lundi, 06 janvier 2025
Les gouvernants du Royaume-Uni doivent tomber, passer devant des tribunaux populaires et être condamnés à la hauteur de leur trahison.
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Elon Musk, un ballon d’oxygène pour les dissidents diabolisés et persécutés
L'édito de Cyrano sur Riposte laïque de ce matin cliquez ici
Certes, avoir de l’argent aide à disposer d’une liberté de parole, et Elon Musk, l’homme le plus riche du monde, alors qu’il n’est pas un héritier mais simplement un génie visionnaire, ne s’en prive pas. On fera remarquer qu’une Élisabeth Badinter a aussi beaucoup d’argent et que, mis à part quelques propos ponctuels prétendant défendre la laïcité, elle n’a jamais aidé les patriotes persécutés dans leur combat, tout simplement parce que c’est une grande bourgeoise bien-pensante qui qualifie, comme les mondialistes, ceux qui aiment leur pays de racistes d’extrême droite. Rappelons qu’elle n’est même pas capable de prononcer le mot « islam », se réfugiant derrière le confortable « islamisme ». Bref, rien à espérer d’elle et de tous les milliardaires de gauche qui ne pensent qu’à bien se tenir à table.
Elon Musk se fout totalement des étiquettes qu’on va lui attribuer, des réactions que ses propos suscitent, il fonce et il cogne. Il allume les juges italiens qui voulaient enfermer Matteo Salvini pendant 6 ans, pour s’être opposé au débarquement d’un bateau de clandestins, alors qu’il était ministre de l’Intérieur. Il qualifie le chancelier démissionnaire allemand d’imbécile incompétent, et n’hésite pas à soutenir l’AfD, parti diabolisé nazifié, que même le RN ne veut plus fréquenter parce qu’il a inscrit dans son programme la nécessaire remigration. Enfin, cerise sur le gâteau, en soutenant Tommy Robinson (abandonné par toute la mouvance patriote, à de trop rares exceptions) et surtout en ciblant le Premier ministre anglais Keir Starmer, lui reprochant sa bienveillance avec les gangs de violeurs pakistanais, il a relancé, soutenu par Nigel Farage, un scandale d’État que les travaillistes font tout pour étouffer depuis vingt ans.
On attend avec impatience qu’Elon Musk s’intéresse à la France, et cible Macron et Mélenchon comme il a pointé du doigt Scholz et Starmer. On espère qu’il parlera de nos magistrats de la même manière qu’il a dénoncé les juges pourris italiens. On veut que la parole redevienne libre, et que le rouleau compresseur Elon Musk utilise sa force de frappe pour déstabiliser tous les régimes corrompus européistes, les immigrationnistes, les journaleux vendus, les magistrats politisés, les enseignants laveurs de cerveau et surtout tous les traîtres français et européens qui vendent leur pays aux islamistes contre des pétro-dollars.
Prochaine étape, le 9 janvier, sur X-Twitter, Elon s’entretiendra avec Alice Weidel, leader de l’AfD, le pendant de Reconquête en Allemagne. Nul doute que cet entretien, qui rend fous Ursula von der Leyen, Thierry Breton, Emmanuel Macron et tous les européistes traîtres, va pulvériser les records d’audience et dédiaboliser un parti sali et insulté tous les jours depuis son existence.
Longue vie à Elon Musk et bien sûr à Donald Trump, dans leur combat contre l’État profond et pour la liberté d’expression.
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Grooming gangs au Royaume-Uni : une affaire Pelicot puissance 1 000, et l’aveuglement complice des élites occidentales
Julien Dir Breizh info cliquez ici
Le scandale des grooming gangs britanniques revient sur le devant de la scène avec une force explosive, comme un rappel brutal de l’effondrement moral et institutionnel de nos sociétés occidentales. Ces réseaux criminels, composés principalement d’hommes issus de certaines communautés immigrées, ont exploité sexuellement des milliers, voire des dizaines de milliers, de jeunes filles blanches au Royaume-Uni. Pourtant, pendant des années, ces crimes ont été ignorés, minimisés, voire dissimulés par les autorités, les médias et les élites politiques. Aujourd’hui, certains osent s’indigner qu’Elon Musk en parle ouvertement, relançant un débat que tous préféreraient enterrer.
Alors que la presse française a fait de l’affaire Pelicot l’un des dossiers médiatiques les plus marquants de 2024, faisant de cette ignoble affaire un drame national, l’effroyable réalité des grooming gangs reste reléguée à l’arrière-plan, comme un simple « dysfonctionnement » institutionnel. Mais soyons clairs : les chiffres parlent d’eux-mêmes. Nous ne sommes pas face à un fait divers. Nous sommes face à un viol de masse racial et institutionnalisé, à un abandon volontaire de milliers de jeunes filles par un système gangrené par la lâcheté et l’idéologie.
L’affaire des grooming gangs ne date pas d’hier. Dès 2014, le rapport Jay dévoilait que plus de 1 400 enfants avaient été victimes d’abus sexuels organisés à Rotherham, une ville ouvrière du nord de l’Angleterre. Depuis, des enquêtes similaires ont révélé des horreurs comparables à Rochdale, Telford, et dans tant d’autres villes britanniques. Les victimes, pour la plupart des jeunes filles blanches issues de milieux modestes, étaient ciblées, manipulées, et prostituées par des réseaux criminels opérant avec une impunité quasi totale.
Aujourd’hui, de nouvelles estimations font état de potentiellement 250.000 viols, faisant de ce scandale l’un des pires crimes de masse de l’histoire moderne. Ces chiffres glacials devraient provoquer une indignation planétaire. Pourtant, ils n’ont suscité que des murmures gênés. Pourquoi ? Parce que les auteurs de ces crimes appartiennent à des communautés que l’idéologie dominante refuse de critiquer.
La révolte des invisibles : Elon Musk, Nigel Farage et la vérité en marche
Elon Musk, l’homme le plus riche du monde, a brisé le silence. Sur X, la plateforme qu’il possède, il a relancé un débat que les élites préféraient enterrer. En dénonçant Keir Starmer, ancien directeur des poursuites judiciaires et actuel Premier ministre britannique, Musk a mis en lumière les échecs abyssaux des autorités face à ces crimes de masse. Il n’a pas hésité à qualifier certains responsables de « complices » et à exiger une transparence totale sur ce qui s’est passé à Oldham, Rotherham, Telford, et bien d’autres villes.
Nigel Farage, leader de Reform UK, a amplifié cette dénonciation, affirmant que le peuple britannique avait raison d’être en colère. « Comment cela a-t-il pu arriver ? Pourquoi tout le monde a-t-il voulu le cacher ? » s’indigne-t-il. Ce n’est plus une question de justice sociale, c’est une question de survie morale et civilisationnelle.
Le silence coupable des élites
Les autorités britanniques ont préféré détourner les yeux. Pourquoi ? Par peur d’être accusées de racisme, d’islamophobie ou de stigmatisation. La lâcheté a dominé, et les institutions censées protéger ces jeunes filles les ont abandonnées. Policiers, travailleurs sociaux, politiciens : tous savaient, mais tous ont choisi de ne rien faire. Pire encore, certaines victimes qui ont osé parler ont été culpabilisées ou ignorées, comme si leur souffrance n’était qu’un inconvénient dans la grande mécanique du multiculturalisme heureux.
Et aujourd’hui, certains médias osent critiquer Elon Musk pour avoir donné de la visibilité à cette tragédie ? L’homme qui défend Tommy Robinson, ce dissident qui a risqué sa liberté pour enquêter maladroitement (eu égard de la loi britannique) sur ces crimes, devient la cible des élites bien-pensantes. Celles-là mêmes qui, pendant des années, ont enterré cette affaire pour protéger leur utopie multiculturaliste.
En France, l’affaire Pelicot a monopolisé les colonnes des journaux et les débats télévisés. Un crime odieux mais dont l’impact est sans commune mesure avec les grooming gangs. Pourtant, cette affaire a été montée en épingle, érigée en symbole des violences masculines, alors que les viols de masse orchestrés au Royaume-Uni restent traités comme de simples faits divers.
Pourquoi une telle différence de traitement ? Parce que dans l’affaire Pelicot, il n’y avait aucun risque de stigmatiser une communauté protégée. Parce qu’il était facile de dénoncer, sans craindre de heurter les sensibilités d’un système obsédé par l’idée de ne jamais « diviser ». Cette hypocrisie est insupportable. Elle montre que ce ne sont pas les victimes qui importent, mais l’agenda politique que leur souffrance peut servir.
Un jour, les responsables devront payer
Ce scandale ne s’arrête pas aux criminels eux-mêmes. Ceux qui ont permis cette barbarie par leur silence ou leur complicité devront rendre des comptes. Les responsables politiques, les médias, les bureaucrates des forces de l’ordre : tous devront être jugés pour leur rôle dans cet effondrement moral.
Et ne nous y trompons pas : ce qui se passe au Royaume-Uni est un avertissement pour toute l’Europe. Les mêmes mécanismes sont à l’œuvre partout où l’immigration massive, combinée à la lâcheté des élites, transforme nos sociétés en poudrières multiculturelles. Si nous ne réagissons pas, nous connaîtrons demain nos propres grooming gangs, nos propres Rotherham.
Ce drame doit nous ouvrir les yeux sur les dangers d’une société qui sacrifie ses enfants sur l’autel du multiculturalisme et de l’idéologie. Il est temps de dire non à cette logique mortifère. Il est temps d’exiger des politiques fermes, des institutions transparentes, et une justice implacable envers ceux qui trahissent leur mission première : protéger les plus vulnérables.
Les grooming gangs sont le symptôme ultime d’un système en décomposition. Mais ils ne doivent pas être la fin de l’histoire. Que cette tragédie nous serve d’électrochoc, d’appel à la révolte. Pour les victimes d’hier, pour celles d’aujourd’hui, et pour empêcher que d’autres vies ne soient brisées demain.
L’heure n’est plus au silence. L’heure est à la justice. Et elle viendra.
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Vendredi 10 janvier : Eric Zemmour à Lorient
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dimanche, 05 janvier 2025
Un nouveau livre de Jean-Claude Rolinat consacré à Monaco...
SN - Nos lecteurs vous connaissent bien, vous collaborez régulièrement à ce site et à la revue Synthèse nationale et vous avez déjà publié plusieurs ouvrages politiques, notamment les biographies d’Oliveira Salazar, du Maréchal Mannerheim, et des Perón, sans oublier une sorte de radioscopie du régime des colonels grecs cliquez ici. Qu’est-ce qui vous a poussé à faire un livre sur ce micro-État qu’est Monaco ?
JCR – Je vais vous étonner, cette envie remonte à mon enfance. Monaco fut le premier pays « étranger » où j’ai mis les pieds, avec mes parents. Depuis, il y en a eu bien d’autres ! J’avais sept ans et le ballet des carabiniers devant le palais du prince m’avait particulièrement impressionné. Le drapeau qui flottait là-bas n’était pas le même que chez nous, et cela m’avait intrigué. J’ai approfondi la question, et la sortie en 1956 du film d’Hitchcock , « La main au collet », avec l’actrice Grace Kelly - dont l’action se déroule en partie à Monaco -, avait ranimé mon intérêt. D’autant que la vedette du film est devenue princesse de Monaco, évènement mondain qui braqua les yeux du monde entier sur le Rocher, le sortant d’un relatif anonymat. Depuis, je suis retourné six à sept fois dans ce minuscule pays. Et, lors de mon dernier séjour, j’ai approfondi la question jusqu’à rédiger un livre, ce livre « Monaco, plus qu’une Principauté de rêve, un État ». C’est un digest, en quelque sorte, s’adressant à toute personne qui désirerait tout savoir sur la Principauté sans avoir à le chercher.
SN – Sérieusement, vous considérez Monaco comme un « État », au même titre que la Belgique ? Le Brésil ou la Chine ?
JCR – « Small is beautiful » ! Au-delà de la boutade, juridiquement, oui, Monaco au même titre qu’Andorre, San-Marino, le Luxembourg ou le Liechtenstein – autres petits « pays » -, sont membres des Nations Unies. Et leurs voix pèsent autant que celles de la Russie ou des USA. Je vous ferai remarquer que bien des Empires ou de puissants pays sont morts – j’ai d’ailleurs publié chez Dualpha un « Dictionnaire des États disparus » . Permettez-moi de vous rappeler que Rome, Byzance, le Saint-Empire romain germanique, la Prusse, la RDA ou l’URSS, étaient des mastodontes autrement plus puissants que ces pastilles de souveraineté. C’est l’honneur de ces pays lilliputiens de maintenir envers et contre tout, leur spécificité qui plonge dans l’histoire la plus longue.
SN – Les relations entre Monaco et la France n’ont pas été toujours un « long fleuve tranquille »…
JCR – Oui, vous avez raison, c’est le moins que l’on puisse dire. Comme un vêtement rétrécit au lavage, parait-il, la Principauté a perdu au fil du temps quelques kilomètres carrés, pour mieux en regagner sur la mer par de pharaoniques travaux, qui sont l’œuvre du prince Rainier, père de l’actuel souverain. Monaco, avant de perdre le territoire des actuelles communes de Menton et de Roquebrune/Cap Martin, allait jusqu’à la frontière italienne. Les vicissitudes de l’histoire ont fait que ces villages ont voulu se rattacher à la France au XIXe siècle.
SN – Mais n’y a-t-il pas eu aussi un épisode tragi-comique dans les relations franco-monégasques, dans les années 1960 ?
JCR – Oui, effectivement, le torchon a brûlé entre le général De Gaulle et le prince Rainier. C’était en 1962 et, au moment où le président français larguait l’Algérie, on s’est justement demandé s’il n’allait pas annexer Monaco !
SN – Quel était l’objet de la querelle ?
JCR- La fiscalité. Les résidents français, comme les autres étrangers et les sujets monégasques eux-mêmes, ne payaient pas d’impôts sur le revenu. De Gaulle a voulu changer les choses. Du jour au lendemain, des cordons de CRS et de gendarmes ont pris position à Beausoleil, sur la frontière, une frontière qui se joue de la topographie, et qui chevauche allègrement immeubles et trottoirs imbriqués ! On a même dit que Rainier avait giflé le Ministre d’État français, qui est un peu l’œil de Paris dans les affaires monégasques ! Enfin, tout est rentré dans l’ordre l’année suivante quand Monaco a accepté, pour les plus grands regrets de ses résidents français, que le fisc joue son rôle « d’oncle Picsou » à leur détriment.
SN – Justement, Monaco n’est-elle pas, comme beaucoup de places « off shore », un paradis fiscal aux portes de « l’enfer fiscal français » ?
JCR – Le règlement de cette question est en bonne voie, et la Principauté est sortie de la liste dressée par l’Union européenne des « États voyous » en matière fiscale. Ce qui ne veut pas dire que la confidentialité bancaire n’existe pas, et que nombre de grandes fortunes ne soient pas à l’abri dans les banques monégasques où l’on retrouve tous les sigles célèbres de cette corporation ! Il y a, c’est vrai, un côté « bling-bling » sur le Rocher, avec les yachts ancrés à Port Hercule ou à la Condamine, son activité mondaine et un évènementiel particulièrement riche. Qui ne connait pas le rallye de Monte-Carlo, le Grand prix de Monaco, le festival international du cirque, le Bal de la Rose ou celui de la Croix Rouge ? Mais Rainier et Albert, son fils, ont fait et font rayonner leur minuscule pays tout particulièrement dans le bassin méditerranéen. Il est vrai que la France, qui se couche devant des pays secondaires comme l’Algérie, par exemple, pourrait n’en faire qu’une bouchée. Mais quel intérêt aurait la République d’annexer moins de 3 km² alors que la Côte d’Azur draine des masses de touristes qui, justement, y viennent aussi pour visiter et séjourner en Principauté ?
Propos recueillis par Guirec Sèvres
« MONACO plus qu’une Principauté de rêve un État », un livre de 150 pages, cahier photos, aux éditions Godefroy de Bouillon, 18,00 €.
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samedi, 04 janvier 2025
Libérez Tommy Robinson. Elon Musk soutient à nouveau le lanceur d’alerte dissident emprisonné au Royaume-Uni
Source Breizh info cliquez ici
Elon Musk, le patron visionnaire de Tesla et de X (anciennement Twitter), a une nouvelle fois pris position contre l’injustice, en appelant à la libération de Tommy Robinson. Ce dernier, figure emblématique de la dissidence britannique, est actuellement emprisonné pour avoir enfreint une décision judiciaire qui lui interdisait de dénoncer des agissements liés à l’immigration.
Dans un simple mais puissant message – « Free Tommy Robinson » – Musk a relancé un débat essentiel sur la liberté d’expression, le rôle des lanceurs d’alerte et les dysfonctionnements d’un système judiciaire que certains jugent politisé.
Tommy Robinson : un dissident devenu symbole
De son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon, Tommy Robinson s’est imposé comme un fervent défenseur des traditions britanniques face aux bouleversements engendrés par une immigration massive et une mondialisation sans contrôle. Fondateur de l’English Defence League (EDL) en 2009, il est devenu l’un des porte-voix des inquiétudes populaires face à l’islamisation de certaines régions du Royaume-Uni et aux violences communautaires qui en découlent.
Robinson ne se contente pas de discours. Depuis plus d’une décennie, il dénonce, enquête, et met en lumière des scandales que les élites cherchent souvent à minimiser ou à étouffer. Parmi ses révélations, l’affaire des gangs de violeurs pakistanais opérant dans le nord de l’Angleterre reste l’un des cas les plus marquants. Ces crimes odieux, qui ont brisé la vie de milliers de jeunes filles entre 1997 et 2013, ont été largement ignorés par les autorités de peur d’être accusées de racisme. Robinson a été l’un des rares à briser ce silence complice, ce qui lui vaut aujourd’hui une hostilité farouche de la part de certains cercles politiques et médiatiques.
Elon Musk : un soutien de poids
En s’exprimant en faveur de Robinson, Elon Musk pose une question fondamentale : un lanceur d’alerte peut-il être muselé sous prétexte d’avoir enfreint une loi ou une décision judiciaire ? Musk, connu pour son franc-parler, a qualifié l’emprisonnement de Robinson d’injustice flagrante. « Pourquoi Tommy Robinson est-il en isolement pour avoir dit la vérité ?« , a-t-il écrit. Ces mots résonnent avec force dans un contexte où la liberté d’expression semble de plus en plus menacée, en particulier pour ceux qui osent critiquer les dogmes progressistes.
Musk a également pointé du doigt l’actuel Premier ministre travailliste Keir Starmer, accusé de n’avoir rien fait pour mettre fin aux agissements des gangs de violeurs lorsqu’il dirigeait le Crown Prosecution Service (CPS). Selon Musk, cette période d’inaction illustre un problème systémique au sein des institutions britanniques, où des considérations politiques semblent primer sur la justice et la sécurité des citoyens.
Un système judiciaire sous influence ?
Robinson a été condamné pour avoir enfreint une injonction judiciaire qui l’empêchait de répéter des accusations à l’encontre d’un réfugié syrien, accusations qu’il estimait fondées sur des faits. Ses soutiens dénoncent une instrumentalisation de la justice pour réduire au silence un dissident gênant. En effet, les élites politiques et médiatiques ne pardonnent pas à Robinson son rôle dans l’exposition des scandales liés à l’immigration massive et aux abus commis dans certaines communautés.
Cette affaire pose un problème de fond : peut-on réellement parler de justice équitable lorsqu’un lanceur d’alerte est condamné pour avoir divulgué des vérités que d’autres préfèrent cacher ? Les partisans de Robinson, de plus en plus nombreux, estiment qu’il est victime d’un système cherchant à protéger des intérêts idéologiques au détriment de la vérité.
Tommy Robinson n’est pas qu’un simple militant britannique. Il est devenu un symbole de la résistance face à un système jugé déconnecté des préoccupations populaires. Son combat trouve un écho bien au-delà des frontières britanniques, en particulier dans les cercles identitaires européens. De nombreux militants voient en lui un modèle de courage face aux pressions et aux menaces.
Les manifestations de soutien organisées en son honneur rassemblent des milliers de personnes, bien décidées à défendre la liberté d’expression et à dénoncer une politique migratoire qu’elles jugent destructrice pour l’identité européenne. Alors que Tommy Robinson purge une peine de 18 mois de prison, ses soutiens continuent de se mobiliser. Ils dénoncent non seulement une injustice individuelle, mais aussi une dérive généralisée où les élites cherchent à imposer une pensée unique.
Dans ce contexte, l’appel d’Elon Musk à la libération de Robinson prend une dimension symbolique. Il ne s’agit pas seulement de défendre un homme, mais de protéger une valeur fondamentale : le droit de dire la vérité, même quand elle dérange. Pour les identitaires et les défenseurs des libertés, le combat pour Tommy Robinson est celui de tous ceux qui refusent de se soumettre à la dictature du politiquement correct.
Dans le prochain numéro de la revue Synthèse nationale, vous pourrez lire un entretien avec Eric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen et soutien actif en France de Tommy Robinson. Pour le commander cliquez ici
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vendredi, 03 janvier 2025
Nancy, dimanche 5 janvier 2025 : commémorations de la bataille de Nancy (1477)
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Soutien à Alexandre Simonnot, membre de la direction du Parti de la France, qui vient d'être relaxé
Un communiqué du PdF :
Poursuivi pour avoir relayé un tweet de Jean-Marie Le Pen où celui-ci confirmait sa vision du « détail », Alexandre Simonnot a été lourdement condamné en première instance avec dommages et intérêts aux vautours associatifs habituels.
Heureusement, en appel, son avocat a soulevé un vice de procédure et son client a été relaxé !
Néanmoins, ce père de cinq enfants aux revenus modestes doit régler la facture de son avocat (3.600 €), le Parti de la France ayant déjà pris à sa charge les frais du premier procès.
C'est pourquoi, nous faisons appel à votre solidarité face à la persécution politico-judiciaire dont notre camarade a été victime.
Faites un don (déductible à 66 % de vos impôts) par virement sur le compte du Parti de la France (en précisant bien que c'est pour aider Alexandre Simonnot) : LCL PARIS MADELEINE – FR70 3000 2004 3700 0044 6675 B82
Ou envoyez un chèque au siège du Parti de la France - 76 rue de la Pompe - 75016 Paris.
Merci d'avance pour votre mobilisation !
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Conférence de Laurent Guyénot à Lille le samedi 18 janvier 2025 à 14h30
E&R Nord-Pas-de-Calais recevra Laurent Guyénot à Lille le samedi 18 janvier 2025 à 14 h 30 pour une conférence intitulée « Tradition et civilisation helléno-chrétienne ».
L’hellénisme et le christianisme se disputent l’âme de l’Occident depuis deux mille ans. Une lutte féconde, mais jamais achevée, puisqu’elle oppose deux idées contraires : d’un côté la primauté de la raison gréco-romaine, de l’autre la primauté de la révélation judéo-chrétienne. La Cité des hommes contre la Cité de Dieu, selon le point de vue chrétien. Le Moyen Âge nous apparaît comme le triomphe du christianisme et la Renaissance comme celui de l’hellénisme. En analysant les entrelacements historiques de ces deux courants qui irriguent notre civilisation, nous pourrons savoir qui nous sommes, d’où nous venons et où nous pouvons aller.
- Entrée : 10 euros
- Inscription obligatoire sur le site ladll.fr
- Présence d’un stand Kontre Kulture et séance de dédicace
- Présence d’une buvette
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La passoire espagnole : de plus en plus de migrants illégaux y arrivent
Michel Festivi
J’avais, il y a quelques semaines, relaté dans un article, la politique pro-immigrationniste débridée mise en place par le gouvernement socialo-communiste espagnol de Pedro Sanchez, pour faire venir encore et toujours plus de clandestins en réalité. Et bien, si j’ose dire, cette politique suicidaire pour nos pays européens portent ses fruits venimeux, c’est le moins que l’on puisse dire.
Pedro Sanchez et ses séides communisto-indépendantistes n’ont qu’un but, voir submerger l’Espagne, et au-delà l’Europe entière. Les chiffres viennent de sortir, en 2024, le nombre de migrants clandestins arrivés aux Îles Canaries a été de 46.843, une hausse de plus de 17% par rapport à l’an passé. Pour l’ensemble de l’Espagne, ce sont 63.970 illégaux qui ont pu pénétrer sans aucune difficulté, contre 56.852 en 2023, soit une hausse de 12,5%. En 2018, le record absolu avait été battu avec l’arrivée de 64.298 clandestins.
Cette voie de passage, particulièrement périlleuse, puisque en 2024, 10.400 migrants y avaient laissé la vie, ne fait nullement reculer les tentatives d’accès. Car Pedro Sanchez défend une politique immigrationiste à tout crin, sous le faux prétexte illusoire de pallier les carences démographiques espagnoles et de main d’œuvre. À la mi-novembre, une législation permissive, visant à la réduction des délais pour obtenir un titre de séjour a été adopté par les Cortès (réduction de 1 an à 3 mois), et quelques 300.000 immigrés par an, pourraient ainsi être régularisés. Les vraies raisons sont sans doute à chercher sur un espoir de voir les naturalisés espagnols, voter en masse pour lui, comme pour nos LFI en France.
Si les tensions politiques se font jour entre le PSOE et le PP sur la politique migratoire, seul en réalité le Parti Vox y est farouchement opposé, car le Parti Populaire de centre-droit n’a en réalité aucune velléité offensive, et se laisse enfermer dans une phraséologie droit-de-l’hommiste qui lui ôte toute pertinence. Cependant pour la première fois, le Roi Felipe VI, dans son discours à la Nation a évoqué le problème, à la veille de Noël, avec beaucoup de prudence néanmoins, selon la tradition monarchiste « Étant une réalité quotidienne, les migrations peuvent conduire, sans une gestion appropriée, à des tensions qui érodent la cohésion sociale ».
Effectivement, le patronat, notamment agricole, profite ainsi d’une main d’œuvre taillable et exploitable à souhait, ce qui fait baisser les coûts des productions, ce qui par conséquence, concurrence illégalement les produits français par exemple. L’Andalousie avec ses immenses serres à perte de vue en est un exemple frappant. Des manifestations ont enfin commencé à poindre aux Canaries, mais les Espagnols sont loin, très loin de réagir politiquement et par les urnes comme l’ont fait d’autres pays, que ce soit en France, en Italie, en Autriche, en Allemagne, ou en Hollande et en Suède par exemple. Ce peuple si vaillant de par le passé est assez amorphe pour l’instant en tout cas.
Car des politiques anti immigration commencent à produire des résultats. Le nombre d’entrées aux frontières de l’UE a chuté de 40% au cours des onze premiers mois de l’année 2024, soit 220.700 arrivées, selon les chiffres de l’Agence européenne de surveillance des frontières, Frontex. Cette chute a pour principale cause, la baisse des arrivées par les routes migratoires des Balkans occidentaux (-80%) est part la Méditerranée centrale (-60%), grâce sans doute aux politiques grecques et italiennes.
À ce propos, en Italie, et grâce à la politique mise en place par le gouvernement de Giorgia Meloni, la baisse des arrivées irrégulières a été chiffrée à -60% par rapport à 2023, selon le ministre italien de l’intérieur Matteo Piantedosi. Par rapport à 2022, la baisse est de 38%, quant au rapatriement d’immigrants expulsés, l’augmentation est de 16%, toujours par rapport à 2023. Le ministre affirme que les autorités ont pu bloquer les départs de 192.000 migrants irréguliers venant de Lybie et de Tunisie. Les rapatriements volontaires ont été au nombre de plus de 21.000 en 2024. L’Italie a passé des accords avec la Libye et la Tunisie. Elle a durci ses lois contre les passeurs, a limité les regroupements familiaux, a encadré l’activité des ONG, a restreint l’accès au travail des demandeurs d’asile etc...
S’agissant de l’Albanie, malgré des péripéties judiciaires concernant l’accord entre les deux pays pour la création de centres de regroupement en Albanie, le gouvernement italien, en réponse à l’invalidation judiciaire, a immédiatement signé un nouveau décret. Comme quoi, lorsque l’on veut vraiment agir, on le peut. Agir et non pas se contenter de bonnes paroles lénifiantes, n’est-ce pas Messieurs Darmanin er Retailleau ? À vous de jouer, vous êtes au pied du mur, vous serez jugés sur vos résultats et non pas sur des déclarations.
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jeudi, 02 janvier 2025
LA "SOUSCRIPTION PATRIOTIQUE 2024" A DÉPASSÉ SES OBJECTIFS : MERCI À TOUS !
Si vous n'avez pas répondu à la "souscription patriotique 2024" (cliquez là), vous pouvez quand même nous soutenir en vous abonnant à notre revue cliquez ici ou en achetant les livres que nous éditons cliquez là
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IL SORT TRÈS BIENTÔT, MAIS VOUS POUVEZ LE COMMANDER DÈS MAINTENANT...
Sommaire
N°68 – HIVER 2024 – 2025
2 ÉDITORIAL Roland Hélie
6 IMMOBILISME OU CHUTE Didier Lecerf
12 FREE TOMMY ROBINSON Un entretien avec Éric Mauvoisin-Delavaud
16 LE BILAN CATASTROPHIQUE DE LA MACRONIE EUROBÉATE Didier Lecerf
22 L’INSTRUMENTALISATION DE L’HISTOIRE Maurice Bernard
22 QUAND GUÉNOLÉ SE GUIGNOLISE Maurice Bernard
32 DROGUE FLÉAU DE LA DÉCOMPOSITION FRANÇAISE Alexis Murbas
40 ÉTAT PROVIDENCE ET GABÉGIE Pieter Kerstens
39 LE MOT « GÉNOCIDE » Martine Heldé
52 MENSONGES DE LA PENSÉE UNIQUE Arnaud Raffard de Brienne
57 LA NOUVELLE CALÉDONIE SE MEURT Jean-Claude Rolinat
63 CRIMES DU COMMUNISME DANS LES BALKANS Michel Festivi
68 FRAGILE MOLDAVIE Robert Neboit
73 LA CHRONIQUE DE PHILIPPE RANDA
76 TRIBUNE LIBRE Nicolas Zahar
80 LE PFN AURAIT 50 ANS Roland Hélie
86 LES LIVRES AU CRIBLE Georges Feltin-Tracol
95 BIOGRAPHIES LITTÉRAIRES Daniel Cologne
102 LES FLANERIES DE SCIPION DE SALM
106 LA LIBRE CHRONIQUE Charles-Henri d’Elloy
109 LES PAGES DU MARQUIS L'ultime chronique de Jean-Paul Chayriges de Olmetta, décédé le 4 décembre dernier.
113 BULLETIN D’ABONNEMENT
Et bien d'autres articles...
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Un livre exceptionnel contre toutes les repentances européennes, pour bien commencer l’année 2025
Michel Festivi
Il y a des livres qui vous ayant fait un bien fou, vous font dire après les avoir lus, il y aura un avant et un après. Cela avait été le cas, lorsqu’en 2022 était paru aux éditions de l’Artilleur, l’ouvrage de l’historien espagnol Luis Pio Moa, Les mythes de la guerre d’Espagne, qui avait totalement bouleversé l’historiographie de la guerre civile espagnole. C’est le cas de nouveau aujourd’hui, avec le livre de Marcelo Gullo Omodeo, Ceux qui devraient demander pardon, avec comme sous-titre, La légende noire espagnole et l’hégémonie anglo-saxonne, qui vient d’être publié aussi aux excellentes éditions de l’Artilleur. En langue espagnole, le livre s’intitule « Nada por lo que pedir perdón » (Il n’y a pas de pardon à demander).
L’occident vit depuis plusieurs années une véritable avalanche d’auto-flagellations massives, des États-Unis à l’Europe, en passant par le Vatican, opérations wokistes d’envergures, qui entendent balayer vers les poubelles de l’Histoire, toute la geste qui a conquis le monde pour lui apporter la civilisation, au profit d’un mélange nauséabond d’islamisme, de communisme, d’anti-occidentalisme effréné, d’indigénisme exacerbé, voire de racialisme anti-blanc. Il ne se passe pas un jour, où une statue est déboulonnée, où un homme politique désormais honni est déterré, où une rue est débaptisée au nom de la repentance à sens unique qui se généralise dans nos universités, nos institutions, et jusqu’aux plus hautes autorités de l’État, le Président Macron en étant un habitué, pour cracher à la figure de notre pays sans la moindre vergogne.
C’est pourquoi, Marcelo Gullo fait œuvre salutaire. Historien et politologue argentin, il a enseigné pendant des décennies à l’École supérieure de guerre de Buenos Aires, et dans diverses universités d’Argentine et du Pérou. Auteur d’une multitude d’ouvrages et d’articles, son précédent livre, Madre Patria, avait déjà attiré l’attention grâce à la solidité de ses recherches et à sa qualité d’écriture.
Marcelo Gullo, continue donc à pourfendre la fameuse légende noire espagnole en reprenant tout le dossier et toute l’affaire, en déroulant l’écheveau, ce qui au demeurant nous remémore toute une partie de l’histoire de l’Espagne, de l’Europe et des États-Unis, tant sa culture et ses références sont vastes.
Des Aztèques et des Incas, esclavagistes et mangeurs de chair humaine, de véritables génocidaires, d’authentiques cannibales notamment de bébés, jusqu’aux détails des propagandes et des mensonges historiques des luthériens, des pays comme la Hollande, la Grande Bretagne, les États-Unis qui bouffèrent du catholique à longueur de temps, Marcelo Gullo met en pièces la construction mémorielle qui voudrait que l’Espagne aurait commis des crimes contre l’humanité, alors qu’elle a construit immédiatement dès la conquête libératrice, des écoles, de universités, des hôpitaux, que ce soit en Amérique centrale et du sud, comme aux Philippines. Gullo nous indique, qu’avant la conquête espagnole, les Incas et les Aztèques, ainsi que d’autres peuplades, exterminaient environ 20.000 personnes par an, pour leurs sacrifices humains, et tenaient en sujétion leurs congénères, qui furent d’un coup d’un seul, libérés de ces tyrannies totalitaires et exterminatrices. « Au début du XVIIe siècle, ces indigènes dévoraient tout être humain qu’ils capturaient... et formaient des expéditions qui avaient pour objet de les approvisionner en chair humaine. Ils engraissaient des prisonniers qu’ils tuaient et qu’ils mangeaient... »
Car comme le souligne dans son remarquable avant-propos pour le lecteur francophone, l’historien Arnaud Imatz, correspondant français de l’Académie royale d’histoire : « Avec à peine 5 à 6 millions d’habitants, (la France à elle seule en comptait environ 20 millions), l’Espagne devait tout à la fois lutter contre la piraterie barbaresque, affronter l’expansion ottomane, faire face à l’Angleterre et aux pays protestants et contrecarrer la puissance montante de la France. On comprend dès lors, la haine et le ressentiment durables qu’elle a suscités. ». Soulignons qu’Arnaud Imatz a été l’un de ceux qui ont permis la publication en France de ce livre, comme il l’avait fait pour le livre de Luis Pio Moa précité, ou pour des publications contre le mythe de Al-Andaluz.
Je rajouterai, que la France, à cette époque, a eu une politique pro-turc, et a laissé l’Espagne et les pays du Saint Empire germanique se battre seuls contre les envahisseurs mahométans. On en paie encore aujourd’hui le prix.
Marcelo Gullo retrace avec brio et forces sources documentées, la conquête espagnole, ses causes et conséquences, les faux témoins stipendiés comme Bartolomé de las Casas qui ont voulu démolir l’œuvre civilisatrice. Les actions dévastatrices de Martin Luther, de Jean Calvin, de l’Angleterre, de la Hollande, des États-Unis et bien d’autres pays et évènements qui se liguèrent, consciemment ou inconsciemment, pour tailler des croupières à l’action de l’Espagne, sont disséquées. Car souligne-t-il « Dans la vice-royauté de la Nouvelle-Espagne, la population indienne avait le droit (et ce dès le départ), de recevoir des soins gratuits dans les tous les hôpitaux. Il rappelle opportunément, que c’est Hernàn Cortès lui-même qui fonda à Mexico en 1521 le premier hôpital, et qu’en 1578 fut établie la faculté de médecine de l’université royale et pontificale de Mexico. Que dans la Vice-Royauté du Pérou, l’Espagne avait créé un système de santé gratuit pour toute la population et que la Couronne espagnole y avait fait construire 59 hôpitaux entre 1533 et 1792, dont 20 ont été bâtis dans la ville de Lima.
Comme l’a admis le grand hispaniste américain Lewis Hanke « la conquête de l’Amérique par les Espagnols a été une incroyable prouesse militaire.... mais aussi une des plus grandes tentatives que le monde ait connues de faire prévaloir la justice et les normes chrétiennes dans une époque brutale et sanguinaire. ». Pour faire litière de la période inquisitoriale, Gullo évoque le fait que si de 1540 à 1700, l’Espagne a condamné au bûcher 59 femmes accusées de sorcellerie, dans les pays allemands, pour la même période on n’en a exécuté 25.000 pour le même délit, selon les diverses sources.
Pour terminer cet article, je ne résiste pas au fait de vous livrer deux citations, parmi des centaines répertoriées dans l’ouvrage. Celle d’Evita Duarte de Peron tout d’abord « L’épopée de la découverte et de la conquête de l’Amérique est fondamentalement une épopée populaire. Nous sommes des découvreurs et des conquérants, mais aussi les héritiers directs de leur geste et de la flamme éternelle qu’ils ont transportée par-dessus les mers ». Enfin, d’un dénommé Jorge Mario Bergoglio, plus connu sous le nom de Pape François. Lui, le pourfendeur des pays européens, lui qui veut promouvoir une immigration massive et conquérante de préférence islamiste, n’avait pas hésité à déclarer, le 27 mai 1975, à l’occasion de la journée de la Patrie : «Nous avons été forgés par l’Espagne qui, par-delà les contradictions et les limites de sa conception historique, nous illumine par ses lois des Indes, ses ordonnances d’Alfaro -(ordonnances de 1606, portant le nom de ce juriste espagnol visant à protéger les indiens, nda) -...et la conscience missionnaire d’une femme merveilleuse que l’histoire appellera Isabelle la Catholique ». Visiblement ce satané jésuite a oublié son histoire.
Dans sa préface, Carmen Iglesias, Directrice de l’Académie Royale d’histoire et membre de l’Académie Royale espagnole rappelle qu’il est capital, comme l’a fait Marcelo Gullo, que la défense de la vérité des faits se doit d’être un combat permanent. Car comme l’auteur le soutient dans sa conclusion, « il n’y a de Patrie sans histoire » et qu’il faut bannir les reconstructions mémorielles qui « se moquent éperdument de la vérité historique et font de l’histoire une espèce de tribunal du passé. » Puisse nos universitaires, nos élites, nos autorités s’en inspirer. À l’orée d’une nouvelle année, on peut toujours rêver. Véritablement, je recommande la lecture de ce livre.
« Ceux qui devraient demander pardon - La légende noire espagnole et l’hégémonie anglo-saxonne », Marcelo Gullo Omodeo, Editions de l’Artilleur, octobre 2024, 23 euros, avant-propos d’Arnault Imatz et préface de Carmen Iglesias.
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Samedi 18 janvier, à Paris, en souvenir de Louis XVI
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Un grand entretien avec Christian Bouchet, directeur des éditions Ars Magna, de retour du Dombass
Le conflit armé qui oppose la Russie au gouvernement ukrainien est un sujet clivant au sein de notre famille politique et aussi de notre pays. La presse du Système, dans son ensemble, défend sans réserve la cause de Kiev, laissant peu d'espace médiatique à ceux qui ont un point de vue dissonant.
Voilà pourquoi, dans un souci d'équité, nous avons rencontré Christian Bouchet, éditeur bien connu dans les milieux non-conformistes et militant historique de la cause nationaliste, qui était, il y a quelques jours encore, dans le Donbass.
S N
Christian Bouchet, vous avez récemment passé quelques jours au Donbass. Pourquoi et comment ?
J’ai été invité, cet été, par le média Vashi Novosti, a participer à un voyage de presse dans le Donbass. Celui-ci, ouvert aux journalistes traditionnels et aux blogueurs, devait regrouper, hors moi, des représentants du Liban, de la Serbie, des États-Unis, du Cameroun, de l'Inde et de la Slovénie.
Se sont rapidement ajoutées à cela deux autres invitations, l’une à rencontrer Alexandre Douguine à Moscou et l’autre à présenter une contribution au colloque annuel « Philosopher sur la ligne de front » qui devait se tenir à Donetsk au moment même où j’y serai présent.
Face à de telles propositions, comment refuser ? Ce d’autant plus que le Donbass est, depuis 2014, un sujet qui me tient à cœur. Certaines de mes relations politiques s’y sont rendues pour y prendre les armes, je me suis trouvé en désaccord avec d’autres sur les choix qu’elles ont fait le concernant, et je milite au niveau local pour l’association SOS Donbass.
Pourriez-vous rappeler à nos lecteurs quels sont les raisons de cette guerre russo-ukrainienne ?
Ce sont les bolcheviks qui ont dessiné les contours de l'Ukraine moderne et ceux-ci ne correspondent à aucune réalité ethnique, culturelle, historique, religieuse ou linguistique. Dans l’Union soviétique, cela ne posait pas de problèmes majeurs et cela ne va en poser qu’à partir de l’Euromaidan qui, rappelons-le, fut une « révolution orange » proeuropéennes, ayant débuté le 21 novembre 2013 à la suite de la décision du gouvernement ukrainien de ne pas signer l'accord d'association entre l'Ukraine et l'Union européenne au profit d'un accord avec la Russie.
Dans les régions russophones et ethniquement grand-russe de l’Ukraine apparurent alors des mouvements populaires de résistance anti-Euromaïdan qui donnèrent naissance à des soulèvements séparatistes au Donbass et à la naissance des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk. L’Ukraine essaya alors de réduire militairement celles-ci, la région s’embrasa et, finalement, un cessez-le-feu fut négocié en 2015 (accord de Minsk) qui gela la situation jusqu’en 2022. À cette date, la guerre reprit principalement à cause de l’intention affichée de Zelenski de faire adhérer l’Ukraine à l'OTAN ce qui aurait mis en péril l’existence même de la Russie.
Comment s’est déroulée votre visite ?
Notre délégation était composée de sept personnes, avec un encadrement de qualité – il comptait deux docteurs et un enseignant de faculté – d’un nombre quasi-égal. Quand nous sommes arrivés à Donetsk, s’y est adjoint un groupe non négligeable de journalistes de médias nationaux et locaux. Comme dans les autres voyages de ce type que j’ai pu faire en Libye, en Syrie ou en Iran, nous étions destinés à être à la fois sujets et objets. Agents, espérait-on, du soft power à l’extérieur après nos retours dans nos pays respectifs et agents de validation d’une politique à l’intérieur durant tout notre séjour qui fut largement médiatisé sur les chaînes russes d’information. C’était le jeu, j’en connaissais les règles avant de venir et je les avais acceptées.
Nous avons commencé et terminé notre visite à Moscou qui est à environ 15 heures de route de Donetsk. Cela m’a permis de découvrir sur le trajet les autoroutes russes et le paysage de plaines enneigées infinies qu’elles traversent.
Les choses sérieuses ont commencé une fois que nous avons atteint la République populaire de Donetsk où nous avons visité la capitale éponyme et la ville martyre de Marioupol, où nous nous sommes approchés du front et où nous avons eu des contacts avec les soldats de deux corps-francs, les bataillons Española et Maksim Kryvonos.
Qu’est-ce qui vous a le plus frappé sur place ?
C’est que l’on ne rencontre absolument pas la crise économique liée aux sanctions dont on nous bassine à l’Ouest. La vie des habitants se déroule tout à fait normalement. Les rues sont animées et décorées pour Noël, les boutiques achalandées, les restaurants bondés, on fait la fête le vendredi soir, etc. La guerre n’est pas perceptible au premier abord et les sanctions ne le sont absolument pas.
Et puis, il y a une tout autre chose, non lié à la situation qui nous intéresse, une chose dont nous n’avons plus l’habitude en Occident : la population est culturellement et ethniquement homogène. De tout mon séjour, je n’ai vu ni un émigré maghrébin ou africain, ni un individu aux cheveux bleus faisant de l’exhibitionnisme…
A-t-on cependant conscience de la guerre au quotidien ?
À Moscou, on n’en a absolument pas conscience, mais au Donbass, par contre, elle est bien présente.
À Donetsk, les traces matérielles sont rares mais cependant visibles. On voit encore des immeubles détériorés par des frappes, des impacts de shrapnel ici ou là. Ce qui est le plus frappant ce sont les traces humaines.
J’ai ainsi participé à deux hommages devant des monuments aux morts, non pas de soldats mais d’enfants tués par les bombardements ukrainien. J’ai aussi assisté à un spectacle de cirque – d’une très grande qualité – organisé par le groupe de bikers nationaliste et orthodoxe Notchnye Volki (Les loups de la nuit) pour les enfants du Donbass ayant perdu leur père au combat. Voir tout ces enfants orphelins m’a particulièrement touché.
À Marioupol, ce sont les traces matérielles qui sont les plus marquantes. Même si la reconstruction est bien entamée, des quartiers entiers sont encore à l’état de ruine. Il faut dire que 90% des bâtiments de la ville ont été endommagés ou détruits.
Le plus impressionnant est cependant incontestablement la gigantesque usine sidérurgique d’Azovstal, dans la banlieue immédiate de Marioupol. Là ce n’est que chaos et la situation est telle que l’administration locale a entrepris sa déconstruction, ce qui, nous a-t-on murmuré, est une bénédiction écologique car l’entreprise polluait allégrement la mer d’Azov sur la rive de laquelle elle était implantée.
À Donetsk, a guerre se rappelle aussi à vous par des bombardements par des roquettes HIMARS. Il y en a eu deux durant mon séjour. C’est assez déconcertant à vivre… La ville est dotée d’un dôme de fer, donc vous entendez soudain des explosions dans le ciel et vous voyez des débris tomber en souhaitant qu’il n’y ait personne dessous.
Comme le dôme de fer n’est pas entièrement performant ou parce qu’il ne détruit que les missiles dont la destination est potentiellement dangereuse, certains explosent au sol à des endroits totalement improbables. L’un est ainsi tombé à trois cents mètres de l’hôtel où je résidais. Il n’y avait là absolument rien qui ait eu le moindre intérêt stratégique. Un de nos accompagnateurs a avancé la proximité d’un hôpital pour estimer que c’était vraisemblablement celui-ci qui était visé et nous prouver ainsi à quel point les Ukrainiens étaient des salauds. Pour ma part, je pencherais plutôt pour des tirs au hasard afin de faire peser un stress continuel sur la totalité de la population.
Une autre trace immatérielle de la guerre est constituée par les réfugiés. Il faut quand même savoir que le nombre des réfugiés originaires d’Ukraine en Russie est supérieur au total des réfugiés ukrainiens présents dans tous les autres pays. Leur présence ne saute pas aux yeux dans les rues, mais il existe un certain nombre de centre d’accueil pour les héberger.
J’ai pu en visiter un où étaient surtout présentes des personnes âgées exfiltrées de la ligne de front. Ne se reconnaissant pas dans le régime de Zelenski, elles n’avaient pas voulu suivre les troupes ukrainiennes dans leur repli. Leur durée de résidence dans le centre n’était pas limitée, mais tout était fait pour leur intégration et leur retour à une vie normale.
Vous vous êtes rapproché du front m’avez-vous dit…
Oui, suffisamment pour qu’on nous oblige à porter des gilets pare-balles et des casques lourds, mais tout en restant assez à l’arrière pour n’en avoir qu’une perception auditive : le bruit de fond, dans un lointain assez proche, des explosions d’obus. À quelle distance en étions-nous réellement ? je ne sais pas exactement, à quelques kilomètres, à deux ou trois peut être.
Il y avait là une grande ferme collective, dont les hangars regorgeaient d’engins agricoles. Je crois bien n’en avoir jamais vu autant rassemblés en un même lieu de toute ma vie. Il y avait aussi, un peu plus loin, de petites fermes encore habitées d’un aspect assez archaïque et rassemblées en un hameau. Il n’y aurait eu le bruit des canons, l’environnement aurait été des plus banal.
Et quels ont été vos rapports avec les forces combattantes ?
Avec l’armée régulière, j’ai rencontré très brièvement quelques officiers à Donetsk, mais je n’ai eu aucun contact avec la troupe. Par contre, notre délégation a longuement été reçue par deux corps francs, les bataillons Española et Maksim Kryvonos, a pu partager son repas avec leurs hommes et assister à leur entrainement.
Cela m’a permis de constater la grande hétérogénéité de ces corps francs dont les membres se regroupent par affinité culturelle et idéologique.
Ainsi, si la brigade Piatnachka est considérée comme d’extrême gauche, l’Española relevait plutôt du bord opposé. J’ai eu de ce fait l’occasion de discuter du Livre de Vélès – la Bible des néopaïens slaves - avec un des soldats et les affiches qui couvraient la salle de musculation de l’unité ne laissaient aucun doute sur l’orientation générale puisque Joseph Staline y côtoyait le drapeaux du Old deep south et de très anciennes affiches du ségrégationniste George Wallace.
Quant au nom, l’Española, l’officier chargé de ses relation extérieure m’a expliqué qu’il avait été choisi en référence aux pirates de l’île d’Española (en français Hispaniola) car les membres du bataillon se reconnaissaient en eux. Cette référence est similaire à celle de nos camarades de Casa Pound qui, eux, ont choisi la tortue comme logo en référence à l’île de la Tortue célèbre repaire de pirates séparé par un étroit bras de mer d’Hispaniola.
Cela dit, le bataillon ne manquait pas d’armes et casernait sous les gradins d’un stade de foot où il assurait partiellement son autonomie alimentaire en cultivant son propre potager et en disposant de sa propre boulangerie.
Tout aussi intéressant, le bataillon Maksim Kryvonos m’a donné quant à lui une impression de structuration plus forte. Il est vrai que ses hommes ne se considéraient pas comme des pirates … Sa particularité est qu’il est constitué d’Ukrainiens ethniques soit ayant choisi le camp russe lors du déclenchement de la guerre, soit ayant déserté de l’armée ukrainienne pour rejoindre les forces russes, soit ayant demandé à intégrer le bataillon après avoir été fait prisonniers.
Le discours de ses membres, avec qui j’ai pu librement discuter, était très construit. Ils affirmaient clairement ne pas lutter pour la liberté du Donbass mais pour libérer l’Ukraine du « gang Zelenski » et déclaraient ne pas lutter pour les Russes mais « avec les Russes contre le régime de Kiev ».
Il existe au moins un autre détachement, le bataillon Bohdan Khmelnitsky, qui regroupe lui aussi des Ukrainiens ethniques. Les appellations choisies Maksim Kryvonos et Bohdan Khmelnitsky sont signifiantes puisqu’il s’agit des noms d’importants dirigeant cosaques qui furent à l'origine, en 1648, d'un soulèvement contre la noblesse polonaise, qui dominait alors l’Ukraine, puis signataires, en 1654, du traité de Pereïaslav qui acta la séparation de l'Ukraine de la Pologne et son attachement à la Russie.
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mardi, 31 décembre 2024
2025 !
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Nicolas Vidal : Oligarchie/Peuple français - l'affrontement est inévitable
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Un gouvernement de brics « has been » et de brocs « ambitieux »
La chronique de Philippe Randa
La formation du gouvernement de François Bayrou a (quasiment) fait l’unanimité, à l’image de son arrivée à Matignon : aberrant, effrayant, surréaliste, grotesque… et d’autres qualificatifs plus méchants, moqueurs ou lapidaires encore !
Personne n’y croit, tout le monde compte déjà le nombre de mois, de semaines, voire de jours que tiendra ce quatrième gouvernement de l’année plus encore en « phase terminale » que le précédent déjà monté de brics « has been » et de brocs « ambitieux » de la politique française.
Constater que François Bayrou a fait très fort dans le choix de certains ministres et pas des moindres est une évidence, ne serait-ce que par les nominations de deux anciens Premiers ministres : Elisabeth Borne et Manuel Valls. Au moins a-t-on échappé à Jean-Pierre Raffarin et Jean-Marc Ayrault ! Ils n’auraient pourtant pas dépareillés !
Toutefois, une question s’impose, étrangement peu posée dans le landernau médiatique : que vont-ils faire dans cette galère ?
« Faire don de leur personne dans l’actuelle difficile situation que traverse notre pays », bien sûr… Hypothèse qui en fait sourire beaucoup et éclater de rire jaune bien plus encore.
« Arrondir leur retraite » ? On se doute que tous ces anciens ministres – qu’ils aient été Premiers, d’État ou simple –, anciens députés, Maires ou encore conseillers régionaux ou généraux ont déjà largement fait le plein de ce qu’ils pouvaient accumuler pour leurs services rendus à la nation et accessoirement à leurs poches qu’ils ont bien profondes comme on s’en doute.
Alors, qu’est-ce qui peut bien les motiver entre et toujours ?
Garder son ministère comme tremplin pour de prochaines campagnes électorales pour une Rachida Dati ? Effectivement. Elle n’avait pas hésité à quitter avec armes et bagages son camp d’origine pour celui de la Macronie afin de conquérir (enfin) Paris : seule et unique motivation dont elle ne fait nullement mystère, d’ailleurs. Pour elle, la culture électorale est un bagage comme un autre.
Nul doute également que la motivation d’une autre échéance électorale, celle de la prochaine élection présidentielle de 2027 – la « Reine des batailles » comme la nommait Jean-Marie Le Pen en son temps - ne soit pas pour rien dans son retour pour Gérald Darmanin. Ne pouvant reprendre les rênes du ministère de l’Intérieur à Bruno Retailleau, il a sans doute bataillé autant que faire se peut pour obtenir celui de la Justice. Il ne cesse depuis d’y « communiquer » quasiment 24 heures sur 24, exercice dans lequel il excelle, occupant un terrain médiatique déserté par l’ensemble de ses rivaux, occupés à préparer leurs réveillons. Si le gouvernement Bayrou devait « tomber » en janvier comme certains le prédisent, ce très éphémère Garde des sceaux aurait au moins marqué les esprits de ses belles intentions. Un pari comme un autre.
Enfin, si leur nomination au gouvernement est sans doute inespérée pour certains, elle est un évident bâton de maréchal de fin de carrière pour d’autres, à commencer par le premier d’entre eux, François Bayrou…
Mais Elisabeth Borne et Manuel Valls, qu’est-ce qui peut bien les motiver ? Faire oublier à la première qu’elle n’a gouverné qu’à coups de très impopulaires « 49.3 », tandis que le second n’aurait à cœur que de ne « pas être oublié » ? Sans doute. À petits pieds, petites ambitions.
Ah ! que personne ne me reproche de galéjer en ces derniers jours de l’année alors qu’il s’agit de l’avenir de la France : je ne me serais évidemment pas (trop) permis de le faire si nos responsables politiques donnaient l’exemple.
Et moi, on peut me croire, je ne me vois guère ministrable !
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10:56 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 30 décembre 2024
DÉCIDÉMENT, CET OLRIK N’EST PAS TRÈS FRÉQUENTABLE !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Mais quelle mouche a bien pu piquer Yves Sente, le scénariste du dernier album des aventures de Blake et Mortimer, « Signé Olrik », faisant succomber l’un de ses héros au « politiquement correct » ? Un invraisemblable plaidoyer pro-migratoire sert presque de fil conducteur à cette aventure qui aurait pu être digne d’intérêt si, justement, on n’y assénait pas, notamment page 32 - dernière vignette -, des âneries du genre « …La guerre a privé la région de bon nombre d’hommes (…) Nous sommes par conséquent obligés de faire appel à une main d’œuvre étrangère pour exploiter la mine et faire vivre la région…et ce sont les locaux qui nous le reprochent ! Un comble ! ». Pourtant, l’aventure commençait bien, avec un colonel Olrik à deux doigts de terminer sa carrière comme feu Saddam Hussein, et sa dose de mystère historico-ésotérique, sans oublier son inévitable innovation scientifique …Et pour clore l’album, son récurrent monde souterrain, la marque de fabrique d’Edgar P. Jacobs !
Nous sommes au Royaume-Uni et un certain Free Cornwall Group entend réactiver une hypothétique indépendance de la Cornouaille sur fond de légende Arthurienne. Pas d’aventures de Blake et Mortimer sans colonel Olrik à l’horizon. Une fois de plus, le légendaire malfaiteur aura les honneurs de cette histoire où, à contre-courant d’une opinion majoritaire en Grande-Bretagne comme partout ailleurs en Europe, le professeur Mortimer se croit obligé d’en faire des tonnes avec des immigrés indiens, se rappelant, sans doute, sa jeunesse passée aux Indes. Ce qui lui vaut de la part d’un ouvrier très british page 31, 5 ème case, une acerbe remarque en constatant qu’il est écossais : « À l’oreille, je parierais pour un accent écossais. Autant vous dire que vous n’êtes pas beaucoup mieux vu que les moricauds par ici ». Pourquoi diable être allé chercher une très aléatoire ségrégation dans une fiction dessinée destinée à la jeunesse, mais pas que ? Pour formater, comme la télévision et la radio le font, hélas « merveilleusement », nos chères petites têtes de moins en moins blondes, et les vacciner contre un prétendu virus raciste, à de très fortes doses de haine de soi ?
Bref, sans ce message anti-raciste superflu et maladroit, qui n’ajoute rien à Signé Olrik, le duo d’enfer composé du savant amateur de pipe et de whisky, et du captain Blake - chef du MI 5 -, pouvait entrainer tranquillement le lecteur dans cette énième histoire bien dessinée par le regretté André Juillard. Un dessinateur à qui le scénariste rend d’ailleurs hommage en première page, et qui est l’auteur de pas mal d’albums de la période post-jacobsienne. (Il est paru plus d’aventures de « Blake et Mortimer » après la mort de leur créateur, que pendant sa période active.) Vous l’aurez compris, on peut ne pas lire Signé Olrik si l’on est allergique aux rabâchages de SOS Racisme. Reste la légende du Roi Arthur. Et les explications qui sont offertes donneront peut-être l’envie à certains lecteurs, d’approfondir le sujet autour d’une table ronde !
« Signé Olrik », un album de 64 pages paru aux éditions « Blake et Mortimer », Bruxelles, octobre 2024.
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samedi, 28 décembre 2024
Yann Vallerie, rédacteur en chef de Breizh info, invité de Martial Bild sur TV Libertés
01:20 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 27 décembre 2024
Le coran, l’Iran, le football et la France
Michel Festivi
On le sait, le coran prône une stricte séparation entre hommes et femmes, une véritable discrimination entre les sexes, au seul profit des hommes. Il suffit tout simplement de lire le coran, de consulter nombres de ses sourates, elles sont fort connues, il n’y a que les aveugles qui ne veulent pas l’admettre et ceux qui ne lisent que le marxisme-léninisme dans le texte, comme les Sandrine Rousseau, Manon Aubry, Rima Hassan et autres mélenchonistes convaincus, du moins ceux qui parmi eux, savent lire. Jamais aucune haute autorité morale musulmane n’a déclaré qu’il fallait renier certains versets et les rejeter, sauf d’ultras minoritaires qui sont voués aux gémonies.
Il n’est d’ailleurs que de se rendre dans un pays musulman, ou dans certaines banlieues de chez nous pour constater que lors d’évènements particuliers, comme un mariage, un enterrement, et je ne parle même pas de la présence dans une mosquée, il existe une véritable ségrégation entre hommes et femmes, un véritable apartheid.
Tout récemment, le comité d’éthique (sic) de la Fédération iranienne de football a convoqué pour une sanction, le joueur international iranien Ramin Rezaeian, et pourquoi ? Pour avoir commis un crime odieux, un outrage considérable, car il a tout simplement serré dans ses bras une supportrice avant un match du championnat national, ce qu’a rapporté l’agence de presse iranienne Tasmin.
Ce défenseur âgé de 34 ans, qui a joué pour des équipes belges et qataries, ainsi que 60 fois dans l’équipe nationale iranienne, risque pour son comportement inconciliable avec les règles de la charia, les sanctions les plus sévères. En effet, selon la loi islamique d’Iran, issue du coran, un homme ne peut pas avoir de contact physique même les plus modérés avec une femme, hors du cercle familial. D’ailleurs, la présence de femmes dans un stade était, jusqu’à une date récente strictement interdite. Tolérée aujourd’hui, cette participation est parquée, dans un endroit à part, hors la présence de toute gente masculine. En avril 2024, un gardien de but iranien, Hossein Hosseini avait été suspendu, après avoir enlacé une supportrice, crime bien évidemment intolérable et contre nature ! Il avait été condamné à une amende équivalente à 4.400 euros pour « mauvais comportement envers les agents de sécurité pendant le match ». En Iran et dans certains autres pays, il est interdit à une femme de pratiquer un sport sans une tenue qui recouvre sa tête et son corps.
En 2022, au moment des manifestations en soutien de la mémoire de Mahsa Amini, tabassée par des gardiens de la révolution et des femmes corbeaux, les joueurs du club d’Esteghlal qui avaient remporté la super-coupe d’Iran, avaient refusé de manifester leur joie lors de la remise du trophée. Car ne nous leurrons pas, c’est aussi ce qu’ambitionnent à la longue ceux et celles qui militent en France pour le port du voile dans l’espace public, à l’école ou dans le sport, ou pour avaliser dans les piscines ou sur les plages le burkini. Petit à petit on arrivera (on y arrive déjà dans certains territoires perdus de la république), à obtenir par la violence verbale, physique, l’endoctrinement, la manipulation, les pressions sociales ou familiales, cette situation intolérable pour nous français, nos coutumes, nos mœurs ancestraux. Il faut dire que l’aide que leur apportent bons nombres d’édiles d’extrême gauche et des associations gavées par les subventions publiques issues de nos impôts leur facilitent la tâche, nos gouvernants ne réagissant que très mollement, comme dans l’éducation nationale.
Affirmer, comme le soutiennent tous nos islamogauchistes, que le port du voile résulterait d’un choix ou d’une liberté est un mensonge fumeux, un de plus. C’est en réalité une arme contre la France et les lois françaises. Après le voile, viendra la ségrégation pure et dure et tout le reste. Pendant ce temps, chez nous, des joueurs de balle aux pieds reviennent sur la nécessité de faire barrage au RN, c’est leur seule cause ; les droits des femmes de par le monde et singulièrement dans les pays musulmans, ce n’est nullement leur priorité (Cf l’interview accordé par Marcus Thuram dans La Gazetta dello Sport). Comme c’est loin, très loin, d’être la priorité de la gauche française pour ne pas désespérer leurs bastions électoraux qui les portent à la Chambre des députés, invariablement, de scrutins en scrutins.
En tout cas, les autorités religieuses iraniennes ne manquent pas d’air. Le ministre des affaires étrangères de Téhéran, vient d’affirmer dans un grand pays démocratique, à Pékin même, que l’avenir de la Syrie ne devait dépendre que de ses habitant (cf Le Figaro du 27 décembre). C’est en effet à mourir de rire, si ce n’était pas tragique. Voilà un système, un régime qui a dominé la Syrie et le Liban depuis des décennies, qui a imposé sa loi, et qui ose aujourd’hui donner ce genre de leçons. Et dire que le ridicule ne tue pas.
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Notre Ami Eric Staelens, chef des Mousquetaires, est décédé cette nuit
Éric, à gauche, avec, autour de Jean-Marie Le Pen, quelques Mousquetaires dont Robert Dunoyer, disparu il y a quelques années.
Je viens d'apprendre avec une grande tristesse le décès, hier soir vers 23 h, de notre Camarade et Ami Éric Stealens. Militant exemplaire, doté d'un véritable charisme, calme et courageux et d'une gentillesse d'homme de qualité, Éric avait 76 ans. Depuis des années, il assurait la direction du service d'ordre, entre autres, lors de nos Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale à Rungis et de nos différentes réunions, tant à Paris qu'en provinces.
Fidèle à Jean-Marie Le Pen, il avait créé, au début des années 2010, avec toute son équipe, "Les Mousquetaires du Président" destinés a assurer la sécurité du Menhir lors de ses déplacements.
Il y a trois jours, nous avions échangé nos voeux de bon Noël. Evidemment, j'étais à cent lieux d'imaginer que, ce matin, j'écrirai ces lignes.
Nous reviendrons très vite sur cette triste nouvelle.
À Martine, son épouse, à ses enfants et ses petits-enfants, eux aussi engagés dans le combat pour la France, toute la rédaction de Synthèse nationale présente ses condoléances les plus attristées.
Roland Hélie
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Négociations sur la guerre en Ukraine: la forfanterie américaine
André Posokhow
Nous avons eu pendant quatre ans et nous l’avons encore pour une durée d’un mois à la tête des États-Unis donc du monde atlantiste – auquel nous appartenons malheureusement du fait des forfaiture des quatre cloportes qui nous ont servi de chefs d’Etat depuis trente ans – un politicien corrompu, belliciste et surtout gâteux. Il était et est toujours entre les mains et aux ordres du lobby sioniste des néo-cons de Washington dont l’ambition fondamentale est la domination militaire, économique, financière de l’ensemble de la planète au profit de la ploutocratie mondialiste. Cet agrégat de criminels a encore le temps, en 30 jours, de mettre le monde entier à feu et à sang pour empêcher Trump d’enclencher et de développer ses politiques.
La victoire électorale de Trump sur cette sanie a été ressentie comme la meilleure nouvelle de l’année 2024. Malheureusement il y a lieu aujourd’hui d’en douter très sérieusement.
Donald Trump, en pleine crise aiguë d’ubris, se répand jour après jour en fanfaronnades, injures et menaces insultantes à l’égard de pays et même de continents entiers : l’Europe, l’Amérique du Sud, la Chine, le Mexique et le Canada. On croit comprendre qu’il envisage d’annexer le Canada et le Groenland. Au nom de quoi, de quelles vertus, de quels mérites ? Il oublie que dans 30 jours il sera à la tête d’un pays qui n’a connu que des défaites depuis des décennies. Inimaginable naguère : l’arrogance, la soumission à Israël et les lacunes militaires des USA ont permis à des Yéménites généralement considérés comme des va-nu-pieds de transformer la mer Rouge en un lac privatif interdit aux porte-avions yankees.
Quant à la guerre en Ukraine contre la Russie, ce n’est pas du délire mais presque. Trump affirme être certain de s’entendre avec Poutine pour mettre fin en 24 heures à une guerre dont les USA et l’OTAN sont responsables et qui dure depuis quatre ans. Il argue de leurs bonnes relations – tout le monde sait que V.V. Poutine est un grand sentimental – pour lui faire des propositions qu’il ne pourra pas refuser, célèbre formule cinématographique propre à la nation gangster.
Guy Millière, dans un article du 3 décembre dernier, et d’autres ont présenté les grandes lignes de ce que le général Keith Kellog va proposer aux Russes au nom du président US, une fois celui-ci installé.
00:27 Publié dans André Posokhow | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 26 décembre 2024
MICHEL FESTIVI INVITÉ À L'ÉMISSION "PASSÉ PRÉSENT" SUR TV LIBERTÉS
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11:04 Publié dans Michel Festivi, TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 24 décembre 2024
BON NOËL !
10:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Gouvernement Bayrou : la réaction de Riposte laïque
L'éditorial de Cyrano de ce matin :
Les Français ont donc reçu leur cadeau de Noël avant l’heure, ils vont pouvoir passer un bon réveillon, ils ont un gouvernement, et quel gouvernement !
Comment dirait notre ami Patrick Jardin, ils nous ont collé tous les baltringues de compétition, mais là-dedans, il faut reconnaître que certains sortent du lot. Passons sur ceux qui sont conservés, ou, mis à part Bruno Retailleau, plus incontestable que jamais, et qui paraît l’homme fort du nouveau gouvernement, on se demande comment Bayrou a pu garder le va-t-en-guerre Lecornu, l’incapable Barrot, celui qu’un voyage au Tchad a suffi pour faire virer notre armée de ce pays, la corrompue aux méthodes de racailles Rachida Dati, la Pannière et sa transition écologique à deux balles, mais là n’est pas le pire !
Comment a-t-il pu reprendre le fourbe Moussa, réélu député grâce à la gauche, le pire ministre de l’Intérieur, mis à part le hors-concours Cazeneuve, de la Ve République, le félon qui a dissous plein d’associations, dont Génération Identitaire, une traîtrise qu’il devra payer un jour. Le plus drôle est que les juges gauchos vont prendre cette nomination comme une provocation !
Comment a-t-il pu reprendre la burne Borne, réélue député grâce à la gauche, celle qui a bafoué le Parlement en battant les records du nombre de 49-3 ?
Mais le pire n’est pas là ! Comment a-t-il pu reprendre Manuel Valls, celui dont plus personne ne voulait, celui qui avait fait ses adieux à la France, celui qui est revenu la queue entre les jambes, et qui a même réussi à ne pas se faire élire député de l’étranger en Espagne ! Les îles viennent de se prendre le cyclone de Mayotte, et ils reçoivent en outre Manuel Valls ! La présence de l’ancien Premier ministre de Hollande discrédite l’ensemble de ce gouvernement.
Bref, si Barnier a fait trois mois, on ne voit pas comment Bayrou et son gouvernement de vieux chevaux de retour et de bras cassés pourrait dépasser un mois, après ce qui apparaît comme un suicide programmé…
Source cliquez ici
10:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Gouvernement Bayrou : la réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France
Un communiqué de Thomas Joly, président du PdF :
Il aura fallu 10 jours au léthargique François Bayrou pour former un gouvernement composé de vieux briscards du macronisme. Avec, en guise de cerise sur le gâteau, le retour du calamiteux Manuel Valls.
Les Français s'en foutent royalement et ils ont bien raison. Ce gouvernement sans majorité a une espérance de vie équivalente à celle d'une bougie sur un gâteau d'anniversaire.
La crise institutionnelle reste totale. La Ve République agonise lentement mais sûrement.
Source cliquez ici
10:33 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 23 décembre 2024
Hervé Carresse - Ukraine : la bascule stratégique de Poutine ?
La guerre en Ukraine est sur le point de basculer. Donald Trump, récemment élu, mais seulement investi le 20 janvier 2025, a promis la paix en 24 heures à son arrivée à la Maison-Blanche, mais les tensions pourraient s’intensifier d’ici là.
Après des mois de négociations avec l’administration démocrate, Volodymyr Zelensky a finalement pu frapper le territoire russe en profondeur avec les missiles américains ATACMS. Une nouvelle étape que la Russie ne pouvait ignorer. Vladimir Poutine a donc annoncé l’utilisation de nouvelles armes, les missiles Oreshnik. Une véritable révolution dans la stratégie de la dissuasion à laquelle les Occidentaux ne semblent pas en mesure de répondre. Embrasement mondial tant redouté, chant du cygne des néoconservateurs ou chorégraphie guerrière, à quoi faisons-nous face ?
Pour répondre à ces questions, nous explorons les derniers développements sur le front ukrainien : l’utilisation des missiles ATACMS, le rôle des États-Unis, les déclarations de Vladimir Poutine et de Volodymyr Zelensky, l’impact de la communication et ses travers, mais aussi les enjeux stratégiques derrière ces actions.
Hervé Caresse, ancien colonel (État-Major de l’Armée de terre et Brigade de sapeurs-pompiers de Paris) et expert en gestion de crise analyse les implications de ces événements pour la Russie, l’Ukraine et le monde entier. Quelle est la portée réelle de la menace nucléaire ? La Russie est-elle encore capable de surprendre ? À quel type d’escalade faisons-nous face ?
Un décryptage essentiel pour comprendre les enjeux d’un conflit qui redéfinit l’ordre mondial.
17:41 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 12 janvier, Le Perrier (85) : galettes des Rois du Rassemblement vendéen
11:25 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Avec les communistes « français », les mensonges de l’histoire se perpétuent
Michel Festivi
Les communistes « français » sont aujourd’hui totalement affiliés, dans le cadre du Nouveau Front Populaire à l’extrême gauche révolutionnaire avec LFI comme mentor et patron. Les successeurs des staliniens alliés aux pires des trotskistes, d’aucuns se retourneraient dans leurs tombes ! Toute la gauche française s’est aussi pleinement incorporée à ceux qui soutiennent « que la police tue », et qui ont pour seuls objectifs, transformer la France en une sorte de Venezuela Chaviste. Dès lors, même si le poids du PC « F » est désormais moindre, il pèse toujours, par cette alliance, dans la vie politique française, d’autant qu’il reçoit périodiquement, le soutien d’hommes politiques aussi divers que Gérard Larcher, Edouard Philippe, Xavier Bertrand, Dominique de Villepin, Amédée de Courson et même du Président de la République, comme il l’a affiché lors de la Panthéonisation de Manouchian, assimilant le communisme à la liberté. De plus, les médias du système lui déroulent aussi le tapis rouge.
C’est dire, qu’il n’est pas innocent politiquement de voir le PC « F », participer à ces opérations de propagande, à ces opérations de falsifications historiques dont il a le secret, encore de nos jours. J’ai dénoncé tout cela dans mon livre paru en 2024 chez Dualpha, La désinformation autour du Parti communiste « français » cliquez ici, en approfondissant notamment l’affaire Guy Môquet, et j’ai rappelé les démonstrations de deux historiens qui sont allés aux sources et aux archives, Jean-Marc Berlière et Franck Liaigre, L’affaire Guy Môquet, enquête sur une falsification officielle, paru aux éditions Larousse en 2009. Ces deux brillants universitaires, recherches faites, ont pu affirmer en conclusion « il faut une belle dose d’imagination, ou beaucoup d’aplomb pour faire de Guy Môquet un résistant ». Ils ont établi par A+B qu’être otage n’était nullement synonyme d’être un résistant.
Rappelons rapidement, que du 23 août 1939 au 22 juin 1941, le PC « F » a soutenu « le pacte des diables » Hitler/Staline, en refusant de défendre le sol de la Patrie, puisque son Secrétaire général Maurice Thorez, avait déserté en temps de guerre, début octobre 1939, pour se réfugier en URSS, alliée des nazis, et que les députés communistes ont refusé de s’associer aux hommages rendus à la Chambre des députés, aux soldats français qui étaient sur le Front. Ensuite, après le 22 juin 1941, le PC « F » a totalement contrevenu aux ordres de la Résistance, la vraie, celle qui se battait depuis juillet 1940, en multipliant les attentats individuels, totalement contre productifs et qui affolaient les populations plutôt enclines à aider les résistants, et qui désormais y regardaient à deux fois. Maurice Thorez sera condamné le 28 novembre 1939 à 6 ans de prison et à la déchéance de la nationalité française pour désertion en temps de guerre. A l’hiver 1940, des anciens députés communistes dont François Billoux se proposeront par écrit, envers Vichy, d’être des témoins à charge, des délateurs, contre les accusés du futur procès de Riom.
10:39 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |