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jeudi, 31 octobre 2024

Les Barbaresques : racket et esclavage en Méditerranée

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Entretien avec Nathalie Joron qui vient de rééditer aux Éditions de Nos Chères Provinces le livre Les Barbaresques de Pierre Hubac.

(Propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

On a coutume d’associer les Barbaresques aux peuples arabes et musulmans…

Les Barbaresques, corsaires de Djerba, de Tripoli, de Tunis, de Salé, de l’Archipel, de Cilicie, tinrent la mer jusqu’en des temps très proches de nous. Hardis marins, montés sur des esquifs légers, ils abordaient en haute mer les vaisseaux marchands et ils les remorquaient dans leurs rades ; ils s’emparaient des coques et des cargaisons et retenaient prisonniers les équipages et les passagers, dont ils tiraient des rançons. Ou bien ils les mettaient à ramer sur leurs galères et sur leurs chébecs. Ils osaient quelquefois s’attaquer à des navires bien armés, à de véritables vaisseaux de guerre, et il arriva que, par surprise et à force de courage, ils parvinrent à s’en rendre maîtres. Enfin, ils poussèrent l’audace jusqu’à accoster aux rivages d’Europe, portant le désarroi dans les ports et dans les cités, enlevant des hommes, des femmes et des enfants dans les champs et dans les maisons.

Lorsqu’il s’agit de corsaires, l’Histoire est plus que jamais empêchée de se dire impartiale…

L’histoire, en effet, adopte une attitude chauvine résolue et distingue nettement entre deux sortes de corsaires : nos corsaires, et les autres. Les autres, ce sont les ennemis. Les premiers, cela va sans dire, portés au pavois comme parangons de toutes vertus guerrières ; les seconds méritant la plus vive réprobation. Et comme les uns ont toutes les raisons pour eux, toutes les excuses, on n’en saurait trouver aucune pour les autres. Pierre Hubac met en exergue le fait que les pirates et les corsaires, les marins donc, avaient pour une large part une origine européenne. Hommes auxquels leur patrie respective n’offrait que peu ou pas de perspectives d’obtenir liberté ou richesse, ou les deux. Encore moins une vie d’aventures. L’opinion publique française n’est pas trop prévenue, en vérité, contre les Barbaresques. La grande histoire nationale se borne en général à indiquer que la Turquie fut souvent notre amie et notre alliée sur mer, et que la France entretint de tout temps au Maghreb des comptoirs, des représentants, des consuls…

Pierre Hubac (1894-1963), pseudonyme littéraire d’Aimé Sarrus, est né en Provence. Il part en 1911 en Tunisie, alors Protectorat français et participe en 1919 à la création de la Société des Écrivains d’Afrique du Nord. Il publie son premier roman en 1928 et crée les Éditions de la Kahéna en 1929. Également professeur au Lycée Carnot à Tunis, c’est son activité littéraire qui domine ses activités à travers ses romans et ses articles, essentiellement orientés vers l’histoire de l’Afrique du Nord.

Que nous apprend le livre de Pierre Hubac ?

Une Histoire étonnante, passionnante, moins romantique qu’on ne le voudrait, où se croisent les sultans, les raïs, les deys, les beys, Barberousse le richissime corsaire, les amiraux Doria et Duquesne, les rois de France, le Bey d’Alger et son éventail… Nous nous trouvons en présence d’une aventure exceptionnelle, d’un phénomène singulier qui a duré des siècles. Les États les plus forts, les princes les plus orgueilleux et les plus puissants du monde, durent bon gré mal gré s’en accommoder, faute d’avoir pu y mettre un terme. Papes, doges, empereurs, rois, ligues et coalitions, et non seulement Charles-Quint et François Ier, Alexandre VI et la Sérénissime République à son apogée, mais également Louis XIV, et Napoléon, l’Angleterre reine des Indes et maîtresse des océans, et les USA acceptèrent de reconnaître ces aventuriers comme des princes souverains, durent composer avec eux, traiter d’égal à égal ; ils leur offrirent des cadeaux, reçurent avec considération leurs ambassades, les accueillirent avec distinction, subirent leurs remontrances et leur payèrent annuellement un tribut régulier.

Car les Barbaresques, c’est également un mode de gouvernement, n’est-ce pas ?

En effet, certes rude, mais qui organise la vie commerciale en Méditerranée, sur mer et sur terre. Il est étonnant de constater alors que les puissances maritimes d’Europe, tout comme l’empire ottoman, la Tunisie et le Dey d’Alger, participent activement au développement et au maintien de ce système à travers des jeux d’alliances. La lutte de Pouvoir est constante et l’argent gagné ou perdu influe sur la survie et la mort des régimes… jusqu’à ce que le plus faible se fasse chasser durablement de son assise territoriale par un plus fort. Ce dernier impose alors sa propre conception du commerce, du destin des hommes, du développement économique et social… jusqu’à ce qu’il se fasse lui-même chasser.

Les Barbaresques, Pierre Hubac, Éditions Nos chères provinces, collection : Aventures et Aventuriers, 308 pages, 35,00 €

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Tribune libre : PATIENCE, GAZA SERA BIENTÔT PLAT COMME LA MAIN !

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Pieter Kerstens

Le conflit au Proche-Orient ne cesse de s’étendre et, selon les militaires israéliens, Tsahal combat maintenant sur sept fronts différents avec comme priorités l’extermination des militants du Hamas et du Hezbollah.

L’ONU pour sa part « persona non grata » dans le sud du Liban, empêche l’Etat Hébreux de bombarder à sa guise où il veut, quand il veut et comme il veut, c’est-à-dire massivement. On dénombre maintenant plus de 43.000 morts palestiniens à Gaza et plus de 120.000 blessés, dont majoritairement des enfants, des femmes et des vieillards. Les conditions sanitaires et alimentaires sont presque inexistantes et il faudra s’attendre à une famine sévère dans les semaines qui viennent. Mais cela ne trouble en rien les bonnes âmes européennes face aux 21.000 personnes qui meurent de faim dans le monde tous les jours. Les médias, les politiciens et les intellos occidentaux ont, pour Israël, les yeux de Chimène lorsqu’il s’agit du camp du Bien et vouent aux gémonies les affreux Palestiniens du camp du Mal. Le 27 juillet 2024, plusieurs roquettes du Hezbollah sont tombées sur le Golan syrien, occupé ; bilan au village de Majdal Shams : 14 enfants tués. Concert de vociférations et de condamnations en Europe et aux Etats-Unis. Mais le même jour, il y a eu un bombardement israélien sur une école à Deir Al-Bala qui entraina la mort de 30 enfants palestiniens. Silence dans les rangs. Idem pour l’occupation de la Cisjordanie par des colons hébreux qui n’ont rien à y faire. A quand leur départ ?

Un état Palestinien, ce n’est pas pour demain !

Ce parti-pris en faveur de l’Etat sioniste devient franchement insupportable et entraine partout dans le monde une augmentation de la détestation des sionistes qui se moquent des mises en garde, des réprobations, des condamnations et surtout des résolutions successives de l’Assemblée Générale de l’ONU. En effet, La politique de Tel-Aviv, dès le début, n’a été qu’une succession d’actes belliqueux, d’arrogance et de cruauté. Peuple souverain, il applique ce qui lui semble bon pour la défense de ses intérêts, de sa population et de sa sphère d’influence, qui s’étend de New York à Manille et de Kiev à Pretoria.

Les Hébreux rejettent la résolution 181 votée le 29 novembre 1947 par l’Assemblée Générale de l’ONU pour le partage de la Palestine en 3 entités, résolution non appliquée et à l’origine de la NAKBA. 

De même pour la résolution 194 votée le 11 décembre 1948 qui place Jérusalem sous mandat international et garantit le principe des droits existants. 

Jamais les Israéliens n’ont appliqué la résolution 242 du Conseil de Sécurité du 22 novembre 1967 au sujet des territoires occupés. 

Les résolutions de l’ONU n°476 du 30 juin 1980, n°478 du 20 août 1980 et 672 du 12 décembre 1990 condamnent toutes l’attitude belliqueuse d’Israël et déclarent illégales les lois, la juridiction et l’administration de la ville sainte de Jérusalem. Le fait de la déclarer par la suite capitale de l’entité sioniste n’a rien fait pour calmer les esprits.

Depuis 77 ans, les sionistes méprisent au plus haut point les résolutions de l’ONU et poussent aux crimes, tel Jacques Kupfer, co-président du Likoud mondial, qui déclarait le 15 juillet 2014 :

« Lorsque les alliés ont voulu mettre un terme à la guerre contre l’Allemagne nazie, ils ont détruit la ville de Dresde. À juste titre.

Lorsque les États-Unis ont voulu mettre un terme à la guerre contre le Japon, ils ont détruit Hiroshima et Nagasaki en lançant la bombe atomique. À juste titre.

Si nous voulons mettre un terme à la guerre, nous devons raser Gaza.

Gaza doit devenir un champ de ruines d’où ne peuvent sortir que des gémissements. »

Ce qui n’est pas encore le cas aujourd’hui parce que des centaines de milliers de Palestiniens errent du Nord au Sud de Gaza, puis sur les injonctions de l’armée israélienne doivent se rendre du Sud au Nord pour échapper aux bombardements de Tsahal qui ciblent les hôpitaux et les écoles « centres de commandement et dépôts de munitions des terroristes »… ruines silencieuses, car muettes comme les tombes.

À Paris comme à Gaza : INTIFADA ?

L’amnésie tétanise les camarades démocrato-socialo-marxistes quant aux guerres israélo-arabes. En 1948-1949 1ère guerre, Israël agrandit son territoire. En 1956, 2ème guerre suite à l’annexion du canal de Suez par l’Egypte. En 1967, 3ème guerre dite « des 6 jours » et en 1973, 4ème guerre « du Kippour ».

Ceux qui sont sur les bords de Seine devraient surtout ne pas oublier qu’Israël, en refusant l’offre de paix arabe de 2002, a lancé 13 offensives militaires contre ses voisins : en 2002 Opération « Rempart » ; en 2004 « Arc-en-ciel » ; en 2004 « Jour de pénitence » ; en 2006 « Pluie d’été » ; en 2006 « Changement de direction » ; en 2007 « Orchard » ; en 2008-2009 « Plomb durci » ; en 2012 « Pilier de défense » et en 2014 « Bordure protectrice » et « Gardien de nos frères » ; en 2018 « Bouclier du nord » ; en 2019 « Ceinture noire » et en 2021 « Gardien du mur ».

La majorité des victimes étant des civils innocents.

Et toutes ces attaques ont à chaque fois déclenché des rivières de sang, des torrents de colère et des cortèges de souffrance.

NON, l’idée de protéger en priorité les lieux de culte juif et les rassemblements sionistes d’une part, mais d’interdire les manifs de soutien aux Palestiniens d’autre part, n’est pas judicieuse : elle avive des plaies non refermées et accentue encore les ressentiments et la haine !

NB : « Ce n’est pas avec des discours ou des bulletins de vote que l’on défend le droit des peuples, mais avec des actes et la volonté de se battre jusqu’au sacrifice ».

18:41 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LUNDI 28 OCTOBRE, SUR TV LIBERTÉS : ROLAND HÉLIE, DIRECTEUR DE "SYNTHÈSE NATIONALE", INVITÉ DE MARTIAL BILD. ÉMISSION SUR LES 50 ANS DE LA CRÉATION DU PARTI DES FORCES NOUVELLES

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TV Libertés cliquez là

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Le Cahier d'Histoire du nationalisme paru en 2014

consacré au PFN cliquez ici

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mercredi, 30 octobre 2024

Encore une hérésie historique de plus proférée par Macron, le mythe de El Andalus

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Michel Festivi 

Décidemment, Macron persiste et signe dans les ignominies historiques les plus infâmes à l’encontre de la France. De plus, cette manière de dénigrer l’Histoire de France ou de l’Europe depuis l’étranger est insupportable et même proprement inacceptable. J’avais écrit un jour que Macron était un ignare absolu, qui ne connaissait l’Histoire qu’aux travers des annales de Science po et de l’ENA, dont on sait que depuis des années, elles sont construites à partir des articles du Monde et de Libération. La preuve flagrante vient une nouvelle fois de nous en être donné sur ses stupidités proférées à propos d’une soi-disant civilisation de Al Andalus.

Mais avant de déblatérer des sornettes, que Macron se renseigne, qu’il lise les bons auteurs, qu’il se cultive un tant soit peu, bref qu’il prenne le temps de la réflexion, sa fonction le lui commande. Le très grand historien Serafin Fanjul, universitaire Espagnol, islamologue et arabisant, spécialiste de philologie sémitique, ancien directeur du Centre culturel hispanique du Caire et membre de l’académie royale d’histoire, a fait litière de ces âneries débitées à longueur de temps par des incultes et reprises à satiété par des journalistes qui ne se sont renseignés sur rien.

L’un de ses ouvrages, Al Andalus, l’invention d’un mythe : la réalité historique de l’Espagne des trois cultures a été publié en France aux éditions de l’Artilleur en 2017. Ce pavé de 715 pages est une somme historique de premier ordre. Fanjul dénonce ce mythe au travers d’une analyse critique implacable. Cette pensée arabisante s’est développée au XIXe siècle, par le biais du romantisme littéraire, dont Washington Irving (1783-1859) fut l’un des parangons. Cela reprend les discours biaisés du « bon sauvage » ou du « paradis perdu », c’est-à-dire d’arabes raffinés, supérieurs, cultivés succombant aux chrétiens barbares, ignorants et maladroits, l’orientalisme dévoyé par haine de l’occident.

Pour Fanjul, cette vision idéalisée d’une Espagne multiculturelle, terre de tolérance et de vie en commun entre trois cultures et trois religions monothéistes, est historiquement erronée. Il a notamment défini le Royaume de Grenade musulman (1238-1492) comme « une société monoculturelle, avec une seule langue, une seule religion. Une société terriblement intolérante, par instinct de survie, puisqu’elle était acculée à la mer. ». Il a énoncé aussi, que pendant les huit siècles d’occupation islamiste de l’Espagne « plus le pourcentage des musulmans étaient importants, moins la société était tolérante. ». Dans la Nouvelle Revue d’Histoire (numéro 62 de septembre-octobre 2012), Serafin Fanjul précisera « Les pouvoirs religieux d’Al-Andalus cherchèrent toujours l’islamisation totale et il y eut des exodes massifs de chrétiens vers le nord, jusqu’au XIIe siècle... ». C’est d’ailleurs ces exodes qui permirent la Reconquista.

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19:18 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Très brillante intervention de Sarah Knafo, invitée mardi soir par Christine Kelly sur C News

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12:17 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Claude Rolinat, auteur de "Israël Palestine, la mort aux trousses", invité de la télévision du Parti de la France

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12:07 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat, Livres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une initiative intéressante : l'Observatoire des violences politiques

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Face à la multiplication des actions criminelles, sous prétexte d'antifascisme, de la gauche et de l'extrême gauche, il est temps de dénoncer de manière globale ces dérives liberticides. 

Un Observatoire des violences politiques vient d'être créé de manière à répertorier ces actes terroristes. Un jour viendra où il faudra bien que les délinquants "antifas", véritables miliciens du Système mondialiste, rendent des comptes à la Nation...

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LA MISSION DE L'OBSERVATOIRE

Dans tout le pays, la colère contre les violences d’extrême gauche et la menace qu’elle représente s’amplifie à chaque fois qu’un de leur délit est filmé et diffusé. Toutefois, ces mêmes violences tendent à se multiplier et, systématiquement, un sentiment d’injustice et d’impuissance s’empare de chacun de nous alors que l’État ne réagit pas et que la justice ferme les yeux. L’Observatoire s’insurge contre cette fatalité et aspire à briser ce cercle vicieux de l’impuissance.

Avec L’Observatoire, l’extrême gauche sera enfin mise à nue : nous dévoilerons sa nature sectaire et totalitaire, ses incessants dérapages idéologiques et sa détestation non-dissimulée de la France, ses accointances avec l’islamisme, sa propension à diaboliser ses adversaires politiques jusqu’à les tuer socialement, ses exactions dans la rue, son noyautage incessant des institutions, ses appels à l’insurrection, ses pillages en dépit de son rejet du capitalisme, ses attaques de biens publics et privés, ses agressions d’opposants politiques voire de personnes indifférentes.
Sa suprématie semble totale : alors que la férocité des antifas est à peine dissimulée, leurs agissements sont souvent minimisés par des médias complaisants et une justice idéologisée acquise à sa cause qui leur offre sur un plateau le diplôme du monopole de la violence politique légitime.

Avec L’Observatoire, vous découvrirez ce qui se cache derrière l’extrême gauche : son identité, ses structures, ses liens, ses méthodes, ses tentatives de déstabilisation, ses membres. En faisant passer ces groupuscules de l’ombre à la lumière, nous pouvons espérer les mettre hors d’état de nuire. Aucun des troubles commis par l’extrême gauche ne doit être passé sous silence. Cela est une nécessité, il en va de l’intérêt de la nation.

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11:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Célébrer Halloween ? Pas question !

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Un communiqué de Alain Escada, président de Civitas international :
 
Célébrer Halloween, déjà, ce n’est pas notre culture, mais celle des Américains, et en plus, c’est 500 % commercial. Aucune tolérance pour ce type de fête dans notre maison; nous ne faisons pas l’apologie de l’horreur et de la mort, même pas pour rire.
 
Récemment, un prêtre exorciste a mis en garde quant à la célébration d’Halloween, combien même elle se déroule pour le fun, pour faire plaisir à vos enfants. Sur le plan spirituel, il en est tout autrement, et cela peut ouvrir des portes qui, malheureusement, ne sont aucunement une source de bénédiction.

10:57 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 29 octobre 2024

Bientôt, un nouveau Cahier d'Histoire du nationalisme consacré au Britannique Colin Jordan

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23:19 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pourquoi le Parti de la France soutient Donald Trump ?

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Un communiqué du Parti de la France

À quelques jours de l'élection présidentielle américaine du 5 novembre, le Parti de la France réaffirme son soutien à Donald Trump. Dans une période marquée par des tensions géopolitiques exacerbées et un véritable défi civilisationnel pour le monde Blanc, Donald Trump incarne la souveraineté nationale, la préservation de la paix et la défense des libertés fondamentales.

Une politique étrangère non interventionniste

L’une des raisons principales pour lesquelles le Parti de la France soutient Donald Trump est son approche non interventionniste en politique étrangère. Contrairement à la candidate démocrate favorable à des politiques d’ingérence militaire, Donald Trump a exprimé la volonté de réduire l’implication militaire des États-Unis à l'étranger. Dans des régions déchirées par les conflits, comme l’Ukraine et le Moyen-Orient, Trump s'engage à rechercher des solutions diplomatiques pour parvenir à une paix rapide et durable. Le Parti de la France voit dans cette approche l’opportunité de mettre fin aux conflits qui affectent non seulement les populations locales, mais qui contribuent également à déstabiliser le monde entier. La priorité de Trump à la paix résonne avec notre conviction qu’une politique étrangère doit avant tout viser à protéger les intérêts nationaux et éviter des engagements militaires hasardeux et coûteux.

Un ardent défenseur de la liberté d'expression

La liberté d'expression constitue un pilier fondamental pour toute société démocratique, et c’est un principe que Donald Trump défend avec force. Malgré des médias totalement hostiles, Trump est soutenu par des figures majeures de la liberté d’expression, telles qu’Elon Musk, qui partagent sa vision d’un espace public où les citoyens peuvent débattre sans crainte de censure politique. Le Parti de la France estime qu’une telle défense de la liberté d'expression est essentielle dans un contexte international (et surtout européen) où la liberté de parole est de plus en plus menacée par des mesures restrictives. Trump et ses partisans promeuvent une vision de la liberté d'expression qui permet à tous, sans distinction, d'exprimer leurs idées, en particulier sur les grandes plateformes numériques. Cette posture courageuse pour défendre le droit de parole fait de Donald Trump un modèle de résistance face aux menaces croissantes contre la liberté d’expression.

Un engagement contre l’immigration massive

Enfin, le Parti de la France rejoint Donald Trump dans son opposition à l’immigration massive, perçue comme une menace pour la cohésion sociale et la sécurité des nations occidentales. Aux États-Unis, Trump souhaite mettre en place des politiques fermes pour contrôler l’immigration et garantir la sécurité des frontières. Il applique cette vision non seulement à son propre pays mais entend également inspirer une prise de conscience similaire dans d’autres nations. Le Parti de la France partage cette analyse et considère que les pays occidentaux doivent reprendre le contrôle de leurs frontières afin de sauvegarder leur civilisation et leur identité culturelle ; tout en mettant en place les conditions pour la remigration des extra-européens non-assimilés.

Le Parti de la France affirme ainsi que le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche représenterait un renouveau de la défense des libertés individuelles, de la sauvegarde de la civilisation occidentale et d'une vision apaisée des relations internationales.

Source cliquez ici

23:14 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un drôle de paroissien avec Emmanuel Macron au Maroc !

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Michel Festivi 

On le sait Macron aime attenter à la France et aux Français. « Il n’y a pas de culture française », avait-il claironné dès 2017, crachant sur la littérature, la peinture, la sculpture, la musique française et sa langue qui fut pendant plus d’un siècle la langue de tous les traités internationaux. Dans ce droit fil, il a affirmé que la France devait proférer des excuses pour « ses crimes contre l’humanité », pendant la période coloniale. Des historiens comme Bernard Lugan où Jacques Marseille, ont fait litières de ces accusations mensongères et scandaleuses. Visionnez l’entretien de Bernard Lugan sur Sud Radio avec André Bercoff cliquez ici « Comment la France est devenue la colonie de ses colonies ? » (L'Afrique réelle, 2022), ou lisez « Pour en finir avec la colonisation » (Editions du Rocher, 2006) démontre que pendant la brève période coloniale, les pays colonisateurs n’ont pas pillé l’Afrique et que les colonies étaient un boulet économique, politique et social. Car le mythe de la culpabilité coloniale est une arme permettant de désarmer moralement la France pour l’affaiblir et l’empêcher de s’opposer à l’immigration massive. Pour l’économiste Jacques Marseille, la France connu ses meilleures années de développement économique, après avoir perdu ses colonies (Empire colonial et capitalisme français, histoire d’un divorce chez Albin Michel).

On le sait aussi, Macron aime s’entourer de personnages sulfureux, ou totalement marqués idéologiquement à l’extrême gauche. Sans revenir sur l’affaire Benala, il n’hésita pas à nommer à la tête d’une commission chargée d’établir « les fautes » de la France en Algérie, le trotskiste Benjamin Stora, qui fut membre de l’AJS (Alliance des jeunes pour le socialisme), animé par des militants de l’OCI de Pierre Lambert, devenant de surcroit un permanent de l’OCI (Organisation communiste internationale) de 1976 à 1981. Il deviendra l’un des principaux fondateurs de l’UNEF-ID qui comprendra de très nombreux trotskistes. Et c’est à ce personnage là que l’on va confier une telle mission ! C’est comme si l’on demandait à un renard d’être le médiateur entre des poulets et des lapins. L’Histoire démontre que des personnalités faibles aiment à s’entourer de personnages sulfureux, comme le rappelait opportunément, Maurice Druon dans Les Rois Maudits.

Et bien qui voyons-nous dans la liste rajoutée des personnes officielles qui viennent d’accompagner Macron lors de son voyage d’État de trois jours au Maroc, un repris de justice condamné par les tribunaux français, Yassine Belattar ! Ce très proche de Macron depuis 2017, nommé par ce dernier en 2018 « membre du conseil présidentiel des villes », il avait démissionné notamment suite aux propos de Jean Michel Blanquer qui estimait « que le port du voile n’était pas souhaitable », et suite à la sortie qu’avait fait Julien Odoul du RN, qui avait fait justement remarquer, d’une femme voilée ne pouvait pas être présente dans l’enceinte d’un Conseil régional. A noter que Yassine Belattar n’avait pas manqué de menacer JM Blanquer « Si j’étais lui, j’éviterais de mettre les pieds dans le 93... » ! Cela n’avait guère ému la gauche et l’extrême gauche une fois de plus.

Jordan Bardella vient de déclarer sur X « comment ce prétendu humoriste, condamné pour menaces de mort, proche des antisémites du CCIF, peut-il être présent à ce voyage ? ». Belattar avait refusé de participer à la marche contre l’antisémitisme, invoquant la présence de « l’extrême droite ». Ce fervent militant du port du voile dans l’espace public, n’avait pas aussi hésité à injurier Jean Messiha en 2020, chrétien d’origine égyptienne « il a une tête de chameau » ! Cf le Figaro du 24 février 2020. Imaginons un seul instant que ce fut l’inverse. D’ailleurs le président de SOS racisme n’y avait rien vu à redire, et continua dans l’insulte « cette comparaison est infamante pour les chameaux ». Même l’islamogauchiste Jean Michel Apathie s’était insurgé contre le président de SOS racisme pour ses propos, c’est tout dire.

Enfin, le Tribunal correctionnel de Paris a condamné Belattar, en septembre 2023, à 4 mois de prison avec sursis, obligation de soins, pour des faits de menaces de mort à l’encontre de personnalités du spectacle. 

C’est donc ce personnage, condamné par la justice et habitué aux polémiques injurieuses, qui accompagne Macron lors d’un voyage officiel. Si vous avez vu hier soir 28 octobre, les images sur Cnews, on pouvait constater sa proximité évidente, le bon peuple dirait « ils semblaient être comme cul et chemise » lui, et le ministre des Affaires étrangères. Au demeurant, sur la première liste officielle des accompagnants de Macron, ne figurait pas le nom de Yassine Belattar. Devant les incompréhensions et interrogations de certains, une liste complémentaire a été édifiée le faisant désormais apparaître en invité surprise en quelque sorte, comme dans le film « Devine qui vient diner ce soir ».  

Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es. On comprend mieux désormais, les prises de positions macroniennes contre Israël, donc pour le Hamas et le Hezbollah et en définitive pour l’Iran. On comprend mieux aussi pourquoi Macron s’échine à courir comme un roquet, collant aux basques de Jean Luc Mélenchon. Mais à ce petit jeu, Macron s’essoufflera et le trotskiste de LFI aura toujours un temps d’avance et la surenchère sera permanente.  

 

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lundi, 28 octobre 2024

Nous n'avons jamais été aussi près de Noël prochain

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L'exemple à suivre :

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Le nouveau livre de Philippe de Villiers : "Mémoricide"

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23:21 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mardi 29 octobre, 19 h, sur C News, Sarah Knafo invitée de Christine Kelly

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Londres, comme si vous y étiez...

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Eric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen, lors de son intervention cliquez ici

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Sous le soleil de Satan – Conférence du père Joseph à Paris le 16 novembre

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E&R Île-de-France recevra le père Joseph à Paris le samedi 16 novembre 2024 après-midi pour une conférence intitulée « Sous le soleil de Satan ».

Le père Joseph, de son nom civil Régis de Cacqueray-Valménier, est prêtre et religieux capucin d’obédience traditionnelle au couvent de Morgon (Rhône). Il est l’ancien supérieur du district de France de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X pour la période 2002-2014 et l’actuel aumônier de Civitas International et d’E&R (Festival).

À la lumière des réflexions proposées par E&R, l’« Empire » et l’« Époque » sont analysés de manière sociologique. Cette conférence dispensée par le père Joseph, gardien de la tradition spirituelle, dévoilera le versant théologique de notre époque afin de la comprendre dans son ensemble et se focalisera donc sur l’esprit du mal : Satan.

La conférence « Sous le Soleil de Satan », référence empruntée au livre de G. Bernanos, aura ainsi pour objectif d’apporter la lumière théologique apte à nous fournir une compréhension profonde du monde contemporain. Ainsi, Satan a progressivement fait la conquête des esprits et des sociétés terrestres en commençant par détruire la métaphysique [I] pour aujourd’hui dominer par le truchement d’une hyperclasse qui lui est acquise [II] et qui impose au monde une vision globale caractérisée par le concept de l’inversion [III].

- Entrée : 10 euros

- Inscription obligatoire par e-mail : evenements.eridf@gmail.com (Indiquez nom et prénom)

- L’adresse et l’heure exactes vous seront communiquées la veille par courriel

- Présence d’un stand Kontre Kulture et d’une buvette

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dimanche, 27 octobre 2024

Tribune libre : Et si l’avenir de la France se jouait au Moyen-Orient et à Téhéran ?

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Michel Festivi 

La question peut paraître provocatrice pour d’aucuns, mais l’est-elle vraiment ? Si le régime des Mollahs iraniens tombait, la déflagration qui en résulterait atteindrait toute la région et aurait des implications positives en France et en Europe. Certains pensent même que cela serait l’équivalent géopolitique de la chute du Mur de Berlin en 1989.

Car c’est l’Iran islamiste et totalitaire qui commande pour beaucoup au Moyen-Orient. Sans l’Iran, le Hezbollah n’aurait plus la puissance de frappe qu’il peut déployer actuellement. Sans l’Iran, le Hamas, les Yéménites ne pourraient plus lancer leurs roquettes ; sans L’Iran, on pourrait espérer voir le Liban redevenir un pays souverain, peut-être.

C’est pourquoi, la guerre d’Israël contre le totalitarisme islamiste iranien, si elle se poursuivait judicieusement, pourrait permettre la chute des fous de dieu. Car l’Iran va très mal. Son économie est en berne, l’inflation y est galopante, comme en Turquie d’ailleurs. Les oppositions au port du voile se multiplient, malgré tous les risques que prennent les femmes pour s’en défaire, les années de prison pleuvent sur celles, qui courageuses, défient les gardiens de la révolution et les femmes corbeaux qui collaborent avec le régime. Leur résistance ne rencontre que peu d’écho en France et certainement pas dans les rangs de la gauche et de l’extrême gauche, toute acquise à ses élans islamophiles, électorat oblige.

Il faut donc, contrairement à la position stupide de Macron et de notre gouvernement, encourager Israël à faire ce que nous, lâchement, nous ne voulons ou pouvons pas faire. Dans une récente tribune au Figaro, le philosophe Pascal Bruckner lançait « Tout atermoiement avec Téhéran sera payé au centuple par nos enfants et petits-enfants. » Pour Bruckner, l’Iran est aujourd’hui « miné par la destruction du Hamas, la décapitation du Hezbollah, les sanctions économiques et l’insurrection du peuple iranien. »

Il plaide pour une attaque conjointe israélo-américaine appuyée par la France, la Grande-Bretagne, les monarchies arabes pour abattre ce régime « qui pend les femmes, torture ses opposants, opprime ses minorités, sème la mort dans toute la région, indifférent au sort des Palestiniens qu’il instrumentalise à des fins d’hégémonie. »

Mais là où le bât blesse, c’est que cette coalition n’est pas prête à voir le jour, selon moi. La France et la GB sont diplomatiquement hors-jeu, et n’ont plus les moyens de quoi que ce soit, les États-Unis se retranchent derrière un isolationnisme classique après leurs cuisants échecs en Afghanistan et en Irak, seul Israël peut faire le travail, à condition qu’on la laisse intervenir et qu’on l’aide. Les états arabes n’interviendront pas, la Summa, la solidarité de la communauté des croyants, qu’ils soient chiites ou sunnites jouera toujours.

Bruckner est pourtant lucide lorsqu’il écrit : « Le cancer islamiste qui a gagné la planète, chiites et sunnites confondus, à partir des années 1980, a connu un essor considérable avec l’ayatollah Khomeiny et a donné naissance à ces innombrables métastases que sont al-Qaida, Daech (même s’ils se détestent), et les sectes djihadistes issues des Frères musulmans, eux-mêmes appuyés par Téhéran. ». Il poursuit avec acuité « leur haine du grand Satan global, USA, Europe et Israël, est plus forte que les dissensions théologiques entre chiites et sunnites. ». C’est pourquoi d’ailleurs, la grande coalition qu’il appelle de ses vœux est utopique me semble-t-il. Il oublie néanmoins, les millions de dollars ou d’euros provenant du Qatar et qui inondent nos sociétés occidentales, pour le plus grand profit du développement de l’islamisme.

Quant à la France, elle est en train de se déshonorer, par l’intermédiaire de ses représentants, de son Président de la République qui multiplie les idioties les plus crasses. Hué lors de la cérémonie en l’hommage des victimes du 7 octobre, ce dernier en a rajouté une couche. Répondant à distance à Benyamin Netanyahou qui avait évoqué « une guerre de civilisation contre la barbarie », celui qui est censé incarner la France répliqua « je ne suis pas sûr qu’on défende une civilisation en semant soi-même la barbarie. ». Comme il fallait s’y attendre Jean Luc Mélenchon a aussitôt réagi en approuvant cette déclaration. Approuver les scandaleux propos de Macron, c’est faire le jeu de LFI et de l’islamisme, car LFI fait tout pour complaire à l’islamisme. Sans le vote massif des banlieues, LFI verrait son électorat fondre comme neige au soleil. Et dire que beaucoup de ceux qui se qualifient comme patriotes ne veulent pas comprendre cette alliance objective !

Ne pas voir les vrais enjeux, au-delà des écrans de fumée est proprement inacceptable.

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19:00 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Mauvoisin-Delavaud représentait la France et la Vendée samedi à Londres à l'immense manifestation contre l'immigration

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Éric Mauvoisin, devant des dizaines de milliers (50 000 selon la presse) de manifestants anglais, pas découragés par l’arrestation de Tommy Robinson, a pris la parole au nom du Rassemblement vendéen samedi, à Londres.

À la même heure, à quelques kilomètres de là, le député islamo-gauchiste avignonnais Raphaël Arnault (NFP) s'époumonait devant un parterre hétéroclite de circonstance composé de boomers dégénérés accrocs à la coke et qui se croyaient encore à Woodstock, d'un contingent de Pakis et de Tamouls recruté pour faire la claque mais qui, visiblement, ne comprenait pas vraiment ce qu'ils faisaient là, de femmes voilées contraintes de pleurnicher bruyamment sur les malheurs du Hamas à Gaza, de bobos en goguette venus des beaux quartiers, de quelques golden-boys apatrides en mal de "droits de l'homme", d'une poignée de LGBT en furie et des antifas locaux, éternels petits chiens de garde du capitalisme planétaire...

Mais revenons aux choses sérieuses. Nous vous proposons ici le discours prononcé par Éric devant le peuple anglais : 

Merci.
Bonjour mes amis,
Bonjour résistants,
Bonjour combattants,
Bonjour Britanniques,

J’ai fait le voyage depuis ma Vendée en France où nous menons le même combat que vous !
En Vendée, en France, comme dans toute l’Europe, tous nos problèmes sont aggravés par l’immigration : l’école, le logement, le chômage, le vivre-ensemble, les déficits sociaux, l’ordre public… et tous nos problèmes aggravés par l’immigration incontrôlée sont en partie aggravés par l’immigration islamique.

Quand les gouvernements importent des migrants musulmans en masse, eh bien vous vous retrouvez avec l’islam, les mosquées, les burkinis, le halal et la charia !
Les enfants anglais comme les enfants français peuvent être à la merci de criminels barbares.
Tous vos problèmes aggravés par l’immigration sont aggravés par l’islam.
La question qui se pose à vous est la suivante : les jeunes Anglais vont-ils accepter de vivre en minorité sur la terre de leurs ancêtres ?
Nous aimerions tous que nos pays redeviennent comme autrefois.

L’immigration record non désirée que connaissent nos pays suscite partout des oppositions de plus en plus vives comme ici et maintenant à Londres ce samedi 26 octobre 2024.
Notre mécontentement doit mettre la pression sur les gouvernements pour qu’ils durcissent leurs politiques et endiguent la vague migratoire.
Nous souhaitons vivement qu’ils comprennent le message !
C’est maintenant ou jamais !

Ici vous avez un chef, un vrai résistant, un gars courageux… Soutenez-le… Vive Tommy Robinson !
C’est maintenant ou jamais !

Mes amis, le combat et la résistance de rue sont indispensables pour faire pression, mais n’oublions pas la force démocratique des urnes… C’est le seul moyen de faire vraiment changer le cours des choses.
Les prochaines élections doivent être l’occasion de présenter des candidats patriotes sur tout le royaume ! Et de gagner… Car c’est maintenant ou jamais ! Votez !

Vous êtes tous courageux, la France reçoit aussi votre message… Un message d’un peuple déterminé et volontaire.
Bravo à vous… Nous allons gagner.
C’est maintenant ou jamais !

Merci Tommy,
Merci à toute son équipe !
Merci à vous,
Haut les cœurs !

Ainsi, une fois de plus, la vérité est venue de la Vendée et les Londoniens ont acclamé avec force ce magnifique discours d'espérances... Honneur à Éric Mauvoisin-Delavaud et au Rassemblement vendéen !

S. N.

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samedi, 26 octobre 2024

Vive Venise… et vive Giorgia Meloni !

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La chronique de Philippe Randa

Dîtes que vous partez à Venise et rare sont les grincheux qui tenteront de vous en dissuader. Au contraire ! Ceux qui connaissent vous assureront que c’est sublime, merveilleux, extraordinaire, tandis que ceux qui rêvent d’y aller vous environt.

Je laisserais toutefois aux professionnels du tourisme le soin de vanter les merveilles architecturales, les délices gastronomiques et la découverte éventuelle du Spritz, boisson de moins en moins locale désormais (mélange de vin blanc pétillant type prosecco, eau de Seltz ou Schweppes Tonic Original et Aperol ou Campari) pour deux remarques plus politiques de cette découverte de la Sérénissime République de Venise.

Tout d’abord, la surprise d’une capitale régionale (celle de la Vénétie) d’une étonnante propreté : ni papier, ni déchet d’aucune sorte ne jonchent les rues ou les places publiques… Pas même le moindre amoncellement de sacs poubelles dans quelque coin que ce soit ! Arrivant de Paris, le dépaysement est total de ce point de vue-là, sauf hélas en ce qui concerne les ignobles tags (pléonasme !) sur les murs… d’autant que le premier vu – concernant une demoiselle brocardée pour ses mœurs légères – était en plus grabouillé dans la langue de Molière et dans un ortographe très approximatif.

Comme on le sait – ou pas, mais on s’en douterait – aucune automobile ne circule dans Venise, mais aucun vélo, trotinettes ou patinettes ne menacent non plus les piétons, seuls et uniques maîtres des lieux. Outre cette sécurité des plus appréciables, la seule agression pour les tympans est celle des bateaux à moteurs, bien moindre, on l’admettra, que la circulation habituelle des grandes métropoles.

Deuxième surprise de taille pour un touriste « franchouillard », celui de l’accueil dans les restaurants et du personnel assez important pour le service… En ayant fait la remarque à un compatriote vivant à l’année sur place, celui-ci modéra mon enthousiasme en expliquant qu’avec le « revenu de citoyenneté » instauré en 2019 en Italie (cette allocation de base pour les ménages défavorisés était d’un montant maximum de 780 euros pour un célibataire et pouvait atteindre 1 300 euros pour une famille) nombre de restaurateurs (et pas qu’eux !) commençaient comme en France à « ramer » pour trouver du personnel.

Heureusement, le gouvernement italien de Giorgia Meloni a annonçé en mai 2023 la suppression de cette incitation au « droit à la paresse », si cher à la française Sandrine Rousseau, sur qui on peut toujours compter pour rigoler ou s’indigner suivant son sens de l’humour… Espérons que cette décision ait pu limiter à temps les dégâts de cette aberration philosophique autant qu’économique en le remplaçant toutefois par un « chèque d’inclusion », mais au périmètre plus limité…

On se doute des cris d’orfrais que déclencha alors cette mesure : « L’extrême droite prend aux pauvres pour donner aux riches »… « Giorgia Meloni précipite de nombreux Italiens dans la pauvreté absolue »… « L’abolition du revenu de citoyenneté provoque l’indignation »… « … plonge de nombreux Italiens démunis dans une profonde appréhension ou la colère »…

Oui, mais… un an après la prise de cette mesure de bon sens, lors des élections européennes de juin 2024, « la présidente du conseil, Giorgia Meloni, est la grande gagnante du scrutin, qu’elle avait personnalisé à outrance. Son parti, Fratelli d’Italia (FdI), a obtenu, avec 28,9 %, un score de près de 3 points supérieur à celui enregistré lors des élections législatives de septembre 2022 », s’étranglera ainsi Le Monde.

Le désespoir en politique est donc bien une sottise aboslue comme disait ce bon vieux Maître de Charles Maurras.

Vive Venise… et vive Meloni ? Oui, « Veni, vidi, confirmi » (« Je suis venu, j’ai vu, je confirme »), comme je n’hésite pas à l’écrire, dans ce si beau latin de cuisine qui n’a étrangement jamais fait l’admiration de mes professeurs.

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19:39 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand Guénolé guignolise (chassez le naturel, il revient au galop)

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Maurice Bernard

Aux lieux réputés dangereux – eaux infestées d’icebergs, sables mouvants, champs de mines… - il semble qu’il faille ajouter dorénavant les plateaux de télévision. Leur fréquentation paraît, en effet, faire perdre à certain tout sens commun. À se demander si la chaleur des projecteurs ne leur grillerait pas les neurones (si tant est, bien sûr, qu’ils en aient été pourvus auparavant).

Il y a deux jours, chez Cyril Hanouna, le politologue d’extrême gauche - en rupture de LFI - Thomas Guénolé s’est déclaré favorable à ce que, le cas échéant, « on rase le Sacré-Cœur », avant de s’emporter contre « cette merde meringuée géante, (…) détestable du point de vue architectural, (qui a été construite) pour expier les "crimes" des Communards ». Le lendemain, c’est l’assemblée catholique tout entière qui a fait les frais de la fureur vengeresse de l’iconoclaste. « Je déteste l’Église pour le fait d’avoir couvert les pédophiles », s’est-il ainsi écrié, tout en nuance... Rien de bien nouveau sous le soleil rouge de la gauche française, me direz-vous ; un classique, un "must" en quelque sorte, incontournable pour cet élevage de bouffeurs de curés...

En se comportant de la sorte, l’auteur du Manuel de résistance à l’extrême droite, au premier abord, peut donner l’impression qu’il a vu fondre, sous les sunligts, autre chose que ses ailes Il peut sembler avoir pété un câble, coulé une durite et rejoint ainsi les innombrables victimes de la mise en lumière par l’étrange lucarne. Mais il ne s’agit là que de l’apparence, de l’écume des choses. La vérité est ailleurs. « Je parle, je dis des contre-vérités, des énormités, je fais le buzz, donc j’existe » est la réalité de la télé d’aujourd’hui. Comme tant d’autres, Thomas Guénolé le sait et y sacrifie. « Je suis là, regardez-moi, ne m’oubliez pas » est la supplique universelle qui monte des plateaux : Thomas Guénolé la reprend à son tour, et à peu de risques, puisque le ridicule ne tue plus personne dans ce pays. Surtout à gauche. Depuis longtemps…

Sur notre écran, on entend donc, et on voit, n’importe qui dire n’importe quoi. La tirade de Guénolé sur la basilique de Montmartre en est un bel exemple. En bon homme de gauche, il viole l’histoire. Mais à la différence d’Alexandre Dumas, il ne lui fait pas d’enfant. Son but en effet n’est pas de créer. Il est de distordre pour discréditer et déconstruire. Dans une pièce satirique des années 1970, Blanche Neige voyait des nains partout. Guénolé, lui, c’est du "fascisme". Tout ce qui n’appartient pas au champ de ses affections en relève. Napoléon III, le Sacré-Cœur, l’Église catholique, les zouaves pontificaux, Gallifet, Adolphe Thiers, les "ligues" des années 1930, Laval ou Pétain, tout ça, c’est du pareil au même. Dans le même sac ! De purs produits de jésuitières, des ennemis du peuple, des saigneurs, des monstruosités !

Manifestement, peu lui importe la vérité historique, la nuance, la complexité. Peu lui chaut que la première version du vœu d’édifier le Sacré-Cœur ait été rédigée par Alexandre Legentil en décembre 1870, soit trois mois avant le début de la Commune (le 18 mars 1871). Et que le second texte, signé Legentil et Hubert Rohault de Fleury (le beau-frère du premier) date du mois de janvier. 

Que le vœu en question ait été en fait une réaction à la responsabilité de la France de Napoléon III dans l’annexion des États pontificaux puis de Rome par la jeune monarchie italienne, ainsi qu’à la défaite française de 1870 face à la Prusse, perçue comme une punition divine, ça n’est pas sa préoccupation première. De même, que le texte définitif, arrêté en janvier 1872, évoque seulement les « malheurs qui désolent la France » sans jamais nommer la Commune, il s’en fiche. L’important, ce n’est pas ce qui a été mais ce qu’il croit savoir car au final, seul compte la vision et le dogme définis par la gauche.

Pour en finir avec la "guénolade" visant le Sacré-Cœur, une dernière observation. En présentant la basilique-phare du 18e arrondissement comme une prétendue revanche réactionnaire haineuse sur la "malheureuse" Commune de Paris écrasée dans le sang, Thomas Guénolé manque de respect aux Milites Christi (soldats du Christ), catholiques d’essence monarchique, anciens zouaves pontificaux, qui en 1870-1871, se sont mis à la disposition de la toute nouvelle République pour défendre la patrie, sous le signe du Sacré-Cœur. L’église de Montmartre, en effet, est aussi, en quelque sorte, un hommage à leur sacrifice, à leurs souffrances. Deux de leurs chefs d’ailleurs, le général Gaston de Saunis et le colonel Athanase de Charette (tenant la bannière blanche frappée du Sacré-Cœur et de l’inscription : « Cœur de Jésus, sauvez la France »), héros de la Légion des Volontaires de l’Ouest, figurent sur la grande mosaïque qui orne le chœur.

Il est bien dommage que Guénolé, aveuglé par ses certitudes, n’ait pas la sagesse d’un Adolphe Crémieux, figure du gouvernement de Défense nationale, avec Léon Gambetta, après la chute de l’Empire. Prenant la défense de Cathelineau, dont le projet de corps franc se heurtait à la réticences des préfets républicains d’Angers et de Nantes, l’avocat et homme politique, le 28 septembre 1870, recadra ces derniers en ces termes : « Il ne s’agit en ce moment que de faire la guerre aux Prussiens, laissons toutes nos opinions se réunir pour libérer notre sol sous le drapeau de la France (…). Ne nous fâchons pas de ce que des Français catholiques invoquent la Sainte Vierge pendant que des Français libéraux invoquent la sainte liberté ». Le même Crémieux, début octobre, accepta également le maintien de l’uniforme des zouaves pontificaux amenés d’Italie par Charette. Mais Guénolé n’est pas Crémieux. Si le ministre de la Justice du gouvernement de Défense nationale voulait rassembler, le politologue engagé, lui, ne sait que souffler sur les braises de la discorde…

La morale à tirer de cette histoire  est que certains plateaux de télévision agissent comme un révélateur. Ils font sortir du bois la bête qui s’y cache. Alors, derrière l’intello propret à barbiche et lunettes, derrière le petit marquis satisfait et sûr de lui, apparaît le propagandiste, le revanchard, le boutefeu, le nihiliste, le déconstructeur, le conchieur ; bref, le révolutionnaire, le communiste, l’anarchiste. Encore et toujours, le même programme niveleur et les mêmes pulsions destructrices : « Du passé, faisons table rase ». Au nom, bien sûr de l’humanité, de la liberté, de l’égalité. Chassez le naturel, il revient au galop : foutez-moi en l’air ces statues, ces croix, ces clochetons ! Coupez ces têtes qui dépassent ! Rééduquez ces cerveaux malades qui invoquent le Christ, la tradition, la patrie ! Cassez ces crânes qui demeurent obstinément fermés aux "idées de progrès" ! Battez, battez, il en sortira bien quelque chose !

En fait, dès que l’occasion se présente, c’est plus fort qu’eux : ils disent tout haut ce qu’ils pensent vraiment. Bientôt, leurs détestations prennent le dessus. Alors, ça parle fort, ça bombe le torse, ça pérore, ça affirme. C’est catégorique et péremptoire ! Le fiel, voire la haine, suinte, le poing se tend, le visage se crispe. Un cran au-dessus, ce sont les insultes, les appels au meurtre… Dès lors, il y a de la dénonciation, du "règlement de compte", de la tonte dans l’air… Grosso modo, l’idée est toujours la même : nous sommes les défenseurs, les vengeurs des "victimes" de la "réaction", du "conservatisme" ; tous ceux que nous dénonçons, que nous combattons sont des "bourreaux", des "exploiteurs", des "fascistes", des "salauds". Le camp du bien contre le camp du mal ! Et à la clé : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! », pas de place pour eux dans le paradis rouge !

Depuis 235 ans, c’est leur credo, leur marotte, et quand ils sont hégémoniques, leur pratique, totalitaire. Ou plutôt celle des brutes qui se salissent les mains à la place de tous les intellos souffreteux qui, habituellement, mènent la danse. Antoine de Rivarol l’avait bien vu : « S’il est vrai que les conjurations soient quelquefois tracées par des gens d’esprit, elles sont toujours exécutées par des bêtes féroces ». Robespierre, Saint-Just, Lénine ou Trotski n’ont jamais tué personne de leurs mains. Une armée de tueurs à leur service, saoulés de mots d’ordre, s’en est chargée… Pour le seul XXe siècle, cent millions de morts, au nom du communisme, en attestent !

Il paraît que Fidel, le Lider Maximo, a déclaré un jour : « Comme la bicyclette, la révolution tombe dès qu’on arrête de pédaler ». En bon fils de Marx, Thomas Guénolé pédale donc… Mais dans la semoule !

15:14 Publié dans Maurice Bernard | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tyrannie politique au Royaume-Uni. Le dissident Tommy Robinson arrêté à la veille d’une manifestation à Londres

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Source Breizh Info cliquez ici

Les persécutions du gouvernement britannique contre l’activiste de droite Tommy Robinson relancent le débat sur la liberté d’expression, les abus de pouvoir de l’État et la répression systématique des voix dissidentes. Connu pour ses prises de position contre les gangs de viols et la montée de l’islam radical au Royaume-Uni, Robinson, de son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon, est une figure importante de la résistance à l’islamisation du Royaume-Uni. Ses récents ennuis judiciaires mettent en lumière ce que certains considèrent comme une tentative continue des autorités de faire taire ceux qui osent dénoncer les vérités dérangeantes.

Arrêté pour avoir protégé des informations confidentielles

Tommy Robinson, 41 ans, s’est rendu volontairement au poste de police de Folkestone après avoir annoncé sur les réseaux sociaux qu’il s’attendait à être arrêté. Ses craintes se sont confirmées lorsqu’il a été inculpé en vertu de l’article 7 de la loi sur le terrorisme pour avoir refusé de fournir le code PIN de son téléphone.

Cette loi délirante, qui permet à la police de contrôler toute personne passant par un port britannique pour déterminer son implication potentielle dans des activités terroristes, a souvent été critiquée pour son champ d’application très large et sujet aux abus. Robinson a refusé de déverrouiller son téléphone pour protéger des informations privilégiées liées à ses affaires juridiques en cours, mais il se retrouve aujourd’hui poursuivi en vertu d’une législation destinée à lutter contre le terrorisme.

Un schéma de persécution

Cet incident n’est pas un cas isolé. Robinson a fait face à de nombreux défis juridiques au fil des ans, souvent liés à son activisme contre ce qu’il perçoit comme les dangers d’une immigration incontrôlée et les échecs des autorités à traiter les crimes commis par des gangs d’origine pakistanaises.. Ses actions ont entrainé pour lui plusieurs arrestations, détentions dans les prisons les plus dangereuses du pays et poursuites judiciaires, laissant penser que l’État cherche clairement à faire de lui un exemple. Pour ses partisans, il s’agit d’un gouvernement qui refuse d’affronter des vérités inconfortables, préférant s’en prendre au messager.

Les déboires de Robinson ne s’arrêtent pas là. Il est également impliqué dans une autre affaire judiciaire pour outrage au tribunal, avec une audience prévue au tribunal de Woolwich. Robinson est accusé d’avoir violé une ordonnance de la Haute Cour en répétant des allégations contre un réfugié syrien qui l’avait précédemment poursuivi en diffamation. Les accusations remontent à une vidéo publiée en 2018, dans laquelle Robinson dénonçait un incident scolaire impliquant le réfugié, qu’il percevait comme le symptôme d’une problématique plus vaste que les autorités n’osent pas traiter. On vous laisse découvrir le film documentaire réalisé ci-dessous. Véritable lanceur d’alerte au sujet des viols de blanches par des gangs pakistanais, Tommy Robinson n’est pas soutenu par la presse mainstream qui préfère le salir.

Tommy Robinson a finalement quitté le Royaume-Uni en juillet, se retrouvant en véritable exil.  Son retour il y a quelques jours a été marqué par ce qui semble être une arrestation planifiée, soulignant encore une fois la détermination des autorités à l’empêtrer dans des batailles juridiques. Pour ses partisans, cela représente une énième tentative de museler sa liberté de s’exprimer sur des sujets que beaucoup de Britanniques craignent d’aborder ouvertement.

Un mouvement qui ne faiblit pas

Malgré ses ennuis judiciaires, les soutiens de Tommy Robinson restent mobilisés dans le monde entier. Même Elon Musk a tweeté récemment à son sujet, ne comprenant pas ce qui lui était reproché. Des milliers de personnes sont attendues à Londres pour une manifestation baptisée « Uniting the Kingdom« , visant à dénoncer la répression contre les patriotes qui s’est accentuée depuis des mois. Bien que les autorités aient pris des mesures pour assurer une forte présence policière et prévenir les affrontements entre partisans de Robinson et contre-manifestants, cette mobilisation souligne les divisions profondes au sein de la société britannique.

Cependant, la marche prévue se déroulera sans la présence de Tommy Robinson lui-même, actuellement en détention. Son absence est le rappel frappant de la volonté de l’État de prendre des mesures drastiques contre ceux qui osent défier le discours dominant.

Le Royaume-Uni sombre dans la tyrannie

La situation de Robinson soulève des questions fondamentales sur la liberté d’expression au Royaume-Uni. Son activisme, notamment sur les gangs de violeurs et de l’islamisme radical, lui a valu à la fois des éloges et des critiques. Pourtant, la persistance des actions judiciaires contre lui suggère un problème plus profond. Beaucoup considèrent cela comme un cas d’application sélective de la loi, où les voix dissidentes—surtout celles critiquant les politiques multiculturalistes—sont punies sous le couvert de subtilités légales.

Alors que ses soutiens se préparent à manifester, leur message est clair : pour eux, Robinson n’est pas un criminel, mais un martyr se battant contre un système qui préfère le réduire au silence plutôt que d’aborder les préoccupations qu’il soulève. À leurs yeux, son cas symbolise les luttes d’une partie de la société qui se sent aliénée, non représentée et muselée.

Lire aussi Riposte laïque cliquez là

Rappelons que notre ami Eric Mauvoisin-Delavaud, Président du Rassemblement vendéen, est à Londres aujourd'hui où il doit prendre la parole lors du meeting de soutien à Tommy Robinson.

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vendredi, 25 octobre 2024

Détruire le Sacré-Cœur : Mémoricide

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Un communiqué de Diffusion de la Pensée française (DPF Chiré) :

Par ordre de la Mairie de Paris, les boulistes de Montmatre ont été délogés par les CRS du terrain qu’ils occupaient depuis des décennies. Anne Hidalgo veut y faire construire un hôtel.

« Si on rase le Sacré-Cœur pour mettre l’hôtel à la place, moi je suis pour », déclare sur le plateau de Cyril Hanouna le militant d’extrême gauche Thomas Guénolé, accessoirement universitaire et qui ne cache même pas qu’il « déteste l’Église ». Et le vandaliste de faire la leçon à ses comparses : « Le Sacré-Cœur a été construit pour expier les péchés des communards de Paris », ce qui est très régulièrement ressassé, mais factuellement faux, puisque le vœu national, aux origines de la construction de la basilique, est antérieur aux événements de la Commune.

Le sieur Guénolé, profitant de l’inculture historique générale, concède qu’à défaut de raser le Sacré-Cœur « on en fasse un musée des communards ».

Face à cet énergumène, on oublie de rappeler que les communards se révoltèrent contre une Assemblée nationale démocratiquement élue au suffrage universel et contre le gouvernement qui en était issu. Et si les communards, vaincus par l’armée régulière, subirent une répression féroce, ils avaient les premiers fait tirer sur les manifestants du 22 mars 1871, interdit les journaux qui n’étaient pas à leur botte, avant que d’instaurer la Terreur, de massacrer les otages (480 personnes suppliciées en dix jours), s’acharnant tout particulièrement sur le clergé de Paris, et de mettre le feu aux Tuileries, au Louvre et aux monuments de la capitale. 

Autant de réalités qui ont été savamment gommées de la mémoire collective. Il suffit pourtant d’ouvrir quelques bons livres pour redécouvrir la vérité.

Site de DPF cliquez ici

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François Martin : comment Poutine va gagner la guerre

La guerre d’Ukraine, et aussi celle de Gaza, et même les soubresauts africains, sont la marque d’un profond "basculement du monde". Mais elles sont aussi le signe de l’accélération d’un processus décolonial, une "libération" du sud par rapport au nord. Aujourd’hui, le nord et le sud s’éloignent, et une grave fracture s’installe progressivement.

À cela, de nombreuses causes : moins le passé esclavagiste et colonial que ce que l’on croit, mais bien plus une dérive du nord, qui dit vouloir promouvoir les valeurs de liberté, de démocratie et de paix, mais répand au contraire, de façon perçue comme hypocrite par le sud, la domination, le matérialisme, le pillage et la guerre. Quel est le monde qui se dessine ? Comment, dans ces conditions, la Russie va-t-elle gérer sa victoire, aujourd’hui pratiquement acquise ?

Quelles perspectives de sortie de crise pour Gaza ? Comment d’autres pays vont-ils se positionner ? Et quel est le sort qui sera réservé à l’Europe dans ce contexte ? Selon la manière dont il sera géré, ce "temps des fractures" qu'explicite François Martin dans son ouvrage pourrait néanmoins être bénéfique, ou au contraire gravement négatif. Un pays pourrait jouer un rôle majeur dans ce contexte, pour apaiser ou au contraire exacerber les tensions, c’est la France. Quel pourrait, quel devrait être son rôle ?

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L’Outre-mer ne répond plus

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

En 1976, Jean-Claude Guillebaud publiait aux éditions du Seuil dans la collection « L’histoire immédiate » Les confettis de l’empire. Son enquête portait sur les derniers vestiges de l’ancien empire colonial français, à savoir les possessions ultra-marines bientôt dénommées DOM–TOM (départements et territoires d’Outre-mer).

Hormis l’Asie, la France est présente sur tous les autres continents sous la forme insulaire, à l’exception de la Guyane en Amérique du Sud et de la Terre-Adélie en Antarctique. Par le jeu des ZEE (zones économiques exclusives), Paris détient derrière les États-Unis d’Amérique le deuxième domaine maritime mondial. À l’encontre d’une idée reçue, ce n’est pas la Fédération de Russie qui compte le plus grand nombre de fuseaux horaires (onze continus), mais la France avec treize (discontinus) !

Ce constat contredit par conséquent la vision d’une France « tellurocratique ». Elle détient de solides atouts en matière de thalassopolitique. Pour combien de temps encore ? En effet, la présence d’Emmanuel Macron bouleverse la donne en Outre-mer. Longtemps chasse gardée de la gauche socialo-communiste et des gaullistes (Michel Debré, maire d’Amboise en Indre-et-Loire est de 1963 à 1988 député de La Réunion), les territoires ultra-marins adoptent une variété de pratiques protestataires. Au moment des Gilets Jaunes en 2018–2019, La Réunion dans l’océan Indien et l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon dans l’Atlantique Nord deviennent des foyers virulents des revendications. Pendant la crise covidienne, la Martinique et la Guadeloupe se caractérisent par un taux élevé de refus de vaccination des personnels soignants qui perdent leur travail. L’élection présidentielle de 2022 confirme l’adhésion des populations locales aux candidats d’opposition. Au premier tour, Jean-Luc Mélenchon arrive en tête en Martinique (53,10 %), en Guadeloupe (56,16 %), en Guyane (50,59 %) ou à La Réunion (40,26 %). Au second tour, Marine Le Pen remporte 69,60 % en Guadeloupe, 60,87 % en Martinique, 59,56 % à La Réunion, 55,42 % à Saint-Martin et Saint-Barthélémy ou 59,10 % à Mayotte.

Aux législatives de 2022, les Antilles envoient plusieurs élus qui siègent ensuite au GDR (Groupe républicain et démocrate) aux côtés des communistes ou au groupe centriste charnière LIOT (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires). Ainsi la Polynésie française élit-elle trois députés indépendantistes. Les législatives anticipées de 2024 confirment cette tendance même si les indépendantistes polynésiens perdent deux sièges au profit des autonomistes et des macronistes. Les deux premiers députés du Rassemblement national proviennent de Mayotte et de La Réunion.

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jeudi, 24 octobre 2024

Angers : solidaires des victimes de la barbarie en France, les étudiants sont passés à l'action

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Ce jeudi, devant la bibliothèque universitaire d'Angers, les militants du Rassemblement des étudiants de droite (RED) ont manifesté en déployant une grande banderole pour dénoncer les crimes de la délinquance d'importation qui se multiplient en France. Bravo à eux...

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Le nouveau numéro (n°101) de Terre et peuple Magazine est sorti

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L'éditorial Jean-Patrick Arteault :

CET ÉTÉ…

L’été, et le mois d’août en particulier, sont en général des moments dédiés à la détente et au farniente. C’est la période des randonnées, des pèlerinages familiaux, des virées culturelles ou des plongeons dans l’océan. Mais il y a des étés différents. Plus dangereux, qui peuvent ouvrir sur des périodes sanglantes et des remises en causes fondamentales. L’été 1914 fut de ceuxlà. L’été 2024 fourmille de signaux qui, s’ils n’indiquent pas encore que le monde a basculé dans une guerre généralisée de tous contre tous, montrent que nous avons quitté le temps de la paix et de l’insouciance. Ces signaux sont très variés et ressemblent à un patchwork, à l’image de notre époque sans style. Prenons-en quelques-uns.

Le 13 juillet, un « loup solitaire et dérangé » (ils sont toujours solitaires et dérangés, vous avez remarqué ?…) a tenté d’assassiner l’ancien président des USA Donald Trump, candidat à un nouveau mandat. Peu importe ce qu’est exactement Trump, ce qui compte c’est qu’il déclenche un torrent de haine de la part des élites de l’État Profond américain, preuve qu’il ne doit pas être entièrement mauvais. En 2020, elles s’étaient contentées d’organiser une tricherie monumentale lors des élections. La panique est telle devant son retour politique qu’on a décidé de l’éliminer physiquement. Trump avait dû cotiser au syndicat des anges gardiens car s’il n’avait pas bougé la tête une fraction de seconde avant le départ de la balle, il serait mort. Imagine-t-on ce que son assassinat, signé dans les circonstances de la campagne, aurait produit dans un pays où il y a plus d’armes à feu que d’habitants ?

Le 26 juillet a eu lieu la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris. On passera sur le 2 poids, 2 mesures qui a fait exclure les délégations russes et biélorusses et recevoir, drapeau en tête, la délégation d’un petit Etat accusé par les instances des Nations Unies de commission de génocide… Non, l’élément marquant fut la cérémonie woke et LGBTQ+ friendly, concoctée sous les auspices du bizarre couple de l’Élysée. Ce fut une gifle magistrale, non seulement pour ceux qui honorent Jésus ou Léonard De Vinci à un titre ou à un autre, mais à tous les peuples de la planète attachés à une norme anthropologique reniée par le seul Occident. L’oligarchie occidentale s’exhibait et crachait ses miasmes dégénérés au visage du monde. Quel symbole en pleine guerre de “l’Occident collectif ” contre le reste du monde ! Et il y en a qui s’étonnent, dans les salons germanopratins et sur les plateaux des télévisions de propagande, du mépris profond de ces peuples d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du Sud pour les élites occidentales…

Le 6 août, après l’horrible assassinat au couteau de plusieurs fillettes dans le nord-ouest de l’Angleterre, à Southport, le 31 juillet par un jeune “Anglais” d’origine rwandaise, éclatent des émeutes d’autochtones aux cris de “trop, c’est trop”, sous-entendu : “Nous n’en pouvons plus des bienfaits de l’immigration”. Il s’agissait, pour l’essentiel, de braves gens des couches populaires “perdantes de la mondialisation” Heureusement les Britanniques ont la chance d’avoir un vrai gouvernement de gauche populaire depuis le 5 juillet animé par le travailliste Keir Starmer… N’écoutant que son dévouement à ce peuple souffrant où se recrutent possiblement ses électeurs, le gouvernement travailliste motiva sa police et ses juges pour… la protection des contre-manifestants immigrés et antifas, l’arrestation sans ménagement des manifestants autochtones, leur jugement rapide et leur incarcération séance tenante dans des prisons préalablement délestées de délinquants et même de meurtriers. C’est toute la limite du Brexit : il est certes bon, nécessaire et impératif de quitter cette prison des peuples qu’est l’organisation “Union Européenne” mais c’est très largement insuffisant si ce mouvement n’est pas accompagné d’une purge politique de l’oligarchie mondialiste anti-populaire. On n’oubliera pas non plus que les gouvernements britanniques successifs, même brexiteurs, sont parmi les plus actifs fauteurs de guerre dans l’affaire ukrainienne.

La France, toute à l’euphorie des médailles qu’elle rafle au cours des J.O. (n’oublions pas l’absence quasi totale des Russes traditionnellement gourmands en médailles ni la traditionnelle prime aux pays organisateurs) a oublié que le 21 juin, la Commission Européenne a transmis les consignes pour la construction d’un budget d’austérité sévère pour 2025 après le placement du pays en procédure de déficit excessif. Nul doute que les français ordinaires vont durement apprécier la copie que le ministère des Finances doit rendre le 20 septembre prochain. G.P.M. (le Grand Président Macron) joue les cigales depuis un certain temps avec les deniers publics et bientôt les petites fourmis vont devoir se serrer la ceinture car, contrairement à la fable de La Fontaine, ici ce sont les cigales qui l’emportent sur les fourmis… Sera-ce suffisant pour mettre le peuple vraiment en colère cette fois-ci ?

Il aurait fallu ici parler des “événements” d’Asie occidentale susceptibles d’affecter gravement la paix du monde. On restera ici pudiquement sur la notion d’“événements”, un peu comme on parlait des “événements d’Algérie” pour ne pas prononcer le mot “guerre” qui fâchait les pouvoirs publics à l’époque. On ne détaillera pas ces “événements” car ils sont, au sens propre, innommables. Un ami nous avait dit un jour : “Si tu veux connaître ton vrai maître, regarde qui est capable, sur un claquement de doigts, de déchaîner la fureur policière et la vindicte des juges”. N’ayant pas envie de tester l’identité de nos maîtres, nous nous contenterons de l’allusion aux “événements” d’Asie occidentale pour signaler, qu’outre les risques de guerre, ils s’ajoutent au lourd contentieux du “Sud et de l’Est global” avec “l’Occident collectif ”. Du fait du basculement du monde en cours, il se pourrait très bien, que dans un terme assez proche, ce qui est innommable aujourd’hui puisse enfin être nommé… même ici.

Allez, terminons sur une bonne intuition (ou pas…) il se pourrait bien qu’en Ukraine l’OTAN morde la poussière avant la fin de l’année… 

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Les Frères musulmans agissent partout et aussi dans le sport

sana-ndiaye-etenna.jpgMichel Festivi 

La faiblesse de notre État est incommensurable. La démission de nos autorités est permanente. L’école, l’université, et le sport sont des terrains de jeux privilégiés des islamistes. Il faut dire que ne rencontrant quasiment aucune résistance, ils s’en donnent à cœur joie, dans la gêne, il n’y a pas de plaisir, comme le dit le dicton populaire.

C’est ainsi, qu’aux championnats du monde de lutte (United World Wrestling), qui se sont déroulés début octobre à Astana au Kazakhstan, « une française », Sana Ndiaye, a pu en toute impunité et en contravention totale avec la loi, concourir en hidjab et monter officiellement sur le podium, toujours voilée de sa tenue islamiste. Elle a en effet obtenu une médaille d’or en jiu-jitsu et un d’argent en grappeling, une discipline de la lutte paraît-il.

Or, la règlementation interdit absolument toute manifestation religieuse ostentatoire, et on apprend que cette jeune fille de 17 ans, avait été exclue de la Confédération française de jïu-jitsu brésilien et de celle de judo en 2023 et ce à cause du port du voile. Pourquoi et dans quelles conditions a-t-elle été autorisée à défendre les couleurs de la France, sans respecter l’interdiction du port du vêtement islamique ? Pourquoi les responsables de cette fédération n’ont-ils pas été réprimés sur le champ ?

Déjà, en juillet dernier, au moment des jeux olympique, une athlète « française », Sounkamba Sylla voulait participer avec son hidjab. La ministre des Sports, l’insignifiante Oudéa-Castera avait rappeler en élevant la voix « un représentant d’une équipe de France est soumis à une exigence de neutralité qui empêche le port d’un signe religieux ostensible ». Devant l’extrême dureté du propos, cette jeune femme avait finalement caché son voile sous une casquette ! Bien sûr, rien ne se passa, et la ministre remisa son courroux. La sportive aurait dû être immédiatement exclue si un peu de courage politique existait...

En juin 2023, le Conseil d’État, prenant pour une fois son courage à deux mains, avait pourtant édicté, suite au recours de deux associations faisant de l’entrisme islamique au sein de la Fédération française de football que : « le principe de neutralité du service public s’applique aux fédérations sportives qui sont en charge d’un service public... Leurs agents et plus généralement toutes les personnes sur lesquelles ils ont autorité doivent s’abstenir de toutes manifestations de leurs convictions et opinions personnelles. Cette obligation de neutralité s’applique également à toutes les personnes sélectionnées dans une des équipes de France lors des manifestations et compétitions auxquelles elles participent ».

La déliquescence de l’État est doc totale, ni la loi ni la jurisprudence ne sont appliquées. Le représentant français de cette discipline de Lutte, se retranche lâchement derrière la fédération internationale qui autoriserait, selon lui, le port de l’hidjab. Pourtant, Sana Ndiaye avait été exclue du pôle espoir de l’équipe de France, car elle devait signer une charte au terme de laquelle, elle ne pouvait pas combattre voilée. Elle a reçu le soutien du Collectif contre l’islamophobie en Europe qui est clairement dans la mouvance Frériste, le terme « islamophobie » le prouve, cette sémantique est dans l’orbite des Frères musulmans. De plus, le club sportif de Sana Ndiaye a aussi été exclu par la Confédération française par sa commission éthique, anti-radicalisation politique et religieuse. Ce club, se situant a Neuilly-sur-Marne dans le 93, aurait selon une source policière, rapportée par le Figaro, été signalé aux services de renseignements. Ce club a été fondé par le père de Sana, Gary Bilal. Il avait notamment comme « éducateur sportif », un dénommé Taieb Bouhessane, qui, sur Instagram, annonçait organiser des compétitions sportives a destination de tous, donc « des petites filles voilées ». Il a aussi été exclu par la Confédération, mais continuerait ailleurs son prosélytisme.

L’araignée islamiste tisse donc sa toile en quasi-totale impunité. La Confédération aurait reçu de multiples témoignages, des captures d’écran sur plusieurs clubs en France et un responsable aurait indiqué au Figaro « On a eu des pressions pour que les compétitions s’arrêtent aux heures de la prière. On doit souvent vérifier que les vestiaires ne se transforment pas en salle de prière. Certains clubs veulent que les filles s’entrainent entre elles, voilées, avec un entraîneur femme, et qu’il n’y ait aucun contact visuel avec les garçons. Il y en a même qui organisent des séminaires de jiu-jitsu couplés avec un pèlerinage à La Mecque ! On a l’impression d’être un peu seul à faire appliquer la loi. ».

Que fait le ministère des Sports ? Que fait le ministre des Sports ? Les autorités françaises sont complètement aux abonnés absents, alors qu’ils ont tous les moyens juridiques pour intervenir fermement. C’est un scandale absolu, un de plus me diriez-vous. À quoi sert le fameux « Conseil des sages de la laïcité », auquel appartient le sociologue Médéric Chapitaux, auteur d’un livre courageux, Quand l’islamisme pénètre le sport, publié aux PUF en 2023, et qui réclame, lui, une application stricte de la loi et de la jurisprudence.  Le fait que le ministère des Sports, contacté par Le Figaro, à la suite de son article publié le 22 octobre, n’est pas voulu réagir, en dit long sur l’inanité de nos gouvernants qui malgré leurs beaux discours trompeurs, ne font rien pour combattre et contrer l’emprise islamiste. LFI serait-il déjà au pouvoir ? Cf « Athlètes voilées, prières dans les vestiaires...La lutte, ce sport gangréné par un islam conquérant » Le Figaro du 22 octobre.

10:04 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 23 octobre 2024

Samedi 19 octobre à Rouen : c'était la Marche de la fierté normande

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Franck Buleux

Ancien conseiller municipal de Vernon (27)

Le 19 octobre 2024, dans la capitale historique et régionale normande, fondée par Rollon, premier duc de Normandie entre 911 et 932, s’est déroulée la Marche des Normands, autrement dénommée parfois « Marche de la fierté normande ».

Cette Marche organisée par une jeunesse qui souhaite incarnée une identité régionale, celle de la conquête, avait fait l’objet, l’an passé, d’une interdiction préfectorale par un arrêté pris le 13 octobre 2023. Pourquoi ? Il s’agissait d’une mesure administrative préventive car cette Marche de la fierté normande « aurait rassemblé des personnes issues de mouvements militants d’extrême droite ». La préfecture de Seine-Maritime, bras armé et docile à l’époque de Gérald Moussa Darmanin (qui fut portant proche de mouvements royalistes), ministre de l’Intérieur, citait le « contexte international qui entraîne un phénomène de menace contre les États ayant dénoncé les attentats du Hamas » (du 7 octobre 2023). Ce sont donc des évènements internationaux au Proche-Orient qui furent à l’origine de l’interdiction d’une marche consacrée à la célébration de la Normandie. Ce ministre était-il sérieux, lui qui se sentait obligé de cacher son second prénom pour accéder aux plus hautes responsabilités ?

Doit-on rappeler au préfet de Seine-Maritime (et à Darmanin) que le duc de Normandie Guillaume Le Bastard, devenu Le Conquérant, a conquis le titre de roi d’Angleterre après la victoire de ses troupes à Hastings le 14 octobre 1066 et que cette date (celle du 13) pouvait être un lien pour commémorer ce temps d’histoire ? Non, cela n’a pas du effleurer l’esprit de nos dirigeants, dont les qualités en matière d’histoire contemporaine semblent se limiter aux migrations du Sud vers le Nord. L’histoire des peuples européens ne semblent guère les concerner.

Plus prosaïquement, il s’agissait, l’an passé, de censurer une célébration historique organisée et emmenée par des jeunes Normands (par la naissance ou le cœur, précisions-le car c’est la Normandie qui fait le Normand). En effet, le contexte international est toujours présent un an après et le ministre Bruno Retailleau, issu du mouvement Combat pour les valeurs de Philippe de Villiers (un gage au moins d’honnêteté historique et intellectuel) n’a pas réitéré les délires obsessionnels de Darmanin, plus prompt à appliquer censures et dissolutions des mouvements de jeunesse de droite qu’à contrarier la criminalité.

Cette année, le 19 octobre, près d’un millier de jeunes (et des moins jeunes, des familles entières !) ont défilé dans les rues du centre historique de Rouen avant d’honorer la statue de Rollon, notre premier jarl. Les slogans étaient sans équivoque : « Normands, fiers et conquérants » comme Guillaume Le Conquérant, le vainqueur d’Hastings (dans le sud-est de l’Angleterre) en 1066.

Sans provocations, sans slogans politiques, mais dans un esprit de fierté normande (une vraie « pride »), tous ont défilé dans un esprit de fraternité. La haine ? Parfois elle s’exprimait au bord des trottoirs mais un service d’ordre veillait tout au long du parcours. On sentait cette maîtrise bienveillante autour de nous.

Une Marche normande c’est d’abord l’expression d’une véritable identité ancrée dans la nation française, au cœur d’un continent européen aux patries charnelles, d’Ouest en Est.

Car, loin de tout esprit politicien, cette expression militante urbaine (La rue appartient à ceux qui y descendent) donnait d’abord envie, envie de s’identifier comme normand.

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23:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Franck Buleux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

TRIBUNE LIBRE - Prise de conscience, effort et redressement, ou renoncement, immobilisme et chute : il n’y a pas d’autre alternative !

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Didier Lecerf

Bien que le gouvernement Barnier soit loin d’être idéal, il a de bonnes chances de durer plus longtemps que d’aucuns peuvent le penser.

Rappelons brièvement la situation.

D’abord, à l’issue des dernières législatives, les profondes fragmentation et division de la population ont trouvé tout naturellement leur traduction, sur le plan politique, dans l’atomisation de la représentation nationale et, conséquemment, l’absence de majorité de gouvernement. Ainsi, le palais Bourbon compte désormais onze groupes politiques (auxquels il faut ajouter les non-inscrits) et trois grands blocs, parmi lesquels aucun n’atteint la majorité absolue de 289 députés : le bloc de gauche, 192 élus ; le bloc centriste (du centre-gauche au centre-droit), 206 ; le bloc de droite nationale, 141. Résultat : jusqu’en juillet prochain, le pays se trouve, de fait, dans une impasse politique qui, de plus, pourrait bien déboucher, à terme, sur une crise institutionnelle…

Ensuite, alors que le pouvoir se trouve sur cette ligne de crête, soutenu par seulement 200 députés au maximum (la motion de censure LFI a obtenu 197 voix), avec deux blocs en embuscade, sur sa gauche et sur sa droite, et donc dans l’obligation de rechercher le plus petit commun dénominateur par le compromis, le consensus, la dette publique atteint la somme considérable de 3 159,7 milliards d’euros, soit 110,7% du PIB, après le "dérapage" du premier trimestre 2024 : +58,3 milliards contre +6,4 milliards au dernier trimestre 2023, soit 9 fois plus ! Pire, la confiance des marchés dans la capacité de la France à maîtriser ses finances menace d’être ébranlée davantage encore par les affrontements, les atermoiements actuels à propos du budget, ainsi que par les choix qui résulteront des débats en cours. Déjà, le taux d’emprunt à dix ans de notre pays dépasse ceux de l’Espagne et du Portugal et ne se trouvent plus qu’à 0,16% de celui de la Grèce…

Mettons les pieds dans le plat : la France a besoin d’un gouvernement, d’un minimum de stabilité, et le gouvernement Barnier, dans sa configuration présente, est, pour l’heure, le seul que nous sommes en mesure de nous offrir ! Il est la conséquence de la composition de l’Assemblée nationale, le résultat des rapports de force au sein de l’hémicycle. Il est à la fois un pis-aller et un moindre mal. S’il tombe, quel autre prendra sa place ? Un gouvernement de gauche, mené par LFI, avec 192 députés ? Inacceptable ! Un gouvernement RN-UDR, soutenu par 141 députés, mais rejeté par les 398 autres ? Impensable !

Ainsi, actuellement, il n’y a pas d’autre équipe à espérer que celle, hétéroclite et imparfaite, rassemblée par le nouveau Premier ministre. Et il n’y a pas d’autres axes à attendre que ceux qu’il a définis lors de son discours de politique générale. Cette situation bloquée résulte des discours mis en œuvre par les partis politiques, les médias, les élites… Elle est le fruit de leurs insuffisances, de leur propagande, de leurs mensonges (merci au front républicain), de leurs petits calculs et intérêts partisans. Mais aussi de nos abandons, de nos renoncements, de nos peurs, de nos petites lâchetés et… de notre dernier vote.

Après des décennies d’insouciance, d’inconséquence, de politique du chien crevé au fil de l’eau, voici l’état d’urgence. Nous sommes arrivés au moment où, collectivement, gouvernement et citoyens, nous devons prendre nos responsabilités, faire les bons choix, être prêts aux efforts, voire aux sacrifices nécessaires. Au nom de l’intérêt supérieur de la patrie, de l’intérêt de nos enfants et des générations futures. Déjà, il y a quatre-vingts ans, le colonel de La Rocque nous exhortait au ressaisissement : « Les longues déchéances de la communauté tout entière ne se rachètent pas, n’autorisent pas de relèvement sinon par la vertu d’un long effort de la communauté entière. (…) Dieu n’accorde les miracles qu’aux grands sacrifices. (…) Notre patrie ne regagnera son pain, avec le salut, qu’à la sueur de son front, qu’à la sueur du front de tous ses fils (…) ».

Nous voici à la fourche : la voie du redressement ou celle du déclin et de la chute…

Seulement, formons-nous encore une communauté ? Sommes-nous encore une nation ? Sommes-nous encore capables d’un effort collectif, patient et soutenu, au service de l'intérêt général ? Sommes-nous encore prêts à nous montrer à la hauteur de nos ancêtres et de tout ce qu’ils nous ont légués ?

De toute façon, les réponses à ces questions, nous les aurons très vite, et nous saurons alors à quelle sauce nous allons être mangés… Soit nous prenons en main notre destin, avec courage, soit d'autres en décideront pour nous, à notre place...

20:06 Publié dans Didier Lecerf | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Budapest, 23 octobre 1956 : début de l'insurrection nationaliste hongroise

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À propos de l'insurrection de Budapest cliquez là

10:57 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |