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mercredi, 05 mars 2025

Pas d’avocates voilées dans les prétoires ! Cachez ce voile que je ne saurais voir.

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Michel Festivi  

Les islamistes, poussés par les Frères musulmans et les salafistes tissent leurs toiles partout en France et en Europe pour imposer leur tyrannie théocratique. Il n’y a pas un pan de la société qui n’en soit affecté. Tel un cancer, les métastases se développent pour tuer le corps social et parvenir à ses fins. Le voile, nous le savons, est le fer de lance de leurs actions, le symbole de leur volonté de conquérir les terres non encore définitivement soumises à l’islam.

La justice, et notamment les tribunaux n’ont pas échappé à ce djihad du croissant. Le Conseil national des barreaux, le CNB, chargé par le législateur, d’unifier les règles de la profession d’avocat, notamment celles de la déontologie, avait en 2023, édicté un complément à la norme qui veut, par souci d’égalité, que dans l’exercice de leur profession, les avocats portent la robe noire, en interdisant « le port de tout signe distinctif, autre que la robe ».

Car des avocates voilées, avaient tenté de venir plaider et se présenter ainsi vêtues devant des juridictions. En 2015, une étudiante-avocate s’était produite ainsi à un concours d’éloquence à l’école d’avocat à Paris. Plusieurs ordres avaient alors introduit dans leurs règlements intérieurs des dispositions prohibant les ports de signes religieux ostentatoires. Dans un arrêt du 2 mars 2022, la Cour de Cassation avait jugé que le port de signes distinctifs de convictions religieuses, philosophiques, politiques, communautaires, n’était pas compatible avec le principe d’indépendance qui gouverne la profession d’avocat.

Dans sa décision du 3 mars 2025, le Conseil d’État vient rejoindre la jurisprudence judiciaire. C’est le très gauchiste Syndicat des avocats de France, le SAF, qui avait porté le cimeterre devant le Conseil d’État en soutenant, que les dispositions prises par le CNB « remettraient en cause la liberté d’exercice de la profession d’avocat ou les règles essentielles qui les régissent ». On reconnait bien là, l’argumentaire lfiste, des ultras gauchistes de l’islamophilie, qui sous couvert de liberté, tentent d’imposer leurs vues islamistes. Car la liberté a bon dos et est bonne fille ! C’est exactement les mêmes litanies pour les associations immigrationistes comme la LDH par exemple, lorsqu’elles attaquent des dispositions visant à interdire le voile ou le burkini.

Pour une fois, le Conseil d’État n’a pas été dupe de la manœuvre. Il a clairement statué « Il résulte de l’article 3 de la loi du 31 décembre 1971, régissant les règles de la profession d’avocat, qu’en imposant le port d’un même habit uniforme, le législateur a entendu exclure le port de signes distinctifs. Le Conseil des Barreaux s’est borné à préciser les modalités d’application de ces dispositions, sans ajouter des prescriptions nouvelles. »

Il s’agit pour la profession et pour les autorités, d’assurer l’égalité entre les justiciables, « conditions nécessaires du procès équitable », et ne pas avoir des avocats bariolés dans un grand n’importe quoi.  « L’objectif de les identifier par un costume qui leur est propre... est d’éviter qu’ils n’affichent, par leur apparence, des préférences personnelles, sans rapport avec la défense des intérêts de leurs clients. »

On peut prédire, que si demain, des avocates voilées avaient pu plaider, immédiatement après on aurait appris qu’au nom de la sacro-sainte liberté, certains demanderaient désormais à être jugés devant des tribunaux qui appliqueraient la Charia. C’est notamment déjà le cas en Angleterre, ou les musulmans peuvent être soumis aux lois islamiques, devant des tribunaux islamiques, qui décrètent ainsi que frapper sa femme est permis, qu’une fille doit hériter la moitié d’une part par rapport à un garçon, que l’adoption n’est pas permise, qu’un homme peut avoir quatre épouses et autant de concubines qu’il le souhaite ou le peut, que la répudiation par le mari de l’épouse est un droit fondamental etc....

Comme on le voit, le combat contre la volonté de l’islam d’imposer ses principes totalement incompatibles avec nos lois est quotidien. Je me dois aussi de souligner, dans cette même veine, que les gauches, qui se prétendent être les apologistes des libertés, qui se parent en permanence de toutes les vertus, pour s’auto-situer dans le camp du bien, viennent à l’Assemblée nationale, de refuser d’apporter leurs soutiens à Boualem Sansal et à sa libération.

Une résolution appelant à l’élargissement immédiat de Boualem Sansal, incarcéré depuis novembre 2024, dans les geôles du régime militaro-théocratique algérien, a été votée par la Commission des affaires étrangères. Seuls les députés LR, du bloc central, et du RN l’ont approuvée, tous les autres, les lfistes, les écologistes, les socialistes, se sont lâchement abstenus, les députés communistes avaient opportunément levé le siège avant le vote. On se doit de rappeler qu’à chaque fois qu’un scrutin a été émis pour condamner les crimes du communisme, soit en France, soit au parlement européen ou au Conseil de l’Europe, les communistes ou les lfistes ont toujours refusé de voter cette condamnation.

Enfin, tout cela ne semble pas beaucoup troubler les instances supérieures de l’Église catholique. Si le vice-président de la commission épiscopale vient de déclarer qu’il allait surveiller de très près ceux des chrétiens qui entendent pratiquer leur culte en respectant la messe traditionnelle au nom de la police de la pensée sans doute, la Basilique Saint Denis, qui accueille les tombeaux des Rois et Reines de France, organise une exposition sur des portraits de femmes, dont deux femmes voilées d’un voile islamique, qui se situent aux entrées de la nef puis de la crypte. Némésis a vertement condamné « une humiliation », « un symbole de soumission ».  La tactique islamiste est bien rodée. Dans un édifice hautement chargé d’histoire-la Basilique Saint Denis fut saccagée pendant les pires périodes de la révolution-, on y insère un élément totalement contraire et perturbateur, pour ensuite traiter d’intolérants, ceux et celles qui entendent relever l’ignominie de l’affaire. Décidément, l’Église officielle catholique française entend se soumettre, et ne semble toujours pas comprendre pourquoi, ses lieux de culte se vident, et que les grands pèlerinages de Chartres, par exemple, n’ont jamais connu, pareils succès, notamment auprès des jeunes.  

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EN ROUMANIE, LE PARTI MONDIALISTE INTERDIT D'ÉLECTION LE CANDIDAT NATIONALISTE

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Docteur Merlin 

Le 24 novembre 2024, Calin Georgescu (ci-dessus), déjouant tous les pronostics, tous les sondages, fait la course en tête de l’élection présidentielle roumaine avec 23% des suffrages exprimés.

C’est un coup de tonnerre à Bucarest, et les instances européennes fustigent évidemment des ingérences étrangères. TikTok, réseau social chinois est tenu pour responsable d’avoir permis des manipulations de l’électorat grâce à l’utilisation suspecte et frauduleuse d’algorithmes.

Qui est donc ce trublion ? Enseignant à l’Université, il fut expert environnemental, dirigeant d’une ONG écologiste puis délégué de la Roumanie au programme des Nations Unies pour l’environnement. C’est au sein de cette instance internationale qu’il prend conscience du pouvoir de la finance apatride et des oligarchies mondialistes, et des mensonges des pseudo-élites qui nous asservissent. Il est proposé comme premier ministre par l’Alliance pour l’Unité des Roumains (AUR) (parti conservateur désormais désigné comme « extrême-droite »). Après avoir « proféré » des propos « élogieux sur Antonescu (au pouvoir de 1941 à 1944 au côté des forces de l’Axe) et sur Cornéliu Zéléa Codréanu (chef de la Garde de fer assassiné par le pouvoir royal en 1938) : « Codréanu s’est battu pour la moralité de l’être humain », il est mis de côté.

C’est donc en candidat indépendant des partis qu’il sollicitait les suffrages de ses concitoyens. Devant ce résultat imprévu, et les sondages qui le donnaient vainqueur face à une candidate pro-européenne assez falote, les défenseurs européistes de la démocratie ont annulé le scrutin, deux jours avant le deuxième tour. La décision sera maintenue en appel, alors même que les manipulations sur les réseaux sociaux avaient pour origine le parti du président sortant, M. Iohannis. Ces apprentis sorciers espéraient, en favorisant Georgescu, faire baisser le score de George Simion, le dirigeant de l’AUR, à qui les sondages promettaient le second tour.

Depuis, il semble que le pouvoir aux abois (Georgescu serait crédité de 45% au premier tour des élections qui devraient se dérouler en Mai) tente par tous les moyens de l’empêcher de se présenter.

Lire la fiche de Calin Georgescu sur Wikipédia nous donne l’éventail parfait de tout le langage orwellien. Être pour la paix en Ukraine c’est être pro-Russe, prôner une politique indépendante pour la Roumanie c’est être complotiste etc…

À part la platitude de notre planète et le genre de notre première dame, tout y passe : fréquentations douteuses, tentatives de déstabilisation de l’État, révisionnisme, j’en passe et des meilleures. C’est un condensé de « premier degré, de mensonges, de propagande de bas-étage.

Mais pour qui connaît un peu l’âme du peuple roumain, qui a su résister à tous les envahisseurs grâce à leur langue, leur culture, leur foi et leurs traditions enracinées, il y a fort à parier que les milliers de manifestants qui défilent derrière le drapeau national ne sont pas près d’admettre le vol de leurs suffrages. Un grand souffle de liberté souffle aujourd’hui contre la toute puissance de Bruxelles et des politiciens plus ou moins corrompus, et il n’est pas près de retomber.

Puissent les mânes de tous ceux qui se sont dressés contre les oppresseurs de la nation roumaine les soutenir dans leur combat difficile et dangereux. Prions pour que Calin Georgescu déjoue toutes les accusations, tous les traquenards, toutes les manœuvres d’un pouvoir aux ordres de la commission européenne, cette dictature qui ne dit pas son nom.

On n’arrête pas un peuple en marche.

Et comme disent mes amis roumains : Dieu aide !

Fin connaisseur de la Roumanie, Docteur Merlin est l'auteur de plusieurs ouvrages sur Codreanu et sur la Garde de fer cliquez ici

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18:43 Publié dans Docteur Merlin, En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

5 mars 1953, mort de Staline : le monde était ainsi débarrassé d’un des plus grands criminels de l'Histoire

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Communiqué de presse d’Alexandre Simonnot (1) :
 
Le 5 mars 1953, le dictateur Joseph Staline mourrait.
 
Le monde était ainsi débarrassé d’un des plus grands criminels de tous les temps et de toute l’histoire. Il est bien évidemment impossible de rendre un quelconque hommage à cet abominable tortionnaire dont le XXe siècle se serait bien passé. C’est aux dizaines de millions de morts du stalinisme qu’il nous faut rendre hommage. Ces femmes et ces hommes spoliés, déportés, torturés, massacrés, éliminés par la barbarie stalinienne.
 
Ces millions de morts dont on ne parle jamais, ces millions de morts volontairement oubliés, ces millions de morts qui n’intéressent personne !
 
Surnommé à tort « le petit père des peuples », appellation désignant traditionnellement les Tsars de l’Empire russe, le tyran Staline était en réalité le petit père des pires exactions et des pires ignominies. Pourquoi ce silence sur les millions de morts du communisme ? Pourquoi n’évoque-t-on jamais ces génocides orchestrés par Staline ? Pourquoi ce silence sur les atrocités des Goulags ?
 
A quand toute la vérité sur ces exterminations de masse ? A quand un grand procès du communisme ? Le respect des morts ne se partage pas et il serait temps d’effectuer, à l’égard des victimes du communisme, un véritable et légitime devoir de mémoire.
 

1 - Alexandre Simonot est membre de la direction nationale du Parti de la France

 
NDLR SN : N'oubliez jamais que, hier comme aujourd'hui :

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Affiche du FJ collée en 1975

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10:32 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 04 mars 2025

Réglement de comptes à l’OTAN

La chronique de Philippe Randa

La menace de Donald Triump de faire sortir les États-Unis d’Amérique de l’OTAN avait « bouleversifié » la grande majorité des dirigeant de l’Union européenne. Comment osait-il ?

Comment ? On l’a vu !

Pourquoi ? Ça, il l’a expliqué : parce qu’il jugeait que les pays membres (les Européens) « ne contribuaient pas (assez) financièrement au fonctionnement de l’alliance » ! Un argument qui n’a pas vraiment convaincu les intéressés qui veulent bien de la « protection » de l’Oncle Sam, mais sans vouloir passer à la caisse, jugeant peut-être que celle-ci, si on ne jouait pas sur les mots, étant surtout une « soumission », il était inconvenant de leur demander en plus de payer leur vaseli… vasalité !

Et puis, patatras ! Le 47e président magistralement réélu outre-atlantique vient d’en rajouter une louche en recadrant en direct devant les caméras du Monde entier l’Ukrainien Volodymyr Zelensky, menaçant de lui couper les vivres. Il argue, pour cela, que la guerre, celui-ci et ses mécènes d’alors, notamment son prédécesseur à la Maison-Blanche Joe Biden l’avait bien cherchée.

D’où nouvel étranglement d’indignation dans le landernau des dirigeants des pays membres de l’OTAN, mais cette fois sur fond de panique : si les USA laisse tomber le président ukrainien, l’ogre du Kremlin ne pourrait-il pas alors ne faire qu’une bouchée de son pays dévasté, ruiné, épuisé… avant de se rappeler… à leur mauvais souvenirs ?

« L’Union européenne, ayant bavassé

tout le temps

Se trouverait fort dépourvue

si la menace russe survenait,

N’ayant guère de guerrier,

De soldat et plus de Rambo…

Elle crierait sans doute au secours

Chez le Cow-boy redevenu sheriff

Le priant de ne pas jouer à l’indifférent

— C’est pas l’moment,

On est vos alliés, tout d’même !

Mais the Donald n’ayant point d’humour ;

C’est là son moindre défaut :

— Que faisiez-vous au temps de paix ?

Pourrait-il répondre alors aux démunis.

— Nuit et jour, à tout venant,

Nous donnions des leçons, ne vous en déplaise.

— Vous donniez des leçons ? J’en suis fort aise.

Eh bien ! recevez-en maintenant… »

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18:50 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ARRÊTONS LES VA-T-EN GUERRE DE L’UNION EUROPÉENNE !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Depuis quelques jours, depuis que le président Trump a sévèrement sermonné son homologue ukrainien, les Européistes, paniqués à l’idée que le « grand frère » n’assure plus leur sécurité, nous jouent une étrange petite musique. Dérogeons à la règle « sacrée » des 3% de déficit, pour peu que la dette augmente pour réarmer l’Europe, nous susurre Ursula Von Der Layen, grande prêtresse du « zinzin » bruxellois…

Mais que ne l’ont-ils fait hors des compétences de la Commission européenne, avant que le conflit ukrainien n’éclate ? Pourquoi, parallèlement à l’OTAN, n’ont-ils pas mis ou tenté de mettre sur pied une coordination militaire spécifique entre Etats membres de cette Union européenne ? Une UE qui, telle l’eau des crues qui s’infiltre par tous les interstices d’une construction, s’invite aujourd’hui dans des champs hors de sa compétence ?

Les Occidentaux, aussi,  ont une lourde responsabilité dans le drame ukrainien

L’affaire ukrainienne était mal engagée. Les frontières internes de l’ex-URSS sont trop vite devenues des frontières internationalement reconnues. La Crimée, par exemple, russe depuis le XVIIIe siècle, n’avait été rattachée à l’Ukraine que par un artifice juridique de Nikita Kroutchev, alors tout puissant Premier secrétaire du PCUS, lui-même d’origine ukrainienne.

Les Occidentaux ont soufflé sur les braises, et ont fermé les yeux sur l’attitude de Kiev qui n’a pas respecté les accords de Minsk I et II, pourtant parrainés par la France et l’Allemagne. Angéla Merkel, chancelière d’Allemagne à l’époque, s’en est même vantée publiquement, « pour permettre à l’Ukraine de gagner du temps ».

Rappelons au passage qu’ils prévoyaient une consultation des habitants russophones du Donbass pour choisir leur avenir. On appelle cela l’autodétermination : il n’y a pas plus « démocratique ». Avec la perspective d’une éventuelle adhésion de l’Ukraine à l’Otan, Poutine a vu rouge et,  tel un taureau andalou réagissant à la vue d’un chiffon agité devant son museau, il a foncé, entrainant dans son sillage mort et destructions ! Il faut ajouter aussi pour être précis, que depuis un paquet d’années, les Ukrainiens bombardaient allègrement les zones sécessionnistes de Donetsk et de Lougansk, majoritairement russophones. On en parle moins que les bombardements russes, parfaitement odieux il est vrai, sur d’autres populations civiles. Bref, c’est un énorme gâchis humain dont les seuls Russes ne peuvent être tenus pour responsables.

Les Occidentaux – Américains et Européens confondus, au premier rang desquels la France de Macron -, en soutenant suffisamment Zelinsky pour résister mais pas assez pour vaincre, portent une lourde responsabilité dans ce drame, qui frappe des populations de même sang slave et de civilisation européenne. Et, à l’heure où les États-Unis disent « STOP » à cet effroyable gâchis, les petits marquis qui gouvernent cette Europe semblent vouloir en « remettre une couche » !

Macron,  « un chef de guerre » qui n’a pas « fait l’armée » !

Emmanuel Macron, qui se prend sans doute pour Jupiter, président légal mais pas légitime, semble vouloir prendre la tête de cette croisade, allant même jusqu’à mettre sur la table, le partage de notre force nucléaire, à tout le moins étendre à ses 26 partenaires  la dissuasion française.

Mais qui est-il, ce « chef de guerre », qui n’a jamais senti l’odeur d’une chambrée, qui ne sait pas ce que c’est que de faire son lit au carré, de balayer les « chiottes » contrairement au signataire de ces lignes, qui ne connait l’ordre serré que par les défilés qu’il admire, sans doute, depuis sa tribune lors du 14 juillet ? Oui, qui est-il pour engager, peut-être, tout une nation dans une voie dangereuse ? Le peuple lui en a-t-il donné mandat ?

Quel est l’intérêt vital de l’Europe ?

L’intérêt de l’Europe, sans être naïve certes, est une fois pour toutes, de faire une paix contractuelle avec la Fédération de Russie, pour le plus grand bienfait de nos économies respectives. En mettant, bien sûr, les points sur les « i ». En fixant les limites de son influence à son seul « étranger proche ». Il ne saurait être toléré aucune agression contre un pays signataire du traité de l’Atlantique Nord. Ce qui veut dire que si Moscou - ce qu’à Dieu ne plaise -, envisageait par exemple, d’attaquer l’Estonie pour rattacher, à sa frontière, la ville russophone de Narva, eh bien en vertu de l’article cinq du traité, « Un pour tous, tous pour un », nous viendrions au secours du gouvernement de Tallin.

Tel n’est pas le cas de la Moldavie, de la Géorgie ou de l’Arménie. L’Ukraine, quant à elle, devrait bénéficier d’un statut d’État neutre, comme l’était la Finlande avant qu’elle ne rejoigne l’OTAN. Rien ne pourrait empêcher, d’ailleurs, tous ces Etats d’envisager une fructueuse et mutuelle coopération avec les 27. À écouter les déclarations des uns et des autres, à lire la prose des médias mainstream et à regarder les émissions de télévision sur les chaines d’infos continu, on n’en prend pas le chemin. On dirait que l’on cherche plutôt à conditionner les opinions publiques, à leur faire avaler l’hypothèse d’une guerre à l’Est, avant qu’elle n’arrive chez nous !

Alors, à tous ces oiseaux de malheur, opposons et imposons la raison, la voie du dialogue et de la paix. Et, en dernier ressort, n’oublions jamais que, par exemple, « la Lorraine passerait avant l’Ukraine » !

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18:44 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Cassen défend la liberté d'expression

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La conférence de Bruno Gollnisch aux Sables d'Olonne dimanche dernier

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Une macroniste pure jus reconnait l’ignominie, la lâcheté et le liberticisme de la Macronie !

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Michel Festivi 

Aurore Bergé n’est absolument pas ma tasse de thé, très loin s’en faut. Elle est quasiment ministre depuis 2017, et gesticule beaucoup pour des résultats insignifiants voire invisibles, sinon nuisibles. Elle est l’archétype de cette macronie qui fait crouler la France et qui ne règle jamais les vrais problèmes et difficultés des français, comme l’immigration massive, débridée et illégale ; la violence et la délinquance généralisée exponentielle ; le pouvoir d’achat en berne ; l’indépendance énergétique de plus en plus menacée ; l’industrie à la ramasse ; l’agriculture croulant sous des normes débiles ; sans compter des milliards d’euros jetés par les fenêtres pour l’Afrique, l’Ukraine, les migrants, la culture woke, les transgenres, l’Union européenne, argent qui manque tant aux français qui travaillent et qui souffrent.  Elle a participé avec d’autres, à toutes les atteintes à nos libertés et semble payer pour faire tout et n’importe quoi, comme s’attaquer aux salons de massages parisiens, qui seraient, selon elle, des maisons de tolérance ! La belle affaire, il est vrai que la France n’a pas d’autres priorités existentielles à régler !

C’est pourquoi, ce qu’elle vient de déclarer au magazine L’express, prend toute son importance et mérite d’être souligné. Elle a lancé une charge très sévère contre Gabriel Attal, en étrillant « ces désistements systématiques qui procèdent d’une forme de rétrécissement démocratique entravant le choix des français...ils sont suffisamment grands pour faire la différence, non pas entre deux, mais trois candidats ». Car elle croit « à une république du respect, pas à celle de l’infantilisation, pas à celles où les politiques donnent des leçons... il fallait laisser aux Français une liberté totale de choix et de vote. Car comment peut-on penser qu’on combat le RN en mettant un bulletin LFI dans l’urne ».

 Décortiquons ses propos. Effectivement, Macron avait à peine terminé son laïus sur la dissolution de l’Assemblée nationale, que Gabriel Attal, premier ministre, ordonnait péremptoirement, avec menaces voilées à l’appui, en levant le menton et en montant sur ses ergots, aux partis politiques du système de faire en sorte qu’il ne puisse rester que les deux candidats arrivés en tête à l’issue du premier tour, décrétant un désistement systématique du 3ème voire du 4ème candidat pouvant se présenter au deuxième tour pour faire barrage au RN. Lui emboitèrent le pas des LR, des socialistes, des communistes et tous ceux qui avaient vu d’un sale œil la large victoire du RN aux européennes. On a pu ainsi se rendre compte que des Macron, Attal, Borne, Philippe, Bertrand, Hollande, Jospin, Glucksmann, et consorts faisaient cause commune avec Jean-Luc Mélenchon et ses candidats islamistes, antisémites, acheteurs de drogue, violents ou fichés S.

C’est ainsi que près de 11 millions de français, qui avaient voté RN au premier tour de ces élections législatives furent volés de leur victoire annoncée, par un tour de passe -passe des plus anti-démocratiques qui soit.  Aurore Bergé le reconnaît, l’avoue. La liberté du choix des français n’a pas été respectée, c’est l’aveu explicite d’une macroniste des plus revendiquée. Gabriel Attal vient d’ailleurs de récidiver dans l’ignominie en faisant éditer pour le compte de son parti, une affiche renvoyant dos à dos le RN et LFI, alors que LFI tient des propos antisémites d’une violence inouïe et qu’elle soutient avec une constante militante des plus avérée, les islamistes et leur volonté de s’accaparer tous les rouages du pays et abattre nos traditions, nos coutumes, nos mœurs, adoubant le Hamas et autres organisations terroristes à l’image de l’une de ses élues, Rima Hassan. 

Mais immédiatement, nous vient à l’esprit, que celle qui dénonce ces atteintes gravissimes à la liberté d’expression et de vote, est un artisan de cette même décomposition française. C’est l’hôpital qui se moque de la charité, c’est le serpent qui se mord la queue. Il faut dire qu’Aurore Bergé est le prodrome du mal français. Elle a soutenu des UMP, des LR, même un temps François Fillon, pour se ranger ensuite, à la suite d’une multitude d’échecs électoraux, derrière Macron, en 2017, subodorant une carrière et des postes. Non sans un certain talent politicien, elle est parvenue, à se faire élire présidente de son groupe parlementaire, puis à être ministre. Pourquoi n’a-t-elle pas dénoncé avant, ce qu’elle dénonce aujourd’hui ? Ses propos auraient eu beaucoup plus de poids en juin et juillet dernier. Entend-elle supplanter Gabriel Attal ? Possible. 

Elle fustige « une république d’infantilisation », a qui la faute ? Nous atteignons là, le comble de l’indicible. Ceux- là même qui participent à ce système dévoyé, viennent donner des leçons. J’ai une solution toute simple pour limiter ce genre de magouilles permanentes. En finir avec des élections à deux tours et ce que ce soit aux municipales, aux départementales, aux régionales, aux nationales. Nous sommes le seul pays européen qui pratiquent un tel scrutin de voleurs. Ni en Allemagne, ni en Espagne, ni en Italie, ni en Autriche, ni en Grande Bretagne, ni dans les pays scandinaves, ni au Danemark, ni aux Pays-Bas, ni ailleurs ou comme aux États-Unis, les élections se pratiquent à un seul tour. Que ce soit des scrutins de liste, des scrutins uninominaux, ou un panachage des deux, avec plus ou moins de proportionnelle, les élections se font sur un seul tour, point barre.  

Les élections à deux tours favorisent toutes les magouilles, toutes les perversions, toutes les manigances et renforcent toujours les partis du système. Les élections à un seul tour ne sont pas parfaites non plus, mais elles sont claires et des alliances se feront après, et les électeurs pourront ensuite en tirer toutes les conclusions utiles. Des élections à un seul tour et des référendums possibles sur tous les sujets, voilà ce qu’il faut exiger pour que le peuple puisse avoir droit à la parole, enfin.

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Ukraine : Face à Trump et Poutine, Macron hors-jeu – Régis Le Sommier

Donald Trump a reçu à la Maison-Blanche une série de dirigeants européens : Emmanuel Macron, Keir Starmer et Volodymyr Zelensky. Malgré le soutien indéfectible des médias français à l’égard du président, force est de constater qu’il s’est rallié à la vision et aux exigences de Donald Trump lors de sa visite. Du côté du Britannique, l’épisode s’est transformé en humiliation.
Quoi qu’en disent les délires guerriers de l’Union européenne, Vladimir Poutine et Donald Trump marchent ensemble vers une solution de paix en Ukraine et Bruxelles et ses dirigeants sont sur la touche.

Un rapprochement entre les géants américain et russe qui rebat les cartes géopolitiques, faisant voler en éclat le mythe de l’Occident en parallèle de l’explosion de l’État profond néoconservateur.
Quel chemin vers la paix en Ukraine ?
Quel avenir pour l’Europe ?
Quelles places pour les géants du monde ? 

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L’Europe sans pistolet

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Vincent Trémolet de Villers

« Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent… » » Dans la brutaité des temps, c’est la doctrine de Sergio Leone qui gouverne les Etats-Unis. C’est sommaire, vulgaire, c’est la force qui l’emporte sur le droit, la société du spectacle qui atomise les raffinements diplomatiques ; c’est déplorable, mais c’est comme ça. Inutile de s’enivrer d’indignations, d’incantations, d’analogies historiques - Munich, Churchill -, nous sommes en 2025 et la France, soumise au grand chambardement trumpien, voit remonter à la surface des questions qui la hantent depuis soixante-dix ans. De Gaulle en 1963 : « Si elle n’est pas l’Europe des peuples, si elle est confiée à quelques organismes technocratiques, l’Europe sera une histoire limitée et sans avenir. Et ce sont les Américains qui en profiteront pour imposer leur hégémonie. » Philippe Séguin en 1992 : « Il ne faut pas rêver, demain, sans défense, sans diplomatie, la France n’aurait pas plus de marge de manœuvre que n’en a aujourd’hui... l’Ukraine. » Nous ne les avons pas écoutés. Nous avons délégué notre puissance et nous n’avions pas de plan B...

« Nous sommes forts et nous ne le savons pas », a dit, lundi, dans un discours de bonne tenue, le premier ministre. Certes, mais la force a été volontairement diluée dans une Commission européenne de plus en plus liquide. Comment croire que la machine bureaucratique qui nous a dépossédés de tous les attributs du pouvoir, qui a été pensée contre l’idée même de puissance, pourrait nous la rendre ?

« Emprunter, mutualiser, partager » ne fait ni une devise ni une « autonomie stratégique ». L’Europe n’est pas un empire : le cadre de la puissance, c’est l’État-nation. La geste héroïque de l’Ukraine en est la preuve vivante. Cela n’empêche pas les alliances in- dispensables entre États européens, cela n’empêche pas la défense d’une civilisation miraculeuse - mariage de la chrétienté et de la démocratie libérale -, mais cela nous oblige à revenir aux réalités premières. Seules des nations fortes peuvent construire ensemble l’indépendance européenne. À condition d’avoir des pistolets chargés.

Source : Le Figaro 4/2/2025

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L’État Macron protège les miliciens gauchistes payés pour casser du patriote

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L'édito de Cyrano

sur Riposte laïque cliquez ici

Trois exemples résument la lâcheté complice de l’État Macron, face aux agressions, aux violences et aux intimidations des gauchistes. Rappelons qu’à ce jour, aucune organisation se disant antifa ou Black Bloc n’a été dissoute, aucun casseur antifa n’est arrêté préventivement avant une manifestation, quand la répression s’abat sur les militants patriotes.

À Rennes, deux jeunes étudiants ont été massacrés devant la faculté de droit par une bonne dizaines de militants gauchistes, avec la complicité des services de sécurité de la faculté, parce que reconnus coupables d’être des « fachos », puisqu’ils militent l’un au RN, et l’autre à l’UNI cliquez ici.

À noter que parmi les courageux agresseurs figure le désormais célèbre Simon Buxeraud, qui s’était illustré lors des présidentielles, sur un marché de Tours, en train d’agresser, d’insulter et de cracher sur des militants de Reconquête qui auraient pu être ses grands-parents. Aucune poursuite n’avait été engagée, à notre connaissance, par le procureur de Rennes de l’époque, Philippe Astruc, qui a pourtant trouvé le temps de déposer plainte contre Riposte Laïque. L’État Macron laisse donc des nervis gauchistes massacrer des jeunes étudiants qui ont le tort de ne pas partager leur vision du monde.

Nous avons vu à Lorient, ce week-end, des faits qui pourraient prêter à rire s’ils n’étaient pas porteurs de menaces graves pour nos libertés. Deux mille militants de gauche et d’extrême gauche ont cru devoir manifester contre les prétendues violences d’extrême droite. Rien que l’intitulé de la manifestation n’aurait jamais dû être accepté, puisqu’elle est mensongère, les seules violences qui se déroulent dans le champ politique viennent de l’extrême gauche, et dans la vie quotidienne elles proviennent des racailles islamisées cliquez ici.

Comment des préfets peuvent-ils donner l’autorisation d’organiser des manifestations dont ils savent pertinemment qu’elles tourneront au vandalisme, aux agressions contre les forces de l’ordre, à des voitures brûlées et à des boutiques pillées ? C’est ce qui bien sûr s’est passé à Lorient, où, comble du ridicule, les gauchistes ont attaqué deux permanences socialistes, sans doute pour démontrer que les violences venaient des « fascistes.

Pour organiser une manifestation, il faut la déclarer et que quelqu’un en prenne la responsabilité. Les autorités demanderont-elles des comptes à l’organisateur de cette manifestation ? Bien sûr que non, pas davantage que quand, à Paris, Nantes, Rennes, Grenoble, les gauchistes cassent tout, avec une impunité garantie.

Enfin, aux Sables-d’Olonne, à l’invitation d’une association d’Anciens combattants locaux, le président du Rassemblement Vendéen, Éric Mauvoisin, organisait sa cinquième projection du film de Tommy Robinson, « Silenced ». Loin de diffuser ce film dans des endroits secrets, une salle municipale avait été réservée, le maire, Yannick Moreau, au grand dam des communistes locaux, avait donné son accord, et justifié la diffusion au nom de la constitution, qui garantit le droit de réunion et d’association. Bien sûr, les crasseux habituels, membres des partis de gauche, des syndicats et des associations, qui n’avaient pas vu le film, ont malgré tout demandé son interdiction pour racisme supposé, et manifesté dans les rues des Sables-d’Olonne samedi, et devant la salle dimanche cliquez là.

À noter que Ouest-France et les autres médias locaux gonflent grossièrement les effectifs gauchistes présents, tandis qu’ils divisent souvent par deux ou trois le nombre de patriotes présents. Les contre-manifestants n’avaient fait aucune demande de manifestation. Certes, les policiers ont remarquablement fait leur travail, mais s’ils avaient eu des consignes dignes de ce nom du préfet, ils auraient relevé l’identité de tous les manifestants présents et les auraient verbalisés pour leur présence dans une manifestation interdite. Enfin, il serait temps qu’un gouvernement digne de ce nom interdisent des manifestations qui n’ont qu’un seul but : perturber les initiatives d’adversaires politiques, coupables de « mal penser ». Il faut tout simplement interdire toute manifestation qui doit se dérouler le même jour qu’une manifestation.

Au lieu de s’en prendre systématiquement à la mouvance patriote, un gouvernement digne de ce nom interdirait la politisation des facultés, il arrêterait les antifas violents dont il connaît forcément l’identité, il dissoudrait toutes les organisations gauchistes coupables de violences et d’agressions – c’est-à-dire toutes – et il interdirait toute contre-manifestation.

Mais Macron, Bayrou et toute la gauche, européistes et immigrationnistes, sont bien contents de profiter des services des miliciens gauchistes pour intimider et agresser leurs seuls opposants, les militants patriotes, identitaires et nationalistes.

NDLR SN : à propos des Sables d'Olonne cliquez ici

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Samedi 8 mars, à Paris : manifestation contre les va-t-en-guerre...

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Samedi 29 mars 2025, à Paris, au Sénat : les 40 ans de l'AGRIF

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lundi, 03 mars 2025

L’épouvantail de l’expansion russe : un fantasme occidental

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Thomas Joly, président du Parti de la France

Depuis trois ans, les chancelleries occidentales et leurs médias aux ordres répètent inlassablement le même mantra : si la Russie n’est pas arrêtée en Ukraine, elle envahira l’Europe. Ce narratif, digne d’une propagande de guerre, n’a qu’un objectif : justifier la poursuite d’un conflit absurde qui ravage l’Ukraine et angoisser les peuples européens. Pourtant, un examen sérieux des faits et de l’Histoire démontre que cette thèse relève du fantasme pur et simple.

Une puissance régionale, pas un empire expansionniste

L’argument selon lequel la Russie ambitionnerait d’envahir l’Europe repose sur une ignorance crasse de la réalité stratégique. La Russie n’est pas l’Union soviétique. Son PIB est celui de l’Espagne, son armée est loin d’être la machine de guerre invincible qu’on nous décrit, et son économie repose principalement sur les exportations de matières premières. À quel moment une telle puissance aurait-elle les moyens – et l’intérêt – de partir à la conquête de l’Europe ?

Même en Ukraine, la Russie n’a pas mené une guerre d’annexion totale. Ses objectifs ont toujours été limités : sécuriser le Donbass russophone et garantir que l’Ukraine ne devienne pas un avant-poste de l’OTAN. Loin d’une marche triomphale vers l’Atlantique, la guerre a démontré que l’armée russe rencontre déjà des difficultés face à une Ukraine surarmée par l’Occident. Imaginer qu’elle puisse se lancer dans une conquête de Varsovie, Berlin ou Paris relève du délire.

Un prétexte pour prolonger la guerre

L’idée d’une Russie impérialiste avide de conquête était avant tout un outil de propagande destiné à maintenir l’Europe sous tutelle américaine. Depuis 2022, les États-Unis - sous l'administration Biden - et leurs alliés ne cessent d’alimenter l’Ukraine en armes, au prix d’une escalade permanente. Plutôt que de favoriser la paix, ils ont attisé le conflit en prétendant qu’il s’agissait d’un combat existentiel contre un nouvel Hitler.

Or, qui veut réellement la paix aujourd’hui ? Les peuples européens, qui subissent de plein fouet les conséquences économiques de cette guerre. Les Ukrainiens, sacrifiés sur l’autel d’une stratégie qui ne vise qu’à affaiblir Moscou. Donald Trump qui a fait de la paix en Ukraine l'un de ses axes de campagne. Et même les Russes, qui n’ont aucun intérêt à voir ce conflit s’enliser indéfiniment.

La peur comme instrument de domination

Le discours sur une menace russe imminente n’est qu’un énième moyen de soumettre les opinions publiques européennes. Depuis des décennies, nos dirigeants ont recours à la peur pour justifier leurs politiques de contrôle de la population : après la crise sanitaire, voici venu le spectre de l’invasion russe. L’objectif est clair : maintenir les peuples sous pression et légitimer des dépenses extravagantes au profit d'un régime ukrainien ultra-corrompu et au détriment des priorités nationales.

La vérité, c’est que la Russie ne veut pas conquérir l’Europe. Elle veut simplement que l’Occident cesse d’étendre son influence à ses portes. La solution à ce conflit ne viendra pas des va-t-en-guerre de Bruxelles ni d'ailleurs, mais d’un retour à la diplomatie et au réalisme. Plus tôt nous comprendrons cela, plus tôt nous pourrons mettre fin à cette tragédie absurde.

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MATHIEU BOCK-COTÉ DÉFEND L'ACTION FRANÇAISE ET JEAN-YVES LE GALLOU

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Un vrai scandale à Marseille, un lycée dénommé Simone de Beauvoir, crypto-pédophile, crypto-communiste et dépravée

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Michel Festivi 

Dans le 3e arrondissement de Marseille, un lycée flambant neuf porte le nom de Simone de Beauvoir depuis quelques mois. Un élu d’opposition LR, Guy Tessier, est courageusement monté au créneau du combat culturel en demandant à ce que l’on retire cette appellation, car ce lycée porte le patronyme d’une personne qui « à plusieurs reprises a pris fait et cause en faveur de la pédophilie... elle avait signé une pétition qui défend les relations sexuelles entre enfants et adultes ». Mais cette vérité d’évidence, nous allons y revenir, a rendu fou furieux et injurieux à souhait le Maire de gauche, Benoît Payan, car pour les gauches, on ne doit pas briser les icônes révolutionnaires qui ont œuvré pour le communisme, pour tous les totalitarismes rouges, en passant au demeurant par la collaboration décomplexée avec les nazis, et qui ont systématiquement pris position contre la France et les intérêts français.

Pourquoi accoler le nom de cette personne sulfureuse à une école fait justement et légitimement scandale. Simone de Beauvoir a été de toutes les errances délétères, de tous les combats contre la France, elle a multiplié les actes ignobles et est devenue intouchable. Cette très grande bourgeoise, qui a vomi toute sa vie sur sa classe sociale, n’a fait qu’attiser les haines pour la seule gloire de mettre à bas la société au bénéfice de dictatures les plus mortifères, de couleur rouge.

Elle fut suspendue de l’enseignement pour avoir séduit certaines de ces élèves mineures, trois d’entre-elles témoigneront plus tard, de ce que leurs relations intimes avec Simone de Beauvoir les avaient blessées psychologiquement.  C’est sans doute pourquoi, elle va signer en 1977, au côté de 68 autres odieux personnages, une tribune de Gabriel Matzneff, dans Le Monde, demandant la relaxe de trois individus poursuivis pour avoir commis des agressions sexuelles sur mineurs (à l’époque on parlait de corruption de mineurs). Elle exigera ensuite, la révision du Code Pénal pour abroger les dispositions relatives « au détournement de mineur », pour, abjection suprême solliciter « une reconnaissance du droit de l’enfant et de l’adolescent à entretenir des relations avec les personnes de son choix ». Ces choix pro-pédophiles furent soutenus par Jean-Paul Sartre, Michel Foucault, Roland Barthes, Alain Robbe-Grillet, Jacques Derrida, Philippe Solers, Françoise Dolto. Par ce simple fait, donner le nom de cette personne à un Lycée est une véritable trahison des droits à l’intégrité des enfants, comme l’a souligné Guy Tessier. On remarquera que la gauche ne change pas et fait toujours sienne, implicitement mais nécessairement, des actes qui portent atteintes à la probité des enfants, qu’elle le veuille ou pas.

Une des victimes de Simone de Beauvoir, Bianca Lamblin née Bienenfeld, dans un livre écrit en 1993, Mémoires d’une jeune fille dérangée, Chez Balland, révèlera que Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre auraient abusé d’elle à l’âge de 16 ans (n’oublions pas qu’alors la majorité était à 21 ans), et écrit-elle « j’ai découvert que Simone de Beauvoir puisait dans ses classes de jeunes filles une chair fraîche à laquelle elle goutait avant de la refiler... à Sartre. » Simone de Beauvoir n’hésitera pas à affirmer dans ses carnets lorsque Sartre rompt avec Bianca « Elle hésite entre le camp de concentration et le suicide » proprement odieux. Ingrid Galster divulguera dans L’Histoire numéro 327 de janvier 2008 « elle parle quelque fois des juifs qu’elle a vus être menacés ou arrêtés avec une relative indifférence ». Mais cela ne semble pas émouvoir plus que cela M. Payan, Maire de Marseille, qui vraisemblablement trouve tout cela normal, si on en croit ses réactions infamantes contre son élu de l’opposition.

Mais Guy Tessier aurait pu, aurait dû en rajouter sur Simone de Beauvoir, qui s’est totalement disqualifiée en l’occurrence. Car si l’on reprend le parcours de cette égérie libertaire extrémiste, l’on s’aperçoit qu’elle a multiplié les ignominies. Professeur agrégée de philosophie, ce qui la rend d’autant plus responsable de ses actes, elle n’a pas hésité, en 1943, au plus fort de la répression nazie contre les juifs et les résistants, à collaborer avec Radio-Vichy, médium de la collaboration, grâce à la recommandation de Sartre, et ce jusqu’en 1944. Nous n’étions pas en 1940/1941, où les doutes pouvaient éventuellement être permis, mais dans la période la plus noire qui soit. Certes, on m’objectera qu’elle organisait des émissions historiques musicales, mais, elle ne pouvait pas ignorer les autres diffusions de Radio-Vichy dont celles de Philippe Henriot. Elle publiera, toujours cette même année, un roman chez Gallimard, comme quoi l’occupation allemande pouvait avoir du bon pour ces intellectuels dépravés. Avec Sartre, ils seront très amis avec un dénommé René Delange, directeur de l’hebdomadaire collaborationniste Comoedia, et avec le Sonder führer Gerhard Heller qui régnait sur la vie intellectuelle parisienne d’alors. En 1944/1945 on en a condamné à l’indignité nationale, voire à être fusillés pour moins que ça.

Après-guerre, l’on va passer de la collaboration, ou du moins de la non-résistance flagrante, à l’apologie du communisme et de ses plus de 100 millions de morts. Staline, Castro, Mao, vont devenir les maîtres à penser du couple Sartre/de Beauvoir. Ces derniers applaudiront au Stalinisme triomphant, déclareront que la liberté existe en URSS. Ils se feront les apologistes des pires tyrans, Castro, Mao, Pol Pot. Simone de Beauvoir avait les yeux de Chimène pour Fidel Castro, Che Guevara et pour Mao ; elle les encensa. Elle sera ensuite de tous les combats pour un féminisme radical et totalitaire, préfigurant le wokisme insupportable d’aujourd’hui.

Non, décidemment, faire porter le nom d’un lycée à cet exemple « d’abuseuse d’enfants » ou de « pédophile », comme la qualifie en 2008 la Britannique Carole Seymour-Jones, auteur de l’ouvrage, A dangerous liaison est une très mauvaise action. Marie-Jo Bonnet, a quant à elle, en 2015, étiqueté de « contrat pervers », les jeux sexuels de Beauvoir et Sartre, l’une séduisant de jeunes lycéennes pour les mettre entre les pattes de Sartre. Dans un très récent entretien avec Alexandre Devecchio, pour le Figaro Magazine, en date du 27 février 2025, Michel Onfray, accuse Sartre, de Beauvoir et d’autres intellectuels de gauche d’avoir été contaminés par l’antisémitisme. Décidément, rien ne pourra être épargné à Simone de Beauvoir.  

Je suggère au Maire de Marseille de débaptiser au plus vite ce lycée, car des enfants, des adolescents ne méritent pas d’être représentés par ce type de personnages dévoyés. Je lui préconise le nom d’une grande française, une femme incontestable, Marie Madeleine Fourcade, née justement à Marseille en 1909. Très grande résistante de la première heure dès août 1940, elle va commander le réseau Alliance, après que son chef, le fondateur de l’organisation, Georges Loustaunau-Lacau sera arrêté en 1941. Elle sera faite Commandeur de la Légion d’honneur, Croix de guerre 1939/1945, Médaille de la Résistance, et de biens d’autres décorations.

Cet exemple est symptomatique du combat culturel que mènent systématiquement les gauches, les droites s’en désintéressant la plupart du temps par peur, par crainte, par ignorance. Dans mon dernier livre sur La désinformation autour du Parti communiste « français », j’ai relaté le combat méritoire et remarquable dont avait fait preuve Laurent Wetzel, alors élu d’opposition à Sartrouville, le maire communiste d’alors ayant choisi le nom de Marcel Paul pour le donner à une rue. Wetzel avait démontré que ce sinistre personnage, ministre communiste après la libération, n’avait jamais résisté aux allemands, soutenant le pacte Hitler/Staline, et avait tout fait au contraire pour favoriser les communistes au camp de Buchenwald au détriment des non-communistes, choisissant ceux qui devaient vivre ou mourir. Attaqué en justice par les communistes, Wetzel sera relaxé. Élu Maire ensuite, Wetzel fera débaptiser cette rue et de biens d’autres attribuées à des criminels communistes. Le combat culturel et des idées est un combat quotidien et permanent, il doit s’imposer pour la victoire des libertés. 

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12:21 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Philippe Randa invité sur la radio Méridien Zéro

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Méridien Zéro vous propose un entretien passionnant avec Philippe Randa écrivain, romancier auteurs de romans policier, de science fiction et  d’espionnage notamment pour les éditions Fleuve Noir et Presses de la Cité…. Il a notamment collaboré à plusieurs encyclopédies pour les éditions Atlas, ainsi qu’à la presse militaire et politique avant de fonder les éditions Dualpha, Déterna, L’Æncre et Dutan… Il dirige depuis 2012 le site Francephi diffusion et depuis 2016 le site de la réinformation européenne EuroLibertés.

À la barre de cette émission Wilsdorf & Arnaud Naudin !

Pour écouter l’émision, cliquez ici.

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12:11 Publié dans Philippe Randa, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Belle journée patriotique aux Sables d'Olonne en Vendée : projection du film "Silenced" et conférence de Bruno Gollnisch. Bravo au Rassemblement vendéen ! 

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Le public, nombreux et attentif, écoute Bruno Gollnisch.

Synthèse nationale

Aux Sables d'Olonne, ce dimanche après-midi, la projection du passionnant et éclairant film "Silenced" de l'anglais Tommy Robinson, suivie de la conférence sur la liberté d'expression de l'ancien député (FN) Bruno Gollnisch, toujours aussi brillant, ont rencontré un franc succès. Cette réunion, organisée par le Rassemblement vendéen, la force nouvelle qui monte dans ce département, a réuni une centaine de participants attentifs et enthousiastes.

Certes, quelques hystériques islamo-gauchistes et autres antifas d'opérette, rameutés de tout l'ouest de la France, ont tenté de faire interdire la réunion, mais ils ont dû y renoncer vu les maigres effectifs qui ont répondu à leurs appels pathétiques. Visiblement, la haine anti-française ne passe plus aux Sables d'Olonne. Dépités, ils ont tenté, à dix contre un, d'agresser notre Ami Éric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen. Fort heureusement, l'intervention rapide des forces de police, en nombre autour de la salle, a évité le pire. Une fois de plus les résidus de la gauche totalitaire se sont ridiculisés en montrant leur vrai visage, celui de la violence et de l'intolérance. 

Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, de passage aux Sables, était présent.

Bravo au Rassemblement vendéen ainsi qu'aux jeunes nationalistes sablais, fiers descendants de ceux qui se sont levés en 1793 pour tenter de sauver la Liberté, qui défendaient la salle. Merci aussi à Yannick Moreau, courageux maire de la ville, qui n'a pas cédé aux diktats de la gauche cliquez ici et autorisé la tenue de cette belle conférence dans une grande salle municipale.

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Bruno Gollnisch, Éric Mauvoisin-Delavaud et Roland Hélie.

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12:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sur l’Ukraine, ouvrons les yeux

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Les alliés de Kiev ont fait « un mauvais calcul stratégique» en ne voulant pas voir que la guerre en Ukraine était «existentielle» pour Moscou, déplore le professeur de stratégie, Olivier Zajec, qui analyse la brutalité inouïe de Donald Trump comme un tournant pour l’Ukraine, mais aussi pour l’Europe.

Rien n’était écrit, mais le résultat est là : l’Ukraine, héroïque et courageuse, luttant pour son identité et sa dignité, est à genoux, saignée démographiquement. Elle va perdre des territoires. Elle ne bénéficiera que d’une protection conditionnelle des États-Unis, du moins sous Donald Trump. Les Européens auront un grand mal à garantir sa sécurité. Kiev n’adhérera pas à l’Otan. L’Ukraine, à l’encan, va se faire piller par son ancien soutien. Elle vivra dans la peur. Quelles que soient nos options analytiques, nous devrions tous être dévastés de ce résultat.

Olivier Zajec, spécialiste français de la stratégie militaire, professeur à l’Ecole de guerre pendant douze ans, et auteur de nombreux ouvrages, nous livre ici son analyse sur la nouvelle donne géopolitique issue du conflit ukrainien et ses conséquences pour nous autres Européens.

Lire la suite ICI

Source : Le Figaro 1/3/2025

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09:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 02 mars 2025

Eric Zemmour était l'invité de BFM TV ce dimanche midi

L'émission sur BFM TV

J'étais l'invité de BFM Politique ce dimanche.

Il n’est pas question qu’Emmanuel Macron rende la dissuasion nucléaire européenne. Ce serait un acte de haute trahison. Il profite de la crise diplomatique entre Trump et Zelensky pour accélérer son agenda fédéraliste européen.

Quand je regardais l’échange entre Trump et Zelensky, j’ai pensé assez vite, avec gratitude, au Général De Gaulle qui nous a doté de l’arme atomique pour que plus jamais la France connaisse la dépendance militaire aux États-Unis.

Dans toute notre histoire, les grands mouvements idéologiques se sont répandus en Occident. Aujourd’hui, il y a un grand mouvement qui se diffuse dans l’Occident : la reprise en main de leur destin par les peuples occidentaux qui refusent de disparaître.

Eric Zemmour,

président de Reconquête !

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18:59 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Trump tire le tapis sous les pieds des Européens

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Face aux positions de Donald Trump concernant l’Ukraine et par-delà l’Union européenne, les Européens vont-ils pour une fois regarder la réalité en face ? Quels sont les conséquences et les enjeux du désengagement américain ? C’est à toutes ces questions que tente de réponde Pierrre Lellouche dans cet article percutant et réaliste du Journal du dimanche.

Lire la suite ICI

Source : Journal du dimanche 2/3/2025

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10:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Malgré la ridicule prestation de la gauche (30 personnes) samedi, la projection ce dimanche à 15 h du film "Silenced" aux Sables d'Olonne aura bien lieu

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Le dimanche 2 mars 2025 à 15 heures à
OlonneSpace, allée des Cèdres, Les Sables-d’Olonne
 
Dans le cadre de la Liberté d’expression, l’association diffusera le film subversif et explosif "Silenced" de Tommy Robinson.
 
L’événement sera animé par Éric Mauvoisin-Delavaud (ci-dessus) accompagné par l'invité exceptionnel Bruno Gollnish, député français de 1986 à 1988 et député européen de 1989 à 2019. Il fut aussi secrétaire général, délégué général, puis vice-président du Front national.
 
Un verre de l’amitié offert par le Rassemblement vendéen clôturera cette conférence exceptionnelle. PAF :10 euros.
 
Lire aussi cliquez là

09:29 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les César 2025 : la grande messe du wokisme

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Thomas Joly, président du Parti de la France

Comme chaque année, la cérémonie des César s’est transformée en tribunal de la bien-pensance et en grand-messe du progressisme. Oubliés le talent, l’exigence, l’excellence artistique ! Place aux quotas, aux cases à cocher et aux bons sentiments dégoulinants.

Le triomphe d’Emilia Perez, un film centré sur un transsexuel, n’a rien d’un hasard : c’est un manifeste idéologique, un signal envoyé par l’industrie du cinéma qui ne jure plus que par la déconstruction de nos repères. Meilleur acteur et meilleure actrice ? Bien sûr, des représentants de la « diversité », parce que ce qui compte aujourd’hui, ce n’est plus la performance mais l’origine ethnique. Quant au prix de la révélation masculine, il ne pouvait évidemment revenir qu’à un migrant africain. Peu importe qu’il soit le meilleur ou non : il incarne le narratif que l’on veut nous imposer.

Et que dire de Catherine Deneuve, monument en ruine du cinéma français, réduite à livrer l’hommage attendu à l’Ukraine, comme pour rappeler que même dans la culture, il est interdit de dévier de la ligne atlantiste ?

Les César ne sont plus une célébration du cinéma français mais une farce militante, un concours de vertu où l’on récompense moins les films que leur conformité aux dogmes du moment. Affligeant.

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09:21 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sarah Knafo parle de l'agriculture française

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samedi, 01 mars 2025

La dérive des continents

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Philippe Gélie

L’Amérique de Donald Trump est déjà loin de l’Europe. Alignée de fait sur les positions de Moscou à l’orée d’une négociation qui engage la sécurité de notre continent, elle poursuit ses intérêts sans considération pour le passé, les alliances ou les « valeurs ». Ceux qui croient encore pouvoir rattraper le président américain par la manche, grâce à leur attrait économique ou un sursaut de conscience lui révélant ses vrais amis, se ménagent un réveil brutal. Dans la jungle de Trump, les amis sont des profiteurs qu’il faut traiter en vassaux.

Rien de bien neuf sous le ciel des relations internationales : chaque dirigeant se soucie avant tout des intérêts de son pays - la différence tient à la façon dont il les définit et les défend. En l’espèce, ranger toutes les décisions de Trump au rayon de la priorité nationale ne rend pas justice à sa singularité. L’homme d’affaires pragmatique se révèle extrêmement idéologique. Sa révolution vise à détruire un ordre dans lequel il estime que les États-Unis se font abuser - quand bien même ils l’ont eux-mêmes bâti et imposé.

Cette force hostile venue de l’ouest est relativement nouvelle pour les Européens. Elle les place en étau entre un autocrate belliqueux qui déstabilise le continent et un marchandeur sans scrupule qui négocie son parapluie sécuritaire, les menace d’une guerre commerciale et soutient en leur sein des forces radicales. À Moscou, Vladimir Poutine n’en croit sûrement pas ses yeux et ses oreilles : qui aurait parié sur une telle dérive des continents, dans laquelle l’Amérique se rapproche de la Russie en passant par-dessus l’Europe ?

En dépit de ce qu’il voit comme ses intérêts, Donald Trump n’a pas grand-chose à gagner dans son alignement sur le Kremlin. Il demande la paix à toute vitesse, mais l’autre veut la victoire et a tout son temps. L’Américain fait le jeu d’un tsar convaincu du déclin inéluctable de l’Occident démocratique et capitaliste, et qui voit en lui un accélérateur de l’Histoire. Certitude partagée par son homologue chinois, dont Washington espère briser l’alliance avec Moscou, sous-estimant la force de leur pacte idéologique. Problème : quand le chef de la Maison-Blanche se trompe de cible, c’est autant aux dépens de l’Europe que des États-Unis.

Source : Le Figaro 01/03/2025

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La diffusion du film pro vie "Unplanned" sur C8, juste avant sa mise à mort, provoque l'hystérie dans les rangs de la bien-pensance institutionnalisée...

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Synthèse nationale

En programmant vendredi soir, à peine deux heures avant sa fermeture définitive imposée par l'Arcom, le magnifique film "Unplanned" (en Français, "Non planifié", sorti en 2020) relatant la prise de conscience par une jeune femme de ce qu'est réellement le Planning familial qui légitime chaque année des millions d'avortements, C8 a adressé un dernier pied de nez au "politiquement correct".

Évidemment, ce matin, toute la presse bien pensante s'égosille pour insulter la diffusion imprévue de ce long métrage non conformiste dénonçant l'industrie lucrative de l'avortement. La responsabilité de l'hyper classe mondialiste, incarnée par Sorros, Gate et consort, y est clairement dénoncée. Cela, les aboyeurs du Système ne peuvent le tolérer. Voilà pourquoi, aujourd'hui, ils font grise mine...

Qu'on le veuille ou non, même s'il peut en certains cas très précis être justifié, l'avortement, passé un court délais, est non seulement un drame mais aussi un crime.

En agissant ainsi, avec la projection imprévue de "Unplanned", C8 a voulu adresser un ultime message aux censeurs patentés de l'Arcom, (donc de la macronie) : vous pouvez faire avorter une chaine de télévision, mais vous ne réussirez pas à assassiner la Liberté...

Nous sommes là en plein dans la tradition de résistance de la famille Bolloré. 

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RAPPEL : À 15 H, À PARIS, PLACE DU PANTHÉON

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Zelensky, la fuite en avant d’un fou inconséquent

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Thomas Joly, président du Parti de la France

L’Histoire jugera. L’instant était solennel, l’heure grave. Et pourtant, ce vendredi 28 février, Volodymyr Zelensky, sous les ors de la Maison-Blanche, s’est offert le luxe inouï de cracher dans la main qui le nourrit. Il n’est plus à une outrance près, cet histrion qui joue au chef de guerre comme d’autres jouent les matamores. Devant un Donald Trump patiemment revenu aux affaires et sincèrement désireux de trouver une issue au bourbier ukrainien, le président de Kiev a fait preuve d’une arrogance aussi déplacée qu’insensée.

Au lieu de saisir cette occasion historique, Zelensky a cru bon de s’ériger en donneur de leçons, lançant des piques méprisantes à son hôte, refusant tout compromis, affectant l’attitude du chef intraitable alors même que son pays ne tient que par la perfusion américaine. On aurait cru un roitelet sous amphétamines, habité par une excitation étrange, une nervosité suspecte. Aurait-il puisé son inspiration ailleurs que dans la raison d’État ? La question mérite d’être posée.

L’Ukraine, depuis deux ans, est devenue une épave errant dans les flots tumultueux d’une guerre qu’elle n’a plus les moyens de mener. Les milliards américains, distribués à jets continus sous l’ère Biden, ont maintenu sous respiration artificielle un régime gangrené par la corruption et l’influence étrangère. Trump, fidèle à son pragmatisme, veut mettre fin à cette mascarade et trouver une sortie de crise. Mais pour cela, encore faudrait-il que son interlocuteur soit un homme d’État et non un bouffon déguisé en stratège.

Naturellement, les gouvernements d’Europe occidentale – qui ont poussé à la guerre depuis trois ans – se sont empressés de voler au secours du comédien en chef. Il faut dire qu’en matière d’inversion accusatoire, nos élites n’ont plus rien à apprendre. Zelensky l’arrogant devient une victime, Trump le pacificateur devient le coupable. L’Ukraine, elle, continue de s’enfoncer, et ses soldats meurent pendant que leur président parade sur les plateaux et insulte ses bienfaiteurs.

Il y a une vérité cruelle que les Ukrainiens devront bien finir par affronter : leur salut ne viendra ni de Washington ni de Bruxelles. Tant que leur pays restera entre les mains de ce clown en treillis, ils seront condamnés à une guerre sans fin, un enfer absurde entretenu par l’orgueil et la corruption. La Russie, elle, attend patiemment que l’épuisement fasse son œuvre.

L’Histoire jugera, oui. Et elle se souviendra que, lorsque l’heure était venue de faire la paix, Volodymyr Zelensky a préféré fanfaronner, quitte à précipiter la ruine de son propre peuple.

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Journal du chaos

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vendredi, 28 février 2025

Bruneau Retailleau et les 80 imams algériens

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Michel Festivi 

Depuis plusieurs mois, que ce soit sous le gouvernement Barnier, ou actuellement sous le gouvernement Bayrou, notre ministre de l’intérieur se démène, parle, clame, propose, expose, vitupère, mais agit-il véritablement, concrètement ? C’est la seule et unique question, car on se souvient tous des frétillements sans fin d’un certain Nicolas Sarkozy, qui, au même poste dans les années 2003/2007, pour se faire élire Président - et ne rien faire ou pas grand-chose -, avait lui aussi décuplé les gesticulations, pour en somme des résultats plus que dérisoires, se rangeant même bien souvent dans les plis des diktats des gauches, comme nommer plusieurs personnalités de gauche à de postes importants.

Ah, pour siphonner les voix du Front national, il avait su y faire, mais pour renverser la table, à la manière d’un Trump par exemple, on attend encore. On le sait, depuis l’apostrophe célèbre d’un Maréchal de France, les Français ont la mémoire courte. C’est pour cela qu’il est plus qu’important, capital même de rappeler toujours et encore, que la valeur d’un homme politique ne se mesure pas à ses promesses, qui n’engagent que ceux qui les écoutent, mais à ses actes.

Bruneau Retailleau a eu des occasions certaines d’agir au bénéfice des français pour contrer l’immigration massive et sauvage. L’a-t-il fait ? Rien n’est moins sûr. Il y a quelques semaines, nous avons appris que des fonds considérables transitaient par le ministère de l’intérieur, pour aller abreuver des associations chargées de la gestion des migrants. Bruneau Retailleau a-t-il proposé des coupes sombres, à la manière d’un Trump ou d’un Milei ? A-t-il opéré des restrictions financières à certaines nébuleuses qui ne sont là que pour développer l’immigration ? On aimerait bien le savoir, mais poser la question, c’est hélas, je crois déjà connaître la réponse. À noter que son prédécesseur, très actif pour faire dissoudre des associations patriotes, n’avait pas eu non plus de politique spécifique en la matière, laissant prospérer des organisations, qui n’ont de cesse de briser les volontés de brider un tant soit peu l’immigration illégale ou clandestine.

Mais tout dernièrement, Bruneau Retailleau a eu une occasion en or, de démontrer aux français qu’il entendait pratiquer une adéquation certaine entre ses paroles et ses actes, et il a totalement manqué le coche, il a lamentablement échoué. Depuis des années, des mois, des semaines, la France se fait humilier par le pouvoir algérien, du fait essentiellement de la nullité de nos gouvernements et de nos élites, Emmanuel Macron a dans ce dossier une très lourde part de responsabilité, par ses déclarations insensées et sa politique pro-algérienne unilatérale, confiée à un ancien trotskiste.

Il ne se passe pas un jour, sans que l’Algérie refuse de reprendre ses ressortissants délinquants, que la France tente justement d’expulser. On vient d’apprendre, que s’agissant d’une énième expulsion, l’Algérie avait déjà par dix fois refusé que ce quidam ne rejoigne son sol national. Tous les jours, dans la presse, sur tous les médias, des anciens ambassadeurs, des experts auto-qualifiés, nous expliquent en long en large et en travers, les leviers dont la France dispose pour faire plier le pouvoir FLN qui nous nargue et qui emprisonne Boualem Sansal pour uniquement les opinions qu’il a proférées, sans commettre aucun délit de quelque nature que ce soit. On se croirait revenir à l’époque soviétique, ou des dissidents étaient internés pour avoir critiquer le régime dictatorial, sans que l’Occident ne s’en préoccupe beaucoup au demeurant.

Et bien, malgré ce contentieux très lourd, les autorités françaises viennent d’accorder des visas à 80 imams algériens à l’occasion du ramadan qui s’annonce. Aussitôt, le RN est tombé à bras raccourcis sur celui qui occupe la Place Beauvau, le qualifiant « de ministère de la parole ».

On avait là une occasion exceptionnelle pour s’opposer à cette délivrance de visas, d’autant que se sont environ 300 visas « ramadan », qui ont été accordés, qui l’on compte la Turquie, le Maroc et la Tunisie. Nos gouvernants pouvaient ainsi faire pression sur ces pays pour qu’ils soient enfin contraints de récupérer leurs nationaux expulsés par la France.

Les arguments invoqués en défense par Monsieur Retailleau, je le dis sans ambages, sont misérables et indignes. Premier argument, 80 ou 300 visas c’est une goutte d’eau dans l’océan par rapport aux 650 000 titres de séjour en cours de validité en 2024. Ce n’est pas le problème, d’une part les symboles sont, en politique hyper importants, et d’autre part c’était aussi sans doute l’occasion de se demander pourquoi nous accordons autant de titres de séjour, et de remettre à plat tout ce système qui fleure bon l’invasion.

Deuxième argument encore plus pervers et inepte, il ne faut pas entraver la liberté de culte, cela reviendrait à donner raison aux extrémistes ! Comme sophisme fallacieux, on ne fait pas mieux. La liberté de culte la belle affaire, quand on sait que bons nombres de mosquées sont des vecteurs de propagande islamiste. On pouvait par ce biais, démontrer notre volonté de ne pas se laisser faire, et de ne pas en remettre dans l’ignominie. Car au surplus, Bruneau Retailleau, le vendéen, celui qui nous assure qu’il est droit dans ses bottes, a osé prétendre qu’il s’agissait d’une volonté de réciprocité avec l’arrivée dans les diocèses français de prêtres africains, selon un accord avec le Vatican. Comme si les prêtres africains venaient en France pour propager des idéologies salafistes par exemple ! D’autant que comme le souligne Boulevard Voltaire, ces prêtres africains sont payés par les diocèses qui les accueillent, donc par les fidèles, alors que les imams sont payés par leurs pays d’origine, ce qui accentue leur dépendance à des pays étrangers.

D’autre part, sauf erreur de notre part, le Vatican ne retient prisonnier aucun ressortissant français, contrairement à l’Algérie. Dans ce pays, la liberté de culte est mise à mal tous les jours. Tout dernièrement, 47 églises protestantes chrétiennes ont été fermées par le pouvoir. Le pasteur Youssef Ourahmane, vice-président de l’Église protestante d’Algérie a été condamné à un an de prison ferme pour avoir célébré un culte non autorisé, car pour pratiquer une religion autre que l’islam, il faut y être autorisé, dans cette dictature théocrato-militaire. L’Église catholique en Algérie se garde bien de parader, car en terre d’islam, elle n’est que tolérée, provisoirement, elle courbe l’échine et fait profil bas.

Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de France en Algérie, regrette le manque de fermeté de la France « le gouvernement s’y prend de la plus mauvaise façon », a-t-il déclaré lors d’un entretien du 27 février dernier dans Valeurs Actuelles.  Il préconise la fermeture de consulats, bloquer Air-Algérie, prendre des mesures contre les circuits financiers algériens en France, mieux contrôler la mosquée de Paris et montrer une plus grande fermeté et cela sans faire ni conférence de presse, ni annonce tonitruante, bref agir et montrer une volonté inébranlable. 

Non, véritablement, Bruneau Retailleau a manqué de courage et de fermeté et au surplus, il se noie dans un verre d’eau pour tenter d’expliquer ses impérities. Il n’est pas du tout à la hauteur des propos qu’il tient quotidiennement pour se faire élire Président des LR et puis ensuite... Bruneau Retailleau pourrait-il être comme Jacques Chirac, si bien décrit par Marie-France Garraud qui s’y connaissait en caractères et en tempéraments « Je croyais que Chirac était du marbre dont on fait les statues. En réalité il est de la faïence dont on fait les bidets ». Que le moment venu, les Français puissent s’en souvenir.

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18:56 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |