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samedi, 26 avril 2025

Journal du chaos

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vendredi, 25 avril 2025

Lycéen assassin de Nantes : un pur produit de notre société gravement malade

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Bernard Germain

L’affaire occupe tous les médias, et est même en train d’éclipser la mort du pape François, dont les obsèques vont avoir lieu demain, samedi, à Rome. C’est dire.

Deux éléments sont mis en avant par les médias « mainstream » (en français, les médias grand public) : le tueur serait un adorateur d’Hitler… ouf, on va pouvoir dire que c’est un coup de l’extrême droite ; ajoutons que, comme les faits se sont déroulés dans un établissement catholique privé,… ouf, on va pouvoir dire que les dérives ne se constatent pas que dans les écoles contrôlées par l’éducation nationale. Sauf qu’il serait parfaitement faux de se contenter d’explications aussi sommaires.

En effet, le jeune tueur, âgé de 16 ans selon les dires du procureur, même s’il a manifestement une attitude dérangeante vis à vis d’Hitler, a surtout posté un texte de 13 pages à destination d’un grand nombre de lycéens de son établissement comme justification des actes qu’il allait commettre. Et il ne semble pas y avoir de trace de vénération d’Hitler dans ce texte. Par contre, il y est longuement question d’« écocide » et du fait qu’il faut « sauver la planète ». On peut même dire qu’il est clairement écolo. Raison pour laquelle il passe à l’acte, convaincu qu’il est nécessaire d’agir d’urgence. Ce qui n’est guère étonnant puisque l’éducation nationale impose l’enseignement de ces éléments et même bourre le crâne des enfants à longueur d’année, ce qui pourrait prêter à rire si l’affaire n’était pas si grave.

En effet, il n’aura certainement pas échappé au lecteur que l'Amérique s’est retirée des accords de Paris et refuse de continuer à prendre au sérieux les délires sur le CO2, rejoignant la Russie, le continent indien, la Chine et l’Afrique dans sa globalité, ce qui représente tout de même une très grande partie de l’humanité. Mais en Europe qui ne produit que 9% du CO2 mondial, on continue d’affoler les populations et de prétendre que sans mettre en œuvre les mesures qu’elle souhaite, la Terre serait condamnée à brève échéance. Monumentale stupidité puisqu’en ne représentant même pas 10 % du CO2 mondial, même si l’Europe fait ce qu’elle pense devoir faire, cela n’aura aucun impact à l’échelle de la planète. Greta Thunberg nous avait dit les mêmes fadaises en 2018, annonçant la fin du monde en 2023.  Aux dernières nouvelles, en 2025, nous sommes toujours en vie et Greta a retiré son tweet. Et de nombreux scientifiques ont prouvé que cette histoire de CO2 était totalement bidon. Mais la jeunesse, totalement inculte suite à 50 ans de lavage de cerveau par la gauche et l’éducation nationale, y croit dur comme fer. Donc elle accorde du crédit à ces balivernes et pense sérieusement que la terre est vraiment menacée, ce qui génère en son sein une authentique angoisse susceptible de lui faire commettre des actes fous ; d’autant que la gauche dans son ensemble ne cesse de jeter de l’huile sur le feu en déclarant aussi que notre planète est menacée de destruction.

Quand je parle d’inculture de notre jeunesse, il faut se souvenir qu’en 2022, lors d’une épreuve de français du baccalauréat, 30%… oui, 30% des élèves ont rendu copie blanche car dans le sujet il y avait un mot (« ludique ») qui rendait impossible de remplir une copie si on ne le connaissait pas. Et pourtant, ludique est un mot des plus simples. Pour ceux qui auront la curiosité de lire le document envoyé par le lycéen tueur de Nantes, l’écriture, le vocabulaire et la démonstration utilisés sont tout simplement impossibles pour un élève de cet âge qui est dans la bonne moyenne donc limite inculte. Pour preuve, faut-il rappeler que lors d’un récent sondage fin 2023 réalisé pour le journal La Tribune auprès de jeunes de 16 à 24 ans, 46% ne savaient pas en quelle année avait eu lieu la Révolution française… ? Mais notre savant lycéen tueur est capable d’écrire des phrases du genre : « Le système ne se contente pas de détruire les écosystèmes : il détruit les psychés » ou encore il annonce vouloir un système basé sur « l’auto-organisation, l’apprentissage libre, la médecine populaire, les outils durables ». Précisant que « ce combat n’est pas un caprice idéologique. C’est une urgence biologique ». Chacun aura relevé que c’est tout à fait ainsi que s’exprime un gamin de 16 ans qui ne lit pas et passe son temps, comme les autres, sur les réseaux sociaux.

Autre point, qui n’est pas secondaire, le mode opératoire. Il semblerait que le tueur soit d’origine turque. Me permettra-t-on de rappeler que la France a connu depuis un certain nombre d’années une explosion de coups de couteaux, alors que 10 à 20 ans plus tôt, cela n’existait pas. Pour être précis… 120 par jour en 2017. Depuis cette date, le ministère de l’Intérieur a cessé de les dénombrer tellement le chiffre augmente d’année en année. Mais peut-on attirer l’attention du lecteur sur le fait que ce nombre de coups de couteaux augmente en parallèle avec l’augmentation de l’immigration ? Ceux qui sont honnêtes et objectifs accepteront de reconnaître que dans de nombreux pays, les conflits se règlent rapidement à coup de couteau. C’est le cas des pays africains, notamment ceux de l’Afrique du Nord, ainsi que la Turquie et de nombreux pays du Moyen Orient. Est-il bien étonnant que ce jeune ait choisi ce moyen pour frapper ses camarades ? Bien sûr, tous les Turcs et tous les Africains ne sont pas des adeptes du couteau. Mais parmi ces derniers, l’immense majorité est originaire de ces pays ou descendante de migrants qui en viennent et ont conservé leurs us et coutumes.

Et puis, il y a ce problème d’autorité et de respect des règles. Le ministre de l’Intérieur l’a rappelé lors de son passage à Nantes dans le cadre de ce drame et a dénoncé sa conséquence : l’ensauvagement de la société. En réalité il n’y a pas, à proprement parler, de véritable ensauvagement de notre société. Il y a plutôt un effondrement des repères, conséquence de toutes les actions délirantes et débiles de la gauche vis à vis de la jeunesse.

Ainsi, n’est-ce pas la gauche qui a fait voter une loi qui interdit de donner une « calotte » ou une fessée à son gamin ? N’est-ce pas la même loi qui autorise le gamin à aller porter plainte à la gendarmerie contre ses parents ?

N’est-ce pas la gauche qui a supprimé le redoublement et condamne les annotations trop « dures » des professeurs, car discriminatoires vis à vis des élèves ?

De même n’est-ce pas la gauche qui a fait voter que le mineur qui commet un grave délit ne sera jugé pour ces faits que 6 mois après et éventuellement puni pour cela. Généralement avec une extrême mansuétude, même lorsque le casier judiciaire du jeune est long comme le bras. Souvenons-nous que ce délai irresponsable entre le délit et le jugement avec sanction fait que le gamin ne peut pas comprendre. Ce fut le cas pour ceux qui ont tué le jeune Elias. Ils avaient commis un délit grave 6 mois plus tôt et devaient passer en jugement un mois plus tard. S’ils avaient été jugés immédiatement après leur délit et punis dans la foulée, Elias serait toujours vivant. Mais voilà, il y avait ces conceptions laxistes et cette culture de l’excuse de la gauche. Elias l’a payé de sa vie.

Enfin, n’est-ce pas la gauche et les macronistes qui refusent de toucher au droit des mineurs, alors que c’est un mineur de 14 ans qui a tué de sang froid à Marseille un chauffeur de taxi dans le cadre d’un « contrat ». La pègre a très bien compris que ses meilleurs alliés, ce sont la gauche et les macronistes qui refusent de prendre des mesures sérieuses pour restaurer l’ordre et l’autorité. Alors ils utilisent les mineurs pour une multitude de tâches mafieuses, en sachant très bien que rien ne sera fait contre ces mineurs. Pendant ce temps le pays sombre. Même les prisons et le personnel sont attaqués de toutes parts ces derniers jours.

Dans ces conditions, quelqu’un peut-il s’étonner que plus personne ne respecte l’autorité et les règles, tout spécialement parmi les jeunes ?

Enfin, un détail - qui n’en est pas un - mérite d’être relevé. Le jeune tueur a des parents divorcés. Il vit avec sa mère qui est seule. Donc, il n’y a pas de père à la maison. Cela me rappelle une affaire : mi-mars 2021, à Argenteuil, une collégienne est morte noyée par un adolescent. Laurence Rossignol -sénateur PS et ex-ministre de la famille- a tweeté : « Des adolescents meurent, tués par d’autres adolescents. Les mères parlent, crient leur douleur, leur culpabilité mais on n’entend pas les pères. Où sont-ils… bon sang ? »

Incroyable tweet qui montre parfaitement l’extraordinaire stupidité de cette gauche qui se prétend progressiste. Laurence Rossignol milite depuis plus de 40 ans et fut d’abord et avant tout, toute sa vie, une militante féministe. Elle a passé son temps à dénoncer le « patriarcat », affirmant de manière péremptoire que le père importe peu et qu’il peut être remplacé par une femme, une grand-mère ou un oncle. Et subitement à propos de ce drame, elle déclare : « Où sont les pères ? ».

Mais nous parle-t-elle d’un père dans le cadre d’une conception traditionnelle de la famille, c’est-à-dire celui qui prononce les interdits, celui qui dit « non », donc qui éduque l’enfant à respecter certaines limites, et qui sépare l’enfant de la mère à partir d’un certain âge, ce qui lui permet de se construire et de devenir adulte.

Non, Laurence Rossignol a milité toute sa vie en répétant que le père est un être toxique dont on peut parfaitement se passer de nos jours. Elle a soutenu la loi permettant à un gamin d’aller porter plainte contre ses parents, notamment le père. Résultat, les pères s’effacent, soit parce qu’ils sont absents (divorce), soit parce qu’on leur impose le silence. Le résultat, c’est que les gamins n’ont plus aucun repère, ne savent plus à quel moment il faut s’arrêter, ne comprennent pas que certains comportements sont impossibles en société. Et donc se croient tout permis.

Et certains pleurnichent sur « l’ensauvagement » de la société ?

Au final, nous voyons que cet horrible fait de société n’est nullement un fait divers mais l’expression et le résultat du bourbier dans lequel nous sommes tombés. L’assassin est un pur produit de notre société.

Si nous voulons sortir de cette situation qui, sans vraie réaction, va détruire notre société, il faut reconstruire de vraies familles, avec un père qui joue son rôle, qui est notoirement de prononcer l’interdit. Il faut restaurer le respect des règles et punir sans hésitation les fauteurs de troubles, par exemple exclure séance tenante les cinglés « palestiniens » qui sévissent dans les facs, les lycées et les grandes écoles. Il faut attraper et condamner sévèrement les antifas, black-blocks et autres écolos terroristes qui cassent et terrorisent. Il faut totalement changer le code pénal pour les mineurs. Il faut envoyer directement en prison tout ceux qui refusent d’obtempérer,… etc. Sinon, prétendre changer les choses sans faire cela, ce serait comme vouloir vider la mer avec une petite cuillère.

Mais surtout, il faut ne pas oublier ce que disait Platon dans La République : « Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leur parole, lorsque les maître tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les Lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au-dessus d’eux l’autorité de rien ni de personne, alors c’est là en toute beauté et en toute jeunesse le début de la tyrannie ».

À moins d’un sursaut réel et salutaire, nous sommes indiscutablement en route vers la tyrannie.

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Tripatouillage dans nos communes !

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Le Parlement français a le sens de l’urgence politique et du salut public. Alors que le pays traverse une insécurité endémique, un endettement considérable et un effondrement de son niveau scolaire, les députés viennent d’adopter de manière définitive une proposition de loi d’une importance cruciale, majeure, voire vitale.

Ce 7 avril 2025, par 206 votes pour, 181 contre (principalement issus des groupes RN, LR et UDR) et 25 abstentions (où étaient donc les 165 absents ?), l’Assemblée nationale approuve donc un texte qui renforce la parité dans les fonctions électives et exécutives dans les petites communes et ce, à moins d’un an des élections municipales. Cette nouvelle loi impose la parité femmes - hommes dans les communes de moins de mille habitants. Cette catégorie représente 70 % des municipalités françaises. Elle bouleverse bien des habitudes électorales.

Jusqu’à présent, l’élection du conseil municipal se déroulait au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours avec la possibilité de panacher, c’est-à-dire de rayer le nom de certains candidats. Le panachage disparaît avec l’introduction prévue par cette loi d’un vote par liste bloquée. « Le scrutin de liste est une invitation à la clarté et une manière d’affirmer que le collectif prime sur l’individuel. C’est une façon de mieux protéger les élus », déclare en séance la députée MoDem du Puy-de-Dôme, Delphine Lingemann. Or qui dit liste dit par conséquent parité. Sachant que la fonction de maire et de maire-adjoint dans une commune de petite taille démographique est souvent une tâche harassante, ingrate et peu rémunératrice, les volontaires, surtout féminines, font défaut. Toutefois, une enquête récente du Cevipof – Sciences Po sur l’état des maires à un an des élections montre que 37 % des édiles des communes de moins de 500 habitants souhaitent quand même se représenter.

Certes, la nouvelle loi estime qu’une liste sera réputée complète si elle compte jusqu’à deux candidats de moins que l’effectif entier inscrit dans le code électoral. Il faut signaler que l’Association des maires de France présidée par le maire LR de Cannes, David Lisnard, et l’Association des maires ruraux de France du maire vosgien des Voivres, Michel Fournier, soutiennent cette réforme plus que politiquement correcte. La conséquence sera qu’en 2026, de nombreux électeurs ne pourront choisir qu’une seule liste. Et la République hexagonale persiste à donner des leçons de démocratie à la terre entière…

Par-delà le fantasme paritaire, ce texte porte en lui deux répercussions insidieuses. La première verra un regroupement forcé de communes. Si aucune liste ne se présente dans la commune, la préfecture reporte d’un trimestre le scrutin municipal. Si, au terme de cette période, il n’y a toujours pas de candidat, la préfecture, après consultation du maire, des conseillers départementaux du canton, du député de la circonscription, des sénateurs et du conseil départemental, peut décider de la fusion de la commune avec l’une de ses voisines. Ainsi le nombre de communes françaises se réduira-t-il mécaniquement. On peut envisager que la fusion concerne trois, quatre ou cinq communes d’une même contrée.

La réduction du nombre de communes entraînera une diminution non négligeable du vivier des parrainages pour la présidentielle de 2027. Maints candidats traités de « petits » ont pu se présenter aux échéances précédentes grâce à la signature des maires ruraux. Moins nombreux, ceux-ci continueront-ils à signer en faveur d’un candidat de témoignage ? On en doute…

La même semaine, le Palais-Bourbon, toujours en pointe dans les sujets de préoccupation essentiels des Français, débattait de la proposition de loi organique révisant la loi Paris–Lyon–Marseille (PLM) de 1982. Dès 1983, et à la différence des autres communes, les électeurs des trois principales villes de l’Hexagone votent dans le cadre des arrondissements ou des secteurs (le secteur central réunit les Ier, IIe, IIIe et IVe arrondissements de la capitale et neuf secteurs regroupent chacun deux arrondissements à Marseille). Les premiers élus d’arrondissement (ou de secteur) siègent de droit par fléchage aux conseils municipaux parisien, lyonnais et marseillais. Cette procédure n’existera peut-être bientôt plus.

Adoptée en première lecture dernièrement par 183 voix pour, 33 contre et 17 abstentions, la proposition établit le même jour deux scrutins distincts : le premier pour le conseil d’arrondissement (ou de secteur) et le second pour le conseil municipal central. La députée MoDem du Rhône, Blandine Brocard, a essayé d’exclure Lyon de cette réforme, car les Lyonnais voteraient une troisième fois pour désigner le conseil métropolitain du Grand Lyon. Cela fait maintenant une décennie que la Métropole de Lyon, soit 58 communes, s’est détachée du département du Rhône dont elle a récupéré les attributions. Le Grand Lyon ignore le canton. La demande de Blandine Brocart n’a eu aucun succès auprès de ses collègues.

À la différence encore des autres communes, l’Assemblée nationale a abaissé la prime majoritaire accordée à la liste arrivée en tête : 25% au lieu de 50%. Enfin, elle entérine – et c’est légitime ! - la modification de la répartition des conseillers par arrondissement (ou secteur) en tenant compte de l’évolution démographique. Ce point n’a jamais été révisé en 43 ans. Par exemple, les 6e, 7e et 9e arrondissements de Lyon comptent neuf conseillers municipaux centraux pour respectivement 50 700, 87 500 et 53 600 habitants ! Les distorsions de représentativité deviennent manifestes.

Le texte voté par les députés passera devant le Sénat à compter du 4 juin prochain. Les sénateurs ne sont guère favorables (doux euphémisme !) à cette révision qui secoue les états-majors politiciens. La mairesse PS de Paris sur le départ, Anne Hidalgo, s’y oppose alors que le maire proto-sociétaliste de Marseille, Benoît Payan, l’approuve. Quant à l’édile Vert de Lyon, Grégory Doucet, il la récuse. Les Républicains sont eux aussi divisés. Or le vote d’une loi organique nécessite un accord préalable entre les deux chambres.

La réforme de la loi PLM est louable, mais sa mise en œuvre relève de l’usine à gaz bureaucratique. Cette réforme écarte la question décisive de la répartitions des compétences entre la mairie centrale et les arrondissements (ou les secteurs). Elle n’aborde pas non plus les rapports institutionnels entre ces deux instances supposées coopérer au quotidien sur un territoire commun.

La reprise en l’aménageant de l’exemple électoral du conseil régional n’aurait-elle pas été meilleure ? En présentant sur un seul bulletin pour l’ensemble du territoire communal avec des sections pour les arrondissements (ou les secteurs), l’électeur ne risquerait pas de se perdre sans oublier que monter deux à trois bureaux de vote à un moment où manquent régulièrement des assesseurs devient dès lors une gageure difficile à surmonter.

Tels des Byzantins de 1453 dissertant sur le sexe des anges, à savoir la parité obligatoire dans les communes rurales et la réforme de la loi PLM, la soi-disant démocratie libérale encadrée par les partis démontre par ces deux actes toute sa nocivité. De pareilles balivernes cesseront aussitôt dans le cadre d’une démocratie organique souveraine structurée autour d’une aristocratie populaire authentique exigeante, disciplinée et ascétique.

Salutations flibustières !

 

« Vigie d’un monde en ébullition », n°153, mise en ligne le 23 avril 2025 sur Radio Méridien Zéro.

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Soutien aux généraux Coustou et Pellizzari suite à leurs radiations

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Jean Pierre Fabre-Bernadac - Président de Place d’Armes

Comme président de Place d’Armes, je tiens à apporter mon soutien aux généraux Coustou et Pellizzari suite à leurs radiations. Pour moi, comme pour de nombreux cadres de l’Armée, cette démarche est entachée de partialité.

Pourquoi partialité ? Pour y répondre, je ne prendrai qu’un exemple.

Le général Lecointre, à l’époque chef d’état-major des Armées, avait réagi suite à ma « lettre aux gouvernants » en indiquant : « Quand on est général en 2e section, on s’engage statutairement à respecter le devoir de réserve. »

Cette analyse peut paraître juste, mais alors pourquoi certains généraux, consultants de chaînes de télévision, payés par ces mêmes chaînes, bafouent constamment ce droit de réserve sans qu’aucune décision coercitive ne soit prise contre eux ?

Lorsque un général s’exprime avec rage sur LCI en déclarant : « Trump est un agent de Poutine (…), même s’il n’est pas un agent retourné au sens juridique du terme et que c’est juste un convaincu, il est ce que Lénine appelait les idiots utiles : lui, il est très idiot et très utile ! », pourquoi est-ce que je n’observe aucune réaction du gouvernement ?

Pourtant, il me semble que, dans la même phrase, un haut gradé se permet de traiter le président des États-Unis de traître et d’idiot !

Ne pensez-vous pas, Monsieur le ministre, que de tels mots prononcés par un haut gradé peuvent avoir des conséquences négatives sur les relations franco-américaines ?

Allez-vous entreprendre des démarches pour conduire à la radiation ce militaire ?

N’enclencher aucune résolution serait valider le fait qu’un deux poids deux mesures existe bien au sein du ministère de la Défense.

Jean Pierre Fabre-Bernadac

Président de Place d’Armes

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Tragédie à Nantes : le sang des innocents et l’aveuglement des responsables

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Hier, la France a une nouvelle fois été frappée par l’horreur. À Nantes, dans ce qui devrait être un sanctuaire pour nos enfants, une lycéenne a été sauvagement assassinée à coups de couteau, et trois autres jeunes ont été grièvement blessés. Nos pensées émues vont aux familles plongées dans le deuil et la douleur, ainsi qu’à toute la communauté scolaire bouleversée par cette barbarie.

Le tueur, Justin Adar Polat, âgé de 15 ans, un individu d’origine turque, n’est ni un « militant d’extrême droite » comme certains voudraient le faire croire à coups de titres racoleurs, ni un croisé de la haine raciale. Il semble, à ce stade, que nous ayons affaire à un esprit instable, ravagé par une forme de paranoïa née de l’éco-anxiété — ce mal moderne distillé par les gourous pseudo-écolos et leurs discours apocalyptiques, qui instillent la peur et la culpabilité dans l’esprit des jeunes au nom du climat.

Mais une question s’impose : où sont les responsables ? Comme toujours, nos gouvernants regardent ailleurs, récitant mécaniquement les mêmes litanies sur la « résilience » et la « solidarité ». Pas un mot sur l’échec criant de la prévention, pas un mot sur la démission de l’État face à la montée de la violence dans nos établissements scolaires.

Le Parti de la France appelle à des mesures de bon sens. Nous réclamons que chaque établissement scolaire puisse désigner un référent armé, dûment formé et habilité, membre de la communauté éducative, prêt à intervenir immédiatement pour neutraliser toute menace, qu’il s’agisse d’un agresseur isolé, d’un déséquilibré ou d’un terroriste.

L’heure n’est plus aux bougies et aux marches blanches : l’heure est à l’action.

Source cliquez ici

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jeudi, 24 avril 2025

Revue de presse : le grand média breton "Breizh Info" relate la projection de "Silenced" en Côte-d'Armor mercredi soir

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Bretagne. « Silenced », reportage signé Tommy Robinson, censuré par de très lâches élus avec l’appui de la presse mainstream et de la gauche. La liberté d’expression en danger

Une projection interdite à Lannion. Puis à Saint-Brieuc. Puis à Lorient. Partout en Bretagne, le film Silenced, réalisé par le Britannique Tommy Robinson, se voit réduit au silence. Officiellement, les arrêtés municipaux invoquent un risque de « trouble à l’ordre public ». Officieusement, c’est bien plus grave : ce n’est pas l’œuvre qui dérange, mais le fait qu’elle existe.

La gauche comme bras armé de la censure

Depuis plusieurs semaines, une mécanique bien huilée se met en place dès qu’un collectif national ou local annonce une projection : pression des élus de gauche et d’extrême gauche, pétitions, intimidations, menaces de manifestation, relais dans la presse subventionnée et amicale. Puis viennent les arrêtés municipaux, justifiés par un « risque de trouble », que les autorités provoquent elles-mêmes en activant leur propre camp. C’est le serpent qui se mord la queue : la violence supposée vient toujours des censeurs, jamais des organisateurs.

Gaëlle Le Stradic, vice-présidente de la Région Bretagne, résume à elle seule l’arrogance du système : « Le racisme n’est pas une opinion, donc pas de projection. Simple. » Voilà une élue qui décide, sans avoir vu le film, de sa teneur, de sa légitimité, et surtout de ce que les Bretons peuvent ou non regarder. C’est désormais cela, la démocratie culturelle.

Une presse qui désinforme en chœur

Quant aux médias de grand chemin ils se sont faits procureurs. À peine le titre du film mentionné, le procès est déjà instruit : Silenced serait un film « raciste », « complotiste », « islamophobe », « xénophobe ». Une œuvre « interdite en Angleterre » – en réalité non classée, mais censurée pour des motifs judiciaires dans un pays où les procès bâillons sont monnaie courante. Peu importe, aucun de ces journalistes ne semble avoir visionné le film. La vérité n’a pas sa place dans leur logiciel, seul le conformisme idéologique compte.

À Lannion, à Saint-Brieuc, à Lorient, les maires invoquent « les tensions sur les réseaux sociaux », « les affrontements entre ultra-droite et ultra-gauche ». Mais qui menace qui ? Qui intimide les propriétaires de salles ? Qui dénonce les organisateurs sur les réseaux sociaux ? Qui parle déjà de contre-manifestations ? Certainement pas les spectateurs du film, ni les associations comme Liberté Démocratie Bretagne ou le Cercle Trégor & Goëlo. Non, les seuls fauteurs de trouble sont ceux qui hurlent à la haine, mais ne supportent pas qu’on leur tende un miroir.

Charlie est mort, vive la censure

Où sont passés les « Je suis Charlie » ? Ceux qui, en 2015, défendaient le droit de caricaturer tout et n’importe quoi au nom de la liberté d’expression ? Les voilà désormais devenus des censeurs vigilants, prêts à interdire un documentaire dont le tort principal est de dénoncer un système de silenciation et de désinformation… qui les implique directement. Ironique.

Qu’on aime ou non Tommy Robinson, qu’on adhère ou non à ses thèses, Silenced est d’abord le témoignage d’un homme aujourd’hui poursuivi, emprisonné, harcelé pour avoir osé critiquer la gestion de la crise migratoire en Grande-Bretagne. C’est le reportage que les confrères des médias subventionnés français, outre Manche, n’ont pas fait, eux qui se sont écrasés des années sur les viols, les trafics, les gangs de pakistanais et la traite des Blanches. Le film ne donne pas de leçon : il raconte une histoire que n’a pas voulu raconter la presse aux ordres. Il soulève des questions, il suscite un débat – ce même débat que ses censeurs refusent d’avoir, préférant la répression préventive à la confrontation d’idées.

Après Silenced, ce sera quoi ? Un livre ? Une conférence ? Une chanson ? Une exposition ? À chaque fois, le même procédé : étiqueter, ostraciser, interdire. La Bretagne, terre d’insoumis, doit-elle devenir le laboratoire de l’intolérance gauchiste ? Ou ses habitants finiront-ils par se lever, au nom de la liberté de penser, de parler, de créer ?

Nous remettons le film, ci-dessous, en Version Originale sous titrée. Et nous vous invitons à le diffuser massivement, à le faire voir, entre amis, en famille, avec vos proches (la gauche bretonne n’a pas encore le pouvoir d’envoyer des flics de la pensée chez vous pour s’assurer que vous ne regardez pas ce documentaire). Merde aux censeurs !

Source Breizh info cliquez ici

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Revue de presse : Le Télégramme, quotidien régional en Bretagne, relate notre victoire d'hier...

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Interdite par le maire de Saint-Brieuc, la diffusion du film « Silenced » a bien eu lieu ailleurs dans les Côtes-d’Armor
 
Par Valentin Bechu
Le 24 avril 2025 à 10h26
 
Alors que la diffusion du film « Silenced » avait été interdite par le maire de Saint-Brieuc, Hervé Guihard, le cercle Trégor & Goëlo a bien projeté le documentaire, mais dans un autre lieu tenu secret autour de la ville.
 
Était-ce un plan de secours ? Ou la projection du film « Silenced » était-elle prévue depuis le départ ailleurs qu’à Saint-Brieuc ? Toujours est-il que ce mercredi 23 avril, le film réalisé par le militant britannique d’extrême droite Tommy Robinson a été diffusé dans un « lieu privé » et tenu secret par les organisateurs. Des précautions prises par l’association paimpolaise Le Cercle Trégor & Goëlo, organisatrice de l’événement, et Éric Mauvoisin-Delavaud, responsable de la diffusion du film en France et fondateur du Rassemblement vendéen.
 
Une projection annoncée coûte que coûte
 
Après un premier arrêté d’interdiction de diffusion à Lannion, en mars dernier, les organisateurs avaient promis que « d’une manière ou d’une autre, "Silenced" sera projeté en Côtes-d’Armor, n’en déplaise aux étrangleurs patentés de la liberté d’expression ».
 
Une nouvelle tentative était donc prévue à Saint-Brieuc ce mercredi 23 avril, selon les informations de la municipalité. En conséquence, le maire Hervé Guihard avait émis un arrêté d’interdiction à son tour, avançant plusieurs arguments : « Incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination », risque « très élevé de troubles à l’ordre public », diffusion d’idées « racistes ou discriminatoires » et de « propos complotistes ».
 
De plus, le Collectif de vigilance antifasciste des Côtes-d’Armor (CVA 22) avait appelé à « faire capoter » l’événement.
 
Une centaine de personnes selon un animateur de l’événement
 
Roland Hélie, un des animateurs de l’événement, explique être « plutôt reconnaissant » des arrêtés pris par les élus locaux : « En effet, grâce à leurs campagnes hargneuses de calomnies, ils ont suscité un vaste intérêt pour le film et mercredi soir, nous étions plus d’une centaine à assister à la projection de celui-ci », publie-t-il sur le site de Synthèse nationale, la revue qu’il dirige et qui se donne de réunir les différentes tendances de l’extrême droite, généralement hostiles au Rassemblement national.
 
Ce militant d’extrême droite est une ancienne figure du Front national dans les années 1970. Tendance frontiste « canal historique », il avait rejoint le Parti des forces nouvelles, un mouvement néofasciste (NDLR SN : CQFD). Lors des dernières élections présidentielles, il avait soutenu Éric Zemmour lors du lancement de sa campagne dans les Côtes-d’Armor.
 
Source Le Télégramme cliquez ici

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Une bonne nouvelle : grâce au député Lepvraud et ses complices, le film "Silenced" pulvérise depuis ce matin les compteurs

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Le député Lepvraud à qui nous devons le succès grandissant du film de Tommy Robinson "Silenced" 

Du fond du coeur, nous tenons à remercier le député LFI Murielle Lepvraud. Grâce à ses manoeuvres liberticides destinées à interdire la projection du film (qu'elle n'avait, nous dit-on dans son entourage, même pas vu) "Silenced", du héros identitaire britannique Tommy Robinson, celui-ci a été visionné depuis ce matin, selon les compteurs de l'hébergeur, par plusieurs milliers de costarmoricains. Un record d'audience inespéré...

Le cercle Trégor et Goëlo reçoit ces dernières heures des dizaines de messages de spectateurs indignés, après avoir vu le film sur les réseaux sociaux ou hier soir lors de la projection qui a quand même eu lieu malgré les oukases du maire près de Saint-Brieuc, par les mensonges et les calomnies bavés à profusion par le député islamo-gauchiste de Guingamp et ses comparses, édiles de Saint-Brieuc et de Lannion, qui ont interdit sa projection dans leurs villes. 

Par eux mêmes, les spectateurs ont constaté que tout ce que racontent ces politiciens, tous adeptes du grand remplacement, n'est que boniments et calembredaines de mauvais goût. Il est vrai que pour conserver leurs postes juteux et leurs prébendes, ces gens sont prêts à tout...  

Ils prétendaient que ce film serait un film "raciste" et "complotistes" : à vous de voir (et de faire voir)  ce film et vous pourrez ainsi constater la perversion de leur imagination fertile. Nous vous rappelons que ces nuisibles incarnent (encore et certainement plus pour très longtemps) le pouvoir en place qui mène à la vitesse grand V la France au fond du gouffre.

Alors, faites un geste militant salvateur : diffusez ce film autour de vous, allez sur les pages des réseaux sociaux auxquelles vous avez accès et mettez-le en ligne. Son audience continuera ainsi à augmenter et les baragouineurs de gauche en seront pour leur frais...

Amis lecteurs de Synthèse nationale, si vous voulez contribuer au triomphe de la Vérité, vous savez ce qu'il vous reste à faire...

S N

Consigne : cliquez sur le film ci-dessous, copiez le code d'intégration et collez-le là où vous voulez qu'il soit vu...

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Humiliation pour les censeurs gauchistes : le film « Silenced » projeté dans les Côtes d’Armor

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Bernard Germain 

« Silenced » n’est pas un film interdit en France, tout comme dans une multitude de pays. Seule l’Angleterre l’interdit et son réalisateur est d’ailleurs en prison pour l’avoir publié et refusé de se taire sur les mensonges incroyables des autorités anglaises, à commencer par le Premier ministre ainsi que tous les bien pensants, les partisans du « vivre ensemble » et les islamistes, sur une affaire concernant un jeune Syrien soi-disant victime de racisme.

Ce film raconte l’incroyable inversion de la réalité que tout observateur honnête ne peut que constater. Celle d’un jeune Syrien, qui a terrorisé son collège et son entourage avant de tomber sur un bec. Mais les bien pensants, au lieu de reconnaître ce jeune Syrien comme une personne toxique, ont inversé l’histoire et l’ont transformé en victime d’un enfer raciste absolument imaginaire. Les mensonges les plus incroyables ont été inventés et relayés par la presse et même les autorités. Pour faire taire les gens, des témoins ont été achetés ou tout simplement menacés.

Tommy Robinson - journaliste -, étonné dans cette affaire des déclarations contradictoires, a mené une enquête et réuni de très nombreuses preuves du comportement de ce jeune Syrien. Il a démontré tous les mensonges véhiculés afin de protéger ce garçon malfaisant, tyrannique, irrespectueux et violent avec son entourage.

Cela n’a bien sûr pas plu aux autorités, à la gauche, à la presse anglaise ni aux islamistes.

Tommy a été menacé, sa femme également, tout comme ses enfants pour qu’il se taise. La justice a même exigé qu’il renonce a publier son film sur sa chaîne Youtube. Comme Tommy a refusé de se taire et a voulu que tout le monde puisse connaître la vérité dans cette affaire, il a été jeté en prison où il purge actuellement une peine de 18 mois.

Oui, vous avez bien lu… 18 mois de prison ferme pour avoir simplement raconté la vérité, avec toutes les preuves à l’appui, sur ce qu’était vraiment ce jeune Syrien et comment les autorités, la presse et la gauche ont inversé les choses et raconté une incroyable somme de mensonges pour le faire passer pour une victime du racisme.

Dans la seconde partie du film, Tommy Robinson raconte le calvaire qu’il a vécu de ce fait.

Un film que la gauche, toute la gauche française, refuse que les Français puissent voir et ainsi prennent conscience de ce scandale honteux existant outre manche.

Lorsque l’association « Cercle Trégor & Goélo », dont l’objet est d’organiser des débats, a voulu présenter ce film à Lannion, la gauche s’est déchaînée pour empêcher sa projection. Et ce qui est le plus incroyable, sans avoir vu le film !

D’abord par le député LFI de Guingamp Mme Muriel Lepvraud qui en a demandé l’interdiction aux autorités et à la mairie de Lannion. Et le maire de Lannion M. Paul Le Bihan de se coucher prestement en publiant un arrêté d’interdiction de la réunion pour satisfaire les exigences du député liberticide LFI. Vous imaginez, faire savoir aux Français ce qui se passe en Angleterre qui inverse totalement la réalité… pas question. Et cette réunion n’a pas pu avoir lieu. Ce qui n’empêchera nullement ce maire PS de se prétendre un vaillant défenseur des libertés et de la démocratie. Libertés et démocratie qui ne sont visiblement pas pour tout le monde.

Quant à la presse régionale (Le Télégramme, Ouest-France,…), elle a bien sûr emboîté le pas de ces gens dits de « gauche », qui prétendent défendre la liberté mais ne loupent aucune occasion pour lui tordre le cou.

Reste que l’Association Trégor & Goélo l’avait dit : « Cette gauche liberticide ne nous empêchera pas de projeter le film. La liberté triomphera, il y aura une projection prochainement ».

Cette projection était prévue mercredi 23 avril à Saint-Brieuc. À nouveau la gauche a été informée et a cru qu’elle pourrait imposer une fois de plus la censure comme un vulgaire régime autoritaire et antidémocratique. Le maire « divers gauche » mais en fait PS de Saint-Brieuc - Hervé Guihard -, lui aussi soumis aux exigences de l’extrême gauche, a publié ce mercredi dans la matinée un arrêté d’interdiction de la réunion et de la projection du film, prouvant à cette occasion qu’il est lui aussi un défenseur des libertés, mais pas pour ceux qui n’ont pas ses opinions.

Sauf que cette fois, pas de chance, il ne pourra pas la ramener en indiquant qu’il a muselé « l’extrême droite ». Il aurait du revoir ses classiques et il serait tombé sur cette citation de Lénine : « L’homme intelligent n’est pas celui qui ne fait pas d’erreur, mais celui qui apprend de ses erreurs à ne pas les refaire ».

Et cette fois-ci, sachant que la gauche allait nous rejouer la même comédie (ce qui fut le cas) nous avions un plan B. Ces idiots endoctrinés et exaltés ont pensé pouvoir imposer une fois de plus et sans problème leurs méfaits. Mais là ce fut un superbe raté !

La réunion a bien eu lieu et ce fut un franc succès. Comme le montre la photo d’une partie de la salle, une centaine de personne étaient présentes. Elles ont pris connaissance du film et à son issue ont participé à un débat avant de boire dans la bonne humeur un verre de l’amitié. (...)

Cette soirée restera comme la preuve que la gauche n’est pas toute puissante et que même si elle veut faire taire toute opposition, il existe des moyens de lui tenir tête et même de gagner comme nous venons de le prouver ce soir.

On peut même dire que cette opposition sectaire et délirante de la gauche est le meilleur moyen de faire de la publicité au film de Tommy Robinson.

À ce jour, Eric Mauvoisin a indiqué à l’assistance que 50 millions de personnes avaient déjà visionné le film à travers le monde. Et ce n’est manifestement pas fini.

Source Riposte laïque

12:55 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Saint-Brieuc : le maire de gauche interdit la diffusion d’un documentaire sur les gangs de violeurs pakistanais au Royaume-Uni

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Budig Gourmaleon

(article publié mercredi 23 avril

sur le site breton Stourm !)

Ce mercredi 23 avril 2025, une projection du film « Silenced », réalisé par le militant britannique Tommy Robinson, devait se tenir en pays briochin. Mais, à la veille de l’événement, le maire de Saint-Brieuc, Hervé Guihard, a pris un arrêté pour interdire cette diffusion, invoquant des motifs fallacieux pour justifier une censure pure et simple. Selon Le Télégramme du 22 avril 2025, l’élu a avancé des accusations d’« incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination », de risque de « troubles à l’ordre public » et de diffusion d’idées prétendument « racistes » ou « complotistes ». Une rhétorique bien rodée, symptomatique d’une gauche immigrationniste hexagonale qui cherche à museler toute voix dissidente.

Cette interdiction s’inscrit dans une série d’attaques contre l’association Cercle Trégor & Goëlo, déjà victime d’une censure similaire à Lannion en mars dernier, où le maire Paul Le Bihan avait également interdit la projection. À Lorient, même scénario : le maire Fabrice Loher a pris un arrêté cette semaine pour empêcher la diffusion de « Silenced » prévue le 26 avril. À chaque fois, les organisateurs, soucieux de préserver la sécurité de l’événement, avaient choisi de ne pas dévoiler le lieu exact. Mais cela n’a pas suffi face à la machine répressive des édiles alignés sur une idéologie qui refuse le débat.

Hervé Guihard, dans une déclaration rapportée par Le Télégramme (22 avril 2025), ose invoquer la « liberté d’expression » tout en la piétinant, affirmant qu’elle « n’est pas sans limite » lorsqu’elle heurte « la dignité de la personne humaine ». Mais de quelle dignité parle-t-on quand on interdit un film sans même en débattre, sans le visionner, sans laisser au public breton le droit de se forger sa propre opinion ? Cette censure n’est rien d’autre qu’une tentative d’étouffer les idées qui dérangent, celles qui questionnent l’immigration de masse et ses conséquences sur la Bretagne.

Ceci est d’autant plus outrageant que le documentaire est disponible sur YouTube. Dans celui-ci, on découvre comment les gangs d’immigrés pakistanais ont, pendant des décennies et avec la protection des autorités britanniques, violer des milliers de jeunes filles blanches

Cette affaire illustre le véritable visage de la gauche immigrationniste : une caste qui, sous couvert de morale, impose un contrôle idéologique et prive les Bretons de leur droit à l’information. Tommy Robinson, incarcéré en Grande-Bretagne, est une figure controversée, mais son film mérite d’être vu et débattu, non pas interdit par des bureaucrates déconnectés. Nous dénonçons avec force cette dérive autoritaire et appelons à la mobilisation pour défendre la liberté d’expression, pilier de notre identité bretonne et européenne.

 

Source : Stourm ! cliquez ici

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La Liberté et la Vérité ont remporté une grande victoire mercredi soir dans les Côtes d'Armor : le film "Silenced" a été projeté devant une salle bondée et enthousiaste

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Malgré les intimidations et l'interdiction, la salle était bondée.

Ils ont tout essayé pour empêcher la projection du film "Silenced" mercredi soir près de Saint-Brieuc et ils ont lamentablement échoué... Et c'est tant mieux. 

En effet grâce à la détermination des organisateurs, le Cercle Tregor et Goëlo, les costarmoricains venus nombreux ont pu se rendre compte par eux-mêmes de l'étendue de la duplicité de la camarilla politicarde locale. Ces incultes, qu'ils soient macronistes, au PS ou dans le groupe islamo-gauchiste LFI, accusaient, sans même l'avoir vu, le remarquable film réalisé par le courageux journaliste anglais Tommy Robinson d'être un film "raciste et complotiste". 

Déjà, en mars dernier, ces fossoyeurs patentés de la Liberté avaient fait interdire la projection (privée) de "Silenced" à Lannion. Depuis l'annonce de la séance (privée) en pays briochin, ils ont récidivé et, finalement, nous leur en sommes plutôt reconnaissants. En effet, grâce à leurs campagnes hargneuses de calomnies, ils ont suscité un vaste intérêt pour le film et mercredi soir, nous étions plus d'une centaine à assister à la projection de celui-ci. 

Alors, "Silenced", film raciste ? "Silenced", film complotiste ?

Le meilleur moyen d'en avoir le coeur net, c'est d'en juger par soi-même. Voilà pourquoi nous proposons à ceux qui n'ont pas pu assister à la projection de le regarder sur notre site. Ils pourront ainsi constater l'état de mythomanie accentuée des sectateurs locaux de la pensée dominante.

S N

À vous de juger :

Diffusez partout sur les réseaux sociaux ce film afin que les Français soient de plus en plus nombreux à se faire une opinion par eux-mêmes et non en se contentant d'écouter les balivernes colportées par les élus de gauche.

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Bernard Germain, président du Cercle Tregor et Goëlo, et Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, animent le débat suite à la projection du film.

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Eric Mauvoisin-Delavaud, initiateur de la campagne de diffusion de "Silenced" à travers la France, visiblement satisfait de cette belle victoire remportée en Côtes d'Armor.

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mercredi, 23 avril 2025

Faut-il en rire ou en pleurer ? Le maire de Saint Brieuc interdit dans sa ville une réunion qui ne le concerne pas...

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Les cimes de l'incompétence sont atteintes depuis ce matin et le premier de cordée s'appelle Hervé Guihard (en photo ci-dessus), actuel maire de la préfecture des Côtes d'Armor, qui, l'émotion sélective aidant, vient de pondre un arrêté municipal interdisant la projection du film réalisé par le courageux journaliste anglais Tommy Robinson, "Silenced" cliquez ici.

Le seul problème, ignoré par l'édile briochin, c'est que la projection de ce film n'est pas prévue dans sa ville et qu'il s'agit d'une réunion privée dont la tenue ne le concerne absolument pas. Si le ridicule tuait encore, ce pauvre naïf qui, évidemment, n'a pas vu le film, serait déjà aux côtés de ceux qui se sont signalés en voulant assassiner la liberté, tels Béria, le tueur de Staline, ou Pol Pot, le responsable des charniers cambodgiens, au fin fond des poubelles de l'Histoire... Quand on a affaire à un imbécile qui démarre au quart de tour, il faut s'attendre à tout. Est-ce que demain, M. Guihard, sous la pression de n'importe quelle officine laïcarde, interdira les banquets de premières communions sous prétexte qu'il s'agirait de "bacchanales obscurantistes" ? Comme c'est parti, avec un tel oiseau, on peut désormais imaginer n'importe quoi...

Que les Guihard, Le Bihan (maire PS de Lannion) et autres dames Lepvrault (le député LFI de Guingamp) le veuillent ou non, la projection du film aura bel et bien lieu ce soir quelque part près de chez eux et les Bretons offusqués seront ainsi nombreux (beaucoup plus qu'ils ne le pensent) a constater l'étendue de leur perfidie liberticide. Ils auront beau menacer d'envoyer leurs miliciens antifas, rien n'y fera...

Une dernière chose, les producteurs anglais de "Silenced" nous prient de transmettre leurs sincères remerciements aux thuriféraires du goulag costarmoricain qui, grâce à leurs gesticulations stériles, ont assuré une publicité inespérée à leur film.

S N

10:08 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Malgré les injonctions liberticides de la gauche, le film "Silenced" sera projeté dans les Côtes d'Armor...

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Il y a un mois, à l'initiative du Cercle Tregor et Goëlo, une association légale qui organise régulièrement depuis des années des conférences privées à Lannion (22) et dans sa région, une projection du film "Silenced", réalisé par le journaliste anglais Tommy Robinson, était programmée dans cette ville.  Ce film, qui rencontre un énorme succès outre-Manche, est présenté en France par le cinéaste vendéen Eric Mauvoisin-Delavaud. Il raconte comment une agression impliquant des délinquants étrangers, survenue dans une grande ville britannique, a été honteusement falsifiée par la presse afin d'éviter toute réaction de la part de la population autochtone.   
 
Il n'en fallut pas plus pour susciter l'hystérie de la gauche costarmoricaine qui, par la voix de la député du groupe islamo-gauchiste LFI de Guingamp, une certaine Murielle Lepvraud, exigea l'interdiction de cette paisible soirée amicale (de quoi je me mêle ?). Le maire de Lannion, Paul Le Bihan, qui semble-t-il ne savait pas exactement de quoi il s'agissait, s'était immédiatement plié devant les injonctions liberticides de la pasionaria guinganpaise cliquez là. Il faut dire que ni la député LFI qui accuse "Silenced" d'être un film "raciste et complotiste" (les qualificatifs éculés qui font encore frémir les bobos nantis du Système), ni le maire socialiste de Lannion ne semblaient avoir vu ce film cliquez ici.
 
Rappelons aussi que "Silenced" a été déjà projeté dans une bonne douzaine de villes françaises, et non des moindres, sans que cela n'offusque personne, à part, peut-être, les chiens de garde locaux de la pensée dominante, à savoir quelques permanents syndicaux, des antifas manipulés et autres punks dégénérés.
 
Pour la petite histoire, à Lannion, la manif de la gauche devant la salle où devait être projeté "Silenced" a rassemblé... 11 personnes ! Belle performance, MDR.
 
Cette odieuse interdiction a suscité dans tout le département des Côtes d'Armor une vive indignation. Reconquête !, le mouvement d'Eric Zemmour, dans un communiqué cliquez ici de son délégué départemental Pierre-Yves Thomas, a fermement condamné cette atteinte inadmissible à la liberté d'expression. Il en alla de même du côté de Riposte laïque cliquez là.
 
Suite à l'interdiction de la projection de Lannion, en quelques jours, des centaines de personnes ont contacté l'association Tregor et Goëlo pour manifester leurs soutiens. Afin de répondre à la demande, malgré les gesticulations des assassins de la liberté, qu'ils soient de gauche ou d'extrême gauche, "Silenced" sera donc bel et bien projeté ce mercredi soir dans un lieu privé, isolé et protégé en pays briochin.
 
Quant à ceux qui ont tenté d'empêcher cette projection, c'est devant les tribunaux qu'ils risquent de devoir bientôt s'expliquer... 
 
S N

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mardi, 22 avril 2025

L'avenir de la Chrétienté souhaité par Ignace

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François, le pape qui n’aimait pas l’Europe

pape-francois.jpgBenoît Couëtoux du Tertre

François, le premier pape non issu du continent européen, porte à son apogée cette sanctification de l’immigration, multipliant les gestes symboliques (comme de ramener à Rome des familles de clandestins musulmans de Lesbos dans son avion) dans un contexte brûlant (crise des migrants, terrorisme islamique). Selon lui, l’Europe doit ouvrir largement ses portes à tous ceux qui sont « à la recherche d’une vie meilleure ». Rejoignant les vieilles lunes de l’extrême gauche, la notion même d’immigrés clandestins n’aurait plus de sens puisque les frontières seraient abolies…

Pour le pape jésuite d’origine sud-américaine, indifférent aux racines européennes de l’Église, l’Europe n’existe qu’à travers l’entité bruxelloise et ne possède pas d’identité propre, ses seules références culturelles sont les Lumières, les droits de l’homme et la démocratie. Pour lui, « L’identité européenne est, et a toujours été, multiculturelle et dynamique », « formée par de multiples invasions ». Sans immigration, elle est condamnée à n’être plus qu’une « Europe grand-mère, vieille et stérile… ».

Un discours éminemment politique

Par ses prises de position répétées, l’Église déborde largement d’une démarche caritative et humanitaire pour s’inscrire dans le discours dominant de l’idéologie des droits-de-l’homme. Le migrant est considéré comme un individu abstrait, un « Immigré à majuscule », sans prendre en compte ses origines, sa religion ou sa différence de culture et n’est vu que du point de vue personnel ou familial sans considérer les conséquences d’une immigration massive pour le pays d’accueil.

Pire encore, toute politique d’assimilation est rejetée car l’immigré a « le droit de conserver sa langue maternelle et son patrimoine spirituel », ouvrant ainsi la voie aux pires dérives communautaristes.

A la Vieille Europe, autrefois forteresse de la Chrétienté, passée par pertes et profits, l’Église oppose désormais l’immigration conçue comme « une voie nécessaire pour l’édification d’un monde réconcilié » (Jean Paul II), « une préfiguration anticipée de la Cité sans frontières de Dieu » (Benoît XVI), voire « une nouvelle humanité pour laquelle toute terre étrangère est une patrie et toute patrie une terre étrangère » (François).

« Les chers immigrés musulmans »…

Ce désarmement moral face à l’invasion migratoire est aggravé par une vision angélique de l’islam dont l’Eglise, engagée depuis Vatican II dans la frénésie du dialogue inter-religieux, feint d’ignorer les incompatibilités avec la civilisation européenne, refusant d’en condamner la violence intrinsèque – hormis Benoît XVI lors de son fameux discours de Ratisbonne. Laurent Dandrieu déplore que l’Eglise actuelle porte ainsi sur l’islam un regard christianocentrique le réduisant à ses seuls aspects spirituels et à ses « fausses ressemblances » avec le christianisme.

Le pape François multiplie là encore les déclarations iconoclastes, renvoyant notamment dos à dos violences islamistes et violences commises par des catholiques. Cet aveuglement minore encore la perception du danger que fait peser l’immigration de masse sur l’identité européenne.

L’Eglise s’aligne sur Terra Nova ?

Reprenant la formule du sociologue québécois, Mathieu Bock-Coté, Laurent Dandrieu considère que l’Eglise est passée dans le camp du « parti immigrationniste », le « Big Other » de Raspail – la religion de l’Autre, du Migrant, du lointain… Ce faisant, elle délaisse le peuple, « cet immense vivier de baptisés » qu’elle considère avec indifférence, voire avec une pointe de mépris. Pour l’Eglise en effet, le christianisme culturel des Européens de souche, attachés à leurs clochers et à leurs crèches, lui semble de peu de foi et lourd de bas instincts identitaires.

Abandonnant ainsi les périphéries populaires autochtones au profit de la « nouvelle évangélisation » des périphéries exotiques qui se déversent sur l’Europe, l’Eglise applique pour ses ouailles la même stratégie que le think-tank « Terra Nova » pour l’électorat de gauche.

Vers une nouvelle Réforme ?

Selon Mathieu Bock-Côté, ce livre représente une « méditation subtile et éclairante sur le destin de notre civilisation ». à ce titre, il intéressera tous les Européens, catholiques ou non, qui s’interrogent sur le devenir de l’Europe en ces années décisives. Œuvre courageuse de la part d’un catholique sincère et convaincu qui ose dénoncer les positions suicidaires d’une Eglise passée « de Lépante à Lesbos », Laurent Dandrieu se refuse pourtant à la résignation.

Détectant les premiers signes du réveil dans une partie du clergé, notamment en Europe de l’Est, il appelle à ce que l’Eglise puise dans sa tradition millénaire pour évacuer ces « vertus chrétiennes devenues folles » décrites par Chesterton. S’il reconnaît qu’il s’agit « d’une voie étroite », cette nouvelle Réforme n’est pas sans évoquer celle appelée également de ses vœux par Dominique Venner dans les dernières pages de son livre testament Le Samouraï d’Occident : « Je souhaite que vienne de l’intérieur une nouvelle Réforme dans l’esprit d’un retour à nos sources authentiques dont le pape Benoît XVI a ouvert les perspectives dans son discours de Ratisbonne en 2006. »

Effectivement, à l’origine religion importée du Proche-Orient, le christianisme s’est progressivement européanisé pour prendre souche sur le continent, devenant un élément incontournable de notre identité. Mais le grand mouvement entamé depuis les années soixante de retour à ses origines, abolissant la part européenne de son héritage pour revenir à sa radicalité évangélique, représente un péril mortel. À l’image de la phrase du penseur catholique Joseph de Maistre selon laquelle « l’Évangile hors de l’Église est un poison », il est à craindre que l’Église, oublieuse de la raison grecque et de l’ordre romain, n’utilise ce poison pour se suicider, comme s’en inquiète Laurent Dandrieu, emportant avec elle « ce miracle venu d’Athènes et de Rome (…), la plus rayonnante civilisation que la terre ait porté. »

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lundi, 21 avril 2025

21 avril 2002 : la terre commençait à trembler sous les pieds des thuriféraires de la pensée dominante...

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En 1974, cette année là, suite à la disparition subite de Georges Pompidou, se déroula une campagne électorale à l'issue de laquelle fut élu le libéral Giscard d'Estaing. À cette élection présidentielle se présentait  pour la première fois Jean-Marie Le Pen. Il fit 0,74 % des voix... Beaucoup se seraient découragés à la vue d'un score aussi faible. Peu de gens, à cette époque, osaient parier sur l'avenir politique du candidat national. Et pourtant...

Le 21 avril 2002, après trois décennies de persévérance et de combats acharnés, le même Jean-Marie Le Pen accédait au second tour de la présidentielle. Ce soir là, ce fut un véritable séisme politique. Personne, sauf peut-être Jean-Marie Le Pen, ne s'attendait à ce résultat qui allait, durablement, bousculer le paysage politique de la Ve République.

Si Jean-Marie Le Pen est arrivé à réaliser l'impensable c'est parce que, 40 ans durant, il a labouré le terrain. Ce Breton était un génie de la communication. En 40 ans, il a imposé son nom comme étant celui qui incarnait à la fois la Droite nationale, sociale et populaire, et le recours face à la dilution de notre nation, à l'immigration incontrôlée qui engendre le grand remplacement, la perte des valeurs ancestrales de notre civilisation...

S'il a réussi à mettre le mouvement national à ce niveau, c'est aussi et surtout parce qu'il était, depuis 1974, resté fidèle aux engagements de base du Front national. Certes, il n'avait pas échappé à Jean-Marie Le Pen que, en 40 ans, le monde avait changé et qu'il fallait bien sûr prendre en compte ces changements... Mais il savait que le mouvement qu'il incarnait, s'il voulait triompher un jour, devait rester, tel le roc face aux marées, un môle de résistance et d'espérance ancré dans ses fondamentaux. Le 21 avril 2002 lui a donné raison...

Mais l'histoire ne s'est pas arrêtée ce jour là. Quelques années plus tard, le FN a changé d'orientation et est devenu le RN et ses résultats, dans la foulée de ce qu'il se passe un peu partout en Europe et même ailleurs, ont continué à s'amplifier. Certains, qui se contentent d'une vision instantanée des choses, expliquent que c'est grâce au "toilettage" et aux reniements récents du mouvement que celui-ci continue à progresser. Cette analyse est peut-être rassurante, mais elle est simpliste. 

La seconde partie du XXe siècle, dans l'euphorie de l'après guerre, fut alimentée par toutes les illusions mondialistes. Le marché planétaire pour les uns et l'internationalisme communiste pour les autres étaient devenus l'alpha et l'oméga de l'avenir, "heureux" ou "radieux" de l'humanité... Tout cela n'était qu'illusions.

Le début du XXIe siècle a sonné la fin de la récréation. Les Peuples ont commencé à vouloir reprendre en mains leurs destins et, en France, l'accession, le 21 avril 2002, de Jean-Marie au second tour de la présidentielle était sans doute l'un des premiers symptômes de ce vaste mouvement de résurgence nationale et civilisationnelle auquel nous assistons aujourd'hui.

S'il veut triompher, le mouvement national ne doit pas oublier la belle leçon de ténacité et de fidélité que Jean-Marie Le Pen lui a donné tout au long de sa vie. "Vouloir être dans le vent est une ambition de feuille morte" disait le philosophe Gustave Thibon. Si le RN persiste dans sa volonté de rupture avec ses racines, il risque de perdre son identité et sa légitimité...

L'alternative est pourtant simple : soit on continue vers le gouffre en poursuivant les politiques qui ont ruiné la France, soit on procède à une rupture totale en appliquant un véritable programme nationaliste et identitaire digne de ce nom. Il en va de l'avenir à court, moyen et long terme de notre patrie...

S N

Pour mieux connaître l'histoire du FN :

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20 avril 1968 : un député anglais anti-immigration prédit « des fleuves de sang »

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Marc Baudriller, Boulevard Voltaire cliquez là

Le samedi 20 avril 1968, un responsable politique anglais de 56 ans monte à la tribune lors d’un rassemblement du Parti conservateur à Birmingham. Cet homme élégant - veste, cravate, gilet -, cultivé – il a étudié le latin et le grec à Cambridge, les cultures orientales et africaines à l’université de Londres et il maîtrise une langue d’Inde, l’ourlou -, est député conservateur depuis 1950. C’est une valeur montante des Tories. Outre son mandat à la Chambre, il a été très jeune secrétaire financier du Trésor, puis ministre de la santé trois années durant, jusqu’en 1963. Son nom est régulièrement cité pour occuper le 10 Downing Street. Ce 20 avril 1968, alors que la France gronde à quelques semaines du soulèvement étudiant de mai 68, Enoch Powell pose ses notes devant lui et entame un discours qui va rester dans les mémoires comme le premier tocsin sonné en Europe sur une question amenée à envahir tout le discours politique : l’immigration. Ce discours visionnaire, dit « des fleuves de sang« », va lui coûter sa carrière.

Sans précédent en mille ans d'Histoire

Dans sa circonscription de Wolverhampton, près de Birmingham, Enoch Powell a vu les premiers effets de l’immigration. Il a imaginé la suite. Il a lu dans l’avenir les coups de feu, les coups de couteau, les agressions, les viols, les déménagements forcés de ceux qui ne peuvent plus vivre là, la mutation des cultures et des peuples. Sa conviction est faite. Enoch Powell a en tête le destin de ceux qui ont dit non à la dégringolade : les figures de Churchill ou de Gaulle l’inspirent. « La fonction suprême de l’homme d’État est de protéger la société des maux prévisibles », commence-t-il à la tribune. Et il décrit ce qui va paralyser l’Europe, des décennies durant : « Il est impossible de démontrer la réalité d’un péril avant qu’il ne survienne : chaque fois qu’un danger progresse, le doute et le débat demeurent toujours possibles au sujet du caractère réel ou imaginaire. » Et puis, les périls de demain, quelle que soit leur importance, passent derrière ceux d’aujourd’hui. Mais voilà, l’homme a du souffle, de la hauteur de vue, l’amour de son pays et le respect de ceux qui l’ont élu.

Viol démocratique

Il raconte qu’un homme lui a parlé, un électeur anglais de la rue. Que cet homme pousse ses propres enfants à fuir le Royaume-Uni dont la population aura changé d’ici quinze à vingt ans, lui dit cet homme. Cet Anglais décrit ce que Renaud Camus appellera le « Grand Remplacement », soit les conséquences civilisationnelles d’une immigration sans frein. « La transformation radicale à laquelle nous assistons aujourd’hui est sans précédent en mille ans d’Histoire », constate Powell. « Dans toute l’Angleterre, des régions entières, des villes, des quartiers seront entièrement peuplés par des populations immigrées et par leurs enfants », prévient-il. Les immigrés seront 5 à 7 millions en l’an 2000, dit-il. Il voit clairement le potentiel de destruction des politiques d’immigration : « Quand les dieux veulent détruire un peuple, ils commencent par le rendre fou », dit-il en citant Virgile. Or, explique cet Anglais courageux et fin lettré, quinze ans avant Le Pen, « l’arrivée d’éléments étrangers dans un pays, ou au sein d’une population, a des conséquences radicalement différentes selon que la proportion est de 1 % ou de 10 % ». Ses mots embrassent le destin d’une terre et de son peuple : « J’ai l’impression de regarder ce pays élever frénétiquement son propre bûcher funéraire », lance Powell, qui parle pour la première fois d'« immigration de peuplement ». En 1968, alors que le gaullisme prend l’eau en France, Powell met le doigt sur le viol démocratique qui a accouché de cette situation. « Pour des raisons qu’ils ne comprennent pas, en application de décisions prises à leur insu, pour lesquelles ils ne furent jamais consultés, les habitants de Grande-Bretagne se retrouvent étrangers dans leur propre pays. » Enoch Powell annonce aussi la chape de plomb à venir : ceux qui sont d’accord avec lui « craignent des poursuites ou des représailles si cela se savait ».

Le député anglais a enfin saisi les limites de l’intégration : « Cette intégration, la plupart des immigrés ne l’ont jamais ni conçue ni souhaitée. »

« Le Tibre écumant de sang »

Alors, que faire ? « Comment réduire l’ampleur du phénomène ? », interroge Powell. Il répond simplement : « Il faut stopper, totalement ou presque, les flux d’immigration entrants et encourager au maximum les flux sortants. » Rien de plus légal et humain. Il veut encourager ceux qui, « moyennant une aide généreuse, choisiraient soit de retourner dans leur pays d’origine, soit d’aller dans d’autres pays désireux de recevoir main-d’œuvre et savoir-faire ». Car Powell rappelle que les citoyens immigrés ou non sont égaux devant la loi.

Croit-il vraiment au retour choisi ? Il lance cette phrase admirable, puisée dans L’Éneide de Virgile : « Je contemple l’avenir et je suis empli d’effroi. Comme les Romains, je vois confusément "le Tibre écumant de sang". »

Il n’a commis aucun des écarts de langage qu’on a reprochés à Le Pen, et pourtant, Enoch Powell ne sera pas Premier ministre, ni même à nouveau ministre. Écarté, diabolisé, il ne retirera pas un mot de son célèbre discours, jusqu’à sa mort le 8 février 1998, à 85 ans.

Les fleuves de sang sont venus. Les attentats du Bataclan, celui de l’Hyper Cacher ou de Nice, les meurtres au couteau, les destins brisés de Lola, de Matisse, de Thomas, de Philippe, de Shemseddine, de Philippine et tant d’autres drames petits ou grands en témoignent. Bien sûr, la presse de gauche mitraille régulièrement celui qui avait annoncé le malheur à venir. Dans un article de 2022Mediapart cloue son cercueil de cette phrase : « Ce discours, typique de l’imaginaire fascisant, s’alarmait d’un prétendu péril, exagéré à l’extrême et secrètement souhaité. » Bien vu, l’aveugle !

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RAPPEL : samedi 26 avril, pèlerinage des Lucs-sur-Boulogne (85)

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Dimanche 27 avril, à Paris : manifestation des Patriotes contre la guerre

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RAPPEL : jeudi 1er mai, à Paris, le Parti de la France rend hommage à Jeanne d'Arc et à Jean-Marie Le Pen

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Jeudi 1er mai à 11h, à Paris, Place Saint Augustin, le Parti de la France rendra son traditionnel hommage à Sainte Jeanne d'Arc mais aussi à Jean-Marie Le Pen, rappelé à Dieu le 7 janvier dernier.
 
Plusieurs orateurs prendront la parole au cours de ce rassemblement qui célébrera également la Fête du Travail.
 
Venez nombreux !

 

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Samedi 10 mai, en Bretagne : hommage à l'abbé Perrot

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Samedi 10 mai, à Paris : colloque d'Action française

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Samedi 24 mai, mobilisation européenne contre les éoliennes

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dimanche, 20 avril 2025

L’Etat doit se serrer la ceinture

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Dans un entretien au Journal du dimanche, l’économiste Marc Touati considère que le constat est sans appel : les Etats-Unis ont gagné le bras de fer avec l’Europe. Raison pour laquelle plutôt que de faire les poches des Français,  l’Etat, devenu obèse, ferait mieux de s’infliger une sévère cure d’austérité. On ne saurait mieux dire.

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Source : Journal du dimanche, 20/04/2025

 

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samedi, 19 avril 2025

Il faut soutenir le professeur Fabrice Balanche

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La violente campagne de dénigrement dont le géographe est victime est un signal d’alarme, s’inquiètent plus d’une cinquantaine d’universitaires dans une lettre ouverte initiée par Xavier-Laurent Salvador et signée notamment par Jean-Michel Blanquer et Luc Ferry.

Tribune collective

L’affaire survenue le premier avril 2025 sur le campus de Bron (université Lyon 2), visant le géographe Fabrice Balanche, est d’apparence simple, mais elle révèle un tournant inquiétant dans le rapport que les universités françaises entretiennent avec la liberté académique, la neutralité du service public et la gestion des conflits idéologiques contemporains. Fabrice Balanche, maître de conférences habilité à diriger des recherches, spécialiste reconnu de la Syrie et des dynamiques géopolitiques du Moyen-Orient, a été la cible d’une violente campagne de dénigrement orchestrée par un groupe d’étudiants se présentant comme « militants antiracistes ». Lui reprochant un supposé soutien au régime syrien de Bachar el-Assad ainsi que des positions prétendument « islamophobes », ces étudiants ont exigé son éviction de l’université, allant jusqu’à publier des visuels diffamatoires et à perturber son enseignement. La violence du procédé contraste avec la rigueur du travail académique de Fabrice Balanche, dont les publications sont reconnues dans la communauté scientifique internationale. Mais ce n’est pas ici la qualité du savoir qui est jugée : c’est sa conformité à un récit idéologique. La présence même de Balanche dans l’espace universitaire devient un affront aux yeux de militants pour qui l’université ne doit plus être un lieu de recherche libre, mais un instrument au service de luttes identitaires.

L’élément religieux n’est pas secondaire dans cette affaire : il est central. Durant le ramadan, le même groupe d’étudiants avait organisé dix dîners de rupture du jeûne sur le campus, en dehors de tout cadre cultuel officiel. Loin d’être de simples gestes de convivialité, ces iftars ont servi à inscrire visiblement et durablement une pratique religieuse dans l’espace universitaire, au mépris du principe de neutralité du service public. Il ne s’agissait pas tant d’exprimer une foi individuelle que de marquer un territoire idéologique et identitaire, prélude à une offensive plus politique.

Dans ce contexte, la mise en cause de Fabrice Balanche apparaît comme une manœuvre stratégique. Loin d’être spontanée, elle s’inscrit dans une logique de propagande souvent relayée en France par des milieux islamo-gauchistes. La campagne contre Fabrice Balanche visait donc à délégitimer un universitaire dont les travaux contredisent certains récits militants sur la Syrie, en le caricaturant comme un suppôt du régime, quitte à travestir ses analyses, à ignorer ses sources et à attaquer sa personne plutôt que ses idées.

Mais le plus grave n’est peut-être pas l’attaque elle-même. Le plus préoccupant est la réaction – ou plutôt l’absence de réaction – de l’institution universitaire. L’administration de Lyon 2 s’est montrée d’une extrême prudence, puis d’une complaisance glaçante. La présidente de l’université,  Isabelle von Bueltzingsloewen, au lieu de soutenir l’un de ses enseignants agressé dans l’exercice de ses fonctions, a choisi de remettre en question sa légitimité scientifique en contestant publiquement sa liberté académique. Ce geste marque une véritable rupture morale. Cet abandon d’un collègue constitue un acte d’indignité.

Dans un premier temps, aucune mise au point claire n’a été faite, aucune défense ferme de la liberté académique n’a été formulée. Il a fallu attendre la mobilisation d’universitaires français et étrangers, ainsi que la motion unanime de l’UFR Temps et territoires dénonçant une atteinte grave à la liberté académique, pour que l’institution reconnaisse enfin l’ampleur du problème. Mais, à ce stade, le mal est fait : le signal envoyé est que l’université recule quand il faudrait résister. Ce recul prend la forme d’un évitement, d’une faiblesse institutionnelle qui permet aux forces les plus radicales d’imposer leur loi sur le terrain universitaire. Plutôt que d’affirmer des principes clairs – liberté académique, neutralité de l’espace public, primauté du savoir sur l’idéologie –, l’université laisse s’installer un rapport de force où les plus bruyants, les plus agressifs, les plus aptes à instrumentaliser les émotions et les symboles dictent leur agenda.

Cette passivité n’est pas sans conséquences. Elle encourage la censure et l’autocensure. Elle incite les enseignants-chercheurs à éviter certains sujets, à euphémiser leurs propos, à contourner les zones sensibles, de peur d’être dénoncés, harcelés ou lâchés par leur propre institution. Elle transforme les universités en lieux de surveillance mutuelle, où la liberté de penser devient suspecte, où la complexité scientifique doit céder au simplisme militant.

Ce qui s’est passé à Bron n’est donc pas un simple incident : c’est un signal d’alarme. Nous ne laisserons pas l’un des nôtres affronter seul cette offensive. Nous nous tenons résolument aux côtés de Fabrice Balanche, à la fois pour le défendre publiquement, mais aussi pour l’assister concrètement sur le plan judiciaire. Nos collectifs sont mobilisés et disposent des ressources nécessaires pour faire valoir le droit, la justice et l’honneur du service public. L’université française doit se ressaisir. Elle doit redire fermement que la recherche n’est pas un crime, que l’analyse critique n’est pas une agression, que la rigueur scientifique ne doit pas céder aux passions identitaires. Enfin, il faut tirer toutes les conséquences de cette crise : la présidente de l’université Lyon 2 ne peut pas rester en fonction après un tel reniement des principes fondamentaux de la république universitaire. Nous demandons sa démission.

Source : Le Figaro 19/4/2025

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Journal du chaos

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vendredi, 18 avril 2025

Samedi 17 mai, à la Chapelle Basse Mer (44) :

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L'Italie honore les militants du Front de la Jeunesse assassinés par les communistes dans les années 1970

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La Poste italienne vient d'émettre deux nouveaux timbres en mémoire de militants du Fronte della Gioventu' - FdG' (Front de la Jeunesse) victimes du terrorisme de gauche au cours des années 1970. Ainsi, le gouvernement italien fait preuve d'un courage exemplaire face à la dictature de la pensée dominante qui, depuis des décennies, empoisonne l'Europe.

Le Front de la Jeunesse, rappelons-le, était la puissante organisation de jeunesses du Mouvement social italien cliquez ici. Nombreux furent ses militants victimes de la répression de l'Etat mafio-démocrate-chrétien de l'époque et des groupuscules antifascistes manipulés. 

Aujourd'hui, en Italie comme partout en Europe, le curseur s'est déplacé vers la droite et un certain nombre d'anciens militants du FdG' sont membres du gouvernement de Giorga Méloni à Rome... Comme quoi, il ne faut jamais désespérer.

Gloire aux camarades tombés pour l'idéal nationaliste.

S N

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Quand la chiourme terrorise la geôle

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La chronique de Philippe Randa

Non seulement toutes les protections juridiques possibles et imaginables bénéficient souvent davantage à l’(éventuel) accusé d’un délit pour atténuer sa (toute aussi éventuelle) sanction, mais les récents événements survenus en notre doulce France démontrent que les représentants de la Loi ont désormais intérêt à se montrer plus discret que les malfaiteurs qu’ils sont sensés mettre hors d’état de nuire.

Ainsi les personnels pénitentiaires « ciblés jusque chez eux par les narcotrafiquants, ces derniers (arrivant) à obtenir nom, prénom, adresse et plaque d’immatriculation des gardiens de prison afin d’avoir un moyen de pression sur eux », comme nous l’apprend Le Figaro du 17 avril.

Et l’intimidation des familles n’étant sans doute pas suffisante, la truanderie a décidé de passer à la vitesse supérieure, soit à des attaques de prison par tirs à l’arme automatique, notamment à Toulon avec une Kalachnikov, et contre la maison d’arrêt Aix-Luynes… ou encore par des dégradations diverses : 21 véhicules incendiés et une dizaine de véhicules dégradés, notamment dans les parkings de l’École nationale pénitentiaire (Enap).

Ce sont ainsi « huit départements qui ont été touchés », dont « un tiers des faits commis dans les Bouches-du-Rhône, un tiers dans la région Île-de-France, a reconnu le procureur de la République antiterroriste Olivier Christen.

D’où des consignes de sécurité… dont celles de Jérémy Jeanniot secrétaire Interregional FO Justice qui conseille « aux agents de ne pas sortir en groupe pour éviter l’effet de masse, de ne pas s’exposer sur les réseaux sociaux »… ou encore des demandes pour que « des rondes soient effectuées à proximité des établissements et que les prises de services continuent à être encadrées par les forces de l’ordre… »

Soit des mesures de protection pour ceux censés protéger les citoyens des délinquants… en attendant sans doute que l’on soit un jour prochain amené à devoir protéger les protecteurs des protecteurs…

Il est bien lointain le temps où toute agression (mortelle, certes) d’un policier conduisait directement le coupable sur la « bascule à Charlot » (la guillotine)… ou encore celui où le simple vol d’un pain conduisait au bagne, tel que Victor Hugo l’a relaté pour la postérité dans son roman Les Misérables, paru en 1862 : de nos jours, ce n’est pas l’inspecteur de police Javert qui traquerait l’ancien bagnard Jean Valjean, mais ce dernier et ses complices qui menaceraient la femme et les enfants, caillasseraient la voiture et terroriseraient le représentant de la loi pour lui faire comprendre qui sont désormais les maîtres de la rue…

Si on n’arrête pas le progrès, on n’arrête décidément pas davantage l’inversion des us, mœurs et coutumes en notre si admirable démocratie… que le Monde entier était sensé nous envier par le passé.

Aujourd’hui, elle semble faire surtout le bonheur des bandits… qui étaient de grands chemins, autrefois et qui règnent en nos quartiers perdus, désormais.

Perdus… définitivement ?

00:07 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Défense interdite

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Deux procès retentissants percutent l’actualité judiciaire de ces dernières semaines : ceux de l’acteur Gérard Depardieu et des assistants parlementaires européens du FN – RN. Si le premier est en attente d’un jugement prévu au 13 mai prochain, le second a rendu son verdict le 31 mars dernier. Certes, les deux affaires ne sont pas comparables. On remarque cependant des convergences.

Gérard Depardieu est poursuivi pour des agressions sexuelles sur deux femmes lors du tournage du film Les Volets verts de Jean Becker. Le parquet a requis contre lui dix-huit mois de prison avec sursis, vingt mille euros d'amende, l’indemnisation des parties civiles, son inscription au fichier des auteurs d'infractions sexuelles, une obligation de soins psychologiques et deux ans d’inéligibilité, le tout avec exécution provisoire, rendant ainsi les recours non suspensifs. Le parquet utilise de plus en plus souvent les injonctions thérapeutiques psychiatriques. Non seulement maints terroristes sont déclarés détraqués du ciboulot, l’Hexagone étant devenu le pays du droit d’asile psychiatrique, mais cette mesure s’applique aussi aux dissidents et autres contestataires. Quant à la demande d’inéligibilité, elle surprend. Notre « Gégé » national aurait-il l’intention de se présenter à la course élyséenne de 2027 ? Face à des concurrents potentiels tels Cyril Hanouna, Juan Branco et Madame Michu, il animerait une campagne détonnante et atypique. Alors Depardieu chef de la France ? Pas du tout !

La peine d’indignité nationale n’existe plus et la dégradation citoyenne ne s’envisage pas encore; cette peine complémentaire s’apparente à une mesure d’humiliation civique à l’instar de l’inéligibilité immédiate décidée à l’encontre de Marine Le Pen. Le système judiciaire hexagonale fabrique du sous-citoyen, du citoyen de seconde zone (à faible émission ?).

On conseillerait à Gérard Depardieu de narguer ses accusateurs en usant de ses autres nationalités. Naturalisé des Émirats arabes unis (singulier pour un producteur de vin) et de la Fédération de la Russie, rien ne l’empêcherait de briguer une fonction politique locale en république de Mordovie. Une condamnation française n’a aucune incidence en Russie, surtout par ces temps troublés…

Pendant les audiences de ces deux procès, les droits de la défense ont été dénigrés. Données le soir même du jugement aux médiacrates du Régime alors que les avocats des condamnées ne les ont reçus que le lendemain matin, les attendus du procès contre le FN – RN dénoncent sans vergogne le choix souverain de la défense d’utiliser tous les moyens inscrits dans la procédure pénale.

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00:00 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |