024 contre 18.820 en 2023, la baisse est effectivement significative. Meloni a multiplié des accords intelligents avec la Libye et la Tunisie. Pedro Sanchez l’idéologue, en est lui incapable avec le Maroc, à cause de son alliance avec les communistes qui soutiennent à fond les Indépendantistes sahraouis. 
 
D’autre part, le gouvernement italien a pris des décrets renforçant les peines de prison contre les passeurs et les capitaines de bateaux. Il a aussi diminué les droits des migrants clandestins, et refuse de tenir compte des liens familiaux, qui interdisaient des expulsions. Tout cela s’est su très vite et les migrants se sont donc reportés en nombre sur l’Espagne et aussi sur la Grèce.
 
Il est insupportable de constater que certains politiques n’ont comme seule ligne de conduite que le sempiternel “on ne peut rien faire “. La volonté politique ne fait pas tout, mais c’est la base de toute action gouvernementale utile pour le Bien public. On voit bien la différence entre les politiques laxistes de gauche qui laissent tout passer par idéologie et une politique de droite même si elle peut être criticable, car on souhaiterait qu’elle en fasse toujours plus.
 
En tout cas “Le camps des saints” de notre regretté Jean Raspail est plus d’actualité que jamais.

16:09 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Arrivée de Thaïs d'Escufon dans l'émission de Cyril Hanouna sur Europe 1

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La réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :

L'arrivée de Thaïs d'Escufon dans l'émission de Cyril Hanouna sur Europe 1 est une excellente nouvelle. Contrairement à beaucoup d'autres, la jeune femme n'a jamais adouci son discours identitaire plutôt radical. Saluons tout ce qui va dans le bon sens !

10:28 Publié dans Communiqués de presse, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 27 août 2024

2 heures d’interrogatoire pour Pierre Cassen : merci aux députés LFI Kerbrat et Amiot

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17:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sur le site Terre & peuple : un bel article sur le Cahier d'Histoire du nationalisme consacré aux identitaires blancs américains

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Jean-Paul Lorrain

Rémi Tremblay est un militant patriote québécois qui fait partie de la direction du magazine identitaire Le Harfang.

Il est bien connu des Editions de Synthèse nationale, puisqu’auteur de deux Cahiers d’Histoire du nationalisme : « Adrien Arcand, le fascisme canadien » et « Oswald Mosley, l’Union Fasciste Britannique ».

Il vient de récidiver toujours dans le cadre des Cahiers d’Histoire du nationalisme sur le thème de la mouvance identitaire blanche aux Etats-Unis.

Pourquoi cette histoire ? Tout d’abord, parce que peu de livres en français ou en anglais traitent d’une façon globale ce sujet.

D’autre part, Rémi Tremblay est allé aux sources premières « ce qui m’était facilité par mon réseau de contacts et par le fait que j’habite moi-même en Amérique du Nord, tout près du pays étudié. »

Ainsi, Rémi Tremblay a pu dépouiller une énorme documentation, manifestes, œuvres de fiction et des milliers de pages de revues et journaux. Il a pu également consulter les rapports du Federal Bureau of Investigation (FBI) et ceux de la police.

Il a aussi pris contact avec un grand nombre de participants directs qui ont accepté de se confier et de l’orienter vers de nouvelles sources peu connues.

Ce travail exceptionnel fera l’objet de trois volumes. Le premier est déjà paru. Après une introduction explicative du sujet, ce tome aborde la période débutant avec l’indépendance américaine et se termine avec la fin de la seconde guerre mondiale qui ouvrit la porte à la déségrégation. Ce tome, bien sûr, consacre un dossier au K.K.K.

Les tomes deux et trois, non parus, traiteront la période allant de 45 à nos jours, de façon thématique.

Plus précisément, le tome deux évoquera les mouvements blancs ayant une approche plus traditionnaliste, selon laquelle la défense de la race se combinait avec des préoccupations pour la constitution, la religion ou la liberté.

Le tome trois traitera des groupes pour lesquels la position racialiste se mariait à une approche révolutionnaire.

Ce travail inégalé sera vraisemblablement LA référence sur la mouvance identitaire blanche aux Etats-Unis. A ne pas manquer !

Source cliquez là

Pour commander Synthèse nationale : Collection Les Cahiers d’Histoire du nationalisme N°25 - 190 pages 24,00 € (+ 6,00 € de port) cliquez ici

17:04 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 26 août 2024

Une rentrée politique rocambolesque

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Le billet de Patrick Parment

« La droite française a pu, par le passé, se diviser, décevoir et échouer : arrêtons de nous diviser, reconnaissons nos erreurs et rebâtissons de fond en comble une nouvelle droite », ainsi parlait Laurent Wauquiez en escaladant le mont Mezenc, histoire de se la jouer façon Mitterrand. Pour ce qui le concerne, ce serait plutôt Sisyphe devant à chaque fois remettre sur le tapis le souhait d’une grande formation de droite comme c’était le cas avec les partis gaullistes jusqu’au RPR. Car c’est peu dire que le RPR et le parti socialiste ont fait le lit du Front national et le font encore aujourd’hui avec le Rassemblement national. Sauf que d’année en année, le RN est devenu le premier parti de France et pèse plus de 20% de l’électorat, voire plus. Or, cette réalité, la gauche comme ce qui reste de la droite dite républicaine, se refusent de la voir et continue de diaboliser et d’exclure de toutes les instances politiques cette majorité de Français. Bel exemple de démocratie au pays des soi-disant droits de l’homme. On n’est pas en dictature – quoique et de manière déguisée -, mais nos politiques torturent à souhait la Constitution comme le droit pour empêcher le RN d’avoir accès aux prérogatives auxquelles il a droit. Une situation pour le moins unique en Europe que se gardent bien de dénoncer nos partenaires.

Raison pour laquelle Laurent Wauquiez prête à sourire car l’équation n’a pas changé : sans les voix du RN, pas d’accès au pouvoir. Le choix d’Eric Ciotti était le bon, sauf qu’il l’a fait pour sauver sa peau. Le premier obstacle pour Wauquiez est que son parti est un compromis entre un centre et une droite qui a peur de son ombre avec en arrière-plan la puissance des lobbies, notamment le Crif et les francs-macs. Non que les Juifs aient peur du RN, loin s’en faut, mais il s’en servent comme repoussoir au sein de la communauté. Car voici belle lurette, à l’exception de quelques radicaux très isolés, que l’antisémitisme a déserté les rives de ce que l’on appelle l’extrême droite, celle-ci ayant compris depuis longtemps que c’était un combat perdu d’avance. Ce qui n’est pas le cas à gauche avec les factions pro-palestinienne, Jean-Luc Mélenchon en tête.

Pour ce qui est des francs-maçons, leur vision très mondialiste refuse toute approche identitaire au même titre que leur anticléricalisme bien souvent radical. Mais, au même titre que les homosexuels, ils forment un groupe de pression qui transcende la gauche comme la droite, ce qui explique en grande partie la pauvreté – mieux la médiocrité -, du débat politique en France. Ce n’est pas un hasard si les vrais intellectuels, dits de gauche, ont déserté les rives depuis belle lurette. Je pense notamment à Régis Debray ou Michel Onfray.

Voici ce à quoi se heurte ce brave Laurent Wauquiez : la quadrature du cercle. Il n’en sortira pas, faute de courage tant politique qu’intellectuel. Le paysage politique est pour le moins singulier, il n’y a personne. Et le paradoxe de cette affaire est que face à une France électorale fortement portée à droite, Jeanne d’Arc est aux abonnés absents. Le Rassemblement national n’est pas en mesure de gouverner. Pas plus que la gauche en général, fortement brouillée avec l’économie – elle a pour habitude de vider les caisses -, et une droite qui n’a aucun programme et surtout aucune vision, condamnée qu’elle est d’être à la traîne du patronat et donc du mondialisme. Si la nature a horreur du vide, le chaos n’est pas un état fait pour durer. Aussi la question que l’on se pose est : que va-t-il sortir de ce chaos ?

13:10 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 25 août 2024

L’Allemagne : entre attaque islamiste, montée de l’AFD et censure politique

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Michel Festivi

Le 23 août dernier dans la ville de Solingen, à l’Ouest du pays, lors de festivités locales placées « sous le signe de la diversité (sic) », un individu d’origine syrienne a perpétré une attaque au couteau qui a fait au moment où j’écris cet article, 3 morts, 8 blessés dont 5 graves, cet attentat aurait été revendiqué par l’État islamique. Aussitôt la seule réponse de la classe politique fut « l’indignation » comme à l’accoutumée. Le seul débat ouvert serait l’interdiction du port de couteaux dans l’espace public, comme si cela allait changer quelque chose, vis-à-vis de terroristes islamistes décidés et implacables. Mais aucun parti du système n’a envisagé que le problème se situait peut-être au niveau de l’immigration massive, débridée et totalement incontrôlée. Déjà, le 2 juin dernier un jeune policier de 29 ans avait été mortellement poignardé par un afghan à Mannheim.

Aujourd’hui, la classe politique des partis traditionnels est en émoi, que ce soit le SPD, les verts, les libéraux du FDP ou la CDU. En émoi non pas à cause de cette nouvelle tragédie, mais parce qu’ils craignent une victoire de l’AFD dans les Länders qui vont élire leurs députés en septembre. Car le 9 juin dernier, l’AFD avait enregistré le meilleur résultat national de son histoire avec 15,9% des voix et 15 députés européens. Trois Länders de l’Est du pays, le 1er septembre en Thuringe et en Saxe, le 22 septembre dans le Brandebourg vont renouveler leurs parlements régionaux.

Or, tous les sondages, même s’il faut s’en méfier, donne l’AFD en tête. Un autre parti dénoncé comme « populiste », mais d’extrême gauche obtiendrait aussi de très bons résultats. Il s’agit du mouvement BSW, issu d’une scission avec le parti Die Linke, ce BSW serait crédité de 11 à 19 % des voix. L’AFD serait créditée de 30% des suffrages. Dès lors, pour les partis mainstream, - ceux qui se succèdent au pouvoir en se passant la rhubarbe et le séné -, cette attaque islamiste tombe au plus mauvais moment. Ce parti BSW, que l’on traduit en français sous les termes : « Pour la raison et la justice », a été crée en début d’année par Sarah Wagenknecht. Son programme pour faire court est très à gauche économiquement et très à droite politiquement, critiquant une immigration incontrôlée, elle s’oppose aussi grandement, tout comme l’AFD, a tout envoi d’armes en Ukraine.

Nous verrons bien dans quelques jours, ce que donnera le résultat des urnes, car en Allemagne, toutes les élections se jouent sur un seul tour, ce qui évite les fraudes et les manipulations comme en France. En tout cas l’Allemagne, tout comme la France, est soumise à une censure politique généralisée et à un abaissement considérable des libertés publiques fondamentales. Le 14 avril dernier, un chef de l’AFD en Thuringe, Björn Höcke, a été condamné à 13 000 euros d’amende par un tribunal régional de Halle-sur-Saale, pour soi-disant avoir utilisé un slogan nazi. Fichtre : avait-il levé le bras ou crié « Heil Hitler » ? Que nenni ! il avait tout simplement, en 2021, lors d’un discours déclaré « Tout pour notre patrie, tout pour la Saxe-Anhalt, tout pour l’Allemagne ! ». Or les lois allemandes sur la dénazification (à quand la décommunisation ?), interdisent la reprise de slogans imaginés comme étant d’origines nationaux-socialistes. Figurez-vous, cher lecteur, que « Tout pour l’Allemagne » aurait été le cri ralliement des Sections d’Assaut de Ernst Röhm. J’imagine bien volontiers que déclarer que l’on souhaite tout pour son pays, a été prononcé bien avant les années 1920 et bien après. Mais non, dans l’Allemagne d’aujourd’hui, dire que sa patrie doit passer avant toute chose est strictement verboten et puni pénalement ! Ainsi va la démocratie dans notre pauvre Europe. George Orwell n’avait décidément rien inventé.

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L'ASLA CENSUREE PAR FACEBOOK ET INSTAGRAM ! NOUS VIVONS SOUS LA DICTATURE DE LA PENSEE UNIQUE !

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Un communiqué de l'ASLA (Soutien aux lanceurs d'alertes) :

L’ASLA et d’autres personnalités patriotes censurées sur les réseaux sociaux

La société Meta propriétaire de Facebook et Instagram a désactivé hier notre compte ainsi que ceux d’Alice Cordier (Collectif Némésis) du média Occidentis et de Une Bonne Droite de manière totalement arbitraire.

Les GAFAM poursuivent leur travail de censure politique contre les patriotes.

Cette attaque est d’autant plus grave pour notre association qui  défend justement la liberté d’expression et vient en aide juridiquement et financièrement aux lanceurs d’alerte.

La liberté d’expression doit être garantie sur les plateformes sociales, d’autant plus dans des périodes d’instabilité politique comme celle que nous traversons.

Nous avons fait appel de cette décision et attendons le retour de Meta*.

Nous nous tenons prêts à engager une procédure judiciaire si la suspension n’est pas levée.

Pour contrer ces censures arbitraires, suivez-nous sur X/Twitter et Telegram.

* Au moment où nous écrivons ces lignes, nous ne savons toujours pas si nous allons récupérer nos comptes Facebook et Instagram.

10:48 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |