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mardi, 01 avril 2025

Le nouveau numéro de Terre & peuple magazine (n°103) est paru

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Affaire dite des Assistants parlementaires : la réaction de Bruno Gollnisch

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Communiqué de Bruno Gollnisch :  

Le jugement de la 11e chambre du Tribunal de Paris intervenu ce jour condamne des députés, dont j’étais, pour avoir confié à leurs assistants des missions de travail politique. Ces missions relevaient exclusivement de leur libre choix.

Aucun texte législatif ne les interdisait.

Les débats ont montré qu’il n’y avait eu aucun emploi fictif. Tous les assistants ont travaillé avec conscience et dévouement, de façon publique, non dissimulée, conforme à l’usage général du Parlement Européen.

Les poursuites intentées contre nous viennent d’adversaires haineux, au premier rang desquels l’ancien président socialiste allemand Schulz.

Elles sont un monument d’hypocrisie partisane.

Elles enfreignent le principe fondamental de la séparation des pouvoirs, rappelé pourtant dans cette affaire par les plus hautes autorités de droit constitutionnel de notre pays.

Ce jugement, qui copie pratiquement les réquisitions extravagantes du Parquet, est pour moi inacceptable.

Je n’ai pas détourné un centime d’argent public de toute ma vie politique. Le Parlement européen, au nom duquel prétendent parler nos ennemis, n’a subi aucun préjudice.

Je fais donc appel.

J’espère qu’enfin le droit, la raison et l’équité triompheront dans ce dossier, qui n’aurait jamais dû venir devant quelque tribunal que ce soit.

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"Affaire des assistants" : la réaction de Sarah Knafo

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Les juges viennent d’avoir la peau de Marine… mais est-ce définitif ?

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Bernard Germain

Ce fut indiscutablement un procès politique. Un procès en sorcellerie dont l’accusée était coupable avant même les débats. D’ailleurs, n’est-ce pas durant les audiences qu’on a entendu l’une des procureurs dire : « je n'ai pas d'éléments, mais ça m'embêterait de demander la relaxe ». Et comme on pouvait le craindre, ce matin la sentence est tombée. Trois juges, oui… trois juges seuls, ont décidé que les Français ne pourraient pas voter pour la candidate en tête, et de loin, dans tous les sondages. Pour ce faire, ils ont ordonné « l’exécution provisoire » du jugement qu’ils venaient de rendre, incluant inéligibilité de Marine c’est à dire son impossibilité d’être candidate en 2027. Ceux qui s’étonnent de ce « putsch » des juges ont tort. Celui-ci est parfaitement logique et le simple aboutissement de la dérive engagée au début des années 1970 qui a abouti à ce « gouvernement des juges » auquel la classe politique doit aujourd’hui se soumettre. C’est la gauche, au nom de la nécessaire « transparence » qui a fini de donner aux juges les armes pour mater les hommes politiques, en votant la Loi Sapin 2. Gauche qui est d’une tartufferie sans nom puisqu’elle ose défendre comme une vertu cardinale la transparence, qui d’ailleurs peut aisément aboutir à une véritable dictature. En effet chacun devrait avoir droit à son petit jardin secret et n’être nullement tenu de faire connaître à tous et chacun tous les aspects de sa vie ou de son activité. Pour faire un parallèle, pourquoi met-on des rideaux aux fenêtres si l’on n’a rien à cacher ? Faudrait-il aussi les retirer pour les fenêtres des chambres à coucher ?

Mais le pire est que ceux qui sont à l’origine de cette odieuse Loi Sapin 2, aujourd’hui arme létale contre Marine Le Pen, sont les pires faux-culs. N’est-ce pas Jérôme Cahuzac, qui fut le prétexte à cette Loi ? Pour ceux qui auraient oublié, Jérôme Cahuzac était un poids lourd socialiste, ministre délégué au Budget chargé entre autres de la lutte contre la fraude fiscale, dans le gouvernement Hollande en 2012. Pour le dire rapidement, il fut pris la main dans le pot de confiture - comprenez à faire lui-même de la fraude fiscale avec un compte à l’étranger alimenté par des détournements de fonds, donc de l’enrichissement personnel - ce qui était une circonstance particulièrement aggravante du fait de la fonction exercée par Cahuzac. On rappellera aussi que lors de sa condamnation par la justice il n’y eut pas d’exécution provisoire pour son inégibilité. Enfin, et cela montre à quel point la morale compte pour la gauche, Jérôme Cahuzac a été candidat pour la gauche en 2024 aux élections législatives.

Ce qui n’empêche pas Fabien Roussel de tweeter « La justice est la justice ». Quant au PS, Jérôme Guedj il a déclaré « Une décision de justice doit être respectée ». Déclarations savoureuses de la part de gens PS, PCF et autres, qui après avoir détourné des sommes publiques colossales pendant des décennies font aujourd’hui des leçons de morale et soutiennent la décision de juges qui s’autorisent des condamnations qui remettent en cause les fondements même de la démocratie.

Et quand je parle de démocratie gravement attaquée, notons que cette affaire Le Pen n’est pas un coup de tonnerre dans un ciel serein. Souvenons-nous, ce n’était que quelques jours plus tôt. Thierry Breton avait déclaré : si l’Afd (l’extrême droite pour Thierry Breton) gagne les élections en Allemagne, nous ferons annuler les élections. En Roumanie, alors qu’il était arrivé en tête au premier tour de l’élection présidentielle, Calin Georgescu qui n’est pas pro-Europe a vu l’élection être annulée par le conseil constitutionnel roumain au prétexte que via Tik-Tok la Russie aurait influencé le scrutin. Et le même candidat vient d’être empêché par le même conseil de pouvoir se présenter lors de la prochaine élection qui doit avoir lieu dans quelques semaines. Maintenant, c’est Marine Le Pen en France. Cela fait beaucoup d’immixtion des juges et des européistes dans la vie politique et c’est la confirmation que nous avons basculé en Europe vers l’instauration d’une sorte de dictature principalement pilotée par les juges et les européistes. Ce que ces « élites » et ces juges veulent à tout prix empêcher c’est que le peuple puisse s’exprimer. Et de devoir respecter ses volontés. Ce qui a fait dire - à juste titre - à JD Vance, le vice-président américain qu’il existait un vrai problème de démocratie en Europe.

Par contre et il faut le relever, il en est un qui ne se félicite pas des malheurs de Marine. C’est Jean-Luc Mélenchon.

La LFI a publié un communiqué indiquant : « Nous prenons acte de la décision de justice, même si nous refusons par principe que le recours soit impossible pour un justiciable quel qu’il soit. Quant au reste la France insoumise n’a jamais eu comme moyen d’utiliser un tribunal pour se débarrasser du Rassemblement national. »

Pour sa part Mélenchon a tweeté : « Je m'associe pleinement à la déclaration de la coordination du mouvement insoumis. Et j'ajoute : la décision de destituer un élu devrait revenir au peuple. ».

Ce que le lecteur doit savoir c’est qu’une affaire similaire, également pour des fonds européens mais concernant LFI, traîne depuis 8 ans et n’a pas encore été jugée. Et une autre qui traîne aussi concerne le financement de la campagne présidentielle de Mélenchon en 2017.

Alors que va-t-il se passer maintenant ? Plusieurs possibilités existent.

La première concerne l’aspect judiciaire. Il semble y avoir trois possibilités :

  • Les juges à l’origine de la décision aurait parait-il la possibilité de revenir sur tout ou partie de leurs décisions, notamment l’exécution provisoire, ce qui permettrait à Marine de se présenter.
  • La seconde possibilité serait pour Marine de s’adresser en référé au premier président de la cour d’appel de Paris afin qu’il ordonne un procès en appel dans les meilleurs délais, tout en suspendant l’exécution provisoire
  • La troisième possibilité serait… une grâce présidentielle, du type de ce qu’a fait Trump pour les condamnés du Capitole. Mais une grâce présidentielle de Macron pour Marine ne serait-il pas le baiser de la mort pour la tuer politiquement ?

Une seconde hypothèse existe et je ne suis pas certain qu’elle soit dénuée de fondement.

Il pourrait très bien y avoir une subite activation de la procédure judiciaire contre Mélenchon et la LFI sur leurs démêlées européennes du même type que celles du RN, voire l’affaire française pour sa campagne 2017. Ou les deux. Ce qui pourrait très bien se terminer par une conclusion identique : Mélenchon condamné et rendu inéligible avec exécution provisoire.

J’entends d’ici tous les tartuffe dire la bouche en cœur : « Vous voyez, la justice est équitable. Elle traite de la même manière l’extrême gauche et l’extrême droite ».

Et Mélenchon et Marine Le Pen d’être éliminés d’un seul coup d’un seul !

Le rêve… non ?

Juste un dernier mot. Loin de moi la volonté de tirer sur l’ambulance, mais je ne peux m’empêcher de dire « Tout cela pour ça ? ».

Oui, depuis des années Marine nous disait qu’il fallait dédiaboliser le RN et en faire un parti comme les autres, justifiant ainsi tous ses reculs sur de multiples sujets, ce qui était parait-il indispensable pour gagner. Nous, le camp patriote, disions : « vous vous racontez des histoires et vous prenez vos rêves pour la réalité. Ils ne vous accepteront jamais. Vous ne serez jamais considérés comme les autres. ».

Malheureusement les faits nous ont donné raison. Déjà l’été dernier nous avons vu le mariage de la carpe et du lapin pour « faire barrage au RN », ce qui a donné cette chambre ingouvernable nous menant de crise en crise et contribuant à l’effondrement du pays.

Aujourd’hui, le RN a une nouvelle preuve qu’il ne sera jamais accepté par les bien pensants et autres progressistes. Il sera toujours un parti de pestiférés.

Le RN va-t-il finir par admettre cette simple réalité et comprendre que le camp national et patriote est condamné à s’unir et à s’entendre pour gagner les élections et se donner les moyens de changer sérieusement les choses grâce à quoi nous pourrons sauver le pays.

Pour gagner et redresser la France, c’est une impérieuse nécessité.

09:07 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 31 mars 2025

Réalités multiracistes de la société multiraciale

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La chronique de Philippe Randa

Il y a des faits-divers qui en disent long. Douloureusement.

Ainsi cette méprisable vidéo prise par les harceleurs de Lucas, un jeune collégien de Vénissieux (Rhône) et diffusée sur les réseaux sociaux pour attiser les instincts les plus malsains de ceux qui la visionneront : insulte, coups et fuite de la victime.

Pour Lucas, ce traitement humiliant n’était pas une première ; sa sœur a ainsi témoigné, via le réseau snapchat, que, depuis des mois, son frère était traité entre autres amabilités de « singe » et de « sale noir ».

Leurs parents ayant alerté les responsables scolaires, le rectorat de Lyon, d’une rare efficacité (sic !), n’a pas manqué de les assurer que leur enfant était « accompagné » depuis plusieurs mois par le lycée et suite, à la diffusion de la vidéo, qu’une « cellule non au harcèlement » (ça ne s’invente pas !) avait été « déclenchée » !

On se doute que les harceleurs en sont terrorisés et que leur victime est parfaitement rassurée. De là à ce que ce rectorat conseille, si ce n’est déjà fait, à ces parents d’aller voir ailleurs pour leur progéniture si l’herbe est sinon plus verte, du moins moins dangereuse, qu’à Vénissieux, il n’y a pas loin.

Mais là où ce fait-divers est lourd d’enseignement, c’est quand on apprend que les harceleurs, écrit la sœur de Lucas, sont « des élèves d’origine maghrébine », ce que confirme leur père en déclarant à Medave Prod, correspondant d’Actu Lyon : « Ce n’est pas la première fois que j’interpelle le directeur du collège contre le harcèlement scolaire et les agressions répétées de certains élèves d’origine maghrébine contre mon fils en raison de sa couleur de peau. »

Information qui bat en brêche toutes les idées rabachées par les auto-proclamés antiracistes, tout autant, qu’elle explose en plein vol les déclarations péremptoires du leader maximo de la France insoumise sur les fantasmes de créolisation de notre société : le racisme n’est en rien monopole des « Européens blancs », il est largement partagé par les « non-blancs d’origines non-européennes ». On se doute que le martyr du « petit noir » Lucas à Vénissieux n’est pas un cas isolé et qu’ailleurs, ce sont des petits « Mouloud » qui détalent devant des agresseurs originaires d’Afrique noir… sans oublier tous les « Moshé » ou « François » qui font la course ici ou là, un peu partout désormais dans cette France de moins en moins « doulce », ainsi que la chantait Charles Trenet en son temps… et peu réceptive à la créolisation comme on le voit.

Il y a près d’un quart de siècle désormais – c’était en 2002 –, Jean-Jacques Matringhem et moi-même avions publié un livre regroupant plusieurs contributeurs et intitulé Vers la société Multiraciste.(1) « La plupart de ces intervenants, écrivions-nous en introduction, sont d’accord sur un point : le racisme n’est pas là où le “politiquement correct” le brocarde habituellement. Ils sont également tous d’accord sur un point : il est grand temps d’aborder ce délicat sujet différemment afin que, peut-être, l’avenir ne soit pas celui de cette société multiraciste qui se bâtit chaque jour, depuis plusieurs dizaines d’années, sous nos yeux. »

Ce souhait a fait long feu. La preuve par Lucas, à Vénissieux.

J’écrivais alors que ce qui me semblait « le plus plausible, au regard des vingt dernières années et au constat des sociétés européennes actuelles, c’est que se met en place, progressivement, non pas la société multiraciale dont on nous rabat tant les oreilles, mais une société multiraciste, faite de quantité de ghettos… »

La société multiraciste, nous y sommes. Et même en plein dedans.

Note

(1) Vers la société Multiraciste, éditions Dualpha, sous la direction de Jean-Jacques Matringhem et Philippe Randa, avec les contributions de : Archimède Bontempi, Christian Bouchet, Alain Dumait, Fondation Brigitte Bardot, Roland Gaucher, Nicolas Gauthier, Philippe Gautier, Bruno Gheerbrant, Jean-Paul Gourevitch, Guillaume Faye, Pierre Lassieur, Jean-Jacques Matringhem, Catherine Mégret, Fabrice Robert, Jean-Claude Rolinat, Jean-Pierre Rondeau, Marc Rousset, Charlotte Sawyer, Philippe Randa, Robert Steuckers, Dominique Zardi.

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18:25 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès de Marie-Jeanne Vincent, combattante nationaliste à Calais

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Militante déterminée de la cause nationale dans la ville de Calais, Marie-Jeanne Vincent a succombé, le 27 mars, à une longue maladie. Engagée contre le grand remplacement qui pourri sa ville depuis des années, elle avait été candidate pour Civitas dans la campagne législative très rugueuse de 2017.

Professeur de Lettres et de Théâtre au collège, elle avait été renvoyée de l’Éducation nationale suite à sa candidature. Les médias locaux et nationaux s’en étaient mêlés pour la dénoncer, sans la faire reculer, ce qui n’était pas simple au quotidien à Calais. Menaces, intimidations, diffamation, elle n’avait pas cédé.

En octobre 2018, elle était venue exposer la situation dramatique à laquelle les calaisiens sont confrontés lors de notre journée annuelle de Synthèse nationale à Rungis.

Que sa détermination serve d’exemple.

Th D

18:21 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Game over pour Marine Le Pen ?

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Arnaud Robert
 
5 ans d'inéligibilité avec exécution provisoire pour Marine Le Pen.
 
Marine Le Pen est condamnée à 4 ans de prison, dont deux fermes, aménagés sous forme de détention électronique à domicile, 100.000 euros d'amende et cinq ans d'inéligibilité avec exécution provisoire.
 
La chaîne TF1 annonce ce soir à 20 heures une interview de Marine Le Pen, qui n'a toujours pas pris la parole publiquement après sa condamnation qui lui barre la route pour 2027.
 
Sur le fond, cette décision est scandaleuse, car un politicien de gauche ou du centre aurait échappé à toute condamnation. Depuis la jurisprudence Fillon, la "droite" est systématiquement guillotinée. Comme pour d'autres dossiers laissés à la gauche, l'absence d'épuration de la justice, rouge écarlate, produit des résultats prévisibles.
 
Marine Le Pen n'est pas coupable d'enrichissement personnel, car elle n'a pas détourné les subventions du Parlement Européen pour son profit personnel.
 
Cela dit, elle n'est pas moins coupable d'amateurisme. Quand vous recevez des subventions, a fortiori de gens qui ne sont pas vos copains, comme le Parlement Européen, vous devez strictement respecter les conditions d'utilisation des fonds pour vous éviter des ennuis. Mais il n'y a pas de complot dans cette histoire : si vous ne respectez pas les règles, après avoir reçu de l'argent public, et si cela entraîne des conséquences judiciaires, il ne faut pas pleurer.
 
L'affaire Marine Le Pen n'a rien à voir avec la scandaleuse mise à l'écart du nationaliste roumain Calin Georgescu ou la cabale judiciaire visant Trump avant l'élection.
 
Sur la forme, après les échecs aux présidentielles en 2012, 2017 et 2022, nul doute que le résultat aurait été le même en 2027. Marine Le Pen était devenue l'atout gagnant du candidat auquel elle était opposée, pasteurisant à l'infini son programme, au moment même où nombre de pays versent à droite. Il faudrait profiter de cette éjection en plein vol pour exiger des responsables du RN le retour aux fondamentaux du mouvement national.
 

15:09 Publié dans Arnaud Robert | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Marine out !

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Le billet de Patrick Parment

Inutile de dire que ça va causer dans le Landerneau après la décision des juges de rendre la patronne du Rassemblement national inéligible pendant cinq ans, lui barrant ainsi la route à l’Elysée. Tous les sondages réalisés ces derniers temps la donnent largement en tête de 10 points sur son plus proche concurrent, Edouard Philippe, laissant loin derrière Mélenchon et autres zozos du parti socialiste, ecolos et d’ailleurs.

Mais ne nous y trompons pas, ce ne sont pas les juges qui ont décidé du sort de Marine Le Pen, c’est bel et bien ce que l’on appelle l’Etat profond, celui-là même qui a porté Emmaneul Macron au pouvoir. Désespérant de voir la gauche déboulonner le Front national hier, le Rassemblement aujourd’hui, les sbires qui tirent les ficelles de cette démocratie moribonde, craignant pour leurs affaires, sont donc passés par les tribunaux, sous des prétextes fallacieux pour sortir Marine Le Pen du jeu. Ces mêmes sbires de l’Etat profond qui se sont pris une belle trouille avec les Gilets jaunes. Pas question pour eux de rendre la parole au peuple, car on sait ce qu’il veut : foutre les immigrés à la porte, et rendre le pouvoir réel au peuple dans ses assemblées et plus précisément au Palais Bourbon. Hors de question de venir enrayer ce bel ordonnancement qui musèle le peuple via cette gauche cocue et son idéologie droits de lhommiste qui verrouille tous les esprits et en premier lieu la liberté de pensée. Les universitaires se taisent, les profs gangrènent les esprits, falsifient l’histoire. C’est ainsi que l’Education nationale est devenue une fabrique de crétins.

Autant dire que la guillotine qui vient de tomber sur la tête de Marine Le Pen inaugure les prémices d’événements à venir dont nul ne peut actuellement mesurer l’ampleur mais qui sourdent au sein d’une nation épuisée et qui n’en peut mais. Trop d’immigrés, trop de violences dues à ces mêmes immigrés, trop d’insécurité dans nos villes, trop de juges laxistes, trop de normes administratives qui gangrènent notre économie, trop d’impôts et de taxes, des institutions qui ne fonctionnent plus… la liste est trop longue de l’incurie du pouvoir depuis des décennies maintenant. On attend l’étincelle qui mettra le feu aux poudres et fera voler en éclat cet Etat profond. Marine Le Pen ou pas à la prochaine présidentielle.

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Condamnation de Marine Le Pen : la réaction d'Eric Zemmour

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Réaction d'Eric Zemmour, président de Reconquête !

Ce n’est pas aux juges de décider pour qui doit voter le peuple. Quels que soient nos désaccords, Marine Le Pen est légitime pour se présenter devant le suffrage.

Je regrette que les politiciens aient donné d’eux-mêmes ce pouvoir exorbitant à la justice.

Il faudra tout changer.

14:11 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Condamnation de Marine Le Pen : la réaction de Thomas Joly

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Réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :

Ainsi donc, Marine Le Pen est condamnée à l'inéligibilité avec exécution provisoire dans l’affaire des assistants parlementaires au Parlement européen. Une décision éminemment politique, bien sûr, car dans cette Europe technocratique, même le choix de son stylo devient suspect dès lors qu'on ne sert pas le dogme bruxellois. Mais ne nous y trompons pas : si le coup vient du Système, la cible a tendu la joue.

Cette affaire, grotesque dans sa forme, était prévisible dans le fond. Le Front National, devenu RN, a géré cette question avec un amateurisme consternant, indigne d’un parti prétendant gouverner. C’était gros comme une maison, et ils y sont allés la fleur au fusil, comme s’ils vivaient encore à l’époque des repas de famille à Montretout. Quel mépris des règles du jeu, mais surtout quelle naïveté politique.

Marine Le Pen a cru qu’en reniant son père, en purgeant les esprits libres de son parti, en se vautrant dans la dédiabolisation obsessionnelle, elle obtiendrait le sauf-conduit du Système. Elle a cru qu’en faisant des courbettes devant les médias, en abandonnant toute radicalité, en sacrifiant sur l'autel de la respectabilité les principes fondateurs du combat national, en excluant son propre père, elle serait acceptée dans le club fermé de la bien-pensance. Quelle erreur tragique ! Le Système ne pardonne jamais l’origine. Il ne tolère qu’un opposant soumis ou un traître utile. Marine Le Pen aura été les deux, successivement.

Oui, cette condamnation est scandaleuse. Oui, on devrait être libre d’employer ses assistants parlementaires comme bon nous semble. Ce flicage inquisitorial est une atteinte de plus à la souveraineté des élus. Mais le fond du problème est ailleurs : Marine Le Pen paie aujourd’hui le prix politique et moral de sa trahison. Elle a renié l’œuvre de son père, piétiné des décennies de lutte, pour finir chassée du terrain de jeu auquel elle rêvait d'appartenir.

Le peuple français mérite mieux que cette fausse rebelle devenue domestiquée. Le masque tombe, la farce s’achève. Bon débarras.

13:55 Publié dans Communiqués de presse, Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Notre confrère "Politique Magazine" consacre un article au livre de Thierry DeCruzy, "Les Brigandes, phénomène musical de la diddidence" (préfacé par Brigitte Bardot)

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Hilaire de Crémiers

Elles ont enchanté les oreilles et les cœurs de milliers de Français, nationaux, « catho tradis » comme on dit, patriotes, écœurés du système existant qui impose sa loi au profit de politiciens pourris ou renégats, surtout au profit d’une machinerie du prêt-à-penser, du fric et de la consommation démocratique.

Toujours les mêmes qui tiennent tout, presse, radios, télévisions, réseaux politiques et économiques, avec une bien-pensance obligatoire qui empêche toute liberté de penser et de s’exprimer. Bref le système actuel, particulièrement prégnant en France avec ses valeurs de la République qui interdisent tout sursaut de protestation. De 2014 à 2021, les Brigandes, issues de petits groupes amicaux antérieurs et qui a toujours compté des hommes, se sont fait connaître par leurs chansons, de style réactionnaire, voire d’inspiration contre-révolutionnaire, sur des mélodies et des rythmes étonnants, à la fois de modernité populaire et de tradition presque troubadouresque. Avec un côté satirique, typiquement français, du genre : « impossible de s’en laisser compter par la bande des guignols qui nous dirigent et prétendent nous éduquer. »

Thierry DeCruzy retrace l’histoire, année après année, chanson après chanson, de cette dissidence musicale stupéfiante qui a osé affronter la domination toute puissante de ceux qui croient aussi posséder la musique comme ils possèdent le pouvoir, tous les moyens de communication et les finances publiques et souvent privées. Évidemment, tous les procédés ont été utilisés contre cette rébellion affichée, y compris les plus ignobles, et jusqu’à la suppression de leur chaîne You Tube. Et comme le groupe ne répondait pas à tous les critères d’une saine orthodoxie, en raison des théories particulières et quelque peu ésotériques des dirigeants, les bons milieux eux-mêmes se sont éloignés d’eux. Il fallut mettre fin à cette expérience et le groupe lui-même s’en est expliqué. Excellente analyse de Thierry DeCruzy, qui ne dissimule rien, qui répertorie l’ensemble de l’œuvre – 144 chansons originales, – et fait parler quelques-uns des principaux protagonistes, en particulier l’auteur-compositeur Joël Labruyère, qui fut à l’origine de cette stupéfiante initiative.

Thierry DeCruzy, Les Brigandes, phénomène musical de la dissidencePréface de Brigitte Bardot, Synthèse nationale, 186 pages, 22 €. cliquez ici

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Le site de Politique Magazine cliquez ici

11:54 Publié dans Revue de presse, Thierry DeCruzy | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le racisme anti-Blanc

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Certains intellectuels et certains médias s’entêtent à nier le racisme anti-Blancs, car cette notion aurait été inventée par l’extrême droite. Seules les discriminations « systémiques » visant les personnes « racisées » constitueraient du racisme. Généalogie d’une manipulation idéologique.

Lire la suite ICI

Source : Le Figaro 31/3/2025

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dimanche, 30 mars 2025

Le Jarl est viré : nouvel exemple de la lâcheté ordinaire face à l’extrême gauche

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Bernard Germain 

Petit rappel des faits à l’origine de cette pitoyable annonce : le Jarl est licencié.

Le Jarl était le responsable de la sécurité de la boite de nuit appelée le « 1988 ». Il en était également le directeur adjoint.

Cet établissement de nuit est situé à Rennes au lieu nommé la « dalle du Colombier » considéré comme un véritable coupe gorge il y a encore seulement quelques années.

Ajoutons que globalement Rennes est une ville dirigée depuis de très longues années par la gauche (PS) qui est devenue totalement pourrie du fait de l’incroyable laxisme de la mairie mais aussi du fait des actions de l’extrême gauche, des antifas et de l’immigration incontrôlée qui est omniprésente dans cette ville.

Dans ce contexte particulièrement défavorable, le 1988 s’est forgé une réputation de boite où les clients pouvaient venir s’amuser en sachant qu’ils seraient en sécurité. C’est d’ailleurs la seule à Rennes à jouir de cette réputation.

Mais cela n’est pas tombé du ciel. Le Jarl a mis 3 ans avec son équipe pour « nettoyer » la Dalle notamment des dealers qui étaient partout. Et bien sûr, à plusieurs occasions, cela ne s’est pas passé avec une simple discussion.

Idem pour la boite elle-même. Les règles y sont strictes : tu fais le con, tu es viré sur le champ. Il y a même des punitions. Les fautifs sont interdits de revenir pendant une durée fonction de la gravité de ce qu’ils ont commis. Et ça fonctionne parfaitement.

Un fait doit également être relevé : il n’y a pas de couteau au 1988. La sécurité veille et fouille les clients. Résultat des dizaines de couteaux sont confisqués. Pas une soirée sans confiscation. Résultat, là aussi, pas de coups de couteau au 1988.

Alors, normalement tous et chacun devraient se féliciter de cette zone dans laquelle on peut venir l’esprit tranquille sans regarder tous les 10 m par dessus son épaule pour vérifier que personne ne s’apprête à vous sauter dessus pour vous détrousser.

Il se trouve qu’à Rennes, ce n’est pas le cas. C’est même exactement l’inverse, comme nous allons le voir.

Et d’où est venu le scandale ? Je vous le donne en mille… le scandale est venu de la député LFI Marie Mesmeur, dans la vie compagne de Louis Boyard dit « Loulou la came » petit nom charmant donné par de nombreuses personnes.

Cette dame s’est faite connaître en créant le syndicat étudiant portant le doux nom d’« Union Pirate ». Ce syndicat s’est fait remarqué récemment à Rennes 2, faculté qui a été totalement vandalisée ce dont j’avais rendu compte au travers d’un article au début de ce mois. Par ailleurs, ce syndicat et des antifas se sont aussi fait remarqué à la même période en agressant deux personnes qui ont été durement passées à tabac parce que membres du RN.

Au passage le lecteur voudra bien noter qu’aucune poursuite n’a été engagée pour ces faits, à ma connaissance. C’est important pour la suite de cet article.

Mais revenons à nos moutons.

Dans la nuit du 8 au 9 mars, des jeunes - 3 à 400 - liés aux antifas, au syndicat Union Pirate, à l’extrême gauche… etc, ont décidé de faire une « teuf » -non déclarée, ni autorisée- dans les locaux d’un cinéma désaffecté. Sauf que les portes étaient verrouillées. Donc y entrer est indiscutablement une violation de domicile ce qui, sur le papier, est puni par la Loi.

Par ailleurs, ce cinéma est situé sur la Dalle du Colombier tout près de la boite 1988. Le Jarl a donc immédiatement vu que cela risquait d’être source de sérieux problèmes pour sa clientèle vu la faune présente dans le cinéma. Faune dont nombre étaient alcoolisés et drogués.

Il appelle donc la police. Un bon moment après l’appel, une quinzaine de policiers arrive. Il n’y a pas plus d’effectifs disponibles la nuit sur Rennes. Pas assez nombreuse, la police balance dont des lacrymogènes dans le cinéma pour en chasser les teufeurs. Pas de chance, les sorties de secours sont juste à côté du 1988 et ce qui devait arriver est arrivé. De nombreux teufeurs commencent à s’en prendre aux clients du 1988, notamment en les insultant et en jetant des canettes en verre.

Le Jarl fait donc ce qu’il fait d’habitude dans ces circonstances, il intervient avec son équipe pour faire cesser ces agressions. La grande majorité des agresseurs courent vite et savent surtout insulter de loin. Quelques-uns se font attraper et repartent sur leurs pieds en s’étant fait sermonner mais aucun ne se retrouve à l’hôpital. On me permettra de dire… pourtant ils l’auraient bien mérité, eux qui agressent les gens à 30 ou 40 contre un ou deux. Comme ils l’ont fait à Rennes 2 avec les deux membres du RN.

Au final, aucun client du 1988 ne sera blessé. Une fois de plus, le Jarl a protégé sa clientèle et aucun crétin teufeur n’a été blessé non plus.

Sauf que cela n’a nullement plu aux décérébrés rennais de gauche, antifas et autres.

La député LFI, Marie Mesmeur, a saisi le procureur qui a engagé des poursuites. Le préfet aussi a été saisi par la député. Et le préfet a décidé en réponse de fermer le 1988. Quant au patron du Jarl, au lieu de féliciter son responsable de la sécurité, il l’a flanqué à la porte en le licenciant pour tout remerciement.

Enfin, la presse bien pensante s’est déchaînée contre le Jarl créant une atmosphère quasiment hystérique contre le Jarl, comme s’il avait commis un crime épouvantable, alors qu’il n’a fait que des choses de bon sens afin de protéger les clients de son établissement.

Aucun de ces gens n’a jugé utile de condamner la violation de domicile (cinéma) ni la teuf illégale, ni la drogue qui circulait, ni les insultes et agressions des clients du 1988. Non, ce qu’ils ont tous condamner c’est le Jarl et son action avec son équipe.

Alors, à ce stade, quel bilan tirer de tout cela ?

Tout d’abord que notre société est partie totalement à la dérive et qu’on est en droit de se demander s’il est encore possible d’espérer un sursaut salutaire de nature à nous éviter un naufrage total ?

Par exemple, comment peut-on accorder du crédit aux déclarations d’une Marie Mesmeur alors qu’elle soutient ceux qui ont agressé les deux personnes du RN agressées à Rennes 2 ?

Comment peut-on prendre au sérieux les dénonciations que cette député fait au procureur et au préfet lorsqu’il s’agit du 1988 et du Jarl, quand la même n’a pas un mot contre les violence dès lors que les mis en cause sont des antifas ou des membres de l’extrême gauche ? Tout comme elle n’a pas un mot contre la vandalisation de la faculté Rennes 2 par ses amis.

Comment cette député peut-elle condamner l’action du Jarl qui a pacifié la Dalle du Colombier et empêché les dérives notamment violentes ou de vente de drogue dans son établissement ?

Comment cette député peut-elle condamner et dénoncer le Jarl parce que lui et son équipe fouillent les clients et confisquent chaque soir des couteaux, au motif qu’il n’est pas membre de la police et n’aurait donc pas le droit de fouiller ?

Pour cette dame, il faudrait sans doute laisser les gens venir avec des couteaux et dire ensuite s’il y a des morts que c’est un… « fait divers ». Moi je crois qu’en plus elle accuserait le Jarl de ne pas avoir fait son travail ou pire de « non assistance à personne en danger ».

On me permettra d’ajouter qu’il est stupéfiant pour aller danser et s’amuser de juger qu’il faut avoir un couteau sur soi. Mais cela ne dérangerait visiblement pas cette député.

Pour elle le scandale c’est qu’on fouille une personne, pas qu’elle ait un couteau et que cela puisse déboucher sur un ou des morts.

Notre société est vraiment au bord de l’abîme. Aucun article de la presse ne s’est posé les questions de bon sens qui précèdent. Et tous hurlent avec les loups contre le Jarl qui n’a fait qu’imposer des règles qui ont assuré le calme et la sérénité sur la Dalle et au 1988 depuis son arrivée jusqu’à ce jour.

Mais c’est fini. Le Jarl a été viré et une partie de son équipe a démissionné.

La Dalle va redevenir rapidement un coupe gorge et le 1988 va aussi redevenir une boite comme les autres avec agressions, vente de drogue et bagarres.

La décomposition de la gauche et de l’extrême gauche alliée à la lâcheté des médias, des autorités et des hommes politiques font que nous sombrons lentement mais sûrement.

Pauvre France…

19:13 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Géopolitique de la paix

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Jeffrey Sachs, est un économiste américain qui a été tout à la fois l’acteur et le témoin de l’ingérence américaine dans l’espace postsoviétique. Il est intervenu lors d’une réunion au Parlement européen, le 19 février dernier, où il a exposé son analyse de la guerre en Ukraine. Cette intervention n’a été que peu reprise par la presse européenne. Et pour cause, il dénonce l’attitude des Américains et la faiblesse des Européens. Henry Kissinger disait qu’il est dangereux d’être l’ennemi des Etats-Unis, mais il est fatal d’être son allié. Les Européens en font l’expérience depuis 1945.

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Source : Le Monde diplomatique, avril 2025.

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samedi, 29 mars 2025

Journal du chaos

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vendredi, 28 mars 2025

Le prochain numéro de Livr'arbitres :

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Le nouveau numéro de la revue Eléments

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Gouvernement mondial des juges

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La chronique flibustière de georges Feltin-Tracol

Le 11 mars dernier, alors qu’il revenait d’un court séjour à Hong Kong, l’ancien président des Philippines de 2016 à 2022, Rodrigo Duterte, est arrêté, mis dans un avion privé sans aucune décision judiciaire et déporté à La Haye aux Pays-Bas. Les autorités philippines justifient cette forfaiture en se référant à un mandat d’arrêt international émis en secret, le 7 mars dernier, par la Cour pénale internationale (CPI). Une fois encore, cette instance se fait tristement remarquer.

Cet enlèvement confirme l’installation progressive d’un gouvernement de juges à l’échelle planétaire. L’incroyable arrestation de l’ancien président s’interprète selon deux grilles de lecture non exclusives. La première concerne le contexte politique à Manille. Ferdinand Marcos dit « Bongbong », fils de Ferdinand Marcos, chef d’État anti-communiste de 1965 à 1986, succède en 2022 à Rodrigo Duterte avec son appui officiel. Élue au suffrage universel direct lors d’un autre scrutin le même jour que la présidentielle, la vice-présidente de Marcos s’appelle Sara Duterte, l’une de ses filles. Or, très vite, les familles Marcos et Duterte entrent en conflit. Par ailleurs, si Rodrigo Duterte incline plutôt vers la Chine populaire, « Bongbong » se tourne vers les États-Unis. Les tensions entre le président et sa vice-présidente atteignent une telle violence que la Chambre des représentants vote la destitution de Sara Duterte, le 5 février 2025. Cette décision doit maintenant être entérinée par le Sénat à la majorité des deux tiers.

En ordonnant l’arrestation de son prédécesseur, toujours populaire auprès des Philippins, « Bongbong » abat une carte majeure dans la perspective des échéances législatives à venir. Pas sûr que l’actuel chef d’État philippin réussisse son pari, car la scandaleuse détention de l’ancien président électrise une grande partie de l’opinion philippine en sa faveur. Le contentieux politico-judiciaire entre les familles Marcos et Duterte arrive à son paroxysme.

Le seconde lecture de cette arrestation soi-disant légale se rapporte au rôle néfaste qu’exerce la CPI dans les relations internationales. Fondée par le sordide Statut de Rome de 1998, cette institution supranationale entreprend des enquêtes, avec l’assistance d’ONG complices souvent subventionnées, organise des procès selon le droit anglo-saxon et prononce des condamnations. Elle a engagé des poursuites contre Rodrigo Duterte pour meurtres, tortures et viols considérés comme « crimes contre l’humanité ». La CPI possède un tableau de chasse fourni avec, pour victimes expiatoires, l’ex-président islamiste soudanais Omar el-Béchir ou l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo finalement acquitté en 2021 après huit longues années en prison ! L’extrême gauche habituellement si rétive à toutes formes d’incarcération ne proteste guère contre ces atteintes répétées au droit des peuples.

Ces derniers temps, la CPI a lancé d’autres mandats d’arrêt internationaux, fort médiatiques, contre le président russe Vladimir Poutine (mars 2023) et le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou (novembre 2024) alors que la Russie et Israël ne la reconnaissent pas. Les États-Unis méprisent aussi ce machin aberrant.

La CPI viole ouvertement la souveraineté des États et se moque de l’immunité de droit accordée aux chefs d’État et de gouvernement. Elle s’attaque à tout responsable qui refuse en fait le nouvel ordre mondial des cosmopolites. En revanche, ce tribunal supranational ne s’occupe guère du complotiste d’extrême-centre de l’Élysée qui manipule les peurs collectives (pandémies, insécurité, guerre) et qui a maltraité son propre peuple au moment des Gilets jaunes, de la fumisterie dramatique du covid et des manifestations massives contre la réforme débile des retraites.

Les magistrats hors-sol de la CPI accusent Rodrigo Duterte d’avoir commandé, soutenu et couvert des exactions pendant son mandat contre les usagers de la drogue. Le président des Philippines avait déclenché une guerre impitoyable contre les trafiquants de drogue et les consommateurs. Alors maire de Davao, il se félicitait que des unités spéciales nettoyassent quartiers et rues de toutes formes de racaille. Devenu président, il généralisa ces pratiques musclées. La CPI lui reproche donc le recours massif à des condamnations à mort extra-judiciaires. Le fléau des drogues ravage pourtant l’archipel. Rodrigo Duterte a agi en véritable « président-flingueur » et montré à ses concitoyens qu’il tenait ses promesses, quoi qu’il en coûte. À l’heure où les narco-trafics se répandent en Europe, le président Duterte devrait être remercié, célébré et salué au lieu d’être traité tel un paria. La CPI pratique l’inversion des valeurs. L’honnête homme devient un prévenu et la racaille une pauvre victime ! Honteux !

On a ici une mise en œuvre d’un nouveau délire, la toxicophobie, promu par les inévitables crasseux gauchistes. Critiquer les drogués, contester l’ouverture des salles de shoot, refuser la légalisation de la toxicomanie constitueraient des discriminations bientôt punies par la loi. Face à un fumeur de crack zombifié, il faudrait se taire, accepter et se soumettre. Et si la fameuse loi sur la fin de vie et l’assistance à mourir portait en priorité sur les drogués ? L’avortement post-natal devrait devenir un droit.

Pour revenir au président Dutertre, il est intéressant de savoir que la délivrance de son mandat d’arrêt relève d’un triumvirat de magistrates (où est donc la fameuse parité ?) d’origine ivoirienne, mexicaine et roumaine. Ce précédent devrait inquiéter les autorités belges et néerlandaises qui luttent avec difficulté contre les réseaux de narco-trafiquants qui gangrènent leurs pays. Il devrait aussi provoquer l’inquiétude chez les ministres français Retailleau et Darmanin en pointe médiatique contre ces mêmes milieux criminels. Enfin, le président salvadorien Nayib Bukele pourrait être la prochaine cible, lui qui a restauré l’ordre et la sécurité dans son pays par des moyens énergiques non conformes au dogme badintérien de l’excuse permanente accordée aux auteurs de crimes et de délits. On peut d’ailleurs s’interroger si la CPI ne serait pas sous l’influence des barons de la drogue…

La CPI croit défendre un supposé « droit international » ainsi que les mirifiques et fallacieux « droits de l’homme, de la femme, du non-binaire et d’autres genres ». Héritière des sinistres tribunaux de Nuremberg et de Tokyo si bien dénoncés en leur temps par Maurice Bardèche le visionnaire ainsi que des tribunaux pénaux internationaux pour l’ex-Yougoslavie et le Ruanda, cet aréopage de magistrats se pose en instance supérieure capable de surveiller les États. Les citoyens qui détiennent en théorie la souveraineté politique ont-ils été sollicité pour accepter ce surplomb politico-judiciaire ? On ne le pense pas…

Des rétorsion tombent enfin sur la CPI. La Russie a pour sa part émis des mandats d’arrêt internationaux contre ses différents responsables dont son procureur en chef Karim Khan. L’administration Trump a signé contre elle un décret de sanction. Il gèle ses avoirs détenus aux États-Unis; il interdit l’entrée sur leur sol de ses dirigeants, employés et agents ainsi que de leurs proches membres de famille. Certes, la CPI pourrait répliquer par des condamnations par contumace à cinq ans de prison pour quiconque limiterait son action. Or, face à Moscou, Washington et Tel-Aviv, on lui souhaite bien du plaisir d’autant qu’il est maintenant possible que des troupes étatsuniennes puissent intervenir manu militari à La Haye afin de libérer tout éventuel accusé emprisonné (citoyen étatsunien ou d’un État allié).

Des politiciens français dits de « droite nationale » critiquent régulièrement dans l’ordre intérieur le gouvernement des juges à travers l’omnipotence du Conseil constitutionnel, du Conseil d’État et de la Cour de cassation. Les plus téméraires d’entre eux dénoncent aussi la Cour européenne des droits de l’homme et la Cour de justice de l’Union européenne. Tous oublient l’action délétère de la CPI qui nie la volonté souveraine des communautés politiques, des peuples et des États. L’avènement d’un nouvel ordre multipolaire réellement pluriversel ne se réalisera pleinement que sur les ruines, fumantes ou non, de la Cour pénale internationale.  

Salutations flibustières !

• « Vigie d’un monde en ébullition », n°149, mise en ligne le 25 mars 2025

00:21 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 27 mars 2025

Petit djihad personnel d’un héros d’Allah

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La chronique de Philippe Randa

L’agression d’un rabbin à Orléans le 22 mars dernier par une jeune racaille (16 ans) sous les yeux de son jeune fils (9 ans, lui) a été longuement relayée dans certains médias, plus brièvement dans d’autres, mais n’aura guère émue les participants de la huitième édition de la Marche des solidarités, défilant contre « l’apathie de l’opinion face à la montée des intolérances », à Paris tout autant qu’en province…

C’est que chez ces « gens-là », pourtant si prompts à faire table rase de toute identité raciale, sexuelle, religieuse, historique ou culturelle, on ne mélange pas le soutien aux migrants, aux Palestiniens et aux LGBTYXZ+, nouveaux damnés de la terre, avec celui aux enfants d’Israël, fussent-ils tous compatriotes.

On s’en est beaucoup ému « à droite » de l’échiquier politique, guère à gauche (euphémisme) de celui-ci… On peut certes déplorer un tel constat.

Et plus encore que rien ne laisse espérer un changement quelconque des mentalités. Car notons que les premiers s’émeuvent habituellement peu à l’évocation des 42 000 morts à Gaza en un an (7 octobre 2023-7 octobre 2024)… et les seconds de la soixantaine d’otages encore aux mains du Hamas et de leurs conditions de survie ; si « vie » il y a encore pour tous.

Les habitudes ont la haine-de-l’autre dure.

Quant au « fait-divers » d’Orléans, si l’agressé est facilement identifiable par sa kippa, saluons le travail remarquable des forces de l’ordre qui ont réussi à appréhender l’agresseur qui avait tranquillement poursuivi son chemin après avoir accompli son petit « djihad » personnel.

La chose n’était guère aisée, le « héros d’Allah » étant connu sous pas moins de trois identités : une marocaine et deux palestiniennes, selon une source proche du dossier.

Jamais plus qu’à Orléans et jamais plus que ce 22 mars, « on ne sent combien c’est beau, combien c’est grand, combien c’est généreux la France ! Vive la République ! Vive la France ! » s’enthousiasmeront certains, tandis que d’autres s’étrangleront de rage en pastichant le célèbre discours du général De Gaulle, le 4 juin 1958 à Alger.

18:26 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Paris, samedi 29 mars : après-midi dédicaces des Amis d'Alain Pascal

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16:59 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Islamisation : quand les pyromanes crient au feu

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Thomas Joly, président du Parti de la France

À chaque soubresaut médiatique, nos gouvernants s’agrippent au chiffon rouge du voile islamique, comme des naufragés à une bouée crevée. Ils s’agitent, s’indignent, débattent à sur les plateaux télé comme au café du commerce, feignant la stupeur, jouant la comédie de la découverte. Mais de qui se moque-t-on ? Cela fait quarante ans qu’ils organisent, méthodiquement, l’installation de millions d’afro-musulmans sur notre sol. Ils ont méticuleusement importé l’islamisation qu’ils prétendent aujourd’hui combattre. Ils ont creusé eux-mêmes la tombe de la France et voilà qu’ils s’étonnent du trou.

Quant aux Frères musulmans, ces stratèges patients de la conquête, nos élites les ont laissés proliférer dans nos associations, nos universités, nos syndicats, nos conseils municipaux. Pendant que le peuple français s’inquiétait, eux souriaient, complices. Aujourd’hui, ils crient au loup, mais le loup est déjà dans la bergerie, et il y a bien longtemps qu’il a mangé le berger.

Les demi-mesures, les lois inutiles, les discours creux : tout cela ne suffira pas. Il ne s’agit plus de « réguler » l’immigration, de « contrôler » l’islam politique ou de « rappeler » les valeurs de la République. Il est trop tard pour les incantations. Il faut agir. Et agir avec une clarté brutale : seule une remigration massive des populations étrangères inassimilables pourra mettre fin à ce projet cosmopolite visant à dissoudre le peuple français dans le grand bain tiède du multiculturalisme.

02:06 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 26 mars 2025

Rassemblement pour la paix ce Jeudi 27 mars - Place de la République à Paris.

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Rassemblement pour la paix.

Jeudi 27 mars 2025 de 17 h 00 à 20 h 00.

Place de la République à Paris.

21:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

25 mars 1821 : début de la guerre d’indépendance grecque

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Source Jeune nation cliquez ici

La guerre d’indépendance grecque (1821-1829), ou Révolution grecque (Ελληνική Επανάσταση του 1821), est le conflit durant lequel les Grecs, finalement soutenus par les grandes puissances (France, Royaume-Uni, Russie), réussirent à obtenir leur indépendance de l’Empire ottoman.

Le 25 mars 1821, les Grecs, définis d’abord en tant que chrétiens orthodoxes, se révoltèrent face à la domination de l’Empire ottoman. Cette révolte réussit, et l’indépendance de fait fut proclamée lors de l’Assemblée nationale d’Épidaure le 1er janvier 1822. L’opinion publique européenne était assez favorable au mouvement, à l’image des philhellènes.

Cependant, aucun gouvernement ne bougea à cause du poids politique et diplomatique de la Sainte-Alliance, et particulièrement de l’Autriche de Metternich, partisan acharné de l’ordre, de l’équilibre et du principe de légitimité instauré par le congrès de Vienne.

Des Grecs vivant hors de l’Empire ottoman, comme des habitants des Îles Ioniennes tels que Ioánnis Kapodístrias, et des membres de l’élite grecque de Constantinople et des Principautés danubiennes, les Phanariotes, apportèrent dès le début leur aide aux insurgés.

Pendant deux ans, les Grecs multiplièrent les victoires.

Cependant, ils commencèrent très vite à se déchirer, divisés entre « politiques » et « militaires ». La Sublime Porte appela en 1824 à l’aide son puissant vassal égyptien Méhémet Ali.

Pour les Grecs, les défaites et les surtout les massacres se succédèrent.

Cependant, les Russes souhaitaient de plus en plus ardemment intervenir, par solidarité orthodoxe mais aussi parce qu’ils avaient leur propre ordre du jour géostratégique.

Les Britanniques, quant à eux, désiraient au départ limiter l’influence russe dans la région mais finirent par s’allier avec la Russie.

Une expédition navale de démonstration fut suggérée lors du traité de Londres de 1827.

10:53 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

On peut-être un immense athlète et dire des sottises absolues, comme être « l’idiot utile de l’islam des frères musulmans » 

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Michel Festivi 

Personne ne contestera que Teddy Riner est un immense sportif, peut-être le plus grand en nombre de médailles, aux jeux olympiques, et aux championnats du monde. Mais comme souvent, les sportifs feraient mieux de rester concentrés sur leur sport et ne pas se mêler de politique, du moins d’éviter les prises de paroles publiques. Et c’est exactement, ce qui s’est passé. Notre judoka national a eu la saugrenue idée de venir au secours de femmes qui entendent porter le voile lorsqu’elles pratiquent leur discipline. Il a prétendu que la liberté et l’égalité devraient être prioritaires et « ne pas s’acharner sur une seule et même religion ». Le problème que Teddy Riner ne voit pas ou refuse de voir, c’est que justement, seule une religion pose problème, et aucune autre.

C’est l’ex-champion du monde de boxe en 2003 et 2006, d’origine iranienne, mais naturalisé français, Mahyar Monshipour qui lui a répondu en renvoyant Teddy Riner dans son dojo, « pour lui dire qu’on ne peut pas prendre position sur certains sujets que l’on ne maîtrise pas ». Conseiller technique de la Fédération française de boxe, né à Téhéran, il connait lui, contrairement à Teddy Riner, ce que veut très précisément signifier, le port du voile.  Pour Mahyar, « Il s’agit de rendre habituelle la présence du fait religieux. On ne parle pas du port d’une simple croix, mais de la volonté de cacher la femme avec le voile. Ce voile est un linceul et le signe visible d’une inégalité entre l’homme et la femme. ». En une phrase, bien sentie, Teddy Riner, est remis à sa place par ippon, celle d’un judoka, qu’il n’aurait jamais dû quitter. 

Et d’en rajouter judicieusement « Teddy se trompe par méconnaissance du sujet, les sportifs...ne doivent pas devenir les idiots utiles de l’islam des frères musulmans... je le répète, une recommandation religieuse n’a rien à faire dans la pratique sportive, dans les activités culturelles ou à l’école. Le permettre, c’est accepter un petit pas de plus des frères musulmans dans notre société. » 

Mahyar, dans cet entretien qu’il a donné au Figaro revient sur la manière dont le voile s’est imposé en Iran, et il lance ce cri « Réveillons-nous et réveillez-vous Teddy Riner... ils veulent rendre le port du voile classique, pour extraire les femmes du monde du sport ».

A cet égard, et suite à la proposition de loi sur l’interdiction du port du voile dans le sport, votée au Sénat et qui va être débattue à l’Assemblée nationale, la cacophonie s’est faite jour au sein du gouvernement « du en même temps » de François Bayrou. La ministre de sport et de l’éducation nationale avaient l’air de ne pas voir le problème, quand d’autres ministres comme celui de la Justice ou de l’intérieur se sont prononcés pour cette interdiction. Justement, Bruno Retailleau vient de se déclarer être radicalement opposé à Teddy Riner. « Le voile n’est pas le symbole de la liberté, c’est le symbole de la soumission. Il n’est pas non plus le marqueur de l’égalité, au contraire, il conteste radicalement l’égalité entre les hommes et les femmes, il est le signe de l’infériorisation du statut de la femme ... vous ne trouverez pas un seul islamiste qui ne souhaite pas que les femmes portent le voile ».

Dans le passé, on a connu les idiots utiles du communisme, on connait aujourd’hui, les idiots utiles de l’islam. Un dernier point, particulièrement troublant, qui démontre les ravages que la religion islamiste peut faire dans notre société. Selon un sondage, sur le fait religieux en entreprise, et d’après une enquête réalisée par Toluna-Harris interactive, du 11 au 14 février 2025, auprès de salariés âgés de 18 à 65 ans, travaillant dans une entreprise privée de 100 salariés et plus ou dans le secteur public, 46% des salariés de 18-24 ans jugent acceptable de refuser de s’asseoir, là ou une personne de l’autre sexe est assise et 42% contre 20% de l’ensemble des salariés, trouvent acceptable de refuser d’entrer en contact avec certains clients selon leur sexe. Mais pour certains, c’est peut-être aussi, une question d’égalité ou de liberté ? Réveillons-nous, s’il n’est déjà pas trop tard.

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mardi, 25 mars 2025

La restauration n’a pas besoin d’immigration !

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Stéphane Manigold est le fondateur du groupe Eclore qui compte huit restaurants gastronomiques et six étoiles au Michelin. Il nous démontre dans cette chronique du Figaro que la restauration française n’a pas besoin d’un afflux massif de travailleurs étrangers, souvent des immigrés sans-papiers largement exploités dans le secteur de la restauration. Il nous explique pourquoi.

Lire la suite ICI

Source : Le Figaro 25/3/2025

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En attendant 2027 ?

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Yves Thréard

François Bayrou serait-il à la recherche d’un second souffle. Education, accès aux soins, simplification bureaucratique, finances publiques, tels sont les quatre chantiers qu’il promet d’ouvrir.

Personne n’est dupe. Cela fait trente ou quarante ans que tous les gouvernements butent sur ces sujets. On ne voit donc pas comment le premier ministre y parviendrait aujourd’hui, sans majorité et dans un paysage politique plus fragmenté que jamais. Depuis son arrivée à Matignon et l’adoption du budget par 49.3, il ne se passe d’ailleurs plus grand-chose au Parlement. Projets ou propositions de loi sont vidés de leur subs- tance ou reportés à des jours meilleurs. La France poursuit son bonhomme de chemin somnambulique vers nulle part, sans cap ni boussole. L’essentiel pour la dyarchie de l’exécutif, c’est de tenir. François Bayrou a même ressorti de la naphtaline le débat sur l’identité française qui s’était terminé en queue de poisson sous Nicolas Sarkozy. Faute de mieux, on spécule à tout-va. À quand la prochaine tentative de censure ? À l’occasion de la fin du conclave sur les retraites ou du prochain budget ? Certes, mais qui y aurait intérêt ? L’avenir du RN et de Marine Le Pen est suspendu à la décision de la justice, lundi prochain. Quant aux autres partis, à l’exception de LFI, qui veut à tout prix la chute du régie, ils ont tout à redouter de nouvelles élections législatives. Au sein du pouvoir exécutif, on fait mine d’examiner des voies d’action pour sortir du procès en immobilisme. Pourquoi ne pas recourir à des ordonnances ? Pourquoi ne pas demander au peuple de trancher directement par référendum ? En vue d’une meilleure maîtrise de l’immigration, notamment. Certes, mais Emmanuel Macron serait-il en mesure de prendre ce risque ?

Rien de décisif ne se fera avant la présidentielle de 2027, prédit Édouard Philippe. Une chose est sûre : en l’état actuel des forces politiques, pour beaucoup adeptes de la dépense publique ou de réformes démagogiques à grands frais, il serait préférable de pas ajouter une crise à la crise qui tenaille notre pays.

Source : Le Figaro 25/3/2025

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Fin mars, projection de "Silenced" à Avignon, Perpignan et Ganges...

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Vous souvenez-vous de cette histoire de lycéen syrien, Jamal, soi-disant martyrisé par  Bailey, un jeune Anglais prétendu raciste, il y a 5 ans ? Elle a fait le tour du monde, et démontré le racisme de la société anglaise, jusque dans les établissements scolaires.
 
Tous les médias en ont fait leur chou gras. Alerté par certains témoins des actes du « pauvre petit réfugié syrien », Tommy Robinson est allé voir sur place, a interrogé les témoins, et s’est rendu compte que la vérité était l’exact opposé de ce que les médias se plaisaient à raconter : d’après tous les témoins, Jamal persécutait les plus petits que lui, se montrait détestable avec tout le monde, et mentait sans cesse. Les rapports scolaires en témoignent. Il aurait enfin menacé les 2 jeunes sœurs de Bailey de les violer.
Mais les médias ont fait de Jamal un petit saint, victime du racisme de Bailey.
 
Tommy a fait savoir la vérité, et en a même fait un documentaire "Silenced" à voir actuellement en France.

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lundi, 24 mars 2025

François Martin : Macron humilié par Trump et Poutine

Alors que la guerre en Ukraine s’éternise, les négociations s’intensifient entre la Russie et les États-Unis. Donald Trump, fraîchement revenu à la Maison Blanche, bouleverse l’échiquier mondial avec sa diplomatie offensive. Le temps béni des néoconservateurs est terminé à Washington, le président américain et son entourage ont pris acte de la réorganisation d’un monde multipolaire où l’hégémonie américaine n’est plus une stratégie viable sur le plan géopolitique.

Que veulent réellement Poutine et Trump ?

Quelle réorganisation mondiale ?

Quel avenir pour l’OTAN ?

Pourquoi Emmanuel Macron est-il obsédé par la guerre en Ukraine ?

Quelle partition joue l’Europe ?

Nous décryptons les coulisses des négociations, les enjeux économiques et militaires, et les implications pour la France et l’Europe avec notre invité François Martin. Expert en géopolitique, diplômé de l’ESSEC, fort d’un MBA à HEC, auditeur de l’INHESJ et de l’IHEDN, il est l'auteur de "L’Ukraine, un basculement du monde" (disponible ici) et plus récemment "Le temps des fractures" (disponible ici), tous deux aux éditions Jean-Cyrille Godefroy.

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Le "Nouveau Présent" annonce la parution du Cahier d'Histoire consacré à Jean-Marie Le Pen

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Source Le Nouveau Présent cliquez ici

Né en 1928, Jean-Marie Le Pen s’éteignit le 7 janvier dernier, au terme d’une longue vie de combats, sur le terrain militaire mais surtout politique et civilisationnel comme il l’avait écrit dans ses Mémoires : « Si j’ai eu un sens, c’est de crier la vérité à temps et à contre-temps, d’être la voix qui refuse le mensonge […], une vigie, une sentinelle, un lanceur d’alertes », quels que soient les risques encourus.

Il méritait donc un hommage, celui que vient de lui rendre l’équipe de Synthèse nationale en lui consacrant son dernier Cahier d’histoire du nationalisme sous le titre Jean-Marie Le Pen — Le Menhir est éternel (1).

Dans ce document pour l’histoire réalisé sous la direction d’Aristide Leucate, est évoquée toute la carrière aussi longue que mouvementée du leader étudiant vite devenu le plus jeune député (sous l’égide de Pierre Poujade) que la République ait connu, avant de se porter volontaire dans la Légion étrangère pour servir son pays puis, à la tête du Front national, faire de ce qui n’était au départ qu’un groupuscule un élément incontournable du paysage politique français. Qu’on se souvienne du séisme provoqué par l’accession du Menhir au second tour de la présidentielle de 2002, après élimination du Premier ministre Jospin pourtant donné favori par tous les augures. Le « tour infernal » qui suivit montra l’ampleur de l’épouvante que cet exploit inspirait à l’anti-France.

Au hasard des dizaines de contributions — dont certaines dues à des camarades italiens, flamands ou québécois — les militants, les compagnons de route (ou parfois de galère…) et les adversaires revivront en lisant ce livre les combats menés, les accidents de parcours, mais aussi les succès qui, pour les nationaux, jalonnèrent grâce au « diable de la République » le dernier tiers du XXème siècle. On rêve à ce que serait devenu le FN si, plus jeune de vingt ans, le Breton avait pu se maintenir à sa tête et conduire les batailles actuelles… 

En 2019, c’est à Jean-Marie Le Pen que, pour le premier tome de ses Mémoires intitulé Fils de la Nation, avait été remis le Prix des lecteurs et Amis de Présent. On ne s’étonnera donc pas de trouver parmi les auteurs des témoignages réunis dans cet ouvrage plusieurs journalistes de ce quotidien — devenu le Nouveau Présent — comme Anne Le Pape, Camille Galic, Françoise Monestier, Rémy Tremblay, Michel Festivi, Franck Delétraz ou Jean-Claude Rolinat.

La Rédaction

du Nouveau Présent

(1) Jean-Marie Le Pen, 250 pages avec bibliographie et de nombreuses illustrations, 250 pages, 24 euros. Commandes à www.synthese-editions.com

dimanche, 23 mars 2025

Les scandaleux accords d’Evian de 1962

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Bernard Lugan*

Il y a soixante-trois ans, les 18 et 19 mars 2022, la France signa les « accords d’Evian » et ordonna le « cessez-le-feu » en Algérie. Un double anniversaire : celui d’un abandon et celui  d’une tragédie.

Le 18 mars 1962, à 17h 40, le général de Gaulle offrit en effet l’Algérie au FLN alors que l'armée française l’avait emporté sur le terrain. A cette date, 250 000 Algériens servaient sous le drapeau tricolore, soit cinq fois plus que les maquisards de l’intérieur et les membres de l’ALN stationnés en Tunisie ou au Maroc.

Sans la moindre garantie sérieuse, les évènements qui suivirent le démontrèrent tragiquement, plus d’un million d’Européens et plusieurs centaines de milliers de musulmans attachés à la France furent ainsi abandonnés au bon vouloir de l’ennemi d’hier (voir à ce sujet mes livres

Puis, le 8 avril 1962, par un référendum ségrégationniste puisque le pouvoir gaulliste l’avait ouvert aux seuls Français de métropole, les Français d’Algérie, pourtant les premiers concernés, en ayant été écartés (!!!), « les accords d’Evian » furent ratifiés par 90,81% de « oui ».
 Aujourd’hui, les enfants de ces 90,81% paient à travers le « grand remplacement » et les humiliations algériennes, l’indifférence, le soulagement, la lâcheté et pour certains, la trahison de leurs parents.

(*) A retrouver sur son site ICI

 

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