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dimanche, 09 mars 2025

Quand Macron prend ses désirs pour des réalités

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Le billet de Patrick Parment

Dans son interlocution télévisée, tout comme à la réunion des chefs d’Etat européens à Bruxelles (jeudi 6/3), outre un soutien quasi inconditionnel à Zelensky, Emmanuel Macron désigne la Russie comme étant notre principal adversaire. Il laisse même entendre que les Russes pourraient s’en prendre militairement à l’Europe.

Ce n’est qu’un pur phantasme de sa part, car rien, et certainement pas Poutine, ne laisse entendre qu’une telle attaque pourrait avoir lieu. Pour plusieurs raisons, dont la première et la plus évidente est que les Russes n’en ont pas les moyens – hormis le recours au nucléaire. Que d’autre part les Chinois s’y opposeraient pour la bonne raison que l’Europe est un débouché essentiel pour leur économie et qu’au passage, ils en profitent pour piller nos technologies. Une autre raison vient de voir le jour si elle se confirme : Donald Trump et Poutine seraient en négociation pour remettre en marche le gazoduc Nordsteam 2 qui ravitaille l’Allemagne sans passer par des intermédiaires. A en croire la presse britannique, bien mieux informée que nos médias.

A ne considérer que le plan militaire, s’il est vrai que l’Europe s’est singulièrement désarmée en raison de la protection tout à la fois de l’Otan mais plus encore du parapluie nucléaire américain, les poches de résistance seraient trop nombreuses pour empêcher la progression d’une armée russe. Notamment de la part des Polonais et des Baltes pour qui le Russe est un ennemi quasi ontologique.

Passons sur notre force de dissuasion nucléaire. Si nous sommes en mesure de faire des dégâts sur le territoire russe, la Russie a largement de quoi vitrifier l’Europe entière. Ni les uns ni les autres n’y ont intérêt. Donc, sur le fond, notre fameuse force de dissuasion ne sert à rien, si ce n’est dissuader les Russes d’avoir recours à la leur.  Autre raison enfin, on ne voit pas quel intérêt auraient les Russes à envahir l’Europe. Celle-ci est non seulement divisée mais d’une grande faiblesse stratégique. Ce que Vladimir Poutine a bien compris. Bien plus intéressantes, à ses yeux, sont les négociations à venir avec Donald Trump qui va finir par lever les sanctions. Car dans la géopolitique qui se dessine, la stratégie américaine est de reconnaître la Russie afin de la dissocier de la Chine qui reste la préoccupation majeure de Trump. Et dans ce jeu-là, l’Europe est totalement absente pour la bonne raison qu’elle n’est en rien une puissance sur laquelle il faut compter. Russes et Américains s’essuient les pieds sur le tapis européen. Nous payons aujourd’hui le prix de nos faiblesses.

La grande question qui se pose est de savoir si les Européens vont enfin se décider à se constituer en puissance et non plus se comporter en valets. De voir nos représentants crier au loup et l’inique von der Leyen proposer 150 Mds€ pour nous réarmer, relève de la fantaisie. Une grande partie de l’arsenal militaire européen est américain et dépend des américains, notamment en matière de communication, enjeu crucial de la guerre moderne comme le démontre le conflit ukrainien. Et que dire des drones ! Les Européens ont du chemin à parcourir pour parvenir à une esquisse de défense communautaire.

Enfin, la guerre en Ukraine, qu’elle dure ou non, est une épine dans le pied des Européens. Comme le souligne à juste titre Pierre Lellouche, les Ukrainiens ne gagneront pas une guerre qu’ils ont déjà perdue. Le problème qui se pose et que règleront - peut-être - Trump et Poutine est de savoir quel sera son statut. Sachant qu’elle ne rentrera pas dans l’Otan, que les Russes continueront d’occuper tout le Donbass et que son entrée dans l’Europe est plus que problématique.

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samedi, 08 mars 2025

8 mars, une journée de trop ?

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Thomas Joly, président du Parti de la France

Chaque 8 mars, une étrange cérémonie se répète : la Journée internationale des droits des femmes. Une journée qui, à bien y regarder, relève d’une absurdité presque insultante. Pourquoi faudrait-il un jour spécifique pour honorer la moitié de l’Humanité, comme si être une femme était une anomalie, une catégorie à part qu’il faudrait encourager ou protéger ? C’est là une condescendance insupportable. Aimer les femmes, c’est d’abord les considérer comme une évidence, et non comme une cause politique.

Mais les féministes, ces insatiables militantes du chaos social, ne célèbrent pas cette journée pour les bonnes raisons. Leur combat n’a rien à voir avec la mise en valeur de la féminité ; il s’agit au contraire d’un rejet de tout ce qui fait l’essence même de la femme. Elles revendiquent l’avortement de masse comme une victoire, brandissent le divorce comme une libération, glorifient l’asservissement des femmes au marché du travail au détriment de leur rôle familial. Elles prônent la déconstruction des identités sexuelles, encouragent une misandrie latente et ringardisent le modèle familial traditionnel qui a pourtant bâti notre civilisation. Pire encore, elles se rendent coupables d’un silence complice face aux véritables menaces pesant sur les femmes françaises : l’explosion des violences liées à l’immigration afro-musulmane. Là où le féminisme devrait défendre celles qui sont les premières victimes de cette insécurité grandissante, il détourne le regard, préférant accuser le patriarcat occidental, coupable commode et imaginaire.

Le féminisme moderne n’aspire qu’à une chose : transformer la femme en un homme comme les autres. Il faut qu’elle travaille, qu’elle boive, qu’elle séduise et qu’elle consomme comme un homme. Mais les femmes n’ont pas vocation à singer les hommes. Elles ne seront jamais leur reflet, et c’est tant mieux. Leur grandeur ne réside pas dans une imitation servile de la virilité, mais dans ce qu’elles sont intrinsèquement : la beauté, la douceur, l’élégance, l’équilibre du foyer, la force tranquille de la transmission. Ce ne sont pas des rôles imposés mais des qualités naturelles que la société devrait exalter au lieu de les nier.

Car c’est bien là que réside la vérité : la femme est un trésor. Elle est le complément parfait de l’homme, son alliée, son inspiration. Elle accomplit l’acte le plus noble qui soit : elle donne la vie. Aucun progrès technologique, aucune idéologie ne pourra jamais remplacer l’amour d’une mère, cet amour originel qui fonde les sociétés et façonne les civilisations. Voilà ce qu’il faut célébrer. Non pas une énième revendication politique mais un hommage sincère à celles qui, par leur présence et leur rôle unique, donnent un sens au monde.

En ce 8 mars, au lieu de se perdre dans des luttes stériles et destructrices, il est temps de se souvenir que la véritable grandeur féminine ne réside pas dans l’affrontement, mais dans l’harmonie.

Pour le blog de Thomas Joly, cliquez ici

 

Note : Marilena Grill a 16 ans en juillet 1944 quand elle se porte volontaire pour le service auxiliaire féminin de la République sociale italienne (RSI). Elle est affectée au bureau qui s'occupe de rechercher les soldats turinois disparus sur les différents fronts. Le 28 avril 1945, elle est enlevée chez ses parents par quatre partisans et après cinq jours de détention arbitraire, elle est assassinée d'une balle dans la tête. Elle n'avait pas encore 17 ans. Un crime de plus au (lourd, très lourd) passif des rouges... Communistes, assassins !

Le gouvernement de Giorgia Meloni vient de lui rendre hommage par l'émission du timbre que nous reproduisons en tête de cet article du président du Parti de la France. Une leçon de courage, de mémoire et de fidélité de la part de nos amis et camarades italiens que nos dirigeants hors sol feraient bien de méditer !

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17:45 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journée de la Femme : Sarah Knafo sera cet après-midi aux côtés du Collectif Némésis

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Collectif Némésis : cliquez ici

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Clairvoyant l'Italien...

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De la guerre

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L’académicien Jean-Marie Rouart dans un texte paru dans Le Figaro (8/3) intitulé : « Comment comprendre cet engouement pour la guerre qui semble saisir Emmanuel Macron ? » s’interroge sur le soudain prurit guerrier du président. Nous en avons extrait les passages suivants.

N’est-il pas irresponsable de jouer avec la troisième guerre mondiale ? Le jeu des alliances par effet de domino a montré tout à long du XXe siècle le risque qu’il y avait à se laisser entraîner dans des conflits qui ont abouti non seulement à la destruction de l’Europe, mais à la quasi-ruine des pays qui la composent. Est-ce donc l’exemple à suivre? Quant aux discussions de marchands de tapis sur la dissuasion nucléaire, n’a-t-elle pas quelque chose d’indé- cent au regard d’une menace aussi définitive ? Comment les grands responsables politiques peuvent-ils avec une sorte d’impudeur évoquer des situations qui entraîneraient à plus ou moins brève échéance la destruction d’une partie voire de la totalité de la planète ? La dissuasion nucléaire n’a pas été créée pour mettre le feu au monde au nom d’une générosité illusoire. Nous en avons payé déjà trop cher le prix.

(…) Autre question qu’à mon avis on ne se pose pas assez : qu’est-ce donc aujourd’hui qu’être patriote? Dramatisons : pour quel pays est-on prêt à mourir? La France ? L’Europe, mais laquelle ? C’est une variante de l’interrogation de 1939 où l’Ukraine tiendrait le rôle de la Pologne : qui est prêt à mourir pour Dantzig ? Le feu nucléaire pose la question différemment. Il ne s’agit plus de mourir seul mais d’entraî- ner dans sa mort des milliers, voire des millions d’hommes, de femmes et d’enfants. Cela pose même la question de la survie de l’espèce humaine. Est-ce vraiment une menace sur laquelle nous avons réfléchi avant de jouer les apprentis sorciers ? Si patriote qu’on soit, on peut aujourd’hui se sentir un patriote de ce bien merveilleux, à la fois intime, personnel et universel, qu’est la vie. Mais il y aura toujours ceux qui, comme le docteur Folamour, le héros de Kubrick, préfèrent jouer les Sardanapale et, quitte à mourir, souhaitent disparaître dans un bain de sang collectif.

(…) Dans ce climat anxiogène dont le président Macron visiblement requinqué tire une nouvelle légitimité, on peut s’interroger sur ce qu’il adviendra réellement de ce projet d’« économie de guerre », sorti en hâte des tiroirs, ainsi que des 800 milliards que Madame von der Leyen veut jeter dans la balance. Ces grands spectres, accompagnés de gesticulations et de réunions d’urgence, sont une spécialité européenne. Les actes ont parfois du mal à suivre. Ce qui en l’occurrence serait plutôt rassurant pour ceux qu’alarme cette précipitation dans la perspective guerrière avant d’avoir épuisé toutes les négociations en faveur de la paix, y compris avec la Russie, espace européen de culture européenne. Car, soyons carrément anticonformistes, il n’est pas inutile de donner une chance à la paix.

Source : Figaro 8/3/2025

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Journal du chaos

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vendredi, 07 mars 2025

Le petit théâtre de la peur

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Thomas Joly, président du Parti de la France
 
Emmanuel Macron et le système politico-médiatique qui l’entoure ont un modus operandi bien rodé : terroriser les Français pour mieux les manipuler. Hier, c’était le Covid, avec des discours hystériques qui ont justifié des mesures liberticides absurdes. Puis est venu le réchauffement climatique, utilisé comme un prétexte pour imposer des taxes et des restrictions sans fondement. Aujourd’hui, c’est la Russie : un péril monté en épingle pour justifier l’alarmisme et la soumission.
 
Mais regardons les faits : où est l’invasion russe de l’Europe qu’on nous promet ? Où sont les preuves de cette guerre imminente qui justifierait que la France se précipite dans un conflit qui n’est pas le sien ? Encore une fois, il ne s’agit pas d’informer, mais de conditionner, d’angoisser, de sidérer. Et ça marche ! Malheureusement, cela fonctionne surtout sur les plus crédules, notamment la génération des boomers, ce bastion électoral du macronisme et du centrisme mou, toujours prête à gober la propagande servie par les éditorialistes du Système.
 
Ce petit théâtre de la peur n’a qu’un but : détourner l’attention des vrais problèmes. La France s’appauvrit, s’effondre, perd sa souveraineté, est grand-remplacée, pendant que Macron amuse la galerie avec ses discours inquiétants. Il est temps de dire stop. Il est plus que temps de se débarrasser de cette clique nuisible qui ment aux Français, qui les infantilise et qui affaiblit notre pays.
 
Assez de manipulations, assez de soumission ! Retrouvons une France forte et libre.
 
Site du PdF cliquez ici

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18:00 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les enseignements des législatives allemandes

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol 

Le 23 février dernier, soixante millions et demi d’Allemands votaient pour désigner leur nouveau Bundestag, suite à la dissolution de la vingtième législature prononcée le 27 décembre 2024 par le président de la République fédérale.

L’élection se déroule selon un mode de scrutin mixte original. Chaque électeur détient deux voix. Sur le même bulletin de vote se présentent deux colonnes. La première concerne le mandat direct : 276 circonscriptions au scrutin majoritaire uninominal à un seul tour. La seconde porte sur une liste présente au niveau du Land, soit 354 sièges répartis à la proportionnelle selon la méthode de Sainte-Laguë qui favorise les minorités. L’électeur coche donc à deux reprises sans forcément choisir la même formation politique. L’accès au Bundestag suppose d’obtenir 5 % au niveau fédéral ou bien de gagner trois mandats directs qui annulent ce seuil. Il est enfin possible pour une personne d’être à la fois candidate à un mandat direct et de figurer sur une liste régionale.

Une participation de 82,54 %, soit près de six points et demi de hausse, marque ces élections anticipées. Il faut remonter aux législatives de 1987 pour observer un si fort engouement civique. La brièveté de la campagne électorale n’a pas empêché un réel intérêt accru par les attentats islamistes allogènes à la voiture et au couteau. La tendance finale confirme une fragilisation partielle du consensus outre-Rhin.

Les listes de la coalition CDU – CSU arrivent en tête avec 28,52 %. Certes, elles remportent l’élection, mais leur résultat se trouve en dessous des 30 % prévus par les sondages. Pressenti pour devenir le prochain chancelier fédéral, Friedrich Merz est dès à présent vulnérable, car ses 208 députés n’arrivent pas à la majorité absolue de 316 sièges.

Le chancelier sortant, le social-démocrate Olaf Scholz, perd son pari de conserver son poste. Avec 16,41 %, le SPD réalise la plus mauvaise contre-performance électorale de son histoire. Perdant 86 sièges, les 120 heureux élus vont sûrement exiger quelques comptes à Scholz qui, tel un Biden obstiné et têtu, n’a pas voulu renoncer au profit de l’actuel ministre de la Défense, Boris Pistorius, plus populaire que lui d’après les enquêtes d’opinion.

Les libéraux-démocrates du FDP sortent du Bundestag avec 4,33 %. Dès l’annonce des premières tendances désastreuses, leur chef de file, Christian Lindner, a démissionné de la présidence du parti et quitté la vie politique active. Ce vote confirme le déclin du FDP qui n’est plus représenté que dans neuf Länder sur seize. Bien que perdant 33 sièges, les Verts restent relativement stables (11,61 % et 85 députés). Leur programme belliciste en politique étrangère et liberticide en politique intérieure ne gêne pas leurs électeurs nantis désormais bien souvent retraités. Certains responsables Verts seraient néanmoins favorables à une entente gouvernementale avec Friedrich Merz. Mais cette hypothétique alliance noire – verte impliquerait un gouvernement minoritaire.

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10:59 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Entretien avec François Fillon

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Voici belle lurette que l’on avait oublié François Fillon, fort injustement poursuivi par une justice, une fois de plus, aux ordres du pouvoir politique. Si la qualité de nos hommes politiques d’aujourd’hui est leur médiocrité, ils n’en cultivent pas moins la rancoeur et n’oublient jamais de régler leurs comptes. Tous nos chefs d’Etat depuis De Gaulle n’ont pas dérogé à cette règles – on se souvient de Chirac à l’égard des balladuriens.

Sa défaite a amené François Fillon à se retirer du marigot au fort relent de lisier. Pour la première fois depuis longtemps, il a répondu aux questions de Tugdal Denis dans Valeurs actuelles. Et l’on découvre un homme d’une extrême lucidité face au monde de chaos dans lequel nous ont précipité nos politiques. Il aborde ici tous les sujets, qu’ils soient nationaux ou internationaux, au point que nous sommes les premiers à souscrire à ses analyses pour la bonne raison que cela fait des décennies que nous claironnons la même chose.

Lire l'entretien ICI

Source : Valeurs actuelles 6/3/2025

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jeudi, 06 mars 2025

Le sport, le terrain de prédilection des islamistes pour conquérir la jeunesse 

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Michel Festivi 

Julien Odoul, député RN de l’Yonne (ci-dessus), vient de donner un entretien à Valeurs Actuelles, suite à ses travaux, dans le cadre d’une mission flash, sur le communautarisme et le séparatisme islamique dans les milieux sportifs, le moins que l’on puisse en dire, est que le mal est particulièrement profond. Le monde du sport est désormais la cible prioritaire des islamistes, nous dit-il. Ce sont des prières dans les vestiaires, des joueurs qui refusent de serrer la main d’une arbitre ou d’une joueuse femme, des genoux cachés, la généralisation du port de collants même en plein été, la présence de drapeaux palestiniens dans les gymnases, etc. On y trouve pèle mêle, des demandes de vestiaires séparés pour les musulmans et les non-musulmans, l’adaptation des calendriers sportifs aux fêtes religieuses et notamment lors du ramadan, le refus dans certains sports de s’incliner devant son adversaire après le combat, comme au judo, car on se s’incline que devant Allah.

La multiplication des certificats médicaux préconisant un port de casque, pour palier le non port du voile, devient légion, le refus de certains clubs de créer des sections féminines, l’utilisation d’un signe emblématique de la religion musulmane comme logo sur un maillot, cela avait d’ailleurs conduit le préfet de l’Hérault à retirer l’agrément du Sète olympique football club. Des messages relayés sur les réseaux sociaux pour des rituels de prière, avait aussi amené au retrait de l’agrément de l’Avenir sportif de Juvignac, tout cela est souligné dans ce rapport.

De 25 à 130 clubs seraient ouvertement islamistes, dirigés par des Frères musulmans, seuls deux ont vu leur agrément retiré, plus de 500 clubs sont confrontés à une montée en puissance de l’intégrisme islamiste. Enfin Julien Odoul évoque des clubs « totalement submergés par des pratiques communautaires qu’ils n’arrivent plus à endiguer ». Car la règlementation est floue voire contradictoire, comme dans le basket par exemple, où la fédération au niveau national interdit tout signe religieux et politique, mais au niveau universitaire, le port du voile est autorisé, les arbitres sont perdus, d’où la nécessité d’une règlementation unique et s’imposant partout et à tous.

La proposition de loi voté au Sénat sur l’interdiction de tout port religieux et politique semble aller dans le bon sens, Julien Odoul souhaite la création, au surplus, d’une plateforme centralisée de tous les signalements, pour faire réellement remonter les informations, car beaucoup de clubs baissent actuellement les bras, avec publications régulières des données ainsi récoltées. Le parlementaire préconise qu’il soit imposé aux fédérations de signaler tous les incidents, avec des agents de liaison du ministère de l’Intérieur auprès du ministère des Sports.

S’il a conscience que, verbalement, le ministre de l’Intérieur et la ministre des Sports semblent se montrer favorable à ces mesures et à cette proposition de loi, il craint fort qu’elle n’atteigne jamais l’examen par l’Assemblée nationale, car les gauches et les extrêmes gauches sont vent debout contre cette proposition, et le bloc central, par crainte, par pusillanimité est divisé sur ce texte, et ce malgré le très large consensus de l’opinion publique et des Français.

Il fustige les sportifs professionnels qui s’emparent de dossiers politiques, notamment au moment des élections, ainsi qu’à l’égard de différentes fédérations internationales qui n’ont pas toutes la même réglementation. Ce flou profite aux islamistes qui savent parfaitement s’infiltrer dans tous ces interstices.

La collègue de Julien Odoul, Caroline Yadan, députée Ensemble pour les Français hors de France, corapporteuse de cette mission confirme « la réalité de ces dérives est inquiétante et affecte plus particulièrement le football, les sports de combat et, dans une moindre mesure, le basketball ». Hassan al-Banna, fondateur des Frères musulmans avait bien perçu que « le sport est un moyen pour nous. ». C’est aussi l’avis de Madame Sophie Germain, directrice générale de la ligue Paris Ile-de-France de football « les clubs deviennent des lieux de conquête, des tentatives de pénétration d’instances dirigeantes sont à craindre », « dans certains territoires, la côte d’alerte est dépassée », comme les deux députés le soulignent. La fédération française de taekwondo, se refuse elle, à sanctionner celles qui portent l’hidjab, contrairement à ce qui se passe dans le Basket. Car tout cela est aussi facilité par le manque de vigilance de certaines fédérations, comme nos deux députés le mettent en relief.

Des municipalités, comme celles de Grenoble, ont autorisé le port du burkini dans leurs piscines, avant que le Conseil d’État n’y mettre le haut là en 2022. Mais il est toujours admis à Rennes. La ville de Noisy-le-Sec en Seine-Saint-Denis, avait consenti à des matchs de basket pour s’opposer au non port du voile. Par contre la municipalité de Montauban avait privé de subventions et d’accès au gymnase de la ville, un club de boxe soupçonné d’islamisme. Certains présidents de fédérations reçoivent des menaces de mort, de fortes pressions familiales ou communautaires interviennent souvent avec des menaces. L’hétérogénéité des règles entre fédérations, sports organisés, sports de loisir, écoles ou universités permet tous les agissements militants des islamistes.

Le ministère des Sports n’aurait aucun outil spécifique à sa disposition et Caroline Yadan met en exergue « la frilosité de ce ministère, qui ne veut surtout pas de vagues. ». L’intervention du législateur est donc très attendue, pour donner des armes fortes à tous ceux qui entendent s’opposer à cet entrisme islamiste. Espérons que l’Assemblée nationale s’empare au plus vite de la proposition de loi votée au Sénat il y a quelques jours. Les Français qui sont très majoritairement favorables à ce texte, verront ceux des députés qui par lâcheté ou par souci électoraliste, ne voteront pas en sa faveur. Nous savons déjà que les Lfi, les écologistes, les socialistes, les communistes écarteront ces propositions, tout dépendra en réalité de ce bloc central et de l’attitude du gouvernement. Ensuite, tout reposera sur la décision du Conseil constitutionnel.  

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23:38 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans le nouveau numéro de La Lettre des Amitiés franco-espagnole : un dossier consacré au général Franco

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Le Cercle Franco-Hispanique, fondé le 20 novembre 1984, par Olivier Grimaldi, s’est fixé comme mission d’entretenir des liens étroits et fraternels entre les nationaux et nationalistes français et les différentes composantes du mouvement national espagnol. Le CFH contribue activement à faire connaître en France la pensée et l’action du fondateur de la Phalange, José Antonio Primo de Rivera, héros et martyre de la cause nationaliste ibérique et la victoire franquiste dans la croisade espagnole contre le bolchevisme.

Éditorial :

Chers Amis,

En 1981, Georges Gondinet exprimait sa « volonté de changer radicalement de société, la volonté de mettre à bas un système inhumain ». (…) « Nous devons, plus que les mouvements nationaux d’avant-guerre donner une dimension spirituelle, transcendante à notre combat, en dépassant certaines limites propres au nationalisme. Nous devons unir la Tradition et la révolution. Contre la Subversion. En attendant l’aurore, si prodigieusement pressentie par la Phalange espagnole ».

Si nos commémorations sont précédées ou suivies d’une messe, c’est parce que nous sommes dans la fidélité de la pensée de Jose Antonio Primo de Rivera et celle du Général Franco à qui nous consacrons notre dossier à l’occasion des cinquante ans de sa mort. « Nous voulons implanter une justice sociale profonde, pour que sur cette base les peuples retournent à la suprématie du spirituel ». C’est ce à quoi le Caudillo, chef de l’État espagnol, s’est attaché pendant une quarantaine d’année.

La décadence de la France actuelle n’est pas que matérielle. « La République, bien-pensante et permissive, incapable de protéger les siens, laisse se répandre les horreurs, asservie à un discours progressiste qui dissimule des maux qu’elle a elle-même engendrés. Le système judiciaire, asphyxié par des années de réformes laxistes, est devenu impuissant face à la criminalité grandissante » (Frédéric de Longpré) ce qui ne l’empêche pas de trouver le temps et l’argent des contribuables pour condamner Yvan Benedetti à trois mois de prison pour avoir voulu déposer des fleurs sur la tombe de Pierre Sidos, tout en laissant les tombes de Jean-Marie Le Pen, Charles Maurras, Maurice Barrès et Robert Brasillach être profanées.

« Un peuple sans morale est un peuple sans avenir ». Le nationalisme n’est plus une option. Il est urgent de redonner au peuple sa fierté et son honneur, de ne plus perdre de temps à voter pour les partis du système.

Hélène Grimaldi

Sommaire :

  • Éditorial d’Hélène Grimaldi
  • En Espagne
  • En France
  • Dossier : Francisco Franco Bahamonde (partie 1)
  • Brèves
  • Requiescat in pace

Renseignements : cfh.grimaldi@free.fr

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23:36 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La vision russe de Xenia Fedorova à Bistro Libertés

Xenia Fedorova, présidente-fondatrice de Russia Today France, est l’invitée spéciale d’Eric Morillot, accompagnée des sociétaires André Bercoff, Anne-Laure Bonnel, Philippe Pascot et Nicolas Conquer.

La fermeture de C8 fait tragiquement écho à celle de RT France dès le début de la guerre en Ukraine. Cela témoigne du refus de permettre la diffusion de points de vue contradictoires qui est pourtant la base de la démocratie.

Cette "cosaque de l’info" a été finaliste d’un prix TEFI, équivalent russe des Emmy Awards, pour sa couverture du conflit en Géorgie en 2008. Elle publie ce jour "Bannie - Liberté d'expression sous condition", un livre choc qui dénonce l’organisation de la désinformation en France et les manœuvres qui ont conduit à la fermeture de RT France. 

Emmanuel Macron l’a accusée d'être un agent du Kremlin… comme s’il était anormal pour un journaliste d’exposer le point de vue de son propre pays comme le fait la BBC, qui émet dans le monde entier en 40 langues.

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Conférence de Lucien Cerise à Tournai ce samedi 8 mars « Géopolitique nietzschéenne : de Trump à l’Ukraine »

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L’exposé de Lucien Cerise souhaite apporter un regard sur l’actualité géopolitique inspiré par la pensée de Friedrich Nietzsche et la sociobiologie. Comme tous les êtres vivants, les civilisations sont animées d’un mouvement vital expansionniste exprimant leur volonté de puissance. Après avoir dominé le monde pendant quelques siècles, l’Occident était animé depuis quelques années d’un mouvement expansionniste contre-productif, morbide et inefficace, fondé sur l’idéologie de la société ouverte, le wokisme et le LGBT.

Cette doctrine dite progressiste a conduit au recul de l’Occident sur la scène internationale et à son effondrement suicidaire sur lui-même. L’exemple (ou contre-exemple) de l’Ukraine sera commenté, car il fournit un cas d’école chimiquement pur de cet expansionnisme nihiliste et profondément inefficace de l’OTAN, de l’Union européenne et des réseaux Soros. Face à cela, que signifie le phénomène Donald Trump et MAGA/MEGA d’un point de vue nietzschéen ?

C’est le retour d’un expansionnisme occidental vitaliste et se donnant les moyens de l’efficacité retrouvée.

La conférence débutera à 14 h 30 et sera suivie d'une séance de questions/réponses et d'une dédicace.

Si vous êtes intéressé par cet événement, vous pouvez vous y inscrire en suivant ce lien.

- Frais de participation : 10 euros

- Présence d’un stand Kontre Kulture et d'une buvette

- L’adresse vous sera communiquée le matin par e-mail

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La censure est bien là !

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Robert Spieler

Une censure sans précédent se banalise dangeureusement dans notre pays, note Boulevard Voltaire : début janvier, sur France Inter, Jean-Noël Barrot, ministre des Affaires étrangères, a menacé de couper l’accès au réseau social X (anciennement Twitter), où s’informent des millions de Français, à l’image des 120 000 abonnés qu’y compte le média Boulevard Voltaire — une menace que seuls des États comme l’Afghanistan, la Chine ou l’Iran ont osé mettre à exécution jusqu’à présent. Une enquête contre le réseau a été ouverte par le Parquet de Paris.. Depuis quelques se- maines, les administrateurs de Reddit, l’un des forums de discussion les plus visités sur Internet, effacent systématiquement toute référence à des médias comme CNews, le JDD ou Valeurs actuelles qui disparaissent ainsi des écrans. Fin février, c’était C8 qui était supprimée de la TNT malgré des re- cords d’audience. CNews croule sous les amendes infligées par l’Arcom. La ministre du Numérique, Clara Chappaz, s’est, quant à elle, attaquée au réseau X, exigeant « que les opinions qui seraient de fausses opinions puissent être sorties de la plateforme ». On nage en plein Orwell. Elle a tenté de se rat- traper en disant qu’elle voulait éradiquer « les fausses informations ». De quel droit un gouvernement pourrait-il décider quelle est la Vérité ? Le président de la République et son ministre de la Culture ne cachent pas non plus leur projet d’organiser la “certification” officielle de l’information, ce qui revient à la filtrer. Tout cela, bien sûr, pour vous protéger des « Fake news » qui circulent sur la Toile. Comme nous sommes de grands malades, la directrice de la radio officielle, Radio France, est allée jusqu’à présenter ses programmes comme une “thérapie”. Il faut oser... Quant à France 2, chaîne, paraît-il, de service pu- blic, elle ment et diffuse avec un culot in- croyable de fausses informations. C’est ain- si que récemment, l’émission Complément d’enquête certifiait « l’absence d’impact de l’immigration sur la délinquance » en dépit de toutes les statistiques. Et puis, on se sou- vient de l’amende de 100 000 euros infligée à CNews où, lors d’une émission religieuse, un intervenant assimilait l’avortement à « une cause de mortalité ».

En revanche, aucune sanction n’a été prise contre l’émission Quotidien de TMC qui fai- sait croire faussement que Jordan Bardella était incapable de répondre à une question alors qu’il y avait répondu sans hésitation. Mais demain, cela risque d’être pire, nous alerte Boulevard Voltaire, si la commission d’enquête de l’Assemblée nationale fait ap- pliquer ses conclusions, qui visent à placer sous le contrôle de l’Arcom « l’ensemble des médias en ligne ». Conclusion de Boulevard Voltaire : « Ils vont user de tous les leviers à leur disposition pour tenter de reprendre le contrôle sur l’information et l’opinion publique, et refermer chacun des espaces de liberté qui s’étaient enfin ouverts. Si les gardiens du médiatiquement correct ne ren- contrent pas une opposition suffisante, leur étau se resserrera inexorablement sur toutes les sources d’information à votre disposition et les idées présentes dans le débat public ».

Source : Rivarol 5/3/2025

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Les Européens ne desserreront pas l’étau en claironnant

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« La dépendance européenne (à l’égard de l’Amérique) ne cessera pas à coup de proclamations officielles. D’autant que cette dépendance militaire et énergétique est amplifiée par les choix d’une présidente de la Commission dont le premier réflexe face aux menaces de guerre commerciale a été d’assurer à Donal Trump que le Vieux Continent achèterait du gaz naturelle liquéfié et des armes aux Etats-Unis ». Et Natacha Polony de poser la bonne question. : quels sont les buts de guerre que les Européens poursuivent ? Et Jusqu’où va-t-on baisser notre froc se demande l’éditorialiste dans son édito de Marianne – quoique virée de la direction de la rédaction elle conserve néanmoins un édito. On notera au passage que l’hebdomadaire fond comme neige au soleil avec le départ d’une partie importante de la rédaction. Et sa nouvelle orientation, style centro-révolutionnaire – en fait de gauche -, ne risque pas de convaincre dans le bourbier médiatique actuel.

Lire la suite ICI

Source : Marianne 6/3/2025

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En finir avec les nains de Bruxelles : redevenons maîtres de notre destin

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Il est plus que temps de lire

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Macron : l'insignifiant aux yeux de l'Histoire.

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Thomas Joly, président du Parti de la France
 
Emmanuel Macron, fidèle à son habitude, a livré ce soir un discours empreint de grandiloquence, tentant désespérément de se hisser au rang des grands hommes d'État, alors qu'il demeure insignifiant aux yeux de l'Histoire.
 
Il agite la menace russe comme un épouvantail, une chimère déconnectée des réalités géopolitiques actuelles. Cette posture belliciste n'est qu'un écran de fumée destiné à masquer son incapacité à comprendre les véritables enjeux internationaux.
 
Certes, l'augmentation des dépenses militaires pourrait être perçue comme une nécessité. Cependant, la motivation qui l'anime est erronée, guidée par une vision déformée des menaces réelles et une volonté de plaire à une certaine élite mondialiste.
 
Quant à son propos sur le partage de notre bouclier nucléaire, il reste d'une opacité inquiétante. Cette ambiguïté témoigne soit d'une méconnaissance profonde des enjeux stratégiques, soit d'une manipulation destinée à embrouiller les esprits.
 
Enfin, sa volonté de convaincre Donald Trump de renoncer aux droits de douane sur les produits européens relève de l'utopie. Sans stratégie claire ni moyens concrets, cette ambition s'apparente davantage à une posture qu'à une réelle intention diplomatique.
 
En somme, Emmanuel Macron persiste dans sa quête vaine de grandeur, multipliant les discours creux et pompeux, sans jamais saisir l'essence des défis auxquels notre Nation est confrontée.
 
Parti de la France cliquez ici

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09:00 Publié dans Communiqués de presse, Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 05 mars 2025

Pas d’avocates voilées dans les prétoires ! Cachez ce voile que je ne saurais voir.

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Michel Festivi  

Les islamistes, poussés par les Frères musulmans et les salafistes tissent leurs toiles partout en France et en Europe pour imposer leur tyrannie théocratique. Il n’y a pas un pan de la société qui n’en soit affecté. Tel un cancer, les métastases se développent pour tuer le corps social et parvenir à ses fins. Le voile, nous le savons, est le fer de lance de leurs actions, le symbole de leur volonté de conquérir les terres non encore définitivement soumises à l’islam.

La justice, et notamment les tribunaux n’ont pas échappé à ce djihad du croissant. Le Conseil national des barreaux, le CNB, chargé par le législateur, d’unifier les règles de la profession d’avocat, notamment celles de la déontologie, avait en 2023, édicté un complément à la norme qui veut, par souci d’égalité, que dans l’exercice de leur profession, les avocats portent la robe noire, en interdisant « le port de tout signe distinctif, autre que la robe ».

Car des avocates voilées, avaient tenté de venir plaider et se présenter ainsi vêtues devant des juridictions. En 2015, une étudiante-avocate s’était produite ainsi à un concours d’éloquence à l’école d’avocat à Paris. Plusieurs ordres avaient alors introduit dans leurs règlements intérieurs des dispositions prohibant les ports de signes religieux ostentatoires. Dans un arrêt du 2 mars 2022, la Cour de Cassation avait jugé que le port de signes distinctifs de convictions religieuses, philosophiques, politiques, communautaires, n’était pas compatible avec le principe d’indépendance qui gouverne la profession d’avocat.

Dans sa décision du 3 mars 2025, le Conseil d’État vient rejoindre la jurisprudence judiciaire. C’est le très gauchiste Syndicat des avocats de France, le SAF, qui avait porté le cimeterre devant le Conseil d’État en soutenant, que les dispositions prises par le CNB « remettraient en cause la liberté d’exercice de la profession d’avocat ou les règles essentielles qui les régissent ». On reconnait bien là, l’argumentaire lfiste, des ultras gauchistes de l’islamophilie, qui sous couvert de liberté, tentent d’imposer leurs vues islamistes. Car la liberté a bon dos et est bonne fille ! C’est exactement les mêmes litanies pour les associations immigrationistes comme la LDH par exemple, lorsqu’elles attaquent des dispositions visant à interdire le voile ou le burkini.

Pour une fois, le Conseil d’État n’a pas été dupe de la manœuvre. Il a clairement statué « Il résulte de l’article 3 de la loi du 31 décembre 1971, régissant les règles de la profession d’avocat, qu’en imposant le port d’un même habit uniforme, le législateur a entendu exclure le port de signes distinctifs. Le Conseil des Barreaux s’est borné à préciser les modalités d’application de ces dispositions, sans ajouter des prescriptions nouvelles. »

Il s’agit pour la profession et pour les autorités, d’assurer l’égalité entre les justiciables, « conditions nécessaires du procès équitable », et ne pas avoir des avocats bariolés dans un grand n’importe quoi.  « L’objectif de les identifier par un costume qui leur est propre... est d’éviter qu’ils n’affichent, par leur apparence, des préférences personnelles, sans rapport avec la défense des intérêts de leurs clients. »

On peut prédire, que si demain, des avocates voilées avaient pu plaider, immédiatement après on aurait appris qu’au nom de la sacro-sainte liberté, certains demanderaient désormais à être jugés devant des tribunaux qui appliqueraient la Charia. C’est notamment déjà le cas en Angleterre, ou les musulmans peuvent être soumis aux lois islamiques, devant des tribunaux islamiques, qui décrètent ainsi que frapper sa femme est permis, qu’une fille doit hériter la moitié d’une part par rapport à un garçon, que l’adoption n’est pas permise, qu’un homme peut avoir quatre épouses et autant de concubines qu’il le souhaite ou le peut, que la répudiation par le mari de l’épouse est un droit fondamental etc....

Comme on le voit, le combat contre la volonté de l’islam d’imposer ses principes totalement incompatibles avec nos lois est quotidien. Je me dois aussi de souligner, dans cette même veine, que les gauches, qui se prétendent être les apologistes des libertés, qui se parent en permanence de toutes les vertus, pour s’auto-situer dans le camp du bien, viennent à l’Assemblée nationale, de refuser d’apporter leurs soutiens à Boualem Sansal et à sa libération.

Une résolution appelant à l’élargissement immédiat de Boualem Sansal, incarcéré depuis novembre 2024, dans les geôles du régime militaro-théocratique algérien, a été votée par la Commission des affaires étrangères. Seuls les députés LR, du bloc central, et du RN l’ont approuvée, tous les autres, les lfistes, les écologistes, les socialistes, se sont lâchement abstenus, les députés communistes avaient opportunément levé le siège avant le vote. On se doit de rappeler qu’à chaque fois qu’un scrutin a été émis pour condamner les crimes du communisme, soit en France, soit au parlement européen ou au Conseil de l’Europe, les communistes ou les lfistes ont toujours refusé de voter cette condamnation.

Enfin, tout cela ne semble pas beaucoup troubler les instances supérieures de l’Église catholique. Si le vice-président de la commission épiscopale vient de déclarer qu’il allait surveiller de très près ceux des chrétiens qui entendent pratiquer leur culte en respectant la messe traditionnelle au nom de la police de la pensée sans doute, la Basilique Saint Denis, qui accueille les tombeaux des Rois et Reines de France, organise une exposition sur des portraits de femmes, dont deux femmes voilées d’un voile islamique, qui se situent aux entrées de la nef puis de la crypte. Némésis a vertement condamné « une humiliation », « un symbole de soumission ».  La tactique islamiste est bien rodée. Dans un édifice hautement chargé d’histoire-la Basilique Saint Denis fut saccagée pendant les pires périodes de la révolution-, on y insère un élément totalement contraire et perturbateur, pour ensuite traiter d’intolérants, ceux et celles qui entendent relever l’ignominie de l’affaire. Décidément, l’Église officielle catholique française entend se soumettre, et ne semble toujours pas comprendre pourquoi, ses lieux de culte se vident, et que les grands pèlerinages de Chartres, par exemple, n’ont jamais connu, pareils succès, notamment auprès des jeunes.  

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19:10 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

EN ROUMANIE, LE PARTI MONDIALISTE INTERDIT D'ÉLECTION LE CANDIDAT NATIONALISTE

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Docteur Merlin 

Le 24 novembre 2024, Calin Georgescu (ci-dessus), déjouant tous les pronostics, tous les sondages, fait la course en tête de l’élection présidentielle roumaine avec 23% des suffrages exprimés.

C’est un coup de tonnerre à Bucarest, et les instances européennes fustigent évidemment des ingérences étrangères. TikTok, réseau social chinois est tenu pour responsable d’avoir permis des manipulations de l’électorat grâce à l’utilisation suspecte et frauduleuse d’algorithmes.

Qui est donc ce trublion ? Enseignant à l’Université, il fut expert environnemental, dirigeant d’une ONG écologiste puis délégué de la Roumanie au programme des Nations Unies pour l’environnement. C’est au sein de cette instance internationale qu’il prend conscience du pouvoir de la finance apatride et des oligarchies mondialistes, et des mensonges des pseudo-élites qui nous asservissent. Il est proposé comme premier ministre par l’Alliance pour l’Unité des Roumains (AUR) (parti conservateur désormais désigné comme « extrême-droite »). Après avoir « proféré » des propos « élogieux sur Antonescu (au pouvoir de 1941 à 1944 au côté des forces de l’Axe) et sur Cornéliu Zéléa Codréanu (chef de la Garde de fer assassiné par le pouvoir royal en 1938) : « Codréanu s’est battu pour la moralité de l’être humain », il est mis de côté.

C’est donc en candidat indépendant des partis qu’il sollicitait les suffrages de ses concitoyens. Devant ce résultat imprévu, et les sondages qui le donnaient vainqueur face à une candidate pro-européenne assez falote, les défenseurs européistes de la démocratie ont annulé le scrutin, deux jours avant le deuxième tour. La décision sera maintenue en appel, alors même que les manipulations sur les réseaux sociaux avaient pour origine le parti du président sortant, M. Iohannis. Ces apprentis sorciers espéraient, en favorisant Georgescu, faire baisser le score de George Simion, le dirigeant de l’AUR, à qui les sondages promettaient le second tour.

Depuis, il semble que le pouvoir aux abois (Georgescu serait crédité de 45% au premier tour des élections qui devraient se dérouler en Mai) tente par tous les moyens de l’empêcher de se présenter.

Lire la fiche de Calin Georgescu sur Wikipédia nous donne l’éventail parfait de tout le langage orwellien. Être pour la paix en Ukraine c’est être pro-Russe, prôner une politique indépendante pour la Roumanie c’est être complotiste etc…

À part la platitude de notre planète et le genre de notre première dame, tout y passe : fréquentations douteuses, tentatives de déstabilisation de l’État, révisionnisme, j’en passe et des meilleures. C’est un condensé de « premier degré, de mensonges, de propagande de bas-étage.

Mais pour qui connaît un peu l’âme du peuple roumain, qui a su résister à tous les envahisseurs grâce à leur langue, leur culture, leur foi et leurs traditions enracinées, il y a fort à parier que les milliers de manifestants qui défilent derrière le drapeau national ne sont pas près d’admettre le vol de leurs suffrages. Un grand souffle de liberté souffle aujourd’hui contre la toute puissance de Bruxelles et des politiciens plus ou moins corrompus, et il n’est pas près de retomber.

Puissent les mânes de tous ceux qui se sont dressés contre les oppresseurs de la nation roumaine les soutenir dans leur combat difficile et dangereux. Prions pour que Calin Georgescu déjoue toutes les accusations, tous les traquenards, toutes les manœuvres d’un pouvoir aux ordres de la commission européenne, cette dictature qui ne dit pas son nom.

On n’arrête pas un peuple en marche.

Et comme disent mes amis roumains : Dieu aide !

Fin connaisseur de la Roumanie, Docteur Merlin est l'auteur de plusieurs ouvrages sur Codreanu et sur la Garde de fer cliquez ici

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18:43 Publié dans Docteur Merlin, En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

5 mars 1953, mort de Staline : le monde était ainsi débarrassé d’un des plus grands criminels de l'Histoire

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Communiqué de presse d’Alexandre Simonnot (1) :
 
Le 5 mars 1953, le dictateur Joseph Staline mourrait.
 
Le monde était ainsi débarrassé d’un des plus grands criminels de tous les temps et de toute l’histoire. Il est bien évidemment impossible de rendre un quelconque hommage à cet abominable tortionnaire dont le XXe siècle se serait bien passé. C’est aux dizaines de millions de morts du stalinisme qu’il nous faut rendre hommage. Ces femmes et ces hommes spoliés, déportés, torturés, massacrés, éliminés par la barbarie stalinienne.
 
Ces millions de morts dont on ne parle jamais, ces millions de morts volontairement oubliés, ces millions de morts qui n’intéressent personne !
 
Surnommé à tort « le petit père des peuples », appellation désignant traditionnellement les Tsars de l’Empire russe, le tyran Staline était en réalité le petit père des pires exactions et des pires ignominies. Pourquoi ce silence sur les millions de morts du communisme ? Pourquoi n’évoque-t-on jamais ces génocides orchestrés par Staline ? Pourquoi ce silence sur les atrocités des Goulags ?
 
A quand toute la vérité sur ces exterminations de masse ? A quand un grand procès du communisme ? Le respect des morts ne se partage pas et il serait temps d’effectuer, à l’égard des victimes du communisme, un véritable et légitime devoir de mémoire.
 

1 - Alexandre Simonot est membre de la direction nationale du Parti de la France

 
NDLR SN : N'oubliez jamais que, hier comme aujourd'hui :

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Affiche du FJ collée en 1975

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10:32 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 04 mars 2025

Réglement de comptes à l’OTAN

La chronique de Philippe Randa

La menace de Donald Triump de faire sortir les États-Unis d’Amérique de l’OTAN avait « bouleversifié » la grande majorité des dirigeant de l’Union européenne. Comment osait-il ?

Comment ? On l’a vu !

Pourquoi ? Ça, il l’a expliqué : parce qu’il jugeait que les pays membres (les Européens) « ne contribuaient pas (assez) financièrement au fonctionnement de l’alliance » ! Un argument qui n’a pas vraiment convaincu les intéressés qui veulent bien de la « protection » de l’Oncle Sam, mais sans vouloir passer à la caisse, jugeant peut-être que celle-ci, si on ne jouait pas sur les mots, étant surtout une « soumission », il était inconvenant de leur demander en plus de payer leur vaseli… vasalité !

Et puis, patatras ! Le 47e président magistralement réélu outre-atlantique vient d’en rajouter une louche en recadrant en direct devant les caméras du Monde entier l’Ukrainien Volodymyr Zelensky, menaçant de lui couper les vivres. Il argue, pour cela, que la guerre, celui-ci et ses mécènes d’alors, notamment son prédécesseur à la Maison-Blanche Joe Biden l’avait bien cherchée.

D’où nouvel étranglement d’indignation dans le landernau des dirigeants des pays membres de l’OTAN, mais cette fois sur fond de panique : si les USA laisse tomber le président ukrainien, l’ogre du Kremlin ne pourrait-il pas alors ne faire qu’une bouchée de son pays dévasté, ruiné, épuisé… avant de se rappeler… à leur mauvais souvenirs ?

« L’Union européenne, ayant bavassé

tout le temps

Se trouverait fort dépourvue

si la menace russe survenait,

N’ayant guère de guerrier,

De soldat et plus de Rambo…

Elle crierait sans doute au secours

Chez le Cow-boy redevenu sheriff

Le priant de ne pas jouer à l’indifférent

— C’est pas l’moment,

On est vos alliés, tout d’même !

Mais the Donald n’ayant point d’humour ;

C’est là son moindre défaut :

— Que faisiez-vous au temps de paix ?

Pourrait-il répondre alors aux démunis.

— Nuit et jour, à tout venant,

Nous donnions des leçons, ne vous en déplaise.

— Vous donniez des leçons ? J’en suis fort aise.

Eh bien ! recevez-en maintenant… »

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18:50 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ARRÊTONS LES VA-T-EN GUERRE DE L’UNION EUROPÉENNE !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Depuis quelques jours, depuis que le président Trump a sévèrement sermonné son homologue ukrainien, les Européistes, paniqués à l’idée que le « grand frère » n’assure plus leur sécurité, nous jouent une étrange petite musique. Dérogeons à la règle « sacrée » des 3% de déficit, pour peu que la dette augmente pour réarmer l’Europe, nous susurre Ursula Von Der Layen, grande prêtresse du « zinzin » bruxellois…

Mais que ne l’ont-ils fait hors des compétences de la Commission européenne, avant que le conflit ukrainien n’éclate ? Pourquoi, parallèlement à l’OTAN, n’ont-ils pas mis ou tenté de mettre sur pied une coordination militaire spécifique entre Etats membres de cette Union européenne ? Une UE qui, telle l’eau des crues qui s’infiltre par tous les interstices d’une construction, s’invite aujourd’hui dans des champs hors de sa compétence ?

Les Occidentaux, aussi,  ont une lourde responsabilité dans le drame ukrainien

L’affaire ukrainienne était mal engagée. Les frontières internes de l’ex-URSS sont trop vite devenues des frontières internationalement reconnues. La Crimée, par exemple, russe depuis le XVIIIe siècle, n’avait été rattachée à l’Ukraine que par un artifice juridique de Nikita Kroutchev, alors tout puissant Premier secrétaire du PCUS, lui-même d’origine ukrainienne.

Les Occidentaux ont soufflé sur les braises, et ont fermé les yeux sur l’attitude de Kiev qui n’a pas respecté les accords de Minsk I et II, pourtant parrainés par la France et l’Allemagne. Angéla Merkel, chancelière d’Allemagne à l’époque, s’en est même vantée publiquement, « pour permettre à l’Ukraine de gagner du temps ».

Rappelons au passage qu’ils prévoyaient une consultation des habitants russophones du Donbass pour choisir leur avenir. On appelle cela l’autodétermination : il n’y a pas plus « démocratique ». Avec la perspective d’une éventuelle adhésion de l’Ukraine à l’Otan, Poutine a vu rouge et,  tel un taureau andalou réagissant à la vue d’un chiffon agité devant son museau, il a foncé, entrainant dans son sillage mort et destructions ! Il faut ajouter aussi pour être précis, que depuis un paquet d’années, les Ukrainiens bombardaient allègrement les zones sécessionnistes de Donetsk et de Lougansk, majoritairement russophones. On en parle moins que les bombardements russes, parfaitement odieux il est vrai, sur d’autres populations civiles. Bref, c’est un énorme gâchis humain dont les seuls Russes ne peuvent être tenus pour responsables.

Les Occidentaux – Américains et Européens confondus, au premier rang desquels la France de Macron -, en soutenant suffisamment Zelinsky pour résister mais pas assez pour vaincre, portent une lourde responsabilité dans ce drame, qui frappe des populations de même sang slave et de civilisation européenne. Et, à l’heure où les États-Unis disent « STOP » à cet effroyable gâchis, les petits marquis qui gouvernent cette Europe semblent vouloir en « remettre une couche » !

Macron,  « un chef de guerre » qui n’a pas « fait l’armée » !

Emmanuel Macron, qui se prend sans doute pour Jupiter, président légal mais pas légitime, semble vouloir prendre la tête de cette croisade, allant même jusqu’à mettre sur la table, le partage de notre force nucléaire, à tout le moins étendre à ses 26 partenaires  la dissuasion française.

Mais qui est-il, ce « chef de guerre », qui n’a jamais senti l’odeur d’une chambrée, qui ne sait pas ce que c’est que de faire son lit au carré, de balayer les « chiottes » contrairement au signataire de ces lignes, qui ne connait l’ordre serré que par les défilés qu’il admire, sans doute, depuis sa tribune lors du 14 juillet ? Oui, qui est-il pour engager, peut-être, tout une nation dans une voie dangereuse ? Le peuple lui en a-t-il donné mandat ?

Quel est l’intérêt vital de l’Europe ?

L’intérêt de l’Europe, sans être naïve certes, est une fois pour toutes, de faire une paix contractuelle avec la Fédération de Russie, pour le plus grand bienfait de nos économies respectives. En mettant, bien sûr, les points sur les « i ». En fixant les limites de son influence à son seul « étranger proche ». Il ne saurait être toléré aucune agression contre un pays signataire du traité de l’Atlantique Nord. Ce qui veut dire que si Moscou - ce qu’à Dieu ne plaise -, envisageait par exemple, d’attaquer l’Estonie pour rattacher, à sa frontière, la ville russophone de Narva, eh bien en vertu de l’article cinq du traité, « Un pour tous, tous pour un », nous viendrions au secours du gouvernement de Tallin.

Tel n’est pas le cas de la Moldavie, de la Géorgie ou de l’Arménie. L’Ukraine, quant à elle, devrait bénéficier d’un statut d’État neutre, comme l’était la Finlande avant qu’elle ne rejoigne l’OTAN. Rien ne pourrait empêcher, d’ailleurs, tous ces Etats d’envisager une fructueuse et mutuelle coopération avec les 27. À écouter les déclarations des uns et des autres, à lire la prose des médias mainstream et à regarder les émissions de télévision sur les chaines d’infos continu, on n’en prend pas le chemin. On dirait que l’on cherche plutôt à conditionner les opinions publiques, à leur faire avaler l’hypothèse d’une guerre à l’Est, avant qu’elle n’arrive chez nous !

Alors, à tous ces oiseaux de malheur, opposons et imposons la raison, la voie du dialogue et de la paix. Et, en dernier ressort, n’oublions jamais que, par exemple, « la Lorraine passerait avant l’Ukraine » !

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18:44 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Cassen défend la liberté d'expression

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15:34 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La conférence de Bruno Gollnisch aux Sables d'Olonne dimanche dernier

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15:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une macroniste pure jus reconnait l’ignominie, la lâcheté et le liberticisme de la Macronie !

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Michel Festivi 

Aurore Bergé n’est absolument pas ma tasse de thé, très loin s’en faut. Elle est quasiment ministre depuis 2017, et gesticule beaucoup pour des résultats insignifiants voire invisibles, sinon nuisibles. Elle est l’archétype de cette macronie qui fait crouler la France et qui ne règle jamais les vrais problèmes et difficultés des français, comme l’immigration massive, débridée et illégale ; la violence et la délinquance généralisée exponentielle ; le pouvoir d’achat en berne ; l’indépendance énergétique de plus en plus menacée ; l’industrie à la ramasse ; l’agriculture croulant sous des normes débiles ; sans compter des milliards d’euros jetés par les fenêtres pour l’Afrique, l’Ukraine, les migrants, la culture woke, les transgenres, l’Union européenne, argent qui manque tant aux français qui travaillent et qui souffrent.  Elle a participé avec d’autres, à toutes les atteintes à nos libertés et semble payer pour faire tout et n’importe quoi, comme s’attaquer aux salons de massages parisiens, qui seraient, selon elle, des maisons de tolérance ! La belle affaire, il est vrai que la France n’a pas d’autres priorités existentielles à régler !

C’est pourquoi, ce qu’elle vient de déclarer au magazine L’express, prend toute son importance et mérite d’être souligné. Elle a lancé une charge très sévère contre Gabriel Attal, en étrillant « ces désistements systématiques qui procèdent d’une forme de rétrécissement démocratique entravant le choix des français...ils sont suffisamment grands pour faire la différence, non pas entre deux, mais trois candidats ». Car elle croit « à une république du respect, pas à celle de l’infantilisation, pas à celles où les politiques donnent des leçons... il fallait laisser aux Français une liberté totale de choix et de vote. Car comment peut-on penser qu’on combat le RN en mettant un bulletin LFI dans l’urne ».

 Décortiquons ses propos. Effectivement, Macron avait à peine terminé son laïus sur la dissolution de l’Assemblée nationale, que Gabriel Attal, premier ministre, ordonnait péremptoirement, avec menaces voilées à l’appui, en levant le menton et en montant sur ses ergots, aux partis politiques du système de faire en sorte qu’il ne puisse rester que les deux candidats arrivés en tête à l’issue du premier tour, décrétant un désistement systématique du 3ème voire du 4ème candidat pouvant se présenter au deuxième tour pour faire barrage au RN. Lui emboitèrent le pas des LR, des socialistes, des communistes et tous ceux qui avaient vu d’un sale œil la large victoire du RN aux européennes. On a pu ainsi se rendre compte que des Macron, Attal, Borne, Philippe, Bertrand, Hollande, Jospin, Glucksmann, et consorts faisaient cause commune avec Jean-Luc Mélenchon et ses candidats islamistes, antisémites, acheteurs de drogue, violents ou fichés S.

C’est ainsi que près de 11 millions de français, qui avaient voté RN au premier tour de ces élections législatives furent volés de leur victoire annoncée, par un tour de passe -passe des plus anti-démocratiques qui soit.  Aurore Bergé le reconnaît, l’avoue. La liberté du choix des français n’a pas été respectée, c’est l’aveu explicite d’une macroniste des plus revendiquée. Gabriel Attal vient d’ailleurs de récidiver dans l’ignominie en faisant éditer pour le compte de son parti, une affiche renvoyant dos à dos le RN et LFI, alors que LFI tient des propos antisémites d’une violence inouïe et qu’elle soutient avec une constante militante des plus avérée, les islamistes et leur volonté de s’accaparer tous les rouages du pays et abattre nos traditions, nos coutumes, nos mœurs, adoubant le Hamas et autres organisations terroristes à l’image de l’une de ses élues, Rima Hassan. 

Mais immédiatement, nous vient à l’esprit, que celle qui dénonce ces atteintes gravissimes à la liberté d’expression et de vote, est un artisan de cette même décomposition française. C’est l’hôpital qui se moque de la charité, c’est le serpent qui se mord la queue. Il faut dire qu’Aurore Bergé est le prodrome du mal français. Elle a soutenu des UMP, des LR, même un temps François Fillon, pour se ranger ensuite, à la suite d’une multitude d’échecs électoraux, derrière Macron, en 2017, subodorant une carrière et des postes. Non sans un certain talent politicien, elle est parvenue, à se faire élire présidente de son groupe parlementaire, puis à être ministre. Pourquoi n’a-t-elle pas dénoncé avant, ce qu’elle dénonce aujourd’hui ? Ses propos auraient eu beaucoup plus de poids en juin et juillet dernier. Entend-elle supplanter Gabriel Attal ? Possible. 

Elle fustige « une république d’infantilisation », a qui la faute ? Nous atteignons là, le comble de l’indicible. Ceux- là même qui participent à ce système dévoyé, viennent donner des leçons. J’ai une solution toute simple pour limiter ce genre de magouilles permanentes. En finir avec des élections à deux tours et ce que ce soit aux municipales, aux départementales, aux régionales, aux nationales. Nous sommes le seul pays européen qui pratiquent un tel scrutin de voleurs. Ni en Allemagne, ni en Espagne, ni en Italie, ni en Autriche, ni en Grande Bretagne, ni dans les pays scandinaves, ni au Danemark, ni aux Pays-Bas, ni ailleurs ou comme aux États-Unis, les élections se pratiquent à un seul tour. Que ce soit des scrutins de liste, des scrutins uninominaux, ou un panachage des deux, avec plus ou moins de proportionnelle, les élections se font sur un seul tour, point barre.  

Les élections à deux tours favorisent toutes les magouilles, toutes les perversions, toutes les manigances et renforcent toujours les partis du système. Les élections à un seul tour ne sont pas parfaites non plus, mais elles sont claires et des alliances se feront après, et les électeurs pourront ensuite en tirer toutes les conclusions utiles. Des élections à un seul tour et des référendums possibles sur tous les sujets, voilà ce qu’il faut exiger pour que le peuple puisse avoir droit à la parole, enfin.

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15:24 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ukraine : Face à Trump et Poutine, Macron hors-jeu – Régis Le Sommier

Donald Trump a reçu à la Maison-Blanche une série de dirigeants européens : Emmanuel Macron, Keir Starmer et Volodymyr Zelensky. Malgré le soutien indéfectible des médias français à l’égard du président, force est de constater qu’il s’est rallié à la vision et aux exigences de Donald Trump lors de sa visite. Du côté du Britannique, l’épisode s’est transformé en humiliation.
Quoi qu’en disent les délires guerriers de l’Union européenne, Vladimir Poutine et Donald Trump marchent ensemble vers une solution de paix en Ukraine et Bruxelles et ses dirigeants sont sur la touche.

Un rapprochement entre les géants américain et russe qui rebat les cartes géopolitiques, faisant voler en éclat le mythe de l’Occident en parallèle de l’explosion de l’État profond néoconservateur.
Quel chemin vers la paix en Ukraine ?
Quel avenir pour l’Europe ?
Quelles places pour les géants du monde ? 

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11:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’Europe sans pistolet

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Vincent Trémolet de Villers

« Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent… » » Dans la brutaité des temps, c’est la doctrine de Sergio Leone qui gouverne les Etats-Unis. C’est sommaire, vulgaire, c’est la force qui l’emporte sur le droit, la société du spectacle qui atomise les raffinements diplomatiques ; c’est déplorable, mais c’est comme ça. Inutile de s’enivrer d’indignations, d’incantations, d’analogies historiques - Munich, Churchill -, nous sommes en 2025 et la France, soumise au grand chambardement trumpien, voit remonter à la surface des questions qui la hantent depuis soixante-dix ans. De Gaulle en 1963 : « Si elle n’est pas l’Europe des peuples, si elle est confiée à quelques organismes technocratiques, l’Europe sera une histoire limitée et sans avenir. Et ce sont les Américains qui en profiteront pour imposer leur hégémonie. » Philippe Séguin en 1992 : « Il ne faut pas rêver, demain, sans défense, sans diplomatie, la France n’aurait pas plus de marge de manœuvre que n’en a aujourd’hui... l’Ukraine. » Nous ne les avons pas écoutés. Nous avons délégué notre puissance et nous n’avions pas de plan B...

« Nous sommes forts et nous ne le savons pas », a dit, lundi, dans un discours de bonne tenue, le premier ministre. Certes, mais la force a été volontairement diluée dans une Commission européenne de plus en plus liquide. Comment croire que la machine bureaucratique qui nous a dépossédés de tous les attributs du pouvoir, qui a été pensée contre l’idée même de puissance, pourrait nous la rendre ?

« Emprunter, mutualiser, partager » ne fait ni une devise ni une « autonomie stratégique ». L’Europe n’est pas un empire : le cadre de la puissance, c’est l’État-nation. La geste héroïque de l’Ukraine en est la preuve vivante. Cela n’empêche pas les alliances in- dispensables entre États européens, cela n’empêche pas la défense d’une civilisation miraculeuse - mariage de la chrétienté et de la démocratie libérale -, mais cela nous oblige à revenir aux réalités premières. Seules des nations fortes peuvent construire ensemble l’indépendance européenne. À condition d’avoir des pistolets chargés.

Source : Le Figaro 4/2/2025

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11:54 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’État Macron protège les miliciens gauchistes payés pour casser du patriote

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L'édito de Cyrano

sur Riposte laïque cliquez ici

Trois exemples résument la lâcheté complice de l’État Macron, face aux agressions, aux violences et aux intimidations des gauchistes. Rappelons qu’à ce jour, aucune organisation se disant antifa ou Black Bloc n’a été dissoute, aucun casseur antifa n’est arrêté préventivement avant une manifestation, quand la répression s’abat sur les militants patriotes.

À Rennes, deux jeunes étudiants ont été massacrés devant la faculté de droit par une bonne dizaines de militants gauchistes, avec la complicité des services de sécurité de la faculté, parce que reconnus coupables d’être des « fachos », puisqu’ils militent l’un au RN, et l’autre à l’UNI cliquez ici.

À noter que parmi les courageux agresseurs figure le désormais célèbre Simon Buxeraud, qui s’était illustré lors des présidentielles, sur un marché de Tours, en train d’agresser, d’insulter et de cracher sur des militants de Reconquête qui auraient pu être ses grands-parents. Aucune poursuite n’avait été engagée, à notre connaissance, par le procureur de Rennes de l’époque, Philippe Astruc, qui a pourtant trouvé le temps de déposer plainte contre Riposte Laïque. L’État Macron laisse donc des nervis gauchistes massacrer des jeunes étudiants qui ont le tort de ne pas partager leur vision du monde.

Nous avons vu à Lorient, ce week-end, des faits qui pourraient prêter à rire s’ils n’étaient pas porteurs de menaces graves pour nos libertés. Deux mille militants de gauche et d’extrême gauche ont cru devoir manifester contre les prétendues violences d’extrême droite. Rien que l’intitulé de la manifestation n’aurait jamais dû être accepté, puisqu’elle est mensongère, les seules violences qui se déroulent dans le champ politique viennent de l’extrême gauche, et dans la vie quotidienne elles proviennent des racailles islamisées cliquez ici.

Comment des préfets peuvent-ils donner l’autorisation d’organiser des manifestations dont ils savent pertinemment qu’elles tourneront au vandalisme, aux agressions contre les forces de l’ordre, à des voitures brûlées et à des boutiques pillées ? C’est ce qui bien sûr s’est passé à Lorient, où, comble du ridicule, les gauchistes ont attaqué deux permanences socialistes, sans doute pour démontrer que les violences venaient des « fascistes.

Pour organiser une manifestation, il faut la déclarer et que quelqu’un en prenne la responsabilité. Les autorités demanderont-elles des comptes à l’organisateur de cette manifestation ? Bien sûr que non, pas davantage que quand, à Paris, Nantes, Rennes, Grenoble, les gauchistes cassent tout, avec une impunité garantie.

Enfin, aux Sables-d’Olonne, à l’invitation d’une association d’Anciens combattants locaux, le président du Rassemblement Vendéen, Éric Mauvoisin, organisait sa cinquième projection du film de Tommy Robinson, « Silenced ». Loin de diffuser ce film dans des endroits secrets, une salle municipale avait été réservée, le maire, Yannick Moreau, au grand dam des communistes locaux, avait donné son accord, et justifié la diffusion au nom de la constitution, qui garantit le droit de réunion et d’association. Bien sûr, les crasseux habituels, membres des partis de gauche, des syndicats et des associations, qui n’avaient pas vu le film, ont malgré tout demandé son interdiction pour racisme supposé, et manifesté dans les rues des Sables-d’Olonne samedi, et devant la salle dimanche cliquez là.

À noter que Ouest-France et les autres médias locaux gonflent grossièrement les effectifs gauchistes présents, tandis qu’ils divisent souvent par deux ou trois le nombre de patriotes présents. Les contre-manifestants n’avaient fait aucune demande de manifestation. Certes, les policiers ont remarquablement fait leur travail, mais s’ils avaient eu des consignes dignes de ce nom du préfet, ils auraient relevé l’identité de tous les manifestants présents et les auraient verbalisés pour leur présence dans une manifestation interdite. Enfin, il serait temps qu’un gouvernement digne de ce nom interdisent des manifestations qui n’ont qu’un seul but : perturber les initiatives d’adversaires politiques, coupables de « mal penser ». Il faut tout simplement interdire toute manifestation qui doit se dérouler le même jour qu’une manifestation.

Au lieu de s’en prendre systématiquement à la mouvance patriote, un gouvernement digne de ce nom interdirait la politisation des facultés, il arrêterait les antifas violents dont il connaît forcément l’identité, il dissoudrait toutes les organisations gauchistes coupables de violences et d’agressions – c’est-à-dire toutes – et il interdirait toute contre-manifestation.

Mais Macron, Bayrou et toute la gauche, européistes et immigrationnistes, sont bien contents de profiter des services des miliciens gauchistes pour intimider et agresser leurs seuls opposants, les militants patriotes, identitaires et nationalistes.

NDLR SN : à propos des Sables d'Olonne cliquez ici

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08:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 8 mars, à Paris : manifestation contre les va-t-en-guerre...

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08:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 29 mars 2025, à Paris, au Sénat : les 40 ans de l'AGRIF

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