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vendredi, 05 janvier 2024

Arrêté, jugé et condamné pour des affiches en hommage à Thomas : témoignage

Thibault a été arrêté, mis en garde à vue durant 48h, perquisitionné, jugé et condamné… pour avoir collé des affiches en hommage à Thomas. Voici le récit de son expérience kafkaïenne dans les méandres de la « justice » française.

Source : Vincent Lapierre via Jeune Nation

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10:35 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La défaite de l'Occident

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Le regard d’Emmanuel Todd, où se mêle géographie, sociologie, démographie et histoire est toujours intéressant car il se démarque ostensiblement de ces soi-disant spécialistes qui pontifient souvent  leur incompétence. C’est ainsi qu’il avait prédit la chute du communisme en raison de la chute de sa natalité. Il s’en prend dans son nouvel ouvrage, La défaite de l’Occident, au chaos que connaît le monde actuellement. Il y a les raisons objectives à ce déclin occidental qui nous sautent aux yeux : la guerre en Ukraine, le conflit palestinien, d’autres qui le sont moins comme le recul de l’industrie, la fin de l’Etat-nation. Mais, plus encore nous dit Emmanuel Todd l’état zéro de la matrice religieuse et d’abord la chute du protestantisme ainsi que la hausse de la mortalité infantile aux Etats-Unis plus élevée que celle de la Russie. Serein l’avenir ? Pas vraiment.

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Source : Le Point 8/1/2024

09:15 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un peu de pain, beaucoup de jeux : Bonne année 2024

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Des vœux du Président, il n’y a rien à en tirer vu qu’il n’a rien dit. De ses idées sur le chaos français et du monde, on ne saura rien. Natacha Polony, dans Marianne, dresse un état des lieux nettement plus percutant. Qu’on pourrait résumer ainsi : on attend de nos politiques qu’ils fassent preuve de courage et mettent enfin les mains dans le cambouis. Et qu’ils arrêtent la chasse au dahu !

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Source : Marianne 4/01/2024

08:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 04 janvier 2024

Un réveillon "sans incident majeur"

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Les personnes poignardées cette nuit-là sont heureuses d’apprendre qu’il n’y a pas eu d’incident majeur…

Source : Le Salon Beige

15:23 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Notre société s’effondre sous nos yeux : « Bonne année » quand même !

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Bernard Germain

Cette année, je n’ai envie de présenter mes bons vœux à personne. Pourquoi ? mais parce que je sais qu’elle va être mauvaise et peut-être même terrible, sans doute pour tout le monde. Dans ce contexte présenter des bons vœux m’apparaît comme le summum de l’hypocrisie. Sincèrement, vous y croyez aux vœux que vous avez formulés en ce début d’année à votre famille, vos amis ou vos relations ? C’est devenu une sorte de coutume automatique, sans aucun fondement ni bon sens. Cette année, de manière encore plus caricaturale.

La triste vérité c’est que notre société est en train de sombrer sous nos yeux et que, pour l’essentiel, on fait semblant de ne pas le voir. Et tout le monde d’y aller d’un « Bonne année, et surtout la santé ». En complet décalage avec la réalité du monde. Comme le fit l’orchestre du Titanic qui continua de jouer alors que le navire était en train de sombrer.

Tiens par exemple, hier soir en allumant mon téléviseur, j’apprends que le N°2 du Hamas s’est fait tuer par les services israéliens. Maigre consolation qui ne ramènera pas ceux qui ont été sauvagement assassinés par les terroristes du Hamas en ce funeste 7 octobre 2023. Par contre cela confirme que, comme en 1972, lors de l’assassinat des sportifs israéliens durant les JO en Allemagne, les responsables de ces assassinats seront tous pistés et exécutés. Cela prendra le temps qu’il faudra, comme pour 1972, mais Israël n’oublie jamais. En conséquence, aucun n’en réchappera. On ne peut d’ailleurs que s’en féliciter.

Chez nous, c’est l’inverse. On refuse d’appeler un chat, un chat. Un responsable, un responsable. Un terroriste, un terroriste. C’est ainsi que sous le pseudonyme de « Krasny », le sieur Edwy Plenel a écrit (et a reconnu l’avoir fait) dans le journal de la LCR « Rouge », qu’il se félicitait du massacre que venait de perpétrer Septembre Noir durant les JO. Normalement, dans une société digne de ce nom, cela devrait suffire à discréditer l’auteur d’une telle prose, pour le restant de ses jours. Chez nous, l’individu en question est à la tête du journal Médiapart (après avoir été à la Direction du journal Le Monde) et fait des commentaires et surtout la morale à tout ceux qui n’ont pas ses opinions. Personne n’y trouve à redire. Pire, reprenant le flambeau de Plenel, de sinistres individus font déclaration sur déclaration en refusant de qualifier les actes du Hamas de terrorisme et les qualifiant d’actes de « résistance » ou d’« actes de guerre » comme si le Hamas était l’armée régulière d’un État constitué alors qu’il ne s’agit que d’une bande de terroristes. Dans ces contorsions odieuses, la LFI de Mélenchon tient à tenir le rôle principal. Et elle l’a. Peu nombreux sont ceux qui s’en indignent, comme si notre société avait perdu tout sens moral.

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12:43 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'UDB n'a pas changé : toujours aussi anti-bretonne...

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L'UDB, vous connaissez ? L'Union démocratique bretonne, un groupuscule européo-régionaliste d'extrême gauche qui sévissait depuis des décennies et prétendait défendre les Bretons. 

Dans les années 1970, ses membres criaient à l'invasion à chaque fois qu'ils croisaient une voiture immatriculée dans la Mayenne ou dans le Calvados. Lorsqu'il s'agissait d'un 75, ils étaient au bord de l'évanouissement... Dans le même temps, ils se félicitaient de voir un africain devenir maire d'un village breton... 

Aujourd'hui, cette UDB, que l'on croyait morte et enterrée, refait parler d'elle. Elle vient de publier un nouveau numéro de son canard : Peuple breton. La couverture, ci-dessus, est à la hauteur de la réputation de ses éditeurs : immigrationiste, wokiste... en un mot "mondialiste"...

En réalité, l'UDB méprise l'identité bretonne et la tradition identitaire du mouvement breton. Elle est là pour faire illusion et servir localement les intérêts de l'oligarchie planétaire qui prétend diriger le monde.

Avec de tels "défenseurs", les Bretons ont raison de s'inquiéter sur leur avenir.

S N

Sur l'UDB, lire aussi cliquez là

12:16 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 20 janvier à 16 h, à Paris : marche en souvenir de Louis XVI

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Comme chaque année, l’Action française appelle ses membres et soutiens à se rassembler pour commémorer la mort de Louis XVI. Une marche aux flambeaux est organisée. Celle-ci débutera devant l’Église Saint Roch dans le 1er arrondissement de Paris, samedi 20 janvier à 16h00. 

Un communiqué de l'Action française :
 
“Royalistes d’Île-de-France et d’ailleurs, il y a 225 ans, la République assassinait le roi Louis XVI et, par là, faisait disparaître l’incarnation de la France !
 
Venez lui rendre hommage dans cette marche aux flambeaux pour se souvenir mais aussi pour regarder vers l’avenir.
 
Rdv à l’Eglise Saint Roch, 296 Rue Saint Honoré, 75001 Paris, le samedi 20 janvier à 16h.
 
La monarchie n’est pas morte, elle est présente dans nos cœurs et dans celui de chaque Français, consciemment ou non !
 
Défions la République et sa haine intrinsèque de la France, défions sa petitesse et son mépris ! Honneur au roi Louis XVI !
 
Nous vous attendons nombreux, et pour que vive la France, vive le Roi !”

11:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Michel Onfray : bref état des lieux

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Dans un entretien à Paris-Match, Michel Onfray répond aux questions de Laurence Ferrari, et ne manie pas la langue de bois sur la manière – peu réjouissante - dont il voit le monde en général et la France en particulier. A la question de savoir quels sont les motifs d’espoir, il répond laconique : « Aucun » ! Voilà, c’est dit. Pour le reste, on a tout lieu de partager son point de vue.

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Source : Paris-Match, 4/01/2024

08:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 03 janvier 2024

la galette des rois

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Yves Costa*

Pour l’immense majorité des gens, la galette n’est plus qu’un objet de consommation avec un aspect ludique lié à la découverte de fèves de plus en plus farfelues. Les boulangers-pâtissiers y trouvent leur compte en prolongeant leur chiffre d’affaires de fin d’année. Néanmoins, il y a peut-être aussi, dans l’inconscient collectif, comme un lointain écho d’une réminiscence antique.

Tentons donc de dépoussiérer ce vieux grimoire où figure en lettres d’or le mot « galette ». En effet la galette, avec sa pâte feuilletée, éveille l’idée des pages d’un livre où la fève serait incluse à la façon d’un signet.

La première interprétation qui vient à l’esprit à propos de la galette consiste à assimiler sa forme ronde et son aspect doré au disque solaire. Les Grecs pour honorer l’Épiphanie de Dionysos mangeaient un gâteau rituel, rond, tout en allumant des cierges et des feux et en consacrant des sources et des rivières. Consommer la galette et découvrir la fève traduit évidemment la mort du soleil au solstice d’hiver et l’apparition du nouveau soleil, encore fragile et faible, mais bien réel.

Le symbolisme de la fève nous permet d’aller plus loin encore. En latin, la fève se dit faba. Le b et le v s’interchangent fréquemment dans les langues européennes. En Grec, faba équivaut à phos et bios qui se traduisent par « lumière » et « vie », termes consacrés au Christ dans le prologue de l’Évangile de saint Jean. Dans le langage alchimique, la fève se nomme l’émeraude des sages. Pensons au roman de Victor Hugo où la jeune Esméralda (l’émeraude en espagnol) tombe amoureuse du brillant seigneur du soleil, Phoébus, Phosbios.

Existe-t-il un lien entre la figure féminine d’Esméralda et l’Ève du jardin d’Éden ?

Le mot « fève » associe le F, la clef dans le symbolisme des lettres et l’Ève biblique. Trouver la fève, c’est permettre au prétendant royal de retrouver la clef qui conduit à réunir le roi et la reine séparés depuis la chute du paradis terrestre. L’attribution d’une couronne de roi et le choix de sa reine par l’heureux élu montrent toute la portée du symbole hermétique. Réconcilier les deux polarités de la création, comme elles l’étaient à l’âge d’or, et impulser après l’Épiphanie une nouvelle année régénérée. Notons une nouvelle fois la liaison symbolique qui existe entre la fève et Saturne, maître du solstice d’hiver et dieu des semailles.

Quant au jeune Phoébus, porteur de l’image apollinienne, il provient de l’Antiquité romaine. À l’issue des douze jours, le peuple romain qui célébrait le nouveau soleil, le Sol Invictus, criait en chœur « Phoébus Rex ». Cette expression a donné notre « vive le roi », sous-entendu « vive le nouveau roi », spécifiquement pour celui qui trouve la fève. Ce jour-là, le jeune Phoébus était présenté au soleil levant, nu sur une natte d’épis blonds tressés en forme d’astre rayonnant. Le lien avec la naissance de l’Enfant Jésus sur la paille est évident.

La forme de la fève est aussi évocatrice.

Hormis la vraie fève elle-même, on la rencontre parfois sous forme de poisson, plus particulièrement de sole, mot homophone du latin sol, le soleil. On sait qu’à l’origine le Christ était représenté par le poisson dont l’emblème abonde dans les catacombes romaines. Le poisson est le signe qui a correspondu à l’ère zodiacale de la grande année pour la période du christianisme. Mais le plus souvent, la fève prend l’apparence du Christ enfant, soit langé et cerclé de bandelettes, soit en petit baigneur. Les bandelettes enserrant le baigneur ont la forme de lignes entrecroisées. Il est singulier d’observer les mêmes lignes sur le dessus de la galette.

Les alchimistes appellent ce signe le sceau d’Hermès. Il aurait la particularité de signifier la perfection du mercure prêt à dissoudre l’or encore jeune. On peut y voir également une succession de compas et d’équerres, d’alpha et d’oméga ou de runes Fehu et Odal, première et dernière rune du Futhark. C’est aussi en référence et en fidélité à son héritage nordique que l’organisation politique de l’aristocratie française a choisi, au cours du Moyen Âge, le terme de « féodal ». Ainsi le sommet du pouvoir se plaçait sous l’égide protectrice divine de l’alphabet runique, révélé au dieu Odin lors de son sacrifice. Le sceau d’Hermès reproduit indéfiniment donne l’image du filet de pêcheur avec lequel il est aisé de capturer le poisson royal (le dauphin) et de l’extraire des eaux ténébreuses pour le couronner roi du monde.

Mais cela n’arrive qu’à l’heureux élu, à celui « qui a de la galette » !

Signalons qu’un filet similaire recouvrait l’Omphalos, la pierre centrale de Delphes, ville dédiée au dauphin !

Le « champ de fèves » des Égyptiens n’était autre que le lieu où les morts attendaient leur résurrection. La fève étant l’embryon des enfants à venir. Chez les Grecs, d’après Pline, elle était employée dans le culte des morts, parce qu’elle contenait les âmes de défunts. Cette croyance était si forte que Pythagore préféra se tuer au combat que de traverser un champ de fèves.

Les Hébreux utilisaient des fèves pour désigner leurs élus. Fèves noires et fèves blanches servaient de bulletins de vote pour toutes les élections, magistrats, chefs de guerre ou bien roi de banquet, car aucun festin n’était donné sans l’élection d’un roi des agapes. La tradition fut imitée par les Grecs, puis par les Romains.

Durant la fête des Saturnales, la fève était utilisée pour tirer au sort le roi du banquet. C’était une sorte de roi bouffon qui avait l’autorité suprême sur maîtres et esclaves, qui se retrouvaient du même coup sur un pied d’égalité. Le tirage au sort se faisait dans un gâteau. On reverra cette tradition au Moyen Âge avec le « jour des fous » où un roi fantoche était élu.

Il convient à ce stade d’établir un pont entre la période solsticiale des douze jours et celle du Carnaval, quarante jours plus tard. Le 2 février, date de la Chandeleur, est la première date possible du Mardi gras carnavalesque, en année de clef antérieure (Pâques à l’équinoxe). La fève, et plus généralement les aliments flatulents, y joue un rôle central.

Absorbée à l’Épiphanie, la fève génère un embryon qui naîtra spirituellement et analement au Carnaval sous forme d’un souffle. Les fous qui tirent leur nom du latin follis (soufflets) sont spécifiquement chargés d’actionner les vents grâce justement aux soufflets. Roi fou des Saturnales, roi et fous du Carnaval, tout cet ensemble s’articule autour de la mise en scène d’une période chaotique d’où sort le souffle de l’esprit. Naissance physique du Christ solaire au Noël solsticial, suivie douze jours plus tard à l’Épiphanie de sa naissance et reconnaissance spirituelle, puis quarante jours plus tard, de la naissance du prince des cornes, roi du Carnaval, avec son doublet transfiguré, douze jours après, à la Saint-Valentin.

Pour achever sur ce symbolisme qui est d’une richesse immense, abordons le lien qui existe entre le vin et la galette, qui n’est autre qu’un gâteau de pain. En vieux celte, le pain se disait bara et le vin gwin. L’association des deux mots a donné le mot « baragouin ». Baragouiner s’entend de quelqu’un qui prononce des paroles incompréhensibles au vulgaire. Dans la réalité, les choses sacrées ne doivent pas être révélées à qui n’a qualité pour les entendre. Vu de l’extérieur, on a l’impression que les initiés s’adressent entre eux en baragouinant ou bien encore en parlant argot (art goth) ou en jargon (paroles du jar). Ce dernier, qui est le mâle de l’oie, est un des mets essentiels du banquet de Noël. Le baragouin est le langage réservé à ceux qui ont la connaissance des sciences hermétiques, à ceux qui ont trouvé la fève, à ceux qui ont réalisé l’union du pain et du vin symboliques. À la fin des agapes de l’Épiphanie, après avoir couronné le roi de la galette et attendu que celui-ci porte la coupe de vin à ses lèvres, chacun peut s’exclamer : « Le roi boit. »

Source : Institut Iliade

(*) Yves Costa est l’auteur de l’ouvrage Symbolisme du Solstice d’hiver, mythologie, symboles et rites, The Book Edition.

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L’année 2023 en Afrique : bilan et perspectives pour 2024

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Bernard Lugan
 
Source L'Afrique réelle
 
En 2023 un nouveau paradigme s’est imposé en Afrique, celui du rejet des universalismes occidentaux, à commencer par la démocratie.
 
Retour en arrière. Au mois de juin 1990, lors de la Conférence franco-africaine de La Baule, François Mitterrand conditionna l’aide de la France à l’introduction du multipartisme.
 
Obéissant à cette injonction de nature néo-coloniale, contrainte et forcée, l’Afrique francophone accepta ce diktat socialiste. Résultat, elle connut une cascade de crises et de guerres, le multipartisme y exacerbant l’ethnisme et le tribalisme jusque-là canalisés dans le parti unique. Ce fut alors le triomphe de l’ethno-mathématique électorale, les ethnies les plus nombreuses l’emportant dans les urnes sur les moins nombreuses. D’où une déstabilisation générale.
 
Trois décennies après le « discours de La Baule », la démocratie postulée être le remède aux maux du continent n’y ayant apporté ni développement économique, ni stabilité politique et encore moins sécurité, l’Afrique se tourne donc peu-à-peu vers des pouvoirs autoritaires, tout en cherchant des modèles et des soutiens ailleurs que parmi les démocraties occidentales.
 
En 2023 la migration de masse déferlant sur l’Europe a encore augmenté, conséquence d'une démographie africaine devenue folle, interdisant tout développement, exacerbant les conflits et poussant les habitants au départ.
 
Or, cette explosion démographique s'explique parce que, hier, au nom de leur « amour de l’autre », les missionnaires, les religieuses soignantes, les médecins et les infirmiers coloniaux ont délivré les Africains de la lèpre, de la rougeole, de la trypanosomiase, du choléra, de la variole, de la fièvre typhoïde, de la fièvre jaune etc., cependant que les militaires les libéraient de leurs frères esclavagistes.
 
Résultat, avec la colonisation, en un siècle, la population du continent a été multipliée par 10. De 100 millions d'habitants en 1900, elle était passée à environ 275 millions dans les années 1950-1960, puis à 640 millions en 1990, à un milliard en 2014 et à 1,4 milliard en 2022. Selon l’ONU, dans les années 2050 les Africains seront plus de 2 milliards (dont 90% au sud du Sahara), puis plus de 4 milliards en 2100 et ils représenteront alors 1/3 de la population mondiale. En 2050, 40% des naissances mondiales seront africaines (Unicef. Afrique/Génération).
 
Dans ces conditions, l’aide au développement revient à labourer l’océan, tout progrès étant immédiatement avalé par la démographie qui créé automatiquement de nouveaux besoins… et qui provoque les migrations massives qui se déversent sur l’Europe.

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mardi, 02 janvier 2024

Sortir de l’Eurogoulag par l’insoumission et le refus des diktats de l’UE. Face à l’Eurogoulag une prise de conscience ?

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André Posokhow

En quelques mois, c’est dans la précipitation et la panique face à une possible déroute de l’atlantisme que les dirigeants non élus de l’Union européenne pour qui la constitution du fédéralisme européen c’est maintenant ou jamais, ont procédé à un coup d’état contre les Etats-nations. Visiblement ils n’ont pas l’intention de demander leur avis aux peuples européens. Nous nous trouvons dans un processus de création d’un État européen qui fera l’objet d’un élargissement à dix nouveaux pays dont l’Ukraine. Cet Etat deviendra un OTAN bis dédié en priorité aux conflits avec la Russie et est appelé à prendre en main l’organisation et la gestion des migrations à la place des Etats.

Appartenir à cet Eurogoulag, né d’une escroquerie idéologique, quasi totalitaire, corrompu, ouvert aux invasions et vassalisé par l’atlantisme ne peut n’être ressenti que comme humiliant et déshonorant d’une manière intolérable par les citoyens européens lucides.

Une prise de conscience existe chez les peuples européens. Elle semble aujourd’hui encore minoritaire Elle se traduit cependant par l’existence et la présence politique de partis attachés au concept d’Etat-nation, plus ou moins hostiles à l’invasion migratoire et à la dissolution de leur pays dans le magma européiste et mondialiste.

Beaucoup clament qu’il faut sortir de l’Union européenne et qu’il s’agit d’une une question de vie ou de mort . C’est le titre du livre d’Alain Falento. Certains, comme François Asselineau, appellent à un Frexit que mènerait un gouvernement attentif aux intérêts de la France et des Français et soucieux de notre indépendance et de notre souveraineté.

Une sortie de l’Union européenne par le Frexit ?

Les objectifs d’un Frexit.

Comme le plaide Asselineau, le Frexit devrait être lancé et se dérouler en application des traités qui ont créé l’Union européenne dans son état actuel et en priorité de l’article 50 du TFUE qui prévoit un mécanisme de retrait volontaire et unilatéral d'un pays de l’UE. Celui-ci doit notifier au Conseil européen son intention de le faire.

Quels pourraient être les grands objectifs ?

Refuser notre vassalisation et reprendre possession de notre destin afin d’éviter , comme aujourd’hui, d’être engagé dans des conflits qui ne nous concernent pas et de garder le contrôle de l’immigration dans notre pays ;

Retrouver les attributs de l’Etat-Nation :

• l’indépendance ;

• la souveraineté (en regrettant que ce mot ait été pollué et déconsidéré par le jacobinisme de certains), juridique, monétaire, militaire, diplomatique ;

• réaffirmer les principes républicains du suffrage universel, de la démocratie et de l’intangibilité des libertés fondamentales.

• récupérer notre souveraineté énergétique, industrielle, économique et financière.

Un Frexit réussi devrait être accompagné de l’abandon de la monnaie commune, l’euro. Il en irait de même d’une sortie de la Cour Européenne des Droits de l’Homme fortement infiltrée et noyautée par l’organisation Soros. A terme, la France devrait quitter l’OTAN, organisation à but défensif qui aurait dû s’autodissoudre lors de la fin de l’empire soviétique.

Les obstacles à un Frexit.

Les obstacles à un Frexit apparaissent cependant nombreux et contraignants :

Politiques tout d’abord,

• la puissance de l’oligarchie financière mondialiste capable d’imposer par un coup d’Etat médiatico-judiciaire un candidat quasi-inconnu et sans bilan économique et politique , à la présidence d’une grande nation occidentale ;

• l’infiltration et la présence étendue dans les rouages politiques français des complices du mondialisme et du « deep state » américain ;

• a force militante de la plupart des médias occidentaux qui écrase les opinions dissidentes ;

• les ruines encore debout de l’espoir européen ;

• la frilosité d’une partie importante des populations âgées soucieuse de ses économies et guère tentée par ce qui lui apparaitrait comme une aventure incertaine représente un argument fort contre le Frexit. Asselineau reproche vivement, parfois avec excès, à ses concurrents, notamment Zemmour, leur refus du Frexit. Mais serait-il raisonnable , face aux réalités de cet électorat de s’exposer à un échec qui serait funeste pour la cause de la sortie de l’Union européenne ? Même si aujourd’hui , il constate de plus en plus la présence de personnes plus âgées qu’auparavant à ses réunions, lancer un Frexit à l’heure actuelle aboutirait probablement à une impasse ;

• les difficultés techniques et la lenteur forcée d’une sortie. Nous le voyons bien avec le Brexit. Il aura fallu beaucoup de temps au Royaume uni pour le faire voter et les réalités économiques et juridiques ont pesé et pèsent toujours sur la sortie effective de l’Union européenne. Or l’Angleterre ne s’est pas heurtée au problème de la sortie de l’euro ce qui pourrait être le lot de la France. Un Frexit pur et simple exigerait des années d’effort. Or il y a urgence .

Bernard Monot qui est profondément hostile à ce qu’est devenue l’Union européenne a cependant écrit dans son livre « l’Eurovision pour les peuples » qu’un Frexit se traduirait pour la France par une déstabilisation politique et économique et, à terme, par un chaos social plus grand encore que celui engendré par l’application des politiques de l’UE. C’est la raison pour laquelle au vu des difficultés inextricables du Brexit il choisit l’option inverse : faire un « Bruxit » plutôt qu’un Frexit, c’est-à-dire de retirer le fédéralisme bruxellois de l’UE pour reconstruire une « Europe des patries », fondée sur des projets et des coopérations.

Mais pour le réaliser il faudrait un gouvernement attentif aux intérêts et au destin de la France. Ce n’est pas le cas.

A court terme la solution devrait passer par l’insoumission et la dissidence.

Objectifs et démarches.

L’objectif serait de contester et délégitimer la gouvernance bruxelloise sur des sujets primordiaux comme mineurs et de déstabiliser voire de dérégler la machine bureaucratique de cette Tour de Babel bruxelloise par des dénonciations des dérives de l’UE et de ses dirigeants et des refus d’obéissance aux diktats de sa bureaucratie. Par exemple :

• la corruption qui règne à la tête de l’UE, en particulier celle de la présidente de la commission : Frau Von der Leyen qui n’a toujours pas communiqué ses mails concernant les contrats Pfizer, peu de pays tapant du poing sur la table, malgré les efforts admirables de Sylvie Joron. Sans parler des valises de billets qu’on trouve sous les lits de responsables ;

• l’exercice d’un pouvoir illégitime et non conforme aux traités et aux règles de l’union par la même Frau Von der Leyen, non élue, qui, en particulier, en bonne bochesse, nous pousse à la guerre avec la Russie ;

• ce sont des opportunités qui sont de nature, sous condition d’être saisies avec vigueur et éloquence comme le fit Farage, à faire sentir aux eurocrates leur absence de légitimité et leurs responsabilités dans ce qu’est devenue l’Union européenne.

Notre pays devrait reprendre la main sur la législation et la réglementation, notamment en matière économique :

maintenir contre la Commission, comme la Hongrie et la Pologne, des lois et des réformes conformes à l’intérêt national et aux traditions du pays, même si elles ne cadrent pas avec l’idéologie européiste ;

• refuser des directives conformes à l’idéologie européiste et mondialiste, contraires à l’intérêt national et qui détruisent notre industrie et notre agriculture;

• prendre des mesures de protection du patrimoine industriel, foncier et artistique de notre pays par une procédure d’autorisations qui a existé (Notamment celles du Trésor) et par des nationalisations temporaires ;

• créer l’équivalent du «  small business act» américain ;

• refuser la logique des travailleurs détachés dont les cotisations salariales et patronales devraient être celles du pays d’accueil et non du pays d’origine.

Refuser l’invasion migratoire et les quotas de clandestins comme le fait la Hongrie, restaurer des protections aux frontières et adapter Schengen à nos urgences.

Annuler progressivement nos sanctions à l’égard de la Russie qui nous ruinent.

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14:37 Publié dans André Posokhow | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"La France qu'on aime", un petit livre sympathique de Franck Nicolle édité par l'Atelier Fol'fer

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Itinéraires, anecdotes, recettes identitaires & bonnes adresses…

L’immense mérite de Franck Nicolle, dont la culture encyclopédique égale la bonne humeur contagieuse, est de se placer dans le temps long, de rappeler la longue mémoire de nos provinces, de l’Alsace au Comtat Venaissin et de les ancrer dans l’Histoire avec un grand H qui, presque autant que la terre nourricière et les produits du cru, modèle les goûts et donc les gastronomies locales.

Visiter La France qu’on aime, titre ne devant rien au hasard, c’est donc goûter, voire s’initier car ce livre foisonnant abonde en recettes, aux cuisines des près de quarante « pays » qui ont fait la France. Mais aussi rencontrer le petit peuple ou les grands hommes – ceux-ci rarement fréquentables selon les critères du Politiquement Correct – de ces terroirs dont certains ont subi tant de vicissitudes. Et enfin, car notre auteur est un fin lettré des plus éclectiques, faire une jolie promenade littéraire, où l’on rencontre au hasard des pages Alexandre Dumas et Marcel Amont, Robert Brasillach et Georges Brassens, Kleber Haedens et Louis de Funès ou Léon Daudet et Antoine Blondin.

Personnages qui avaient peu de points communs sinon un amour charnel de « Madame la France ».

Camille Galic

L'auteur : Chasseur un jour, chasseur toujours, sociologue de formation, mais cuisinier amateur au premier sens du terme et chef de cuisine, récompensé par le guide Michelin, le Gault & Millau, Le Routard, le Collège Culinaire de France… Il a effectué tel un compagnon passant du devoir, son tour de France gourmand et déclare : « En France, je suis partout chez moi ! »

La France qu'on aime, Franck Nicolle, préface de Camille Galic, Atelier Fol'fer, 172 pages, 21,00 € (+6,00 € de port).

Pour le commander cliquez ici

12:28 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 6 janvier, à Paris :

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samedi, 30 décembre 2023

2024 : COURAGE, PERSÉVÉRANCE ET AUDACE...

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Dimanche 7 janvier 2024, en Vendée : la Galette des Rois du Rassemblement vendéen

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Pour bien commencer cette année 2024, à l’occasion de l’épiphanie et de la galette des Rois, le Rassemblement Vendéen vous invite cordialement à venir partager un moment de convivialité.
 
Dans le respect des traditions, ce sera l’opportunité d’échanger nos vœux dans une ambiance de détente, de bonne humeur et d'animation musicale en savourant les « galettes vendéennes » autour du verre de l’amitié.
 
Venez nous retrouver sur le stand Synthèse éditions.

vendredi, 29 décembre 2023

Paris : conférence sur l'écrivain Pierre Gripari le jeudi 4 janvier 2024 à la Nouvelle Librairie

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Tours : vendredi 12 janvier, conférence de Sylvain Roussillon sur le nationalisme irlandais

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jeudi, 28 décembre 2023

42e PÈLERINAGE DE PENTECÔTE 18, 19 et 20 mai 2024 "Je veux voir Dieu"

Le thème du pèlerinage de Pentecôte 2024, « Je veux voir Dieu », va nous faire réfléchir sur les Fins dernières. L’abandon, depuis les années 1960, de la prédication sur les fins dernières est incontestablement l’un des symptômes majeurs de la crise de la Foi. Il s’agit donc de revenir à la mission de l’Évangile : enseigner Jésus-Christ, et tout Jésus-Christ. C’est la plus grande des charités. Parler des fins dernières, c'est pratiquer une pastorale de la vérité.

La fin dernière n’est pas le baisser de rideau. La fin, c’est le bien absolu, c’est ce qui attire et oriente tout. La fin dernière, c’est Dieu. Cette fin donne tout son enjeu, toute son importance et sa beauté à la vie humaine. Nous sommes des pèlerins : notre patrie se trouve dans les cieux. Seule la pensée de la vie éternelle donne du sens à nos combats terrestres.

Rendez-vous les 18, 19 et 20 mai 2024 sur les routes de Chartres pour méditer sur les fins dernières. Et dès maintenant, formez-vous sur ce thème !

Abbé Jean de Massia Aumônier général NDC

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Samedi 13 janvier 2024 : Paris honore Sainte Geneviève

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mercredi, 27 décembre 2023

La France du silence

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Jacques-Olivier Martin

On les a aperçus avec leurs gilets jaunes posés sur le tableau de bord de leur voiture, on les en- tend autour de la dinde de Noël, lorsque les familles venues de partout décrivent leur vie quotidienne, loin des hôpitaux, des métros ou des lycées. Il faut écouter ces ruraux raconter comment le voisin agriculteur s’est organisé pour conduire les enfants des fermes isolées au collège de la sous-préfecture ou que le dernier médecin parti en retraite a repris un peu de service, faute de remplaçant. Et puis il y a le centre de loisirs qui ne trouve plus d’animateurs, l’installation de la fibre repoussée aux calendes grecques... La désertification des territoires n’est pas nouvelle, et les habitants de nos bourgades ont appris à se débrouiller avec moins de services publics, plus d’isolement et désormais une pénurie de candidats pour remplacer l’autocariste ou la cantinière... À la campagne, la solidarité, le système D et l’entraide font partie du quotidien. Le maire et ses adjoints sont toujours disponibles, prêts à donner un coup de main.

Cette vie, beaucoup ne la quitteraient pour rien au monde. Mais, dans le même temps, ce délitement des services de proximité attise le sentiment d’abandon, nourrit le rejet grandissant à l’encontre des grandes villes, et plus encore de Paris. Après tout, les isolés ne paient-ils pas autant d’impôts et de taxes que les autres ? Et pourquoi les dépenses publiques, qui ne cessent de flamber depuis des décennies, n’atteignent plus les rives de nos campagnes et ne permettent pas de donner de l’attractivité pour faire revenir un fils, une fille, un couple pour reprendre la ferme, l’épicerie ou le café ?

À l’heure où les débats sur l’immigration, la préférence nationale ou l’intégration enflamment l’Assemblée nationale et agitent la capitale, n’oublions pas la France du silence, de nos clochers, de nos terroirs, des petits bassins industriels... Elle réclame peu de choses, une puissance publique qui ne néglige pas ses devoirs, ni ne sacrifie ses territoires, et surtout des bras pour continuer à faire vivre nos bourgs et nos campagnes !

Source : Le Figaro 27/12/2023

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Le coup d’œil de Philippe Randa : La réjouissante déroute des faiseurs de morale !

randa-e1679415716764-300x440.jpegLa chronique

de Philippe Randa

Le magnifique Conte de Noël raconté par Philippe de Villiers sur CNews, enthousiasma plus de 583 000 téléspectateurs – selon les chiffres de Médiamétrie –, avant de devenir aussitôt « viral » sur internet (vu plus de 900 000 fois sur les réseaux sociaux)…

Au-delà du succès d’audience, la réaction haineuse du journaliste Jean-Michel Aphatie est particulièrement révélatrice de la déroute politique des auto-proclamés détenteur de la vérité : ces journalistes mainstream qui ont régné des décennies durant sur les médias français.

L’intéressé a en effet laissé exploser sa rancœur via un tweet qui a dû mettre mal à l’aise plus d’un lecteur : « Tout y est : la musique comme une mélasse, la niaiserie en couches épaisses, peut-être le sourire en coin de Geoffroy Le Jeune qui semble dire : “il ose tout”, enfin l’autosatisfaction régressive de Philippe de Villiers retourné au XIIe siècle. Joyeux Noël »… propos qui lui attirèrent cette réponse d’Eliot Deval, animateur de « l’heure des pros » sur Cnews le 25 décembre : « Cette séquence vous a touchés. Des milliers de messages inondent la toile. Mais c’était sans compter l’aigreur d’un homme, le pape de la bien-pensance qui voit son trône idéologique vaciller », avant d’enfoncer le clou : « Jean-Michel Aphatie enrage, déchaine ses passions tristes. Il a mené la danse des interviews politiques. Aujourd’hui, ses idées sonnent faux et, quand il attaque, il vise à côté (…) Aphatie n’est plus grand chose et, en même temps, tout ce que les Français ne supportent plus : les donneurs de leçons, les faiseurs d’une morale qui ne trouve plus le moindre écho, si ce n’est sur le boulevard Saint-Germain»

Tout est dit…

Le « dernier » (pour l’heure) scandale médiatique en date de cette fin d’année 2023 est donc particulièrement réjouissant, n’en déplaise à tous ceux qu’on entend souvent dire, avec une insistance quelque peu désespérée, que « tout est foutu »…

De même, le quotidien Libération témoigne que « dépassée pour la première fois par le canal 16 de Vincent Bolloré sur une période d’une semaine début décembre, la chaîne du groupe Altice imite sa concurrente et invite toujours plus de polémistes identitaires pour tenter de regagner des téléspectateurs. En interne, les journalistes font part de leur inquiétude face à une direction embarrassée (…) La participation de Thais d’Escufon à des débuts sur BFMTV n’est en effet que la plus récente des invitations de figures de l’extrême droite identitaire par la chaine d’information, Il y eut ainsi Laurent Obertone, essayiste de l’ensauvagement, connu pour son best-seller La France orange mécanique, et convié fin novembre pour évoquer le drame de Crépol. Il y eut aussi Juliette Briens, chroniqueuse sur Radio Courtoisie et collaboratrice au magazine zemmouriste L’Incorrect (le théoricien du grand remplacement Renaud Camus est en couverture du dernier numéro), intervenante régulière (et rémunérée) sur les plateaux de la chaine d’info. On peut aussi citer Olivier Vial, participant assez assidu de l’émission 22h Mas, simplement catégorisé comme directeur du Ceru, laboratoire d’idées universitaires, alors qu’il a surtout été, et pendant longtemps, le président de l’UNI, le très droitier syndicat étudiant (…) »

Sans doute, parmi les lecteurs qui lisent ce « coup d’œil » en est-il beaucoup, voire une majorité, qui le pense : le présent est moche, mais l’avenir sera désespérant…

Prenons le risque de les contredire, preuves ci-dessus à l’appui et affirmons plus que jamais que l’avenir ne sera pas forcément aussi triste que cela en rappelant, encore et toujours, la célèbre phrase de Charles Maurras : « Le désespoir en politique est une sottise absolue… »

Enfin, peut-être que si, finalement, mais pour tous ceux qui ont œuvré, des décennies durant, à favoriser la submersion migratoire et la mondialisation économique, tous ceux qui abhorent la culture française et la civilisation européenne.

Ont-ils tant de raison que cela de se réjouir de notre présent et n’ont-ils pas encore plus à craindre de l’avenir ?

Et puis, vous savez quoi ? Allez, tiens… Joyeux Noël !

Lire aussi dans Le Nouveau Présent cliquez là

10:15 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cinéma : Le monde d’après III

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Charles-Henri d'Elloy

Le « Monde d’après III » du réalisateur Laurent Firod, est un film qui fait du bien parce qu’il concentre une grande quantité d’absurdités irritantes contemporaines et qu’il les tourne en dérision.  Mélangeant humour et gravité, Laurent Firod, avec sa bande d’acteurs aussi vrai que dans la réalité, nous entraîne avec talent, au travers de scènes déroutantes dans un univers devenant de plus en plus invivable mais qui est hélas devenu le nôtre !

Le film politiquement très incorrect se donne à l’Espace Saint-Michel dans le cinquième arrondissement de Paris.

En savoir plus cliquez ici

mardi, 26 décembre 2023

Patrick Buisson est décédé aux Sables d’Olonne : l’hommage de ses proches

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Au lendemain de la Nativité, la France perd l’un de ses penseurs les plus éminents. Tout au long de son existence, l’auteur de La Cause du Peuple a mobilisé ses immenses talents au service d’une action politique fondée sur un patrimoine intellectuel incandescent. 

Homme de lettres et d’action, Patrick Buisson n’a jamais reculé devant les défis de son époque, offrant à ses contemporains une leçon de courage contre tous les tremblements de son siècle. Au rebours de ceux qui veulent brader un héritage qui irrigua toute son existence, le sage de Vendée porta la conviction que la droite française n’avait pas d’autre ambition estimable que celle d’être la patrie de l’intelligence. Souvent déçu, jamais abattu, Buisson aura conseillé certaines des personnalités publiques qui façonnent notre époque.

Nous ne pouvons qu’espérer ardemment que son héritage soit fécond et invitons tous ceux qui connurent sa personne comme son œuvre à s’incliner devant la mémoire d’un phare de notre époque. Puissent les prières monter pour le Salut de son âme et ses héritiers agir pour celui de notre pays.

Dans ces heures douloureuses, nous appelons chacun à témoigner pudiquement des trésors que recela une vie qui ne fut pas dénuée de fracas.

Patrick Buisson, présent !

Alexis Chevalier, fondateur du Pélican noir,

Charles de Meyer, président de SOS Chrétiens d’Orient,

François Bousquet, rédacteur en chef d’« Éléments »

 

Source Eléments cliquez ici

Lire aussi Polémia cliquez là

NDLR SN : Tout est dit, rien à rajouter. C'est une perte pour la droite de conviction. Qu'il repose en paix.

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Le cocard du coco Mondange : un nouveau bobard contre “l’extrême droite”

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Martin Molsan Riposte laïque cliquez ici

Si on en croit les gros titres de la presse républicaine, le maire d’une commune de l’Isère a été attaqué par des gens se "prétendant nationalistes" et tenant des propos "racistes". cliquez ici

Comme aurait dit Brassens, "la seule chose un peu sincère dans cette histoire de faussaire", c’est le beau cocard que porte le nommé Mondange après que des individus lui auraient demandé ce que signifiait la cocarde au revers de son veston. Tout le reste est flou et sent le narratif inventé de toute pièce, vraisemblablement pour habiller une embrouille qui a mal tourné. Autrefois au rugby quand tu ne savais plus quoi faire, tu tapais en touche, aujourd’hui à gauche quand tu t’es pris une tête au carré, tu balances la double accusation de racisme et de fachisme, le double effet censé marcher à tous les coups.

"Se prétendant". Déjà, dès les gros titres dans la presse, le ton est donné et tout le monde en reste à une sorte de conditionnel suggéré. D’ailleurs, si la presse main-stream a relayé, c’est finalement avec pas mal de distance et de doutes à peine voilés, en tout cas pas avec le buzz qu’aurait dû susciter l’attaque d’un maire de gauche par des fachos sur un motif raciste.

De leur côté, le pouvoir et les officiels en sont restés au service minimum.

Prudent, le préfet de l’Isère reste dans le vague. Pas de reprise ni du caractère raciste, ni de la revendication par de prétendus identitaires. On me permettra de penser que connaissant l’oiseau, il aura jugé préférable de rester à distance par rapport au narratif de l’édifiant édile.

Plus laconique que le tweet de la préfecture de l’Isère, on n’a jamais vu : "Le préfet Louis Laugier condamne avec fermeté l’agression d’André Mondange, maire de Péage-de-Roussillon. Il apporte tout son soutien au maire et ses proches devant cette épreuve, face à cet acte inacceptable." Cliquez ici

Cécile Helle, maire d’Avignon (PS) également sur le reculoir. « Je vais rentrer en contact avec lui pour lui exprimer le soutien de la Ville, voir comment on peut l’accompagner, lui témoigner ma solidarité. C’est un acte intolérable, qui touche un élu de la République. Si en plus, il a été agressé parce qu’il était maire, c’est quelque chose de condamnable. »

Là non plus, aucune référence ni au caractère raciste ni aux prétendus auteurs. Pire, le ”si en plus” de la dernière phrase exprime clairement le doute sur les motivations de l’agression et sur la véracité du récit. Prudente l’élue de gauche qui a dû se renseigner sur le lascar, se tient à bonne distance. Serait-il un peu mytho ? En bon coco-CGT, serait-il un habitué des coups tordus ? Sa réputation serait-elle établie dans le milieu, au point que tout le monde se tienne sur la réserve ?

Yannick Neuder, député (LR) de la 8e circonscription de l’Isère. « Cette agression est révoltante et s’inscrit dans un contexte toujours plus inquiétant d’atteintes verbales et physiques ciblées sur nos élus, notamment maires. André a aussi été ciblé, lui et sa famille, avec un motif raciste. Il va bien, mais il est affecté pour sa famille. Personne ne devrait avoir à vivre ça devant ses proches. Ses agresseurs doivent être traduits devant les tribunaux. »

Petite insuffisance personnelle, comme il est de droite et donc entaché par le péché originel, il s’est senti obligé de reprendre l’accusation de racisme tellement porteuse, tellement républicaine et surtout tellement libératoire. Le conformisme et la lâcheté de ces élus de droite sont à gerber. Un LR qui défend un coco, ça sent aussi la fraternelle tripodique.

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00:34 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 24 décembre 2023

BON NOËL

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Les voeux de Noël de Marion Maréchal

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Philippe de Villiers raconte magnifiquement Noël

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samedi, 23 décembre 2023

Journal du chaos

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vendredi, 22 décembre 2023

Martin Peltier : le procès Tintin

Après 1968, Tintin, tranquille héros de bande dessinée, fut découvert par les cuistres. Depuis, lui-même, ses amis, son chien, sont l’objet de théories farfelues et d’un procès permanent de leurs mœurs et opinions – en particulier politiques.

Il faut dire que leur père à tous, Georges Rémi dit Hergé, a eu le malheur de commencer sa carrière dans un journal catholique avec pour mentor un abbé d’Action française et pour copain un journaliste qui allait devenir le plus turbulent des politiciens belges. Lui-même dut travailler pour vivre sous l’Occupation, fit un jour de prison à la Libération et connut quelques mois d’exclusion.

Hergé fut-il collabo, et quel sens donner au mot ? Son monde est-il un monde sans femmes, pire, un monde sexiste ? Un monde fasciste ? Tintin, boit-il, fume-t-il, ruine-t-il l’environnement ? Qui est-il en fin de compte ? Le plus simple était de le lui demander, et à Milou. Mais comme ils n’ont pas eu le droit de nous répondre, nous sommes allés chercher leurs avatars dans un métavers parallèle, Pimpin et Bilou. Ils ont scruté pour nous les 23 albums signés Hergé, des Soviets aux Picaros.

Reporter comme Tintin, Martin Peltier a fait une longue carrière dans la presse. Classé hors système par conformisme, il y est resté, par paresse ou par fierté. Auteur d’une quinzaine d’essais, biographies et romans, il traite ici, enfin, un sujet qu’il connaît.

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