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mercredi, 19 mars 2025

L’entente Russie-Etats-Unis, bis repetita placent

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Le billet de Patrick Parment

C’est presque avec étonnement que les médias s’étonnent de la soudaine complicité entre les Etats-Unis et la Russie. Au sujet de l’Ukraine et dont celle-ci n’est qu’un prétexte pour redessiner la carte du continent.

Il n’est guère possible de faire de la diplomatie en ignorant l’histoire. Sans remonter très loin, il suffit de jeter un œil sur la Seconde Guerre mondiale et les rapports Roosevelt-Staline où ce dernier roula dans la farine un président américain malade autant qu’handicapé.  La Deuxième Guerre mondiale s’est-elle jouée lors de la fameuse conférence de Téhéran du 28 novembre au 1er décembre 1943 ? C’est ce que pense Henri-Christian Girault* dans un article fort documenté et éclairant du Figaro hors-série consacré à 1945 et la défaite de l’Allemagne.

L’historien militaire américain, Carlo d’Este (1936-2020), écrit : « Depuis le début la politique américaine durant la Seconde Guerre mondiale donna constamment la priorité à l'action militaire directe sur les considérations politiques. Churchill, tout au long du partenariat avec les Américains se battit pour introduire dans la pensée américaine une grande vision stratégique qui incluait l'endiguement des ambitions russes, même si la Russie était devenue une alliée dans la lutte contre Hitler, Churchill était sensible à la menace qu’il croyait percevoir d’une domination russe sur l’Europe de l’Est après la guerre, et sa méfiance à l’égard de Staline ne cessa de grandir ».

D’où l’opposition du Premier ministre anglais à l’égard de l’opération « Overlord », à savoir le débarquement en Normandie. Churchill voulait avec raison couper la route aux troupes russes en Europe de l’Est, d’où son choix d’un débarquement en Provence, qui aura lieu tout de même mais qui se révèlera au final inutile. Et dans cette affaire, Eisenhower, balancé patron des troupes alliées par Roosevelt, n’était qu’un pion dans la partie d’échec qui se jouait. Roosevelt a imposé à Eisenhower l’application stricto sensu des décisions stratégiques de la conférence de Téhéran de 1943. A savoir le partage américano-soviétique du continent européen. Et pour vendre sa salade, le roué Staline fit remarquer à Roosevelt que l’Union soviétique présentait un grand marché pour son pays. Une fois de plus le commerce l’emportait sur la politique.

On notera au passage que le général Giraud était largement favorable à une offensive danubienne dès 1943. Idée combattue par De Gaulle rallié au plan américano-soviétique en raison de ses liens particuliers avec Staline.

Comme l’écrit Henri-Christian Giraud, le 4 février 1945, « lors de la conférence de Yalta, d’entrée de jeu Roosevelt tient à se démarquer en tout de Churchill, notamment en sapant ses projets stratégiques et parfois même en se moquant de lui, de façon à bien marquer sa complicité avec Staline, lequel se montre habile et sûr de lui (…) De la Baltique à l’Adriatique, s’abat déjà dans son esprit (de Staline), un futur rideau de fer. »

Eisenhower reconnaîtra dans ses Mémoires, qu’il « était loin de prévoir la lutte implacable qu’allait engendrer l’antagonisme de nos idéologies (…) depuis la conférence de Téhéran en 1943, lorsque Staline, soutenu par Roosevelt, avait défini la stratégie alliée à l’Ouest, l’Europe était vouée à être partagé en faveur de Staline ».

Le 8 mai 1945, jour de la signature de la capitulation allemande, le général Patton déclara devant les journalistes : « Nos politiciens à Washington et Paris ont réussi à se débarrasser d’un salopard, tout en facilitant l’installation d’un autre, encore plus maléfique que le premier… Nous aurons besoin de toute l’aide du Seigneur pour pouvoir vivre dans le même monde que Staline et ses égorgeurs ».

On dit que l’histoire ne repasse pas les plats. Ce n’est pas tout à fait exact. Donald Trump, qui n’est pas pour autant Roosevelt, pas plus que Poutine n’est Staline, n’en renoue pas moins avec une vielle tradition inaugurée à Téhéran en 1943, le partage du monde et accessoirement de l’Europe. A une nuance près, que ce face à face est désormais perturbé par l’entrée de la Chine dans le concert non plus des nations mais des blocs.

Les Européens vont-ils payer l’addition ? Une fois de plus nous allons payer l’indigence de nos politiques. Car l’Europe ne manque pas d’atouts. Outre qu’elle possède une industrie, certes malmenée, des armées, quasiment désarmées, une industrie nucléaire performante, elle peut aussi compter sur ses cerveaux dans tous les domaines de la recherche. Mais, le hic, est que sans volonté politique, il n’y a pas de chemin possible. Donald Trump a fait de la politique un commerce comme l’écrit Alain de Benoist quand Poutine et Xi-Jinping font de la real politique. On a du mal à croire que nos responsables politiques soient aussi aveugles. D’où ma question : qui gouverne ?

(*) Henri-Christian Giraud est journaliste et historien. On lui doit un remarquable ouvrage De Gaulle et les communistes (Perrin, 2020). 

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SUITE À L'INTERDICTION DE LA CONFÉRENCE DU CERCLE TRÉGOR & GOËLO À LANNION (22) : LE CERCLE CONTESTE LES ARGUMENTS DU MAIRE

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La mairie de Lannion (22)

Mardi matin, François Floc'h, vice-président du Cercle Trégor & Goëlo et ancien conseiller municipal de Lannion, s'est rendu à la mairie de Lannion pour remettre au maire, M. Paul Le Bihan (PS), la réponse suivante à l'arrêté municipal qui, jeudi dernier, a interdit la tenue d'une conférence privée organisée, comme c'est régulièrement le cas, par le Cercle et au cours de laquelle devait être projeté la film "Silenced" réalisé par le journaliste anglais Tommy Robinson cliquez ici.

Voici le texte remis par François Floc'h en main propre au maire ainsi qu'à la presse locale.

 Objet : En contestation de l'argumentation de justification de l'arrêté municipal N° DSG_2025_0073 du 13 mars 2025 

À Monsieur le Maire de Lannion

 Monsieur le Maire,

Le jeudi 13 mars dernier, vous m'avez reçu en mairie pour me remettre l'arrêté municipal N° DSG_2025_0073 interdisant la projection du film "Silenced" dans la salle Yves Le Faucheur, ce même jeudi 13 mars 2025.

À 11 h 25, j'ai signé le bordereau d'envoi attestant que votre arrêté m'avait bien été remis en main propre. Je vous avais indiqué alors que nous prenions acte de cette interdiction que nous ne contesterions pas. Notre petite association n'ayant ni les  moyens ni la volonté de le faire. Et que, bien sûr, nous respecterions cette interdiction. Voilà une belle acceptation "citoyenne", convenez-en ! Et nous nous sommes quittés en nous serrant la main comme le font les gens civilisés.

Mais, signer le bordereau d'envoi ne veut pas dire que j'exprimais ainsi mon accord avec l'argumentation qui tentait de justifier cette interdiction. C'est donc ici que je veux contester fermement vos "Considérants" spécifiques à l'affaire du film Silenced. 

1 – Vous commencez par appuyer votre argumentation sur le fait que ce film est interdit en Grande Bretagne. Il est surprenant que la loi de notre voisin, qui a quitté l'Union européenne, devrait s'appliquer chez nous ! Et que vous approuveriez en quelque sorte l'emprisonnement du réalisateur du film, nous Français qui nous vantons d'appartenir à la patrie des droits de l'homme !

De plus, je pensais naïvement qu'un arrêté municipal, acte administratif, s'appuyait sur des arguments factuels et neutres politiquement. Mais vous qualifiez bien vite d'extrême droite le réalisateur emprisonné Tommy Robinson qui est surtout le dénonciateur courageux des viols de masse de jeunes filles anglaises par des gangs pakistanais alors que le Premier ministre anglais actuel était procureur général. C'est là le cœur du scandale.

Je pense que vous ne pouvez que vous solidariser avec les pauvres victimes de cette affaire monstrueuse !

2 – Monsieur le Maire, vous continuez dans la même veine en "CONSIDÉRANT que le film contient des propos complotistes et promeut des idées racistes, de nature à attiser la haine et la discrimination et porter atteinte à la dignité de la personne humaine". L'utilisation de la forme grammaticale du conditionnel aurait manifesté de votre part plus de prudence quant au contenu du film que vous n'avez pas visionné. Reprendre les allégations calomnieuses de vos voisins politiques ne fait pas vérité !

Et il y a là une incohérence à empêcher la projection d'un film qui, justement, dénonce des pratiques inhumaines qui avaient été cachées par les autorités anglaises.

Hélas, les "propos" du film ne sont en rien complotistes car les faits de violences sexuelles sont totalement avérés !

Ah ! Je pense aux responsables, de là-bas et d'ici, dont la conscience viendra un jour les tourmenter !

3 – CONSIDÉRANT que la projection est ouverte au public par une réservation par le biais des réseaux sociaux et n'est pas réservée aux seuls adhérents de l'association…

Monsieur le Maire, je ne vais pas chipoter avec vous sur ce point. La projection était effectivement ouverte sur réservation mais avec un filtrage que l'on peut qualifier "de sécurité" pour éviter les intrusions malveillantes susceptibles d'entraîner des violences. Qui, de bonne foi, pourrait nous le reprocher ? Les événements nous l'ont confirmé.

4 – CONSIDÉRANT que l'annonce de cette projection du film "Silenced" le 13 mars 2025 a été relayée par la presse numérique locale et a suscité la réaction de la députée LFI Murielle Lepvraud, parue dans la presse numérique locale…

Ce "Considérant Murielle Lepvraud" est carrément surréaliste ! En effet, être dénoncé – vieille pratique trotskiste – par une élue LFI est fort cocasse. Cette mouvance que nombre d'observateurs politiques qualifient d'islamo-gauchiste se vautre toujours un peu plus dans l'ignoble, par ses déclarations, ses colloques, ses votes, ses publications, et maintenant par ses affiches antisémites scandaleuses représentant Cyril Hanouna ! Une sorte de reconstitution du pacte germano-soviétique des deux compères Hitler et Staline ! Inquiétant !

Monsieur le Maire, vous n'allez pas me dire que vous vous solidarisez avec les dires et les actes de ces encombrants voisins politiques ?

5 – CONSIDÉRANT qu'une association lannionnaise a également alerté l'autorité municipale de la projection du film…

Monsieur le Maire, vous serez sûrement d'accord avec moi pour dire que l'on ne peut nous reprocher une certaine discrétion dans l'annonce de notre réunion – sur nos réseaux numériques et non pas dans la presse locale – et vous vous appuyez, sans la nommer, sur une "alerte" d'une association locale.

Est-ce une association domiciliée dans les locaux municipaux de la rue de Kerampont ? Une association qui y aurait un local mis à disposition par la commune ?

Reconnaissez-le, ce serait là de drôles de mœurs !

6 – Et, vous terminez en beauté, si je puis dire, en "CONSIDÉRANT que les troubles à l'ordre public sont avérés, notamment à l'extérieur de la salle située dans le bourg de Buhulien, à proximité d'habitations".

À deux occasions au moins, notre association a organisé des réunions en ce lieu, justement pour que la quiétude soit préservée. Et tout s'était parfaitement passé. Aucun trouble n'était "avéré" et s'il y avait crainte ce n'était pas de notre fait !

L'autre soir, la réunion ayant été annulée, c'est nous qui avons demandé à la police nationale, par un appel téléphonique, d'envoyer une patrouille pour sécuriser les lieux.  Et, il n'y a pas eu dispersion comme l'a écrit un journaliste mal intentionné car nous ne sommes jamais montés jusqu'à la mairie annexe mais sommes restés plus bas au rond-point, pour accueillir nos amis qui n'auraient pas été prévenus de l'annulation de la projection.

Tout cela, vous le savez sans doute directement par le commandant de la police nationale.

Mais, ce qui peut interpeller, comme l'on dit aujourd'hui, c'est de voir une sorte de brigade de pompiers pyromanes en manque d'incendies, ou plutôt une milice privée  "autorecrutée", se mettre en place sur les lieux pour "faire respecter l'arrêté municipal", dixit la presse. Un peu bizarre, non ?   

Il faut conclure…

Cette triste affaire se termine, bien pour la tranquillité dans l'espace public, très mal pour la liberté d'expression. La fois précédente le thème de notre réunion était "Les éoliennes et question énergétique". Un sujet éminemment xénophobe, vous en conviendrez ! Pour la prochaine rencontre, nous pensons inviter un journaliste "numérique" pour nous parler de la liberté d'expression sur la toile. Aurons-nous encore accès à une salle municipale ?

En ces temps mauvais, les atteintes à la liberté d'expression qui se multiplient prennent même des allures d'atteinte à la liberté de pensée. Voir l'affaire de la chaîne TNT C8 ! Tout cela est inquiétant !

La liberté d'expression, la vraie, celle en acte, sera un beau sujet pour les prochaines élections municipales qui approchent. Les candidats potentiels commencent à en rêver. Et même, pour certains, à s'organiser.

Sans aucun doute, à Lannion comme ailleurs en France, le thème de la liberté d'expression sera au cœur de la campagne électorale. La cohérence sur cette question d'importance sera un gage de crédibilité des candidats !

Acceptez, Monsieur le Maire, l'expression de mes sentiments respectueux. 

François Floc'h, conseiller municipal de Lannion au siècle dernier !

Déclaration remise à Monsieur le Maire de Lannion lors ma rencontre avec lui, en mairie, ce 18 mars 2025.

Sur cette affaire , lire aussi :

Breizh info : Projection de « Silenced » signé Tommy Robinson, en Trégor ce jeudi 13 mars : la dérive totalitaire de LFI qui veut interdire la projection par la voix de Murielle Levpraud cliquez là

Reconquête ! : Suite à l'interdiction de la projection de "Silenced" à Lannion : la réaction nationale prend forme. Reconquête condamne cette interdiction... cliquez ici

Riposte laïque : Pierre Cassen solidaire du Cercle Trégor et Goëlo cliquez là

08:28 Publié dans François Floc'h | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mercredi19 mars à 19 h :

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mardi, 18 mars 2025

Quand Macron s’en va en guerre… mironton, mironton, mirontaine

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La chronique de Philippe Randa

« Si vis pacem, para bellum » : préparer la guerre si on veut la paix ! Cette maxime est vieille comme le monde et parfaitement exacte, qui dirait le contraire ? Personne, bien sûr, mais – car il y a souvent un « mais » dans toute vérité – certains esprits grincheux pourraient ajouter qu’il faudrait encore en avoir les moyens ! Ou à défaut de les avoir, se les donner. Au mieux et au plus vite !

Un aspect des choses qui n’a semble-t-il pas effleuré le président Macron qui s’est empressé de sonner le tocsin de la mobilisation armée auprès de ses homologues européens après que Donald Trump, sitôt de retour à la Maison-Banche, ait sonné, lui, celui pour la paix entre la Russie et l’Ukraine en renouant des contacts diplomatiques avec le Kremlin.

Première conséquence dans notre pays : la fracture visible entre une majorité de la classe politique qui n’ose le contredire ouvertement et lui reprocher ses sautes d’humeur belliqueuses… et l’immense majorité de la population ne goûtant guère l’idée de verser le sang de ses enfants à l’autre bout du continent pour des enjeux qui ne la concerne guère.

Car nombre de commentateurs ont beau répéter inlassablement que Vladimir Poutine ne s’arrêtera pas à une Ukraine en partie dévorée, les mêmes esprits grincheux – toujours ! – ne manquent pas aussitôt de rétorquer : quelles raisons aurait-il d’attaquer un ou plusieurs autres pays qui ne le menacent en rien… sinon en d’inutiles sanctions économiques, comme on l’a vu depuis trois ans.

Des sanctions économiques qui devaient, certes, « provoquer l’effondrement de l’économie russe » selon l’ancien ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire, celles-ci étant d’une « efficacité redoutable » (dixit le même) : on sait désormais ce qu’il en est en Russie où « après un gros creux en 2022, année du déclenchement de la guerre, la croissance a été dynamique. Le pays le plus sanctionné au monde a vu son PIB croître de 4,1 %, selon son Premier ministre Mikhaïl Michoustine » (source : Service fédéral des statistiques de l’État russe Rosstat).

Certes, on peut toujours douter de la crédibilité de Rosstat, bien sûr, mais sans doute moins que de la dette publique de notre pays qui atteignait quelque 3 300 milliards (et les charges d’intérêt à 59 Md€) lorsque le même Bruno Le Maire quitta ses fonctions à l’automne 2024.

De plus, si « l’ogre russe » – comme le surnomme désormais fréquemment la presse mainstream de notre pays – n’a guère de raisons de vouloir conquérir tout ou partie du vaste Monde, en aurait-il les moyens ?

On peut en douter quand, après trois années de guerre en Ukraine, ses troupes n’occupent « que » 125 000 km2, soit 20,7 % du territoire ukrainien.

On se doute bien que ce n’était pas le plan prévisionnel estimé par le Kremlin lorsqu’il déclencha les hostilités en février 2022.

Difficile alors de vraiment paniquer comme l’actuel locataire de l’Élysée semble tant l’espérer en appliquant désespéremment cette autre maxime, certes dans un latin très approximatif, proche des cuisines, mais qui a toutefois l’avantage de pouvoir être facilement traduit : « Si vis continuare existare, ficha trouillarum » : Si tu veux continuer d’exister, fiche la trouille !

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17:41 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rod Dreher : Retrouver Dieu et défendre nos valeurs avec J.D. Vance

Rod Dreher, journaliste et intellectuel américain de renom, est de passage en France pour présenter son nouvel ouvrage "Comment retrouver le goût de Dieu dans un monde qui l'a chassé". Ami personnel du vice-président des États-Unis, J.D. Vance, Rod Dreher soutient ce dernier, qu’il considère comme une figure clé du renouveau conservateur aux États-Unis. Il apprécie son combat contre la sécularisation et son attachement aux valeurs chrétiennes et traditionnelles. Rod Dreher voit en lui un espoir pour restaurer une société enracinée dans la foi et l’identité culturelle. Il le perçoit comme un successeur potentiel à Donald Trump. Lors de cet entretien, le journaliste estime que Trump a le mérite de vouloir remplacer les institutions défaillantes plutôt que de simplement les réformer. Cependant, Rod Dreher est plus réservé sur la personnalité d’Elon Musk, qu’il considère comme un libertaire technologique et un chantre du transhumanisme.

En tant qu’observateur aguerri du monde contemporain, Rod Dreher constate que la sécularisation a vidé la foi de sa substance, rendant Dieu lointain pour beaucoup. Pourtant, il souligne que l’homme reste en quête de transcendance et d’émerveillement et qu’apparaissent des signes encourageants. S’appuyant sur l’histoire, l’anthropologie et le christianisme, Rod Dreher propose une voie pour retrouver une foi vivante. Il évoque les anges, les miracles et la lutte entre le bien et le mal comme des réalités spirituelles essentielles. Il critique également l’influence croissante du matérialisme et de la technologie, qui détournent l’humanité de la dimension mystique de l’existence. À travers des témoignages et des réflexions, il invite à redécouvrir le monde avec les yeux de la foi, au-delà de la pensée rationnelle, et à renouer avec la beauté et la profondeur du divin.

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La France macronienne humiliée par l'Algérie

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Thomas Joly, président du Parti de la France

Une fois de plus, nous assistons au spectacle pathétique d’un gouvernement français humilié par l’arrogance d'un pays sous-développé du Tiers-Monde. L’Algérie, ce « partenaire » fantasmé de nos élites bien-pensantes, refuse ouvertement de reprendre une soixantaine de ses ressortissants, pourtant visés par des Obligations de Quitter le Territoire Français (OQTF). Ces individus ne sont pas de simples clandestins perdus dans les dédales administratifs, mais bel et bien des individus dangereux qui mettent en péril l’ordre public et la sécurité des Français. Et que fait le gouvernement face à ce camouflet magistral ? Il agite timidement l'idée d'une « riposte graduée » que personne n'arrive même à définir.

Monsieur Retailleau, ce spécialiste de l’indignation feutrée et de la fermeté en mousse, nous promet une fois de plus des mesures rigoureuses qui se transformeront rapidement en discours creux et en formules aseptisées. Cette énième humiliation témoigne de la faiblesse abyssale de nos dirigeants face à l’oligarchie algérienne, cette caste incapable qui ne survit que grâce aux généreuses perfusions financières de la France et à la complaisance coupable de nos dirigeants pusillanimes.

Pourtant, les leviers de pression contre l’Algérie sont nombreux et évidents : réduction drastique voire suspension totale des visas, coupure nette des aides au développement, gel des transferts financiers et durcissement des contrôles sur les envois de fonds, révision immédiate des accords commerciaux, économiques et diplomatiques dont ce pays est tributaire. L’arrêt de l’envoi annuel de milliards d’euros serait déjà un début salutaire. Enfin, conditionner clairement toute négociation ou coopération à la reprise immédiate et sans conditions des ressortissants algériens indésirables sur notre sol.

L’immigration algérienne, il faut oser le dire clairement, est devenue un fléau national. Le communautarisme exacerbé, la délinquance massive, les tensions sociales explosives ne laissent aucun doute : la grande remigration, loin d’être une simple hypothèse, devient une impérieuse nécessité. Et c’est précisément par l’Algérie que doit commencer ce mouvement vital pour l’avenir de la France. Cessons de tendre l’autre joue à ceux qui nous méprisent. Il est temps d’agir avec force, détermination et, pour une fois, avec dignité.

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RAPPEL : samedi 5 avril, Paris, colloque de l'Institut Iliade

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18 MARS 1978 : FRANÇOIS DUPRAT ÉTAIT ASSASSINÉ

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lundi, 17 mars 2025

Le vrai nom du grand bordel mondial : arc-en-ciel - Martin Peltier

Derrière les discours de justice sociale, de diversité et de droits humains, se cache une stratégie globale visant à remodeler les sociétés occidentales. L’Empire Arc-en-ciel n’est pas une simple juxtaposition d’idéologies progressistes, mais un projet cohérent qui infiltre les structures politiques, éducatives et médiatiques pour imposer un ordre mondial où les repères traditionnels sont méthodiquement détruits.

L’écologisme, le wokisme, le LGBTisme et l’antiracisme ne sont que des outils de contrôle servant un but précis : affaiblir les nations, fragmenter les peuples et rendre les individus dépendants d’un pouvoir globalisé. Ce projet est orchestré par un réseau d’ONG, de médias alignés et de grandes institutions supranationales, exigeant un cadre idéologique inattaquable. Quiconque ose le contester est immédiatement marginalisé, accusé de haine et réduit au silence.

Loin d’être un simple organisme de coopération, l’Organisation des Nations Unies est le cœur du système qui ordonne ces dogmes à l’échelle mondiale. Derrière des concepts comme le développement durable, la justice climatique ou les droits sexuels, l’ONU agit comme une force de subversion qui transforme en profondeur les sociétés occidentales. Grâce à un soft power implacable, elle impose ses politiques aux États sous forme de normes globales. Son influence s’exerce à travers ses agences comme l’UNESCO, l’OMS ou l’UNICEF, qui interviennent directement dans les lois nationales, l’éducation et les médias.

Chaque crise est une opportunité pour renforcer ce contrôle. Pandémies, réchauffement climatique, tensions raciales, tout est utilisé pour accélérer la transition vers un nouvel ordre mondial. En imposant des politiques uniformes sous prétexte de bien commun, l’ONU sape les fondements des États et des cultures et impose un modèle sous lequel les décisions ne sont plus prises par les peuples, mais par une technocratie mondiale détachée de toute souveraineté nationale.

L’ingénierie du chaos est au cœur de cette stratégie. Plus une société est divisée, plus elle est facile à contrôler. La déconstruction des valeurs, l’effacement des traditions et la dissolution des identités nationales ne sont pas des phénomènes naturels, mais des étapes planifiées pour rendre les peuples malléables. La pandémie a servi de laboratoire pour tester des restrictions massives des libertés et préparer les esprits à une gouvernance globale sous prétexte de sécurité sanitaire. La crise climatique justifie des restrictions économiques qui affaiblissent les États-nations. La promotion de la lutte des minorités exacerbe les tensions et empêche toute union nationale.

Ce projet ne laisse place à aucune alternative. Loin d’être un simple mouvement idéologique, l’Empire Arc-en-ciel est une révolution totale qui vise à redéfinir le monde selon les intérêts d’une élite qui veut tout contrôler : les lois, les comportements, l’éducation, les croyances et jusqu’à la définition même de la réalité.

Martin Peltier lève le voile sur cette mécanique infernale sur Géopolitique Profonde avec Raphaël Besliu !

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Kivu : Quand les Africains broient du Noir !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

La République « démocratique » du Congo, l’ex-Congo Belge, est un accident de l’histoire, un véritable scandale géologique qui ne profite pas beaucoup à ses peuples. Ecrivons « ses » peuples, car l’on sait qu’en Afrique la notion de tribu, d’ethnie, a une importance considérable, contrairement à ce que voudraient nous faire croire, philosophes et autres psychologues nourris au lait d’un gauchisme étriqué. « Psy » qui n’ont des réalités africaines qu’une vision déformée par le prisme de l’idéologie.

Le professeur Bernard Lugan, a magistralement et définitivement tout dit à ce sujet.

« Chimères noires »

Contrairement à la France, dont la colonisation en AOF et AEF a tout de même produit des personnalités exceptionnelles – Léopold Sédar Senghor, Houphouët Boigny et autre cardinal Sara -, les Belges – Flamands comme Wallons -, n’ont pas voulu ou pas réussi à faire émerger de vraies élites capables de prendre les rènes du pays au moment de l’indépendance, le 30 juin 1960.

Résultats des courses, leaders médiocres – Lumumba par exemple, cheval de Troie du marxisme au « Congo Léo » comme on disait -, corruption, gabegie, anarchie, sécessions du katanga de Moïse Tschombé – « Monsieur tiroir-caisse » -, et du Sud-Kasaï, mercenariat et guerres tribales. Albert Kalondji, roi autoproclamé de cette dernière province sous le nom d’Albert 1er, visitait ses « sujets » sceptre à la main, couronne vissée sur le chef, et peau de léopard l’enveloppant de la tête aux pieds. Faux nez de la Forminière et autre Union minière - sociétés minières exploitant allègrement les sous-sols du Congo -, il disparut du théâtre congolais aussi vite qu’il était apparu.

Mobutu Sésé Séko, journaliste, sergent de la Force publique belge puis général de l’Armée nationale congolaise, mit tout le monde d’accord avec cette ANC dont il était devenu chef d’état-major, grâce aux mercenaires de Bob Denard, plus ou moins téléguidés par Paris. Il régna sans partage sur son Zaïre pendant 32 ans, défendant les intérêts occidentaux non sans se servir généreusement au passage. Il devait fuir son pays en mai 1997 sous les coups de l’armée de Laurent-Désiré Kabila, soutenu par le Front Patriotique Rwandais qui, déjà, s’ingérait dans les affaires de son voisin. Après son assassinat le 16 janvier 2001, son fils Joseph, né en 1971, devait lui succéder. Une sorte de « Républicanisme » héréditaire que l’on semble affectionner dans les pays du Sud….

C’est finalement un opposant, Félix Tshisekedi, un Pentecotiste de 61 ans, père de cinq enfants, exilé en Europe par Mobutu, qui réussit à se hisser au pouvoir le 30 décembre 2018. Réélu en 2023, c’est toujours le même qui gouverne à Kinshasa. Jean Lartéguy, brillant officier, célèbre reporter, écrivain reconnu avec ses romans « Les Centurions » et « Les Prétoriens », a magnifiquement raconté les premières années du Congo dans un bon roman, « Chimères noires », paru aux « Presses de la Cité »  en  1963.

Le Rwanda, un nouveau prédateur ?

Le génocide des Tutsis par les Hutus dans les années 1990, pour faire simple, est encore dans toutes les mémoires. Un homme a surgi de ce chaos, Paul Kagamé, un Tutsi fondateur du FPR, qui a fait gagner son ethnie, minoritaire, et qui gouverne sans partage un pays qu’il a remis en ordre. Depuis sa capitale modernisée, Kigali, il tire les ficelles de nombre de conflits dans la région des Grands lacs. Les Tutsis, une ethnie dynamique qui alimentait la dynastie des souverains rwandais et burundais, a gagné la guerre contre les francophones Hutus, soutenus par Paris.

Le Rwanda et son arrière-boutique ougandaise, ont joué le jeu des Anglo-saxons. La France a, péniblement, essayé de rattraper son retard, et de faire oublier son soutien sans partage aux Hutus sous l’ère mitterrandienne. On mesure aussi, à la lumière des échecs macroniens, les hésitations, les va-et-vient et les atermoiements nocifs d’une politique française en Afrique qui, in fine, nous fâche avec tout le monde, nous chasse de nos traditionnelles « citadelles » - Sénégal, Côte d’Ivoire, États du Sahel -, pour le plus grand bonheur de prédateurs autrement plus dangereux, chinois, russes et anglo-saxons. Mais c’est la France, et ceci est une autre histoire qu’il faudra bien écrire un jour !

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dimanche, 16 mars 2025

Jeudi 20 mars, à Paris : conférence de Maître François Wagner sur la Liberté d'expression

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samedi, 15 mars 2025

Ces tordus bien-pensants et d’extrême gauche n’ont aucune limite… Français, réveillez-vous !

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Ce samedi matin, les miliciens islamogauchistes

ont attaqué le marché de Chalonnes-sur-Loire (49) 

Bernard Germain 

Il n’y a plus un jour qui passe sans qu’on ait une preuve évidente de l’installation d’une véritable dictature en France, et en Europe.

En ce qui concerne l’Europe, la commission européenne passe son temps à imposer ses décisions à tous les peuples, alors qu’elle n’a été élue par personne et que ses décisions sont ouvertement inverses à ce que veulent les peuples.

De plus, elle ne se cache même plus de vouloir bafouer la démocratie et le vote des peuples. En Roumanie, les élections ont été annulées suite à ses pressions parce que le candidat arrivé en tête du premier tour, est opposé à la politique de la commission européenne. Le grotesque prétexte invoqué fut que la Russie aurait influencé le scrutin via tik-tok. Pire, à l’occasion du nouveau scrutin roumain, le même candidat (crédité de 40 % dans les sondages) est interdit de se présenter sous des prétextes totalement fallacieux.

En Allemagne, Thierry Breton (ancien commissaire européen) avait déclaré que si l’Afd avait un score trop élevé, il faudrait aussi faire annuler les élections comme en Roumanie.

Et en France, nous saurons dans quelques jours si Marine Le Pen va aussi être empêchée de se présenter à l'élection présidentielle de 2027, là aussi au motif d’une décision « de justice » qui en réalité est uniquement politique alors que Marine Le Pen représente 11 millions de vote… qu’il faut bâillonner à tout prix.

Dans tous ces exemples, ce qui explique cet acharnement des politiciens au pouvoir et des juges est leur préoccupation commune d’empêcher le peuple de s’exprimer et d’avoir à respecter cette volonté populaire telle qu’exprimée dans les urnes.

S’il n’y avait que cela, même si ces faits sont gravissimes, ce serait juste très grave. Mais, les choses ne s’arrêtent pas là. Empêcher le peuple d’exprimer sa volonté est déjà insupportable, mais il est maintenant question de le caporaliser et l’empêcher tout simplement de penser ce qu’il veut par l’instauration d’une authentique police de la pensée.

C’est cela que signifie la décision prise par l’ARCOM (pitoyable officine aux ordres de l’Élysée) de fermer C8 et NRJ12, jetant au passage des centaines de salariés au chômage et plongeant leurs familles dans la précarité et les difficultés.

Mais ce que cette fermeture signifie c’est surtout que le citoyen n’a pas le droit de décider quelle chaîne il veut regarder. Non seulement le citoyen est trop bête pour qu’on tienne compte de son vote, mais il est également trop bête pour avoir le droit de décider la chaîne de télévision qu’il veut regarder. Et, pour veiller à ce qu’il ne puisse pas regarder ce qu’il ne faut pas, le pouvoir - soutenu par tout ce qui se dit progressiste et de gauche - ferme deux chaînes. Oui, la gauche et les bien pensants mettent tout simplement en place un système permettant d’interdire aux citoyens de voir et entendre ce qu’il ne faut pas.

La prochaine étape sera sans doute qu’on invitera les citoyens à dénoncer leurs voisins qui regardent tel ou tel médias ou écoutent telle ou telle radio, catalogués d’« extrême droite ».

Et bien sûr, sur cette lancée, la campagne pour obtenir la fermeture de CNews, Europe1, le JDD, et Valeurs Actuelles bat son plein. Car vous ne devez pas voir telle chaîne, écouter cette radio, ni lire tel journal.

C’est également ce que nous venons de vivre en Bretagne à l’occasion de la volonté de l’association Trégor&Goëlo de projeter près de Lannion le film « Silenced » réalisé par Tommy Robinson qui dénonce ce qui se passe en Angleterre du fait des actions criminelles menées pour un nombre inquiétant d’immigrés musulmans. Notamment pendant de très longues années des gangs pakistanais ont violé de très jeunes anglaises blanches (d’à peine 10-12 ans) dans le nord de l’Angleterre. Aujourd’hui toute la classe politique de gauche tente d’écraser l’affaire et le tribunal a donné le choix à Tommy Robinson : si vous faites silence, vous êtes libre, sinon si vous publiez ce film, vous irez en prison. Tommy a décidé de dire la vérité et de publier son film. Il est en prison. Confirmant l’adage bien connu « malheur à celui par qui le scandale arrive ».

Ce film, l’association Trégor&Goëlo a voulu le projeter dans le cadre d’une réunion PRIVÉE, avec inscription.

Mais les gauchistes, la mairie de Lannion à plat ventre devant eux ainsi que la presse régionale (Ouest France et Le Télégramme) veillaient. Même s’ils n’ont pas vu le film !

Les citoyens n’ont pas le droit de voter pour qui ils veulent, ils n’ont pas le droit de regarder la chaîne de télévision qu’ils veulent, ils n’ont pas le droit d’écouter la radio qu’ils veulent ni de lire le journal qu’ils veulent. Maintenant, c’est officiel, ils n’ont pas le droit de participer à une réunion privée, ni de regarder dans cette réunion privée un film qui n’est nullement interdit en France, pas plus qu’ils n’ont le droit d’en discuter librement.

Il y a des tordus pour leur dire que c’est « fasciste » d’oser vouloir faire cela et une presse pour relayer complaisamment cela sans que cela leur pose un problème de déontologie journalistique, se faisant même les complices de ces assassins de la démocratie, comme Le Télégramme qui n’a pas redouté de donner l’adresse de cette réunion privée dans le titre de son article. En agissant ainsi, ce journal ne se faisait-il pas le complice des antifas qui envisageait de venir exercer leurs violences afin d’imposer leurs opinions ? Violences que jamais cette presse bien pensante et sans déontologie ne dénonce.

La personne qui fut à l’initiative de cette mobilisation « antifasciste » est la député LFI Murielle Lepvraud, députée LFI de la 4e circonscription des Côtes d’Armor.

Ce que l’histoire ne dit pas c’est si cette dame envisage de préparer un projet de Loi pour venir vérifier chez les citoyens ce qu’ils regardent à la télévision, écoutent à la radio ou lisent comme journaux puisque ce qu’ils font dans une réunion privée doit être contrôlé.

En revanche, elle fut, sauf erreur de ma part, d’une discrétion totale concernant l’affiche antisémite représentant Hanouna sur le modèle de ce que produisait le nazi Goebbels, tout comme elle fut totalement silencieuse sur la manifestation de samedi 8 mars pour « les droits des femmes » organisée avec des islamistes dont chacun sait qu’ils respectent absolument les femmes et leurs droits dans les pays dominés par les musulmans. Tout comme on n’a pas entendu Murielle Lepvraud pour condamner les ignobles tags sur le parcours de la manifestation du 8 mars « Une rafale pour Cordier », la responsable de Némésis, la courageuse association de femmes qui se battent pour le droit des femmes, sans oublier de se battre contre les viols de femmes blanches commis par des migrants sous OQTF, ce qui leur vaut cette haine de la gauche et leurs menaces de mort. 

Mais, voyez-vous, tout cela est déjà incroyable, mais comme le dit le titre de cet article, la gauche et les bien pensants n’ont plus de limite.

Leur dernière trouvaille c’est dans le Maine-et-Loire qu’on vient de la découvrir.

Une manifestation a été organisée ce jour, 15 mars 2025 au marché de Chalonnes-sur-Loire, près d’Angers. Manifestation interdite par le préfet, dont le thème était de protester contre la présence sur le marché d’un boucher… qui voterait RN.

Oui, vous avez bien lu. L’extrême gauche et les bien pensants appelaient à manifester contre un commerçant pour son vote supposé ou ses opinions.

Moi cela me rappelle les hordes nazis qui dans les années 30 peignaient des étoiles de David sur les vitrines des commerçants juifs.

Pour répondre aux souhaits des bien-pensants et de la LFI, chaque commerçant va-t-il devoir indiquer sur sa vitrine pour qui il vote ?

On me permettra de signaler que Ouest France a rapporté ces faits, mais ne semble guère s’en émouvoir, contrairement à l’épouvantable projection du film de Tommy Robinson à côté de Lannion qu’il fallait à tout prix empêcher pour sauver la démocratie, la liberté et même la république. Pauvre presse qui renie toutes les valeurs de cette profession et ne semble même pas s’en apercevoir. Pauvres « gauche » et bien-pensants qui se comportent infiniment pire que ce qu’ils dénoncent. J’espère pour eux qu’ils ne se rendront jamais compte de ce qu’ils font, sinon ils risquent de ne pas s’en remettre.

Quant aux citoyens de notre pays, je n’ai qu’une chose à leur dire :

Français… réveillez-vous, c’est une véritable dictature qui se met en place.

Demain, il sera trop tard !

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Nicolas Gauthier raconte Le Pen, l’homme derrière la légende

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Nicolas Gauthier s’est souvent entretenu avec Jean-Marie Le Pen. La première fois, en 1986, a été comme une sorte d’acte manqué – Nicolas Gauthier s’en explique. Il a 22 ans, il bredouille trois questions et son magnétophone est en rade. Une sorte de panne, on n’ose dire sexuelle. Mais les deux hommes étaient faits pour sympathiser. Les entretiens s’enchaîneront et même les livres à quatre mains. Dans Le Pen comme vous ne l’avez jamais lu (Éditions Déterna), il nous livre le meilleur de leurs rencontres. Un personnage loin des clichés, de chair, de verbe et de verve ; peint et dépeint d’après nature – et pas d’après les caricatures ; avec vue sur la mer, depuis la Bretagne, et vue sur le monde ; à la ville comme à la scène ; dans la lumière des meetings et la pénombre des retraites forcées. Non pas seulement un Le Pen comme on ne l’a jamais lu, mais aussi jamais vu. Une sorte d’addendum à ses « Mémoires », tout ensemble « Fils de la nation » et « Tribun du peuple ». C’est le privilège des vieilles complicités, elles peuvent parler « à cœur ouvert et à bâtons rompus ». Au fil des pages, Jean-Marie Le Pen se révèle tel qu’en lui-même : affranchi, bravache, fidèle à ses convictions, insoumis jusqu’au bout. Une bête politique – rien d’une bête immonde.

Peu de journalistes ont aussi bien connu Jean-Marie Le Pen. Comment le définiriez-vous politiquement, dans quelle famille, dans quelle tradition ?

Comment définir cet homme qui répugnait souvent à se définir ? Pour lui, se définir équivalait un peu à se limiter. Voilà peut-être pourquoi les réponses qu’il donnait à cette question étaient souvent contradictoires. Ainsi, s’est-il, au fil du temps défini comme « national-libertaire », « économiquement de droite et socialement de gauche », allant même jusqu’à se présenter comme une sorte de « Reagan français » ; ce qui ne manquera pas de faire grimacer les lecteurs d’Éléments dont je suis. Il est vrai que c’était l’époque de la Guerre froide et que le parcours d’un Ronald Reagan n’était pas forcément pour lui déplaire : acteur de seconde zone, syndicaliste, venu tard en politique et en proie au mépris généralisé des élites américaines. Une fois je lui avais dit que, dans le fond, il était une sorte de « hippie d’extrême droite », ce qui l’avait fait beaucoup rire. Plus sérieusement et si l’on s’en tient aux trois droites de René Rémond, légitimiste, orléaniste et bonapartiste, on peut dire qu’il appartenait plutôt à la troisième. Une sorte de patriote populiste, en quelque sorte, mâtiné d’un brin de légitimisme, quoiqu’il ait toujours été un républicain farouche, n’hésitant pas à souvent moquer l’indécrottable royaliste que je suis. Tant de gens lui reprochaient de ne pas être un « véritable républicain » ; moi, je lui reprochais surtout de l’être trop.

Et humainement ?

Un homme dont l’immense gentillesse pouvait parfois confiner à la naïveté : combien de gens lui ont ainsi tapé du pognon que jamais ils n’ont remboursé ? Des wagons entiers. Je crois qu’il aimait sincèrement les gens, cherchait à les comprendre ; surtout ceux qui ne partageaient pas ses idées. En revanche, en bon Breton, il était capable d’entrer subitement dans des colères tonitruantes, pour redescendre sur terre quelques minutes plus tard, ayant tout oublié des raisons de son énervement. Mais je ne l’ai jamais vu se fâcher contre le petit personnel ; cela aurait été pour lui un abus de pouvoir. D’ailleurs, quand un cadre du mouvement se défaussait sur ce même petit personnel, il jugeait cela ignoble. Et là, c’était le gradé qui avait droit à un véritable savon. J’imagine qu’il raisonnait tel le soldat qu’il fut : pour lui, il n’y avait pas de mauvais soldats, juste de mauvais officiers. Que dire de plus ? Si, Le Pen était d’une curiosité intellectuelle insatiable. Il savait qu’à un moment de ma vie, je travaillais dans la presse rap. Alors, il voulait tout savoir de ces artistes, ceux qui avaient du talent et ceux qui en avaient moins, voir pas du tout. Une fois, nous parlions de Joey Starr, de NTM. Il l’avait à la bonne, tant les frasques à répétition de ce colosse martiniquais avaient le don de le faire marrer et qu’il était impressionné par son indéniable charisme scénique. Je crois qu’il parlait en connaisseur…

Était-il, selon vous, trop à l’étroit dans les habits neufs de la vieille droite ? Qu’est-ce qu’il lui reprochait ? Et qu’est-ce que vous lui reprochez à votre tour, tant on a parfois l’impression que Jean-Marie Le Pen fait du Nicolas Gauthier ?

Ce qu’il reprochait à la droite ? Son étroitesse d’esprit, justement. Son combat ne consistait pas à sauver la droite, mais à sauver la France. Il n’en avait que foutre de la droite. Il la méprisait autant qu’elle le méprisait, lui. Je crois qu’il avait plus d’estime pour les gens de gauche. Quand il affirmait que « Chirac, c’est Jospin en pire », il faut le croire. Jospin, socialiste et qui se conduisait comme tel, il respectait. Mais un Chirac qui se faisait passer pour un homme de droite, ça le mettait hors de lui. Après je ne sais pas si Jean-Marie Le Pen faisait du Nicolas Gauthier ou l’inverse ; mais c’est là me faire beaucoup d’honneur. Je sais juste que nous étions généralement d’accord sur l’essentiel. Peut-être à cause de ce point commun partagé : il n’avait jamais été salarié de sa vie – hormis quelques mois à Minute, comme chef de publicité – et je suis travailleur indépendant depuis plus de trente ans. Nous raisonnions donc en artisans un brin poujadistes. L’autre point commun, c’était la détestation de la bourgeoisie, qu’elle soit de gauche ou de droite. Je me souviens d’un soir, à Montretout où nous nous sommes croisés dans l’escalier. « Ben Nicolas, qu’est-ce que tu fais là ? », me demande-t-il. « Je monte à l’étage, on se fait une soirée pâtes avec Samuel Maréchal, Yann et la petite Marion. » Et lui, soudainement tout triste : « Putain, un dîner entre potes, tu as de la chance ! Moi, je vais encore me taper un dîner avec des bourgeois coincés. Qu’est-ce que je ne donnerais pas pour qu’on échange nos places… » Ça, c’était aussi Le Pen.

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Journal du chaos

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Parution du nouveau livre de Jean-Yves Le Gallou chez Via Romana : "Mémoires identitaires"

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1968-2025 : les dessous du Grand Basculement

La vie de Jean-Yves Le Gallou témoigne de soixante ans d’engagements pour l’identité et la liberté d’expression. Énarque dissident, haut-fonctionnaire à Beauvau, élu politique, lanceur d’alerte et théoricien de la préférence nationale, il nous livre la somme de ses souvenirs et réflexions à contre-courant de 1954 et son entrée à l’École « républicaine » à 2024 et la débâcle des « valeurs républicaines ».

De la guerre culturelle de mai 68 à la révolution woke, de Pompidou-Giscard à la Nouvelle Droite, des fraudes de la gauche à l’émergence du Front national, de la manipulation de Carpentras aux dessous de l’« affaire du détail » ou de la scission de Bruno Mégret en 1998, c’est le théâtre de la vie politique, économique, judiciaire, idéologique et sociétale que décrypte Jean-Yves Le Gallou à l’appui de son expérience et de portraits de ses contemporains capitaux : Georges Pompidou, Valéry Giscard d’Estaing, Raymond Marcellin, Michel Poniatowski, Jean-Marie Le Pen, Jean-Pierre et Marie-France Stirbois, Bruno Gollnisch, Bruno Mégret, Philippe de Villiers, Marine Le Pen, Marion Maréchal, Eric Zemmour et ceux de ses compagnons de route : Alain de Benoist, Guillaume Faye, Dominique Venner, Yvan Blot, Bernard Lugan…

D’une lucidité revigorante, ces Mémoires identitaires échappent à la nostalgie et tirent un fil d’Ariane d’espérance entre les générations pour la défense et illustration des patries charnelles et spirituelles.

Né en 1948, Breton réfractaire, alpiniste, co-fondateur de l’Institut Iliade, Jean-Yves Le Gallou dirige la Fondation Polemia pour la réinformation. Il a notamment publié chez Via Romana L’Album des bobards, 10 ans de fake news dans les médias (2019), et L’invasion de l’Europe : les chiffres du grand remplacement (2021).

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Dans "Politique magazine" de ce mois, un article sur le livre de Thierry Decruzy consacré aux "Brigandes"

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vendredi, 14 mars 2025

Suite à l'interdiction de la projection de "Silenced" à Lannion : la réaction nationale prend forme. Reconquête condamne cette interdiction...

Reconquête !, par la voix de son secrétaire départemental des Côtes d'Armor, Pierre-Yves Thomas, a réagi hier suite à l'interdiction de la conférence du Cercle Trégor et Goëlo à Lannion.

Voici le communiqué du parti d'Eric Zemmour :

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RECONQUÊTE! CÔTES-D’ARMOR INDIGNÉ PAR L’INTERDICTION DE LA RÉUNION DU CERCLE TRÉGOR-GOËLO À LANNION

Jeudi soir 13 mars, l’association "Cercle Trégor & Goëlo devait projeter le film réalisé par le militant britannique Tommy ROBINSON, intitulé « Silenced », mais cet événement privé dans une salle municipale a été annulé par un arrêté d’interdiction du maire de la ville, M. Paul LE BIHAN.

« Silenced » touche au scandale, outre-Manche, d’abus sexuels et de viols collectifs, à très grande échelle entre les années 80 et le début des années 2010, de milliers de jeunes filles mineures, majoritairement blanches mais aussi asiatiques, par des bandes d’hommes pour la plupart Britanniques d’origine pakistanaise, dans des villes anglaises comme Telford, Rotherham et Rochdale. Dans ces affaires, les jeunes victimes sont suspectées d’avoir été droguées, maltraitées, battues, parfois tuées et les enquêtes, y compris d’origine gouvernementale, ont permis de mettre en évidence l’incurie des services sociaux et de la police locale, parfois couverte par le corps politique, tous par crainte d’être taxés de racisme ou d’islamophobie en n’étant pas conformes aux canons de la bien-pensance diversitaire, du vivre-ensemble et du politiquement correct.

Comme la plus grande affaire de pédocriminalité britannique à ce jour, le malaise est tel que la justice anglaise a interdit le film réalisé sur le sujet par Tommy ROBINSON, interdiction bravée par l’intéressé, bête noire des autorités de son pays, qui se retrouve en prison.

Partant de cela, Reconquête! des Côtes-d’Armor ne peut aujourd’hui que s’indigner de l’initiative de Mme Muriel LEPVRAUD, député LFI des Côtes-d’Armor, ainsi que de divers groupes dit « antifas », de faire interdire la diffusion du film cette semaine à Lannion. On rappellera que Mme LEPVRAUD, apparemment hantée par le spectre du racisme, de la discrimination et du complotisme, appartient à un parti qui sombre de plus en plus ouvertement dans l’antisémitisme et qui a moins de pudeurs pour des mouvements terroristes comme le Hamas et les massacres du 7 octobre 2023. Le constat n’est guère plus flatteur pour le maire de Lannion dont la veulerie est mise en évidence par le contenu de son arrêté d’interdiction, lequel repose grandement sur les poncifs bien connus de la bien-pensance éculée droitdelhommiste.

Reconquête! des Côtes-d’Armor proteste donc contre cette interdiction arbitraire et exprime sa solidarité avec le Cercle Trégor & Goëlo.

Pierre-Yves THOMAS

Délégué départemental des Côtes-d’Armor

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Interdiction de la projection du film « Silenced » à Lannion : la liberté d’expression bafouée [On vous propose le film en VOSTFR dans cet article]

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Breizh Info cliquez ici

Une nouvelle affaire de censure frappe la Bretagne. La municipalité de Lannion a pris la décision d’interdire une conférence privée et la projection du film "Silenced" , prévue ce jeudi soir par l’association Cercle Trégor & Goëlo. Cette décision fait suite à la pression exercée par une représentante locale de La France Insoumise (LFI), Mme Lepvraud, qui a exigé l’annulation de l’événement, qualifiant le film de « raciste », et la presse locale relayant l’information sans même avoir pris le temps manifestement de visionner le reportage, qui n’a absolument AUCUN caractère raciste, la polémique au Royaume-Uni étant essentiellement axée sur des accusations de diffamation (contredites dans le reportage) .

Un documentaire réalisé par un lanceur d’alerte dissident

« Silenced » est un documentaire réalisé par le lanceur d’alerte identitaire et patriote anglais Tommy Robinson, actuellement dans les geôles de la tyrannie anglaise. Il met en lumière les agressions commises contre de jeunes filles en Grande-Bretagne par des gangs pakistanais, ainsi que la complaisance de certains milieux politiques anglais face à ces crimes. Contrairement aux affirmations de Mme Lepvraud, le film n’est pas interdit en France et son interdiction à Lannion relève donc d’une décision purement politique.

Selon le Cercle Trégor & Goëlo, l’interdiction a été prise après des pressions de l’extrême gauche locale. M. Paul Le Bihan, maire de Lannion, a cédé aux injonctions en publiant un arrêté municipal interdisant la conférence. Cette décision s’inscrit dans une dynamique plus large où la gauche radicale cherche à faire taire les voix dissidentes et à s’agiter dès qu’elle en a l’occasion.

Le Cercle Trégor & Goëlo dénonce une atteinte grave à la liberté d’expression et une manœuvre politique visant à empêcher les débats d’idées. L’association rappelle que, selon la Constitution française, la liberté de réunion est un droit fondamental. Elle prévoit d’ailleurs d’engager des actions judiciaires contre les propos de Mme Lepvraud, jugés calomnieux.

Un combat pour la liberté d’expression

Cet épisode s’ajoute à une longue liste de censures, de menaces, d’interdictions et de pressions exercées par des groupes militants contre toute expression jugée dissidente, souvent avec l’appui des médias (c’est un journal hebdomadaire local, très rapidement alerté par la député communiste, qui a révélé la salle où devait se dérouler la soirée pourtant privée, ce qui a entrainé l’interdiction dans la foulée...) Le Cercle Trégor & Goëlo affirme cependant ne pas renoncer à son projet et annonce que le film « Silenced » sera projeté en Côtes-d’Armor, quoi qu’il en soit. L’affaire devrait donc connaître de nouveaux développements, notamment sur le plan juridique.

La question demeure : dans quelle mesure la liberté d’expression est-elle encore respectée en France, lorsque des associations légalement constituées se voient interdire l’organisation d’événements privés sous la pression politique ?

Parce qu’elle a un sens pour nous, nous vous proposons la version sous titrée du reportage, à chacun de se faire son opinion.

08:35 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lettre au président de la République

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« Vous êtes légitimement inquiets », avez-vous asséné au début de votre allocution de mercredi dernier. Les Français ne l’étaient peut-être pas avant que vous leur teniez ce discours. Ils le sont à coup sûr depuis, s’interrogeant sur leur avenir, et surtout sur la destination que vous semblez avoir choisie pour la nation... » écrit Pierre Lellouche dans une de ses chroniques au Figaro.  

Lire la suite ICI 

Source : Le Figaro 12/3/2025

07:55 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vers une bombe atomique européenne ?

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

C’est l’Arlésienne de la géopolitique française et européenne. C’est aussi l’impensé de la stratégie militaire et diplomatique sur le continent européen depuis la fin de la première Guerre froide (1947 - 1991). Le Brexit accentue son acuité face aux fractures récentes du bloc atlantiste.

Le sujet revient au premier plan de l’actualité avec la distance prise par les États-Unis trumpiens par rapport au conflit russo-ukrainien. La vive algarade à la Maison Blanche entre Volodymyr Zelenski, Donald Trump et JD Vance confirme le dégagement, plus ou moins partiel, des intérêts étatsuniens en Europe. Le 14 février dernier, le nouveau secrétaire étatsunien à la Défense, Pete Hegseth, avait déclaré que l'Europe devait s’attendre que la présence des troupes US sur le continent ne durerait pas éternellement.

Ces deux faits tétanisent les pitoyables responsables européens qui ont cru en la permanence du protectorat étatsunien. Quelle naïveté ! Ce bouclier militaire et diplomatique est désormais bien ébréché. Qui pourrait désormais remplacer cette ancienne protection de huit décennies ? Certaines capitales du Vieux Monde regardent la France. Pourquoi ? Paris dispose d’une force de dissuasion nucléaire indépendante (en partie, car des composantes proviennent des industries étatsuniennes). Le thème d’étendre la dissuasion française au champ européen n’est pas neuf. De Valéry Giscard d’Estaing à Emmanuel Macron, tous les chefs d’État hexagonaux appelèrent plusieurs fois à un réveil de la conscience européenne en matière de défense commune. Par exemple, dès 1996, Jacques Chirac souhaitait instituer un pilier européen au sein de l’OTAN. Il suggérait même que le commandement en Méditerranée revînt à un amiral européen et non pas yankee. Washington rejeta ces deux demandes et les interlocuteurs européennes de Chirac montrèrent leur franche hostilité, atlantisme oblige.

Outre la Russie et les États-Unis dont quelques bases situées en Europe détiennent des fusées nucléaires, les deux seules puissances atomiques sur le Vieux Continent sont la Grande-Bretagne et la France. Or le premier ministre britannique ne peut pas déclencher seul le feu suprême. Il doit d’abord en référer à Washington. Des éléments des ogives nucléaires sont d’origine étatsunienne ainsi que leur maintenance. Au contraire, le président français reste, en cas d’éventuelle tragédie, le seul ordonnateur de la riposte fatidique.

Toutefois, il faut regretter la suppression au nom des « dividendes de la  paix » des vecteurs de la dissuasion nucléaire. Ceux-ci ne sont aujourd’hui qu’aéroportés et sous-marins. N’existent plus le missile sol – sol nucléaire à courte portée tactique Hadès et le site de lancement de missiles balistiques nucléaires aménagé sur le plateau d’Albion à cheval sur la Drôme, le Var et les Alpes-de-Haute-Provence sans omettre l’abandon criminel et honteux de la bombe à neutrons adaptable sur le système Hadès.

Ces tristes constats empêcheraient-ils que la dissuasion nucléaire française puisse suppléer le parrain yankee ? En d’autres termes, la France pourrait-elle protéger par sa « Bombe » Helsinki, Stockholm, Riga, Vilnius, Varsovie et Bucarest ? Des souverainistes obtus refusent l’idée. Pour eux, la dissuasion, acmé de la souveraineté nationale, ne se partage pas. En effet, la souveraineté partagée est une chimère politique inapplicable. En revanche, la souveraineté se décline selon le principe de subsidiarité en promouvant l’enchâssement des souverainetés familiales, communales, régionales, nationales, continentales, économiques et professionnelles. La bureaucratie soi-disant européenne pervertit ce principe essentiel trop mal connu de l’opinion.

Réunir en urgence un Conseil européen avec son président, la sinistre présidente de la Commission de Bruxelles et vingt-sept chefs d’État et de gouvernement afin de trancher par un vote unanime ou à la majorité qualifiée de recourir à l’arme ultime serait dispendieux et inutile. On peut penser que si la France étend sa couverture militaire aux vingt-six autres États-membres de l’Union dite européenne, le pouvoir de décision fatidique reviendra toujours au seul président français. D’ailleurs, lors de son intervention radio-télévisée du 5 mars dernier, Emmanuel Macron a réaffirmé ce monopole crucial.

C’est l’une des raisons qui incita en 1962 Charles De Gaulle à faire élire au suffrage universel direct le président de la République. Par l’onction populaire du vote des Français, le locataire de l’Élysée reçoit l’imperium, à savoir la puissance jupitérienne de la foudre. Il serait cependant temps que la force de frappe nucléaire soit enfin consacrée dans la constitution de 1958 par un ajout substantiel à l’article 15 sans le soumettre au contreseing du premier ministre ou de tout autre ministre. La constitution de la Ve République est de nature polémogène : son fonctionnement atteint une efficacité maximale pendant les crises majeures. Marine Le Pen avait proposé en 2022 cette constitutionnalisation bien plus nécessaire que le gadget de l’avortement. Pendant ses discussions avec son mémorialiste Alain Peyrefitte, Charles De Gaulle considérait déjà le projet européen comme le levier de puissance de la France, d’où son soutien insistant aux plans Fouchet qui suggéraient une union d’États pourvue de la personnalité juridique. Il soulignait aussi que les intérêts vitaux de la France ne s’arrêteraient pas au bord du Rhin...

Les réticences allemandes à devoir une protection quelconque venue de la France s’estompent progressivement. Tout atlantiste qu’il est, le futur chancelier fédéral Friedrich Merz a évoqué, le 21 février dans un entretien à la presse écrite, que Berlin devrait négocier avec Paris et Londres de l’extension de leur parapluie de dissuasion nucléaire à l’Allemagne. Le plus étonnant est que cette proposition date de la fin des années 1960 à l’initiative d’Adolf von Thaden. À ce moment-là, sa formation politique, le NPD (Parti national-démocrate d’Allemagne), connaissait un succès électoral certain dans plusieurs Landtage de la RFA. Sa popularité s’arrêta nette aux législatives de 1969 avec 4,31 %, probablement grâce à des bulletins manipulés, annulés ou falsifiés. À rebours de l’atlantisme social-démocrate-chrétien libéral, Adolf von Thaden, par ailleurs informateur attitré du MI6 britannique, rêvait que la dissuasion atomique française se transformât en force nucléaire européenne indépendante des blocs. Tenant d’un axe gaullien franco-allemand, le chef du NPD déplorait que le gouvernement fédéral allemand ne participât ni au financement, ni à l’élaboration d’infrastructures économiques performantes dans cette audacieuse coopération.

Il est maintenant caustique d’observer que l’effort exigé aux États-membres pour se réarmer oblige la Commission de Bruxelles à extraire de la règle des 3% prévue par le pacte de stabilité les dépenses souscrites en matière de défense, ce qui implique une remise en cause de plusieurs traités européens. Mais pourquoi seulement la défense ? La sécurité intérieure, la justice, les transports, les infrastructures de communication, voire l’enseignement contribuent à leur manière à la possibilité de réarmer. En outre, le simple ordonnancement des différentes armées nationales reste aléatoire. Les quelques industries de l’armement (française, suédoise) se concurrencent avec férocité quand les États-membres achètent pour plus de 60 % du matériel aux États-Unis.

Il est donc risible de prôner une nouvelle course aux armements de la part d’États surendettés en proie à des déficits publics structurels gigantesques. Le Danemark entend déjà porter à 70 ans l’âge de départ à la retraite afin de financer l’augmentation des dépenses militaires. L’austérité budgétaire et la rigueur financière se profilent derrière les appels à un hypothétique effort de guerre. Il existe pourtant de vastes gisements propices aux réductions des coûts : le poids de l’immigration, la prolifération des agences administratives indépendantes comme l’ARCOM, le financement public des partis politiques, des syndicats et des associations, les subventions au secteur des « cultureux », l’aide officiel à la presse, etc.

Le court-termisme propre aux soi-disant démocraties libérales occidentales empêche de facto toute émergence concrète d’une vraie « Europe cuirassée » selon l’heureuse formule de Maurice Bardèche dans L'Œuf de Christophe Colomb. Lettre à un sénateur d'Amérique (1951). Une bombe atomique d’échelle européenne et d’emploi strictement français peut contribuer à l’avènement d’une Europe plus consistante à la condition que les actuels dirigeants, des nabots insupportables, renoncent définitivement au wokisme ambiant, aux inepties de l’État de droit et à leur vassalisation lamentable envers l’Oncle Sam. L’ère s’annonce carnassière. Magnifique enjeu pour que les peuples européens retrouvent un caractère carnivore.

Salutations flibustières ! 

« Vigie d’un monde en ébullition », n°147, mise en ligne le 13 mars 2025

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Le dernier lycée musulman sous contrat, privé de fonds publics

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Michel Festivi

Je vous ai entretenu, il y a quelques semaines, du lycée musulman Al Kindi, qui avait vu s’abattre sur lui, un arrêté préfectoral, le privant de toute subvention d’État pour la rentrée de septembre 2025. Les islamogauchistes ont vociféré et comme ils en ont l’habitude, ont monté en épingle de soi-disant atteintes aux libertés et invoquant la sempiternelle discrimination dont ils seraient victimes, ils ont tempêté tant et tant. Le recteur de la grande mosquée de Lyon, président des conseils des mosquées du Rhône, Kamel Kabtane avait même exhorté Emmanuel Macron pour que cette décision préfectorale soit annulée. Les six inspecteurs de l’Éducation nationale avaient trouvé des livres d’un islam radical dans la bibliothèque de l’établissement de Décines, comme prônant le djihad violent, le viol conjugal ou la torture des homosexuels.

Suite à une requête en référé, pour faire suspendre ledit l’arrêté préfectoral, le juge du tribunal administratif de Lyon vient de rejeter ce recours. Le contrat d’association avec l’état reste donc rompu. Cette résiliation va s’accompagner d’une perte de 1,7 millions d’euros de prise en charge des salaires des professeurs. À priori, les responsables du lycée n’envisagent pas d’appel de cette décision de référé, se contentant si j’ose dire, de la procédure au fond qu’ils ont émis et qui sera examinée dans plusieurs mois. Le juge des référés a relevé que la décision préfectorale apparaissait bien fondée « compte tenu de la présence au centre de documentation et d’information du lycée, d’un fonds de sept ouvrages sur l’islam, ainsi que d’autres ouvrages défendant une vision traditionaliste ».  

Que d’autre part, les vidéos sur Youtube publiées par un professeur de « culture de l’islam » de l’établissement, et de surcroit trésorier de l’association Al Kindi, promouvaient « une vision politique de l’islam, incompatible avec les principes de la République, que sont l’égalité entre les sexes, la liberté de conscience et de religion, la laïcité et remettant en cause l’autorité de l’état et des décisions de justice ». Il a aussi été souligné par le juge, que « certains thèmes comme les conflits au Moyen-Orient, ou la mémoire des génocides juifs et tsiganes n’étaient pas traités ou insuffisamment, tandis que d’autres, tels que la guerre d’Algérie étaient survalorisés dans les programmes. ». De plus, le lycée qui disposaient de classes sous contrat et d’autres non, ne tenait pas de comptabilité distincte, et que dès lors les subventions publiques pouvaient servir à financer des activités hors contrats, du moins, il n’était pas possible de faire la différence, et de s’en assurer. Ce d’autant que certaines dépenses transitaient par des associations extérieures.

On le voit, tout était donc réuni pour que ce lycée musulman, d’environ 670 élèves, perde justement son agrément. Mais des nuages continuent de s’amonceler sur nos têtes, et les Frères musulmans réussissent à faire prévaloir certains de leurs points de vue. La ministre des Sports, Marie Barsacq vient d’affirmer que « le port du voile n’est pas de l’entrisme », et ce en contradiction absolue avec ceux et celles qui dénoncent cette pratique liée très clairement aux basses œuvres des Frères musulmans, comme la sociologue Florence Bergeaud-Blackler, et ceux qui officient dans les sports et les associations sportives et qui voient de près cet entrisme militant, le dénonce. Mais la ministre reste aveugle et sourde, justement pour ne pas faire de vagues. La proposition de loi votée par le Sénat qui interdirait le port du voile dans les compétitions sportives et qui va venir à l’Assemblée nationale semble avoir du plomb dans l’aile. Julien Odoul député RN et rapporteur d’une enquête sur le voile à l’école a traité la ministre de « vouloir faire l’autruche ».

Notre pays est bien atteint et développe tous les symptômes de la maladie incurable, tant le mal est profond et enraciné. Le wokisme est plus fort que jamais. Un collectif d’une vingtaine d’universitaires de très haut niveau avait reçu commande des éditions PUF, d’un ouvrage contre le wokisme. Le livre a été écrit, a plu à l’éditeur, mais ce dernier, le très courageux Paul Garapon a cédé aux menaces provenant visiblement du Collège de France, pour finalement, en refuser la publication. Cela représente trois années de travail. Notre pays n’est plus une démocratie, et la censure est désormais omniprésente, mais toujours à sens unique, la censure des gauches contre ceux qui défendent des idées contraires.

Le dénommé Patrick Boucheron est en première ligne pour cette censure organisée. Il vient de dénoncer « les livres qui continuent de paraître, il y a en un au PUF qui s’appelle face à l’obscurantisme woke ». Font partie de la même équipe de censeurs, les journaux Libération et Médiapart selon un article très documenté de Boulevard Voltaire de Yves-Marie Sévillia du 11 mars dernier. Il se dit qu’une dizaine d’éditeurs seraient sur les rangs pour le publier, tant mieux. Si j’étais éditeur, je le publierais sans hésiter, en ornant la première de couverture d’un bandeau rouge « ouvrage que les PUF ont censuré ». Après la censure publicitaire du livre de Jordan Bardella, la censure de l’éditeur, lui-même commanditaire de l’ouvrage !

Car tout se tient, comme toujours, le combat contre l’islamisme, l’entrisme musulman, le wokisme, l’islamogauchisme. Le drame c’est que les droites dites républicaines et les centres se tiennent sur la réserve, la défensive, par peur et lâcheté, et n’affrontent jamais frontalement et ne livre pas le combat idéologique et culturel, préférant laisser en première ligne des mouvements ou des personnalités courageuses, qui seront traitées de fascistes et d’extrême droite, sans qu’elles ne soient défendues par quiconque. Pendant ce temps, les ennemis des libertés, les ennemis de la France et de ses traditions, tissent toujours plus profondément leurs toiles. Ils ne seront vaincus, que s’ils sont vigoureusement combattus par le plus grand nombre.

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jeudi, 13 mars 2025

Pierre Cassen solidaire du Cercle Trégor et Goëlo

Quand les gens de droite apprennent qu’un film qui ne leur plaît pas va passer dans une salle de cinéma, ils n’y vont pas, et laissent les gens qui veulent le voir aller à la séance.

A gauche, c’est totalement différent. On considère que seuls les films politiquement corrects, c’est-à-dire favorables à l’immigration, à l’accueil de l’autre et éventuellement à la sauvegarde de la planète, ont droit de citer, et qu’il faut interdire au peuple de voir les autres oeuvres.

Caricature de cette vision du monde, la député LFI Murielle Levrault, qui, entre autres, a écrit au préfet des Côtes d’Armor pour faire interdire la diffusion, prévue par l’association Tregor-Goelo, du film de Tommy Robinson, « Silenced » diffusé dans de plus en plus de villes de France par Eric Mauvoisin, président du Rassemblement Vendéen.

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Lannion : suite à l'interdiction de la projection du film "Silenced", le Cercle Trégor et Goëlo réagit

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Le Télégramme de ce matin.

Un communiqué du Cercle Trégor & Goëlo :

Le Cercle Trégor & Goëlo est une association patriotique légalement constituée et déposée. Depuis trois ans, il organise dans le calme des conférences privées réservées à ses adhérents. C’est le cas ce jeudi soir en Trégor où est prévue une conférence de M. Eric Mauvoisin-Delavaud, cinéaste et président du Rassemblement vendéen, avec la projection du film « Silenced » qui relate les agressions contre des jeunes filles provoquées par des gangs pakistanais en Grande Bretagne et la collusion de ceux-ci avec certains milieux politiques anglais.

Il n’en fallait pas plus pour déclencher l’hystérie de la représentante locale, une dame Lepvraud, du groupe LFI à Guingamp qui se permet, toute honte bue, d’exiger l’interdiction de cette pacifique réunion. On croit rêver…

LFI est une organisation reconnue depuis le 7 octobre comme ayant une attitude antisémite. Nombre de ses inféodés sont poursuivis pour des propos insupportables. Pour faire oublier ces turpitudes, les responsables de ce parti, tels des tenanciers de fonds de commerce en perdition, s’obstinent à vouloir museler les forces nationales et patriotiques en Trégor comme un peu partout en France. Hier, ils ont eu la peau de C8, aujourd’hui, ils s’en prennent à notre association locale.

La dame Lepvraud explique à qui veut l’entendre que ce film serait raciste (elle ne l’a probablement jamais vu) et interdit en France, ce qui est totalement faux. En revanche, il faut qu’elle sache, que cela lui déplaise ou non, que notre pays a une constitution qui garantit les libertés individuelles, au premier rang desquelles il y a celle de réunir ses amis. Il faut dire que, vu le nombre de plus en plus restreint d’amis que LFI a, cela doit lui échapper. En agissant ainsi, Mme Lepvraud ne se fait-elle pas la complice de ces actes odieux dénoncés dans le film ? 

Ce matin, le maire de Lannion, M. Paul Le Bihan, s’est plié devant les injonctions des héritiers de Staline, il a interdit, par un arrêté municipal, la conférence. L’extrême gauche réclame, la gauche exécute… Ce n’est pas nouveau.

Quoi qu’il en soit, nous appelons toutes les forces nationales du département à réagir face aux prétentions liberticides de LFI. Prochainement, nous ferons part des suites judiciaires que nous donnerons aux propos calomnieux de la député Lepvraud. Enfin, qu’on se le dise, d’une manière ou d’une autre, « Silenced » sera projeté en Côtes-d’Armor, n’en déplaise aux étrangleurs patentés de la liberté d’expression.

Lire l'article de Breizh Info cliquez ici

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11:09 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Entretien avec Piotr Tolstoï, vice-président de la Douma

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Le vice-président de l’Assemblée nationale russe, la Douma - Piotr Tolstoï -, explique à Valeurs actuelles, le point de vue des dirigeants russes sur la guerre en Ukraine et la grande réconciliation initiée par Donald Trump. Et d’énoncer cette évidence que les dirigeants européens – mais pas les militaires semble-t-il -, se refusent d’admettre : les Ukrainiens ont perdu la guerre.

Lire la suite ICI

Source : Valeurs actuelles 12/3/2025

10:01 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Projection de « Silenced » signé Tommy Robinson, en Trégor ce jeudi 13 mars : la dérive totalitaire de LFI qui veut interdire la projection par la voix de Murielle Levpraud

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Breizh info cliquez ici

La volonté de contrôle et de censure de La France Insoumise (LFI) franchit un nouveau cap. Murielle Lepvraud, députée LFI des Côtes-d’Armor, a officiellement demandé au préfet d’interdire la projection du film « Silenced », prévue jeudi 13 mars dans le Trégor. Le documentaire, réalisé par Tommy Robinson, journaliste britannique actuellement incarcéré au Royaume-Uni, aborde des sujets sensibles tels que l’immigration incontrôlée et les réseaux de proxénétisme opérant sous la protection du politiquement correct.

Une fois encore, LFI adopte une posture autoritaires, refusant le débat et cherchant à imposer une censure idéologique, digne des pires régimes.

Dans un courrier envoyé au préfet des Côtes-d’Armor, Murielle Lepvraud, qui n’a sans doute même pas visionné le reportage, qualifie « Silenced » de film véhiculant des thèses « racistes » et « complotistes », estimant que ses propos pourraient « attiser la haine et la discrimination ». Elle fustige également le caractère privé de la projection, organisée par l’association Cercle Trégor & Goëlo, qui réserve l’accès aux seules personnes inscrites à l’avance. Mais voici qu’un journal peu scrupuleux vient de tenter de révéler l’adresse supposée. Histoire de permettre une interdiction par le Préfet pour risque de trouble à l’ordre public provoqué par les gauchistes ? La méthode est parfaitement huilée

Selon la députée LFI, cette précaution serait une « volonté manifeste d’échapper au contrôle des autorités et à une potentielle interdiction ». Une logique inquiétante, où la tenue d’événements privés devient suspecte aux yeux du pouvoir politique. En réalité, la projection est tout à fait légale dans un lieu privé (à moins que les communistes viennent jusque dans vos maisons pour décider ce que vous devez lire et visionner).

Ce n’est pas la première fois que la gauche radicale tente d’interdire un film, une conférence ou un événement allant à l’encontre de sa vision idéologique. Cette nouvelle offensive contre Silenced rappelle des précédents récents où LFI a exigé la censure de débats et de personnalités dissidentes, au nom de la lutte contre un supposé « fascisme ».

Le simple fait qu’un film aborde des sujets comme la criminalité liée à l’immigration, les réseaux de proxénétisme pakistanais ou les dysfonctionnements de la justice britannique suffit pour que LFI veuille en interdire la diffusion.

Les méthodes de LFI et de la gauche radicale ne laissent plus de place au doute : leur vision de la démocratie consiste à imposer une pensée unique et à faire taire toute voix dissidente. Il ne s’agit plus d’un simple désaccord politique, mais bien d’une logique totalitaire, où le contrôle du discours public devient une priorité.

Pendant que LFI mène son combat contre une projection privée, les véritables menaces sur la liberté d’expression et la sécurité publique continuent d’être ignorées. Rennes, Nantes, Paris : les dégâts causés par l’ultragauche dans les centres-villes, les attaques contre les forces de l’ordre, les saccages de commerces et les agressions politiques ne suscitent aucun intérêt de leur part.

La liberté d’expression est-elle encore une valeur défendue en Europe ? La question se pose avec acuité alors que Tommy Robinson, lanceur d’alerte et militant identitaire britannique, croupit aujourd’hui en prison pour avoir osé dénoncer un scandale majeur dans son pays. Son crime ? Avoir réalisé le documentaire Silenced, un film exposant les liens troubles entre les gangs pakistanais de proxénètes pédophiles et des membres de la bureaucratie et de la classe politique britannique. Interdit outre-Manche, le film est néanmoins diffusé en France grâce à l’initiative du cinéaste Éric Mauvoisin-Delavaud.

Le Cercle Trégor & Goëlo organise ainsi une projection privée du film le jeudi 13 mars 2025 à 19h. L’événement, qui se tiendra dans un lieu communiqué aux inscrits, sera suivi d’une conférence en présence de plusieurs personnalités du monde intellectuel et politique.

Tommy Robinson : prisonnier politique en Angleterre ?

Depuis octobre 2024, Tommy Robinson est incarcéré dans son propre pays. Habitué à la répression judiciaire pour ses enquêtes dérangeantes, il subit cette fois un acharnement sans précédent. Son documentaire Silenced expose l’omerta qui entoure les crimes commis par des gangs de proxénètes d’origine pakistanaise en Grande-Bretagne et la passivité complice des autorités. Une vérité jugée inacceptable par le gouvernement britannique, qui préfère l’emprisonner plutôt que de répondre aux accusations.

Dans un contexte où toute parole dissidente est immédiatement censurée ou criminalisée, la diffusion de Silenced en France prend une dimension symbolique forte. Éric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen, mène depuis plusieurs mois une tournée à travers l’Hexagone pour permettre au public de découvrir ce film interdit. À chaque séance, le succès est au rendez-vous, témoignant d’un véritable intérêt pour la question des violences liées à l’immigration incontrôlée.

Pour garantir la sécurité des participants et éviter toute tentative de sabotage, l’accès à la projection se fait uniquement sur réservation. L’adresse de la salle sera communiquée après inscription à l’adresse suivante : asso.tregorgoelo@gmail.com. Une participation aux frais de 5€ est demandée.

Un débat avec des intervenants engagés

Après la projection, une conférence-débat réunira plusieurs figures du monde identitaire et conservateur :

  • Bernard Germain, président du Cercle Trégor & Goëlo
  • Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale
  • Éric Mauvoisin-Delavaud, réalisateur et organisateur de la tournée

Un moment d’échange essentiel pour décrypter les enjeux soulevés par Silenced et la répression croissante qui frappe ceux qui osent défier les dogmes du politiquement correct.

Cette projection n’est pas qu’un simple événement cinématographique : elle est un acte de résistance. Face à un système qui tente d’étouffer toute critique de l’immigration et de ses conséquences, diffuser Silenced en France est un pied de nez à la censure qui sévit déjà en Grande-Bretagne.

En participant à cette soirée, les spectateurs affirmeront leur droit à l’information et leur refus de voir des sujets essentiels évacués du débat public. Une occasion unique de découvrir un film interdit (1) et de débattre librement des réalités qu’il expose.

(1) NDLR SN : Merci à Breizh info pour cet article. Juste une précision, à notre connaissance ce film n'est pas (encore) interdit en France.

09:50 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« Trump est un va-t-en guerre, mais un va-t-en guerre commercial »

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Alors que les rapports de force internationaux connaissent un basculement sans précédent, le site Breizh-info.com s’est entretenu avec Alain de Benoist pour décrypter les mutations en cours. Le philosophe et penseur de la Nouvelle Droite revient sur les récents événements qui ébranlent l’ordre mondial : le tournant stratégique amorcé par Donald Trump, la rupture entre Washington et Bruxelles, le désengagement américain en Ukraine et la montée en puissance des pôles de civilisation opposés à l’Occident.

Dans cet entretien, Alain de Benoist analyse l’effondrement progressif du « monde d’hier » et les conséquences d’un réalignement géopolitique qui met l’Europe face à ses contradictions. Il évoque également l’impasse idéologique des élites européennes, engluées dans des combats moraux alors que le reste du monde privilégie la puissance et le pragmatisme. Face à un Emmanuel Macron fébrile, plaidant pour un réarmement européen qu’il n’a pas su anticiper, Alain de Benoist dresse un constat lucide sur la dépendance stratégique de l’UE et sur l’incapacité des dirigeants européens à comprendre la logique de puissance qui guide désormais les relations internationales.

De l’influence grandissante de figures comme J.D. Vance aux États-Unis à la guerre économique et politique menée par Trump, en passant par le rôle de la Russie et de la Chine dans ce nouveau jeu mondial, Alain de Benoist pose un regard acéré sur l’accélération de l’histoire et ses implications pour les nations européennes. Une analyse percutante à découvrir sans détour.

Lire la suite ICI

Source : Breizh info

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En Hongrie : Eric Zemmour, son discours sur l'Europe

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Autoroute A69 : une décision doublement inquiétante

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Bruno Mégret, Polémia cliquez ici

Une décision néfaste

Cette décision irresponsable prise au nom de la biodiversité est une catastrophe pour les habitants de la région concernée dont une majorité d’entre eux souhaitaient pouvoir bénéficier du désenclavement que leur aurait apporté cette nouvelle voie.

Pour l’État, c’est aussi un nouveau camouflet des juges qui sera très coûteux pour les finances publiques. Il faudra en effet indemniser le concessionnaire et les entreprises en charge de la construction de cet ouvrage. Il faudra également payer les travaux qui seront nécessaires pour sécuriser les ouvrages d’art déjà construits, sans compter les indemnités de chômage à verser aux quelque mille ouvriers, conducteurs d’engin qui se retrouvent sans travail du jour au lendemain. Si la Cour d’appel administrative et le Conseil d’État confirment le jugement de première instance, il en résultera pour la puissance publique un coût qui pourrait atteindre un milliard d’euros voire plus. Une somme colossale qui aura été dilapidée par des juges à un moment où l’État devrait réduire massivement ses dépenses.

Mais au-delà des troubles régionaux qu’elle provoque, cette décision du tribunal administratif de Toulouse est aussi le reflet d’un mal profond qui détruit notre nation et dont l’affaire de l’autoroute A69 démontre qu’il ne cesse de prendre de l’ampleur. Ce mal est celui de la montée en puissance du gouvernement des juges, lequel se renforce et devient de plus en plus audacieux.

Le pouvoir judiciaire domine les politiques

Dorénavant, les politiques ne peuvent plus faire voter une loi sans qu’elle soit visée, voire censurée, par le Conseil constitutionnel qui joue désormais un rôle de tribunal idéologique au bénéfice du politiquement correct. Ils ne peuvent plus non plus prendre un arrêté ni un décret sans qu’il soit supervisé et souvent invalidé par la juridiction administrative.

Une juridiction qui ne se contente plus de vérifier qu’une décision des pouvoirs publics est conforme à la loi mais qui juge en opportunité. En l’occurrence l’État, soutenu par toutes les collectivités concernées, avait jugé que ce projet d’autoroute Toulouse-Castres répondait à « une raison impérative d’intérêt public majeur » alors que les opposants au projet, c’est-à-dire les organisations écologistes d’extrême gauche, invoquaient une atteinte à la biodiversité.

On voit bien que la décision à prendre entre ces deux options ne relève pas du droit mais d’un choix politique. Un choix qui appartenait donc au gouvernement et aux élus, ce qu’ils avaient d’ailleurs fait jusqu’à ce qu’un simple juge administratif s’imposant à l’État et aux représentants du peuple en décide autrement. Comme si un juge administratif était plus légitime et plus éclairé que le ministre des Transports, le préfet et tous les élus qui soutenaient ce projet.

Une nouvelle étape vers le gouvernement des juges

C’est donc en ce sens que cette décision aberrante de la juridiction administrative concernant l’autoroute A69 revêt une importance particulière car, si elle devait être confirmée en appel puis devant le Conseil d’État, ce serait une nouvelle étape qu’aurait franchie le pouvoir judiciaire dans sa volonté de dominer totalement les pouvoirs exécutif et législatif.

Le pire c’est que les magistrats qui incarnent ce gouvernement des juges ne recherchent pas le pouvoir pour le pouvoir, ils veulent en user pour défendre une ligne idéologique, celle de l’extrême gauche islamo-écolo-wokiste.

La victoire des zadistes

Là encore, la décision prise à Toulouse est très éclairante. Si en effet cette décision de ne pas réaliser l’autoroute A69 est confirmée par le Conseil d’État, ce sera la victoire des zadistes qui ont empêché la construction d’un aéroport à Nantes. Ce sera la victoire des militants ultra-violents qui brûlaient des véhicules de gendarmerie lors des manifestations contre l’A69. Ce sera aussi la victoire de l’association Soulèvements de la terre, celle-là même que le ministre de l’Intérieur avait dissoute avant que les juges du Conseil d’État ne cassent le décret de dissolution.

Il était déjà très long et très laborieux de réaliser une infrastructure nouvelle en France. Gageons que si rien ne change au plan politique et que la décision du tribunal de Toulouse est confirmée, il ne sera pratiquement plus possible de construire de grandes infrastructures dans notre pays : ni autoroutes, ni lignes TGV, ni centrales nucléaires, ni prisons, ni bassines, ni rien du tout.

L’objectif de la déconstruction

Ces gens-là en effet ne cherchent pas à défendre l’environnement mais à déconstruire la France. Une démarche très wokiste qui voit l’homme blanc comme responsable de l’asservissement des peuples du monde ainsi que du saccage et du pillage de la terre. Aussi doit-il, selon eux, s’effacer, laisser la place aux autres civilisations et ne plus toucher à la nature. L’autoroute qui est une invention humaine et qui sert les humains doit donc dans cet esprit disparaître au profit de la faune et de la flore, comme en a jugé le tribunal administratif de Toulouse

Telle est la seconde leçon à tirer de cette décision de justice. Les écologistes qui ont obtenu l’arrêt des travaux et peut-être l’abandon du projet d’autoroute ne se battent pas pour que les Français bénéficient d’un meilleur environnement, ils mènent un combat de déconstruction de la France. Aussi, lorsqu’ils  déclarent  vouloir  « sauver  la planète », c’est en réalité à la disparition du monde blanc qu’ils travaillent.

Si donc ils gagnent dans cette procédure, ce chantier abandonné, envahi par une végétation sauvage et parsemé de ponts qui ne mènent nulle part et n’enjambent rien, ne pourra que faire penser à l’un de ces films post-apocalyptiques où, après un désastre planétaire, la civilisation a disparu. Ce chantier interrompu pourra au moins servir de symbole très clair de ce que les écolo-wokistes veulent faire de notre avenir.

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mercredi, 12 mars 2025

Claude Malhuret : le pseudo-coup d'éclat d’un sénateur fossile

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Thomas Joly, président du Parti de la France

Claude Malhuret, ce vieux fossile centriste, connait semble-t-il son quart d'heure de gloire. Le gars a le charisme d’une huître morte et la prestance d’un Gollum sous antidépresseurs, mais parce qu’il enfile laborieusement trois métaphores éculées sur Trump et Elon Musk, les médias français s’extasient comme s’il venait de réinventer la philosophie politique.

Son grand moment de bravoure ? Comparer Trump à Néron. Wow. L’originalité à son paroxysme. À ce niveau-là, autant dire que Macron est Louis XV, Hidalgo la Pompadour et lui-même Ramsès II, vu son âge canonique. Et puis cette phrase mythique sur Musk, « bouffon sous kétamine »… De la punchline de haut vol pour un type qui doit probablement se shooter au Guronsan pour ne pas s’endormir en plein discours.

Et bien sûr, les gauchistes américains en rut se ruent sur son allocution comme des groupies sur un concert des Spice Girls en 1998. Ils pensent qu’ils ont découvert un Voltaire 2.0, alors qu’en réalité, c’est juste un vieux débris sénatorial qui récite son catéchisme progressiste avec l’énergie d’une tortue asthmatique.

Une fois de plus, la France se ridiculise en exposant sur la scène internationale un papy hors-sol, qui croit encore qu’en tapant sur Trump et Musk, il va impressionner autre chose que la rédaction de Libé et quelques boomers centristes en PLS devant le monde moderne. Pathétique.

11:46 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un bon conseil de lecture de Thomas Joly, président du PdF

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Ecoutez donc le président du Parti de la France et, sans plus tarder, achetez et lisez le nouveau Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à Jean-Marie Le Pen cliquez ici

 

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