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mercredi, 12 mars 2025

Roumanie : la présidentielle confisquée, l’Union européenne refuse le débat

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L’Union européenne affiche souvent en façade son attachement à la « démocratie en action », un slogan largement repris par le Parlement européen. Mais lorsque cette démocratie produit des résultats qui déplaisent aux élites bruxelloises, la règle du jeu semble pouvoir être réécrite à volonté.

Lundi 10 mars, la coalition majoritaire du Parlement européen, surnommée la « coalition Ursula », a rejeté une demande des conservateurs visant à organiser un débat sur l’élection présidentielle roumaine. Motif invoqué ? Il ne saurait être question de laisser des « extrémistes » et des « amis de la Russie » remettre en cause l’État de droit en Roumanie.

Cette décision intervient dans un contexte explosif : la veille, le candidat nationaliste Călin Georgescu arrivé en tête du premier tour en décembre dernier, a été interdit de concourir pour l’élection de mai. Un coup de force qui a déclenché des manifestations massives à travers le pays, dégénérant en affrontements violents avec la police anti-émeute.

Une élection confisquée

Depuis l’annulation du premier tour en décembre dernier, la Roumanie traverse une crise politique profonde. À l’époque, la Cour constitutionnelle roumaine (CCR), majoritairement composée de socialistes, avait invalidé le scrutin en raison de supposées interférences russes dans la campagne de Georgescu.

Malgré cette annulation, le candidat souverainiste n’a cessé de gagner du terrain dans les sondages. À ce jour, il est crédité de 38 % des intentions de vote, soit bien au-dessus de ses concurrents. La décision du Bureau électoral central, qui s’appuie sur le jugement initial de la CCR pour justifier son exclusion du scrutin de mai, est donc perçue par une partie de l’opinion comme un déni de démocratie.

Face à cette situation, des centaines de milliers de Roumains ont défilé dans les rues pour dénoncer une élection « volée » et exiger la démission du gouvernement de coalition dirigé par le PSD (Parti social-démocrate, affilié au S&D européen) et le PNL (Parti national libéral, rattaché au PPE). Dimanche, la tension est montée d’un cran, les manifestations se transformant en affrontements violents avec la police anti-émeute.

Bruxelles verrouille le débat

Alors que la crise politique s’envenime, deux groupes conservateurs du Parlement européen, le groupe Réformistes et conservateurs européens (ECR) et le groupe Europe des Nations souveraines (ESN), ont demandé l’ouverture d’un débat lors de la session plénière de la semaine. Leur requête a été immédiatement rejetée par la majorité pro-UE, qui préfère ignorer la contestation populaire.

Siegfried Mureșan, vice-président du PPE et membre du PNL roumain, a revendiqué le blocage du débat en affirmant que « tous les groupes pro-européens – PPE, socialistes, Renew et Verts – ont voté contre cette tentative de manipulation ».

Dans une déclaration qui a choqué certains observateurs, Mureșan a ensuite qualifié les députés de l’ECR et de l’ESN « d’extrémistes pro-russes », allant jusqu’à déclarer :

« La Roumanie est gouvernée par l’État de droit, et nous n’avons pas besoin d’amis de la Russie au Parlement européen pour le remettre en question. »

Cette accusation semble pourtant bien fragile, car si le groupe ESN est dirigé par l’AfD allemande – habituée aux attaques médiatiques – l’ECR, lui, est dominé par Fratelli d’Italia, le parti de Giorgia Meloni, une formation notoirement pro-Ukraine et favorable à un soutien militaire occidental à Kiev.

Une issue déjà scellée ?

Georgescu a déposé un recours contre son exclusion devant la Cour constitutionnelle, qui a été rejeté mardi 11 mars.  En cas d’éviction définitive, l’AUR devrait désigner un autre candidat, probablement son chef de file George Simion, également vice-président du groupe ECR.

Cette manœuvre politique, associée au refus du Parlement européen d’ouvrir un débat sur la situation roumaine, renforce l’idée d’une démocratie sous contrôle, où les choix électoraux sont validés ou censurés en fonction des intérêts des élites bruxelloises. Alors que les Roumains continuent de descendre dans la rue pour réclamer la transparence et l’équité du processus électoral, la réponse de Bruxelles ne fait que jeter de l’huile sur le feu.

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Un noueau livre de Michel Viel consacré à Erwin Rommel

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Notre ami Michel Vial par ailleurs auteur de plusieurs livres publiés par Synthèse nationale, dont un Cahier d'Histoire du nationalisme consacré au Maréchal Pilsudski, cliquez ici, vient d'écrire cette nouvelle biographie d'Erwin Rommel (chez Histoire et Collections).

11:18 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 11 mars 2025

Gouverner par la peur : la nouvelle arme des élites

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Thomas Joly, président du Parti de la France

Il y a quelque chose de fascinant – et d’effrayant – dans l’aptitude de nos élites à se précipiter avec une ferveur quasi religieuse dans les pires mensonges d’État. Comme hier avec le Covid, aujourd’hui avec la Russie, quiconque ose émettre le moindre doute sur la réalité de la menace est immédiatement taxé de fou, de traître, voire d’agent infiltré du Kremlin. La mécanique est toujours la même : on martèle un récit simpliste, on le répète ad nauseam sur toutes les ondes et on diabolise ceux qui osent le contester.

Emmanuel Macron, grand maître de la manipulation et du double langage, s’est mué en chef de guerre, évoquant sans trembler une possible confrontation avec Moscou. De quoi faire sourire si ce n’était pas si tragique. Qui peut croire un seul instant que la Russie, qui peine déjà à stabiliser ses positions en Ukraine, ait la moindre intention de fondre sur Paris et de faire défiler ses chars sur les Champs-Élysées ? Qui peut prendre au sérieux ces clowns en costume-cravate, ces adeptes du mondialisme sans frontières, qui se découvrent soudain une fibre patriotique à géométrie variable ?

Et pourtant, ils osent. Ils osent donner des leçons de courage et de fermeté à la droite nationale, à ceux qui, depuis toujours, défendent l’identité et la souveraineté de notre Nation. Les macronistes, ces chantres de la dissolution de la France dans le grand magma européiste, se parent des atours du patriotisme et accusent ceux qui refusent de céder à l’hystérie collective d’être les ennemis de la République. Le grotesque atteint des sommets quand on voit certains jeunes cadres de Renaissance – à la virilité plus que douteuse – jouer aux stratèges militaires et exiger une fermeté inébranlable face à Moscou.

Pire encore, même le Rassemblement National, censé incarner une alternative au système, se laisse piéger par cette fable ridicule. Par crainte de heurter une opinion publique abreuvée de propagande, Jordan Bardella reprend partiellement le discours ambiant sur une Russie avide de conquête, au lieu d’appeler à la raison et au pragmatisme. L’Histoire se répète : face au rouleau compresseur médiatique, la fausse droite plie, renonce et abdique.

Et que dire du rôle des médias ? Ces prétendus contre-pouvoirs sont devenus de simples chambres d’écho des ordres du pouvoir. Pas une once de nuance, pas le moindre débat, pas une seule voix discordante autorisée à remettre en cause la doxa officielle. On nous sert des éditorialistes tremblants, des « experts » de pacotille, des généraux de plateau télé qui expliquent doctement que la France doit se préparer à l’affrontement, comme si nous avions encore une armée digne de ce nom après des décennies de désarmement méthodique. Et malheureusement, comme toujours, une partie du peuple – en particulier les plus âgés – tombe dans le panneau. Aveuglés par la peur, hypnotisés par la propagande, ils se laissent convaincre qu’une guerre avec la Russie est inévitable et qu’il faut s’aligner sans réserve sur les injonctions des pathétiques gouvernements d'Europe de l'Ouest et de la Commission européenne.

Le Parti de la France refuse de souscrire à cette folie. Non, la Russie n’a aucune intention d’envahir l’Europe et encore moins la France. Non, Donald Trump n’est ni un fou ni un ennemi, mais un partenaire potentiel à la tête de la première puissance mondiale. Il ne s’agit pas de se soumettre ni à Moscou ni à Washington, mais de toujours agir en fonction d’un seul critère : les intérêts de la France et des Français. Contre cette propagande belliciste, contre cette manipulation éhontée, nous affirmons haut et fort notre refus de céder à l’idéologie mondialiste qui veut nous entraîner dans un conflit qui n’est pas le nôtre.

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Le programme « Numérique en détention », une guignolerie à 125 millions d’€ !

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La chronique de Philippe Randa

Décidément, l’opinion publique est souvent (toujours ?) en retard, sinon d’un train, au moins d’une technique… Beaucoup de nos concitoyens ne morigènent-ils pas contre la belle vie qu’auraient les détenus en nos bien insuffisantes prisons avec leurs… télés ! Hé non ! pas la télé ! S’ils se la coulent douce derrière leurs barreaux, c’est surtout grâce aux… tablettes tactiles, généreusement fournies en prison grâce à l’argent de nos impôts.

Certains s’étranglent sans doute d’indignation à l’évocation de ce scandale, mais on ne peut que leur souhaiter de ne jamais apprendre pour ceux qui l’ignoreraient (désolé alors pour ceux qui lisent ces lignes et qui m’en voudront) que le prix des tablettes oscillent entre 500 à 1 600 € (re-sic !).

25 000 tablettes ont ainsi été distribuées pour éclairer ces malheureux mis à l’ombre suite à quelques défaillances civiques de leur part.

Pour quelles raisons ? Mais pour les meilleurs intentions du monde bien sûr, car ce programme « Numérique en détention », nous apprend Le Figaro, a été « conçu dans le but d’aider les prisonniers à accomplir certaines tâches via des tablettes numériques sans l’aide des gardiens – rédaction du courrier, gestion de leur planning de parloir –,… », mais, comme c’est ballot ! il « a été détourné de sa visée pratique ». Qui l’aurait crû !

Ces tablettes Samsung qui « auraient dûes » rester fixées au mur des cellules, « encastrées dans des sarcophages inviolables », servent surtout à se distraire. On a peine à le croire ! (bis repetita).

Et pas que : au passage, nombre de détenus ont pu faire connaître sur les réseaux sociaux ce qu’ils pensaient de leurs gardiens : beaucoup de bien, qui en douteraient… et l’un d’eux, est même « parvenu à accéder à Internet, ce qui devait être impossible. Il s’en est vanté sur les réseaux sociaux proposant de vendre, pour 50 €, un tutoriel permettant de surfer sur le web et de regarder, comme lui, des clips de musique ou des films », rapporte Le Parisien.

Allez, une dernière petite mesquinerie pour la route :  le coût total de ce programme « Numérique en détention » lancé en 2018 par Nicole Belloubet, alors Garde des Sceaux, et étendu à toutes les prisons depuis 2023 : 125 millions d’€.

Gérald Darmanin, actuel Ministère de la Justice, a tout de même décidé de siffler la fin de la guignolerie en suspendant ce programme, ce qui gèle de fait pour 65 millions d’€ de crédits restants.

Tout contribuable appréciera comme il se doit la plaisanterie commencée il y a près de 7 ans avant d’être stoppée et qui aura donc coûté près de 60 millions d’€ !

7 ans… C’était déjà la Macronie ! Rappelons que Nicole Belloubet, après le ministère de la Justice (durant 3 ans et 15 jours de 2017 à 2020) a sévit à celui de l’Éducation nationale et de la Jeunesse (7 mois et 13 jours en 2024)… D’ici à ce qu’on découvre qu’elle y ait commis un autre programme à quelques millions d’€… Oh non ! Vous croyez ? Quand même pas !

Mais si on était à une guignolerie près en Macronie, ça se saurait, n’est-ce pas ?

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20:26 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

10 mai, Paris : mobilisation nationaliste

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16:42 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Faculté de Rennes vandalisée, agressions : l’insupportable impunité des gauchistes

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Bernard Germain 

Il n’y a plus un jour sans que les islamo-gauchistes, la « gauche » et les bien pensants ne montrent leur dangerosité, leur violence, leur sectarisme et leur débilité.

Rien que ces derniers jours ce fut démontré à plusieurs reprises de manière éclatante.

D’abord Vendredi 7 mars au soir à Paris. Manifestation, soit-disant en préparation de la « journée de la femme ». Au passage on me permettra de rire de cette imbécillité… la journée de la femme. Les femmes ne représentent que la moitié de l’humanité mais elles bénéficient d’une « journée » comme s’il s’agissait d’une espèce à protégée car en voie de disparition. Pitoyable.

Mais on constate aussi d’année en année que le combat pour les droits des femmes, qui était une cause respectable à ses débuts, est devenu du grand n’importe quoi. Il n’y a plus de combat pour l’égalité homme-femme, pour l’égalité salariale à compétence égale, contre les discriminations,… etc.

Aujourd’hui le combat des femmes est un combat contre les hommes, contre leur société patriarcale et pour la destruction de cette société.

C’est là qu’on revient à la manifestation de vendredi soir. Il paraît que c’était pour les droits des femmes. En réalité c’était une manifestation organisée par des organisations pro palestiniennes dont l’une est même le faux nez du FPLP, une organisation officiellement classée terroriste. Le préfet de police l’a donc interdite… les juges l’ont bien sûr autorisée. Consternant.

Le lendemain, samedi 8, nouvelle démonstration dramatique de ce qu’est devenu le combat « féministe ». Une manifestation durant laquelle il n’y avait quasiment aucun mot d’ordre pour l’égalité Homme-Femme ou pour condamner des discriminations que subiraient les femmes.

Non, les mots d’ordre étaient surtout centrés sur la Palestine et sur Gaza, avec moultes drapeaux palestiniens. Qu’est-ce que la Palestine et Gaza viennent faire dans une prétendue manifestation pour les droits des femmes ?

C’est simple : le « combat des femmes » a été récupéré et détourné par l’extrême gauche avec le soutien d’une « gauche » qui se couche devant eux. Et en plus il y avait des islamistes. Là on me permettra de me rouler par terre de rire.

Les islamistes défenseurs des droits des femmes ?… c’est un peu comme si nous disait qu’à l’époque Hitler avait été président d’une association de défense des juifs.

Comment peut-on être taré comme ces militants de « gauche » pour défiler avec des gens qui lorsqu’ils dirigent un pays (Iran, Afghanistan, Arabie-Saoudite, Pakistan, Algérie… etc.) nous montrent comment ils traitent les femmes, allant jusqu’à les tuer si elles ne veulent pas se soumettre à l’autorité des hommes ni aux préceptes de l’islam.

Ajoutons que ces décérébrés gauchistes et islamistes ont également agressé physiquement les manifestantes de Némésis qui souhaitaient manifester mais en n’oubliant pas de dénoncer les violeurs migrants et sous OQTF qui sévissent quotidiennement dans notre pays en exigeant leur expulsion de France.

Donc, là, face à ces agressions et viols que la gauche et les bien pensants ne veulent pas voir, il n’y a pour eux qu’une réponse : la violence. Et ce fut le cas.

Némésis a donc été expulsée manu militari de la manifestation et fut obligée de manifester dans un cortège à part et sous la protection de la police.

Et certains osent dire que c’est « l’extrême droite » qui est violente et agresse en France ?

Il serait temps que les responsables de ces exactions aillent là où ils méritent d’être : en prison. D’autant que sur le parcours de leur manifestation on pouvait voir sur les murs des tags : « Une rafale pour Cordier » (la responsable de Némésis). Il s’agit d’un appel au meurtre du même tonneau que ce que Raphaël Arnault (antifa de Lyon élu député LFI) qui avait déclaré : « Si Alice Cordier vient à Lyon, ce sera une balle dans la tête ». Si nous vivions dans un pays normal, leurs auteurs, à commencer par Raphaël Arnault devraient être jetés en prison. Mais nous sommes dans la France de Macron et dans ce beau pays Raphaël Arnault n’est pas en prison, mais en plus il se permet de dénoncer les prétendues violences de l’extrême droite. Inversion complète des rôles. On croit rêver !

Quant à Rima Hassan, elle n’oublia pas d’apporter sa petite pierre à cet édifice en publiant sur son compte la photo d’un tag « Dissoudre Némésis à l’acide ». ça aussi c’est condamnable. Au passage on rappellera aussi dame sympathique comme une tarentule que c’est surtout dans les pays qu’elle glorifie qu’on défigure les femmes à l’acide.

Un second fait mérite d’être rapporté tant il est grave et représentatif de la dégradation et même de la décomposition que connaît notre pays : la situation à Rennes.

Il y a à peine une décennie Rennes était une ville de province tout à fait sympathique.

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01:17 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Résister à l'extrême-droite ? Réponse à Salomé Saqué

La réponse d'Ego Non

La dénonciation de "l'extrême-droite" fait partie des lieux communs de la gauche morale. Or, depuis quelques mois, nous avons assisté à une répétition de cette posture avec le petit essai de Salomé Saqué, "Résister". A lire cet opuscule – parmi les meilleures ventes d'essais du moment – la droite radicale constituerait la pire menace pesant sur l'Europe contemporaine. Pourtant, aucune analyse sérieuse n'est donnée sur les raisons poussant de plus en plus d'Européens à se tourner vers la droite plutôt que vers la gauche.

C'est pourquoi j'ai décidé de partir de cet angle mort pour lui répondre et revenir sur la nature philosophique de la vision du monde de droite. Loin d'être la menace de notre temps, cette dernière me semble au contraire la seule voie permettant de faire face aux défis de l'Europe. 

La chaine d'Ego Non : cliquez ici

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01:11 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 10 mars 2025

Syrie : le retour du chaos islamique

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Victor Jan de Lagillardaie 

Sans surprise, il n’aura pas fallu longtemps pour que les « gentils djihadistes » mis au pouvoir en Syrie par Tel Aviv et Washington se mettent à massacrer chrétiens et alaouites, sous l’œil relativement passif de la communauté internationale.

Rappelons que le « méchant dictateur » Bachar Al Assad protégeait les minorités religieuses et avait vaincu Daesh grâce à l’aide russe. Les États occidentaux - dont la France - qui ont pourtant subi le terrorisme de plein fouet n’auront eu de cesse de lui mettre des bâtons dans les roues, pour finalement réaliser ce coup d’État funeste de décembre 2024…

Sans doute est-il moins pire d’être un islamiste tueur de chrétiens que d’être sceptique quant aux projets israéliens pour le Moyen-Orient…

L’Histoire retiendra cette infamie. L’on prête à Bossuet la citation apocryphe suivante, qui semble adaptée en l’espèce « Dieu se rit des créatures qui déplorent des effets dont elles continuent de chérir les causes ».

Nul doute que nous paierons la lâcheté, la veulerie et la traîtrise de nos gouvernants sur la scène internationale…


Victor Jan de Lagillardaie est délégué général adjoint du Parti de la France

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Algérie :  Face à un Bernard Lugan, Jean-Michel Apathie, Emmanuel Macron et Benjamin Stora sont écrasés comme des crêpes

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Michel Festivi 

C’est toute la différence entre de vrais historiens, ceux qui depuis des années étudient en profondeur les questions qu’ils traitent ensuite dans des livres et des articles, et des démagogues, des histrions, des idéologues à la mode trotskiste ou islamo-gauchiste, qui se permettent toutes les élucubrations, parce qu’ils sont protégés par leur idéologie, totalement wokiste, et que des médias du système, celles aussi du service public, leur ouvrent largement leurs micros, pour qu’ils puissent déverser leur haine anti-française, et des Présidents qui n’ont été formés que par la lecture des annales de Science Po et les articles du Monde et de Libération.

Les grands médias se devraient de donner la parole à des historiens comme Bernard Lugan, pour traiter de l’Afrique, de l’Algérie, du Maroc, pays qu’il connaît en profondeur. Il a écrit un nombre d’ouvrages considérables et sa lettre, L’Afrique réelle, est remarquable. Si nos gouvernants étaient avisés, ils en feraient leur conseiller spécial pour l’Afrique, cela éviterait bien des bévues, des bêtises, des drames.

Bernard Lugan vient de publier aux éditions Ellipses, Histoire des Algéries, des origines à nos jours, et il répond à de nombreuses questions dans le dernier numéro 182 de l’Afrique réelle, de février 2025. Ses développements lumineux sont autant de gifles données à nos prétendues élites politiques, et à un Jean-Michel Apathie qui ferait mieux de reprendre ou de commencer ses études à 0, et de se taire, surtout se taire.

Dans l’éditorial de ce numéro, Bernard Lugan nous brosse un tableau sidérant du pouvoir algérien, qu’il qualifie « de fuite en avant », par ses « errements diplomatiques ». Les militaires théocratiques totalitaires multiplient les provocations, avec le Maroc, avec la France et même nous l’apprend-il avec la Turquie. « L’amateurisme-fanatisme d’Alger est le reflet d’un régime aux abois qui se raidit et se crispe au lieu de tenter d’acheter sa survie par une profonde remise en cause. ». En contrepoint, il condamne la politique française qui « au lieu de profiter de la situation pour enfin mettre à plat le contentieux, qui existe entre la France et l’Algérie, les dirigeants français vont une fois de plus composer ». Pour Bernard Lugan, la France a toutes les cartes en main pour agir efficacement, car le gaz et le pétrole algérien ne représente que 8 et 9% de la consommation française, le commerce de la France avec l’Algérie c’est 12 milliards d’euros pour un commerce extérieur global de 770 milliards d’euros, et que les dangers de la cinquième colonne immigrée tant craint par nos faisant fonction de gouvernement « pourraient être facilement réglés par des mesures de simple police... ». C’est bien là le problème, il en va de Macron, de Bayrou et d’autres comme du dernier Président de la IIIe république, que de Gaulle avait mis plus bas que terre d’une simple pichenette : « Pour être chef de l’État, encore avait-il fallu qu’il y eût un État, et qu’il fût un chef ».

Outre ses considérations passionnantes sur la constitution ethnique, linguistique, historique, religieuse de ce territoire qui va devenir l’Algérie par la grâce des français et de la France, Bernard Lugan nous fournit dans cet entretien, quelques éléments de réflexion bien utiles et bien précieux.  Car c’est la France, qui créa de toutes pièces l’Algérie, sans la France, pas d’Algérie, n’est-ce pas Monsieur Apathie. Les militaires français, ont constaté dès 1830, qu’il y avait autant de tribus dispersées que de pouvoirs à honorer, le Roi du Maroc, la Sublime Porte, et d’autres potentats. « Ce fut la France qui rassembla ces ensembles, notamment à travers une ambitieuse politique de désenclavement routier. Ce fut elle, qui en 1839, leur donna un nom : l’Algérie. Ce fut encore la France qui traça les frontières. ». Bernard Lugan n’élude pas les fautes politiques commises par la France, notamment après 1870, sous la IIIème république jacobine et idéologue à souhait, qui mit à bas tout le formidable travail qui avait été réalisé par les militaires et les bureaux arabes sous Louis-Philippe et Napoléon III.

Outre l’unification du territoire, la France permit à la future Algérie de s’agrandir. Un fait particulièrement méconnu est porté à notre connaissance par Bernard Lugan. Le Maroc fut amputé à l’Ouest, du Touat, du Tidikelt, du Gouara, du Tindouf, de Béchar, de Tabelbala notamment « au Sud, en l’ouvrant sur le Sahara qu’elle n’avait, et par définition, jamais possédé ». Comme à son habitude, l’universitaire Bernard Lugan, nous reproduit des cartes particulièrement explicites et parlantes.  C’est cela que Macron aurait dû rappeler en permanence à un certain Monsieur Tebboune, s’il avait du courage, et la grandeur de la France chevillée au corps. Un point important, c’est pour avoir remis sur le tapis cette vérité première que Boualem Sansal a été embastillé. Le pouvoir algérien ne supporte pas que l’on lui dise ces quatre vérités, il préfère les folles élucubrations d’un Macron, d’un Apathie, d’un Benjamin Stora.

S’agissant des crimes contre l’humanité et des Oradour sur glane algériens, Bernard Lugan  expose que « loin d’avoir pillée l’Algérie, la France a construit 54 000 kms de routes et pistes, 80 000 avec les pistes sahariennes, dont 31 routes nationales dont près de 9000 kms étaient goudronnés ; 4300 kms de voies ferrées ; 4 ports équipés aux normes internationales ; 23 ports aménagés dont 10 accessibles aux grands cargos et 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots ;  34 phares maritimes ; une douzaine d’aérodromes principaux ; des centaines d’ouvrages d’art ; des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels ; 31 centrales hydroélectriques ou thermiques ; une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc...des milliers d’écoles, d’instituts de formation, de lycées, d’universités ; en 1962 plus de 800 000 enfants étaient scolarisés dans 17 000 classes, soit autant d’instituteurs dont 1/3 de musulmans ; un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, trois grands hôpitaux à Alger, Oran et Constantine, 14 hôpitaux spécialisés et 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants. Tous ces équipements, toutes ses infrastructures, tous ces établissements ainsi que le personnel qui les faisaient fonctionner avaient été payés par la France avec l’argent et l’impôt des français. »

Concernant l’humiliation que subit la France vis-à-vis de l’Algérie, par les inconséquences inouïes d’un Macron qui piétine nos intérêts, Bernard Lugan propose des solutions emplies de bon sens et qui auraient dû être mise en œuvre depuis des mois déjà. « Pour soigner l’Œdipe Algérien », comme il le qualifie, il préconise de suspendre ou taxer fortement les colossaux libres transferts de fonds des Algériens vivant en France vers leur pays d’origine ; de suspendre les relations aériennes et maritimes avec l’Algérie ; de suspendre les achats de gaz et de pétrole algérien ; de suspendre les relations commerciales avec l’Algérie ; de suspendre les exorbitantes facilités de circulation offertes aux Algériens désirant venir en France, souvent pour s’y faire soigner, la plupart du temps gratuitement au demeurant ; de suspendre les IDE, les investissements directs étrangers français en Algérie qui sont en moyenne de 2,4 milliards d’euros. Un Trump aurait déjà agi, fortement, et l’Algérie serait rentrée instantanément dans le rang, comme on l’a vu avec les USA pour la Colombie ou le Mexique qui ont plié en quelques jours.

Enfin, il faut nous souvenir et le redire en permanence, lorsque le conflit éclata en 1954, vers qui se retournèrent les musulmans algériens ? Vers le FLN, l’ALN ou vers la France ? Et bien sans équivoque aucune, vers la France, qui avait créé et transformé leurs pays. Les algériens autochtones, furent 3 à 4 fois plus nombreux à s’engager dans l’armée française. « Effectivement, 200 000 Algériens combattirent dans les rangs de l’armée française (tirailleurs, spahis, harkis, moghaznis etc.…), ce qui constitua des effectifs au moins 4 fois supérieurs à ceux des maquisards de l’intérieur ou des membres de l’ALN, stationnés en Tunisie ou au Maroc ».  Au demeurant, nombres de ceux qui avaient rejoint les maquis, avaient été préalablement terrorisés par des crimes monstrueux et sadiques perpétrés sur des membres de leurs familles, des voisins, des connaissances. Des fascicules établis notamment par des médecins exerçant en Algérie à l’époque, en témoignent. Monsieur Apathie devrait les lire.

Espérons que ceux qui vomissent la France et son action, auront un jour des comptes politiques à rendre au Peuple français. Car « depuis deux décennies, ce sont les faiblesses, les courbettes, les génuflexions et l’ethnomasochisme français qui ont encouragé l’Algérie sur cette voie. Mais tout à changer avec les déclarations irresponsables de François Hollande suivies encore plus irresponsables de celles d’Emmanuel Macron au sujet de la colonisation. Car à partir de là, la France s’étant auto-humiliée, l’Algérie s’est donc trouvée en position de force pour exiger toujours plus d’elle, allant jusqu’à prendre Boualem Sansal en Otage et à refuser le retour de ses nationaux délinquants. »

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15:05 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi 13 mars, en Côtes d'Armor :

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Attention, la salle de cinéma est déjà presque pleine, il reste quelques sièges libres. Retenez dès maintenant le votre : asso.tregorgoelo@gmail.com

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00:14 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand féminisme rimait avec fascisme

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Sylvain Roussillon

Depuis de nombreux mois, la vie politique dans les pays occidentaux est littéralement contaminée par ce phénomène qu’on appelle le « wokisme » : entre haine de soi, rejet de ses racines, surenchères dans les revendications sociétales les plus folles… On peut ranger dans cette dernière catégorie les injonctions de certaines féministes, dont la récente députée Sandrine Rousseau, faites aux hommes de se « déconstruire », … Il fut un temps, cependant, où féminisme rimait davantage avec fascisme qu’avec wokisme…

Le mouvement des suffragettes, c’est-à-dire en faveur du droit de vote des femmes, a été particulièrement fort et actif au Royaume-Uni. Organisées en 1903 au sein de Women’s Social and Political Union (WSPU), ces féministes vont se livrer à une guerre d’usure de plus de 10 ans contre les autorités institutionnelles britanniques. Manifestations, démonstrations, arrestations, grèves de la faim, mais aussi à partir de 1910 des attentats, avec actes de vandalisme, incendies criminels, lettres piégées au phosphore, et même des bombes -250 au total (!), sont les moyens d’action utilisés par ces femmes. L’une d’entre elle trouvera même la mort, en 1913, lors d’une action de propagande lors du derby d’Epsom en présence du roi George V.

Elles participeront cependant à l’effort de guerre du Royaume-Uni, mettant leurs revendications en sourdine, et obtenant par là-même la satisfaction de leurs droits à partir de 1918. Ces femmes, et leur lutte, ont depuis été élevées au rang d’héroïnes dans le panthéon de l’histoire sociale britannique.

La femme qui n’aimait pas Vélasquez

Aussi, le choc a été de taille lorsqu’en 2010, un documentaire de la BBC a dévoilé le fait que plusieurs de ces figures féministes, saluées et honorées unanimement, avaient milité, dans les années 30 dans les rangs de la British Union of Fascists de sir Oswald Mosley.

Trois d’entre elles, notamment, ont atteint une vraie notoriété dans les rangs des suffragettes. Mary Raleigh Richardson d’abord, née en 1882, probablement la plus célèbre, est une activiste qui a été une des artificières du groupe, et qui, en 1914, a lacéré le tableau de Vélasquez, Vénus à son miroir, exposé à la National Gallery, pour protester contre les violences policières faites aux suffragettes. Elle écopera d’une peine maximum de 6 mois de prison, car les crimes de terrorisme et de vandalisme ne sont alors pas encore prévu par la loi britannique à l’époque. En 1922, elle tente en vain sa chance aux élections législatives, sous l’étiquette du Labour, n’obtenant que 22,6% des voix dans la circonscription d’Acton. En 1932 cependant, elle surprend bon nombre de ses anciens amis en annonçant son ralliement à la British Union of Fascists récemment fondée, en déclarant : « j’ai d’abord été attiré par les Blackshirts parce que j’ai vu en eux le courage, l’action, la loyauté, le don de soi, et la capacité de servir que j’avais connus dans le mouvement des suffragettes ». En 1934, elle devient responsable de l’organisation des sections féminines du mouvement dont elle s’éloigne en 1936. Elle décède à Hastings en 1961.

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dimanche, 09 mars 2025

Jean-Yves Le Gallou présente les Bobard d'Or 2025

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Floriane Jeannin (TV Libertés) et Liselotte Dutreuil (Radio Courtoisie) présenteront successivement :

  • Le bal des experts dont elles salueront la constance dans l’erreur sur la guerre russo-ukrainienne et les élections américaines ;
  • Les bobards cathophobes dont les auteurs ont été en forme olympique en 2024 ;
  • Les sales bobards qui visent à salir la mémoire des victimes de francocides tout en camouflant l’origine de leurs auteurs.

Tour à tour, le polemiarque Michel Geoffroy ; Victor Aubert, fondateur d’Academia Christiana, directeur général de l’ACEI ; Éric Morillot ; et l’influenceuse ERGA interviendront.

Billetterie cliquez ici

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Samedi à Paris : manifestation patriotique contre les prétentions belliqueuses de Macron

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Quand Macron prend ses désirs pour des réalités

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Le billet de Patrick Parment

Dans son interlocution télévisée, tout comme à la réunion des chefs d’Etat européens à Bruxelles (jeudi 6/3), outre un soutien quasi inconditionnel à Zelensky, Emmanuel Macron désigne la Russie comme étant notre principal adversaire. Il laisse même entendre que les Russes pourraient s’en prendre militairement à l’Europe.

Ce n’est qu’un pur phantasme de sa part, car rien, et certainement pas Poutine, ne laisse entendre qu’une telle attaque pourrait avoir lieu. Pour plusieurs raisons, dont la première et la plus évidente est que les Russes n’en ont pas les moyens – hormis le recours au nucléaire. Que d’autre part les Chinois s’y opposeraient pour la bonne raison que l’Europe est un débouché essentiel pour leur économie et qu’au passage, ils en profitent pour piller nos technologies. Une autre raison vient de voir le jour si elle se confirme : Donald Trump et Poutine seraient en négociation pour remettre en marche le gazoduc Nordsteam 2 qui ravitaille l’Allemagne sans passer par des intermédiaires. A en croire la presse britannique, bien mieux informée que nos médias.

A ne considérer que le plan militaire, s’il est vrai que l’Europe s’est singulièrement désarmée en raison de la protection tout à la fois de l’Otan mais plus encore du parapluie nucléaire américain, les poches de résistance seraient trop nombreuses pour empêcher la progression d’une armée russe. Notamment de la part des Polonais et des Baltes pour qui le Russe est un ennemi quasi ontologique.

Passons sur notre force de dissuasion nucléaire. Si nous sommes en mesure de faire des dégâts sur le territoire russe, la Russie a largement de quoi vitrifier l’Europe entière. Ni les uns ni les autres n’y ont intérêt. Donc, sur le fond, notre fameuse force de dissuasion ne sert à rien, si ce n’est dissuader les Russes d’avoir recours à la leur.  Autre raison enfin, on ne voit pas quel intérêt auraient les Russes à envahir l’Europe. Celle-ci est non seulement divisée mais d’une grande faiblesse stratégique. Ce que Vladimir Poutine a bien compris. Bien plus intéressantes, à ses yeux, sont les négociations à venir avec Donald Trump qui va finir par lever les sanctions. Car dans la géopolitique qui se dessine, la stratégie américaine est de reconnaître la Russie afin de la dissocier de la Chine qui reste la préoccupation majeure de Trump. Et dans ce jeu-là, l’Europe est totalement absente pour la bonne raison qu’elle n’est en rien une puissance sur laquelle il faut compter. Russes et Américains s’essuient les pieds sur le tapis européen. Nous payons aujourd’hui le prix de nos faiblesses.

La grande question qui se pose est de savoir si les Européens vont enfin se décider à se constituer en puissance et non plus se comporter en valets. De voir nos représentants crier au loup et l’inique von der Leyen proposer 150 Mds€ pour nous réarmer, relève de la fantaisie. Une grande partie de l’arsenal militaire européen est américain et dépend des américains, notamment en matière de communication, enjeu crucial de la guerre moderne comme le démontre le conflit ukrainien. Et que dire des drones ! Les Européens ont du chemin à parcourir pour parvenir à une esquisse de défense communautaire.

Enfin, la guerre en Ukraine, qu’elle dure ou non, est une épine dans le pied des Européens. Comme le souligne à juste titre Pierre Lellouche, les Ukrainiens ne gagneront pas une guerre qu’ils ont déjà perdue. Le problème qui se pose et que règleront - peut-être - Trump et Poutine est de savoir quel sera son statut. Sachant qu’elle ne rentrera pas dans l’Otan, que les Russes continueront d’occuper tout le Donbass et que son entrée dans l’Europe est plus que problématique.

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samedi, 08 mars 2025

8 mars, une journée de trop ?

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Thomas Joly, président du Parti de la France

Chaque 8 mars, une étrange cérémonie se répète : la Journée internationale des droits des femmes. Une journée qui, à bien y regarder, relève d’une absurdité presque insultante. Pourquoi faudrait-il un jour spécifique pour honorer la moitié de l’Humanité, comme si être une femme était une anomalie, une catégorie à part qu’il faudrait encourager ou protéger ? C’est là une condescendance insupportable. Aimer les femmes, c’est d’abord les considérer comme une évidence, et non comme une cause politique.

Mais les féministes, ces insatiables militantes du chaos social, ne célèbrent pas cette journée pour les bonnes raisons. Leur combat n’a rien à voir avec la mise en valeur de la féminité ; il s’agit au contraire d’un rejet de tout ce qui fait l’essence même de la femme. Elles revendiquent l’avortement de masse comme une victoire, brandissent le divorce comme une libération, glorifient l’asservissement des femmes au marché du travail au détriment de leur rôle familial. Elles prônent la déconstruction des identités sexuelles, encouragent une misandrie latente et ringardisent le modèle familial traditionnel qui a pourtant bâti notre civilisation. Pire encore, elles se rendent coupables d’un silence complice face aux véritables menaces pesant sur les femmes françaises : l’explosion des violences liées à l’immigration afro-musulmane. Là où le féminisme devrait défendre celles qui sont les premières victimes de cette insécurité grandissante, il détourne le regard, préférant accuser le patriarcat occidental, coupable commode et imaginaire.

Le féminisme moderne n’aspire qu’à une chose : transformer la femme en un homme comme les autres. Il faut qu’elle travaille, qu’elle boive, qu’elle séduise et qu’elle consomme comme un homme. Mais les femmes n’ont pas vocation à singer les hommes. Elles ne seront jamais leur reflet, et c’est tant mieux. Leur grandeur ne réside pas dans une imitation servile de la virilité, mais dans ce qu’elles sont intrinsèquement : la beauté, la douceur, l’élégance, l’équilibre du foyer, la force tranquille de la transmission. Ce ne sont pas des rôles imposés mais des qualités naturelles que la société devrait exalter au lieu de les nier.

Car c’est bien là que réside la vérité : la femme est un trésor. Elle est le complément parfait de l’homme, son alliée, son inspiration. Elle accomplit l’acte le plus noble qui soit : elle donne la vie. Aucun progrès technologique, aucune idéologie ne pourra jamais remplacer l’amour d’une mère, cet amour originel qui fonde les sociétés et façonne les civilisations. Voilà ce qu’il faut célébrer. Non pas une énième revendication politique mais un hommage sincère à celles qui, par leur présence et leur rôle unique, donnent un sens au monde.

En ce 8 mars, au lieu de se perdre dans des luttes stériles et destructrices, il est temps de se souvenir que la véritable grandeur féminine ne réside pas dans l’affrontement, mais dans l’harmonie.

Pour le blog de Thomas Joly, cliquez ici

 

Note : Marilena Grill a 16 ans en juillet 1944 quand elle se porte volontaire pour le service auxiliaire féminin de la République sociale italienne (RSI). Elle est affectée au bureau qui s'occupe de rechercher les soldats turinois disparus sur les différents fronts. Le 28 avril 1945, elle est enlevée chez ses parents par quatre partisans et après cinq jours de détention arbitraire, elle est assassinée d'une balle dans la tête. Elle n'avait pas encore 17 ans. Un crime de plus au (lourd, très lourd) passif des rouges... Communistes, assassins !

Le gouvernement de Giorgia Meloni vient de lui rendre hommage par l'émission du timbre que nous reproduisons en tête de cet article du président du Parti de la France. Une leçon de courage, de mémoire et de fidélité de la part de nos amis et camarades italiens que nos dirigeants hors sol feraient bien de méditer !

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17:45 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journée de la Femme : Sarah Knafo sera cet après-midi aux côtés du Collectif Némésis

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Collectif Némésis : cliquez ici

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09:46 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Clairvoyant l'Italien...

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De la guerre

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L’académicien Jean-Marie Rouart dans un texte paru dans Le Figaro (8/3) intitulé : « Comment comprendre cet engouement pour la guerre qui semble saisir Emmanuel Macron ? » s’interroge sur le soudain prurit guerrier du président. Nous en avons extrait les passages suivants.

N’est-il pas irresponsable de jouer avec la troisième guerre mondiale ? Le jeu des alliances par effet de domino a montré tout à long du XXe siècle le risque qu’il y avait à se laisser entraîner dans des conflits qui ont abouti non seulement à la destruction de l’Europe, mais à la quasi-ruine des pays qui la composent. Est-ce donc l’exemple à suivre? Quant aux discussions de marchands de tapis sur la dissuasion nucléaire, n’a-t-elle pas quelque chose d’indé- cent au regard d’une menace aussi définitive ? Comment les grands responsables politiques peuvent-ils avec une sorte d’impudeur évoquer des situations qui entraîneraient à plus ou moins brève échéance la destruction d’une partie voire de la totalité de la planète ? La dissuasion nucléaire n’a pas été créée pour mettre le feu au monde au nom d’une générosité illusoire. Nous en avons payé déjà trop cher le prix.

(…) Autre question qu’à mon avis on ne se pose pas assez : qu’est-ce donc aujourd’hui qu’être patriote? Dramatisons : pour quel pays est-on prêt à mourir? La France ? L’Europe, mais laquelle ? C’est une variante de l’interrogation de 1939 où l’Ukraine tiendrait le rôle de la Pologne : qui est prêt à mourir pour Dantzig ? Le feu nucléaire pose la question différemment. Il ne s’agit plus de mourir seul mais d’entraî- ner dans sa mort des milliers, voire des millions d’hommes, de femmes et d’enfants. Cela pose même la question de la survie de l’espèce humaine. Est-ce vraiment une menace sur laquelle nous avons réfléchi avant de jouer les apprentis sorciers ? Si patriote qu’on soit, on peut aujourd’hui se sentir un patriote de ce bien merveilleux, à la fois intime, personnel et universel, qu’est la vie. Mais il y aura toujours ceux qui, comme le docteur Folamour, le héros de Kubrick, préfèrent jouer les Sardanapale et, quitte à mourir, souhaitent disparaître dans un bain de sang collectif.

(…) Dans ce climat anxiogène dont le président Macron visiblement requinqué tire une nouvelle légitimité, on peut s’interroger sur ce qu’il adviendra réellement de ce projet d’« économie de guerre », sorti en hâte des tiroirs, ainsi que des 800 milliards que Madame von der Leyen veut jeter dans la balance. Ces grands spectres, accompagnés de gesticulations et de réunions d’urgence, sont une spécialité européenne. Les actes ont parfois du mal à suivre. Ce qui en l’occurrence serait plutôt rassurant pour ceux qu’alarme cette précipitation dans la perspective guerrière avant d’avoir épuisé toutes les négociations en faveur de la paix, y compris avec la Russie, espace européen de culture européenne. Car, soyons carrément anticonformistes, il n’est pas inutile de donner une chance à la paix.

Source : Figaro 8/3/2025

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Journal du chaos

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vendredi, 07 mars 2025

Le petit théâtre de la peur

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Thomas Joly, président du Parti de la France
 
Emmanuel Macron et le système politico-médiatique qui l’entoure ont un modus operandi bien rodé : terroriser les Français pour mieux les manipuler. Hier, c’était le Covid, avec des discours hystériques qui ont justifié des mesures liberticides absurdes. Puis est venu le réchauffement climatique, utilisé comme un prétexte pour imposer des taxes et des restrictions sans fondement. Aujourd’hui, c’est la Russie : un péril monté en épingle pour justifier l’alarmisme et la soumission.
 
Mais regardons les faits : où est l’invasion russe de l’Europe qu’on nous promet ? Où sont les preuves de cette guerre imminente qui justifierait que la France se précipite dans un conflit qui n’est pas le sien ? Encore une fois, il ne s’agit pas d’informer, mais de conditionner, d’angoisser, de sidérer. Et ça marche ! Malheureusement, cela fonctionne surtout sur les plus crédules, notamment la génération des boomers, ce bastion électoral du macronisme et du centrisme mou, toujours prête à gober la propagande servie par les éditorialistes du Système.
 
Ce petit théâtre de la peur n’a qu’un but : détourner l’attention des vrais problèmes. La France s’appauvrit, s’effondre, perd sa souveraineté, est grand-remplacée, pendant que Macron amuse la galerie avec ses discours inquiétants. Il est temps de dire stop. Il est plus que temps de se débarrasser de cette clique nuisible qui ment aux Français, qui les infantilise et qui affaiblit notre pays.
 
Assez de manipulations, assez de soumission ! Retrouvons une France forte et libre.
 
Site du PdF cliquez ici

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Les enseignements des législatives allemandes

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol 

Le 23 février dernier, soixante millions et demi d’Allemands votaient pour désigner leur nouveau Bundestag, suite à la dissolution de la vingtième législature prononcée le 27 décembre 2024 par le président de la République fédérale.

L’élection se déroule selon un mode de scrutin mixte original. Chaque électeur détient deux voix. Sur le même bulletin de vote se présentent deux colonnes. La première concerne le mandat direct : 276 circonscriptions au scrutin majoritaire uninominal à un seul tour. La seconde porte sur une liste présente au niveau du Land, soit 354 sièges répartis à la proportionnelle selon la méthode de Sainte-Laguë qui favorise les minorités. L’électeur coche donc à deux reprises sans forcément choisir la même formation politique. L’accès au Bundestag suppose d’obtenir 5 % au niveau fédéral ou bien de gagner trois mandats directs qui annulent ce seuil. Il est enfin possible pour une personne d’être à la fois candidate à un mandat direct et de figurer sur une liste régionale.

Une participation de 82,54 %, soit près de six points et demi de hausse, marque ces élections anticipées. Il faut remonter aux législatives de 1987 pour observer un si fort engouement civique. La brièveté de la campagne électorale n’a pas empêché un réel intérêt accru par les attentats islamistes allogènes à la voiture et au couteau. La tendance finale confirme une fragilisation partielle du consensus outre-Rhin.

Les listes de la coalition CDU – CSU arrivent en tête avec 28,52 %. Certes, elles remportent l’élection, mais leur résultat se trouve en dessous des 30 % prévus par les sondages. Pressenti pour devenir le prochain chancelier fédéral, Friedrich Merz est dès à présent vulnérable, car ses 208 députés n’arrivent pas à la majorité absolue de 316 sièges.

Le chancelier sortant, le social-démocrate Olaf Scholz, perd son pari de conserver son poste. Avec 16,41 %, le SPD réalise la plus mauvaise contre-performance électorale de son histoire. Perdant 86 sièges, les 120 heureux élus vont sûrement exiger quelques comptes à Scholz qui, tel un Biden obstiné et têtu, n’a pas voulu renoncer au profit de l’actuel ministre de la Défense, Boris Pistorius, plus populaire que lui d’après les enquêtes d’opinion.

Les libéraux-démocrates du FDP sortent du Bundestag avec 4,33 %. Dès l’annonce des premières tendances désastreuses, leur chef de file, Christian Lindner, a démissionné de la présidence du parti et quitté la vie politique active. Ce vote confirme le déclin du FDP qui n’est plus représenté que dans neuf Länder sur seize. Bien que perdant 33 sièges, les Verts restent relativement stables (11,61 % et 85 députés). Leur programme belliciste en politique étrangère et liberticide en politique intérieure ne gêne pas leurs électeurs nantis désormais bien souvent retraités. Certains responsables Verts seraient néanmoins favorables à une entente gouvernementale avec Friedrich Merz. Mais cette hypothétique alliance noire – verte impliquerait un gouvernement minoritaire.

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Entretien avec François Fillon

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Voici belle lurette que l’on avait oublié François Fillon, fort injustement poursuivi par une justice, une fois de plus, aux ordres du pouvoir politique. Si la qualité de nos hommes politiques d’aujourd’hui est leur médiocrité, ils n’en cultivent pas moins la rancoeur et n’oublient jamais de régler leurs comptes. Tous nos chefs d’Etat depuis De Gaulle n’ont pas dérogé à cette règles – on se souvient de Chirac à l’égard des balladuriens.

Sa défaite a amené François Fillon à se retirer du marigot au fort relent de lisier. Pour la première fois depuis longtemps, il a répondu aux questions de Tugdal Denis dans Valeurs actuelles. Et l’on découvre un homme d’une extrême lucidité face au monde de chaos dans lequel nous ont précipité nos politiques. Il aborde ici tous les sujets, qu’ils soient nationaux ou internationaux, au point que nous sommes les premiers à souscrire à ses analyses pour la bonne raison que cela fait des décennies que nous claironnons la même chose.

Lire l'entretien ICI

Source : Valeurs actuelles 6/3/2025

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jeudi, 06 mars 2025

Le sport, le terrain de prédilection des islamistes pour conquérir la jeunesse 

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Michel Festivi 

Julien Odoul, député RN de l’Yonne (ci-dessus), vient de donner un entretien à Valeurs Actuelles, suite à ses travaux, dans le cadre d’une mission flash, sur le communautarisme et le séparatisme islamique dans les milieux sportifs, le moins que l’on puisse en dire, est que le mal est particulièrement profond. Le monde du sport est désormais la cible prioritaire des islamistes, nous dit-il. Ce sont des prières dans les vestiaires, des joueurs qui refusent de serrer la main d’une arbitre ou d’une joueuse femme, des genoux cachés, la généralisation du port de collants même en plein été, la présence de drapeaux palestiniens dans les gymnases, etc. On y trouve pèle mêle, des demandes de vestiaires séparés pour les musulmans et les non-musulmans, l’adaptation des calendriers sportifs aux fêtes religieuses et notamment lors du ramadan, le refus dans certains sports de s’incliner devant son adversaire après le combat, comme au judo, car on se s’incline que devant Allah.

La multiplication des certificats médicaux préconisant un port de casque, pour palier le non port du voile, devient légion, le refus de certains clubs de créer des sections féminines, l’utilisation d’un signe emblématique de la religion musulmane comme logo sur un maillot, cela avait d’ailleurs conduit le préfet de l’Hérault à retirer l’agrément du Sète olympique football club. Des messages relayés sur les réseaux sociaux pour des rituels de prière, avait aussi amené au retrait de l’agrément de l’Avenir sportif de Juvignac, tout cela est souligné dans ce rapport.

De 25 à 130 clubs seraient ouvertement islamistes, dirigés par des Frères musulmans, seuls deux ont vu leur agrément retiré, plus de 500 clubs sont confrontés à une montée en puissance de l’intégrisme islamiste. Enfin Julien Odoul évoque des clubs « totalement submergés par des pratiques communautaires qu’ils n’arrivent plus à endiguer ». Car la règlementation est floue voire contradictoire, comme dans le basket par exemple, où la fédération au niveau national interdit tout signe religieux et politique, mais au niveau universitaire, le port du voile est autorisé, les arbitres sont perdus, d’où la nécessité d’une règlementation unique et s’imposant partout et à tous.

La proposition de loi voté au Sénat sur l’interdiction de tout port religieux et politique semble aller dans le bon sens, Julien Odoul souhaite la création, au surplus, d’une plateforme centralisée de tous les signalements, pour faire réellement remonter les informations, car beaucoup de clubs baissent actuellement les bras, avec publications régulières des données ainsi récoltées. Le parlementaire préconise qu’il soit imposé aux fédérations de signaler tous les incidents, avec des agents de liaison du ministère de l’Intérieur auprès du ministère des Sports.

S’il a conscience que, verbalement, le ministre de l’Intérieur et la ministre des Sports semblent se montrer favorable à ces mesures et à cette proposition de loi, il craint fort qu’elle n’atteigne jamais l’examen par l’Assemblée nationale, car les gauches et les extrêmes gauches sont vent debout contre cette proposition, et le bloc central, par crainte, par pusillanimité est divisé sur ce texte, et ce malgré le très large consensus de l’opinion publique et des Français.

Il fustige les sportifs professionnels qui s’emparent de dossiers politiques, notamment au moment des élections, ainsi qu’à l’égard de différentes fédérations internationales qui n’ont pas toutes la même réglementation. Ce flou profite aux islamistes qui savent parfaitement s’infiltrer dans tous ces interstices.

La collègue de Julien Odoul, Caroline Yadan, députée Ensemble pour les Français hors de France, corapporteuse de cette mission confirme « la réalité de ces dérives est inquiétante et affecte plus particulièrement le football, les sports de combat et, dans une moindre mesure, le basketball ». Hassan al-Banna, fondateur des Frères musulmans avait bien perçu que « le sport est un moyen pour nous. ». C’est aussi l’avis de Madame Sophie Germain, directrice générale de la ligue Paris Ile-de-France de football « les clubs deviennent des lieux de conquête, des tentatives de pénétration d’instances dirigeantes sont à craindre », « dans certains territoires, la côte d’alerte est dépassée », comme les deux députés le soulignent. La fédération française de taekwondo, se refuse elle, à sanctionner celles qui portent l’hidjab, contrairement à ce qui se passe dans le Basket. Car tout cela est aussi facilité par le manque de vigilance de certaines fédérations, comme nos deux députés le mettent en relief.

Des municipalités, comme celles de Grenoble, ont autorisé le port du burkini dans leurs piscines, avant que le Conseil d’État n’y mettre le haut là en 2022. Mais il est toujours admis à Rennes. La ville de Noisy-le-Sec en Seine-Saint-Denis, avait consenti à des matchs de basket pour s’opposer au non port du voile. Par contre la municipalité de Montauban avait privé de subventions et d’accès au gymnase de la ville, un club de boxe soupçonné d’islamisme. Certains présidents de fédérations reçoivent des menaces de mort, de fortes pressions familiales ou communautaires interviennent souvent avec des menaces. L’hétérogénéité des règles entre fédérations, sports organisés, sports de loisir, écoles ou universités permet tous les agissements militants des islamistes.

Le ministère des Sports n’aurait aucun outil spécifique à sa disposition et Caroline Yadan met en exergue « la frilosité de ce ministère, qui ne veut surtout pas de vagues. ». L’intervention du législateur est donc très attendue, pour donner des armes fortes à tous ceux qui entendent s’opposer à cet entrisme islamiste. Espérons que l’Assemblée nationale s’empare au plus vite de la proposition de loi votée au Sénat il y a quelques jours. Les Français qui sont très majoritairement favorables à ce texte, verront ceux des députés qui par lâcheté ou par souci électoraliste, ne voteront pas en sa faveur. Nous savons déjà que les Lfi, les écologistes, les socialistes, les communistes écarteront ces propositions, tout dépendra en réalité de ce bloc central et de l’attitude du gouvernement. Ensuite, tout reposera sur la décision du Conseil constitutionnel.  

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23:38 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans le nouveau numéro de La Lettre des Amitiés franco-espagnole : un dossier consacré au général Franco

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Le Cercle Franco-Hispanique, fondé le 20 novembre 1984, par Olivier Grimaldi, s’est fixé comme mission d’entretenir des liens étroits et fraternels entre les nationaux et nationalistes français et les différentes composantes du mouvement national espagnol. Le CFH contribue activement à faire connaître en France la pensée et l’action du fondateur de la Phalange, José Antonio Primo de Rivera, héros et martyre de la cause nationaliste ibérique et la victoire franquiste dans la croisade espagnole contre le bolchevisme.

Éditorial :

Chers Amis,

En 1981, Georges Gondinet exprimait sa « volonté de changer radicalement de société, la volonté de mettre à bas un système inhumain ». (…) « Nous devons, plus que les mouvements nationaux d’avant-guerre donner une dimension spirituelle, transcendante à notre combat, en dépassant certaines limites propres au nationalisme. Nous devons unir la Tradition et la révolution. Contre la Subversion. En attendant l’aurore, si prodigieusement pressentie par la Phalange espagnole ».

Si nos commémorations sont précédées ou suivies d’une messe, c’est parce que nous sommes dans la fidélité de la pensée de Jose Antonio Primo de Rivera et celle du Général Franco à qui nous consacrons notre dossier à l’occasion des cinquante ans de sa mort. « Nous voulons implanter une justice sociale profonde, pour que sur cette base les peuples retournent à la suprématie du spirituel ». C’est ce à quoi le Caudillo, chef de l’État espagnol, s’est attaché pendant une quarantaine d’année.

La décadence de la France actuelle n’est pas que matérielle. « La République, bien-pensante et permissive, incapable de protéger les siens, laisse se répandre les horreurs, asservie à un discours progressiste qui dissimule des maux qu’elle a elle-même engendrés. Le système judiciaire, asphyxié par des années de réformes laxistes, est devenu impuissant face à la criminalité grandissante » (Frédéric de Longpré) ce qui ne l’empêche pas de trouver le temps et l’argent des contribuables pour condamner Yvan Benedetti à trois mois de prison pour avoir voulu déposer des fleurs sur la tombe de Pierre Sidos, tout en laissant les tombes de Jean-Marie Le Pen, Charles Maurras, Maurice Barrès et Robert Brasillach être profanées.

« Un peuple sans morale est un peuple sans avenir ». Le nationalisme n’est plus une option. Il est urgent de redonner au peuple sa fierté et son honneur, de ne plus perdre de temps à voter pour les partis du système.

Hélène Grimaldi

Sommaire :

  • Éditorial d’Hélène Grimaldi
  • En Espagne
  • En France
  • Dossier : Francisco Franco Bahamonde (partie 1)
  • Brèves
  • Requiescat in pace

Renseignements : cfh.grimaldi@free.fr

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La vision russe de Xenia Fedorova à Bistro Libertés

Xenia Fedorova, présidente-fondatrice de Russia Today France, est l’invitée spéciale d’Eric Morillot, accompagnée des sociétaires André Bercoff, Anne-Laure Bonnel, Philippe Pascot et Nicolas Conquer.

La fermeture de C8 fait tragiquement écho à celle de RT France dès le début de la guerre en Ukraine. Cela témoigne du refus de permettre la diffusion de points de vue contradictoires qui est pourtant la base de la démocratie.

Cette "cosaque de l’info" a été finaliste d’un prix TEFI, équivalent russe des Emmy Awards, pour sa couverture du conflit en Géorgie en 2008. Elle publie ce jour "Bannie - Liberté d'expression sous condition", un livre choc qui dénonce l’organisation de la désinformation en France et les manœuvres qui ont conduit à la fermeture de RT France. 

Emmanuel Macron l’a accusée d'être un agent du Kremlin… comme s’il était anormal pour un journaliste d’exposer le point de vue de son propre pays comme le fait la BBC, qui émet dans le monde entier en 40 langues.

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Conférence de Lucien Cerise à Tournai ce samedi 8 mars « Géopolitique nietzschéenne : de Trump à l’Ukraine »

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L’exposé de Lucien Cerise souhaite apporter un regard sur l’actualité géopolitique inspiré par la pensée de Friedrich Nietzsche et la sociobiologie. Comme tous les êtres vivants, les civilisations sont animées d’un mouvement vital expansionniste exprimant leur volonté de puissance. Après avoir dominé le monde pendant quelques siècles, l’Occident était animé depuis quelques années d’un mouvement expansionniste contre-productif, morbide et inefficace, fondé sur l’idéologie de la société ouverte, le wokisme et le LGBT.

Cette doctrine dite progressiste a conduit au recul de l’Occident sur la scène internationale et à son effondrement suicidaire sur lui-même. L’exemple (ou contre-exemple) de l’Ukraine sera commenté, car il fournit un cas d’école chimiquement pur de cet expansionnisme nihiliste et profondément inefficace de l’OTAN, de l’Union européenne et des réseaux Soros. Face à cela, que signifie le phénomène Donald Trump et MAGA/MEGA d’un point de vue nietzschéen ?

C’est le retour d’un expansionnisme occidental vitaliste et se donnant les moyens de l’efficacité retrouvée.

La conférence débutera à 14 h 30 et sera suivie d'une séance de questions/réponses et d'une dédicace.

Si vous êtes intéressé par cet événement, vous pouvez vous y inscrire en suivant ce lien.

- Frais de participation : 10 euros

- Présence d’un stand Kontre Kulture et d'une buvette

- L’adresse vous sera communiquée le matin par e-mail

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14:44 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La censure est bien là !

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Robert Spieler

Une censure sans précédent se banalise dangeureusement dans notre pays, note Boulevard Voltaire : début janvier, sur France Inter, Jean-Noël Barrot, ministre des Affaires étrangères, a menacé de couper l’accès au réseau social X (anciennement Twitter), où s’informent des millions de Français, à l’image des 120 000 abonnés qu’y compte le média Boulevard Voltaire — une menace que seuls des États comme l’Afghanistan, la Chine ou l’Iran ont osé mettre à exécution jusqu’à présent. Une enquête contre le réseau a été ouverte par le Parquet de Paris.. Depuis quelques se- maines, les administrateurs de Reddit, l’un des forums de discussion les plus visités sur Internet, effacent systématiquement toute référence à des médias comme CNews, le JDD ou Valeurs actuelles qui disparaissent ainsi des écrans. Fin février, c’était C8 qui était supprimée de la TNT malgré des re- cords d’audience. CNews croule sous les amendes infligées par l’Arcom. La ministre du Numérique, Clara Chappaz, s’est, quant à elle, attaquée au réseau X, exigeant « que les opinions qui seraient de fausses opinions puissent être sorties de la plateforme ». On nage en plein Orwell. Elle a tenté de se rat- traper en disant qu’elle voulait éradiquer « les fausses informations ». De quel droit un gouvernement pourrait-il décider quelle est la Vérité ? Le président de la République et son ministre de la Culture ne cachent pas non plus leur projet d’organiser la “certification” officielle de l’information, ce qui revient à la filtrer. Tout cela, bien sûr, pour vous protéger des « Fake news » qui circulent sur la Toile. Comme nous sommes de grands malades, la directrice de la radio officielle, Radio France, est allée jusqu’à présenter ses programmes comme une “thérapie”. Il faut oser... Quant à France 2, chaîne, paraît-il, de service pu- blic, elle ment et diffuse avec un culot in- croyable de fausses informations. C’est ain- si que récemment, l’émission Complément d’enquête certifiait « l’absence d’impact de l’immigration sur la délinquance » en dépit de toutes les statistiques. Et puis, on se sou- vient de l’amende de 100 000 euros infligée à CNews où, lors d’une émission religieuse, un intervenant assimilait l’avortement à « une cause de mortalité ».

En revanche, aucune sanction n’a été prise contre l’émission Quotidien de TMC qui fai- sait croire faussement que Jordan Bardella était incapable de répondre à une question alors qu’il y avait répondu sans hésitation. Mais demain, cela risque d’être pire, nous alerte Boulevard Voltaire, si la commission d’enquête de l’Assemblée nationale fait ap- pliquer ses conclusions, qui visent à placer sous le contrôle de l’Arcom « l’ensemble des médias en ligne ». Conclusion de Boulevard Voltaire : « Ils vont user de tous les leviers à leur disposition pour tenter de reprendre le contrôle sur l’information et l’opinion publique, et refermer chacun des espaces de liberté qui s’étaient enfin ouverts. Si les gardiens du médiatiquement correct ne ren- contrent pas une opposition suffisante, leur étau se resserrera inexorablement sur toutes les sources d’information à votre disposition et les idées présentes dans le débat public ».

Source : Rivarol 5/3/2025

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Les Européens ne desserreront pas l’étau en claironnant

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« La dépendance européenne (à l’égard de l’Amérique) ne cessera pas à coup de proclamations officielles. D’autant que cette dépendance militaire et énergétique est amplifiée par les choix d’une présidente de la Commission dont le premier réflexe face aux menaces de guerre commerciale a été d’assurer à Donal Trump que le Vieux Continent achèterait du gaz naturelle liquéfié et des armes aux Etats-Unis ». Et Natacha Polony de poser la bonne question. : quels sont les buts de guerre que les Européens poursuivent ? Et Jusqu’où va-t-on baisser notre froc se demande l’éditorialiste dans son édito de Marianne – quoique virée de la direction de la rédaction elle conserve néanmoins un édito. On notera au passage que l’hebdomadaire fond comme neige au soleil avec le départ d’une partie importante de la rédaction. Et sa nouvelle orientation, style centro-révolutionnaire – en fait de gauche -, ne risque pas de convaincre dans le bourbier médiatique actuel.

Lire la suite ICI

Source : Marianne 6/3/2025

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En finir avec les nains de Bruxelles : redevenons maîtres de notre destin

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Il est plus que temps de lire

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09:12 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Macron : l'insignifiant aux yeux de l'Histoire.

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Thomas Joly, président du Parti de la France
 
Emmanuel Macron, fidèle à son habitude, a livré ce soir un discours empreint de grandiloquence, tentant désespérément de se hisser au rang des grands hommes d'État, alors qu'il demeure insignifiant aux yeux de l'Histoire.
 
Il agite la menace russe comme un épouvantail, une chimère déconnectée des réalités géopolitiques actuelles. Cette posture belliciste n'est qu'un écran de fumée destiné à masquer son incapacité à comprendre les véritables enjeux internationaux.
 
Certes, l'augmentation des dépenses militaires pourrait être perçue comme une nécessité. Cependant, la motivation qui l'anime est erronée, guidée par une vision déformée des menaces réelles et une volonté de plaire à une certaine élite mondialiste.
 
Quant à son propos sur le partage de notre bouclier nucléaire, il reste d'une opacité inquiétante. Cette ambiguïté témoigne soit d'une méconnaissance profonde des enjeux stratégiques, soit d'une manipulation destinée à embrouiller les esprits.
 
Enfin, sa volonté de convaincre Donald Trump de renoncer aux droits de douane sur les produits européens relève de l'utopie. Sans stratégie claire ni moyens concrets, cette ambition s'apparente davantage à une posture qu'à une réelle intention diplomatique.
 
En somme, Emmanuel Macron persiste dans sa quête vaine de grandeur, multipliant les discours creux et pompeux, sans jamais saisir l'essence des défis auxquels notre Nation est confrontée.
 
Parti de la France cliquez ici

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09:00 Publié dans Communiqués de presse, Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |