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lundi, 16 septembre 2024

Septembre 1939, le suicide de l’Europe

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« En 1939, Germains et Polonais rêvaient d’expansion à l’échelle européenne, tandis que les autocrates nord-américain et soviétique croyaient possible la conquête de l’ensemble des États et des Nations de la planète… »

Entretien avec Bernard Plouvier qui vient de publier Septembre 1939, le suicide de l’Europe aux éditions Dualpha.

(Propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

Qui doit être accusé, en bonne logique, d’avoir voulu une « Guerre pour Dantzig » ?

À peu près tous les chefs d’État et les leaders d’opinions publiques en Occident et en URSS… sauf les Allemands qui ont été ébahis de devoir guerroyer pour recouvrer Dantzig, ville allemande depuis 1304, fondée par les membres de la Ligue Hanséatique et qui ne fut jamais une ville polonaise avant 1945.

Du côté de la France et de l’Angleterre qui déclarent la guerre au IIIe Reich le 3 septembre 1939, une foule de politiciens et d’observateurs avaient prédit dès 1919 et jusqu’en 1938 un risque de guerre absurde pour le Couloir (Korridor en allemand) et l’État de Dantzig, administré par la SDN (Société Des Nations) conjointement à diverses administrations polonaises extrêmement agressives. Blum et Reynaud, Lloyd George et Churchill avaient à un moment ou un autre réclamé le retour de Dantzig au Reich… puis un avis contraire fut donné : pas question d’autoriser le Reich à reprendre son bien !

Quant à Joseph Staline, il a très volontiers envisagé de guerroyer contre un gouvernement de type fasciste dominant la Nation polonaise, dont les dirigeants mégalomanes espéraient ressusciter la Grande Pologne médiévale, après une facile victoire contre une « armée allemande inexpérimentée, composée de recrues sous-entraînées et sous-alimentées »… puisque la propagande, en tous lieux, proclamait « la ruine de l’économie allemande et la révolte du peuple allemand dès le premier coup de canon. »

Quid de l’entrée en guerre ?

Ce livre rapporte l’invraisemblable quantité de bobards alarmistes que les bellicistes britanniques (notamment les agents du MI-6) ont fait ingurgiter mois après mois, de janvier à la fin mars 39, à Neville Chamberlain, par ailleurs assailli en permanence par les injonctions des bellicistes, notamment du Président des USA.

L’on n’est guère étonné, de ce fait, que le Premier britannique, excédé, malade (il souffre d’un cancer colique dont il mourra le 9 novembre 1940), abruti par une multitude d’ordres venus du Président des USA, de sollicitations appuyées de financiers basés à New-York, des banquiers de la City et d’Afrique du Sud, des industriels britanniques travaillant à fond depuis 1936 pour la Défense nationale, ait fini par octroyer un « chèque en blanc » aux dirigeants polonais.

Dans la nuit du 23 au 24 août 1939, est signé à Moscou devant un Staline hilare un accord germano-soviétique, agrémenté d’un protocole secret prévoyant une action de l’Armée Rouge en Pologne si la guerre devient inévitable. Or, c’est pour éviter la guerre qu’Adolf Hitler fait signer cet accord par son ministre Joachim v. Ribbentrop, espérant que le risque de conflit générale fera reculer tout le monde et que Dantzig, ville allemande, fera retour pacifiquement au Reich.     

Les opérations de guerre en Pologne furent-elles aussi rapides qu’on l’a dit ? 

Bien plus qu’on ne le reconnaît usuellement. Il y eut 8 à 9 jours de véritables combats, puis un nettoyage de poches de résistance. Le coût pour la Wehrmacht fut très faible : cinq fois moindre que les prévisions du Führer. On décrit le détail des opérations et l’on insiste sur les bombardements de Varsovie, dans leur cause – qui aurait dû être évitée par les militaires polonais – et l’ampleur des morts et des destructions, très inférieure aux légendes de la Deception (Propagande) alliée. On rectifie les bobards sur les chiffres de victimes civiles polonaises en 1939 et l’on présente les tueries d’Allemands vivant en Pologne, qui ont débuté mi-août 1939.

Quelles conclusions peut-on en tirer ?

En 1939, Germains et Polonais rêvaient d’expansion à l’échelle européenne, tandis que les autocrates nord-américain et soviétique croyaient possible la conquête de l’ensemble des États et des Nations de la planète soit par la souriante dictature du capitalisme, soit par celle, plus déplaisante, du communisme bureaucratique – deux doctrines dont les humoristes et les humanistes de l’époque disaient qu’elles « étaient l’exploitation de l’homme par l’homme et son inverse ». Par cette guerre stupide et inutile, l’Europe perdit son rôle d’agent civilisateur. Les nations de la moitié orientale du continent subirent un demi-siècle de barbarie marxiste et celles de la moitié occidentale devinrent de gentils consommateurs vivant dans des succursales des USA. Et tout cela, pour avoir voulu empêcher la direction du Reich de reprendre pacifiquement une terre peuplée à 96-97 % d’Allemands !

Septembre 1939, le suicide de l’Europe, Bernard Plouvier, éditions Dualpha, 392 pages, 43 euros. Pour commander ce livrecliquez ici

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dimanche, 15 septembre 2024

Éric Zemmour ce dimanche sur C News et Europe 1

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17:37 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Fête de L’Huma : les cent millions de morts du communisme ne gênent personne…

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Michel Festivi
 
Comme chaque année en ce week-end de septembre, toute la gauche française et bien au-delà, se retrouve à la fête de l’huma, pour festoyer sur des monceaux de cadavres, et raviver les pics des grands ancêtres.
 
LFI y tient aussi un stand, et son grand timonier, Jean-Luc Mélenchon, appelle ses troupes à un meeting. Fabien Roussel, le conducator du Nord, heureusement battu lors des dernières législatives, rameute ses militants. Or tout le monde sait que sans les subsides considérables des gouvernements successifs, il y a belle lurette que cette feuille de chou, soutien des totalitarismes et du wokisme, aurait cessé de paraître.
 
On me pose souvent la question : mais finalement le Parti communiste n’est plus une force de nuisance, pourquoi s’acharner encore contre lui ? Détrompons-nous, l’idée communiste est toujours particulièrement vivace en France, et il suffit de constater l’immense soutien médiatique et politique apporté à cette « fête » pour s’en persuader.
 
Il se trouve que je reviens d’un séjour dans les Balkans en partant de Budapest. Dans cette capitale si belle aujourd’hui, de cette Europe centrale qui a tant souffert du communisme, sur la place du Parlement, un bâtiment magnifique au demeurant, il se trouve un lieu de mémoire à la gloire de ceux qui à partir du 25 octobre 1956 se sont levés contre la tyrannie rouge, et il fallait avoir un très grand courage pour le faire.
 
Toujours à Budapest, on peut visiter, sur une grande avenue, le musée des totalitarisme, et les 50 années de communisme hongrois y tiennent une place prépondérante. Les photos des 2.000 victimes qui entre le 25 octobre et 4 novembre 1956 furent massacrées ornent des murs, sous un char soviétique qui rappelle l’implication directe de l’URSS dans ces tueries. Cet endroit mémoriel a été créé par Victor Orban en 2002.
 
Les hommes de la police politique communiste n’avaient pas hésité à tirer sur la foule qui s’était rassemblée pacifiquement. Néanmoins dans un premier temps, les leaders communistes hongrois s’étaient enfuis en URSS. Ils reviendront à partir du 4 novembre avec les sbires du KGB et les tanks de l’armée rouge, pour mieux martyriser leur peuple. Des milliers de morts, des milliers d’arrestations, près de 200 000 Hongrois qui vont fuir leur patrie, et ce dans l’indifférence coupable de l’Occident et notamment des USA, qui ne bougeront pas le petit doigt au nom de la coexistence pacifique.
 
On peut lire, dans le sous-sol dédié à la révolte de 1956, un fac-similé du torchon communiste de l’époque, France Nouvelle, titrant scandaleusement « Les atrocités commises en Hongrie par des contre-révolutionnaires » ! Honte à eux et à leurs successeurs.
 
Autre lieu de mémoire de la martyrologie communiste, c’est à Tirana capitale de l’Albanie qu’il se situe. Petit pays de montagne et de côtes découpées situé en face de l’Italie, cette contrée fut de 1944 à 1991 une sorte de Corée du Nord sous la direction génocidaire d’Enver Hodja,  qui fut d’ailleurs étudiant à Paris. Un des pays communistes européens les plus fermés au monde, une prison à ciel ouvert, et ce en pleine Europe, à quelques kilomètres de chez nous finalement.
 
Si vous allez à Tirana, sur la grande place centrale, en face de la belle cathédrale orthodoxe, se trouve un petit bâtiment de brique qui est en réalité un musée des horreurs. Dans ce lieu, sont exposés tous les moyens mis en place en 1944/1945 par la Segurimi, la police politique communiste. C’est dans ce bâtiment que la Gestapo ou la Stasi albanaise œuvrait.
 
Des instruments de torture, des moyens d’écoute pour espionner toute la population, des images de propagande, des cellules, bref tout l’aréopage des tortionnaires communistes. On y apprend que près de 15 % de la population était chargée d’espionner ses propres concitoyens. Les arrestations y furent massives et les exécutions aussi.
 
Mais de tout cela, de tous ces crimes du communisme, ni Fabien Roussel, ni Jean Luc Mélenchon ne parleront car ils ont toujours refusé d’apporter leur voix aux dénonciations des crimes communistes comme l’Holodomor ukrainien qui fit plus de 5 millions de victimes, génocide condamné à plusieurs reprises par le Parlement européen ou le Conseil de l’Europe.
 
Bien au contraire, et très régulièrement, des hommes politiques non communistes comme Édouard Philippe, qui veut devenir président de la République, ou encore Xavier Bertrand, leur apportent leur soutien, les dernières élections législatives l’ont encore démontré. Emmanuel Macron a aussi a encensé le communisme lors de la panthéonisation de Manouchian.
 
Comme l’avait écrit l’historien Marc Lazar, le communisme est toujours « une passion française » et les braises de cette idéologie mortifère sont « encore chaudes » dans notre pays. Elles sont même de plus en plus brûlantes.
 
Dans une déclaration à la Chambre des députés en 1997, interpellé par des parlementaires un peu plus courageux que d’autres, au moment de la parution du livre noir du communisme, le trotskiste alors Premier ministre Lionel Jospin avait prétendu que le PCF, son allié au gouvernement, avait changé. Mensonge d’État s’il en fut.
 
Non seulement le PCF n’a en rien renié son passé sanguinaire, mais désormais avec LFI et le NFP c’est toute la gauche française qui fait sienne cette histoire sanglante qui continue d’ailleurs en Corée du Nord, en Chine communiste, au Vietnam, au Laos, à Cuba et au Venezuela, deux contrées encensées par toutes les gauches françaises et notamment par Jean-Luc Mélenchon.
 
Amnésie du communisme, hypermnésie du nazisme comme aimait à le souligner Alain Besançon. Le nazisme a duré 13 ans, le communisme depuis 1917 a fait bien plus de morts, de déportés, et a dévasté des millions de personnes. Mais le PCF ou ses sympathisants continuent à pérorer sur toutes les chaînes de radio et de télévision. C’est ce paradoxe français qu’il faut en permanence dénoncer. Au surplus toute l’histoire du PCF n’est qu’une suite de trahisons, d’atteintes aux intérêts français, de manipulations comme je l’indique dans mon dernier ouvrage  La désinformation autour du Parti communiste « français ».
 
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12:21 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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07:50 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 14 septembre 2024

Dimanche 6 octobre, en Vendée : Roland Hélie interviendra lors de la réunion du Rassemblement vendéen

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17:06 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rapport Draghi : il faut sortir au plus vite de l’UE, question de vie ou de mort

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Bernard Germain

Mario Draghi, ancien directeur de la Banque centrale européenne (BCE) refait parler de lui. La quasi totalité de la presse s’en est fait l’écho ces derniers jours.

Comme suite à la demande d’Ursula von der Leyen en septembre 2023, il avait été chargé de rédiger un rapport afin d’éclairer la Commission européenne pour qu’elle décide de la politique à conduire pour les 5 prochaines années.

Mario Draghi a remis tout récemment son rapport (400 pages) qui est considéré comme un véritable pavé jeté dans la mare. Et chacun de pousser des oh et des ah à la lecture du document.

Il faut dire que « super Mario » n’y va pas avec le dos de la cuillère pour « sauver » l’Europe.

Il préconise de réaliser « 800 milliards d’euros d’investissements supplémentaires par an » et comme son plan est sur 5 ans, il faudrait donc 4.000 milliards d’euros. Une paille !

Le Figaro du 9 septembre 2024 rapporte que bien conscient de l’énormité de sa proposition : « À titre de comparaison, détaille Draghi dans son rapport, les investissements réalisés dans le cadre du plan Marshall entre 1948 et 1951 équivalaient à 1 à 2 % du PIB de l’UE ».

Plan Marshall qui avait servi à reconstruire l’Europe ravagée au sortir de la Seconde Guerre mondiale.

On me permettra de noter que ces 4.000 milliards d’investissement seront en fait une dette que l’Europe laissera gentiment aux futurs générations et qui s’ajoutera à sa dette déjà colossale.

À ce sujet, Le Point du 24 avril 2024 indiquait que « selon les données publiées lundi 22 avril 2024 par Eurostat, le montant de la dette publique des pays de la zone euro s’élevait fin 2023 à 12.732 milliards d’euros, contre 12.268 milliards un an plus tôt. »… donc approximativement + 500 milliards d’euros en seulement 1 an.

Avec les propositions de Mario Draghi, rien qu’en ajoutant l’investissement, la dette bondirait à 16.700 milliards d’euros. Et si l’on y ajoute, comme vient de l’indiquer Eurostat, 500 milliards d’euros de déficit par an en fonctionnement, on atteindrait le total délirant de 18.700 milliards d’euros. Soit une augmentation du déficit global de plus de 30 % en seulement 5 ans.

Un délire complet

Mais, au fait, quelle est donc la raison qui justifie un pareil remède de cheval afin de permettre de « relancer » l’économie de l’Europe ? Le but annoncé étant de stopper le décrochage de notre continent par rapport à la Chine et les USA.

Effectivement, si l’on compare le PIB de l’Europe à celui des USA, on constate que le PIB de l’UE était de 17 % inférieur à celui des USA en 2002. En 2023, ce différentiel est passé à 30 % en faveur des USA.

Mario Draghi considère donc qu’il faut impérativement que la compétitivité de l’Europe s’améliore fortement sinon notre continent va dépérir et mourir.

Le rapport Draghi découpe la compétitivité européenne en trois secteurs auxquels une attention particulière doit être apportée : l’innovation, la décarbonation, et la sécurité énergétique et économique.

Pour l’innovation, le programme Europe de 100 milliards d’euros a été trop « dispersé à travers trop de domaines, excessivement complexes et bureaucratiques ». C’est Draghi qui le dit.

S’agissant de la décarbonation, l’Europe doit adapter sa transition énergétique et climatique pour en faire une source de compétitivité et non de décroissance comme le souhaite tant les écologistes fous.

Enfin, toujours selon Draghi, s’agissant de l’énergie notamment électrique l’Europe doit revoir sa politique. Si nous prenons l’exemple de l’électricité, nous la payons 2 à 3 fois plus chère que les Américains.

Nous rappellerons au lecteur que cela est dû au fait que l’Allemagne a exigé et obtenu de l’Europe que l’avantage nucléaire français soit supprimé (avec la complicité des écologistes français) en imposant le fait que le prix du l’électricité soit lié à celui du gaz, d’une part. Donc si le prix du gaz dont sont dépendants les Allemands augmente, le prix de l’électricité suit automatiquement d’autant. Avec la guerre en Ukraine et l’arrêt des importations de gaz russe, on mesure la pertinence d’un tel système. Nous avons payé en conséquence.

D’autre part, EDF fut obligée de vendre 25 % de sa production, à prix coûtant, à des « concurrents » qui n’avaient aucune structure de production et qui revendaient cette électricité au prix du marché en encaissant la différence, au nom de la défense de la « concurrence libre et non faussée ». Ce système diabolique ayant pour nom l’Arenh (Accès Régulé à l’Électricité Nucléaire Historique). Toujours en vigueur en France… à notre détriment. Et dont les politiques français ne semblent pas pressés de demander l’arrêt.

Et Mario Draghi de dénigrer tout cela, au grand dam des européistes et de la presse internationale, pour convaincre de ce qu’il affirme aujourd’hui et dénoncer, sans état d’âme et sans vergogne, ce qu’il a lui-même contribué à mettre en place durant la construction de l’Union européenne.

Faut-il rappeler au lecteur que lorsqu’il était directeur de la BCE, il a participé à la tromperie de la finance internationale en affirmant que l’euro était une monnaie « unique » alors qu’elle n’était qu’une monnaie « commune ».

En effet si elle avait avait été une monnaie unique, toutes les banques centrales des pays membres auraient dû disparaître. Or, elles sont toutes restées en place, telle le banque centrale française, nommée « Banque de France ».

Donc l’euro n’était pas une monnaie unique mais une monnaie commune dont la valeur était différente selon les pays, ce qui se matérialisait par des taux d’intérêts différents selon les pays.

De plus, en 2012, Mario Draghi imposa le rachat de dettes des pays du Sud membres de l’UE malgré l’opposition des pays beaucoup plus orthodoxes financièrement (Allemagne, Hollande…).

Ce faisant il confirmait que l’euro n’était pas une monnaie « unique » puisque la mutualisation des dettes était imposée alors que si l’euro avait été une monnaie unique, la mutualisation aurait été naturelle.

On me permettra donc d’émettre plus que des doutes sur la pertinence des prescriptions du docteur Draghi qui, dans une première étape, a contribué à la mise en place de cette Europe qu’il dénonce maintenant et pour laquelle il recommande aujourd’hui un remède qui risque bien de tuer le malade au lieu de le sauver.

En fait, cette Europe est mortifère. Il est urgent de la quitter si nous voulons nous sauver du naufrage et de la mort. Tous les hommes politiques qui s’informent un peu le savent.

Tous savent également que pour nous sauver il n’y a qu’un moyen… activer l’article 50 du TFUE (Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne) dit Traité de Lisbonne afin de quitter cette Europe. Comme l’ont fait les Anglais en 2016 avec le Brexit.

Si nous ne le faisons pas, la fin de l’histoire est écrite d’avance. Seuls les aveugles ne la voient pas.

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09:02 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 13 septembre 2024

In memoriam : DANIEL-LOUIS BURDEYRON (1939-2024)

Burdeyron.jpegCh. D. 

C’est dans la nuit du 6 au 7 septembre dernier que Daniel-Louis Burdeyron a rejoint ce que Jean Raspail nommait sobrement l’Au-delà des mers. Il allait fêter ses 85 ans. Né à Mâcon, Daniel-Louis Burdeyron y avait fait ses études secondaires, au collège des jésuites, avant de séjourner brièvement au Cameroun. Ayant devancé l’appel et intégré un régiment de marsouins, il devait ensuite effectuer son service militaire en Afrique du Nord puis travailler quelque temps comme attaché aux Affaires algériennes. Rentré en métropole, il entreprenait ensuite des études universitaires et obtenait une licence en droit. Il complètera beaucoup plus tard cette formation en obtenant un diplôme de l’Institut de médecine légale et de criminologie clinique de Lyon. Son but était de devenir avocat, mais il dut toutefois patienter quelques années en raison des poursuites judiciaires que lui valut son engagement politique. Farouchement attaché à la défense de la race blanche comme aux intérêts de la nation française et de l’Occident, Daniel-Louis Burdeyron s’était en effet rapproché de la Fédération ouest-européenne de la WUNS (World Union of National-Socialists) que présidait l’Américain George Lincoln Rockwell. Soupçonné des pires intentions, ce mouvement fut vite l’objet des attentions de la police républicaine et en juillet 1964, plusieurs de ses membres, dont Daniel-Louis Burdeyron, furent même placés en garde à vue et inculpés de « complot contre la sûreté de l’État ». Compte tenu des règlements de la profession d’avocat, cette mesure empêchait, dans l’immédiat, le jeune homme d’intégrer le barreau comme il le souhaitait. Il lui fallut donc attendre jusqu’en novembre 1969, date à laquelle un non-lieu fut prononcé. Durant ces cinq ans de purgatoire, Daniel-Louis Burdeyron exerça divers emplois, dans la banque, les assurances, et chez un avoué. Néanmoins, dès que la voie fût à nouveau libre, il prêta serment et rejoignit enfin le barreau de Villefranche-sur-Saône.

En qualité d’avocat, il s’intéressait un peu à tous les domaines mais montrait une nette prédilection pour les affaires pénales et politiques. Il aura d’ailleurs pour clients quelques « célébrités », comme Pierre Clémenti, Mark Fredriksen, Robert Faurisson et Michel Lajoye, ainsi qu’une foule de militants nationaux moins connus. Précisons au passage que pour les amis, surtout les plus modestes, il plaidait souvent gracieusement… Il faut dire que Me Burdeyron restait un homme très engagé : sympathisant de la Fédération des étudiants nationalistes (FEN), d’Europe-Action et du Rassemblement pour la liberté (REL), il fut également membre du Nouvel Ordre Européen (dont il assista aux congrès de Barcelone et Lyon), d’Ordre Nouveau, de France Sociale et de l’Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain (dont il appartenait au bureau rhône-alpin). Collaborateur occasionnel de Rivarol (auquel il était abonné depuis les années 1958-60) et des Écrits de Paris, il donnait aussi des articles à L’Europe Réelle de Jean-Robert Debbaudt, à Peuple et Nation (celui d’Adrienne Tart et celui de Bruno Denis) et Lyon Nationaliste. Quoique fort peu démocrate, il avait également été candidat aux législatives (1981) et aux cantonales (1982) dans une circonscription de Lyon, sous l’étiquette du Rassemblement pour les libertés et la patrie ou tout simplement comme « nationaliste ».

Fort d’un solide bagage classique, Me Burdeyron n’aimait rien tant que ponctuer ses interventions professionnelles de quelques citations bien choisies. Il maniait tout aussi volontiers l’humour et l’ironie. D’un naturel plutôt réservé et nullement pontifiant, il possédait une vaste culture juridique et historique, tout en étant par ailleurs un cinéphile averti, doublé d’un grand amateur de poésie et d’un fin connaisseur de l’œuvre de Balzac. Bref, c’était un honnête homme à l’ancienne. Ajoutons que ces qualités intellectuelles ne l’empêchaient pas de rester très simple et d’un abord facile. Souffrant depuis quelques années de graves problèmes de santé qui le tenaient à l’écart de toute vie sociale, il n’était cependant pas oublié des nationalistes les plus anciens de la région lyonnaise où il est certain que son souvenir demeurera encore longtemps.

DANIEL-LOUIS BURDEYRON … PRÉSENT !

23:00 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Maltraitance institutionnelle

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

En ces semaines post-olympiques propices aux exploits, un nouveau record vient de tomber à l’avantage du gouvernement de Gabriel Attal, démissionnaire au 16 juillet dernier. Avant la nomination de Michel Barnier le 5 septembre dernier, le plus jeune premier ministre du régime a géré les affaires courantes pendant cinquante-et-un jours. Cette durée exceptionnelle dépasse de loin tous les gouvernements de la Ve République dans la même situation et se rapproche de ceux de la IVe.

Cette longueur excessive résulte du caractère profondément psychotique de la Macronie et de son chef, adepte de la procrastination politique. On a déjà oublié qu’entre la nomination de l’équipe gouvernementale d’Attal, le 11 janvier 2024, et l’entrée en fonction des ministres délégués et des secrétaires d’État, le 8 février, presque un mois s’écoula. Là encore, les cabinets ministériels ont souffert de ce laps de temps incompréhensible.

On oublie en outre qu’entre la réélection d’Emmanuel Macron, le 24 avril 2022, et la nomination d’Élisabeth Borne à Matignon, le 16 juin, on observe un écart de cinquante-trois jours, situation qui agaça fortement le premier ministre en exercice d’alors, Jean Castex. Cette détestable façon de procéder semble indiquer que le locataire de l’Élysée serait le maître des horloges. Une belle excuse qui prouve surtout un désir d’humilier ses affidés et un inquiétant narcissisme.

Sous le gouvernement Borne, Aurore Bergé, député des Yvelines, occupait le ministère des Solidarités et des Familles. Sous celui de Gabriel Attal, elle n’est plus que ministresse déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations. Cette rétrogradation est inhabituelle. Certes, on peut reculer dans l’ordre protocolaire, mais pas changer de statut. Cela ne traduit-il pas un sadisme évident de la part de l’exécutif ? On comprend mieux pourquoi cette ancienne juppéiste soutient maintenant l’ancienne socialiste Élisabeth Borne à la présidence du parti présidentiel Renaissance contre, éventuellement, Gabriel Attal...

Emmanuel Macron maltraite aussi la stratégie politique. Les dernières semaines ont montré qu’il n’égalerait pas François Mitterrand qualifié par ses détracteurs de « Florentin ». Macron n’arrive même pas à la cheville du premier président socialiste de la Ve République. Machiavélien, François Mitterrand se serait délecté de l’actuelle situation politique sans pour autant commettre la ribambelle d’erreurs de son très lointain successeur.

Emmanuel Macron se trompe d’abord en changeant de premier ministre en début d’année alors que se profilaient les élections européennes et un éventuel succès pour le Rassemblement national. Le piètre locataire de l’Élysée aurait dû garder Élisabeth Borne jusqu’au 10 juin au moins. Il se trompe toujours en n’imposant pas la tête de liste de la majorité présidentielle. Au lieu de choisir la pauvre et digne Valérie Hayer, il aurait dû contraindre Bruno Le Maire, Gérald Darmanin, voire Gabriel Attal, à prendre cette première place tout en leur permettant de rester ministres. En revanche, en cas de refus répété, il aurait dû les virer de leur poste sans la moindre hésitation.

Emmanuel Macron s’est encore trompé en décidant de dissoudre l’Assemblée nationale au soir du 9 juin. Il tablait sur la désunion durable des forces de gauche et dans un hypothétique sursaut de l’extrême centre. L’opinion publique a principalement compris qu’il cédait aux exigences gratuites de Jordan Bardella. Le microcosme politico-médiatique bruissait de rumeurs sur une éventuelle motion de censure déposée par les Républicains à l’automne prochain lors du débat budgétaire. Or, avec l’ingénierie sociale orchestrée autour des Jeux olympiques et paralympiques, l’actuel chef de l’État aurait pu profiter d’une popularité acquise au cours de ces divertissements de masse afin d’en finir avec la XVIe législature dès la rentrée de septembre. Les 64 médailles françaises lui auraient-elles permis d’obtenir la majorité absolue ? Pas certain…

Une autre erreur d’Emmanuel Macron est de n’avoir pas nommé à Matignon la candidate proposée par le fumeux Nouveau Front pseudo-populaire. Oui, Laurence Tubiana, Huguette Bello, Lucie Castets ou même Madame Michu aurait dû conduire un nouveau gouvernement dès le milieu du mois de juillet. Plus tacticien, Emmanuel Macron aurait convoqué une session extraordinaire des deux chambres dès les premières semaines d’août afin que le Parlement discutât du projet de loi sur l’abrogation de la réforme des retraites. Sachant que le bloc central macroniste aurait aussitôt déposé une motion de censure votée à coup sûr par la Droite républicaine de Laurent Wauquiez, le groupe de Marine Le Pen aurait-il lui aussi voté la censure, quitte à ne pas remettre en cause la réforme calamiteuse des retraites, ou bien ne pas la voter et ainsi aider le gouvernement d’union de la gauche à rester en fonction ? Un dilemme cornélien pour le parti de la flamme tricolore…

Les atermoiements estivaux démontrent enfin l’indécision manifeste d’Emmanuel Macron. Il agit tel un enfant gâté qui, par colère et insatisfaction à l’égard de ses parents, n’hésite pas à casser le jouet qu’ils viennent pourtant de lui offrir. Il n’a pas compris que, malgré ses divisions, ses divergences, ses désaccords profonds, la gauche a l’habitude de s’entendre et de s’unir dès que les circonstances l’imposent. Cette cohésion idéologique n’existe pas au centre (les radicaux sont les ennemis historiques des démocrates-chrétiens), ni bien sûr chez les droites buissonnantes d’une incontestable diversité idéologique, intellectuelle et politique.

Il faut maintenant craindre que ces maltraitances politiques se poursuivent, s’amplifient et s’incrustent dans une pratique désormais dysfonctionnelle des institutions. Le mois de septembre ne risque pas d’être chaud que sur le plan social. Il est probable qu’il soit brûlant en politique et même incandescent au niveau institutionnel.

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°124, mise en ligne le 10 septembre 2024 sur Radio Méridien Zéro.

15:46 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’inquiétant bilan migratoire

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Nicolas Pouvreau-Monti, le directeur de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie dresse un bilan comparatif des chiffres de l’immigration en Europe. Les migrants accueillis en France sont moins intégrés aussi bien culturellement que sur le marché du travail, souligne-t-il.

Lire la suite ICI

Source : Le Figaro 13/9/2024

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jeudi, 12 septembre 2024

Deux rendez-vous avec Michel Festivi

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À mort la bébête à béret pourtant déjà morte !

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La chronique de Philippe Randa

Ah ! la sale bête d’abbé Pierre !

D’autant plus sale et bête qu’il fut tant admiré, tant soutenu, et, diront certains mauvais esprits, d’autant plus qu’il leur a bien rapporté de son vivant : aux politiciens, saltimbanques et people une notoriété certaine et à moindre frais ; aux cadres du mouvement Emmaüs et de la Fondation Abbé-Pierre des emplois gardés et des notes de frais : la misère, c’est comme l’amour, on ne compte pas davantage ce qu’on reçoit que ce qu’on donne.

Mais autres temps, autres mœurs, l’époque est aujourd’hui au dézinguage tous azimuts des statues, surtout, semble-t-il, celles qui furent peut-être trop adulées.

L’indignation est désormais obligatoire ; même les bobos et l’extrême gauche sont brusquement bien silencieux envers cet abbé qu’ils avaient porté aux nues, même lorsqu’il avait déjà déclenché quelques suspicions au siècle dernier pour son soutien au philosophe communiste Roger Garaudy. Celui-ci était alors dans la tourmente médiatique pour des remarques historiques jugées scandaleuses sur la relativité des génocides. Le quotidien Libération n’avait-il pas titré le 22 avril 1996 : « Le dérapage incontrôlé de l’abbé Pierre. Son soutien au négationnisme de son ami Garaudy provoque la stupeur » ?

Le faux pas fut vite oublié, ce qui lui permit d’avoir bien du beau monde à ses funérailles comme l’a relaté Le Monde, autre quotidien de la bien-pensance (forcément lui aussi en 2024 dans la curée contre la Bête immonde) : « Le président Jacques Chirac était assis à quelques mètres, dans un fauteuil. (…) Suivaient les rangs du gouvernement, presque au complet, avec notamment le premier ministre, Dominique de Villepin, Michèle Alliot-Marie, Jean-Louis Borloo et Nicolas Sarkozy, qui a essuyé des sifflets sur le parvis de la cathédrale. Ont également assisté à l’office l’ancien président Valéry Giscard d’Estaing, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, le président du conseil régional d’Île-de-France, Jean-Paul Huchon, le président de l’Assemblée nationale, Jean-Louis Debré. Venaient ensuite des rangs réservés aux personnalités des arts et du spectacle – on y distinguait Robert Hossein, Laeticia Hallyday, Jean Reno, Lambert Wilson, Marek Halter,… »

C’est que tous ceux-là ne « savaient pas ». Bien sûr. Bien entendu. Il considérait alors Henri Grouès, de son vrai patronyme, comme bien sous tout rapport… certes, de leur point de vue en tout cas, mais sauf sous les jupes des filles comme on nous l’a donc appris !

C’est que le donneur de leçon qu’il fut sa vie durant aurait pu inspirer Marcel Gotlib pour son célèbre personnage de bande dessinée Pervers pépère : un « honorable vieillard » très excessivement porté sur la bagatelle…

Très excessivement ? Voire, car il semble que les turpitudes de l’infâme ne se soit finalement limitées, en de-ça et au-delà de l’Atlantique, qu’à quelques tripatouillages, certes récurents, entre « Pouet pouet camions » au-dessus du nombril et « main au panier » au-dessous des reins, mais les dames auraient peu apprécié de telles manières, ce qu’on peut comprendre.

Des goujateries, donc, soigneusement gardées sous silence des décennies durant, mais pour lesquelles les intéressées demandent brusquement aujourd’hui répérations. Morales éventuellement, mais surtout sonnantes et trébuchantes autant que faire se peut, devine-t-on… et comme il est impossible de juger la bête après sa mort – comme c’est ballot – c’est donc ses collaborateurs et « tous ceux qui savaient » qui se retrouvent aujourd’hui dans le collimateur des inquisiteurs du Nouvel Ordre moral et peut-être bientôt dans celui d’une Justice sommée de se soumettre à leurs jugements, fussent-ils rétroactifs.

« Tous ceux qui savaient… », fort bien… mais les premières qui ont sû, ne sont-elles pas justement toutes celles qui, d’un côté comme de l’autre de l’Atlantique, n’ont pas jugé opportun alors de calotter le malapris, ce qui lui aurait peut-être passé l’envie de recommencer et de faire d’autres « victimes » ? En déclenchant alors le scandale, son entourage aurait-il pu faire autrement que d’intervenir et, si nécessaire, l’obliger à se faire, pourquoi pas ! soigner, tel le premier excité de la braguette venu ?

N’ont-elles pas leur part, toute leur part et la plus grande part finalement de responsabilité dans les multiples dérapages de la Bébête à béret ?

D’ici à ce que de telles « victimes », ayant tant tardées à vouloir laver leur honneur, finissent par s’entre-dénoncer et s’entre-judiciariser, il n’y a qu’un pas… ou un ricanement, comme celui que pépère doit avoir, là où ses mains baladeuses reposent… ou ne se reposent peut-être toujours pas, qui sait !

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L'enjeu américain

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Guillaume Debré, fils de Jean-Louis, journaliste, a longtemps été correspondant de TF1 aux Etats-Unis. Il est aujourd’hui directeur général de la chaîne LCI. C’est un fin connaisseur d’un pays dont les Européens ont tout lieu de se méfier. Mais l’Amérique a beaucoup changé, sociologiquement et surtout idéologiquement. Guillaume Debré a d’autant plus observé la société américaine d’aujourd’hui qu’il est marié avec l’une de ses filles. Ses beaux-parents sont des Républicains purs et durs. Dans cet entretien au Figaro, il dresse le portrait de ce qu’est aujourd’hui la société américaine sur fond de guerre fratricide entre Républicains et Démocrates. Raison pour laquelle cette future élection présidentielle nous interpelle. On n’ira pas se plaindre du déclin américain.

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Source : Le Figaro 12/9/2024

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mercredi, 11 septembre 2024

LE NOUVEAU LIVRE DE BERNARD GERMAIN, "DÉMASQUER LA GAUCHE, CETTE IMPOSTURE PERMANENTE", EST PARU

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Bernard Germain a dédicacé ce mercredi après-midi les premiers exemplaires de son livre.

Un entretien avec Bernard Germain, publié dans le n°67 cliquez ici de la revue Synthèse nationale :

Bernard Germain, déjà auteur de plusieurs livres édités par Synthèse nationale cliquez ici dont le dernier en date, L’Union européenne, en sortir au plus vite !, qui a rencontré un franc succès, publie à la rentrée un nouvel ouvrage consacré à la gauche et à ses turpitudes.  Notre Ami sait de quoi il parle puisque, dans sa jeunesse, il a lui-même milité « à gauche de la gauche »… Nous lui avons posé quelques questions.

En cette rentrée 2024, votre nouveau livre « Démasquer la gauche… cette imposture permanente » va sortir. Pourquoi ce livre ?

L’actualité depuis les élections présidentielle et législatives de 2022 a été particulièrement riche en évènements qui ont placé la gauche à maintes occasions sur le devant de la scène. Ainsi, l’instauration de la NUPES, la réforme des retraites, les affrontements ultra violents à Sainte-Soline, les émeutes des banlieues, le massacre du 7 octobre en Israël, le déferlement d’antisémitisme en France, la crise agricole, le développement incroyable de l’insécurité, l’invasion migratoire totalement incontrôlée, l’élection européenne, la dissolution de l’Assemblée nationale et les élections législatives à la suite avec apparition du Nouveau Front populaire (NFP)… etc.

Sur tous ces sujets la gauche a défendu et défend des positions pour le moins étonnantes et souvent très préoccupantes, voire inquiétantes. Il m’a donc semblé intéressant d’étudier ces positions et d’essayer de comprendre le fil conducteur de ces opinions au travers de tous ces évènements.

Vous vous dites inquiet des positions défendues par la gauche. Mais n’étiez-vous pas de gauche vous-même ? Qu’est-ce qui vous inquiète aujourd’hui ?

Effectivement, lorsque j’ai commencé très jeune à faire de la politique je me suis orienté à gauche. Comme tant d’autres jeunes, je voulais un monde meilleur, plus juste… etc. J’étais plein de bonnes intentions et surtout d’illusions. Reste que tout le monde peut faire des erreurs, j’en suis un exemple vivant. Mais j’ai vite compris que ce choix n’était pas le bon notamment en constatant dès le début la contradiction flagrante entre le discours et les pratiques à gauche en termes de démocratie et modes de fonctionnement des structures politiques. J’ai donc rapidement quitter la gauche… sans regret.

Ce qui m’inquiète ce sont les positions de la gauche actuelle. Par exemple elle ne redoute pas d’afficher un antisémitisme décomplexé, tout comme elle réclame sans aucune gène de pouvoir bâillonner toute opinion qui n’est pas la sienne, elle insulte en permanence ses opposants en les traitant de fascistes et recourt régulièrement et sans état d’âme à la violence. Tout cela m’apparaît dangereux et surtout ne correspond pas à l’image que l’opinion publique se fait de la gauche, qui est souvent vue comme un regroupement de gens généreux, pour la justice sociale, défendant la démocratie. Ce qui est en totale contradiction avec ce que nous voyons quotidiennement. Cela mérite donc d’être dénoncé.

Dans votre livre, en plus de tous ces problèmes d’actualités, vous avez accordé plusieurs chapitres à de nombreux thèmes qui sont d’ailleurs l’objet de polémiques entre la droite et la gauche. Pourquoi et quelle en est l’importance ? Pourquoi parler d’imposture ?

Il m’a effectivement semblé indispensable de revenir sur de nombreux thèmes, afin de rétablir les faits et donc la vérité. En effet, si nous prenons le thème de la colonisation la plupart des gens pensent que c’est la droite qui l’a voulue. Or c’est la gauche et pour des raisons qui aujourd’hui feraient dresser les cheveux sur la tête. À l’époque la gauche justifiait la colonisation dans les termes que Jules Ferry donne dans un discours le 28 juillet 1885, « Il faut dire ouvertement qu’en effet, les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures ; mais parce qu’il y a aussi un devoir. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures. ».

Donc la France qui a connu les lumières et la révolution de 1789 avait un « devoir » de coloniser les pays qui n’ont pas eu cette chance afin de leur permettre de s’élever à notre niveau.

Incroyable, n’est pas ? Et pourtant cette position a été celle de la gauche pendant des dizaines d’années.

Il en va de même du prétendu pillage des pays colonisés que la France aurait commis et qui justifieraient de nos jours repentance et dette vis à vis de ces pays. Or c’est exactement l’inverse. La France a dépensé des fortunes pour ses colonies, qui n’ont duré qu’une soixantaine d’années au total (excepté l’Algérie). La vérité c’est que la France serait plutôt en droit de présenter la note à tous ces pays.

Donc lassé d’entendre tous ces mensonges sur nombre de sujets et de constater que la gauche ré-écrit constamment l’histoire en s’y donnant chaque fois le beau rôle même si en réalité elle a fait l’inverse de ce qu’elle prétend, j’ai repris ces grands sujets et j’apporte les éléments qui montrent l’ampleur des mensonges que la gauche véhicule.

L’ensemble de ces éléments me permet d’affirmer que l’idéologie de gauche est une incroyable imposture.

La gauche d’aujourd’hui a-telle quelque chose à voir avec la gauche des origines ?

C’est l’autre grand thème que je traite dans mon livre. La gauche est apparue dans la seconde moitié du XIXe siècle en relation avec la révolution industrielle et la création du prolétariat. À l’époque et pendant des décennies sa grille de lecture de la société et de ses problèmes a été la « lutte des classes ».

Durant cette période et jusqu’en 1970-1980 nous avons connu une gauche « à l’ancienne » avec la création de la sociale démocratie et du communisme.

La première grande modification va intervenir en 1981 avec l’arrivée de Mitterrand au pouvoir, plus exactement 1982 et sa conversion au libéralisme. À ce moment le PS va réaliser son « Bad Godesberg » et totalement changer de nature. Ce sera encore la gauche mais sans rapport avec la gauche « à l’ancienne ». Cette évolution se doublera de son implication dans la construction d’une Europe supranationale en particulier avec l’action de Jacques Delors, socialiste français lui-même.

La dernière mutation se fera à partir de 2011 avec le rapport Terra Nova qui prône l’abandon du socle électoral historique des couches populaires qui ont migré vers le FN devenu RN et son remplacement par un nouveau socle électoral constitué des jeunes, des femmes, des immigrés et des minorités notamment sexuelles.

Cette évolution se fait en parallèle du développement du wokisme en France, spécialement dans toutes les structures pouvant être estampillées de gauche.

Aujourd’hui la « lutte des classes » a été remplacée par la « lutte des races ». L’ennemi n’est plus le patron ou le bourgeois, mais le blanc.

La gauche s’appelle toujours ainsi, mais n’a plus rien à voir avec la gauche « à l’ancienne ».

À qui est destiné ce livre ?

Il est destiné d’une part aux gens de gauche qui ne veulent plus vivre dans cette prison idéologique où ils sont enfermés et dans laquelle il faut croire sans jamais réfléchir ni chercher à vérifier si ce qu’on vous dit est vrai ou pas. Ces personnes de gauche qui auront le courage de lire ce livre vont tomber sur quelques éléments qui ne les laisseront pas intacts et feront obligatoirement vaciller nombre de leurs certitudes.

D’autre part, ce livre s’adresse à tous les gens qui veulent se battre pour sauver notre pays, son peuple, sa culture et son identité. Ces personnes n’ont pas forcément les arguments lors de discussions face aux représentants de la gauche ou lors de réunions pour convaincre l’auditoire.

Ceux-là trouveront dans ce livre une foule d’arguments qui les aideront à mener leur combat.        

Propos recueillis par Guirec Sèvres

Démasquer la gauche… cette imposture permanente, Bernard Germain, Synthèse nationale, 390 p., 25,00 sortie août 2024.

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Parution prochaine du nouveau numéro (n°67) de la revue Synthèse nationale

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Sommaire N°67 •  AUTOMNE 2024

P 2 : ÉDITORIAL  Roland Hélie

P 6 : LA CHUTE DE LA MAISON MACRON  Maurice Bernard

P 10 : ENCORE UN EFFORT CAMARADES  Didier Lecerf

P 14 : 22, V’LÀ LE GRAND CIRQUE ANTIFASCISTE QUI REPASSE.  Alexis Murbas

P 18 : LE CAS RAPHAËL ARNAULT. Maurice Bernard

P 22 : DÉNONCER LE PC « F »  Rencontre avec Michel Festivi

P 27 : DÉMASQUER LA GAUCHE. Rencontre avec Bernard Germain

P 30 : OUVERTURE DES JO : BRANCHITUDE ET HUMANITUDE. Maurice Bernard

P 39  : AVORTEMENT : ACTE MÉDICAL OU GÉNOCIDE. Erwan Houardon

P 45 : LA CHRONIQUE DE PHILIPPE RANDA

P 49 : L’UNION EUROPÉENNE CONTRE L’EUROPE.  Robert Neboit

P 53 : UN GLISSEMENT VERS LA GUERRE Jean-Claude Rolinat

P 67 :  VERS L’EFFONDREMENT TOTAL   Nicolas Zahar

P 80 : NOS AMIS LES LIVRES  François Floc’h

P 86 : LES LIVRES AU CRIBLE  Georges Feltin-Tracol

P 94 : BIOGRAPHIES LITTÉRAIRES  Daniel Cologne

P 99 : LES FLANERIES DE SCIPION DE SALM

P 104 : LA LIBRE CHRONIQUE. Charles-Henri d’Elloy

P 107 : LES PAGES DU MARQUIS  Jean-Paul Chayriges de Olmetta

P 113 :  BULLETIN D’ABONNEMENT

Et bien d'autres rubriques...

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Un reportage sur la Fête du cochon du PdF dimanche dernier en Bretagne

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23:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi 19 septembre, à Nantes :

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mardi, 10 septembre 2024

Thierry DeCruzy présente la première émission de Musique & Dissidence sur Radio Courtoisie.

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Une émission de 1h30 sur le rôle de la musique et la situation sur le front culturel musical. Ausländer rausJe partira pas, Blagodariov et Aya aux JO illustrent l'importance de la musique dans l'actualité politique.
 
Au programme, une présentation de la nouvelle émission et de son directeur. En 2021, il avait réalisé le hors-série du quotidien Présent, Musique combat identitaire. En 2022, il avait publié Démondialiser la musique aux éditions de la Nouvelle Libraire.
 
Invités : Louis-Antoine catholique pour présenter ses chansonnades sur les marchés de la France rurale, son premier album et le prochain.
 
Bruce du groupe La rose et l'épée qui vient de diffuser son premier album. Issu des Brigandes, c'est l'occasion de présenter le nouveau livre de Thierry DeCruzy, Les Brigandes, phénomène musical de la dissidence, préfacé par Brigitte Bardot et édité par Synthèse nationale cliquez là.
 
Elle est en écoute libre pendant une semaine, en principe : cliquez ici
 
Si elle vous plait, faites la connaître à vos contacts. Nouvelle émission prévue dans un mois.
 

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00:37 Publié dans CD, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 09 septembre 2024

Les Bretons (et quelques autres) se sont retrouvés nombreux à la Fête du cochon du PdF dimanche

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La pluie n'a pas dissuadé les nationalistes et les identitaires de Bretagne de se retrouver nombreux dimanche à la traditionnelle Fête du cochon organisée par la Fédération du Parti de la France dirigée par Jean-Marie Lebraud.

Repas de (grande) qualité, nombreux stands parmi lesquels ceux de Synthèse nationale et de Francephi, présence d'auteurs, tels Philippe Randa, Bernard Germain ou le dessinateur Ignace qui dédicaçaient leurs ouvrages, délégation du Rassemblement vendéen conduite par son président, Eric Mauvoisin-Delavaud, beaucoup de jeunes étudiants rennais et brestois, une animation musicale entraînante faite par le chanteur Christophe BZH et, bien sûr, les interventions très attendues de Pierre Cassen (Riposte laïque), Roland Hélie (Synthèse nationale), Eric Mauvoisin-Delavaud et de Thomas Joly, président du PdF.

Une journée très sympathique qui prouve, s'il en était encore besoin, la combativité et l'esprit de camaraderie qui existe, au-delà des organisations et des sensibilités, au sein de la droite de conviction bretonne. Tous se quittèrent dans la soirée dans l'impatience de se retrouver encore plus nombreux l'an prochain...

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Michel Barnier, hélas !

Le billet de Patrick Parment

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Peut-on demander à une belette de se transformer en lion ? Que nenni a priori. C’est pourtant ce qui devrait se passer pour notre nouveau Premier ministre Michel Barnier. L’homme se veut gaulliste social – la bonne idée que fut la participation est un échec -, mais c’est surtout un centriste qui comme tout bon centriste ne veut froisser personne. Certes, face au Brexit anglais, il a joué les Jeanne d’Arc ! Mais il a préservé une institution qui est aujourd’hui un handicap pour les peuples et les nations européens. Cette Europe de l’uniformisation est un non-sens face à la diversité culturelle de notre continent. Mais, revenons à la France. On voit mal comment, malgré toute sa bonne volonté, Michel Barnier effacerait d’un trait trente ans et plus de pleutrerie politique, d’idéologie gauchisante et masochiste, d’interprétation irréelle du racisme, d’immigration incontrôlée et surtout de soumission à un islamisme conquérant qui gangrène nos institutions.

Pour redresser ce pays, il faudrait une grande ambition. Les Français ne demandent qu’à être convaincus. Mais rien dans la carrière carriériste de Michel Barnier ne laisse présager d’une ambition de renverser la table, de jouer les Bonaparte au pont d’Arcole. Michel Barnier appartient génétiquement à cette génération de politicards qui a mis délibérément les choses qui fâchent sous le tapis. Quand on pense que tous – sauf peut-être Balladur -, se sont inclinés devant cet imbécile de Chirac et son sicaire Alain Juppé en dit long sur leur capacité de réflexion et de courage. Loin de nous l’idée de flinguer d’emblée Michel Barnier, mais il est face à un champ de ruines, une classe politique idiote et imbécile où le frapadingue Mélenchon est en liberté, où la mère Le Pen n’a aucune idée, aucune vision de la France et de la société française. Quant à Bardella, il n’est passé par aucune de nos familles politiques qui arment nos jeunes au combat politique et culturel. Marine Le Pen s’est empressée de mettre à la poubelle tout l’héritage intellectuel de son père. Son parti, qui est un simple « gueuloir » n’offre aucune perspective autre que de fournir aux Français la possibilité de manifester leur rejet de cette classe politique. On imagine mal Madame Le Pen faire la synthèse des œuvres fort éclairantes de Christophe Guilluy, Jérôme Fourquet, Emmanuel Todd, Jean-Claude Michéa, Michel Onfray et consorts. Certes, il ne manquera jamais un énarque pour tenter de se faire une place au soleil. Mais tout cela ne fait pas une politique. Comme le notait fort justement le philosophe Alain de Benoist lors de l’une de ses contributions, ce qui manque à nos hommes politiques, c’est le courage. Ce que résumait Jean-Marie Le Pen d’un tonitruant : « On cherche un homme avec une paire de c… ». Si d’aventure, Michel Barnier parvenait à simplement limiter les dégâts, alors nous lui porterons crédit. 

10:27 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cette société qui coupe l’envie de se dépasser

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Allez camarades, un petit effort de réflexion avant la rentrée du chaos politique qui nous attend. Tout ce foutoir a une raison profonde : on a oublié toutes les valeurs qui ont fondé notre civilisation. Et notamment le dépassement de soi. Sans parler du courage, notamment en politique. Valeurs actuelles a interrogé durant tout le mois d’août différentes personnalités sur des sujets divers. En dernier lieu, le philosophe et essayiste Alain de Benoist, l’un des esprits les plus éclairés et des plus pertinents de ce qui reste de notre petit monde dit intellectuel. Notre mal être fondamental, nous dit-il,  vient de l’idée même de ce que le monde dit moderne se fait de la personne humaine : un simple consommateur. .

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Source : Valeurs actuelle, 22/8/2024

09:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 08 septembre 2024

L'UDT de Reconquête! comme si vous y étiez...

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23:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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10:47 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 07 septembre 2024

Demain, dimanche 8 septembre, le dessinateur Ignace sera à la "Fête du cochon" du PdF Bretagne

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Les dessins d'Ignace en albums cliquez ici

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Le Forum du Parti de la France du 5 septembre avec Roland Hélie et Iannis Moriaud

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11:04 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 06 septembre 2024

Un nouveau recueil des chroniques de Charles-Henri d'Elloy sur Radio Courtoisie : "Au bal des facétieux"

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Les lecteurs de Synthèse nationale connaissent bien Charles-Henri d'Elloy. Depuis une quinzaine d'années, il nous régale dans chaque livraison de notre revue avec sa chronique grinçante et pertinente très appréciée de tous.

De plus, nous avons édité trois livres de notre ami : 

Petit abécédaire d'un Français incorrect... et quelques joyeuses impertinences, 2015, cliquez là

Les enfants de Maastricht, 2017, cliquez ici

•  Le procès de Jupiter, 2022, cliquez ici

Charles-Henri d'Elloy anime aussi une émission sur Radio Courtoisie. Il vient de publier un recueil de ses chroniques, intitulé "Au bal des facétieux" sur cette radio. 

Voici la note de présentation de l'éditeur (Une autre voix) de ce recueil :

Découvrez « Au bal des facétieux », le nouveau recueil explosif de Charles-Henri d’Elloy !

Dans ces 81 chroniques audacieuses, l’auteur vous entraîne dans un tourbillon d’idées provocantes et de réflexions percutantes sur notre société. Avec l’esprit d’un Cyrano moderne, d’Elloy bouscule le politiquement correct et vous fait voir le monde sous un nouveau jour.

De la nostalgie touchante aux critiques cinglantes, en passant par des anecdotes savoureuses, chaque page vous interpelle et vous fait réfléchir. Certaines chroniques ont été acclamées, d’autres censurées, mais toutes portent la marque d’un esprit libre et incisif.

Préparez-vous à une lecture stimulante, drôle et parfois dérangeante. « Au bal des facétieux » vous invite à une danse endiablée au rythme des idées de Charles-Henri d’Elloy. Osez entrer dans la danse !

Pour le commander cliquez ici

19:30 Publié dans Charles-Henri d'Elloy, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La municipalité de La Roche-sur-Yon encourage la propagande immigrationiste

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Réaction du Rassemblement vendéen :

Pour cette énième  tentative de rassemblement des foules autour d'un plaidoyer pro-migrants, le nouveau cinéma Concorde de La Roche-sur-Yon (85), financé avec l'argent du contribuable avec la complicité de la municipalité, dirigé par une équipe islamo-gauchiste très soutenue par le maire de la ville, Luc Bouard, sort donc l'artillerie lourde : présentation en grande pompe du film "L'histoire de Souleymane"...
 
Si, avec cette mayonnaise de bons sentiments mondialistes et immigrationnistes le public persiste à bouder l'ouvrage, c'est à n'y rien comprendre...
 
Car dans les steppes arides des salles de cinéma projetant les spots publicitaires pour l'immigration tous azimuts, le temps est venu de trouver un remède à la désertification. Avec "L'histoire de Souleymane", l'appel à l'empathie est monté d'un cran... À votre bon cœur citoyens vendéens...
 
Éric Mauvoisin-Delavaud 
Président du Rassemblement vendéen

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Un bien inutile « Haro sur le Barnier ! » 

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Bernard Plouvier

Pour une fois, le Président Macron a surpris en prenant une sage décision. Il a écarté d’un revers de main une coalition « de gauche », disparate et sans majorité de gouvernement, car sans autre programme que les gesticulations de l’absurde Mélenchon et de ses pom-pom girls wokistes, genristes, immigrationnistes, hystériques… en un mot : passéistes.

Avec Barnier, on pourrait gouverner du Centre macronien au Mouvement national, pour mettre fin à l’insécurité meurtrière et aux trafics divers qui fleurent bon le banditisme immigré : trafics de stupéfiants, d’armes et de prostituées, assassinats et crimes gratuits au couteau ou à l’arme de poing.

Avec Barnier, on pourrait décider de modifier la Constitution en passant au scrutin proportionnel pour les élections législatives et municipales, comme cela se fait pour les européennes.

La preuve est faite que la multiplication presque indécente des partis et l’émiettement des votes rend la pays, sinon ingouvernable, du moins en proie à la fête des fous – variante politique de la fièvre du samedi soir, où brûlent les voitures et où l’on s’entretue dans ou près des boîtes de nuit. 

Macron, qui a tout loupé – et dans les grandes largeurs -, pourrait finir en beauté grâce à un changement de régime électoral permettant à la volonté populaire de désigner réellement quel programme de gouvernement appliquer pour sortir du marasme économique : réindustrialiser le pays, assainir le néo-peuplement d’origine extra-européenne, faire respecter la Loi dans son intégralité, revigorer les campagnes et les petites villes laissées à l’abandon par des « services publics », davantage préoccupés de réparer les dégâts permanents induits par une jeunesse dévoyée et très inutilement importée d’autres continents.

À trois reprises, en juin-juillet de cette année, la Nation s’est exprimée, mais le total des voix n’a pas été pris en compte et le Parlement s’est enrichi de gens bizarres, élus par des grenouillages d’un autre temps. Les temps sont pourtant révolus de l’anarchie entretenue par le millier (Chambre + Sénat) de petits rois ambitieux, qui se comportent en roquets et en fofolles.

Si l’on veut sauver le système démocratique, il faut que chaque voix compte, que chaque citoyen puisse s’exprimer librement – sauf calomnie et pornographie, cela va sans dire. Mais il est consternant de constater que calomnies et pornographie se portent fort bien, alors que tout va mal dans le pays !

Un vieux « général de TSF », qui s’est surtout signalé par ses aptitudes à créer et entretenir la guerre civile, a osé dire un jour : « Moi ou le chaos ». Dans la situation réellement explosive de notre pays, il ne reste que deux éventualités :

• Ou bien, les politiciens comprennent qu’il est temps de respecter l’expression du vote populaire,

• Ou bien, l’on assiste à l’insurrection d’une Nation opprimée, envahie, salie et abandonnée par ses « élus » et ses « élites ».  

11:03 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 05 septembre 2024

L'européiste Michel Barnier à Matignon

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Un communiqué de Thomas Joly, président du Parti de la France

Après des consultations qui ne paraissaient plus avoir d'issue, Emmanuel Macron a enfin procédé à la nomination d'un nouveau Premier ministre en la personne de cette vieille ganache de Michel Barnier.

Ce technocrate européiste est un véritable alimentaire de la politique, n'ayant jamais travaillé de sa vie en dehors de ses mandats et de ses postes ministériels.

Archétype de la fausse droite qui a tout trahi et tout renié, ce fade septuagénaire est parfaitement compatible avec le macronisme.

Reste à savoir combien de temps son gouvernement va durer avant de se faire censurer par les parlementaires.

L'objectif que lui a assigné le président de la République est sûrement l'immobilisme le plus total. Toutefois, à ne vouloir fâcher personne, on finit souvent par fâcher tout le monde.

Souhaitons de tout cœur la chute rapide de ce régime à bout de souffle, incapable de répondre aux préoccupations des Français.

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Ce soir, jeudi 5 septembre, à 21 h, Roland Hélie invité au Forum du Parti de la France : TOUS SUR TELEGRAM !

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Le Forum du Parti de la France démarre sa nouvelle saison ce jeudi 5 septembre ! Pour cette émission de rentrée, Alexandre Hinger reçoit Roland Hélie (Directeur de Synthèse nationale) et Iannis Moriaud (membre du Bureau politique du PdF).
 
L'émission sera consacrée aux événements de l'été et à l'actualité politique.
 
C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram : cliquez ici 

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ALAIN ESCADA : "VOILÀ POURQUOI LUCIFER CONTRÔLE LA FRANCE"

Alain Escada analyse pourquoi les élites ne se cachent plus derrière ces symboles occultes et comment cela reflète une volonté délibérée de banaliser des idéologies contraires aux valeurs traditionnelles. Le débat couvre également le rôle des grandes organisations internationales, telles que le Forum économique mondial et les Jeux Olympiques, dans la diffusion de ces messages occultes, et pourquoi une partie de la population semble indifférente ou même complaisante face à ces manifestations.

Le live aborde également le manque de réaction des Français face à ces symboles, en explorant comment la manipulation médiatique et culturelle a contribué à une société apathique, insensible aux déviations morales et spirituelles. Alain Escada souligne l'importance de réveiller les consciences et de résister à cette influence qu'il perçoit comme une attaque contre les fondements de la civilisation occidentale.

Pour ceux qui cherchent des moyens concrets de lutter contre ce qu’Alain Escada décrit comme un système démoniaque, l’émission propose des pistes d’action et des réflexions sur la nécessité de réaffirmer les valeurs chrétiennes et de rejeter les symboles occultes dans la vie publique.

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