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samedi, 06 septembre 2025

Journal du chaos

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vendredi, 05 septembre 2025

"Bayrouzina", J -3

Nouveau Premier ministre : François Bayrou nommé à Matignon - Le Parisien

Didier Lecerf

Lundi prochain, 8 septembre, Le gouvernement Bayrou aura cessé d’exister. Le Premier ministre engagera la responsabilité de son gouvernement devant l’Assemblée nationale, conformément à l’article 49-1 de la Constitution, une majorité de députés lui refusera la confiance et il devra démissionner.

Ce résultat est inscrit dans les effectifs des différents groupes parlementaires. Il suffit de regarder les chiffres :

  • À gauche, 192 députés : 71 pour LFI-NFP, 66 pour les socialistes et apparentés, 38 pour les verts et 17 pour les communistes.
  • Au centre, 184 députés, avec LIOT : 91 pour Ensemble (Renaissance), 36 pour le Modem, 34 pour Horizons et indépendants et 23 pour LIOT.
  • À droite, 187 députés : 123 pour le RN, 49 pour LR et 15 pour l’UDR.
  • 11 non-inscrits.

À cette heure, pour pouvoir espérer se maintenir, François Bayrou devrait être quasi certain d’obtenir, lundi, le soutien de la totalité des députés du centre (184), de LR (49) et du PS (66). Sans ces derniers, impossible pour lui d'obtenir plus de voix que les partisans de sa chute ! Autrement dit, la messe est dite, les carottes sont cuites, la "bayroute" est certaine. Tchao et bon retour à Pau !

Exit Bayrou, donc. Comme Barnier avant lui. Et alors ? Mais après ?

Gouvernement Barnier, gouvernement Bayrou, les deux étaient la traduction de la composition de l’Assemblée nationale issue de la dissolution hasardeuse de juin 2024 et des législatives ratées qui ont suivi. Ils étaient le résultat des rapports de force au sein de l’hémicycle. Or, si les gouvernements tombent, la Chambre, elle, demeure la même : 11 groupes parlementaires (sans compter les non-inscrits), trois grands "blocs" et aucune majorité !

Dès lors, il est illusoire d’attendre un véritable changement. La situation est bloquée, nous sommes au fond de l’impasse et le pays trinque. Pour en sortir, il n’y a qu’une solution : redonner la parole aux Français.

Pour ce faire, Emmanuel Macron peut d’abord dissoudre l’Assemblée et provoquer de nouvelles législatives. Mais on ne peut être certain qu’une majorité sortirait enfin de ces nouvelles élections. Il peut aussi tirer la conclusion de son échec, assumer ses responsabilités dans la débâcle actuelle et démissionner. Mais il ne faut pas rêver.

Le blocage demeure donc. Il faudra bien le faire sauter. Pour la France, le plus tôt sera le mieux !

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Pierre Cassen revient sur les décès suspects de candidats AfD en Allemagne

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Ce vendredi soir : retour de Philippe de Villiers sur C-news

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Matignon ou le naufrage des ambitions élyséennes

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Un entretien avec Philippe Randa

(Propos recueillis par Guirec Sèvres pour le site Synthèse nationale)

À moins d’une semaine du vote de confiance réclamé par le Premier ministre François Bayrou et malgré les rapports de force à l’Assemblée, celui-ci peut-il encore espérer sauver son gouvernement ?

Tant qu’une bataille n’est pas livrée, tout est toujours possible, surtout si des tractations secrètes nous préparent un rebondissement de dernière minute… ou que survienne un événement imprévu, susceptible de repousser le vote de l’Assemblée aux calendes macroniennes ! Mais admettons que les jeux soient faits : la question serait plutôt : pourquoi François Bayrou a-t-il provoqué ce vote… et pourquoi maintenant ?

Et donc pourquoi… et pourquoi maintenant ?

L’opinion publique, et tous les observateurs auto-proclamés pertinents partent toujours du principe que tous les hommes politiques ne penseraient chaque matin qu’à devenir Président de la République en se rasant et toutes les femmes politiques en n’en finissant pas de se préparer ! Oui, mais… Mais s’ils sont certes beaucoup à rêver de la fonction présidentielle, il n’y a qu’un ou (pas encore une) élu(e) désormais tous les 5 ans. Il n’est donc pas inimaginable de considérer que beaucoup se disent que sauf sur un malentendu, il leur vaut mieux imaginer une carrière – voire une fin de carrière – moins ambitieuse. Et donc un poste de ministre et pourquoi pas de Premier ministre, d’autant que désormais Matignon se libère plus rapidement que dans les décennies précédentes grâce au Mozart de l’incompétence actuellement locataire de l’Élysée… C’est dire si, depuis près de deux ans, la succession de nouveaux Premiers ministre, de ministres et de secrétaires d’État est une sacrée aubaine pour tous ceux qui veulent finir en beauté avec des bâtons de maréchaux à la mesure de leurs prétentions davantage qu’à celles de leurs prouesses. 

François Bayrou ne songerait donc plus à accéder à la fonction suprême ?

Son insistance auprès d’Emmanuel Macron pour entrer à Matignon après la déconfiture de son prédécesseur Michel Barnier – remercié 3 mois et 8 jours après son entrée en fonction – alors qu’il n’allait pas disposer davantage que lui de majorité parlementaire, pourrait très bien s’expliquer par cette seule et unique raison : clore une longue, très très longue carrière politique par l’accession à la deuxième marche du podium, « tenir » davantage que lui et s’en retourner ensuite en sa Mairie de Pau quelques mois (ou années s’il y sollicitait un troisième mandat) en se faisant donner du « Monsieur le Premier ministre » le reste de son existence, l’appellation étant conservée par tous les ancien(ne)s nommé(e)s à cette fonction.

Que pourrait faire Emmanuel Macron ?

Idéalement (pour lui) nommer un Premier ministre dont l’ambition se limiterait à tenir coûte que coûte en expédiant les affaires courantes jusqu’à la fin de son mandat présidentiel, ce qui lui éviterait l’humiliation d’être acculé à démissionner.

Olivier Faure, Premier secrétaire d’un Parti socialiste totalisant 1,75 % des suffrages à la dernière élection présidentielle, a déjà fait acte de candidature ; pour lui aussi, accéder à Matignon serait un bâton de Maréchal ?

Oui… et peut-être aussi pour arrêter d’entendre chaque fois qu’on prononce son nom : « Olivier qui ? » ; on peut le comprendre, ça doit finir par être agaçant… Et qui dit nouveau Premier ministre dit forcément nouveaux ministres, nouveaux secrétaires d’État… Une sacrée aubaine pour tous celles et ceux prêt(e)s à faire don de leur personne à la France ! D’autant que s’ils ont un minimum de lucidité, elles et ils doivent bien s’imaginer que le temps leur est compté avec une dette de la France de 3 345 milliards d’euros au premier trimestre 2025… Après-vous le déluge, monsieur/madame le-la Premier ministre, monsieur/madame le-la ministre, monsieur/madame le-la secrétaire d’État… Quant aux éventuelles accessions ou réélections à la députation de candidats des partis faillis – de Renaissance au Parti socialiste en passant par le Modem ou Les Républicains – cette espérance est certes plus hasardeuse désormais…

Le nom du ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau circule également pour Matignon : est-ce crédible ?

Il a sans doute accepté la place Beauvau avec Michel Barnier, puis décidé d’y rester avec François Bayrou parce que ce poste pouvait être alors son bâton de Maréchal à lui : être ministre… mais tout comme l’appétit vient en mangeant, l’ambition présidentielle l’a peut-être gagné depuis, mais plus il reste acoquiné à la Macronie à l’agonie, plus il enterre celle-ci. Accéder à Matignon, tout comme pour François Bayrou, ce serait gagner son sommet de l’Himalaya à lui… 

Ne pourrait-ce pas être aussi une belle marche pour accéder à l’Élysée ?

Jacques Chirac est le seul ancien Premier ministre qui a réussi ce pari dans une configuration politique bien différente de celle d’aujourd’hui… Tous les autres Premiers ministres qui ont crû que Matignon serait un marche-pied ont fait naufrage : Jacques Chaban-Delmas, Michel Rocard, Dominique de Villepin, Alain Juppé… et pour certains, leurs naufrages a été « titanesques » : Edouard Balladur, Lionel Jospin, François Fillon, ce dernier aussi insipide Premier ministre que son successeur Jean-Marc Ayrault, mais qui lui, à sa décharge, n’a sans doute jamais envisagé d’autre destin. Quoique, allez savoir… Les politiciens, ça ose tout à force d’y croire. Eux aussi, c’est même à ça qu’on les reconnaît. Comme qui vous savez !

11:22 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 04 septembre 2025

Jeudi soir, Eric Zemmour était sur BFM TV

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23:04 Publié dans Eric Zemmour | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il y a 4 ans, nous lancions la collection "Les grands classiques de Synthèse nationale"

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JE NE ME REPENS PAS !

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Pieter Kerstens

Parce que mon devoir de mémoire ne commence pas en 1789 ni ne s’arrête au 11 septembre 2001 à la Grande Pomme…

J’assume tout l’héritage de mes ancêtres, depuis 40 siècles, quand les premiers celtes développèrent un art exceptionnel dans le travail des métaux. Et, avec le témoignage de l’historien grec Polybe, c’est avec détermination que je défends la remarquable culture celte qui englobait pratiquement toute l’Europe Occidentale.

NON, je ne renie en rien l’œuvre de civilisation que mes aïeux ont réalisé en 4.000 ans et qui, au travers des siècles et de par le monde a contribué à la diffusion des valeurs et de la grandeur de l’Europe. C’est bien grâce à Werner Von Braun, un ingénieur allemand, que les américains ont pu, en 1969, marcher sur la lune. En 2025, nous marchons sur la tête !

À l’opposée des laquais de la Police de la Pensée et des cloportes du « politiquement correct », j’affirme que le bilan des colonisations européennes dans d’autres continents et sous d’autres latitudes est très positif et que nombre de gouvernements exotiques en tirent toujours profit, 60 ans après leur indépendance. Il suffit de se rendre sur place pour s’en rendre compte !

Les incompétents qui nous dirigent et les journalistes à leurs bottes doivent cesser d’occulter la réalité, stopper ce révisionnisme de l’Histoire version marxiste et arrêter de nous rendre responsables ou coupables des maux qui accablent la terre entière.

Cependant avons-nous encore la possibilité de dire ou d’écrire librement ce que nous estimons être notre conviction ?

Devra-t-on toujours être d’accord avec les Gouvernants ?

Ne sommes-nous plus un pays où la liberté d’expression serait garantie ?

Y aurait-il des anathèmes ? Une police de la pensée ? Une Religion « Droits-de-l’hommiste » ?

Des tabous ? Une Nouvelle Inquisition ?

Sans être raciste ou xénophobe, peut-on encore critiquer et combattre le laxisme des gouvernements et la générosité de notre législation sociale qui dépasse certaines bornes ?

N’est-il plus toléré de fustiger la politique des autorités concernant la drogue, l’insécurité, la violence dans les écoles, le droit de vote des étrangers, les goulags communistes au XXe siècle ou la dictature des mondialistes et l’arrogance sioniste ?

Parce que, franchement, depuis 60 ans, les pays sous-développés et « indépendants » devraient chacun ériger un monument en guise de remerciements aux acquis légués par la présence européenne sur  leurs  territoires : exploitations forestières ; plantations de café, thé, bananes, hévéas, etc. ; industries diverses (papeteries, cimenteries, tissages, brasseries, etc.) ; mines (charbon, zinc, cuivre, tungstène, diamant, coltran, uranium, phosphate, etc.) ; exploitations pétrolières et gazières ; agriculture variée et élevage divers ; réseaux de communications (voies ferrées, ponts, routes, ports, aérodromes, canaux d’irrigation, barrages, etc.) ; systèmes éducatifs et sanitaires (écoles, lycées, universités, cliniques et hôpitaux) ; éradication du choléra, du tétanos et autres maladies tropicales ; mais surtout : autosuffisance alimentaire, chassant le spectre de la famine ! Que reste-il de tout cela aujourd’hui ?    

Des ruines… et des cartes postales !

Des souvenirs, remplacés en 2025 par l’insoutenable présence des néo-colonialistes chinois qui pressurent sans vergogne l’Afrique (et d’autres pays, ailleurs).

OUI, ce que les Européens en général et les Français, en particulier, ont accompli dans les colonies durant plusieurs décennies (et souvent des siècles) mérite le respect et force l’admiration.

Il est intolérable que certains négationnistes prétendent aujourd’hui que les Occidentaux sont seuls à la source des calamités qui touchent nombre de pays en voie de régression.

À écouter ces saltimbanques de l’humanitarisme, avant l’arrivée des européens (au XVIe siècle) dans les pays tropicaux, tous les clans, tribus et peuplades auraient vécu dans un cadre paradisiaque avec une cohabitation pacifique chargée de relations conviviales, alors même que l’esclavage des noirs par les arabes dominait l’Afrique et qu’en Asie la Chine imposait sa culture, son administration et sa spiritualité !

Arrêtons de croire ces bonimenteurs gauchisants !

Il est grand temps, de rétorquer à tous les pays quémandeurs : « Avant de tendre la main, prenez-vous en main ! », à l’exemple d’autres pays qui l’ont mis en pratique depuis longtemps et ont pu ainsi accéder au mieux-vivre (Thaïlande, Mexique, Argentine, Corée du Sud, Philippines, Malaisie, Formose etc.)

NON, l’homme blanc n’est pas responsable ni coupable de la faim dans le monde, du prétendu réchauffement de la planète, ni de la concentration de CO2 dans l’atmosphère ou encore de la misère africaine qui pousse les immigrés hors-la-loi à s’installer clandestinement dans nos églises et « du-réchauffement-climatique-qui-va-tous-nous-carboniser ».

La volonté progressiste de métissage à tout prix et l’obligation de « société multiculturelle » imposée par les mondialistes depuis 40 ans, n’a plus rien à voir avec l’immigration des années 60 et constitue le véritable danger pour l’équilibre et l’identité de notre société, confrontée à l’Islam conquérant.

Les lois liberticides de 1974, 1981, 1989, 2000 et 2003 confirment une dérive totalitaire du Régime et ouvrent de nouveaux horizons aux ennemis de la Liberté. C’est pourquoi il faudra punir les responsables de ces législations et combattre les collaborateurs de l’invasion musulmane, qui par leur propagande et leur volonté d’imposer la Turquie en Europe nous conduisent vers un choc sanglant de civilisations. 

Il faut le répéter sans cesses : le danger pour notre civilisation et notre identité européennes, ce n’est pas la séparation, le confédéralisme ou l’indépendance des uns ou des autres, le vrai cancer qui menace l’avenir de nos enfants, c’est l’islamisation de nos quartiers, de notre mode de vie, de notre administration et de nos lois. Retrouvons notre liberté : entamons la RECONQUISTA !  EUROPE : LIBERE-TOI !

16:54 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 21 septembre : Pierre-Nicolas Nups sera à "La fête du cochon" de la fédération bretonne du Parti de la France

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C'est dimanche 21 septembre que se déroulera la traditionnelle fête du cochon organisée par le PdF Bretagne à Treffendel (35).

Cette année, l'invité d'honneur est le Secrétaire général du Parti de la France, Pierre-Nicolas Nups. Pierre Cassen (Riposte Laïque) et Hervé Cozic (Place d'Armes) prendront également la parole.

Stand, entre autres, de Synthèse nationale.

La participation est de 35 €.

Réservation obligatoire : 

pdfbretagne@orange.fr ou 06.09.53.93.84

Si les policiers et les gendarmes nous protègent, certaines décisions de justice peuvent tuer où attenter à la vie

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Michel Festivi 

Depuis trop longtemps, les citoyens honnêtes et de bon sens, se plaignent en très grande majorité selon tous les sondages d’opinion, et à très juste titre du laxisme judiciaire ambiant qui empêche une vraie politique pénale dissuasive contre les criminels. Les plafonds des peines ne sont généralement quasiment jamais atteints, la pratique du sursis est abyssale, les remises de peines faussent totalement la vision que les Français peuvent avoir de la Justice. L’argument mille fois ressassé d’une justice qui ne serait pas indulgente, car les prisons sont archi pleines est un pur sophisme. D’une part la criminalité a explosé depuis une dizaine d’années voire plus, et d’autre part corrélativement, l’État se refuse à construire de nouvelles places d’incarcération, malgré les promesses réitérées des politiques. Cela a conduit dernièrement certains Chefs de Cour à devoir faire différer les jugements d’incarcération, comme ils l’ont indiqué publiquement en audience solennelle.

À cause essentiellement du mode de recrutement et du formatage liée à l’École nationale de la magistrature, la justice française a adopté de longue date la culture de l’excuse comme base absolue de son action. De plus « le privilège rouge et de l’immigré », a désormais droit de cité. Car si par malheur un de nos concitoyens commet une infraction routière par exemple, il voit s’abattre sur lui les foudres de Thémis, comme celui qui s’aviserait de lutter par divers moyens même légaux contre une immigration massive et illégale. Cette justice à géométrie variable est exécrable. Encore une fois, je ne veux pas inclure dans mes propos tous les magistrats, de vaillantes et belles exceptions existent, mais elles sont totalement marginalisées par le politiquement correct, il suffit d’examiner la différence totale de traitement entre les plaintes contre certains extrémistes de gauche, qui multiplient les propos antisémites par exemple et qui n’aboutissent pas, et le sort des procédures contre certains militants nationaux qui sont, elles, implacables. 

L’exemple tout récent d’Abdelkader D. est éclairant à plus d’un titre. Ce tunisien qui armé de deux couteaux et d’une barre de fer, a blessé ou tenté de blesser six personnes avant d’être abattu par de courageux policiers, qui avaient accouru portés par la rumeur publique, et qui n’ont fait que leur devoir, évitant sans aucun doute un drame encore plus grand. Ces faits n’auraient jamais dû survenir dans une société organisée et normalement constituée.

On vient d’apprendre que ce quidam, certes en situation régulière en France mais arrivé pourtant clandestinement sur le territoire, de par le laxisme absolu de notre système administratif et sécuritaire, avait non seulement terrorisé, menacé et frappé son ancienne épouse comme elle l’a elle-même raconté, mais qu’il avait porté plusieurs coups de couteau à son neveu, qu’il soupçonnait d’être homosexuel, et d’avoir curieusement des relations avec sa femme. Accroc à la cocaïne et à l’alcool, il lui avait en mars 2023 tendu un piège et l’avait planté de plusieurs coups par arme blanche. Il sera placé sous contrôle judiciaire, alors qu’il aurait à tout le moins dû être immédiatement incarcéré. Il ne comparaîtra que le 6 mai 2025 devant le Tribunal correctionnel de La Rochelle et sera condamné à une peine très légère pour des faits gravissimes totalement avérés : un an d’emprisonnement ferme seulement, alors que les actes initialement avaient été qualifiés à bon droit de tentative de meurtre, puis correctionalisés en violences aggravées avec une arme, ce qui change complètement la donne judiciaire. En prononçant une peine d’emprisonnement ferme plus sévère, le Tribunal aurait pu délivrer à l’encontre de ce tunisien, un mandat de dépôt immédiat, ce qui l’aurait empêché d’agir comme il l’a fait. Il aurait pu tout aussi bien être placé en détention provisoire au moment de sa mise en examen pour tentative de meurtre, et comparaitre devant une Cour encore détenu, la détention provisoire pour crime étant d’un an pouvant aller jusqu’à deux ans voire trois ans, alors qu’en matière délictuelle, la détention provisoire ne peut pas être supérieure à 4 mois avec une seule prolongation en principe.  

On sait aussi que le 13 juin dernier, ce personnage s’était rendu dans une mosquée de Montpellier et prenant la parole au micro, avait déclaré « le pays était gouverné par des juifs et des sionistes », et il devait comparaître pour cela le 2 octobre prochain. Lors des évènements qui ont conduit à sa neutralisation, Abdelkader D. avait vociféré l’expression habituelle des islamistes : « Allah Akbar » au moins à deux reprises. Mais une fois de plus, nos hautes autorités, dont Monsieur Retailleau, ont mis cela sur le compte « de troubles psychiatriques et d’une conduite addictologique lourde », essayant par tous les moyens de minimiser l’affaire lié à l’islamisme.

Dans son périple sanguinaire, Abdelkader D. avait poignardé au niveau du cœur son colocataire, avait ensuite porté un coup au flanc du réceptionniste, puis au dos du fils dudit réceptionniste qui le poursuivait, pour s’en prendre ensuite à divers passants, à coups de barre de fer, tentant même d’éventrer le gérant d’un snack. Toujours en situation régulière (sic), il faisait l’objet d’un signalement du préfet de l’Hérault depuis le 25 juin 2025.

On peut en déduire aisément que cet individu n’aurait jamais dû recevoir aucun titre de séjour et être expulsé immédiatement en Tunisie, puisqu’il était entré clandestinement chez nous. Ensuite si la justice avait fait normalement son travail, il n’aurait jamais dû être en liberté ce mardi 2 septembre 2025. 

Comme l’a souligné avec sa hargne et sa morgue habituelle notre ancien garde des sceaux, tout cela n’est qu’un « sentiment d’insécurité » ni plus ni moins et de la faute de Cnews de surcroit. Comme l’a aussi rappelé le maire socialiste de Marseille, cela n’a rien à voir avec l’immigration, ce n’est pas le problème. Avec de tels raisonnements particulièrement tordus, les voyous et criminels ont de beaux jours devant eux. Et pour corser le tout, la Tunisie invoque un acte criminel contre son ressortissant et elle ose nous demander des comptes. Qu’elle conserve de par-devers elle ses citoyens d’abord, elle pourra parler ensuite. Verra-t-on dans les prochains jours notre Président s’excuser auprès de son homologue de Tunis ?  Ce n’est pas impossible, si l’on en croit sa propension à baisser la tête en certaines circonstances.   

16:06 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Free Speech Festival. La Lettre d’un Anglais en colère : « Rendez-vous à Londres le 13 septembre, avec Tommy Robinson ! »

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Source Breizh info cliquez ici

Le 13 septembre prochain, Londres sera le théâtre d’un rassemblement d’ampleur inédite, présenté par ses organisateurs comme une marche pour la liberté d’expression et un signal d’alarme contre l’immigration de masse. À l’appel de Tommy Robinson, des milliers — voire des centaines de milliers — de Britanniques et d’Européens sont attendus dans les rues de la capitale. Éric Zemmour a d’ailleurs confirmé sa présence, affirmant vouloir se tenir aux côtés de ceux qui refusent la submersion migratoire et la confiscation de leur parole.

Dans ce contexte, Jimmy, un Anglais, fan inconditionnel des Glasgow Rangers, rencontré récemment à Bruges par un membre de notre rédaction, a souhaité adresser une lettre ouverte aux Français et aux Européens, les appelant à se joindre à ce rendez-vous historique. Un cri d’alarme et d’unité, écrit à la première personne, que nous publions ci-dessous, en anglais et en français.

Brothers and sisters of Europe,

I am writing to you not as a politician, nor as a leader, but as a simple man of the English middle class. I was born in this land, raised in a modest family, taught to believe in hard work, honesty, and loyalty. I was taught that if you respect the rules, pay your taxes, and raise your children with discipline and love, your country will stand by you.

But today, I no longer recognize the country I was born into. The streets of our towns and cities no longer look or feel the same. Our history is being erased from classrooms. Our culture is being mocked by those who govern us. Our voices, when we dare to speak out, are silenced by fear of being called names, accused, or punished.

For fifty years, those in power have sold us out. They opened the borders, they drowned our people in debt, they laughed at our traditions, and they told us to keep quiet while they dismantled everything we inherited. Year after year, government after government, left and right alike, they have betrayed us.

And now, they dare to tell us that we are the problem. They dare to tell us that we must apologize for our history, for our culture, for our very existence. They dare to lecture us about “tolerance” while our communities collapse, while our young people cannot afford a home, while our old are abandoned, while our towns are transformed without our consent.

Enough. We have had enough.

On the 13th of September, in London, I will stand side by side with thousands of others, men and women from all walks of life, to say: we will not bow down anymore. We will not accept being treated as strangers in our own country. We will not accept that our children inherit nothing but debt, chaos, and shame.

This is not only a British struggle. It is a European struggle. What is happening in London is happening in Paris, in Brussels, in Berlin, in Rome. It is the same betrayal, the same contempt, the same destruction of our nations by people who have no loyalty to their people, only to their careers and their ideologies.

That is why I call upon you, French brothers and sisters, francophones of Europe, to join us in London on September 13th. Your presence will show that we are not isolated, that we are not alone, that there is a great family of Europeans ready to defend its future together.

We do not ask for violence. We do not ask for hatred. We ask for dignity, for courage, for unity. We ask for men and women to raise their heads and say: enough. We will take back our voice, we will take back our future, we will take back our land.

The politicians who brought us here, who wasted our money, who opened our borders, who mocked our faith and our history, must be held accountable. They must never again claim to represent us. They must be rejected, sanctioned, forgotten.

September 13th will not be the end. It will be the beginning. The beginning of a new chapter where Europeans, proud of their heritage, take the first step to stand together.

Do not stay silent. Do not stay home. Join us. London must hear the roar of Europe, the roar of those who refuse to disappear.

I will be there. Will you ?

Frères et sœurs d’Europe,

Je vous écris non pas comme un politicien, ni comme un leader, mais comme un simple Anglais issu de la classe moyenne. Je suis né dans ce pays, j’ai grandi dans une famille modeste, élevé dans le respect du travail, de l’honnêteté et de la loyauté. On m’a appris que si l’on respectait les règles, que si l’on payait ses impôts et qu’on élevait ses enfants avec discipline et amour, la patrie resterait fidèle.

Mais aujourd’hui, je ne reconnais plus mon pays. Les rues de nos villes n’ont plus le même visage. Notre histoire disparaît des manuels scolaires. Notre culture est ridiculisée par ceux qui nous gouvernent. Et nos voix, quand nous osons protester, sont réduites au silence sous les accusations et la peur.

Depuis cinquante ans, ceux qui prétendent nous représenter nous ont trahis. Ils ont ouvert les frontières, ils ont enchaîné notre peuple à la dette, ils ont méprisé nos traditions, et ils nous ont demandé de nous taire pendant qu’ils détruisaient tout ce que nous avions hérité.

Et aujourd’hui, ils osent encore nous accuser. Ils osent nous dire que nous devrions avoir honte de notre histoire, honte de notre culture, honte de nous-mêmes. Ils osent nous faire la leçon sur la “tolérance”, alors que nos communautés s’effondrent, que nos jeunes n’ont plus accès au logement, que nos anciens sont laissés pour compte, que nos villes se transforment sans notre consentement.

Ça suffit. Nous en avons assez.

Le 13 septembre, à Londres, je serai présent, comme des milliers d’autres, pour dire : nous ne nous laisserons plus faire. Nous refusons d’être traités en étrangers sur notre propre terre. Nous refusons de laisser à nos enfants pour seul héritage la dette, le désordre et la honte.

Ce combat n’est pas seulement britannique. C’est un combat européen. Ce qui se passe à Londres se passe aussi à Paris, à Bruxelles, à Berlin, à Rome. C’est la même trahison, le même mépris, la même destruction organisée par des élites sans loyauté envers leur peuple.

C’est pourquoi j’appelle nos frères et sœurs français, francophones, à nous rejoindre le 13 septembre à Londres. Votre présence montrera que nous ne sommes pas isolés, que nous ne sommes pas seuls, qu’il existe une grande famille en Europe prête à défendre son avenir.

Nous n’appelons pas à la violence. Nous n’appelons pas à la haine. Nous appelons à la dignité, au courage, à l’unité. Nous appelons à relever la tête et à dire : assez. Nous voulons reprendre notre voix, notre avenir, notre terre.

Les responsables de cette trahison — politiciens, ministres, partis complices — doivent rendre des comptes. Qu’ils ne prétendent plus jamais parler en notre nom. Qu’ils soient rejetés, sanctionnés, balayés.

Le 13 septembre ne sera pas une fin, mais un début. Le début d’un nouvel élan où les Européens conscients de leur héritage, feront le premier pas pour se tenir debout, ensemble.

Ne restez pas silencieux. Ne restez pas chez vous. Rejoignez-nous. Londres doit résonner du cri de l’Europe, le cri de ceux qui refusent de disparaître.

Moi, j’y serai. Et vous ?

09:14 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rave partys, squats, grèves, OQTF, antifas : ils s’en foutent des Français agressés

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L'éditorial de Cyrano

sur Riposte laïque d'aujourd'hui

Tous les jours, les Français découvrent des choses invraisemblables qui se passent dans leur pays, parfois depuis plusieurs décennies, sans que rien ne soit fait pour y mettre fin.

Ainsi, la rave party de l’Aude, ce week-end, au-delà de son côté provocateur et indécent, sur le champ de paysans qui ont beaucoup perdu lors des incendies récents, a-t-elle remis en avant des pratiques qui existent depuis plus de trente ans. Des bobos des villes se permettent de s’encanailler, de boire, de fumer, de se droguer, en occupant en toute impunité des terrains qui ne leur appartiennent pas, et en empêchant les villageois de dormir en leur imposant durant plusieurs nuits le bruit d’une musique de dégénérés. Alors qu’en Espagne et en Italie, le problème a été réglé depuis longtemps et que les délinquants vont en prison, en France, cela fait trente ans que l’impuissance volontaire de l’État permet à ces jeunes crétins de narguer les autorités et surtout les paysans qui travaillent. Il se trouve, et les Français ne pourront que s’en réjouir, que cette fois la colère des agriculteurs locaux a été telle qu’elle s’est exprimée contre les voitures des occupants, pas habitués à être traités de la sorte. Mais nos politicards s’en foutent totalement que des paysans voient leurs terrains squattés et détériorés.

Dans un autre registre, cela fait également une trentaine d’années que des squatteurs, au nom du droit au logement, se permettent, souvent avec la complicité d’associations parasites comme le DAL, d’occuper des maisons qui ne leur appartiennent pas, de s’y installer en changeant les serrures et de rester des mois, parfois des années, en étant protégés par les lois, et souvent en narguant les propriétaires et les autorités. Régulièrement, un député nous raconte qu’il a fait une proposition de loi et que ce problème va être résolu, mais les squatts continuent de succéder aux squatts. Le seul domaine où l’État est efficace, c’est quand il s’agit de réprimer un propriétaire qui a viré les occupants. Mais nos politicards s’en foutent totalement que des propriétaires se voient privés de la jouissance de leurs droits, et soient lourdement pénalisés financièrement, suite à cette occupation illégale. Ils sont incapables de légiférer efficacement.

Que dire des grèves à répétition qui frappent les Français, souvent dans les transports, et à l’occasion des départs en vacances ? Des syndicats, qui ont trahi les salariés, surtout ceux du privé, depuis longtemps, qui ne vivent que par la perfusion, payée par les Français, que leur offre l’État pour planquer leurs permanents, se permettent de prendre en otage à chaque départ en vacances des familles entières. Et les politicards laissent faire, alors qu’en Italie, depuis trente ans, dans les transports, le droit de grève est interdit à certaines dates, notamment lors des départs en congés. Les élus préfèrent se coucher devant les syndicats, par ailleurs immigrationnistes, que de défendre les Français des classes populaires qui ont besoin des transports en commun.

Si on parle des OQTF, c’est encore pire. D’abord, on devrait dire « expulsions » et pas « Obligation de Quitter le Territoire Français », ce serait plus clair. On sait que sur 100 demandes d’expulsion, 93 % ne sont pas exécutées, et que sur les 7 % qui se concrétisent, la moitié se déroule entre Mayotte et les Comores. Autrement dit, un étranger qui met les pieds en France est pratiquement certain d’y rester. Nos politicards s’en foutent de mettre ainsi en danger la vie des Français, l’épisode de Marseille avec un Tunisien et deux couteaux, abattu par les forces de l’ordre, n’en est qu’un exemple supplémentaire.

Enfin, à Marseille encore, les antifas, quand ils ne cassent pas les centres-villes, quand ils n’agressent pas leurs opposants politiques et les forces de l’ordre, viennent de se distinguer en collant des affiches montrant la photo et l’adresse de quatre jeunes garçons qui ont le tort de ne pas penser comme eux. Ce véritable appel au meurtre demeurera impuni, comme le sont toutes les exactions de ces miliciens, parce qu’ils font le sale boulot du régime en agressant les militants qui le dérangent le plus.

Ces quelques rappels, que nous aurions pu compléter, confirment que l’impuissance de ce qu’ils appellent l’État de Droit est une arme utilisée contre les Français des classes populaires, en leur montrant que l’État s’en fout qu’on les vole, qu’on les spolie, qu’on les prenne en otages, qu’on mette leur vie en danger, qu’on agresse leurs enfants, etc.

Pourquoi ? Pour deux raisons. Hier protecteur des Français, l’État est devenu leur pire ennemi, et les politicards qui siègent à l’Assemblée nationale (exceptés ceux du RN et quelques rares LR) sont des collabos et des traîtres, qui haïssent, surtout ceux de gauche et les macronistes, notre pays et méprisent notre peuple.

Mais on sait que quand ce peuple se réveille, comme lors du mouvement des Gilets jaunes – canal historique – alors on voit un appareil d’État très efficace, très répressif et prêt à toutes les exactions pour briser un mouvement populaire.

Donc, n’oublions jamais que cette apparente impuissance est voulue, et que si on veut que cela change, il faut se débarrasser au plus vite de ceux qui nous gouvernent depuis 50 ans…

Source Riposte laïque cliquez ici

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À Evreux, à Bordeaux, à Nice, à Toulouse, à Rouen, à Narbonne, à Troyes et à Mulhouse... ils iront « À la Reconquête de nos communes » !

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mercredi, 03 septembre 2025

Demain... la guerre civile

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Robert Spieler

David Betz est professeur de stratégie militaire au très réputé King’s College de Londres. Autant dire qu’il n’a rien d’un fantaisiste. Il vient de signer dans Military Strategy Magazine une étude des plus sérieuses décrivant comme probable le déclenchement d’une guerre civile en France ou au Royaume-Uni dans les années qui viennent, peut-être même dans les cinq ans à venir. Les deux pays pratiquent, selon lui, des politiques de défense des intérêts de groupes minoritaires au détriment de la cohésion d’un pays. Selon lui, les sociétés sont désormais “fracturées”. Voilà sa conclusion : « Les sociétés les plus instables sont celles qui sont modérément homogènes, surtout lorsqu’une majorité traditionnelle perçoit une remise en cause de son statut ou lorsqu’une minorité importante dispose des moyens de se soulever seule.»

On ne peut que songer à la France actuelle, qui fait face à une forte minorité d’allogènes conquérants. David Betz évoque des facteurs de fragilité : déconnexion des élites, stagnation économique, remise en cause de la démographie historique par l’arrivée massive d’immigrés dans les grandes villes. Il estime que la probabilité d’une guerre civile en France et au Royaume-Uni est de 19 % sur cinq ans. Cette guerre civile sera d’abord ethnique, dit David Betz, et sera aggravée par la « polarisation politique ». Il évoque les métropoles et reprend à son compte le concept de « villes sauvages » (Feral cities), de grandes métropoles dans lesquelles la police n’arrête que les honnêtes gens, où le niveau de corruption est élevé, les infrastructures publiques défaillantes, l’état de nature prêt à refaire surface. Il en déduit que les gouvernements d’Europe doivent prendre des mesures militaires de nature à faire face à cette menace qui est loin d’être marginale. Il rejoint dans cette prise de position la prophétie du conservateur bitannique Enoch Powell qui détruisit son avenir politique quand il déclara, le 20 avril 1968, que l’immigration de masse mènerait à la guerre civile, citant L’Enéide de Virgile qui voyait « la rivière du Tibre moussant de beaucoup de sang ».

Source : Rivarol  03/09/2025

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Quand le Journal du dimanche sert de révélateur

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Balbino Katz, Breizh info cliquez ici

Dimanche matin, j’ai changé mes habitudes. Après avoir déambulé au marché du Guilvinec et pris ma tranche de lard chez Jackie l’andouille, je me suis laissé tenter par une halte à la maison de la presse attiré par la une du Journal du dimanche. Il faut dire que je n’achetais jamais ce journal avant que sa rédaction ne soit renouvelée. Or, la couverture de ce numéro dominical, frappée du double visage d’Éric Zemmour et de Sarah Knafo, a suffi à piquer ma curiosité. Hebdo en main, j’ai déserté le bar de l’Océan, traversé le pont et choisi de m’installer au bar des Brisants, à la Pointe de Lechiagat. La terrasse y est minuscule, serrée contre un mur de granit, mais l’œil peut se reposer sur le port, ce qui me change des parois grises et humides de la criée du Guilvinec.

J’y ai déplié le Journal du dimanche, dont les pages larges débordaient de la petite table. Dès les premiers paragraphes de l’article d’introduction, je me suis retrouvé en terrain familier. Le texte s’ouvrait sur une formule dont la netteté frappait : « Reconquête avance sans compromis, sur une ligne assumée. » Cette affirmation condensait l’impression dominante : le parti d’Éric Zemmour, donné pour mort après l’échec relatif des européennes, a non seulement survécu mais revendique désormais toujours plus de soixante-dix mille adhérents.

Le quotidien relevait que le mouvement, loin de se dissoudre dans l’éparpillement, s’était resserré autour de son noyau initial. Une stratégie de longue haleine, adossée à une idée simple : ne pas se perdre dans le tumulte des réactions quotidiennes, mais garder un cap, quitte à paraître en retrait. Ainsi, plutôt que de se disperser dans la poussière des polémiques, Reconquête choisit de revenir avec une pensée ordonnée, adossée à des thèmes qui demeurent, identité, immigration, déclassement. Trois piliers dont l’article rappelle qu’ils avaient porté la campagne de 2022 et qui, aujourd’hui encore, continuent de résonner dans la société française.

La ligne décrite par le journal a ceci de particulier qu’elle assume son isolement. L’isolement n’est pas la marginalisation, c’est au contraire la condition de la fermeté. En refusant les compromis qui défigurent l’esprit d’un mouvement, Éric Zemmour parie sur la durée. Reconquête se construit, non comme une machine de guerre électorale éphémère, mais comme une structure de résistance à long terme. C’est le sens du mot « assumée » qui, dans l’article, vient redoubler le terme « sans compromis ».

L’analyse du Journal du dimanche rejoint ainsi une intuition que j’avais déjà formée : dans une époque où les partis traditionnels se cherchent des alliances et se perdent dans la tactique, il demeure une valeur politique, peut-être la seule encore audible, celle de la constance. Reconquête se présente comme un bloc cohérent, une citadelle d’idées plus que comme un conglomérat de candidatures. À mes yeux, cette posture rappelle qu’en politique, comme en mer, tenir le cap importe davantage que courir tous les vents.

Ce n’est qu’après avoir replié les grandes pages de l’article introductif que je me suis plongé dans l’entretien croisé d’Éric Zemmour et de Sarah Knafo. Le contraste est frappant. Là où le texte du Journal du dimanche insistait sur la ligne assumée de Reconquête, l’entretien, lui, révèle une articulation plus intime : la complémentarité d’un fondateur en stratège de long terme et d’une collaboratrice devenue sa voix quotidienne dans l’arène.

Zemmour apparaît fidèle à lui-même. Sa lecture de la crise française reste structurée par un clivage identitaire qu’il considère comme irréversible. Il dénonce une « classe politique dépassée » qui ne perçoit pas, ou feint d’ignorer, que la véritable ligne de fracture n’est plus économique mais anthropologique. Les émeutes, les actes antichrétiens, l’expression d’une haine antiblancs constituent, selon lui, le nouveau réel politique. Son diagnostic ne varie pas : la France ne pourra se relever qu’en assumant deux décisions radicales, « 100.000 places de prison et la remigration ». Il ne s’agit pas d’une provocation mais d’une exigence de cohérence : sans ces deux piliers, l’État de droit n’est plus qu’un décor creux.

À ses côtés, Sarah Knafo incarne une autre posture. Elle ne se contente pas d’appuyer le propos du fondateur : elle l’incarne au présent. Députée européenne, elle concentre son action sur les dépenses réputées intouchables, de l’aide au développement aux coûts migratoires, et elle sait transformer une analyse austère en argument politique immédiatement opérationnel. Sa formule, légère mais révélatrice, lorsqu’on lui demande si elle pourrait un jour travailler avec Gérald Darmanin, « Je serais curieuse de savoir si lui en aurait envie », résume bien sa manière : directe, acérée, où l’intelligence remplace l’agressivité.

L’entretien croisé montre ainsi le double visage d’un même projet. Zemmour, en homme de profondeur, rappelle que « la mission du scrutin est inachevée » et que la dissolution a ouvert une boîte de Pandore dont la classe politique ne sortira pas indemne. Knafo, en femme de terrain, se place dans le mouvement même des choses, attentive aux failles budgétaires, aux angles morts des institutions. Elle sait parler en chiffres, lui en concepts. De cette combinaison naît une dynamique singulière : la continuité d’un diagnostic ancien et l’adaptation aux secousses de l’actualité.

Au détour de l’entretien, une phrase concentre leur horizon : Reconquête n’a pas abandonné son objectif présidentiel. Tout converge vers 2027. Mais, ajoute Zemmour, « personne ne peut prétendre l’emporter seul ». Cette lucidité vaut aveu : l’union, jadis refusée, devient un horizon. Knafo le dit autrement : « L’union est un horizon, pas un préalable. Chaque chose en son temps. » Ce décalage de ton illustre bien leur tandem. Lui campe le stratège qui pense la durée, elle manie le tempo, ménage l’avenir.

Ce qui frappe enfin, c’est la constance d’une même conviction. Reconquête ne se définit pas comme un parti ordinaire. Il fonctionne comme un bloc de résistance, une citadelle idéologique. En cela, la cohérence entre l’article introductif et l’entretien est totale : qu’il s’agisse d’analyses longues ou de piques rapides, le parti avance « sans compromis, sur une ligne assumée ».

Après avoir parcouru l’entretien croisé d’Éric Zemmour et de Sarah Knafo, je n’y ai pas seulement vu la parole d’un chef et de son bras droit, mais bien la manifestation d’un couple politique. Couple entendu dans son sens noble : une polarité entre l’idée et l’action, le cap et la tactique, l’axe de la durée et la pointe de l’instant.

L’histoire, en vérité, regorge de ces duos homme-femme qui ont marqué les peuples. Comment ne pas songer à Périclès et Aspasie, où la compagne du stratège athénien, loin de se contenter d’un rôle d’ornement, fut conseillère, médiatrice, inspiratrice ? La cité antique sut reconnaître que derrière la gloire des discours se cachait parfois la clarté d’un regard féminin.

À l’époque moderne, l’exemple le plus frappant reste celui de Juan et Eva Perón. Lui, général au verbe martial, dessinait une doctrine national-populaire ; elle, née dans la pauvreté, donnait chair et souffle à cette vision, portant la cause ouvrière et féminine dans les rues de Buenos Aires. Ensemble, ils formaient plus qu’un gouvernement : un mythe, une incarnation collective. Zemmour et Knafo ne sont certes pas Perón et Evita, mais l’analogie s’impose, au moins dans le partage des rôles. Lui campe la pensée, elle ouvre la brèche dans le réel.

On pourrait encore rappeler le couple formé par Philippe II et Isabelle de Valois, où la reine, par son intelligence discrète, sut apaiser la rudesse castillane. Ou, plus près de nous, François Mitterrand et Anne Pingeot, dont l’influence fut moins politique qu’intellectuelle, mais qui contribua à maintenir chez l’homme de l’Élysée un rapport vivant avec la culture et la poésie. À chaque fois, c’est la même constante : l’homme fixe la ligne, la femme l’incarne, l’adoucit, la rend audible.

Dans l’entretien du Journal du dimanche, Zemmour reprend les thèmes qu’il martèle depuis vingt ans : l’identité comme clivage suprême, la nécessité de restaurer l’autorité par 100.000 places de prison et la remigration. Sarah Knafo, elle, répond sur le terrain des chiffres, des finances, des marges. Là où lui parle en termes de civilisation et de destin national, elle sait ramener la question à une équation budgétaire ou à un arbitrage administratif. Lui pose des principes comme des colonnes de marbre, elle manie les formules rapides, incisives, qui passent aisément la rampe médiatique. Cette différence de registre fait leur complémentarité : il fixe les lignes de force, elle plante les épingles dans le réel… et fait mal.

Lorsque j’ai terminé la lecture de l’entretien, une question m’est revenue avec insistance : comment expliquer que Reconquête, donné pour mort après son échec électoral et le départ de Marion Maréchal, se retrouve toujours à la une, au centre d’un débat qu’il ne domine pourtant pas dans les urnes ? La réponse tient dans un mot que nos contemporains redoutent : la constance.

Zemmour et Knafo n’ont jamais varié. Là où la majorité présidentielle se noie dans l’impuissance budgétaire, là où le Rassemblement national, sous la houlette du sinistre Jean-Philippe Tanguy, renonce peu à peu à ses fondamentaux pour se donner des airs de parti de gouvernement, Reconquête demeure fidèle à son analyse et à ses solutions. Qu’il s’agisse d’immigration, de bureaucratie ou d’assistanat, les trois thèmes majeurs sont inlassablement rappelés, repris, reformulés dans leurs interventions publiques. Ce n’est pas une innovation permanente, c’est une répétition obstinée, mais cette répétition elle-même produit une forme de force.

On pourrait croire qu’une telle fixité condamne à l’isolement. C’est l’inverse qui se produit. Car dans un univers politique où tout le monde ajuste son discours aux sondages, la fidélité à une ligne ferme devient une rareté, donc une valeur. Chaque apparition médiatique d’Éric Zemmour ou de Sarah Knafo, chaque prise de parole dans un débat ou une émission, devient un rendez-vous attendu. Les audiences suivent, les réactions abondent. C’est cette résonance, plus que les chiffres électoraux, qui explique leur pertinence.

La question n’est donc pas de savoir pourquoi Reconquête existe encore, mais plutôt pourquoi il demeure visible. La réponse est simple : dans un océan de reniements, il reste seul à tenir la barre. Là où la droite traditionnelle se dissout dans des alliances et des accommodements, là où le centre se perd dans une gestion comptable incapable de réduire les déficits, Reconquête, lui, campe sur ses positions. Cette constance rend chaque mot reconnaissable, chaque phrase immédiatement attribuable. C’est une rareté dans une époque où les partis ne sont plus que des laboratoires de communication à la remorque des sondages et des commentaires de Libération ou de Mediapart.

Il faut replacer cette singularité dans une perspective plus large. Les civilisations, écrivait Spengler, ne s’effondrent pas faute d’ennemis mais faute de volonté. Ce qui distingue les courants décisifs dans l’histoire, ce ne sont pas leurs majorités, toujours fluctuantes, mais leur capacité à maintenir un noyau de conviction inébranlable. Les majorités molles se dispersent, les minorités ardentes survivent et finissent, tôt ou tard, par imposer leur vision. Reconquête se présente aujourd’hui comme une de ces minorités.

Cette vérité se vérifie à toutes les époques. Dans l’Empire romain décadent, c’est une secte marginale, obstinée dans sa foi, qui finit par renverser le monde antique. Au XVIIe siècle, en Angleterre, les puritains, minoritaires et souvent méprisés, parvinrent à transformer en profondeur la société et à donner naissance à une éthique qui allait modeler l’Amérique. En Allemagne, au XIXe siècle, des cercles restreints, que l’on songe aux frères Grimm ou à l’école historique de droit, imposèrent une vision culturelle et politique qui pesa davantage que des assemblées entières.

Reconquête s’inscrit dans cette logique. Minoritaire, mais ferme. Isolé, mais cohérent. Et cette cohérence, en dépit des défaites électorales, attire à elle l’attention médiatique. Car le vide appelle la substance. Dans un paysage politique saturé de relativisme, la voix qui dit toujours la même chose, avec la même vigueur, devient l’unique point fixe. Zemmour incarne la ligne, Knafo incarne le rythme. L’un parle l’histoire longue, l’autre répond à l’actualité immédiate. Ensemble, ils forment une polarité qui ne se confond avec aucune autre.

La couverture du Journal du dimanche consacre ce paradoxe. Elle montre que Reconquête, bien que marginalisé dans les urnes, est central dans l’imaginaire politique. Et cela n’a rien d’un accident : c’est le fruit de la constance, ce vieil habit de ceux qui savent que l’Histoire ne se fait pas avec les reniements, mais avec les fidélités. L’entretien révèle une vérité qu’il faut oser formuler : Reconquête n’est pas pertinent malgré son échec, il est pertinent à cause de son refus de l’adaptation. Sa faiblesse électorale, en le contraignant à se replier sur l’essentiel, l’a paradoxalement rendu plus pur, plus tranchant, plus lisible.

Et cela, les journalistes le sentent, parfois confusément. Car dans ce temps de dissolution, où les majorités sont incapables de trancher et où les dirigeants naviguent à vue, voir surgir un discours qui ne dévie pas, qui se répète et s’affirme sans trembler, est en soi un événement. C’est pourquoi, malgré les chiffres et les sondages, Zemmour et Knafo demeurent au centre. Non pas par la force du nombre, mais par la force de la constance. Et si l’Histoire devait se remettre en marche, ce sont souvent ces minorités intransigeantes qui, de l’ombre, dictent la suite.

On touche ici à une dimension plus philosophique encore. Heidegger, dans ses méditations sur l’époque moderne, affirmait que la véritable tâche de l’homme n’était pas de courir après les nouveautés mais de « tenir dans l’être », de rester debout lorsque tout vacille. Ce qu’il appelait la constance dans l’éclaircie est exactement ce que Reconquête semble incarner. Là où les autres partis ajustent leurs discours comme on ajuste une voile au vent, Zemmour et Knafo répètent leur vérité, même lorsqu’elle paraît inaudible. En cela, ils manifestent une forme de fidélité à l’être politique lui-même : être, c’est persister dans une identité, non se diluer dans l’air du temps.

Ainsi se comprend le paradoxe de leur présence : faibles électoralement, mais centraux dans l’ordre symbolique. La politique, en ce début de siècle, n’est plus seulement affaire de sièges et de pourcentages. Elle est, plus profondément, lutte pour maintenir une parole ferme dans un univers qui se défait. Reconquête, par son entêtement, par sa constance, par son refus de céder, joue ce rôle. Et c’est pourquoi, à travers Zemmour et Knafo, la France se découvre encore une voix qui ne renonce pas.

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Samedi 6 et dimanche 7 septembre, à Chiré-en-Montreuil (86) : le programme des 55es Journées chouannes

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François-Xavier d'Hautefeuille, directeur de Chiré

Vous êtes tous invités à participer aux 55ᵉˢ Journées Chouannes qui se dérouleront à Chiré-en-Montreuil (86 - Vienne) au sein de notre propriété, les 6 et 7 septembre 2025.

Nous aurons le privilège d'accueillir plus de 100 auteurs ainsi qu'une quinzaine de conférenciers qui partageront avec vous leur passion et leur analyse. De plus, une vingtaine d'associations et d'exposants seront présents pour présenter leurs activités. Venez les découvrir !

Dans un monde de plus en plus virtuel, où l’écran est le premier ennemi, tant pour nos cerveaux que pour nos relations humaines, il est essentiel de se rencontrer, se retrouver, échanger et renforcer les liens qui nous unissent. Les Journées Chouannes en sont, sans aucun doute, la meilleure opportunité. Venez donc partager notre amour commun pour le combat des idées et pour les livres, seul rempart contre la décadence !

N'hésitez pas à partager cet événement avec vos amis et votre famille pour leur permettre de vivre eux aussi cette expérience inoubliable. »

Le programme des

Journées chouannes 2025 cliquez ici

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Michel Festivi, Roland Hélie et notre ami chouan, l'an dernier, sur le stand de Synthèse nationale, à Chiré.

mardi, 02 septembre 2025

La France s’effondre… et Macron joue aux chaises musicales. MACRON : DÉMISSION !

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Un communiqué de Reconquête !

• Hôpitaux saturés. Écoles abandonnées. Policiers à bout de souffle.
• Frontières éventrées. Identité bafouée. Insécurité généralisée.
• Inflation galopante. Petits salaires. Impôts écrasants.

Et pendant ce temps-là… Macron s’amuse à changer de Premier ministre. Encore.

Un an, deux remplaçants, bientôt un troisième ? Comme si le problème, c’était le fauteuil.  Pas celui qui s’y assoit…

Les Français n’en peuvent plus de subir. Ils n’en peuvent plus d’être méprisés, taxés, trahis. Ils n’attendent plus un énième remaniement, une énième dissolution. Ils attendent un sursaut. Et ce sursaut commence par un mot : DÉMISSION !

Signez la pétition pour demander la démission immédiate d’Emmanuel Macron.

La France mérite mieux. Et elle mérite de choisir à nouveau son destin.

• Michel Barnier a été nommé sans légitimité populaire et n’a rien fait : ni baisse de dépenses, ni réformes, ni résultats.
• François Bayrou a été tout aussi inefficace : il a bloqué la France, sans avoir agi !

Ces deux Premier ministres ne laissent rien, mais empochent des retraites. C’est scandaleux !

La France est aujourd’hui ingouvernable : coupée en 3 blocs politiques qui ne peuvent ni s’unir, ni gouverner ensemble… Macron ne tient même pas sa majorité et change de Premier ministre comme de chemise, sans solution de fond. Et qui paie l’addition ? Les Français.

Macron n’a plus aucune légitimité : déjà en 2022, il a évité le débat présidentiel et a abusé du contexte international pour escamoter toute vraie confrontation. Résultat ? La présidentielle n’a rien tranché : il est resté, le système s’est bloqué et la France, elle, s’enfonce.

Ça suffit ! Il est temps de reprendre le pouvoir et de réconcilier les Français avec la politique. La seule solution viable, c’est une nouvelle élection présidentielle.

MACRON DÉMISSION !

Signez la pétition cliquez ici

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Socialisme et rentrée des classes

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Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez ici

Ces jours-ci parents comme grands parents français pensent d’abord à la rentrée des classes. Si on ne parle certes plus de chères têtes blondes, cette préoccupation demeure notre priorité légitime.

Or, dans la même période, beaucoup de choses bougent non seulement en France même, mais dans le monde entier. Nous allons ainsi très bientôt pouvoir mesurer les suites de la réunion internationale qui s’est tenue Tientsin, les 31 août et 1er septembre. Non seulement les « suspects habituels » mais même le président indien Narendra Modi comme son homologue turc Erdogan s’y sont posés clairement en adversaires de l’occident, 21 pays semblent désormais alignés sur la puissance chinoise.

Or, dans un tel contexte, pour revenir à Paris, l’instabilité et la fragilité gouvernementales y sont devenues telles, sous la présidence erratique d’Emmanuel Macron, que ce chaos menace la crédibilité financière du pays lui-même. Le vote de confiance prévu le 8 septembre sera a suivi des évaluations des agences de notation à partir du 12…

Hélas, si beaucoup de paramètres sont devenus mouvants voire illisibles, une chose paraît véritablement certaine et constante : la nuisance du socialisme, alternativement officiel ou rampant, dominant en France depuis bientôt un demi-siècle. Et c’est bien par l’école étatique, républicaine, laïque et obligatoire qu’a été infusé, classe d’âge par classe d’âge, ce venin culturellement soixante-huitard, théoriquement égalitaire et pratiquement déconstructeur.

S’adressant aux lecteurs du Figaro ce 1er septembre, Vincent Trémolet de Villers pouvait ainsi consacrer son éditorial à ce qu’il nomme « le socialisme, ce mal français ».

On ne peut certes que souscrire à son analyse quand il souligne d’entrée : « En pleine crise politique et financière, notre pays n’a pas besoin d’un socialisme de gouvernement … »

Il pense manifestement à l’hypothèse, qu’il dénonce, où le président de la république nommerait comme premier ministre, une fois la censure votée, un membre du PS.

Or, écrit-il, « les grandes dates du déclassement français sont toutes socialistes… Mitterrand et la retraite à 60 ans, Jospin et les 35 heures, François Hollande et la fin de la politique familiale, début de notre déclin démographique qui menace directement l’équilibre de notre système social. »

On pourrait cependant ajouter à ces « grandes dates », d’autres législations imposées, elles, par des majorités en principe concurrentes et par leurs équipes technocratiques, par exemple le plan Juppé de 1995-1996, responsable majeur de la pénurie sanitaire, ou la « réforme Haby » de 1975, point de départ de la dégringolade stupéfiante de l’école étatique. Certes les ministres officiellement socialistes, tel Jospin, en ont rajouté une couche mais le résultat global est là : il ne faut plus penser seulement à l’effondrement de l’école, mais à la décadence par l’école. En 1985 Chevènement, ministre de l'Éducation Nationale, lançait l'objectif de mener 80 % d'une classe d'âge au baccalauréat, sans doute n’imaginait-il pas que ce diplôme d’État allait perdre, en 40 ans, 90 % de sa valeur.

Vincent Trémolet de Villers fait aussi remarquer, à très juste titre, la nature socialiste de ce que l’on peut considérer comme l’État profond. « Le socialisme, écrit-il, est un nain électoral, mais, dans les sphères du pouvoir, c’est un géant. Socialiste, la présidence du Conseil constitutionnel  ; socialiste, la présidence de la Cour des comptes ; socialiste, la présidence de la section du contentieux du Conseil d’État  ; socialiste, la présidence de l’Arcom  ; socialistes, les nominations discrètes et multiples des hauts fonctionnaires aux postes clés de l’administration. Socialiste, notre ministre de l’Économie  ; bêtement socialiste, Élisabeth Borne… »

Mme Borne comme Éric Lombard en effet, comme Gabriel Attal comme la plupart de ceux que l’on nous désigne comme macroniens, comme Macron lui-même, viennent des rangs du PS où ils officiaient en qualité de deuxièmes couteaux.

Mme Borne pouvait bien déplorer, sur RTL le 1er septembre, « l'équivalent de 2 500 professeurs manquants », rien ne changera sous son ministère fragile au déclin global de l’enseignement public français, à la dévalorisation du métier et à la fuite des élites.

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Sarah Knafo était ce matin sur Europe 1 et C-news

 

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Un boomer bashing écrit...

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Le boomer bashing RMB 

MAINTENANT ! Grâce au Premier ministre de ce jour (août 2025) et définitivement, je sais que je suis un boomer bashing, génération en voie d’extinction, qui va servir de bouc émissaire aux problèmes générés par d’autres. Nous., les boomers bashing, pouvons raconter notre histoire, nos efforts et aussi la conjoncture de la sortie de la Deuxième Guerre, de l’histoire humaine, économique de notre génération, d’avoir généré un bien-être qui n’existait pratiquement pas jusqu’aux années soixante, nous sommes les grands responsables de ce qui se passe aujourd’hui. Il faut dire que depuis la disparition du président Pompidou, la classe politique n’a pas été brillante. Pourtant, c’est exclusivement de la faute de ces boomers bashing. Permettez, à ces derniers, d’avoir encore la liberté et le peu de temps qui nous restent pour vous présenter quelques sujets issus de nos pures élucubrations pour ne pas dire divagation, comme certains doivent le penser… Voici le premier :

L’eau … l’argent !

Quand je pense à l’argent, je ne peux m’empêcher de rapprocher cela à l’argent liquide qui bientôt ne sera plus d’actualité. Quand je vois les gens régler une baguette de pain avec une carte de crédit, il me semble que nous sommes tombés bien bas et qu’avec ce moyen de paiement, votre liberté est de plus en plus restreinte. Bien entendu, je compare l’argent liquide à l’eau.

Dans la nature, l’eau a une place plus prépondérante que l’argent. Pourtant, j’aime cet argent que je conserve dans mon coffre, dans celui de mon compte en banque et heureusement je ne suis pas l’Harpagon de Molière, je ne le contemple pas avec amour. Je connais des gens qui se feraient tuer pour leur trésor, ils sont prêts à détruire toute leur famille pour leur or. Souvenez-vous de Louis de Funès dans  l’excellent et très amusant film La folie des grandeurs (1971) : « - Monsignor, il est l’or, l’or de se réveiller … il est huit or … »  

Quelle est la place de l’argent dans la société actuelle et aussi dans ma vie ? Chaque matin, j’ai l’habitude d’allumer la radio et, immanquablement, la surenchère des prix à la baisse s’égrène. C’est à celui qui fera sa prestation, son produit moins cher que le voisin et cerise sur le gâteau (à bas prix) si vous trouvez moins cher chez le voisin : on vous rembourse ! Ils nous prennent vraiment pour des pigeons.

Je suis un boomer bashing, étant né en 1946. C’est vrai, j’ai profité depuis ma naissance, de tous les avantages du boom économique de l’après-guerre. Beaucoup oublie qu’une grande partie des bébés boomer ont travaillé toute leur vie et souvent très jeune, personnellement j’avais 16 ans et demi. Il n’était pas question de fainéanter. À bord des navires, c’étaient souvent 12h00 par jour de travail en mer sans parler des heures supplémentaires à n’importe quels moments de la nuit pour assurer les manœuvres et les opérations commerciales.

C’était l’ère de la méritocratie et on ne pouvait avoir un diplôme sans savoir lire, écrire et compter. Aujourd’hui, combien des 80 % de bacheliers maîtrisent-ils parfaitement la langue française ? Ce que nous avons accumulé matériellement parlant, nous l’avons gagné par notre travail, mais je reconnais que la conjoncture était très favorable, après cette désastreuse guerre.

En cette fin du mois d’août 2025, la tentation est grande pour une poignée de femmes et d’hommes de guerroyer, de tout détruire pour reconstruire à leur avantage politique et aussi personnel. À quoi servaient les bombardements de la dernière guerre sur des villes comme Royan, Saint-Malo ? Souvent, en évitant le plus possible les zones dites économiques ? Relisez l’histoire de la dernière guerre et déterminez à qui profitait le « crime » de tuer des innocents ?

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Un génocide à Gaza ? Une vaste entreprise de désinformation

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Michel Festivi

Nous sommes en train d’assister en direct, à l’une des plus grandes entreprises de désinformation de ces dernières années, celle qui est de prétendre qu’il existerait un « génocide » à Gaza du fait de l’Armée israélienne. Cette manipulation à grande échelle s’appuie sur plusieurs organisations. L’ONU et ses dérivées tout d’abord, qui depuis des lustres ont toujours privilégié les États plus ou moins totalitaires. Une partie du gouvernement français, dont en premier lieu le Président et son ministre des Affaires étrangères, qui ont multiplié les paroles assassines envers ceux qui défendent à 1 contre 10.000, l’intégrité de leur territoire, leur nation et leurs ressortissants menacés de destruction en permanence (La Palestine du Jourdain à la mer). Les institutions européennes toujours promptes à emprunter le chemin de l’islamisme, comme l’ont prouvé toutes ses campagnes publicitaires, qui sont financées avec l’argent du contribuable. Les universités totalement dominées par le gauchisme le plus exacerbé teinté d’islamisme militant (une université belge va baptiser sa promotion du patronyme d’une militante active pro-Hamas). Les exemples pourraient se décliner à l’infini. Même les Églises prennent fait et cause pour ceux qui de par le monde tuent des chrétiens, notamment en Orient et en Afrique (Un évêque espagnol va se joindre à la flottille « pour Gaza »). 

Le tout, grâce aux déclarations de plusieurs « idiots utiles », tous satisfaits de sortir de leur naphtaline dans laquelle leurs sempiternelles déclarations islamogauchistes les avaient rejetés provisoirement. Chez nous, LFI et la gauche continuent ce travail de sape de longue haleine, avec la complicité de nombreux hommes politiques ignorants voire stupides. (Qui a appelé à voter pour LFI pour faire un barrage républicain ? poser la question c’est y répondre).

Car contrairement à certains ministres de son gouvernement, Benjamin Netanyahou a clairement déclaré qu’il n’entendait pas occuper Gaza : « Je veux que Tsahal expulse définitivement le Hamas et prenne le contrôle de Gaza, sans l’administrer, et qu’il la remette à un gouvernement civil dès que possible » (Fox News le 7 août 2025). À cet égard, si l’autorité palestinienne n’avait pas totalement failli dans sa mission de protéger son peuple, les Palestiniens n’en seraient pas là. D’où les déclarations totalement inconséquentes et irréalistes d’Emmanuel Macron de vouloir reconnaître un « État palestinien » qui resterait terroriste, tant que le Hamas ne serait pas chassé par les palestiniens eux-mêmes. État palestinien toujours dominé par les tueurs du 7 octobre. En Espagne, le gouvernement socialo-communiste-séparatiste de Pedro Sanchez a reconnu « un État palestinien ».

Car souvenons-nous qu’Ariel Sharon avait dans la douleur, abandonné Gaza en 2005, pensant naïvement que l’autorité palestinienne la gérerait au mieux, or Gaza a été livrée aux mains sanglantes des islamistes et du Hamas, les colons juifs furent chassés de Gaza par leur propre gouvernement, et l’on connait la suite. Et le malheureux Liban, Suisse du Moyen-Orient jusqu’en 1975, grâce à un équilibre précaire dû en grande partie aux chrétiens, qui fut ravagé par l’invasion palestinienne, alors que des dizaines de pays arabes pouvaient les accueillir. Depuis lors le Liban est sous la coupe du Hezbollah, même s’il tente actuellement de s’en défaire.

On m’objectera que les gouvernements israéliens ont commis par le passé des erreurs d’appréciation et de stratégies. C’est fort possible, c’est même certain, mais cela n’entache nullement le fait qu’aujourd’hui, cet État, ce peuple, ce gouvernement font le boulot que bon nombre de pays occidentaux ne font pas ou n’ont pas osé faire contre le Hamas, le Hezbollah, les Houthis, les gardiens de la révolution en Iran. Et ne me dites pas que cela ne regarde pas la France, car nous sommes nous aussi visés et en première ligne, il suffit d’examiner les votes de certaines zones de non droit, à cet égard les municipales de 2026 seront éclairantes. Qui est venu à Paris en 2015 nous soutenir après les attentats du Bataclan et de l’Hyper casher ?

Aujourd’hui, grâce à l’action combinée des USA et d’Israël, des centaines de camions véhiculant nourritures et denrées diverses, franchissent les points de contrôles et livrent leurs cargaisons de vivres et de médicaments dans la bande de Gaza. Pendant plusieurs années, les agences onusiennes chargées de distribuer cette aide, n’ont jamais pu ou voulu empêcher leurs pillages par le Hamas, qui en a profité militairement et politiquement. Tout le monde le savait, mais personne ne le dénonçait. Comme personne ne parle de l’accord passé entre Israël et Abou Dhabi, pour que des centaines d’enfants palestiniens souffrant de maladies très graves, puissent être hospitalisés dans ce pays.

Car un « génocide » nécessite un plan concerté d’élimination et d’extermination, ce qui n’est nullement le cas de Gaza. Invoquer un « génocide » à Gaza c’est injurier les victimes des génocides. Les Vendéens qui furent méthodiquement et organiquement massacrés par les troupes infernales des envoyés en mission de la sinistre Convention entre 1793 et 1794 avec des ordres précis d’extermination comme l’a démontré Reynald Secher ; les Arméniens chrétiens qui furent sciemment anéantis par les Turcs islamisés en 1915 et cela continue aujourd’hui à la frontière de l’Azerbaïdjan ; les Russes opposants à Lénine dont près de 2 millions moururent de la faim organisée en 1921, et les 5 millions d’Ukrainiens qui périrent entre 1932 et 1933 sous le couvert d’une pénurie voulue et mise en œuvre par Staline, ce que l’on a dénommé l’Holodomor, sans parler de la Shoah des nazis, parfaitement documentée. Et les 40 millions de Chinois décimés idéologiquement par le pouvoir maoïste, où les 2 à 3 millions de Cambodgiens qui sous Pol Pot furent liquidés car ils portaient des lunettes ou n'avaient pas les mains calleuses, tout cela au nom « des lendemains qui chantent », ce que les communistes « français » se refusent toujours à reconnaître, comme l’ont prouvé leurs récentes déclarations, demandant des preuves pour les 100 millions de morts que cette idéologie a engendré.

Invoquer un « génocide » à Gaza, c’est faire le jeu de Rima Hassan et de ses mensonges, c’est s’allier indirectement avec LFI et ses soutiens, c’est participer à l’une des plus vastes entreprises de contrevérité et de manipulations de ces dernières années. Posons-nous la seule question qui vaille : qui soutient les Palestiniens du Hamas ? Qui les combat ? tout le reste n’est que vaine littérature. Dis-moi qui te soutiens, je te dirai qui tu es.   

 

NDLR SN : Cet article de notre ami Michel Festivi exprime un point de vue répandu, et sans doute compréhensible, au sein de notre famille d'idées mais qui, toutefois, ne fait pas l'unanimité. Il convient donc, dans un souci de "synthèse", d'amener les précisions suivantes :

• le problème, au Proche-Orient, ne remonte pas au 7 octobre 2023, mais aux suites du dernier conflit mondial. La création de l'État d'Israël, en 1948, ne pouvait qu'engendrer une situation inextricable.

• Mettre deux peuples sur une même terre, où que ce soit, ne fonctionne jamais. Surtout, lorsque ces deux peuples revendiquent l'antériorité. 

• La situation dans le monde arabe a, depuis une trentaine d'années, profondément changé. Aux États laïques et baasistes de la fin du siècle dernier se sont substitués des régimes islamiques dont la doctrine et les objectifs ne sont plus, loin s'en faut, les mêmes que ceux de leurs prédécesseurs. Rappelons à ce sujet que l'Amérique et l'Europe portent une large part de responsabilité dans ces bouleversements.

• Les Palestiniens, comme les Israéliens, veulent un État souverain. On ne peut le leur reprocher. Le problème, c'est les uns et les autres veulent rester sur la même terre qu'ils revendiquent comme étant la leur. D'où les guerres qui, de manière récurrente, secouent la région depuis 1948. 

• L'installation, dans la bande de Gaza d'un régime islamiste contrôlé par le Hamas et n'hésitant pas à recourir au terrorisme n'arrange rien. D'autant que les autorités israéliennes ont l'habitude de répondre au coup par coup, de manière parfois disproportionnée, aux attaques dont leur pays est l'objet.

Nous vous le disions, la situation est loin d'être réglée...

Mais ici, nous ne sommes pas au Proche-Orient, nous sommes en France. Il y a quelques années, dans un numéro de Synthèse nationale (n°12, février 2009) nous disions "Ni Hamas, ni Tsahal, cette guerre n'est pas la nôtre" cliquez ici. Fondamentalement, notre avis n'a pas changé. Le problème, c'est qu'entre-temps, le nombre de musulmans sur notre sol s'est accru et que, dès lors, le conflit israélo-palestinien s'invite sur notre sol d'une façon de plus en plus évidente. Cela, nous ne pouvons l'ignorer. Le vrai problème, c'est la confrontation de cultures différentes sur une même terre.

Alors, dès maintenant, au lieu de nous polariser sur ce conflit, faisons en sorte que les Français et les Européens ne soient pas obligés, dans un avenir plus ou moins lointain, de se soumettre à une civilisation conquérante qui n'est pas la nôtre !  

R H

  

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lundi, 01 septembre 2025

Le discours de rentrée d'Eric Zemmour à l'UDT de Reconquête à Orange

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19:13 Publié dans Eric Zemmour | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 13 septembre : création de la bannière Terre & peuple Touraine - Poitou - Anjou

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19:09 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mercredi 17 septembre, à Paris : un hommage à Jean Parvulesco

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Source Eléments

Jean Parvulesco (1928-2010) est l’auteur d’une œuvre à nulle autre pareille – mystique, géopolitique, visionnaire – loin du roman psychologique ou du récit réaliste. Chez lui, l’écriture n’est pas un art, mais une opération alchimique, un outil de transmutation du réel et d’appel à l’Être. Il écrit au noir, mais pour faire lever un soleil d’après les ténèbres. Ses romans, ses poèmes, ses articles ne racontent rien – ils opèrent. Leur but ? Renouer les fils déchirés entre le visible et l’invisible, dans l’espoir fou d’une re-sacralisation du monde. Une littérature de combat ontologique adressée aux veilleurs.

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Jean Parvulesco acteur....

19:01 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 31 août 2025

Université d'été de Reconquête à Orange : le discours de Sarah Knafo

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23:53 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le tableau noir de l’école

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Madame Borne est une caricature de ce que la haute administration produit : une parole de techno dans un corps de robot. On cherche ce qu’elle a dit après qu’elle a parlé. Les syndicats gangrènent le système. La bureaucratie mine le quotidien. L’égalitarisme abaisse le niveau. L’immigration massive crée de nouvelles demandes. L’islamisme frappe à la porte des établissements. Pascal Praud dézingue à sa manière – forte – cette école devenue une fabrique de crétins et dont Madame Elisabeth Borne, éminente technocrate, est le symbole en sa qualité de ministre.

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Source : Le Journal du dimanche 31/8/2025

08:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"Jean-Marie Le Pen à l'extrême", un documentaire en trois parties diffusé par Public Sénat

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Samedi soir, sur la chaîne Public Sénat, était diffusée la série en trois parties du documentaire intitulé "Jean-Marie Le Pen, à l'extrême".

Si certains commentaires apparaissent comme étant tendancieux et discutables, force est de reconnaître que l'ensemble se singularise par rapport aux diatribes classiques et que la vie et la carrière du Menhir sont relatées de manière assez factuelles et même apaisées.

Pour faire simple : nous avons été habitués à pire...

Vous pourrez voir, ou revoir, ces trois films : premier épisode cliquez ici, deuxième épisode cliquez ici et troisième épisode cliquez là  

Pour mieux connaître l'Histoire du Front national et de Jean-Marie Le Pen, nous vous proposons quelques ouvrages indispensables :

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Le n°15 de Pour un Ordre nouveau (oct. 1972)

annonçant la création du Front national

Pour le commander cliquez ici

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Le n°29 des Cahiers d'Histoire du nationalisme

consacré à Jean-Marie Le Pen

Pour le commander cliquez ici

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Le n°24 des Cahiers d'Histoire du nationalisme

consacré au Front national

Pour le commander cliquez ici

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Le n°15 des Cahiers d'Histoire du nationalisme

consacré à Jean-Pierre Stirbois

Pour le commander cliquez ici

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Le n°2 des Cahiers d'Histoire du nationalisme

consacré à François Duprat

Pour le commander cliquez ici

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Carl Lang raconte son engagement

auprès de Jean-Marie Le Pen

Pour le commander cliquez là 

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Un livre d'entretiens avec Roger Holeindre.

Pour le commander cliquez là

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Le livre de témoignages sur Ordre nouveau,

à l'origine du Front national 

Pour le commander cliquez ici

00:32 Publié dans Jean-Marie Le Pen, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 30 août 2025

ÇA VA SANS DIRE, MAIS ÇA VA MIEUX EN LE DISANT...

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Un candidat de Reconquête ! à l'élection partielle de Paris

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Un communiqué de Éric Zemmour :
 
Dans la deuxième circonscription de Paris, les Parisiens pourront bel et bien voter pour un candidat de droite.
 
J’ai décidé d’investir Hilaire Bouyé, président de Génération Zemmour, pour les législatives partielle du 21 et 28 septembre.
 
Face à LR, alliés de la macronie, et la gauche, il incarnera les idées de Reconquête, celles d’une droite soucieuse de notre liberté économique et de notre sécurité.
 
Hilaire, tu peux compter sur tout Reconquête !
 
NDLR SN : après l'annonce de la candidature d'Alexandre Simonot du Parti de la France cliquez ici, cela fera donc deux candidats de la droite nationale et identitaire à cette élection. Ajoutez à cela une probable candidature mariniste... Le côté négatif, c'est la division, et le côté positif, c'est que cela permet peut-être de ratisser plus large. On se console comme on peut....

13:53 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vénissieux, de la Marche des Beurs à l’exaltation d’une terroriste FLN

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Le Nouveau Présent cliquez ici

Du 12 au 14 septembre, la Fête de L’Huma n’accueillera pas seulement une kyrielle d’artistes ou supposés tels comme le célèbre rappeur martiniquais Kalash (tout un programme), maintes fois condamné pour rébellion et outrages à des agents de la force publique ainsi que détention d’armes, mais aussi, trois jours durant, des colloques sur ou plutôt contre l’extrême droite. Seul danger menaçant comme on sait la paix et la cohésion nationales.

En apéritif à ces festivités, la mairie communiste de Vénissieux a cru bon d’inaugurer le 26 août aux Minguettes un équipement pluridisciplinaire au nom d’Annie Steiner. Qui est cette dame ? « Un symbole positif, parfaitement légitime, et courageux. Bien qu’elle fût d’origine européenne, Annie Steiner avait constaté la misère du pays et des Algériens, ceux qu’on appelait les musulmans » et avait tenté de son mieux de les aider, estime Gilles Manceron, historien spécialiste de l’idéologie coloniale française, ancien rédacteur en chef de la revue de la Ligue des droits de l’homme. Les aider non pas en organisant des soupes populaires et des cours du soir, comme une vulgaire dame patronnesse, mais en participant activement aux terribles attentats à la bombe multipliés dans les années 1956-57 par le FLN dans les stades, les autobus ou les cafés algérois. Attentats où périrent des dizaines de civils, qui firent des centaines de blessés et d’amputés et conduisirent l’armée à mener sa « bataille d’Alger ». Et la justice à condamner Mme Steiner — elle-même native d’Alger, donc renégate — pour sa participation à l’organisation de certains de ces attentats à la bombe.

L’hommage rendu à une criminelle patentée a fait tiquer la préfecture du Rhône qui a déploré le « choix extrêmement contestable de valoriser le nom d’une Française militante du Front de Libération Nationale, complice, à l’époque, de la lutte armée », choix « de nature à diviser nos concitoyens »et qui,au surplus, « va à l’encontre de l’esprit qui a guidé à la création de ce nouvel outil de cohésion sociale et d’échange intergénérationnel qu’est équipement pluridisciplinaire au service des habitants de Vénissieux ».

Il reste toutefois bien peu de « nos concitoyens » à Vénissieux, troisième ville la plus peuplée du Rhône, et notamment dans le quartier des Minguettes d’où s’ébranla le 15 octobre 1983 la tant célébrée Marche pour l’égalité et contre le racisme, dite Marche des Beurs, s’achevant le 3 décembre à Paris par un défilé qui réunit plus de 100 000 personnes et à l’issue duquel une délégation fut reçue à l’Élysée par le président de la République en personne. François Mitterrand promit alors à ses invités l’instauration de cartes de séjour et de travail valables pour dix ans, l’aggravation de la loi contre les crimes racistes (ces deux engagements furent tenus) et un projet sur le vote des étrangers aux élections locales.

Mais comment le Parti communiste peut-il encore se prétendre « français » ?

10:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |