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jeudi, 20 mars 2025

Le Jarl, c’est mon nouveau modèle…

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Bernard Germain

Cette extrême gauche et ces bien pensants sont impayables. Il n’y a quasiment pas une manifestation sans qu’ils ne provoquent des violences, directement ou via les antifas et souvent ensemble. Jamais la presse bien-pensante (L’HumanitéLibérationLe MondeMédiapartOuest France,…) ne les dénonce comme étant une menace pour la démocratie et notre société. Pas plus qu’elle ne dénonce les actes souvent odieux qu’ils commettent.

On en a eu deux beaux exemples ces derniers temps.

D’abord le 8 mars, jour des « droits de la femme ». On a vu ce jour là, les Némésis être virées manu militari de la manifestation par les antifas et la gauche car elles osaient dénoncer les viols subis par les femmes blanches victimes de migrants sous OQTF. Et pensez donc, elles exigent en plus l’expulsion de France des coupables. Inacceptable !

Idem pour l’association « Nous vivrons », organisation constituée par des femmes juives qui dénoncent les viols du 7 octobre 2023 en Israël et tous ceux que subissent les femmes juives ainsi que les violences qui les frappent un peu partout y compris en France. Elles aussi ont été virées brutalement. Non mais, des juives vont venir dire à la gauche sur quoi protester ? Vous n’y pensez pas.

D’ailleurs, quand les violences sont exercées par la gauche et les bien-pensants, c’est normal. Puisque c’est l’extrême droite qui est visée, on ne peut qu’applaudir. Précisons que l’extrême droite commence à la droite de la LFI de Mélenchon. Ça fait donc du monde, susceptible d’être condamné et frappé…

De même personne à gauche n’a trouvé à redire quand des membres de la manifestation de gauche on tagué sur les murs « une rafale pour Cordier » (la responsable de Némésis). Sauf erreur de ma part, cela s’appelle une menace de mort tout comme l’a fait Raphaël Arnault (député LFI) et chef des antifas de Lyon (la Jeune Garde) quand il a dit « si Alice Cordier vient à Lyon, ce sera une balle dans la tête ».

Aucune poursuite pour lui de la part d’un procureur. Par contre à Mulhouse, lors du rassemblement pour la mémoire de l’homme tué à coups de couteau par un algérien sous OQTF, lorsque deux jeunes de l’Action Française ont crié « Stop au francocide », et « expulsez les OQTF, bande de lâches ! », là la foudre est tombée immédiatement sur eux et le procureur a engagé séance tenante des poursuite contre eux. Non mais sans rire, comment peut-on se permettre de demander l’expulsion des OQTF ? Ils se croient où ces jeunes « d’extrême droite » ?

Voilà ce qu’est la France de Macron après bientôt huit ans de règne. Un règne qui aura contribuer dans des conditions incroyables à la destruction méthodique de notre pays.

Et les éléments qui précèdent ne sont qu’un petit aperçu de ce qu’est devenu notre pays en moins de dix ans par la conjonction des actions de ce président et des forces de gauche soutenues par les médias « progressistes ».

Pourtant, dans ce décor lugubre, de temps en temps une éclaircie se manifeste, qui contribue à nous prouver que tout n’est pas perdu et que si on se bouge, les destructeurs de notre pays peuvent être amenés à en rabattre sérieusement.

C’est ce qui s’est passé à Rennes, ville devenue complètement pourrie sous l’heureuse conduite de la gauche. Les agressions y sont innombrables, la drogue est partout, les migrants aussi, notamment les célèbres « mineurs isolés » dont l’immense majorité ne sont ni mineurs ni isolés.

Pourtant dans cette ville, il est un lieu préservé de tout cela. C’est une boîte de nuit dénommée le « 1988 ». Le directeur adjoint et responsable de la sécurité est Yovan Delourme, dit « le Jarl » (chef de guerre) qui pilote son établissement d’une main ferme. Les règles sont simples et connues. Personne n’y échappe. Le résultat est que c’est le seul endroit de Rennes où les jeunes peuvent venir faire la fête en toute sécurité.

Tous les jours, des couteaux sont confisqués, de la drogue, etc. Et les fauteurs de troubles sont impitoyablement flanqués dehors sans retour possible.

Le Jarl a écrit un livre (Ça va mal finir) pour expliquer tout cela et dire que ce qu’il fait dans son établissement pourrait et même devrait être fait à l’échelle du pays. Ce qui permettrait à la France de retrouver le calme et la sérénité.

Sa méthode est toute simple : des règles claires et fermes et si le besoin existe du fait de la violence des coupables on oppose une violence plus forte pour faire cesser les troubles.

Malheureusement, du fait de la lâcheté de l’immense majorité de la classe politique, ce qui pourrait être fait ne l’est pas et nous sommes tombés dans une sacrée ornière.

C’est dans ce contexte que dans la nuit du 8 au 9 mars, des antifas pour la plupart, se croyant tout permis sont venus faire une « teuf » dans un cinéma désaffecté, juste à côté du 1988. Violation de domicile caractérisée puisqu’ils ont forcé les portes qui étaient fermées. On rappelle au lecteur que l’article 73 du code pénal dispose « Dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche ».

Le Jarl a donc commencé par prévenir la police en demandant qu’elle vienne faire évacuer les lieux, notamment parce qu’il y avait une queue de plusieurs dizaines de personnes devant le 1988, personnes dont le Jarl devait assurer la sécurité.

Au bout d’un certain temps, et même d’un temps certain, quinze policiers sont arrivés (il n’y a que cela comme effectifs disponibles la nuit sur Rennes). On n’oubliera pas non plus que c’est à Rennes qu’il y a quelque temps la police avait mis une heure pour intervenir en fin de journée alors que des dealers se battaient à coups de Kalachnikovs.

Cette nuit du 8 au 9 mars, en face, dans le cinéma, ils étaient 3 à 400 personnes dont une bonne partie était alcoolisée et même défoncée. Au bout d’un moment la police a envoyé des lacrymogènes pour faire évacuer les lieux vu qu’ils n’étaient pas assez nombreux pour intervenir physiquement.

C’est là que les problèmes ont commencé…

Les antifas sont sortis par les issues de secours juste devant la boîte 1988. Le Jarl et son équipe (une quinzaine de personnes) étaient là devant leur entrée pour protéger les clients qui faisaient la queue en attendant de pouvoir accéder à l’établissement.

Et bien sûr, les antifas ont commencé à jeter des bouteilles sur les clients du 1988.

Ni une ni deux, le Jarl et ses gars ont commencé à intervenir pour faire cesser ces actes inadmissibles.

Au final, ils ont réussi à faire fuir ces antifas, très agressifs et courageux à 30 ou 40 contre un, mais là ils couraient assez vite en criant de loin. De très loin. Comme en attestent les vidéos tournées ce soir là.

Le plus fort étant que ces antifas ont prétendu être les victimes de violences insupportables de la part du Jarl et de son équipe.

Inversion complète de la réalité, comme d’habitude. Et comme d’habitude aussi, la presse, constamment silencieuse sur les méfaits de ces antifas, a accusé et continue de le faire, le Jarl qui a évité par son action que ses clients ne soient blessés.

Pitoyable tableau que l’on retrouve partout en France. Le 8 mars à Paris et dans la nuit du 8 au 9 mars à Rennes. Et c’est comme cela partout et tout le temps à travers notre pays.

Pour la gauche et les bien-pensants : les antifas n’ont pas envahi le cinéma en violant un domicile privé. Il n’ont pas organisé une « teuf » sans aucune autorisation. Ils n’ont pas commis de dégâts à l’intérieur du cinéma, ils n’ont pas dealé ni consommé de drogue, ils n’ont pas jeté de canettes en verre sur les clients du 1988 pour se venger d’avoir été délogés par la police sur appel du directeur du 1988. On vous le dit, ils n’ont rien fait. Ce sont des victimes. Ils étaient blancs comme neige.

Par contre le seul responsable, le seul méchant, le vrai gros facho, c’était le Jarl et son équipe qui, pour protéger leurs clients, n’ont pas laissé faire les antifas. Et leur ont même fait pan-pan cul-cul en leur disant « allez zou… au lit ».

Cette presse bien-pensante est la honte de sa profession. De véritables auxiliaires de la gauche et des antifas. Pas des journalistes, des propagandistes.

Par contre le Jarl nous montre, à cette occasion, que lorsque l’on ne se laisse pas impressionner, ni faire par ces gauchistes dégénérés, souvent avinés et drogués, les choses ne se passent pas bien pour eux qui sont les véritables fauteurs de troubles.

C’est indiscutable, il nous faudrait plus, beaucoup plus de Jarl en France.

"Ça va mal se finir", Le Jarl, 372 page, 21,00 € 

12:25 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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