samedi, 06 juillet 2024
Diabolisation du RN : à quand la date limite de péremption ?
La chronique de Philippe Randa
Il y avait une question – plaisanterie ou vérité, comme on voudra – qui circulait au sein du Front (devenu Rassemblement) national au siècle dernier :
— Qu’est-ce qu’un électeur du FN ?
Réponse :
— Un ancien électeur communiste qui s’est fait voler trois fois son auto !
On riait de bon cœur, comme quoi la triste réalité du quotidien en disait parfois davantage que de longs discours, et en tout cas beaucoup plus que de coûteuses enquêtes de cabinets internationaux de conseil en stratégie tels McKinsey & Company.
En 2024, l’inquiétude de l’électeur français va bien au-delà de son automobile volée (ou dégradée) : les victimes de violences physiques en 2023 s’élèvent à 444 700 (1), sans compter la paupérisation de la classe moyenne : autiste, la caste macroniste au Pouvoir depuis 7 ans – 7 ans déjà ! – est bien la seule à ne rien remarquer… ou à s’en moquer !
Et pourtant ! Durant la campagne des élections européennes d’abord, des élections législatives ensuite, quel discours – seul, unique et inlassablement rabâché – a-t-on entendu de la part des « deux » blocs – Centre macroniste et Gauche du Nouveau Front populaire – face aux succès électoraux annoncés, puis concrétisés, du Rassemblement national ? Le même que depuis plus de quarante ans et les premiers succès électoraux du Front national en 1983 : la diabolisation outrancière !
Certes, cette diabolisation a empêché l’arrivée aux Affaires des dirigeants frontistes. Avec une efficacité indéniable. Mais toute tromperie ayant une date limite de péremption, l’éternelle comparaison du Rassemblement national avec les hommes et partis des heures décrétées les plus sombres d’une histoire sans être instrumentalisée, semble avoir fait définitivement long feu en ce printemps ; du moins pour quelque 10,6 millions d’électeurs !
Ce qui devrait faire réfléchir ses ennemis politiques et les inciter à changer radicalement de stratégie. Mais non. Le dernier leitmotiv électoral n’est-il pas d’effrayer les Français en les assurant que pour la première fois, l’extrême droite « menace » de revenir au Pouvoir depuis le gouvernement de Vichy en 1940 ?
On verra, au soir du 7 juillet prochain et de la composition définitive de la nouvelle Assemblée nationale, si une fois encore ou une fois de trop, un tel délire empêche à nouveau la fin d’un monde politique failli… ou si au contraire, il en est fini d’une imposture médiatique et politique dont UMPS d’antan tout autant que Macronie et NFP actuels ont tant usé et abusé sans vergogne.
Reconnaissons, une fois n’est pas coutume, la lucidité de l’ancienne secrétaire d’État Marlène Schiappa qui a déclaré le 13 juin 2024 sur Cnews : « Dire aux gens que nous sommes les gentils et que les extrêmes sont les méchants, ça ne convainc personne. »
On ne saurait mieux dire.
Note
(1) Selon une étude du service statistique ministériel de la Sécurité intérieure.
10:22 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
01:21 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 05 juillet 2024
Prisca ou la quintessence de la clairvoyance macronienne...
- le 3 Juillet, elle a peur de se faire agresser par l'extrême droite car elle est métissée.
- le 4 Juillet, elle se fait agresser pendant sa campagne de collage d'affiches.
Les quatre individus interpellés et placés en garde à vue :
1) Jugurtha B, 20 ans, né à Meudon (92), Français, "type nord africain", préparateur de commandes intérimaire, habite à Meudon (92), "très défavorablement connu des services"
2) Un mineur de 17 ans, né à Sèvres (92), Français, "type nord africain", habite à Meudon (92)
3) Un mineur de 16 ans, né à Colombes (92), Français, "type nord africain", habite Meudon (92)
4) Un mineur de 15 ans, né en Cote d’Ivoire, Ivoirien, "type africain", habite à Meudon (92)
Sans aucun doute des militants de l'extrême droite !
17:12 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Entretien avec Marion Maréchal sur les législatives
Aux lendemains d'un premier tour d’élections législatives sans précédent, les Éveilleurs reçoivent Marion Maréchal.
Tout juste élue députée française au Parlement européen avec quatre colistiers, l'ancienne députée du Vaucluse revient sur son nouveau mandat, sur une campagne législative à nulle autre pareille et sur l'union nationale qu'elle soutient.
Est-ce le "moment Marion Maréchal" ? Un entretien exclusif à voir absolument avant le second tour !
17:08 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Mélenchon au volant, charia au tournant »…
Pierre Duriot,
porte parole du Rassemblement du Peuple Français.
La campagne vire au théâtre de Guignol. Chez les Macronistes, on va voter pour les gens de LFI, mais pas tous et pas tout le monde chez les Macronistes. Certains appellent au barrage contre le RN dans tous les cas de figures et d’autres renvoient les extrêmes dos à dos : ni l’une, ni l’autre. Macron comme toujours, se fend de la meilleure de l’année en expliquant qu’il veut bien les voix des LFI, pour faire élire Borne, par exemple, mais qu’en aucun cas les LFI n’entreront dans un éventuel gouvernement. En résumé, il a été laminé, les gens ne veulent plus de lui, mais en se servant des voix des LFI, il va remonter un truc qui lui permettra de continuer à ne faire que ce qu’il veut. Il n’a toujours pas compris qu’il est fini et que plus personne ne veut de lui. Il veut perpétuer cette règle tacite selon laquelle, le RN a le droit d’exister, les gens ont le droit de voter pour le RN, mais il est entendu que le RN ne doit jamais arriver au pouvoir et que Macron seul doit décider de qui doit lui succéder. Les dés sont évidemment pipés.
Mais pour comprendre ce qui se passe à gauche, il faut bien cerner les différences qui existent entre les gens de LFI et ceux du PS dont on projette l’association. On connaît de l’extrême gauche emmenée par Mélenchon, sa propension à flirter avec l’islam et même l’islam radical. On se souvient de la CGT, qui avait soutenu les machinistes musulmans qui ne voulaient pas s’asseoir dans un bus précédemment conduit par une femme, à la RATP. On a là une image assez saisissante des accointances de cette formation. Pro-palestinienne, par ricochet, antisémite, avec des déclarations à l’emporte pièce, contre Israël, qualifié opportunément d’État fasciste, comme toujours. On connaît leurs casseurs, leurs déclarations anti-flics, leur volonté de faire venir toujours plus de migrants, de les loger, de les entretenir, pour quoi faire ? On connaît aussi les compromissions de leurs élus avec l’électorat musulman, pour la construction de mosquées, ou l’instauration de repas communautaires dans les cantines. Mais également leur détestation en creux de tout ce qui est arc-en-ciel, LGBT, très peu compatible avec la religion musulmane, fonds de commerce électoral, qui veut qu’on soit fille ou garçon, avec une homosexualité criminalisée dans pas mal de pays musulmans, avec évidemment, des déclinaisons dans notre pays. On voit aussi leurs manifestations, agrémentées de destructions diverses et leur espèce de mentalité qui voudrait que « au nom de la lutte contre le RN », on puisse s’affranchir des lois républicaines et même des lois tout court, dans une auto-proclamation de la « cause juste » qui autoriserait toutes les exactions.
Au PS, on est bourgeois bon teint, classes moyennes supérieures, intellectuels, assez empathique avec le mouvement LGBT et les homosexuels, on a emboîté volontiers le pas de Macron, en qui on a cru avant de revenir de ses illusions. Et surtout on ne fréquente pas le monde ordinaire, ni celui des cités sensibles, sur lesquelles on pérore en mots choisis, « richesse », « diversité », « apport culturel », mais sans jamais y mettre les pieds, sinon on se rendrait compte que ces endroits, sont sales, délinquants, pétris d’argent public et d’argent sale. Mais le PS ne pèse plus grand-chose et Raphaël Glucksmann le controversé, même s’il a fait quelques étincelles aux élections européennes, n’est pas un personnage très charismatique. Le patron Olivier Faure encore moins. Et ce seraient ces gens qui s’allieraient dimanche, avec une extrême gauche qui ne partage avec eux que le nom commun de gauche, mais ce n’est pas la même gauche, très loin s’en faut.
10:06 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Faire barrage à la chienlit communiste
Thomas Joly, Président du Parti de la France
Le résultat du 1er tour de ces élections législatives est à peu près conforme à ce que prévoyaient les instituts de sondage. Si la coalition RN-LR est largement en tête, c'est au 2nd tour que tout va se jouer.
Le « Front républicain » (sorte de créature électorale du Docteur Frankenstein au service du Système en place) tente de se reconstituer. Toutefois, nul n'est propriétaire de ses électeurs et, en cas de désistements réciproques face à un candidat RN dans le cadre d'une triangulaire, on voit mal les boomers macronistes attachés au statu quo voter pour des cinglés communistes pro-Hamas ou les électeurs du Nouveau Front Populaire apporter leur suffrage à ceux qu'ils combattent avec véhémence depuis 7 ans.
De son côté, le Parti de la France se félicite du score de son unique candidat, Pierre-Nicolas Nups, dans la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle, qui réunit un peu plus de 10 % des voix. Et cela malgré la présence d'un candidat parasite (désinvesti par Éric Ciotti et le RN) qui a trompé les électeurs en maintenant sa candidature.
Le score encourageant de notre candidat démontre qu'avec une campagne radicale (la polémique de notre affiche « Donnons un avenir aux enfants blancs » a même franchi nos frontières !), il est possible pour la droite nationale non-reniée de peser électoralement.
Conformément à la décision prise lors de notre dernier Bureau politique, le Parti de la France appelle les électeurs à faire barrage tant aux sales gauchistes du NFP qu'aux dernières métastases du macronisme ou des Républicains émasculés. Malgré toutes les réserves que l'on peut avoir sur les dirigeants du Rassemblement national, il est de la responsabilité du camp national dans son ensemble d’œuvrer pour une alternance politique historique le 7 juillet.
09:53 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Point de vue : Pas une seule voix pour le front populaire néo-communiste et islamo-gauchiste !
Bernard Antony, Président de l’Agrif
Pour le deuxième tour, dimanche prochain, des élections législatives, aucune hésitation dans le vote n’est évidemment possible.
C’est un non franc et massif que tous les patriotes français doivent opposer au danger de prise du pouvoir par la coalition patibulaire de front populaire organisée pour l’essentiel autour de l’appareil mélenchonien « LFI », avec ses noyaux dirigeants marxistes-léninistes, lénino-staliniens ou lénino-trotskistes et ses complicités islamo-gauchistes.
Il est certes heureux que le chef du parti communiste néo-stalinien, Fabien Roussel, ait été électoralement éliminé dès le premier tour, ce dimanche.
Mais c’est toute la connivence extrémiste de l’ultra-gauche mélenchonienne qui continue désormais en France l’œuvre de mal et de mort des régimes communistes de par le monde, avec leur bilan exterminationiste de plus de cent millions de morts et les centaines de millions de victimes des peuples asservis au long de plus d’un siècle de dictatures totalitaires, soviétiques, castristes ou maoïstes…
Hélas, aujourd’hui comme hier, les noyaux dirigeants révolutionnaires de l’ultra-gauche bénéficient du ralliement de ceux que Lénine désignait comme les « idiots ou les gogos utiles » de la révolution.
François Hollande en est un archétype.
Sans la moindre vergogne, toute honte bue, ce personnage rondouillard, qui aime faire la roue devant les caméras comme le plus stupide des dindons médiatiques, s’est rallié à ce néo-front populaire socialo-communiste-islamo-gauchiste dont les militants le méprisent autant qu’ils méprisent le narcissique et vaniteux Macronéron.
Mais voici que sur des médias publics déferlent plus que jamais les émissions de désinformation et de la vieille haine bolchevique contre le rassemblement des droites incarné par Marine Le Pen, Jordan Bardella, Marion Maréchal et Éric Ciotti.
Quelles que soient les différences secondaires voire les divergences légitimes que les électeurs patriotes peuvent exprimer, aucune de leur voix ne doit manquer ce dimanche au camp de la liberté et de la souveraineté nationale.
Agrif cliquez ici
01:24 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 04 juillet 2024
Le Rassemblement Vendéen tire un premier bilan de sa candidature aux législatives
Répondant aux questions de Pierre Cassen, Éric Mauvoisin, président du Rassemblement Vendéen, tire le bilan de la première candidature de son mouvement aux législatives.
Rappelons les résultats :
RN-LR : 35 %
Horizons : 34 %
Nouveau Front Populaire : 14 %
LR anti-Ciotti : 8 %
Rassemblement vendéen : 2 %
12:18 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tribune libre : De la démocrassouille au totalitarisme kakistocratique
12:08 Publié dans Nicolas Zahar | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un nouveau paysage politique
Le géographe et sociologue Christophe Guilluy analyse dans cet entretien au Point, le nouveau et radical paysage politique qui est en train de se mettre en place non seulement en France mais dans toute l’Europe. « Ce mouvement, perceptible partout en Occident, est inarrêtable car il est porté par l’instinct de survie de la société. Cette réalité géographique, économique et sociale a des conséquences culturelles et politiques évidentes ».
Lire la suite ICI
Source : Le Point 4/7/2024
10:50 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 03 juillet 2024
Législatives : le point de vue de Guillaume Bernard
20:28 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Aux urnes...citoyens !
Le billet de Patrick Parment
La crise que vit la France n’est pas propre à notre pays mais concerne aussi l’ensemble des pays européens. C’est sur le fond une crise du capitalisme financier, à l'origine de la mondialisation, qui appauvrit plus encore les plus pauvres ainsi que la classe moyenne au profit de quelques-uns qui jouissent pleinement de ce capitalisme financier et non plus de ce capitalisme qualifié hier de paternaliste – malgré ses défauts -, qui avait pour axiome une plus juste répartition des richesses. Il faut bien avouer aussi que ce capitalisme de répartition éait sous surveillance d’une classe politique qui était, elle, très politique. Ce qui n’est plus le cas aujourd’hui où nos gouvernants ne sont plus que des gestionnaires. Ils ne font plus de politique. Et c’est encore plus criant au sein des instances de l’Union européenne qui n’a d’union que le nom. Cette Europe-là renonce à exister, préférant de loin vivre sous la tutelle américaine pour de mauvaises raisons. D’où ce refus d’ériger une Europe en puissance, ce que les Américains redoutent par-dessus tout. C’est ainsi qu’on a été entraîné à voter des sanctions contre la Russie qui pénalisent les Européens, et plus encore leurs industries, que l’Amérique elle-même. Si les Européens faisaient de la politique, cela ne serait jamais arrivé. On pense à De Gaulle évidemment ! Mais depuis Georges Pompidou, la France ne fait plus de politique.
Voici qui explique, pour l’essentiel, la montée inexorable du Front national hier, du Rassemblement national aujourd’hui. Reste à savoir si Marine Le Pen fait de la politique comme en faisait son père, ce dont nous ne sommes pas persuadés du tout. D’année en année, elle n’a cessé de se « centraliser » tout en conservant son fond de commerce : l’immigration.
Cette élection est un piège dans lequel elle risque fort de tomber. Assoiffé de pouvoir par vanité, si d’aventure elle disposait d’une majorité à l’Assemblée nationale, elle s’empressera de faire nommer Jordan Bardella à Matignon. Et le piège se refermera sur elle. Si d’aventure, elle était politique, deux choix s’offriraient à elle. Si son parti et ce qui reste des Républicains faisaient majorité, leur proposer de gouverner ensemble. Si les LR n’étaient pas aussi idiots, ils accepteraient cette chance de retourner au pouvoir et de tenter de remettre de l’ordre dans un pays qui se défait. L’autre solution, qui serait la plus intelligente, consisterait à refuser de gouverner avec Emmanuel Macron – donc éviter le piège -, et le laisser constituer une sorte de gouvernement technique qui vivrait sous perfusion du Rassemblement national. Est-ce viable ? Toute la question est là. Quant à savoir si la gauche pourrait de nouveau, et grâce à Macron, revenir au pouvoir, dans une sorte de bougli bougla macro-front populaire sous perfusion LFI, on en doute. Ce qui demeure, en revanche, c’est l’exaspération des Français, leur ras-le-bol d’une classe politique qui les enfume depuis des décennies. On est bel et bien à la fin d’un cycle. Le tout est de savoir si notre avenir proche s’inscrit dans le calme ou la violence.
12:54 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 02 juillet 2024
Les difficultés ne font que commencer : elles sont innombrables !
Bernard Plouvier
Il n’est nullement assuré que les historiens de l’avenir s’intéressent à la dissolution de la Chambre par un Macron aux abois, fin juin 2024. En revanche, ils chercheront à comprendre comment les Français ont laissé des politiciens détruire leur pays en cinquante années de folie furieuse :
• Loi Veil autorisant l’avortement de complaisance, donc la chute dramatique de la natalité autochtone
• Décret de regroupement national des travailleurs immigrés pour relancer la consommation intérieure, ouvrant la voie à l’invasion extra-européenne
• Lois stupides abaissant la durée du travail et l’âge d’accès à la retraite alors que la concurrence planétaire se durcissait
• Sottises féministes et « genristes », aboutissant à la parodie du mariage homosexuel et aux grossesses par procuration
• Pseudo-écologie de pacotille générant des obligations et des interdictions totalement fantaisistes, alors que le climat terrestre dépend quasi-exclusivement de l’activité solaire. Il est évident qu’il faut gérer la terre (ressources naturelles, consommation) en « bon père de famille », selon l’expression du Droit romain, mais il est stupide de se plier à des exigences issues des ruminations mentales d’incompétents et de frustré(e)s du marxisme, tout juste bons pour un traitement psychiatrique
• Destruction de l’Instruction publique et des infrastructures régaliennes, dont le système hospitalier public
• Désertification industrielle, alors qu’aux USA le mouvement s’est inversé depuis vingt ans
• Ensauvagement de la société, directement en rapport avec des rejetons inéduqués par des parents lamentables, en immense majorité provenant de l’immigration extra-européenne, islamisée ou convertie aux joies du trafic de stupéfiants, d’armes, de prostitué(e)s ou de réfugiés (nouveau « marché porteur »).
C’est à ces problèmes que devront s’attaquer les gouvernants
Et dans une ambiance de haine entre les grands groupes d’électeurs : 40% de populistes qui veulent casser l’ambiance de gabegie, ramener l’ordre et la décence ; 25% de déçus de l’effondrement du communisme et des autres formes de « socialisme » mal compris – car le vrai socialisme, c’est comprendre que travailler beaucoup et bien, c’est à la fois enrichir sa famille et la collectivité ; 25% de conservateurs qui trouvent que « tout ne va pas si mal » tant qu’ils ont assez d’argent pour vivre dans l’abondance matérielle ; 10% de j’men’foutistes.
Avec le système des magouilles du scrutin d’arrondissement, rien ne permet de présumer que le Mouvement National – authentique révolte du Pays d’en-bas doté d’un minimum de bon sens – obtiendra une majorité de gouvernement.
Macron le Nocif sera gagnant : il sera parvenu à empêcher toute réforme de structure de l’État
La Nation sera une fois de plus perdante
Et peut-être une fois de trop, car bientôt la majorité de l’électorat sera d’origine extra-européenne… et ce sera : « Y-A-Bon la charîa ! »
15:34 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La gauche disqualifiée
Vincent Trémolet de Villers
L’épreuve du choix. Depuis dimanche, beaucoup de Français vivent dans le carcan d’un dilemme moral : celui du moindre mal. S’abstenir, soutenir un modéré du camp d’en face contre « les extrêmes », voter RN pour éviter LFI ou le contraire : telles sont les questions. Mais, pour les aider à trancher, il faudrait d’abord que le parti de l’indécence commune, la coalition des Tartuffe, cesse de faire la leçon. Chez ces gens-là, en effet, on est loin d’être exemplaire.
D’abord, d’abord, il y a Jean-Luc Mélenchon, le directeur de conscience de la République, qui, avec Rima Hassan à ses côtés, dispense ses consignes au président, à la droite, à la France. Et puis il y a Sandrine Rousseau, qui trace la ligne qui sépare le bien du mal. Et puis François Ruffin, celui qui disait : « On a un taré à la tête de l’État » (et qui reçoit le soutien dans sa circonscription du parti du président de la République !). Et puis Raphaël Arnault, candidat fiché S en ballottage à Avignon. Derrière, la cohorte des provocateurs de la République, allure débraillée et insultes à la bouche : Louis Boyard, Aymeric Caron, Sébastien Delogu, Danièle Obono...
Une procession qu’accompagnent les nouveaux convertis. Emmanuel Macron en tête, celui-là même qui, le 12 juin, reprochait au NFP de faire la part belle à « une extrême gauche qui s’est rendue coupable d’antisémitisme, de communautarisme, d’antiparlementarisme » et qui décide finalement de faire un bout de chemin avec elle. Gabriel Attal, celui qui a interdit l’abaya à l’école, et qui appelle à voter pour ceux qui veulent l’autoriser. Dans ce cortège, on retrouve aussi les innombrables associations écolos, néoféministes, « antifascistes » dont le seul point d’unité est l’équivoque vis-à-vis du Hamas, l’antisionisme obsessionnel, la haine de la police. La place de la République couverte dimanche soir de drapeaux palestiniens en témoigne : la lutte « contre l’extrême droite » n’est qu’un prétexte pour faire avancer un agenda militant.
Cette gauche prétend « sauver la République », mais elle devrait commencer par faire son examen de conscience. Elle pratique sans vergogne l’intimidation morale comme si elle était dépositaire des vertus démocratiques alors qu’elle est moralement disqualifiée.
Figaro 02/07/2024
11:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Espagne, le Tribunal Suprême contre la loi d’amnistie
Michel Festivi
Un magistrat du Tribunal Suprême espagnol vient ce lundi 1er juillet de refuser d’appliquer la loi d’amnistie au profit des indépendantistes catalans votée il y a un mois.
11:06 Publié dans En Europe et ailleurs..., Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le retour du peuple
Anthony Marinier
Dynamique électorale
Depuis le 9 juin, la tectonique des plaques s’est déplacée : en 5 ans le RN a gagné 2,5 millions d’électeurs aux européennes et 6,5 millions au premier tour des législatives, multipliant son nombre d’électeurs par 2,5 et passant de 18,5 à 33% des suffrages. Le nombre de députés RN (et alliés) pourrait dépasser la barre des 289 pour atteindre la majorité absolue dimanche prochain. Le Rassemblement national, dont beaucoup pensaient qu’il n’atteindrait jamais le pouvoir, est en mesure, cinquante ans après sa création, d’enfin y parvenir. Le plafond de verre a été brisé et il n’y a pas de raison que cette lame de fond s’interrompe, parce qu’elle est productrice d’espérance et de renouvellement. Jusqu’à présent lointaine, le RN offre enfin une perspective de pouvoir à ses électeurs, à cette France des perdants de la mondialisation, des laissés-pour-compte, des « petits-blancs-moins-que-rien » qui refusent de disparaître.
Archipel vs continent
En 2019, Jérôme Fourquet montrait dans ses travaux « l’archipélisation » de la société française, désormais morcelée en différents groupes distincts respectant des mœurs, rites de passage, modes de vie et visions du monde différents voire opposés. Cette France multiple et divisée, les déclarations et promesses électorales clientélistes en rendent compte : les candidats ne ciblent que des groupes d’intérêt (retraités, fonctionnaires, immigrés, agriculteurs, handicapés, femmes, LGBT…), renforçant cette idée de décomposition et la fin d’un peuple unitaire qui ne serait plus constitué que de monades et de petites communautés.
L’atomisation et « l’archipélisation » des Français avec un séparatisme territorial et culturel sont incontestables ; néanmoins, lorsqu’un tiers de la population française vote pour un parti politique, il est évident que cette masse représente plus qu’un archipel, c’est un continent uni. La leçon de ces élections successives est que le peuple français existe toujours.
Le retour du peuple
Il n’est pas question de l’idéaliser simplement de constater que 33% du corps électoral s’est levé pour rappeler qu’il y a encore une résistance dans la France périphérique. Aujourd’hui c’est le RN qui prend le mieux en charge cette France invisibilisée, qui, à travers Jordan Bardella et Marine Le Pen, retrouve une voix qu’elle avait perdue. Le peuple central et historique, pourtant majoritaire, a été muselé, bâillonné, privé de reconnaissance depuis 40 ans, sorti des représentations populaires. Ce peuple-là est inconnu de nos élites, l’angle mort des discussions politiques et médiatiques. Cette France bleu-blanc-jaune – de la couleur des gilets portés il y a 5 ans et qui préfiguraient la révolte par les urnes – est sortie du bois massivement.
Ce peuple a prouvé qu’il existait encore en faisant des choix contre toutes les injonctions des prescripteurs d’opinion, qu’ils soient journalistes, éditorialistes, sportifs ou artistes. Tous s’y sont mis, on a même eu droit à des vidéos des fans de Star Wars, des professionnels du tourisme, jusqu’aux joueurs de cartes Magic, pour nous dire à quel point la démocratie était en danger. Les Français ont placé en tête la liste RN malgré l’avalanche de tribunes alarmistes, de fake news, de manipulations, de montages vidéo mensongers avec extraits tronqués ou propos hors contexte, de mauvaise foi partisane annonçant l’apocalypse. Les médias et opposants ont rivalisé dans la surenchère en agitant des peurs toujours plus extrêmes et s’arrogeant le droit de mentir, manipuler et exagérer…
33% des Français ont donc transgressé les diktats et franchi la ligne rouge et sont de plus en plus nombreux à le faire. Peu importe le résultat de dimanche prochain, peu importe que le système politique français soit vérolé et pourri jusqu’à la racine, le grand enseignement de ce début d’été est que le peuple français est en train de refaire peuple.
Source : site Eléments
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Le mouvement catholique et identitaire Academia Christiana organise deux universités d’été en Provence et dans l’Ouest de la France
Le mouvement catholique et identitaire Academia Christiana organise deux universités d’été en Provence et dans l’Ouest de la France
La première se déroulera du 15 au 21 juillet 2024 en Provence. La seconde du 12 au 18 août dans l’Ouest de la France.
En 10 ans Academia Christiana est devenu le rendez-vous incontournable d’une certaine jeunesse catholique qui cherche à s’engager dans la société. Plusieurs milliers de jeunes sont passés sur nos bancs. Venus de toute la France pour se former, ce sont des lycéens, des étudiants ou de jeunes familles qui se retrouvent à l’université d’été pour se former et réfléchir à leur avenir. Plus qu’une simple université d’été, c’est aussi un carrefour ou une plateforme de rencontre sur laquelle se croisent tous les milieux et toutes les écoles de pensées spirituelles ou politiques. Vous y croiserez des prêtres de différentes communautés mais aussi des acteurs politiques et associatifs (élus locaux, enseignants, écrivains, journalistes, militants…) issus de notre mouvance de pensée au sens le plus large qui soit.
01:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le ministère de l’Intérieur confirme la montée des chiffres de l’invasion pour 2023
André Posokhow
Le 27 juin 2024 le ministère de l’Intérieur a publié les chiffres clés, mis à jour après ceux provisoires produits en janvier 2024, de l’invasion migratoire.
Il confirme ainsi la montée en puissance de ces chiffres après « l’épidémie Covid » et le confinement.
1° la délivrance des premiers titres de séjour en 2023
En 2023 la primo délivrance de titres de séjour de ressortissants de pays tiers (c’est-à-dire non-ressortissants de l’UE Européens) hors Britanniques a été estimé à 327 000 contre 288 000 en 2019. Désormais ce sont les étudiants qui viennent en tête : 108 000, alors que l’admission familiale se trouve en légère baisse à 91 000.
2° Un nombre de titres et de documents provisoires de séjour (DPS) en forte hausse
En 2019 le stock de titres valides et de documents provisoires hors Britanniques était de 3 411 000 personnes (en 2022 de 3 833 000). Au 31/12/2023 ce nombre est monté à 4 004 000 soit une progression de 17 %.
Toutes les composantes de ce stock se trouvent en augmentation sensible. La plus significative est celle des DPS : 426 000, en hausse de 32 % par rapport à 2019.
Ce chiffre ne tient pas compte des Britanniques classés comme des tiers au même titre que des Nigériens moyens. Leur nombre : 166 000, est loin d’être négligeable.
3° L’asile : des chiffres de demande et de protection en hausse
En 2023, le nombre de demandes d’asile, toutes catégories confondues, s’élève à 187 000 personnes, en hausse sensible par rapport à 2022 : 168 000. On dépasse même le niveau de 2019.
Ce sont les Afghans qui sont tête avec 17 000 demandes en 2023. La France a-t-elle réellement besoin de l’entrée d’autant d’Afghans ?
Le total des attributions de l’asile aussi bien au titre des recours reçus par l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et des apatrides) et des recours auprès de la CNDA (Cour nationale du droit d’asile) s’est élevé en 2023 à environ 61 000 personnes contre 36 000 en 2019.
Il existe deux raisons à cette augmentation significative :
• tout d’abord une progression sensible des demandes d’asile et des protections accordées ;
• surtout il semble que désormais et contrairement à 2019, les statisticiens du ministère de l’Intérieur tiennent compte des mineurs accompagnants soit, si j’en crois la page 3 du document de l’essentiel de l’immigration, environ 20 000. Les mineurs accompagnants représenteraient donc environ un tiers de l’asile ce qui confirmerait le calcul de mon livre « Immigration, l’épreuve des chiffres ».
4° Des chiffres de lutte contre l’immigration irrégulière décevants
Le document de l’essentiel de l’immigration ose affirmer que les sorties du territoire des étrangers en situation irrégulière sont en hausse. C’est une blague de mauvais goût.
Effectivement ces sorties qui correspondent aux éloignements qu’ils soient forcés, aidés ou spontanés se sont élevés à 23 000 personnes en 2023 contre 19 000 en 2022. Mais en 2019 les éloignements se montaient à 31 000 personnes.
Ces chiffres montrent que la question des éloignements des étrangers en situation irrégulière demeure pendante et que ce grave problème n’est toujours pas résolu.
5° Des acquisitions de la nationalité française en forte baisse
Le nombre d’acquisitions de la nationalité française en 2023 : 97 000, se trouve en forte baisse par rapport aux années précédentes, notamment 2021 qui en avaient compté 129 000.
Le document du ministère explique avec tristesse que « cette baisse d’activité en 2023 doit s’analyser à travers des difficultés techniques ponctuelles liées à la dématérialisation de la procédure de naturalisation et à son déploiement, en 2023, sur l’ensemble du territoire national ». Il n’existe donc pas de volonté de ralentir l’accès à la nationalité française mais seulement les conséquences ponctuelles d’une réforme administrative.
Cependant rassurons-nous, « une fluidification du système et un rattrapage sont attendus pour 2024 ». Quel soulagement !
Conclusion
D’une manière générale, les chiffres de l’année 2023 de l’invasion migratoire tels que présentés par le ministère de l’Intérieur reflètent une pénétration accrue et continue de notre pays par de nouveaux arrivants. La seule exception est le nombre des naturalisations, mais nous avons vu que la raison en est simplement conjoncturelle.
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01:37 Publié dans André Posokhow | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 01 juillet 2024
Le spectacle pitoyable de la patrouille des castors
Bernard Germain
C’était prévisible et c’est ce qui s’est passé.
Entre juin 2022 et ce 30 juin 2024, le RN a multiplié par 3 son nombre de voix, passant de 4 millions de voix à plus de 12 millions. Peut-on montrer de manière plus claire l’exaspération des Français du fait de la politique de Macron qui est en train depuis 7 ans de consciencieusement détruire notre pays, soutenue par tous les bien pensants et même par une partie de la gauche ?
On remarquera que déjà 39 députés du RN sont réélus dès le 1er tour, comme Marine Le Pen, Julien Odoul, Sébastien Chenu,… etc. Ce qui montre sans équivoque leur enracinement local, et que leur élection n’a rien à voir avec un coup de colère des habitants de leurs circonscriptions. C’est un vrai vote d’adhésion.
Cela prouve aussi que les dénonciations et culpabilisations permanentes adressées aux électeurs du RN, ne fonctionnent plus. Une sorte de... mithridatisation.
Pour ceux qui l’aurait oublié cette expression vient du monde grec dans lequel le roi Mithridate (132 à - 63 avant JC) régnait sur un territoire constitué d’une partie de la Turquie actuelle. Ce roi, craignant d’être empoisonné, absorba chaque jour une très faible quantité de poison qu’il augmenta régulièrement afin d’habituer son corps à s’en préserver. Selon la légende, il serait parvenu ainsi à s’immuniser. Battu par Pompée, il aurait voulu se donner la mort en s’empoisonnant, mais ne put le faire car le poison n’eut pas d’effet sur lui. Il ne réussit à se donner la mort qu’en se faisant tuer par un mercenaire.
Comme le roi Mithridate hier, le peuple aujourd’hui semble immunisé contre le poison des dénonciations et accusations diverses venant du camp du bien.
En revanche, dans le camp d’en face chez les bien pensants, heureusement que le ridicule ne tue pas sinon ce serait une authentique hécatombe. Car la patrouille des castors a vraiment fait très fort.
Les scènes auxquelles nous assistons sont absolument surréalistes. Nous allons en voir quelques exemples, mais ils sont légions.
14:32 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Bilan de la Macronie : en marche vers un danger trop connu
Bernard Plouvier
Il est évident que le bilan du séjour élyséen de notre Génial Grand Timonier ne peut qu’être provisoire. Constitutionnellement, notre moderne Attila conserve une capacité de nuisance, en dépit de ses déculottées électorales… à moins que par un beau geste – que l’on n’espère pas trop de Sa Suffisance –, il ne s’en aille comme le fit Charles de Gaulle en 1946 puis en 1969.
Même s’il nous réserve des surprises, il restera tristement célèbre pour deux évidences.
- Non seulement, il n’a rien fait pour améliorer l’existant, mais encore il a aggravé les imperfections les plus criantes de notre République agonisante : Insécurité, Invasion d’éléments étrangers à notre continent et qui veulent changer notre organisation sociale et culturelle, Désertification industrielle – donc dépendance, singulièrement d’une Asie où, la richesse aidant, les potentats deviennent de plus en plus agressifs -, Effondrement de l’instruction publique et du système hospitalier, Chômage stable aux alentours de 6 millions de victimes, « pleines ou partielles ».
- À quoi, notre Président-Dictateur-Général, par une touche très personnelle, vient ces deux dernières années d’ajouter un risque de guerre continentale. Même Chirac – certes coincé par ses compromissions antérieures avec Saddam Hussein – avait évité de nous emmener dans l’aventure d’une guerre avec les sunnites pour des armes de destruction massive que jamais nul ne trouva.
On ne sait trop combien de nos pièces d’artillerie, ni combien de milliers d’obus ont été expédiés en Ukraine pour un conflit bien moins clair dans ses motivations que ne le prétend la propagande estampillée OTAN. On ne sait même pas le nombre de « conseillers militaires » français qui y sont engagés, tant l’activité macronienne est de type Nacht und Nebel (une expression qui n’est pas « nazie », étant tirée des premier et quatrième épisodes de la Tétralogie de Richard Wagner).
On sait encore moins comment vont réagir les deux grands protagonistes : celui de Washington (soit l’entourage du sieur Biden, atteint de démence – on en a eu confirmation cette fin juin) et celui de Moscou. Vont-ils estimer que les terres entre Don et Dniepr, peuplées à l’Ouest d’Ukrainiens et à l’Est de Russes, peuvent être partagées selon le Droit des peuples ou, au contraire, vont-ils faire dégénérer un conflit d’intérêt purement régional en guerre continentale, voire en Armageddon nucléaire ?
À la limite, on s’en ficherait comme on est en droit de se désintéresser de la très longue guerre entre sionistes et antisionistes : ça se passe loin à l’Est, même si cet « Est », fort corrompu et fanatisé, emplit la planète de ses bruits de haine et de ses manifestations sanglantes de fureur idiote.
L’ennui est que notre Génial Timonier, incapable de régler quel que problème français que ce soit, est allé fourrer son nez dans une guerre qui ne nous concerne en aucun cas.
La bonne question à se poser est celle-ci : est-ce que notre Génial excité va ou non nous précipiter dans une guerre encore plus stupide que la Guerre pour Dantzig… dont on fêtera en septembre le 85e anniversaire ?
12:53 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tragédie française
Alexis Brezet, directeur de la rédaction du Figaro
Lorsque les historiens se pencheront sur la dissolution, ils n’auront qu’un mot : désastre ! On ne saurait l’imaginer plus complet. Emmanuel Macron avait tout, ou presque : l’Élysée, et trois ans devant lui ; une majorité, relative, certes, mais une majorité tout de même ; un parti en ordre de marche ; un socle électoral étroit, mais étonnamment solide ; une image personnelle écornée, mais une autorité indiscutable. Il perd tout, fors l’Élysée. Il voulait unir le bloc central, diviser la gauche, isoler le RN : tous ses calculs se sont révélés faux. Au fond, son pari était que les Français, d’une élection à l’autre, changeraient d’avis : non seulement ils persistent, mais le niveau élevé atteint par la gauche LFI vient, si besoin était, ajouter une touche très inquiétante au tableau.
Quel champ de ruines ! Le chef de l’État faisait profession de « barrer la route aux extrêmes » ; ils n’ont jamais été aussi hauts. Prise dans la tenaille de ce face-à-face mortifère, la France perspective de l’aventure politique ou du blocage institutionnel : les deux facettes d’une crise de régime. Merci, Macron !
Ce désastre ne tombe pas du ciel. Dans le creuset d’une campagne trop brève pour que s’y décantent les passions, trois éléments portés à ébullition ont produit cet ahurissant résultat : l’insondable légèreté d’un homme qui, par dépit narcissique, a pris le risque de plonger son pays dans le chaos ; la logique folle d’une stratégie, celle de l’hypercentre, qui prétendait éradiquer la droite et la gauche, et qui y a trop bien réussi ; l’exaspération, surtout, de ce malaise démocratique qui depuis tant d’années se nourrit - immigration, insécurité, dette, déficits, crises des services publics, désindustrialisation... – de nos lâchetés et de nos abandons. C’est dans ce chaudron, désormais, que mijotent les tourments de notre crise nationale.
Face à ce désastre, le pire serait d’ajouter le déni au déni, de se réfugier dans la déploration, les excommunications, ces habituelles chansons de la bonne conscience drapée dans sa supériorité. C’est un point qu’on doit céder à Emmanuel Macron : il voulait donner la parole au peuple, le peuple a parlé - massivement : la participation n’a jamais été aussi forte. Il faudra l’entendre, dans toute sa brutalité. Après un scrutin européen escamoté au motif qu’il s’agissait d’un « vote défouloir », rien ne serait plus dangereux qu’une expression populaire législative moralement disqualifiée. Bien sûr, dans un scrutin à deux tours, la messe n’est jamais dite au soir du premier. Bien des choses peuvent encore advenir, et l’entre-deux-tours sera déterminant. Tout indique cependant que le cadre est fixé : la polarisation qui s’exprime à travers la multiplication vertigineuse des duels RN-LFI ou leur affrontement en triangulaire dessine à la hache un paysage politique radicalement nouveau. Il plonge les responsables publics, mais aussi les électeurs, dans les affres d’un dilemme politique et moral... Ce n’est pas un drame qui se joue – qui supposerait qu’un bien et un mal s’affrontent -, c’est, au sens propre, une tragédie, où le destin, qui vous somme de choisir, ne vous offre que des mauvaises solutions.
Les renvoyer dos à dos sera un refuge tentant pour les partis et les responsables politiques, désireux de se mettre en réserve en attendant un échec qu’ils estiment inévitable, sans pour autant faire injure à la liberté de vote, et de conscience, de leurs électeurs. Mais, au regard de la gravité des enjeux, les citoyens, sincèrement inquiets pour l’avenir du pays, se satisferont-ils - ici et maintenant - de cette habileté, dans laquelle il est difficile de ne pas voir une échappatoire ?
Entre Bardella et Mélenchon, qui, en conscience, voudra mettre un signe d’égalité ? Antisémitisme, islamo-gauchisme, haine de classe, hystérie fiscale... Placé, quoi qu’il en dise, sous la domination de LFI, le Nouveau Front populaire est, de fait, le vecteur d’une idéologie qui consommerait le déshonneur et la ruine du pays. Emmanuel Macron, que la gauche somme de consentir à cette abdication, ne devrait pas l’oublier. Notre chroniqueur Nicolas Baverez rappelait récemment cette phrase de Raymond Aron, grande figure du Figaro : «Le choix en politique n’est pas entre le bien et le mal, mais entre le préférable et le détestable. » Les temps troublés dans lesquels nous entrons s’annoncent éminemment aroniens.
Source : Le Figaro 1/07/2024
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Reconquête! appelle à voter pour les candidats de la Droite nationale au second tour
00:14 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 30 juin 2024
Le Liban aspiré par le Hezbollah vers une guerre de plus en plus inévitable
Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, surfant sur la mollesse et la complaisance de la communauté internationale à son égard, la France en particulier, multiplie les attaques contre des cibles civiles et militaires du coté israélien de la frontière. L’escalade est là et les ruines qui s’accumulent au Liban Sud en témoignent, ainsi que le nombre croissant de responsables militaires de la milice chiite abattus dans des attaques ciblées d’une redoutable efficacité, ce qui met par ailleurs en évidence l’importante infiltration du Hezb par les renseignements israéliens. Tout indique que les antagonistes se préparent à passer à la vitesse supérieure en généralisant le conflit à l’ensemble du Liban, l’Etat-major israélien ayant déjà validé il y a quelques jours « des plans opérationnels pour une offensive au Liban ».
C’est dans ce contexte tendu que le secrétaire général du Hezbollah a ouvertement menacé Chypre, pays membre de l’Union Européenne, de représailles au cas où Nicosie déciderait « l’ouverture des aéroports et des bases chypriotes à l’ennemi israélien ». Côté libanais et face à ces menaces inédites formulées par une milice armée illégale sur un territoire supposé souverain à l’encontre d’un autre Etat souverain, le ministère des Affaires étrangères, qui mériterait amplement d’être rebaptisé ministère des affaires iraniennes et à qui sa pudeur interdit sans doute de citer le Hezbollah, s’est fendu d’un communiqué de quelques lignes soulignant que « les relations libano-chypriotes reposent sur une longue histoire de coopération diplomatique et que le dialogue bilatéral se poursuit au plus haut niveau pour discuter des questions d’intérêt commun ».
Alors que les rumeurs de guerre imminentes s’amplifient, certaines ambassades et missions diplomatiques comme le Koweït, le Canada et un certain nombre de pays européens recommandent à leurs ressortissants ou employés de quitter le Liban ou de s’abstenir de s’y rendre, tandis que d’autres envisagent des mesures d’évacuation en cas d’escalade du conflit.
Quant aux États-Unis, un rapport de CNN confirme que Washington est « pleinement déterminé à soutenir Israël si une guerre généralisée éclatait » et les américains auraient déjà donné l’ordre au porte avion Dwight Eisenhower de quitter la Mer Rouge pour venir en Méditerranée en appui de son allié israélien.
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Journal du chaos
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samedi, 29 juin 2024
Des Vaccins et des Fous : les conséquences délétères de la covidiomania
Bernard Plouvier
Moins d’un lustre après la pleine période de covidio-folie, soit les années 2020-22, l’on constate une recrudescence de deux maladies, souvent bénignes, mais parfois très graves, qui avaient très fortement régressé, des années 1975 à nos jours : la coqueluche et la rougeole.
Lassés, voire furieux, de l’inefficacité réelle des vaccins anti-Covid 19 (et variantes) et de leurs effets secondaires – réels ou supposés, car le recul est trop faible pour en apprécier la réalité et la durabilité -, de très nombreux parents n’ont pas fait ou renouvelé les vaccins de leurs enfants concernant ces deux maladies… sans compter que les innombrables immigrés venus de pays exotiques en ont multiplié les cas inutilement et dangereusement importés.
Certains vaccins sont à la fois très utiles et peu dangereux. Il serait dommage de s’en priver, par réaction exagérée au scandale des vaccins anti-Covid mis sur le marché dans la hâte, sans longue étude préalable, par refus, orchestré par les politiciens démagogues et les directeurs de grands laboratoires pharmaceutiques, de respecter le principe de précaution… singulièrement nécessaire quand on se propose d’injecter à un humain de l’ARN messager viral !
Renoncer à prévenir tétanos, diphtérie, poliomyélite, coqueluche, hépatite B, rougeole-rubéole-oreillons, méningococcie ou papillomavirus est très stupide : c’est annihiler les progrès du précédent siècle, où les politiciens n’osaient pas trop jouer à l’apprenti-sorcier en matière de médecine.
Il est nécessaire de réutiliser massivement le BCG qui, s’il ne protège de la tuberculose que chez environ 75% des vaccinés, en évite au moins les formes graves, tout en stimulant l’immunité cellulaire, ce qui est excellent en prévention de nombreuses maladies virales et, peut-être, dans la lutte anticancéreuse.
Il est stupide de ne pas reprendre la vaccination jennérienne qui immunise contre les diverses formes de variole, en respectant bien sûr ses contre-indications et en surveillant les vaccinés : c’est aussi un vaccin qui stimule de façon efficace l’immunité cellulaire.
Ce n’est pas parce que des politiciens affolés et totalement incompétents, entourés de conseillers soit apeurés soit inexperts, ont fait réellement n’importe quoi durant les tristes années perdues - 2020, 2021 et 2022 – qu’il faut abandonner les bonnes pratiques de l’époque d’avant la covidio-folie.
Enfin, si les cas de tuberculose et de maladies vénériennes prolifèrent de nouveau en Occident, c’est à l’évidence pour deux raisons :
1 - Les Occidentaux ont abandonné les habitudes de prophylaxie entrées dans les mœurs lors de l’irruption épidémique du SIDA dans les milieux sexuellement dépravés… qui sont devenus, en nos tristes jours, des vedettes médiatiques.
2 – Il n’existe aucun contrôle sanitaire aux frontières, alors que les immigrés exotiques - « réguliers » ou non, mais toujours illégaux puisqu’aucun peuple souverain n’a été consulté sur l’intérêt de leur accueil - amènent avec eux des maladies infectieuses ni dépistées ni traitées.
La médecine est une science qui n’a pas à subir les conséquences de l’irrationnalité des opinions publiques et des tristes sires qu’elles élisent.
17:27 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Élection présidentielle américaine 2024 : Donald Trump remporte le 1er débat face à un Joe Biden sénile
Source Breizh info cliquez ici
Le premier débat entre Joe Biden et Donald Trump s’est déroulé dans la nuit de jeudi à vendredi dans les studios de CNN à Atlanta. Le président en exercice a paru en difficulté, ne parvenant pas à tirer profit de thématiques pourtant favorables, telles que l’avortement, en raison de réponses souvent floues et peu persuasives.
Donald Trump, fidèle à son style offensif, a multiplié les attaques face à un Joe Biden à la voix enrouée, hésitant et peinant à conclure ses phrases. Les deux prétendants à la présidence américaine ont offert un spectacle peu convaincant sur le plateau de CNN à Atlanta, en Géorgie. Ce débat inaugural, censé lancer la campagne, n’aura probablement pas apaisé les inquiétudes des démocrates, alors que Joe Biden accuse un retard dans les sondages face à son rival.
L’âge des candidats, l’une des principales préoccupations des électeurs, a été au centre des débats. Joe Biden, 81 ans, et Donald Trump, 78 ans, ont tous deux cherché à rassurer sur leur aptitude à gouverner malgré leur âge avancé. Si le républicain a fait preuve d’une certaine discipline, le démocrate a régulièrement trébuché dans ses propos, cherchant ses mots et semblant parfois perdu. Après une entrée marquée par une démarche raide, Joe Biden a pris la parole avec une voix cassée et a semblé manquer d’énergie. Son équipe de campagne a ensuite expliqué qu’il souffrait d’un rhume.
Tout au long de la soirée, Joe Biden a éprouvé des difficultés à faire passer ses messages, bégayant et s’égarant à plusieurs reprises. Dans un moment de confusion, il a même affirmé : “Nous avons enfin vaincu Medicare [programme d’assurance santé pour les seniors].” Même sur la question de l’avortement, considérée comme un point faible de Donald Trump, Joe Biden n’a pas réussi à prendre l’ascendant.
La performance décevante de Joe Biden a poussé la vice-présidente Kamala Harris à admettre sur CNN que le président a eu “un démarrage lent, mais a fini fort”. Plusieurs analystes de CNN ont même évoqué des inquiétudes au sein du Parti démocrate quant à la capacité de Joe Biden à mener la course à la Maison Blanche.
De son côté, Donald Trump a remis en cause les capacités intellectuelles de Joe Biden, déclarant : “Je ne sais même pas pourquoi nous débattons. Cet homme n’est pas capable de gouverner, je le sais, vous le savez.” Le candidat républicain a également mis l’accent sur la menace que représenteraient, selon lui, les immigrés clandestins pour la sécurité des États-Unis.
En matière de politique étrangère, Donald Trump a affirmé que la guerre en Ukraine n’aurait jamais eu lieu si les États-Unis avaient eu un “leader”. Il a également critiqué les milliards de dollars dépensés par les États-Unis pour soutenir l’Ukraine dans son conflit avec la Russie. Trump a aussi accusé son rival démocrate de se comporter “comme un Palestinien” dans le conflit israélo-palestinien.
Un second débat entre les deux candidats est prévu le 10 septembre.
10:56 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 28 juin 2024
Guingamp (22) : agression contre les militants de Reconquête! et contre Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, venu les soutenir.
Tout avait bien commencé...
Ce vendredi matin se déroulait à Guingamp, dans les Côtes d'Armor, le grand marché hebdomadaire. Danielle Le Men, candidate de Reconquête! dans la circonscription, et son suppléant Patrice Riou, avec une dizaine de militants, avaient organisé un tractage dans le cadre légal de la campagne électorale. Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, accompagné de quelques amis, est venu pour les soutenir. Rappelons que Danielle Le Men est l'une des initiatrices de la révolte contre le projet de grand remplacement qui menaçait, en 2022, Callac, ville voisine.
Au début, tout se déroulait dans une ambiance plutôt bon enfant, les militants de chaque parti présent gardant leurs distances avec les autres. Mais, tout à coup, un histrion antifa surgi d'on ne sait où, agressa notre directeur, lui arrachant ses tracts et les jetant haineusement par terre. Notre "courageux" gaillard, son méfait accompli, s'est enfui aussi vite qu'il était arrivé. Intervention de la Police municipale et tout aurait pu s'arrêter là.
Un quart d'heure plus tard, nouvelle agression contre les patriotes. Roland Hélie est à nouveau violemment pris à parti par un groupe de personnages, dont l'un visiblement sous une quelconque emprise, tenta de le pousser. L'inconscient ne savait pas qui il agressait et, surtout, il ne connaissait pas la capacité de réaction des camarades qui l'entouraient. Complètement ivre de haine, éructant des menaces insultantes, il finit par abandonner la partie après avoir blessé et jeté à terre l'un des nôtres. Très vite, de nombreux Guingampais présents, horrifiés par la violence de l'agression, se sont solidarisés avec les militants de Reconquête!.
Deux plaintes ont été aussitôt déposées par Roland Hélie et par le militant blessé à la gendarmerie de Guingamp. Affaire à suivre...
S N
...puis survinrent les agresseurs
qui jetèrent à terre un militant de Reconquête! avant de s'enfuir lamentablement.
21:16 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tribune libre : Notre candidature malgré tout
responsable Reconquête!
dans la 4e circonscription
des Côtes d'Armor
Sollicité et encadré par une patriote chevronnée, j'avais assisté en 2021 à la naissance de Reconquête! dans mon département, sous l'impulsion de gens très bien que j'estimais particulièrement. Adhérant totalement à la démarche d'Eric Zemmour et militant alors sur ma circonscription, j'avais participé de façon très active à la campagne pour l'élection présidentielle de 2022, puis aux élections législatives qui ont suivi en tant que suppléant de la candidate retenue (quatrième circonscription des Côtes d'Armor).
Le groupe local que nous formions avait continué la lutte ensuite, avec l'aide inestimable de Riposte Laïque notamment (mais aussi Breizh Info et de Synthèse nationale...), en s'opposant victorieusement, à Callac, au projet Horizon, soutenu par l'équipe municipale en place, d'implanter des dizaines de familles de migrants.
Parce que cela correspondait tout à fait à l'ambition de Reconquête! de stopper le flux migratoire qui menace d'extinction notre pays, notre civilisation, nous avions soutenu « l'Association des amis de Callac et des environs », ainsi que son inspiratrice et Présidente actuelle Danielle Le Men.
À ce jour, je suis très présent dans cette association, où, seul maintenant de Reconquête!, je contribue à bâtir la candidature de Danielle aux prochaines élections municipales, pour faire sens à notre action et lui donner une continuité.
Ainsi, quand à la suite des élections européennes, où nous nous sommes fortement mobilisés dans ma circonscription, la surprenante dissolution par Macron de l'Assemblée nationale nous a plongé soudainement dans une autre campagne, mon délégué départemental m'a demandé : « y-a-t-il un candidat possible sur ton secteur ? », il pensait naturellement à Danielle... et à moi comme suppléant pour l'épauler cliquez ici. Parce que Callac est un symbole dans toute la France et doit le rester.
Ceci dit, moins Danielle que moi d'ailleurs car elle n'est pas encartée (mais reste fidèle par reconnaissance à Reconquête!), nous avions aussi à nous déterminer par rapport à un autre événement, à savoir la scission entre Marion Maréchal et Eric Zemmour qui était survenue entre-temps comme un tremblement de terre et qui me posait évidemment un dilemme.
20:53 Publié dans Législatives 2024, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un jour, il faudra qu’ils payent pour tout cela !
Bernard Germain
Némésis… vous connaissez ?
Dans la mythologie grecque c’était la déesse de la vengeance et de la justice divine, la personnification grecque du châtiment.
Aujourd’hui, c’est une association féministe composée de jeunes femmes fort courageuses qui défendent la cause des femmes, sans limiter leurs actions à ce qui est acceptable pour les bien pensants et la gauche.
Cela veut dire que contrairement à tant de mouvements féministes, si des membres de la diversité sont responsables d’agressions contre des femmes, Némésis les dénonce impitoyablement et sans état d’âme contrairement à toutes les « féministes » style Caroline de Haas qui font silence dans ce cas. Caroline de Haas... vous savez celle qui disait à ceux qui s’étonnaient de son silence suite à tous les viols commis par des migrants à Cologne (2015-2016) « Allez déverser votre merde raciste ailleurs ». C’est elle aussi qui déclara à propos des agressions sexuelles commises par des migrants dans le XVIII° arrondissement à Paris, « il n’y a qu’à élargir les trottoirs ». Et la quasi totalité des mouvements féministes sont à cette image en matière de « violences faites aux femmes ». Leurs indignations sont à géométrie variable. Si l’auteur est un migrant membre de la diversité, c’est raciste de le dénoncer et il convient de taire ce que leurs victimes ont subi. Par contre si c’est un blanc, là c’est l’hystérie et une nouvelle preuve qu’il faut détruire cette société patriarcale, ce qui provoque un déchaînement délirant de ces mouvements et de leurs adhérentes.
Alice Cordier qui a 26 ans, est la fondatrice (en 2019) et la directrice du collectif Némésis. Elle est présentée dans la quasi totalité des médias bien pensants comme une militante « d’extrême droite ».
Raphaël Arnault, le chef des antifas de Lyon (Jeune Garde) grand ami de Mélenchon et candidat du Nouveau Front Populaire à Avignon sous l’étiquette LFI, a prévenu Alice Cordier : « Si elle vient à Lyon, ce sera une balle dans la tête ». La gauche aussi déteste Alice Cordier et les militantes de Némésis.
Ainsi, à peu près à chacune de leurs actions, elles subissent des insultes et presque à chaque fois des coups donnés généreusement par de courageux hommes qui leur tombent dessus en prenant soin d’être masqués pour ne pas être reconnus.
La seule fois où Némésis n’a pas subi de violence, c’était en novembre 2022, lors d’une manifestation du groupe féministe « NousToutes ». Et pourquoi furent-elles acceptées ce jour là ?
Parce que les militantes Némésis étaient présentes dans le cadre d’une opération « troll ». Elles étaient voilées comme de bonnes musulmanes et portaient des pancartes indiquant : « Ma burqua, mon choix », « Féministe ET islamiste », « Que la race blanche s’éteigne »,… etc.
Tout s’était très bien passé. Personne n’était venu les inquiéter pour ces pancartes pourtant inacceptables.
18:26 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le grand bazar hexagonal
La tribune flibustière de Georges Feltin-Tracol
La déflagration des législatives anticipées décidées au soir du 9 juin recompose un paysage politique hexagonal désormais électrisé. Se confirme aussi l’existence de trois ensembles électoraux antagonistes aux contours mouvants et inégaux.
La « coalition nationale » aimantée par le Rassemblement national (RN) accélère la décomposition des Républicains (LR), ce centre-droit progressiste chiraco-sarkozyste. LR sont depuis longtemps divisés en écuries présidentielles rivales : Nous France de Xavier Bertrand, le président du conseil régional des Hauts-de-France, Nouvelle Énergie du maire de Cannes, David Lisnard, Soyons libres ! de Valérie Pécresse, la présidente du conseil régional d’Île-de-France ou Du courage ! du député du Lot Aurélien Pradié. L’alliance conclue entre Éric Ciotti, toujours président LR, et le RN a provoqué la colère de ces personnalités ainsi que celle de Gérard Larcher, le président du Sénat, de Laurent Wauquiez, le président du conseil régional Auvergne – Rhône-Alpes, et de Bruno Retailleau, le président du groupe des sénateurs LR. Tous ces critiques adoptent un comportement suicidaire digne de la secte de l’Ordre du Temple solaire.
Ils se pensent toujours en quatrième force à la fois opposée au RN, à la gauche et au macronisme. En réalité, dans des départements (Hauts-de-Seine, Yvelines, etc.), se nouent entre les caciques LR ou centristes et les cadres de la Macronie des accords électoraux favorables tantôt aux uns, tantôt aux autres. Marqués par un anti-lepénisme primaire et obsessionnel, les dirigeants LR anti-Ciotti s’illusionnent sur leur audience véritable. Certes, ils gardent une emprise notable sur les collectivités territoriales, mais ils n’intègrent pas que les élections européennes sont le troisième gadin consécutif après 2017 et 2022 sur quatre élections nationales.
Les temps changent. Le RN a acquis un poids électoral indéniable. En dépit de sa ligne sociale-populiste « ni gauche, ni droite », il bouleverse les équilibres politiques et entreprend la satellisation des « droites » conservatrice et identitaire. Il y aurait eu « union des droites » si ces forces s’équivalaient à peu près aux élections. Or, entre les 31,37 % de Jordan Bardella aux européennes, les 7,25 % du LR François-Xavier Bellamy et les 5,47 % de Marion Maréchal, le RN transforme son nouveau partenaire LR en aile gauche du marinisme, et Reconquête !, en aile droite, sans oublier la frange souverainiste.
La période repoussoir est finie. Dans cette coalition nationale se présente dans la 2e circonscription du Territoire de Belfort l’ancien chroniqueur de CNews et ex-chevènementiste Guillaume Bigot. Sociétaire de l’émission « Bistrot Libertés » aux premiers temps de TVLibertés alors qu’il suivait des cours de droit à l’université, Pierre Gentillet, l’avocat qui défend Academia Christiana, est candidat dans la 3e circonscription du Cher. Rédacteur trentenaire à Éléments, auteur de quelques essais et invité régulier à Radio Méridien Zéro, Rodolphe Cart est candidat suppléant dans la 2e circonscription de Paris.
09:19 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |