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samedi, 04 octobre 2025

Sur Radio Courtoisie, Charles de Meyer, président de SOS Chrétiens d’Orient, répond aux attaques de Médiapart contre son association

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L'an prochain, Synthèse nationale aura 20 ans...

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07:23 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 03 octobre 2025

La condamnation de Sarkozy est révoltante. Et c’est tant mieux !

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Audrey D’Aguanno

La chute d’un puissant a un petit un quelque chose d’assez jouissif pour le peuple. Et peut être un peu plus pour le nôtre, historiquement friand des têtes aristocratiques roulant sur la place publique. Le riche et très bling bling Nicolas Sarkozy ne pouvait y déroger. Mais peut-on pour autant se réjouir de sa condamnation ?

Non, car du vase de Pandore qu’elle représente est sorti un dangereux précédent, à savoir l’inversion de la charge de la preuve, un des principes fondamentaux du droit français, qui incombe désormais à l’accusé et non plus à l’accusation. Ce qui fonctionne peut-être aux États-Unis où les procureurs sont élus et renvoyés chez quand ils sont infoutus de faire leur travail correctement.

Mais outre ce périlleux tour de passe juridique, cette condamnation est regrettable parce que Nicolas Sarkosy, certainement un des pires fossoyeurs de notre nation, ne tombe pas pour ses crimes mais pour des chicotes : c’est pour avoir agi contre les intérêts de la France que cet oligarque devrait être jugé et condamné. En place et lieu d’une enquête de quinze ans qui n’a abouti à rien, on aurait aimé qu’il comparaisse devant ses administrés et leur expose les motifs de la destruction d’une nation souveraine, la Libye, contre les intérêts de la France, livrant cette dernière à une immigration-invasion sans précédent et lui faisant perdre son historique influence géopolitique dans la région, enjeu central dans les stratégies des États. (Les raisons humanitaires n’entrant en considération que lorsqu’ils desservent les intérêts de la nation qui attaque, ce qui n’est pas ici le cas).

Qu’il nous explique le pourquoi de la vente au rabais de l’or de la Banque de France, ce qui rappelons-le a fait perdre à notre pays environ 26 milliards d’euros (mais à bien profité au dollar américain). Un ministre de l’Économie pouvait-il ignorer la possibilité de l’augmentation du cours de l’or (de près de 100 % en seulement 3 ans) ? Et quand bien même, pourquoi le programme de vente a-t-il été poursuivi malgré cette hausse rapide et une baisse des taux d’intérêts, contrairement aux autres banques centrale européenne qui ont interrompu leurs ventes ? C’est à ces questions, entre autres, que l’ex-ministre de l’Économie devrait répondre.

Ces deux seuls méfaits justifiant à eux seuls une inculpation pour haute trahison, puisqu’ils signifient clairement « je ne roule pas pour la France »… pour ne parler de l’infâme fraude à la constitution dont il s’est rendu coupable en 2005 lorsqu’il bafouait le vote des Français qui avaient rejeté projet de Constitution européenne.

Le faire tomber pour d’autres raisons sans, qui plus est, en fournir de preuves tangibles, c’est le faire passer pour une victime du système judiciaire. Et donc lui assurer le soutien de ceux qui honnissent – à juste titre – les juges et leurs décisions iniques. Ce faisant, Sarkosy a été hissé au rang de héros, nouveau résistant de service luttant contre l’arbitraire de l’injustice française comme l’illustre sa dernière interview au JDD où il raconte sa soudaine popularité.

Cette sentence est un double échec pour Messieurs les juges puisque, vu son âge, celui qui se pavanait aux Seychelles après une première condamnation ne passera pas un seul jour en cellule. Par contre, tout le procès a laissé comme l’impression que les magistrats agissent sur des suppositions, et ils sont encore une fois perçus pour ce qu’ils sont : des juges politisés en roue libre qui instrumentalisent le droit de façon de plus en plus éhontée. Cette condamnation les expose encore un peu plus, et vient s’ajouter aux morts et aux viols découlant de leurs décisions ubuesques. Ces magistrats qui émettent des sentences inconcevables aux honnêtes gens, n’ont de cesse de montrer qu’ils peuvent plier la loi à leur bon vouloir, qu’ils sont hors de contrôle, qu’aucune instance ne les surveille, qu’ils n’ont de comptes à rendre à personne. Le dévoiement de la justice est total. À tous les échelons, quelle que soit la branche, ce système juridique est moisi, décrépi, rongé d’idéologie.

Et tels les aristocrates corrompus et débauchés qui étaient devenus odieux au peuple à l’aube de 1789, les juges sont de plus en plus critiqués et perçus comme nuisibles par le commun des mortels. Si nous sommes à la veille d’une nouvelle révolution, il n’est pas donné de le savoir… Mais la colère monte. Et ceux qui ont plongé et plongent quotidiennement notre pays dans le chaos sont de plus en plus identifiables.

Source : Breizh.info

09:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le dernier I-Média sur TVLibertés, dirigé par Jean-Yves Le Gallou, revient sur les déboires du service public de l'audiovisuel capté par la gauche et l'extrême gauche

09:00 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Octobre Rose ou l’indécence des appels aux dons

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Thomas Joly*

Chaque mois d’octobre, la France se pare de rose. Rubans, affiches, campagnes publicitaires : le pays entier se met au diapason d’Octobre Rose. Qui oserait s’opposer à une cause aussi noble que la lutte contre le cancer du sein ? Personne, évidemment. Mais derrière l’élan d’émotion se cache une hypocrisie révoltante : l’appel aux dons. Car enfin, est-ce vraiment aux Français – pressurés comme jamais par l’impôt, étranglés par l’inflation – de financer la lutte contre le cancer du sein ? Est-ce à eux de sortir leur portefeuille quand ils contribuent déjà à l’un des systèmes fiscaux les plus confiscatoires du monde ?

Le paradoxe est indécent. Nos hôpitaux, nos médecins, nos infirmières sont contraints de tendre la sébile pour obtenir un scanner ou une IRM, pendant que l’État jette des milliards par les fenêtres. Un exemple parmi d'autres : 3,6 milliards d’euros, chaque année, en « aide publique au développement ». Pour quels résultats ? Pour financer, par exemple, la construction d’infrastructures en Afrique de l’Ouest ou encore des projets de coopération agricole au Sahel qui disparaissent dans la corruption endémique. En revanche, quand il s’agit de soigner une Française atteinte d’un cancer, on nous explique qu’il faut organiser des loteries, des courses solidaires et des quêtes de rue.

Ajoutons à cela le coût faramineux des soins offerts à une immigration extra-européenne toujours plus nombreuse, qui bénéficie de la gratuité quand nos compatriotes doivent, eux, compter le moindre euro. L’État providence ne connaît plus de frontières mais il demande toujours aux Français de faire l’aumône… à eux-mêmes !

Ça suffit. La France n’a pas vocation à soigner toute la misère du monde. Les Français ont le droit à des soins de qualité, financés par leurs impôts et exclusivement réservés aux nationaux. Chaque euro prélevé doit servir la Nation, pas l’étranger. Octobre Rose devrait être un rappel de solidarité nationale, pas une entreprise de culpabilisation fiscale déguisée. Les Français paient déjà : qu’ils soient enfin soignés en retour !

(*) Thomas Joly est le président du Parti de la France

 

08:58 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rappel : mardi prochain, 7 octobre, dîner-débat à Paris, avec Gabriele Adinolfi (Les Lansquenets) et Jean-Gilles Malliarakis (L'Insolent)

Synthèse avec Jean-Gilles Malliarakis et Gabriele Adinolfi - YouTube

Pour accéder à la note déjà publiée sur cet événement, cliquez ici.

 

08:07 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Christianophobie. Les chrétiens de France se sentent abandonnés par la République

IMAGES. Deux églises profanées en moins d'une semaine à Paris

Arthur Keraudren

Entre janvier et juin 2025, 401 faits antichrétiens ont été recensés par le renseignement territorial, contre 354 sur la même période en 2024, soit une hausse de 13 %, indiquait un article du Figaro publié au mois d’août dernier. Ces atteintes vont du vandalisme aux vols, en passant par des profanations ou des agressions physiques. Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a adressé début août un télégramme aux préfets afin d’assurer la « protection des lieux de culte chrétiens », justifiant cette vigilance par « un contexte d’augmentation [de ces actes] » et par « le niveau élevé de la menace terroriste qui continue de peser sur notre pays ».

La tendance est préoccupante, même si l’on avait observé en 2024 une baisse globale (770 actes contre 854 en 2023). Mais les incendies volontaires, eux, sont en augmentation : l’Observatoire du patrimoine religieux dénombrait 31 églises détruites par le feu en 2024, auxquelles s’ajoutaient 20 tentatives. Des chiffres rapportés par l’hebdomadaire La Vie le 24 septembre. Ces derniers mois, les exemples se sont multipliés : 27 églises vandalisées dans les Landes, la profanation d’une croix à Nice ou encore l’assassinat à Lyon d’un fidèle irakien de la paroisse Saint-Éphrem.

Le cri d’alerte des sénateurs

Face à cette situation, 86 sénateurs, menés par la sénatrice LR Sylviane Noël, ont publié le 26 septembre une tribune sur Boulevard Voltaire. Ils y dénoncent la recrudescence des atteintes aux fidèles et aux édifices. « Il est urgent de mettre en place un dispositif national de signalement et d’accompagnement des victimes d’actes antichrétiens, accessible au grand public, lisible et efficace », écrivent-ils.

Les parlementaires rappellent que « la liberté suppose que chacun puisse pratiquer sa foi sans craindre ni menaces ni profanations. L’égalité commande que l’État déploie les mêmes moyens de protection pour tous. La fraternité, enfin, nous oblige à considérer que lorsqu’un croyant est blessé, c’est l’ensemble de la communauté nationale qui est atteinte ». Mais ils dénoncent aussi « une indignation à géométrie variable », rappelant que l’incendie d’une statue de la Vierge à Guingamp a suscité bien moins de réactions que des actes visant d’autres cultes.

Un patrimoine et une foi fragilisés

Pour les spécialistes, la vulnérabilité du patrimoine religieux est flagrante. « Nos églises ne sont pas assez protégées », a alerté Benoît de Sagazan, rédacteur en chef du Monde de la Bible, auprès du journal Le Parisien le 28 septembre. Il souligne que trop peu de diocèses inventorient leurs objets sacrés, ce qui alimente les filières de revente à l’étranger.

Les sénateurs pointent enfin « le sentiment d’injustice » ressenti par les fidèles : « Car si la République a su créer, pour lutter contre l’antisémitisme et contre les actes antimusulmans, des plates-formes de signalement […] rien de semblable n’existe pour les actes antichrétiens et cette différence ne peut plus être passée sous silence ».

Dans un pays où l’on compte près de 46 000 lieux de culte chrétiens, les atteintes se banalisent, et les élus rappellent que « chaque atteinte à la foi d’un citoyen est une atteinte à la République elle-même ».

Article paru sur Breizh-Info, cliquez ici.

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jeudi, 02 octobre 2025

Terrorisme politique : hier intellectuel, aujourd’hui judiciaire, demain révolutionnaire ?

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Philippe Randa

Tous (?), à la droite de François Bayrou, sont choqués, voire indignés par la condamnation à de la prison ferme de l’ancien président Nicolas Sarkozy. Tous (?), à la gauche de l’ex-3e Premier ministre de la Macronie cuvée 2025, arborent au pire un sourire gourmand, au mieux un silence faussement désintéressé… Quant à l’extrême gauche, elle fête comme il se doit l’humiliation de l’intéressé ; faute de la guillotine rêvée, une geôle fera l’affaire… pour l’instant !

Quoi qu’il en soit, tous ceux qui prédisent depuis des années l’imminence d’un chaos voient leurs craintes se préciser. Avec même une certaine accélération.

Car pourquoi autant de haine envers Nicolas Sarkozy ? Durant son quinquennat, il n’a guère maltraité la gauche, pratiquant même une ouverture politique qui indigna plus d’un de ses partisans et ses menaces de « karcheriser » la racaille des banlieues sera restée menace de matamore, au grand dam de ceux qui y avaient tant crû.

Et que dire de sa défaite face à François Holande, ce « capitaine de pédalo » (tel que le surnomma en son temps Jean-Luc Mélenchon) ; une défaite qui annonçait déjà celle, peut-être plus terrible encore qu’il subit lors de la primaire de la droite en 2016 en étant, par les siens, « remercié » dès le premier tour !

Caricature de l’has been politique qui n’avait même pas brillé lors de ses heures de gloire, quel danger pour la gauche peut-il donc encore représenter en 2025 ?

Lui, aucun !

Mais alors ? Pourquoi une telle condamnation qui finalement lui confère un nouveau rôle plus flatteur, celui de victime « de droite » expiatoire d’une justice partisane « de gauche » ?

Pourquoi cette sanction disproportionnée que le vulgum pecus ne peut guère comprendre : alors que 3 chefs d’accusation sur 4 ont été abandonnés –  corruption, financement illégal et recel de détournement de fonds publics –, seule une « présomption » a été retenue : son « objectif de préparer une corruption au plus haut niveau possible lorsqu’il serait élu président de la République » : un délit digne de la galéjade de Pierre Dac estimant que « si ma tante en avait, on l’appellerait mon oncle »… et qui pourrait désormais être décliné à l’infini à tous les candidats à la Fonction suprême, en leur prêtant à leurs tours, selon les humeurs et les haines de certains magistrats,  les objectifs les plus noirs, de corruption, de dictature, voire même de semaine des 4 jeudis, le choix est vaste… et au point où on en est… au point où ils en sont…

L’explication devient toutefois plus simple en prenant quelque recul sur « le cas Sarkozy » lui-même et en rappelant le terrorisme politique qu’avait réussi à instaurer en France la gauche après les événements de Mai 68 ; celui-ci culminera en 2002 lors de l’élection présidentielle lorsque Jean-Marie Le Pen se qualifia pour le second tour. Il n’a, depuis, cessé de décliner : aujourd’hui, le Rassemblement national – héritier sinon du programme, du moins dans les têtes des électeurs d’un Front national honni à force d’être caricaturé – est le premier parti de l’Assemblée nationale, il existe une importante presse papier, audio et télévisuelle – le groupe Bolloré ne cesse de s’emparer de part de marché – et celle-ci est ominiprésente sur internet – parmi les médias les plus importants, le groupe Libertés – et sans doute plus alarmant encore pour l’ auto-proclamé « camp du bien », l’explosion de l’insécurité, de la menace migratoire et de l’exemple de ce qui se passe à l’étranger, du triomphe de Donald Trump outre-atlantique à la réussite économique et politique d’une Georgia Meloni en Italie en passant par la vague des succès électoraux des partis populistes en Europe, laissant augurer plus tôt que tard l’accession de la plupart d’entre eux aux Affaires de leurs pays.

Face à l’impitoyable évidence des faits lui donnant quotidiennement tord et à sa perte d’influence médiatique, il ne reste actuellement à « la gauche » que le terrorisme judiciaire pour espérer terroriser ses adversaires – le terme d’ennemis tant haïs serait plus juste – et « tenir » encore autant que faire se peut jusqu’à un miracle bien peu crédible dans les urnes pour les plus timorés… ou à une guerre civile comme ouvertement souhaitées par Blacks Blocks et Antifas (France Inter estimait en 2023 entre 3 000 et 5 000 le nombre de Black Blocs en France « susceptibles de participer à des affrontements »).

Mais outre-Atlantique, après l’assassinat de l’influenceur républicain Charlie Kirk, Donald Trump vient de classer officiellement le mouvement antifa comme « organisation terroriste ».`Si les juges rouges devaient estimer que le temps leur était désormais compté, Nicolas Sarkozy pourrait alors n’être que le premier nom d’une funeste liste.

16:39 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La dictature des juges

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Philippe Randa et Scipion de Salm débattront ce jeudi à 21 h sur X sur la dictature des juges, sujet ô combien d’actualité à l’heure où le débat est ouvert au sujet de la condamnation de Nicolas Sarkozy.

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Les pleurs du Rassemblement National

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Balbino Katz

Je me trouvais à la maison de la presse du Guilvinec où je m’étais rendu pour acheter la revue éléments. En attendant de payer, j’ai écouté une vieille toupie couiner que Reconquête avait trahi le camp dit national en empêchant le RN d’accéder au deuxième tour dans une élection partielle. Il faut avoir le cœur solide pour supporter l’hypocrisie du Rassemblement national. Voilà un parti qui, depuis des années, rejette l’union des droites avec une obstination digne d’un couvent fermé à double tour, et qui s’étrangle aujourd’hui parce que Reconquête ose lui disputer un terrain électoral qu’il croyait réservé. L’élection partielle des Français de l’étranger, en Ibérie et en Méditerranée, a livré son verdict cruel : la candidate RN recule de six points, Reconquête progresse, et le second tour se joue sans la marinisme, promise à la défaite de toutes les manières. Le reste n’est que plainte et vitupération.

Cette réaction est une monnaie rendue à sa propre pièce. Car le RN a toujours préféré sa suffisance solitaire à la construction d’une majorité de droite. Il vit sur la rente d’un patronyme, gère son parti comme une petite entreprise familiale, expulse quiconque tente d’y introduire un souffle doctrinal nouveau. La politique s’y réduit à des joutes verbales dans les médias, comme si répéter ce que dit la télévision suffisait à fonder un destin national. Dans un pays qui s’effondre, Marine Le Pen se contente de singer l’air du temps, se rapprochant de la gauche par instinct de confort, et confiant les clefs à des hommes ternes comme Tanguy ou Chenu, pour qui la vision idéologique se limite à des ruminations gaulliennes et l’ambition à une gestion de carrière.

La purge orchestrée par Jean-Philippe Tanguy et ses affidés, au nom de prétextes fallacieux, contre Marion Maréchal et son micro parti, n’est pas un détail, elle illustre au contraire la logique profonde de ce parti : exclure systématiquement ceux qui pourraient incarner un projet plus vaste et nouer des alliances fécondes. En chassant les voix libérales ou identitaires, le RN s’est condamné à l’isolement. Il a choisi d’être seul, et il récolte le prix de cette solitude, dans une stratégie perdante qui ferme la porte à tout avenir.

Or, les électeurs sentent tout cela. Ils s’éloignent, doucement mais sûrement, vers ceux qui parlent encore le langage de la fermeté et de la fidélité. Reconquête, à sa manière, capitalise sur cette lassitude. Ses cinq pour cent ne sont pas anecdotiques : ils sont le signe d’une fissure grandissante dans la façade du monopole mariniste. Voilà pourquoi la réaction du RN sonne comme un caprice d’enfant gâté, qui ne supporte pas que ses jouets lui soient disputés.

Il y a dans ce spectacle quelque chose de pathétique, mais aussi d’inévitable. L’histoire punit toujours les formations politiques qui refusent d’écouter leur base, qui se replient sur elles-mêmes, et qui croient que l’échec répété deviendra un jour victoire par la seule force de l’habitude. Le RN ne parviendra jamais au pouvoir sans alliances, et encore moins sans vision. Il s’avance vers une catastrophe annoncée, et le plus ironique est que ses cris d’orfraie contre Reconquête révèlent au grand jour ce qu’il cherche à dissimuler : son impuissance, sa stagnation et son échec programmé.

On peut penser que Jordan Bardella, habile et lisse, survivra à cette décrépitude. Mais la maison qu’il héritera sera déjà fissurée. Reconquête, malgré ses fragilités, a ouvert une brèche. Et dans cette brèche, demain, pourrait passer tout ce qui reste d’énergie à la droite française.

Source : Breizh.info

 

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Sarah Knafo dans Valeurs actuelles

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10:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche prochain, 5 octobre, premier tour de la législative partielle dans la 1ère circonscription du Tarn-et-Garonne, avec la candidature de Guy Jovelin pour le Parti de la France

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09:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rappel : après-demain, samedi 4 octobre, repas du Parti de la France à Dijon, à partir de 19h.

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Saint-Pétersbourg : une réunion internationale de conservateurs crée la surprise

Saint-Pétersbourg : une réunion internationale de conservateurs crée la surprise

(Polémia) Une conférence internationale d’une vingtaine d’organisations issues des rangs de la droite conservatrice et radicale, venues de trois continents, s’est tenue à Saint-Pétersbourg mi-septembre 2025. En présence d’Alexandre Douguine et à l’initiative d’un entrepreneur russe conservateur orthodoxe. Certains n’ont pas manqué de s’indigner de cette initiative qu’ils voient comme une opération d’influence, sinon d’ingérence, russe. Non sans raisons sans doute. Mais à mettre en perspective néanmoins, au moment même où le président Macron a été solennellement récompensé, le 24 septembre, à New York, en recevant des mains de Larry Fink, le président de BlackRock, le prix Atlantic Council Global Citizen. Sans doute en récompense des centaines de pépites technologiques françaises livrées depuis dix ans aux fonds d’investissement américains. Et après tout, si les globalistes s’autocongratulent, pourquoi faudrait-il diaboliser ceux qui s’y opposent ? Nos lecteurs trouveront ci-dessous une analyse de notre correspondant Yves Lejeune sur la conférence de Saint-Pétersbourg.

Yves Lejeune

Convergence antiglobaliste

Dans le cadre très officiel du palais Mariinsky, siège de l’Assemblée législative de Saint-Pétersbourg, des représentants de courants conservateurs et identitaires venus de plus de vingt pays se sont réunis les 12 et 13 septembre, à l’invitation de l’homme d’affaires russe Konstantin Malofeïev, fondateur de la chaîne orthodoxe Tsargrad TV, à la suite de la procession annuelle pour Saint Alexandre Nevski.

Parmi les intervenants figuraient le philosophe russe Alexandre Douguine, présent sur place. Alain de Benoist, mais aussi Alain Soral et Alexander von Bismarck (descendant du chancelier allemand Otto von Bismarck), se sont exprimés en visioconférence. Des trajectoires et des sensibilités parfois divergentes, mais réunies par un dénominateur commun : la lutte contre le globalisme et l’uniformisation du monde.

Autour d’eux, des délégations issues d’Espagne, d’Italie, de Hongrie, de Grèce, de Serbie, d’Allemagne, de Belgique, du Royaume-Uni, de France, mais aussi d’Amérique latine et d’Afrique du Sud.

Une plateforme d’échanges

Objectif affiché : créer une plateforme internationale de dialogue entre mouvements conservateurs, nationalistes et identitaires venus d’Europe et d’autres continents, un « front commun » contre le globalisme et l’idéologie progressiste.

Au-delà de la rhétorique, l’ambition formulée par les organisateurs est de donner une continuité à ce type d’échanges, en posant les bases d’un réseau transnational capable de relayer des thèmes communs : défense de la souveraineté des États, affirmation des traditions nationales et rejet de l’uniformisation culturelle.

Dans un contexte marqué par le conflit en Ukraine et l’isolement diplomatique de la Russie vis-à-vis des grandes capitales occidentales, le message envoyé par cette rencontre est clair : il existe, même à une échelle modeste, des acteurs prêts à maintenir un dialogue ouvert avec la Russie.

Une évolution du climat idéologique ?

Fort symbolique, cet événement traduit plusieurs choses :

  • Jamais, il y a trois ans encore, un tel rassemblement n’aurait trouvé les conditions pour exister. Dans un contexte où la solidarité avec l’Ukraine paraissait acquise dans l’ensemble du spectre politique européen, et en particulier au sein de la droite radicale, la perspective d’une réunion internationale organisée en Russie aurait semblé inconcevable.
  • Que des organisations et des partis — parfois classés aux marges du spectre politique — aient choisi de se rendre officiellement en Russie traduit une évolution du climat idéologique, un déplacement discret mais réel des sensibilités politiques. Si cet événement ne constitue pas encore un axe structuré ni une alliance durable, il illustre l’existence d’un espace de débat neuf, où souveraineté nationale, continuité historique et rejet de l’uniformisation culturelle servent de points de convergence.

Une coopération entre mouvements européens et organisations russes demeure toutefois une entreprise délicate, pour ne pas dire risquée, à contre-courant de la ligne diplomatique dominante en Europe. L’initiative a d’ailleurs immédiatement suscité une réaction vive dans certains médias « libéraux » en Europe de l’Est, qui ont multiplié les commentaires alarmistes.

La réunion de Saint-Pétersbourg illustre un déplacement progressif du débat au sein des droites européennes. Ce qui était hier inimaginable devient aujourd’hui envisageable, même à petite échelle. Ce n’est pas encore un tournant, mais c’est un signal à surveiller : celui d’une recomposition idéologique qui, demain, pourrait compter davantage dans les équilibres politiques du continent, en particulier institutionnels.

Article paru sur Polémia, cliquez ici.

07:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Partisans du RN contre Fans de Reconquête : les hooligans du néant

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Julien Dir

Ah, quelle farce. Chaque jour qui passe, les réseaux sociaux nous offrent le spectacle pathétique d’une guerre de tranchées entre groupies du RN et ultras de Reconquête, incapables de penser autrement que par les voix ou agissements de leurs chefs/élus respectifs. On s’insulte, on s’excommunie, on brandit des captures d’écran comme autant de trophées de chasse numérique. Pendant ce temps-là, la Bretagne, la France, l’Europe continuent de se déliter, l’immigration de prospérer, et l’État de se soumettre à toutes les idéologies mondialisées. Mais les “patriotes”, eux, préfèrent se déchirer dans un concours de pureté stérile.

Des bulles qui tournent en rond

Les partisans de Zemmour accusent les électeurs du RN de trahison, de compromission, de mollesse. Ceux de Marine et Bardella répliquent en expliquant que Reconquête les “plombe électoralement”. Les uns se prennent pour des stratèges, les autres pour des résistants. En réalité, ils ne sont que les otages d’une société de bulles : bulles médiatiques, bulles virtuelles, bulles narcissiques. Chacun vit enfermé dans son aquarium numérique, persuadé de représenter le “vrai peuple” alors qu’il ne fait que s’adresser à son reflet.

C’est la victoire du marketing sur les idées. Les uns se rassurent en jouant aux gaullistes de province, terroir et saucisson, les autres se grisent d’une radicalité de plateau télé. Mais au fond, ces guerres de boutique ne servent qu’à gonfler les egos de leurs chefs respectifs, qui se nourrissent de cette rivalité pour exister.

Les angles morts des uns et des autres

Les pro-RN hurlent que Reconquête leur “vole des points”. Jamais ils ne se demandent pourquoi tant d’électeurs sont lassés par les ambiguïtés sociétales d’un parti qui flirte parfois avec la gauche progressiste sur des sujets décisifs. À force de se travestir en parti de gouvernement respectable, à force de n’être qu’un RPR des années 90 et de refuser d’appeler à descendre dans la rue, le RN finit par singer ses adversaires.

À l’inverse, les pro-Zemmour ne comprennent pas que nombre de Français, fatigués, précarisés, veulent avant tout être rassurés. Peu leur importe la hauteur des discours ou la radicalité des propositions : ils se tournent vers Marine Le Pen et Bardella parce qu’ils apparaissent comme plus “proches du peuple”. Illusion ? Sans doute. Mais les illusions font partie du réel, et les ignorer, c’est se condamner à ne jamais gagner.

Le panier de crabes

Ces querelles intestines ne sont pas seulement ridicules, elles sont révélatrices : la politique est un tas de lisier où chacun patauge avec un rictus de haine. On se déteste, on se jalouse, on se fantasme en gladiateur d’Internet, alors qu’au fond, on partage les mêmes constats sociaux, les mêmes angoisses démographiques, la même colère contre la dépossession de notre pays.

Et comble du cynisme : ceux qui s’invectivent comme des chiens enragés sur les réseaux ignorent que dans la réalité, nombre de cadres du RN et de Reconquête sont copains comme cochons. On se vouvoie à l’antenne et on s’engueule pour le spectacle, puis on se tape dans le dos hors caméra. La guerre des supporters n’est qu’un théâtre d’ombres pour amuser la galerie.

Voilà le fond du problème : les vrais perdants, ce sont les militants, les sympathisants, les fans. Comme des hooligans sans stade, ils gueulent, ils insultent, ils s’écharpent… mais ils ne construisent rien. Ils vivent par procuration, attendant que leur chef providentiel conquière le pouvoir à leur place. Ils se passionnent pour des joutes virtuelles, plutôt que d’agir concrètement, de s’organiser localement, de prendre leur destin en main.

Ils ne voient pas que ce qui les divise n’est rien face à ce qui devrait les unir : la défense d’un peuple, d’une civilisation, d’une identité. Mais la politique moderne est devenue un spectacle, et comme tout spectacle, elle a besoin de son lot de supporters décérébrés pour exister.

Réveillez-vous

Alors oui, il est temps de secouer le cocotier. Droite nationale, droite identitaire, droite radicale : arrêtez de jouer aux hooligans du néant. Cessez d’être les groupies hystériques de leaders qui ne voient en vous qu’une masse de clics et de voix interchangeables.

Le véritable combat n’est pas sur Twitter ni sur TikTok. Il est dans la rue, dans les associations, dans les familles, dans les villages et les quartiers où se joue l’avenir. Le choix est simple : continuer à se haïr au nom de querelles d’appareil, ou bâtir une force populaire réelle, qui dépasse les boutiques partisanes et les petites vanités.

Parce que sinon vous finirez tous par ressembler à ce que vous prétendez combattre : des spectateurs passifs, consommateurs d’illusions, prisonniers de la société du spectacle. Et dans ce cas-là, vous ne mériterez même plus de parler de “patrie”..Qui aura disparu depuis bien longtemps…

Source : Breizh.info

07:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 01 octobre 2025

Vendredi dernier, 26 septembre, Ferhat Mehenni, le président du gouvernement kabyle en exil était l'invité de Ligne Droite sur Radio Courtoisie

09:40 Publié dans Sur les ondes libres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A Saint-Brieuc la gauche s’en prend à Erik Tegner et se retrouve Gros Jean.

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Pierre-Yves Thomas 

Dans son Hors Série N°1 paru au début de l’année 2025, le magazine Frontières Media dénonçait la machine multi-rouages de l’immigration sauvage en France, machine composée entre autres de certains tribunaux convertis en simples chambres d’enregistrement pour clandestins, d’ONG maquereautées avec les mafias de passeurs, d’associations caritatives aux missions dévoyées et aussi d’avocats exploiteurs acharnés de la notion « d’état de droit ».

Ceci ne plut guère à une partie de la profession des hommes et femmes en robe noire, laquelle intenta donc un procès contre Frontières Media et contre son créateur et directeur, le journaliste Erik Tegner. Les intéressés ne goûtaient que très modérément le qualificatif d’avocats militants empêchant l’exécution d’OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) ou l’appellation de tribunaux accélérateurs de l’invasion migratoire (sic), et ils enfourchèrent donc le cheval de la diffamation pour mener ce procès dont l’audience avait lieu au Tribunal de Grande Instance de Saint-Brieuc (22) ce mardi 30 septembre 2025.

En fin d’après-midi ce mardi, heure à laquelle débutait l’audience, Maître Frédéric Pichon, conseil d’Erik Tegnér et de Frontières Media, argua d’emblée la nullité de procédure pour cette action en justice des avocats et associés plaignants, notamment le barreau des avocats de Rennes, sur les deux chefs suivants :

1)      L’élection de domicile affichée par les plaignants n’était pas conforme au choix géographique du tribunal pour l’audience, concrètement le TGI de Saint-Brieuc. Une grosse jurisprudence à cet égard est quasiment unanime sur cette question technique.

2)      La plainte pointait du doigt les propos tenus par Frontières Media en termes de périphrases générales et imprécises entraînant des distorsions entre le contenu potentiellement incriminé et le sens des poursuites. Une tentative de lien par les plaignants entre un tableau descriptif et le corps de l’article ou des articles incriminés manquait également de précision. Sur ce point également, la jurisprudence est persistante en cassation.

A l’issue d’une demi-heure de délibérations au cours de laquelle s’exprimèrent successivement la Présidente de la Cour, Maître Frédéric Pichon pour Erik Tegnér et Frontières Media, puis finalement l’avocat des parties civiles, les juges se retirèrent pour délibérer et déterminer si l’exception de nullité invoquée faisait sens ou bien si l’audience devait se poursuivre.

Quelques dix minutes plus tard, la sentence tomba : la Cour a fait droit à l’exception de nullité au  titre de  :

1)      Non-conformité sur l’élection de domicile par la partie plaignante.

2)      Imprécision des faits reprochés.

Bien que Maître Pichon eut largement préféré une sentence, de toute façon à parier dans le même sens favorable mais cette fois sur le fond, il est à reconnaître que l’affaire fut rondement menée, ce en guère plus de 45 minutes au total.

Il fut par ailleurs à noter, au rendu du verdict, l’amertume palpable de la partie plaignante, en la personne des sept avocats présents représentant la partie civile, qui se sont finalement retrouvés Gros-Jean comme devant pour avoir voulu imposer leur idéologie et leur hargne immigrationniste à Erik Tegnér et à Frontières Media.

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Philippine : des affiches à son effigie arrachées par des militants de gauche

Capture d'écran X

Jean Kast

C’était il y a un an, déjà. Le 20 septembre 2024, Philippine, une étudiante âgée de 19 ans, était violée et tuée dans le bois de Boulogne par un Marocain sous OQTF, alors qu’elle sortait d’un cours à l'université Paris-Dauphine. Un triste anniversaire que certains médias ont voulu marquer en invitant la mère de la jeune fille sur leurs plateaux. Blandine de Carlan s’est notamment rendue sur celui de Christine Kelly, dans Face à l’info, où elle a fait part de sa colère, toujours vive, envers nos institutions, de son incapacité à pardonner au meurtrier de sa fille, mais aussi de sa reconnaissance envers les rares journalistes qui avaient pris le drame de Philippine « à bras-le-corps » quand d’autres n’avaient voulu y voir rien de plus qu’un « fait divers » insignifiant. « Je voudrais remercier spécialement madame Cluzel de la part de mon mari et de mon fils. On n'a jamais entendu un édito aussi beau, a-t-elle lancé, face à la directrice de la rédaction de BVVous avez décrit Philippine et ils l’ont retrouvée… Vous avez eu les mots justes. »

Les anti-Philippine

Mais, aussi incroyable que celui puisse paraître, le soutien à cette famille endeuillée n’a pas été universel. Il s’en est trouvé certains pour critiquer les hommages rendus à Philippine. On en a eu un nouvel exemple, cette semaine, à Lyon, où des militants ont été aperçus en train d’arracher des affiches à l’effigie de la jeune fille.

De nombreux internautes se sont scandalisés de ce geste attribué aux « gauchistes ». Ce n’est pourtant pas la première fois que cette haine se manifeste d’une telle manière. En septembre 2024, une minute de silence en hommage à Philippine avait été interrompue, à Vienne, par l’extrême gauche, aux cris de « Siamo tutti antifascisti ». On se souvient aussi d’un Conseil de Paris, en octobre 2024, au cours duquel Anne Hidalgo s’était dite « glacée » par des affiches rendant hommage à la même Philippine.

D’autres visuels en mémoire de la jeune femme avaient également été arrachés par des militants d’extrême gauche à Sciences Po Paris, en septembre 2024. « Elle est morte. Elle avait notre âge. On la respecte, s’il vous plaît ! », avait alors lancé un étudiant, face à celle qui était en train de déchirer rageusement les innocents portraits.

Ces visages qu’on ne veut pas voir

Ce même campus avait déjà été le théâtre d’une scène similaire, en novembre 2023. C’était alors des affiches en hommage à Thomas, tué quelques jours plus tôt à Crépol, qui avaient été retirées. « L'extrême gauche a arraché et jeté à la poubelle les affiches en moins d'une heure. Pour eux, seules les racailles méritent un hommage », avait déploré les étudiants de l’UNI, dépités.

Souvenez-vous aussi de ces photos d’otages israéliens qui avaient été arrachées dans plusieurs endroits de France. Dans les Bouches-du-Rhône, un militant écologiste avait été filmé en juillet 2024 en train de gratter les dernières traces du portrait placardé de Kfir Bibas, ce bébé kidnappé puis tué par le Hamas. À Paris, c’est une ancienne collaboratrice du Quai d’Orsay et intervenante régulière à Radio France qui avait été prise la main dans le sac, en novembre 2023, les bras chargés d’affiches fraîchement déchirées. « Israël assassin ! », hurlait-elle, face aux passants indignés.

Pour cette gauche, Philippine, Thomas, Lola, Kfir et les autres s’avèrent extrêmement gênants. Ils sont les victimes de l’ensauvagement de l’Occident, les preuves mortes de l’échec du « vivre ensemble ».

Article paru sur Boulevard Voltaire, cliquez ici.

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Rappel : réunion publique de l'avocat Pierre Gentillet, le vendredi prochain, 3 octobre, à Argenton-sur-Creuse, dans la perspective des élections municipales de 2026

Débat sur l'identité nationale : Pierre Gentillet s'attaque aux «prêtres du  néant»

Pour accéder à l'article déjà consacré à cette réunion publique, cliquez ici.

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mardi, 30 septembre 2025

L’immunité pour une élue d’extrême gauche au Parlement européen ?

@Diliff-Wikimedia Commons

Olivier Bault, directeur de la communication de l'Institut Ordo Iuris

La commission des affaires juridiques du Parlement européen s'est prononcée, ce 23 septembre, contre la levée de l'immunité de l’eurodéputée italienne Ilaria Salis, militante antifa accusée d’avoir, avec plusieurs complices, violemment agressé à coups de marteau des passants à Budapest en 2023.

Une eurodéputée antifa protégée...

Le tort de ces passants était de présenter un aspect trop « extrême droite ». Neuf personnes avaient alors été blessées, dont six très gravement, par ce groupe antifa allemand appelé le « gang des marteaux » (Antifa Hammer Gang). Parmi les victimes figuraient notamment trois touristes polonais et un employé hongrois de bureau de tabac qui passaient par là. Ilaria Salis, qui était à l’époque enseignante, a été arrêtée par la police hongroise et son procès était en cours quand, au printemps 2024, elle a obtenu un mandat au Parlement européen, obtenant ainsi le bénéfice de l'immunité de parlementaire.

Certes, c’est par un vote en assemblée plénière que le Parlement européen décidera, probablement le 7 octobre prochain, de la levée ou non de l'immunité d'Ilaria Salis. On peut toutefois craindre, au vu du passif de cette assemblée et de son bloc majoritaire qui s’étend du Parti populaire européen à l’extrême gauche, que madame Salis n’échappe à la Justice. Ceci, alors que les États-Unis puis la Hongrie viennent de déclarer les antifas organisation terroriste tandis que le Parlement néerlandais a adopté une résolution pour demander à son gouvernement de faire de même.

...mais des élus polonais de droite dans le collimateur

Dans le même temps, la même commission des affaires juridiques du Parlement européen recommandait la levée de l’immunité parlementaire de deux eurodéputés polonais du parti Droit et Justice : Daniel Obajtek, ancien président de la compagnie pétrolière Orlen, et Michał Dworczyk, l’ancien directeur du cabinet du Premier ministre Mateusz Morawiecki. Le premier se voit reprocher par le parquet polonais un contrat passé par Orlen avec une agence de détectives sans passer par un appel d’offres ; le même parquet voudrait traduire le deuxième en justice pour avoir utilisé, quand il était directeur du cabinet du Premier ministre, une boîte de courriel privée non sécurisée pour des messages qui auraient dû rester confidentiels et qui ont fuité sur Internet.

Mais, un mois après le retour de Donald Tusk au poste de Premier ministre, son ministre de la Justice a pris le contrôle du parquet en violant la loi polonaise : il a remplacé le procureur national sans l’aval du président Andrzej Duda, qui était requis. Après ce remplacement, les mutations et nominations ont été nombreuses, sous l’égide du nouveau procureur national et une équipe spéciale de procureurs a été formée pour poursuivre les opposants politiques et tenter de prévenir toute possibilité de retour du PiS ou d’une coalition de droite au pouvoir en Pologne.

Au point même que la Hongrie a accordé l’asile à un député polonais, Marcin Romanowski, que le parquet polonais voulait arrêter après avoir obtenu la levée de son immunité par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe où domine la même coalition qu’au Parlement européen. Même Interpol a rejeté la demande polonaise d’intervenir pour faire arrêter Romanowski.

Donald Tusk et les violations de l’État de droit

L’Institut Ordo Iuris pour la culture du droit a publié deux rapports, traduits en anglais, qui décrivent les violations de l’État de droit par le gouvernement de Donald Tusk depuis décembre 2013 : « Une année de dévastation de l'État de droit » (décembre 2024) et « Violations des principes de la démocratie et de l'État de droit par le gouvernement de Donald Tusk après le 13 décembre 2023 » (mai 2025). Des associations de magistrats polonais et d’autres think tanks, y compris l’influent think tank américain Hudson Institute (dans son document de février 2025 intitulé « Quand les démocrates gouvernent de manière non démocratique : le cas de la Pologne »), ont également publié des rapports allant dans le même sens.

En avril dernier, le Parlement européen a, malgré tout, levé l’immunité de deux autres députés polonais du PiS au Parlement européen : Michał Kamiński et Maciej Wąsik. Les deux hommes sont poursuivis par ce parquet que contrôle le gouvernement de Donald Tusk pour avoir exercé leur mandat de député qui leur avait été retiré par le président de la Diète (la chambre basse du Parlement polonais) en raison d’une condamnation par un tribunal de Varsovie. Une condamnation prononcée en dépit d’une grâce présidentielle et un retrait de mandats de députés invalidé par la Cour de cassation polonaise, mais dont le gouvernement de Donald Tusk et sa coalition gaucho-libérale soutenue par Bruxelles refusent d’appliquer les décisions qui ne lui conviennent pas. De la même manière, le gouvernement de Donald Tusk ne publie pas et n’applique pas les décisions du Tribunal constitutionnel polonais. C’est ce qu’il appelle « restaurer l’État de droit ».

On l’avait déjà vu avec l’affaire des assistants parlementaires du RN, le Parlement européen a une approche très particulière et très politicienne de la question de l’immunité parlementaire : levée automatique quand les demandes concernent les membres des groupes de droite (Conservateurs et Réformistes européens, Patriotes pour l’Europe ou Identité et Démocratie) et refus systématique quand ces demandes concernent des députés du bloc majoritaire. Le but de l’institution de l’immunité parlementaire est pourtant tout autre : il s’agit de protéger les représentants élus du peuple, et notamment ceux d’opposition, contre toute possibilité de répressions à leur encontre au titre de l’exercice de leur mandat de député, et non pas pour des faits de violences comme ceux pour lesquels la députée italienne Salis encourt onze ans de prison en Hongrie.

Article paru sur Boulevard Voltaire, cliquez ici.

08:38 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La douceur de vivre à Strasbourg vue par la municipalité écologiste...

Une affiche pour les seniors enflamme les réseaux sociaux – StrasInfo.fr

À Strasbourg, "venir voir l'écologie en action, venir voir que l'écologie, ça améliore le quotidien et ça protège le lendemain, c'est très émouvant pour nous".

Marine Tondelier, secrétaire nationale des Verts, sur France 3 Alsace, le 23 août dernier.

08:35 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Après-demain, jeudi 2 octobre, sortie du nouveau numéro du magazine Frontières consacré aux maires complices de l'islamisme

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La rédaction de Frontières

Depuis des années, on nous répète que l’islamisation de la France ne serait qu’un fantasme, une invention de l’extrême droite pour faire peur. Pourtant, la réalité est tout autre. Derrière les discours rassurants, les décisions locales s’accumulent : subventions municipales, terrains cédés, salles prêtées, inaugurations complaisantes…

Pendant plusieurs mois, notre rédaction a mené une enquête minutieuse. Nous avons étudié des milliers de délibérations, de votes, de budgets municipaux et de prises de parole publiques. Le résultat est sans appel : partout en France, des élus de tous bords ont choisi l’aveuglement ou la complicité.

Dans ce numéro, Frontières publie un Top 30 inédit des maires les plus complaisants. Qu’ils soient de droite, de gauche ou sans étiquette, leur point commun est d’avoir troqué Marianne contre la soumission, au mépris de l’intérêt général.

Une enquête exclusive, appuyée sur des données factuelles, qui révèle l’ampleur d’un phénomène trop longtemps nié.

Un numéro à lire absolument pour comprendre comment, pas à pas, l’islamisation s’ancre dans nos communes.

07:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hier matin, Eric Zemmour était l'invité du "8h30 franceinfo"

06:30 Publié dans Eric Zemmour, Sur les ondes libres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 29 septembre 2025

Samedi dernier, 27 septembre, pour la Saint-Michel, comme chaque année, les paras ont remonté les Champs Elysées jusqu'à l'Arc de Triomphe et la tombe du Soldat inconnu

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Par Saint-Michel, Vive les paras !

Pour voir la vidéo, cliquez ici.

19:32 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le week-end dernier, 2.000 pèlerins étaient rassemblés à Domrémy pour célébrer Jeanne d'Arc à l'occasion du 600e anniversaire des apparitions de l'archange Saint Michel

19:13 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Demain, mardi 30 septembre, Sarah Knafo sera l'invitée de Christine Kelly sur CNews, à 19h30

19:03 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Royaume-Uni : la population explose sous l’effet d’une immigration massive

Manifestation d'extrême-droite à Londres: 110.000 personnes rassemblées,  neuf personnes interpellées

La rédaction de Breizh-Info, cliquez ici.

Selon les derniers chiffres officiels de l’Office for National Statistics (ONS), la population britannique a atteint 69,3 millions d’habitants en 2024. Une croissance record dont 98 % est directement imputable aux arrivées migratoires. Le phénomène s’accompagne d’une chute historique de la natalité, posant la question de la survie démographique et identitaire du pays.

Une croissance record, sans précédent depuis la guerre

Entre mi-2022 et mi-2023, le Royaume-Uni a connu une hausse de 755 000 habitants, soit la deuxième plus forte progression démographique depuis la Seconde Guerre mondiale. La seule année à avoir dépassé ce chiffre est celle qui l’a précédée, avec une augmentation de 890 000 personnes.

En comparaison, la croissance naturelle est dérisoire : à peine 16 239 naissances de plus que de décès, soit 2 % de l’accroissement total.

Dans le même laps de temps, 1,23 million de personnes sont venues s’installer durablement au Royaume-Uni, tandis qu’environ 496 500 ont quitté le pays. Le solde migratoire net atteint donc près de 739 000 personnes, représentant 98 % de la croissance démographique.

Contrairement à une idée reçue, la majorité de ces arrivées ne concernent pas les migrants illégaux en bateau, mais bien des flux migratoires légaux, autorisés par les politiques en place.

L’Angleterre en première ligne

Parmi les nations constitutives du Royaume-Uni, l’Angleterre concentre l’essentiel de cette poussée démographique, avec une hausse de 1,2 % de sa population en un an. Le Pays de Galles, l’Écosse et l’Irlande du Nord restent en retrait, avec des croissances inférieures à 1 %.

Alp Mehmet, président du groupe Migration Watch, a résumé la situation en des termes frappants : « Ces chiffres équivalent à ajouter chaque année une ville de la taille de Leeds. » Selon lui, le gouvernement britannique ferme les yeux sur des « niveaux catastrophiques d’immigration » et ne propose aucune stratégie pour les réduire.

Nigel Farage, figure du Brexit, a récemment insisté pour que s’ouvre enfin un débat sur l’immigration légale, qu’il juge hors de contrôle.

Les chiffres confirment une tendance de fond : faible natalité autochtone et immigration massive imposent un bouleversement démographique durable. Le politologue Matt Goodwin, en se basant sur les données officielles, estime que les Britanniques de souche deviendront minoritaires d’ici 2063. À l’horizon 2100, la proportion de Britanniques « blancs autochtones » tomberait à 22 %.

09:05 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La pétition lancée par Philippe de Villiers pour exiger un référendum sur l'immigration totalise ce matin 1.910.000 signatures. Plus que 90.000 avant les 2 millions ! Encore un effort !

Signez la pétition ! - Pour un référendum sur l'immigration

Pour signer la pétition, cliquez ici.

09:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Brest : une journée d’étude universitaire pour revisiter l’héritage de l’abbé Perrot

L'abbé Perrot et la Bretagne - La Nef

La rédaction de Breizh-Info, cliquez ici.

Le 14 novembre 2025, l’UFR Lettres et Sciences humaines de l’Université de Bretagne Occidentale (salle C219, Brest) accueillera une journée d’étude consacrée à l’abbé Jean-Marie Perrot (1877-1943), figure centrale du mouvement Feiz ha Breiz et fondateur du Bleun-Brug, assassiné par des communistes en 1943.

Intitulée « Un autre abbé Perrot. Nouvelles approches, nouveaux regards », cette rencontre entend dépasser les polémiques qui réduisent l’homme aux seules circonstances de sa mort, pour replacer sa vie, ses combats et sa mémoire dans la longue durée. Les communications porteront aussi bien sur ses relations avec sa hiérarchie ecclésiastique que sur son rôle de collecteur de chants, son action dans le mouvement breton, ou encore les représentations posthumes qui lui ont été associées.

Le programme de la journée

MatÀinée

  • 8h30 – Accueil des intervenants
  • Présidence : Sébastien Carney
  • 8h50-9h15 – Yvon Tranvouez : Comprendre l’abbé Perrot
  • 9h20-9h45 – Éva Guillorel : Une œuvre de jeunesse : Jean-Marie Perrot collecteur de chansons en langue bretonne en pays Léon
  • 9h50-10h15 – Erwan Le Gall : La Grande Guerre de l’abbé Perrot
  • 10h15-10h30 – Questions
  • 10h30-10h45 – Pause
  • Présidence : Daniel Le Couédic
  • 10h45-11h10 – Malo Morvan : La polémique orthographique entre Calvarin et Perrot (1929-1931)
  • 11h15-11h40 – Kristell Loussouarn : Soumission filiale et engagement : l’abbé Perrot face à Mgr Duparc
  • 11h40 – Questions

Après-midi

  • Présidence : Ronan Calvez
  • 14h00-14h25 – Sébastien Carney : Perrot, Lainé, Mordrel et les autres
  • 14h30-14h55 – Maryvonne Berthou : Perrot, l’animateur du Bleun-Brug et l’organisateur des concours scolaires
  • 15h00-15h25 – Daniel Le Couédic : Koat-keo, une si modeste chapelle…
  • 15h25-15h40 – Questions
  • 15h40-15h55 – Pause
  • Présidence : Nelly Blanchard
  • 16h00-16h25 – Frédéric Le Moigne : L’iconographie de l’abbé Perrot
  • 16h30-16h55 – Mannaig Thomas : Yann-Vari Perrot par Ar vro bagan (1985)
  • 17h00-17h25 – Thierry Guidet : Qui a tué Yann-Vari Perrot ? Genèse et réception d’une enquête journalistique
  • 17h30 – Questions et conclusion

Cette initiative universitaire survient alors que la mémoire de l’abbé Perrot reste vive en Bretagne.  Comme le rappelait récemment Youenn Caouissin, fils d’Herry Caouissin, « honorer l’abbé Perrot revient à prendre en compte sa devise Feiz ha Breiz : la foi d’abord, puis la Bretagne ».

Ainsi, aux commémorations spirituelles et militantes répond désormais un travail universitaire renouvelé, soucieux de replacer Perrot dans son temps, entre enracinement religieux, engagement breton et postérité mémorielle.

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Communiqué de la fédération Reconquête! des Deux-Sèvres après le décès à Niort d'une octogénaire violée par un jeune Afghan âgé de 20 ans

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