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vendredi, 28 mars 2025

Le nouveau numéro de la revue Eléments

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Gouvernement mondial des juges

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La chronique flibustière de georges Feltin-Tracol

Le 11 mars dernier, alors qu’il revenait d’un court séjour à Hong Kong, l’ancien président des Philippines de 2016 à 2022, Rodrigo Duterte, est arrêté, mis dans un avion privé sans aucune décision judiciaire et déporté à La Haye aux Pays-Bas. Les autorités philippines justifient cette forfaiture en se référant à un mandat d’arrêt international émis en secret, le 7 mars dernier, par la Cour pénale internationale (CPI). Une fois encore, cette instance se fait tristement remarquer.

Cet enlèvement confirme l’installation progressive d’un gouvernement de juges à l’échelle planétaire. L’incroyable arrestation de l’ancien président s’interprète selon deux grilles de lecture non exclusives. La première concerne le contexte politique à Manille. Ferdinand Marcos dit « Bongbong », fils de Ferdinand Marcos, chef d’État anti-communiste de 1965 à 1986, succède en 2022 à Rodrigo Duterte avec son appui officiel. Élue au suffrage universel direct lors d’un autre scrutin le même jour que la présidentielle, la vice-présidente de Marcos s’appelle Sara Duterte, l’une de ses filles. Or, très vite, les familles Marcos et Duterte entrent en conflit. Par ailleurs, si Rodrigo Duterte incline plutôt vers la Chine populaire, « Bongbong » se tourne vers les États-Unis. Les tensions entre le président et sa vice-présidente atteignent une telle violence que la Chambre des représentants vote la destitution de Sara Duterte, le 5 février 2025. Cette décision doit maintenant être entérinée par le Sénat à la majorité des deux tiers.

En ordonnant l’arrestation de son prédécesseur, toujours populaire auprès des Philippins, « Bongbong » abat une carte majeure dans la perspective des échéances législatives à venir. Pas sûr que l’actuel chef d’État philippin réussisse son pari, car la scandaleuse détention de l’ancien président électrise une grande partie de l’opinion philippine en sa faveur. Le contentieux politico-judiciaire entre les familles Marcos et Duterte arrive à son paroxysme.

Le seconde lecture de cette arrestation soi-disant légale se rapporte au rôle néfaste qu’exerce la CPI dans les relations internationales. Fondée par le sordide Statut de Rome de 1998, cette institution supranationale entreprend des enquêtes, avec l’assistance d’ONG complices souvent subventionnées, organise des procès selon le droit anglo-saxon et prononce des condamnations. Elle a engagé des poursuites contre Rodrigo Duterte pour meurtres, tortures et viols considérés comme « crimes contre l’humanité ». La CPI possède un tableau de chasse fourni avec, pour victimes expiatoires, l’ex-président islamiste soudanais Omar el-Béchir ou l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo finalement acquitté en 2021 après huit longues années en prison ! L’extrême gauche habituellement si rétive à toutes formes d’incarcération ne proteste guère contre ces atteintes répétées au droit des peuples.

Ces derniers temps, la CPI a lancé d’autres mandats d’arrêt internationaux, fort médiatiques, contre le président russe Vladimir Poutine (mars 2023) et le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou (novembre 2024) alors que la Russie et Israël ne la reconnaissent pas. Les États-Unis méprisent aussi ce machin aberrant.

La CPI viole ouvertement la souveraineté des États et se moque de l’immunité de droit accordée aux chefs d’État et de gouvernement. Elle s’attaque à tout responsable qui refuse en fait le nouvel ordre mondial des cosmopolites. En revanche, ce tribunal supranational ne s’occupe guère du complotiste d’extrême-centre de l’Élysée qui manipule les peurs collectives (pandémies, insécurité, guerre) et qui a maltraité son propre peuple au moment des Gilets jaunes, de la fumisterie dramatique du covid et des manifestations massives contre la réforme débile des retraites.

Les magistrats hors-sol de la CPI accusent Rodrigo Duterte d’avoir commandé, soutenu et couvert des exactions pendant son mandat contre les usagers de la drogue. Le président des Philippines avait déclenché une guerre impitoyable contre les trafiquants de drogue et les consommateurs. Alors maire de Davao, il se félicitait que des unités spéciales nettoyassent quartiers et rues de toutes formes de racaille. Devenu président, il généralisa ces pratiques musclées. La CPI lui reproche donc le recours massif à des condamnations à mort extra-judiciaires. Le fléau des drogues ravage pourtant l’archipel. Rodrigo Duterte a agi en véritable « président-flingueur » et montré à ses concitoyens qu’il tenait ses promesses, quoi qu’il en coûte. À l’heure où les narco-trafics se répandent en Europe, le président Duterte devrait être remercié, célébré et salué au lieu d’être traité tel un paria. La CPI pratique l’inversion des valeurs. L’honnête homme devient un prévenu et la racaille une pauvre victime ! Honteux !

On a ici une mise en œuvre d’un nouveau délire, la toxicophobie, promu par les inévitables crasseux gauchistes. Critiquer les drogués, contester l’ouverture des salles de shoot, refuser la légalisation de la toxicomanie constitueraient des discriminations bientôt punies par la loi. Face à un fumeur de crack zombifié, il faudrait se taire, accepter et se soumettre. Et si la fameuse loi sur la fin de vie et l’assistance à mourir portait en priorité sur les drogués ? L’avortement post-natal devrait devenir un droit.

Pour revenir au président Dutertre, il est intéressant de savoir que la délivrance de son mandat d’arrêt relève d’un triumvirat de magistrates (où est donc la fameuse parité ?) d’origine ivoirienne, mexicaine et roumaine. Ce précédent devrait inquiéter les autorités belges et néerlandaises qui luttent avec difficulté contre les réseaux de narco-trafiquants qui gangrènent leurs pays. Il devrait aussi provoquer l’inquiétude chez les ministres français Retailleau et Darmanin en pointe médiatique contre ces mêmes milieux criminels. Enfin, le président salvadorien Nayib Bukele pourrait être la prochaine cible, lui qui a restauré l’ordre et la sécurité dans son pays par des moyens énergiques non conformes au dogme badintérien de l’excuse permanente accordée aux auteurs de crimes et de délits. On peut d’ailleurs s’interroger si la CPI ne serait pas sous l’influence des barons de la drogue…

La CPI croit défendre un supposé « droit international » ainsi que les mirifiques et fallacieux « droits de l’homme, de la femme, du non-binaire et d’autres genres ». Héritière des sinistres tribunaux de Nuremberg et de Tokyo si bien dénoncés en leur temps par Maurice Bardèche le visionnaire ainsi que des tribunaux pénaux internationaux pour l’ex-Yougoslavie et le Ruanda, cet aréopage de magistrats se pose en instance supérieure capable de surveiller les États. Les citoyens qui détiennent en théorie la souveraineté politique ont-ils été sollicité pour accepter ce surplomb politico-judiciaire ? On ne le pense pas…

Des rétorsion tombent enfin sur la CPI. La Russie a pour sa part émis des mandats d’arrêt internationaux contre ses différents responsables dont son procureur en chef Karim Khan. L’administration Trump a signé contre elle un décret de sanction. Il gèle ses avoirs détenus aux États-Unis; il interdit l’entrée sur leur sol de ses dirigeants, employés et agents ainsi que de leurs proches membres de famille. Certes, la CPI pourrait répliquer par des condamnations par contumace à cinq ans de prison pour quiconque limiterait son action. Or, face à Moscou, Washington et Tel-Aviv, on lui souhaite bien du plaisir d’autant qu’il est maintenant possible que des troupes étatsuniennes puissent intervenir manu militari à La Haye afin de libérer tout éventuel accusé emprisonné (citoyen étatsunien ou d’un État allié).

Des politiciens français dits de « droite nationale » critiquent régulièrement dans l’ordre intérieur le gouvernement des juges à travers l’omnipotence du Conseil constitutionnel, du Conseil d’État et de la Cour de cassation. Les plus téméraires d’entre eux dénoncent aussi la Cour européenne des droits de l’homme et la Cour de justice de l’Union européenne. Tous oublient l’action délétère de la CPI qui nie la volonté souveraine des communautés politiques, des peuples et des États. L’avènement d’un nouvel ordre multipolaire réellement pluriversel ne se réalisera pleinement que sur les ruines, fumantes ou non, de la Cour pénale internationale.  

Salutations flibustières !

• « Vigie d’un monde en ébullition », n°149, mise en ligne le 25 mars 2025

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jeudi, 27 mars 2025

Petit djihad personnel d’un héros d’Allah

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La chronique de Philippe Randa

L’agression d’un rabbin à Orléans le 22 mars dernier par une jeune racaille (16 ans) sous les yeux de son jeune fils (9 ans, lui) a été longuement relayée dans certains médias, plus brièvement dans d’autres, mais n’aura guère émue les participants de la huitième édition de la Marche des solidarités, défilant contre « l’apathie de l’opinion face à la montée des intolérances », à Paris tout autant qu’en province…

C’est que chez ces « gens-là », pourtant si prompts à faire table rase de toute identité raciale, sexuelle, religieuse, historique ou culturelle, on ne mélange pas le soutien aux migrants, aux Palestiniens et aux LGBTYXZ+, nouveaux damnés de la terre, avec celui aux enfants d’Israël, fussent-ils tous compatriotes.

On s’en est beaucoup ému « à droite » de l’échiquier politique, guère à gauche (euphémisme) de celui-ci… On peut certes déplorer un tel constat.

Et plus encore que rien ne laisse espérer un changement quelconque des mentalités. Car notons que les premiers s’émeuvent habituellement peu à l’évocation des 42 000 morts à Gaza en un an (7 octobre 2023-7 octobre 2024)… et les seconds de la soixantaine d’otages encore aux mains du Hamas et de leurs conditions de survie ; si « vie » il y a encore pour tous.

Les habitudes ont la haine-de-l’autre dure.

Quant au « fait-divers » d’Orléans, si l’agressé est facilement identifiable par sa kippa, saluons le travail remarquable des forces de l’ordre qui ont réussi à appréhender l’agresseur qui avait tranquillement poursuivi son chemin après avoir accompli son petit « djihad » personnel.

La chose n’était guère aisée, le « héros d’Allah » étant connu sous pas moins de trois identités : une marocaine et deux palestiniennes, selon une source proche du dossier.

Jamais plus qu’à Orléans et jamais plus que ce 22 mars, « on ne sent combien c’est beau, combien c’est grand, combien c’est généreux la France ! Vive la République ! Vive la France ! » s’enthousiasmeront certains, tandis que d’autres s’étrangleront de rage en pastichant le célèbre discours du général De Gaulle, le 4 juin 1958 à Alger.

18:26 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Paris, samedi 29 mars : après-midi dédicaces des Amis d'Alain Pascal

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Islamisation : quand les pyromanes crient au feu

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Thomas Joly, président du Parti de la France

À chaque soubresaut médiatique, nos gouvernants s’agrippent au chiffon rouge du voile islamique, comme des naufragés à une bouée crevée. Ils s’agitent, s’indignent, débattent à sur les plateaux télé comme au café du commerce, feignant la stupeur, jouant la comédie de la découverte. Mais de qui se moque-t-on ? Cela fait quarante ans qu’ils organisent, méthodiquement, l’installation de millions d’afro-musulmans sur notre sol. Ils ont méticuleusement importé l’islamisation qu’ils prétendent aujourd’hui combattre. Ils ont creusé eux-mêmes la tombe de la France et voilà qu’ils s’étonnent du trou.

Quant aux Frères musulmans, ces stratèges patients de la conquête, nos élites les ont laissés proliférer dans nos associations, nos universités, nos syndicats, nos conseils municipaux. Pendant que le peuple français s’inquiétait, eux souriaient, complices. Aujourd’hui, ils crient au loup, mais le loup est déjà dans la bergerie, et il y a bien longtemps qu’il a mangé le berger.

Les demi-mesures, les lois inutiles, les discours creux : tout cela ne suffira pas. Il ne s’agit plus de « réguler » l’immigration, de « contrôler » l’islam politique ou de « rappeler » les valeurs de la République. Il est trop tard pour les incantations. Il faut agir. Et agir avec une clarté brutale : seule une remigration massive des populations étrangères inassimilables pourra mettre fin à ce projet cosmopolite visant à dissoudre le peuple français dans le grand bain tiède du multiculturalisme.

02:06 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 26 mars 2025

Rassemblement pour la paix ce Jeudi 27 mars - Place de la République à Paris.

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Rassemblement pour la paix.

Jeudi 27 mars 2025 de 17 h 00 à 20 h 00.

Place de la République à Paris.

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25 mars 1821 : début de la guerre d’indépendance grecque

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Source Jeune nation cliquez ici

La guerre d’indépendance grecque (1821-1829), ou Révolution grecque (Ελληνική Επανάσταση του 1821), est le conflit durant lequel les Grecs, finalement soutenus par les grandes puissances (France, Royaume-Uni, Russie), réussirent à obtenir leur indépendance de l’Empire ottoman.

Le 25 mars 1821, les Grecs, définis d’abord en tant que chrétiens orthodoxes, se révoltèrent face à la domination de l’Empire ottoman. Cette révolte réussit, et l’indépendance de fait fut proclamée lors de l’Assemblée nationale d’Épidaure le 1er janvier 1822. L’opinion publique européenne était assez favorable au mouvement, à l’image des philhellènes.

Cependant, aucun gouvernement ne bougea à cause du poids politique et diplomatique de la Sainte-Alliance, et particulièrement de l’Autriche de Metternich, partisan acharné de l’ordre, de l’équilibre et du principe de légitimité instauré par le congrès de Vienne.

Des Grecs vivant hors de l’Empire ottoman, comme des habitants des Îles Ioniennes tels que Ioánnis Kapodístrias, et des membres de l’élite grecque de Constantinople et des Principautés danubiennes, les Phanariotes, apportèrent dès le début leur aide aux insurgés.

Pendant deux ans, les Grecs multiplièrent les victoires.

Cependant, ils commencèrent très vite à se déchirer, divisés entre « politiques » et « militaires ». La Sublime Porte appela en 1824 à l’aide son puissant vassal égyptien Méhémet Ali.

Pour les Grecs, les défaites et les surtout les massacres se succédèrent.

Cependant, les Russes souhaitaient de plus en plus ardemment intervenir, par solidarité orthodoxe mais aussi parce qu’ils avaient leur propre ordre du jour géostratégique.

Les Britanniques, quant à eux, désiraient au départ limiter l’influence russe dans la région mais finirent par s’allier avec la Russie.

Une expédition navale de démonstration fut suggérée lors du traité de Londres de 1827.

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On peut-être un immense athlète et dire des sottises absolues, comme être « l’idiot utile de l’islam des frères musulmans » 

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Michel Festivi 

Personne ne contestera que Teddy Riner est un immense sportif, peut-être le plus grand en nombre de médailles, aux jeux olympiques, et aux championnats du monde. Mais comme souvent, les sportifs feraient mieux de rester concentrés sur leur sport et ne pas se mêler de politique, du moins d’éviter les prises de paroles publiques. Et c’est exactement, ce qui s’est passé. Notre judoka national a eu la saugrenue idée de venir au secours de femmes qui entendent porter le voile lorsqu’elles pratiquent leur discipline. Il a prétendu que la liberté et l’égalité devraient être prioritaires et « ne pas s’acharner sur une seule et même religion ». Le problème que Teddy Riner ne voit pas ou refuse de voir, c’est que justement, seule une religion pose problème, et aucune autre.

C’est l’ex-champion du monde de boxe en 2003 et 2006, d’origine iranienne, mais naturalisé français, Mahyar Monshipour qui lui a répondu en renvoyant Teddy Riner dans son dojo, « pour lui dire qu’on ne peut pas prendre position sur certains sujets que l’on ne maîtrise pas ». Conseiller technique de la Fédération française de boxe, né à Téhéran, il connait lui, contrairement à Teddy Riner, ce que veut très précisément signifier, le port du voile.  Pour Mahyar, « Il s’agit de rendre habituelle la présence du fait religieux. On ne parle pas du port d’une simple croix, mais de la volonté de cacher la femme avec le voile. Ce voile est un linceul et le signe visible d’une inégalité entre l’homme et la femme. ». En une phrase, bien sentie, Teddy Riner, est remis à sa place par ippon, celle d’un judoka, qu’il n’aurait jamais dû quitter. 

Et d’en rajouter judicieusement « Teddy se trompe par méconnaissance du sujet, les sportifs...ne doivent pas devenir les idiots utiles de l’islam des frères musulmans... je le répète, une recommandation religieuse n’a rien à faire dans la pratique sportive, dans les activités culturelles ou à l’école. Le permettre, c’est accepter un petit pas de plus des frères musulmans dans notre société. » 

Mahyar, dans cet entretien qu’il a donné au Figaro revient sur la manière dont le voile s’est imposé en Iran, et il lance ce cri « Réveillons-nous et réveillez-vous Teddy Riner... ils veulent rendre le port du voile classique, pour extraire les femmes du monde du sport ».

A cet égard, et suite à la proposition de loi sur l’interdiction du port du voile dans le sport, votée au Sénat et qui va être débattue à l’Assemblée nationale, la cacophonie s’est faite jour au sein du gouvernement « du en même temps » de François Bayrou. La ministre de sport et de l’éducation nationale avaient l’air de ne pas voir le problème, quand d’autres ministres comme celui de la Justice ou de l’intérieur se sont prononcés pour cette interdiction. Justement, Bruno Retailleau vient de se déclarer être radicalement opposé à Teddy Riner. « Le voile n’est pas le symbole de la liberté, c’est le symbole de la soumission. Il n’est pas non plus le marqueur de l’égalité, au contraire, il conteste radicalement l’égalité entre les hommes et les femmes, il est le signe de l’infériorisation du statut de la femme ... vous ne trouverez pas un seul islamiste qui ne souhaite pas que les femmes portent le voile ».

Dans le passé, on a connu les idiots utiles du communisme, on connait aujourd’hui, les idiots utiles de l’islam. Un dernier point, particulièrement troublant, qui démontre les ravages que la religion islamiste peut faire dans notre société. Selon un sondage, sur le fait religieux en entreprise, et d’après une enquête réalisée par Toluna-Harris interactive, du 11 au 14 février 2025, auprès de salariés âgés de 18 à 65 ans, travaillant dans une entreprise privée de 100 salariés et plus ou dans le secteur public, 46% des salariés de 18-24 ans jugent acceptable de refuser de s’asseoir, là ou une personne de l’autre sexe est assise et 42% contre 20% de l’ensemble des salariés, trouvent acceptable de refuser d’entrer en contact avec certains clients selon leur sexe. Mais pour certains, c’est peut-être aussi, une question d’égalité ou de liberté ? Réveillons-nous, s’il n’est déjà pas trop tard.

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mardi, 25 mars 2025

La restauration n’a pas besoin d’immigration !

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Stéphane Manigold est le fondateur du groupe Eclore qui compte huit restaurants gastronomiques et six étoiles au Michelin. Il nous démontre dans cette chronique du Figaro que la restauration française n’a pas besoin d’un afflux massif de travailleurs étrangers, souvent des immigrés sans-papiers largement exploités dans le secteur de la restauration. Il nous explique pourquoi.

Lire la suite ICI

Source : Le Figaro 25/3/2025

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En attendant 2027 ?

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Yves Thréard

François Bayrou serait-il à la recherche d’un second souffle. Education, accès aux soins, simplification bureaucratique, finances publiques, tels sont les quatre chantiers qu’il promet d’ouvrir.

Personne n’est dupe. Cela fait trente ou quarante ans que tous les gouvernements butent sur ces sujets. On ne voit donc pas comment le premier ministre y parviendrait aujourd’hui, sans majorité et dans un paysage politique plus fragmenté que jamais. Depuis son arrivée à Matignon et l’adoption du budget par 49.3, il ne se passe d’ailleurs plus grand-chose au Parlement. Projets ou propositions de loi sont vidés de leur subs- tance ou reportés à des jours meilleurs. La France poursuit son bonhomme de chemin somnambulique vers nulle part, sans cap ni boussole. L’essentiel pour la dyarchie de l’exécutif, c’est de tenir. François Bayrou a même ressorti de la naphtaline le débat sur l’identité française qui s’était terminé en queue de poisson sous Nicolas Sarkozy. Faute de mieux, on spécule à tout-va. À quand la prochaine tentative de censure ? À l’occasion de la fin du conclave sur les retraites ou du prochain budget ? Certes, mais qui y aurait intérêt ? L’avenir du RN et de Marine Le Pen est suspendu à la décision de la justice, lundi prochain. Quant aux autres partis, à l’exception de LFI, qui veut à tout prix la chute du régie, ils ont tout à redouter de nouvelles élections législatives. Au sein du pouvoir exécutif, on fait mine d’examiner des voies d’action pour sortir du procès en immobilisme. Pourquoi ne pas recourir à des ordonnances ? Pourquoi ne pas demander au peuple de trancher directement par référendum ? En vue d’une meilleure maîtrise de l’immigration, notamment. Certes, mais Emmanuel Macron serait-il en mesure de prendre ce risque ?

Rien de décisif ne se fera avant la présidentielle de 2027, prédit Édouard Philippe. Une chose est sûre : en l’état actuel des forces politiques, pour beaucoup adeptes de la dépense publique ou de réformes démagogiques à grands frais, il serait préférable de pas ajouter une crise à la crise qui tenaille notre pays.

Source : Le Figaro 25/3/2025

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Fin mars, projection de "Silenced" à Avignon, Perpignan et Ganges...

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Vous souvenez-vous de cette histoire de lycéen syrien, Jamal, soi-disant martyrisé par  Bailey, un jeune Anglais prétendu raciste, il y a 5 ans ? Elle a fait le tour du monde, et démontré le racisme de la société anglaise, jusque dans les établissements scolaires.
 
Tous les médias en ont fait leur chou gras. Alerté par certains témoins des actes du « pauvre petit réfugié syrien », Tommy Robinson est allé voir sur place, a interrogé les témoins, et s’est rendu compte que la vérité était l’exact opposé de ce que les médias se plaisaient à raconter : d’après tous les témoins, Jamal persécutait les plus petits que lui, se montrait détestable avec tout le monde, et mentait sans cesse. Les rapports scolaires en témoignent. Il aurait enfin menacé les 2 jeunes sœurs de Bailey de les violer.
Mais les médias ont fait de Jamal un petit saint, victime du racisme de Bailey.
 
Tommy a fait savoir la vérité, et en a même fait un documentaire "Silenced" à voir actuellement en France.

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lundi, 24 mars 2025

François Martin : Macron humilié par Trump et Poutine

Alors que la guerre en Ukraine s’éternise, les négociations s’intensifient entre la Russie et les États-Unis. Donald Trump, fraîchement revenu à la Maison Blanche, bouleverse l’échiquier mondial avec sa diplomatie offensive. Le temps béni des néoconservateurs est terminé à Washington, le président américain et son entourage ont pris acte de la réorganisation d’un monde multipolaire où l’hégémonie américaine n’est plus une stratégie viable sur le plan géopolitique.

Que veulent réellement Poutine et Trump ?

Quelle réorganisation mondiale ?

Quel avenir pour l’OTAN ?

Pourquoi Emmanuel Macron est-il obsédé par la guerre en Ukraine ?

Quelle partition joue l’Europe ?

Nous décryptons les coulisses des négociations, les enjeux économiques et militaires, et les implications pour la France et l’Europe avec notre invité François Martin. Expert en géopolitique, diplômé de l’ESSEC, fort d’un MBA à HEC, auditeur de l’INHESJ et de l’IHEDN, il est l'auteur de "L’Ukraine, un basculement du monde" (disponible ici) et plus récemment "Le temps des fractures" (disponible ici), tous deux aux éditions Jean-Cyrille Godefroy.

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Le "Nouveau Présent" annonce la parution du Cahier d'Histoire consacré à Jean-Marie Le Pen

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Source Le Nouveau Présent cliquez ici

Né en 1928, Jean-Marie Le Pen s’éteignit le 7 janvier dernier, au terme d’une longue vie de combats, sur le terrain militaire mais surtout politique et civilisationnel comme il l’avait écrit dans ses Mémoires : « Si j’ai eu un sens, c’est de crier la vérité à temps et à contre-temps, d’être la voix qui refuse le mensonge […], une vigie, une sentinelle, un lanceur d’alertes », quels que soient les risques encourus.

Il méritait donc un hommage, celui que vient de lui rendre l’équipe de Synthèse nationale en lui consacrant son dernier Cahier d’histoire du nationalisme sous le titre Jean-Marie Le Pen — Le Menhir est éternel (1).

Dans ce document pour l’histoire réalisé sous la direction d’Aristide Leucate, est évoquée toute la carrière aussi longue que mouvementée du leader étudiant vite devenu le plus jeune député (sous l’égide de Pierre Poujade) que la République ait connu, avant de se porter volontaire dans la Légion étrangère pour servir son pays puis, à la tête du Front national, faire de ce qui n’était au départ qu’un groupuscule un élément incontournable du paysage politique français. Qu’on se souvienne du séisme provoqué par l’accession du Menhir au second tour de la présidentielle de 2002, après élimination du Premier ministre Jospin pourtant donné favori par tous les augures. Le « tour infernal » qui suivit montra l’ampleur de l’épouvante que cet exploit inspirait à l’anti-France.

Au hasard des dizaines de contributions — dont certaines dues à des camarades italiens, flamands ou québécois — les militants, les compagnons de route (ou parfois de galère…) et les adversaires revivront en lisant ce livre les combats menés, les accidents de parcours, mais aussi les succès qui, pour les nationaux, jalonnèrent grâce au « diable de la République » le dernier tiers du XXème siècle. On rêve à ce que serait devenu le FN si, plus jeune de vingt ans, le Breton avait pu se maintenir à sa tête et conduire les batailles actuelles… 

En 2019, c’est à Jean-Marie Le Pen que, pour le premier tome de ses Mémoires intitulé Fils de la Nation, avait été remis le Prix des lecteurs et Amis de Présent. On ne s’étonnera donc pas de trouver parmi les auteurs des témoignages réunis dans cet ouvrage plusieurs journalistes de ce quotidien — devenu le Nouveau Présent — comme Anne Le Pape, Camille Galic, Françoise Monestier, Rémy Tremblay, Michel Festivi, Franck Delétraz ou Jean-Claude Rolinat.

La Rédaction

du Nouveau Présent

(1) Jean-Marie Le Pen, 250 pages avec bibliographie et de nombreuses illustrations, 250 pages, 24 euros. Commandes à www.synthese-editions.com

dimanche, 23 mars 2025

Les scandaleux accords d’Evian de 1962

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Bernard Lugan*

Il y a soixante-trois ans, les 18 et 19 mars 2022, la France signa les « accords d’Evian » et ordonna le « cessez-le-feu » en Algérie. Un double anniversaire : celui d’un abandon et celui  d’une tragédie.

Le 18 mars 1962, à 17h 40, le général de Gaulle offrit en effet l’Algérie au FLN alors que l'armée française l’avait emporté sur le terrain. A cette date, 250 000 Algériens servaient sous le drapeau tricolore, soit cinq fois plus que les maquisards de l’intérieur et les membres de l’ALN stationnés en Tunisie ou au Maroc.

Sans la moindre garantie sérieuse, les évènements qui suivirent le démontrèrent tragiquement, plus d’un million d’Européens et plusieurs centaines de milliers de musulmans attachés à la France furent ainsi abandonnés au bon vouloir de l’ennemi d’hier (voir à ce sujet mes livres

Puis, le 8 avril 1962, par un référendum ségrégationniste puisque le pouvoir gaulliste l’avait ouvert aux seuls Français de métropole, les Français d’Algérie, pourtant les premiers concernés, en ayant été écartés (!!!), « les accords d’Evian » furent ratifiés par 90,81% de « oui ».
 Aujourd’hui, les enfants de ces 90,81% paient à travers le « grand remplacement » et les humiliations algériennes, l’indifférence, le soulagement, la lâcheté et pour certains, la trahison de leurs parents.

(*) A retrouver sur son site ICI

 

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Manifs du 22 mars… un bide, mais aussi un signal clair et inquiétant.

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Bernard Germain 

La première chose qui frappe quand on regarde les images des cortèges du 22 mars, c’est qu’ils étaient faméliques. Ainsi entre 20 et 25.000 personnes à Paris alors qu’il y avait de nombreux syndicats, une multitude d’associations et tous les partis et organisations de gauche. En aucun cas on ne peut parler d’un succès.

À Nice, la presse annonce quelques centaines de personnes, donc moins de 1.000. À Orléans 350 manifestants, entre 3 et 400 personnes à Limoges… etc. Ce fut comme cela à peu près partout à travers le pays.

En apparence, c’est donc un bide. Sauf que ce serait une erreur de s’en tenir à l’écume des choses et ainsi se limiter à la seule approche comptable de ces évènements. Il me semble qu’à l’inverse, il faut approfondir l’analyse sinon on risque fort de passer à côté de leçons politiques importantes.

Commençons par les slogans qui figuraient sur les banderoles, notamment celles de la LFI.

Comme en atteste l’image en haut de cet article, leur manifestation était « contre le racisme et le fascisme ».

Avez-vous noté que « l’antisémitisme » a disparu ? Manifestement ce n’est plus un problème pour LFI et donc ils ne combattent plus l’antisémitisme. Cela vous étonne ?… pas moi. Nous avons eu sur ce plan, suffisamment de preuves du virage pris par la LFI depuis le 7 octobre 2023. Avant cette date certains avaient des doutes sur LFI, après le 7 octobre nombreux avaient des certitudes et aujourd’hui, c’est officiel comme le prouve cette image et les banderoles LFI, ce n’est plus un combat pour cette organisation.

Venons-en maintenant à la composition des cortèges du 22 mars. Il y a, à l’évidence, plusieurs catégories de manifestants.

Beaucoup de « cheveux blancs ». Des boomers qui n’ont rien compris de toute leur vie et en sont encore à « No pasaran » (« il ne passera pas »… le fascisme) alors qu’il n’y a aucune menace fasciste. Donc des vieux « cons » (désolé je ne trouve pas d’autre mot) comme la dizaine d’abrutis complets de 75 à 80 ans qui ont été pris en photo dans les Côtes d’Armor en venant « vérifier » que la réunion de Trégor & Goélo n’avait pas lieu suite à l’interdiction décidée par le maire de gauche de Lannion de laisser cette association projeter le film « Silenced » de Tommy Robinson, maire de gauche totalement soumis à la député LFI locale cliquez ici.

Hormis ces cheveux blancs, il y avait beaucoup de cheveux de toutes les couleurs (bleus, verts ou rouges). Les cheveux d’une jeunesse totalement dégénérée, absolument inculte et qui répète comme des mantras qu’il faut se mobiliser contre le fascisme et l’extrême droite, en étant absolument incapable de vous dire ce qu’est le fascisme ou l’extrême droite. Mais une jeunesse totalement soumise aux mœurs staliniennes, car je rappelle que celui qui a généralisé l’accusation de « fasciste » pour discréditer ses adversaires c’est Staline en personne. Ces pauvres idiots qui ne connaissent rien répètent aujourd’hui ce que leurs ancêtres disaient il y a un siècle. Mais ils ne le savent même pas. Il est vrai qu’il y a eu le procès de Nuremberg contre le nazisme, ce qui l’a définitivement discrédité au yeux de l’humanité. Mais il n’y a jamais eu de « Nuremberg » pour le communisme qui pourtant a tué plus de monde que le nazisme, 100 millions de morts à son compteur d’après le professeur Stéphane Courtois (1). Alors aujourd’hui, réutiliser les mêmes méthodes que Staline, cela ne pose pas de problème à ces gens ignares et totalement endoctrinés.

Après les cheveux blancs et les cheveux multicolores, il y avait aussi ce que Marx appelait le « lumpen prolétariat ». Cette frange totalement déclassée de la société, que d’autres nomment les « punks à chiens ».

Et puis il y avait les islamistes. Une floraison de drapeaux palestiniens en attestait, qui en l’occurrence étaient autant d’étendards pour manifester un soutien aux « résistants palestiniens », j’ai nommé le Hamas. Cette organisation terroriste que LFI refuse de qualifier ainsi. Les mots d’ordre étaient sans ambiguïté : « Israël, casse-toi, ton fascisme on n’en veut pas ».

Personne ne s’étonnera dès lors que « l’antisémitisme » ne soit plus un combat à mener pour les manifestants du 22 mars. On ne peut pas vouloir être ami avec les islamistes hurlant ces slogans et recueillir leurs votes tout en étant ami avec les juifs. LFI et la plupart des manifestants du 22 mars ont choisi : leurs amis sont islamistes. Pas juifs.

Il y avait aussi les représentants des partis politiques de « gauche » non LFI. Ils ont souhaité manifester avec des cortèges séparés. En apparence en divergence avec LFI surtout après le scandale de l’affiche LFI sur Hanouna qui était à l’évidence inspirée par ce que produisaient les nazis dans les années 30.

En réalité, leur présence dans cette manifestation est la preuve qu’ils ne rompront pas avec la LFI de Mélenchon. On en a déjà eu la preuve avec ce qui s’est passé durant l’été dernier suite à la dissolution de l’assemblée nationale.

Lorsque le NFP se réunira pour constituer les listes pour les élections municipales de 2026 ou la candidature de gauche des élections présidentielles de 2027 ainsi que pour les législatives qui suivront, ceux qui prétendent aujourd’hui avoir des pudeurs de gazelles vis à vis de LFI, ces gens tomberont le masque car pour eux lorsque leurs gamelles seront en jeu, plus rien d’autre ne comptera. Et ils trouveront immédiatement un accord avec LFI dès que le problème se posera, comme ils l’ont fait en juillet 2024.

Enfin, il y avait les inévitables milices du pouvoir macronien et de la LFI, les antifas qui n’hésitent jamais à agresser quiconque exprime une opinion différente de celle des bien pensants et de la gauche.

Au final, des manifestations qui ont montré que ceux qui ont défilé ont des profils bien particuliers, qui ne sont en aucun cas ce que la LFI a prétendu : « le peuple français est descendu dans la rue ». Non, le peuple français ce n’était nullement ce que nous avons vu. Le peuple français n’est pas descendu dans la rue, car le peuple français n’adhère absolument pas aux slogans et à la politique défendus par LFI, la gauche, les islamistes, les antifas et les bien pensants.

J’ajoute que ces profils sont assez inquiétants. Ils ne connaissent rien, ne réfléchissent nullement et sont prêts à recourir à la violence et aux mesures anti démocratiques pour imposer leur point de vue en se ralliant stupidement à des slogans à l’emporte pièce.

La grande leçon que je tire de ces manifestations c’est que la LFI vient de prouver qu’elle est capable de provoquer la mobilisation d’un nombre de gens qui commencent sérieusement à ressembler à ce que les nazis ont faits dans les années 30 en Allemagne avec les SA d’Ernst Röhm. Prélude à l’arrivée du nazisme.

À l’évidence, si la droite patriote devait gagner les élections en 2027, c’est à ces hordes et milices qu’elle sera confrontée. C’est inévitable.

Il serait irresponsable de sous-estimer cette réalité et de faire comme si ce problème n’existait pas.

(1) Stéphane Courtois, né le  à Dreux, est un historien français, professeur à l'Institut catholique de Vendée (ICES) à La Roche-sur-Yon, après une carrière au CNRS. Il est l'auteur de plusieurs livre sur le communisme parmi lesquels Le livre noir du communisme (chez Robert Laffont, 1997).

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La marche des traîtres

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Thomas Joly,  président du Parti de la France

Aujourd’hui, samedi 22 mars, la chienlit d’extrême-gauche, les éternels professionnels de la subversion et du désordre, battent le pavé dans toute la France sous prétexte de « lutter contre l’extrême-droite ». En réalité, c’est la mobilisation des traîtres à la patrie, des fossoyeurs de notre civilisation millénaire.

Ces individus, véritables ethno-masochistes, se complaisent dans la haine de soi et n’ont qu’un objectif : accélérer le Grand Remplacement, c’est-à-dire remplacer le peuple français par une population venue d’ailleurs, étrangère à nos mœurs, à nos lois, à notre Histoire. Leur projet est limpide : détruire la France française, au nom d’un universalisme absurde et suicidaire.

Et que dire de leur définition de l’extrême-droite ? Pour ces enragés, elle va de Zemmour à Macron ! Tout ce qui n’est pas leur délire gauchiste est, pour eux, fasciste. Il faut croire que la raison a définitivement déserté leur camp.

Mais qu’ils ne s’y trompent pas : cette mobilisation de l’anti-France est marginale. Ce n’est pas le peuple, mais une caste minoritaire, bruyante, hystérique et soutenue par les médias du Système. Le vrai peuple, lui, regarde ces cortèges avec dégoût. Car il sait ce qu’ils incarnent : le mépris de l’identité française, le crachat au visage de ceux qui ne veulent être ni remplacés ni métissés.

La France éternelle, elle, ne descendra pas dans la rue aujourd’hui. Elle observe. Et elle se souviendra.

Source cliquez ici

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samedi, 22 mars 2025

Journal du chaos

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vendredi, 21 mars 2025

Prévisions cliodynamiques

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

N’en déplaise aux Occidentaux décadents qui se croient exceptionnels, la culture russe suscite toujours des personnalités étonnantes qui osent comprendre le monde d’une autre façon. Le mathématicien Anatoli Fomenko imagine le récentisme (ou « nouvelle chronologie ») dont les interprétations historiques restent sujettes à caution. En 2011, Le Cherche-Midi traduisait et publiait un ouvrage remarquable d’Alexandre P. Prokhorov, Le modèle russe de gouvernance, une étude non-conformiste qui explique pourquoi et comment la société russe souvent désorganisée, voire chaotique, parvient néanmoins à travers l’histoire à réaliser de grandes prouesses.

Né en 1957 en URSS, Piotr Valentinovitch Tourtchine émigre en 1977 aux États-Unis. Il travaille dans l’enseignement supérieur en écologue spécialisé dans la dynamique des populations des coléoptères et des mammifères. Ses obligations professionnelles le conduisent à recourir à l’outil informatique ainsi qu’aux biomathématiques. Cependant, en esprit curieux, il ne se limite bientôt plus à son seul champ de compétence. Il s’élargit aux événements historiques et à la mobilité des groupes sociaux au sein des sociétés industrialisées. Il conçoit la cliodynamique.

On sait qu’à la fin des années 1920, l’école française des Annales, en référence à la revue d’abord intitulée Annales. Histoire, Sciences sociales, encourageait l’histoire sérielle ou quantitative, c’est-à-dire une histoire socio-économique d’après l’utilisation systématique des sources statistiques. Sur ce modèle et en utilisant la rigueur scientifique et les premiers ordinateurs, des historiens, outre-Atlantique, lancèrent la cliométrie, soit l’analyse historique à partir des théories économiques et des données économétriques dont les statistiques. Devenu Peter Turchin, l’ancien émigré soviétique mentionne volontiers la psychohistoire de Hari Seldon imaginée par l’auteur étatsunien de science-fiction Isaac Asimov (1920 - 1992) dans sa célèbre saga de cinq - sept volumes : Fondation. Seldon voit la psychohistoire comme la prévision, inspirée de la physique statistique, de l’histoire humaine en s’appuyant sur les faits sociaux et la psychologie des individus. Mais ses prospectives spéculatives sur l’avenir sans encore connaître les implications de la théorie du chaos ignorent l’irruption du Mulet, un mutant aux pouvoirs psychiques redoutables.

Dans Le chaos qui vient. Élites, contre-élites et la voie de la désintégration politique (Le Cherche-Midi, 2024, 450 p., 23 €), Peter Turchin pense qu’« une science de l’histoire est non seulement possible, mais aussi et surtout précieuse : elle nous permet d’anticiper l’effet de nos choix collectifs présents sur l’amélioration de notre futur ». En croisant les applications mathématiques, les logarithmes et la modélisation informatique, la cliodynamique serait par conséquent une psychohistoire qui sait se déployer dans trois dimensions.

Plus concrètement, Peter Turchin propose une « approche structuralo-dynamique » adaptée aux systèmes complexes de la vie sociale. Pour lui, « la cliodynamique […] exploite les méthodes de la science des données, en appréhendant les sources historiques, compilées par des générations d’historiens, comme le big data. Elle se sert de modèles mathématiques pour cartographier le réseau d’interactions entre les différentes “ pièces mobiles “ des systèmes sociaux complexes que sont nos sociétés ». En examinant les résultats des ordinateurs à calcul, il considère que « l’effondrement d’un État, à savoir la désintégration soudaine du réseau de pouvoir régissant une société, est un phénomène fréquent ». Sociologue pour l’occasion, il désigne les élites comme les « individus les plus riches en pouvoir social ». Il détermine l’existence simultanée de quatre pouvoirs sociaux structurant ces sociétés complexes : le pouvoir de coercition, le pouvoir de la richesse ou, plus précisément, de l’accumulation des ressources matérielles, le pouvoir bureaucratique administratif et le pouvoir de l’idéologie qui passe en priorité par la persuasion. Pouvoirs et élites constituent des réseaux plus ou moins solides autour de fortes personnalités ou d’intérêts communs.

L’auteur n’a pas peur d’employer les termes de « ploutocratie » et d’« oligarchies » pour décrire les États-Unis. En effet, « la classe dirigeante américaine est une coalition des plus riches (1 %) et des plus diplômés (10 %) ». Par conséquent, « aux États-Unis, le pouvoir est étroitement lié à la richesse ». Il entend étudier les premiers effets de « la situation révolutionnaire des États-Unis ». Ce serait la troisième fois que les États-Unis connaîtraient cette situation après les décennies 1850 – 1860 marquées par la Guerre de Sécession, et les années 1920 – 1940 caractérisées par le consulat présidentiel de Franklin Delano Roosevelt et son New Deal. Il convient volontiers que « les factions oligarchiques se caractérisent par une relative fluidité, et les oligarques changent d’alliance au gré du contexte du moment ». Il argumente son point de vue en donnant l’exemple de l’Ukraine d’avant 2022. Les oligarques s’y « sont dispersés en plusieurs factions, opposées les uns aux autres et s’armant, dans leurs batailles, de politique électorale, de saisies semi-légales et même de prison ».

Même si l’auteur veut généraliser sa méthode aux autres sociétés, en particulier occidentales, sa démarche concerne surtout le pays de l’Oncle Sam. Il remarque que « conjuguée à l’appauvrissement des classes populaires, la surproduction d’élites et les conflits internes ainsi engendrés ont progressivement miné notre cohésion civique, le sens de la coopération nationale sans lequel les États pourrissent rapidement de l’intérieur ». Il note en outre que « les démocraties sont particulièrement vulnérables à la subversion ploutocratique ». Il annonce par ailleurs qu’« une évolution encore plus inquiétante est à voir dans la transition, au sein des démocraties occidentales, de “ systèmes de partis basés sur les classes “ à des “ systèmes de partis multi-élites “ ».

Le chaos qui vient sort aux États-Unis en 2023. Peter Turchin a pris acte de la présidence de Donald Trump entre 2017 et 2021. Il relève déjà que « les républicains sont en pleine transition pour devenir un véritable parti révolutionnaire ». Il présente même JD Vance, alors sénateur néophyte de l’Ohio, comme un élément-clé de cette transition. Il le dépeint en figure de proue du courant national-conservateur. Peter Turchin ignorait que Vance deviendrait le vice-président de Donald Trump…

La cliodynamique appartient-elle à la collapsologie si bien travaillée par Dmitry Orlov, lui aussi originaire de l’Union soviétique et arrivé aux États-Unis en 1974 ? Peter Turchin prévient d’un effondrement prochain sans s’attarder sur les suites plausibles. Dommage, car il aurait pu enfin faire entrer le survivalisme à l’université.  

Salutations flibustières !

 • « Vigie d’un monde en ébullition », n°148, mise en ligne le 19 mars 2025

23:40 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 28 mars, en Avignon : projection de "Silenced", le film-choc de Tommy Robinson

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Il est scandaleux que la France célèbre le 19 mars 1962

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Manuel Gomez
 
Que le gouvernement algérien, que l’Algérie commémore le 19 mars 1962, cela me semble tout à fait logique, mais que la France, ses chefs d’Etat et ses gouvernements successifs retiennent cette date comme celle de la fin de la guerre d’Algérie est une aberration.
 
Le 19 mars 1962 est une défaite politique pour notre pays. Ce 19 mars 1962, le chef d’Etat de l’époque et son gouvernement ont ordonné à l’armée française, victorieuse sur le terrain, de cessez le feu et d’offrir l’indépendance aux Algériens et, ce qui est non seulement plus grave mais honteux, c’est d’avoir permis le massacre de plusieurs milliers de Français, d’Européens et d’Algériens uniquement responsables de vivre dans ce pays entre ce 19 mars et le 5 juillet et, surtout, d’y mourir, torturés, assassinés, massacrés.
 
Cette date devrait s’inscrire dans l’histoire de la France comme celle d’une abdication honteuse devant un ennemi vaincu sur le terrain.
 
Le président de la République, Emmanuel Macron, a eu raison de l’affirmer « il y a bien eu crimes contre l’humanité en Algérie, mais ils ont été commis par les assassins du FLN et de l’ALN le 19 mars 1962 et les semaines qui ont suivi, jusqu’en juillet de cette même année.
 
Les “Accords d’Evian” obligeaient la France à un cessez-le-feu mais autorisaient le FLN et l’ALN à enlever, torturer, assassiner, massacrer à volonté de jeunes soldats, des civils innocents et des harkis, alors que l’armée française avait l’obligation de rester l’arme au pied, sur ordre de De Gaulle.
 
- Ce même jour, 19 mars 1962, à Eckmühl (Oran), 16 personnes, dont 3 femmes, sont enfermées dans un hangar et l’ALN (Armée Nationale Populaire) y met le feu. Elles sont toutes carbonisées (presqu’un Oradour-sur-Glane, l’Apathie).
 
- Ce même jour, la gendarmerie d’Oran signale que des dizaines d’Européens sont séquestrés, jusqu’à ce que mort s’ensuive, pour servir de donneurs de sang pour les combattants de l’ALN. On les retrouve la peau collée aux os et totalement vidés de leur sang.
 
Après ce 19 mars 1962, et je cite sous le contrôle de M. Eugène-Jean Duval, inspecteur général des armées et les archives officielles :
- 91 actions de guerre de l’ALN et du FLN contre la France.
- Le 20 mars 1962, 18 soldats tués et 3 blessés.
- 90 soldats français disparus.
- 239 soldats français, fait prisonniers par l’ALN, qui ne sont jamais revenus.
- 1580 civils européens disparus (dont des dizaines de femmes expédiées vers des bordels militaires de l’ALN).
 
Entre le 19 mars et le 5 juillet 1962, plus de 5000 enlèvements.
- 1165 civils assassinés.
- 1773 disparus.
- Plus de 60.000 harkis massacrés ainsi que leurs familles.
 
Interdiction, par le gouvernement français, à la Croix-Rouge Internationale de s’y intéresser : télégramme (très secret) signé Louis Joxe et daté du 2 avril 1962 : “Je serais, pour ma part, hostile à une intervention quelconque de la Croix-Rouge internationale dans tout ce qui concerne les arrestations et détentions d’Européens”.
 
- Après le 19 mars 1962, blocus de Bab-el-Oued. L’armée, l’aviation, les tanks, tirent sur les habitants.
 
- Le 26 mars 1962, sur ordre de De Gaulle, confirmé par Christian Fouchet, Haut-commissaire en Algérie à l’époque et ministre de l’Intérieur par la suite, l’armée française tire sur une population désarmée qui manifestait devant la Grande Poste de la rue d’Isly, à Alger : plus de 46 morts et 200 blessés.
 
La France a reconnu officiellement des morts pour la France, en Algérie, après le 19 mars 1962, c’est bien la preuve que les Accords d’Evian n’ont jamais marqué la fin de la guerre.
 
Sous les ordres des généraux Ailleret et Katz, l’armée française a terminé cette guerre, gagnée totalement sur le terrain, dans le déshonneur le plus total.
 
Leurs noms ont-ils été inscrits sur nos monuments aux morts ?
 
Messieurs les présidents de la République (d’hier, d’aujourd’hui et de demain) et Messieurs les maires des villes et communes de France dans lesquelles vivaient ces jeunes soldats et leurs familles, quand vous avez célébré, que vous célébrez ou que vous célébrerez cette date, un 19 mars, avez-vous osé, osez-vous ou oserez-vous, proposer et observer une minute de silence, pour tous ces morts pour la France, après le 19 mars 1962 ?
 
Si c’est le cas, vous les entendrez vous hurler leur mépris et leur colère.
 
Le 19 mars 1962, le chef de l’Etat français et son gouvernement ont autorisé que se commette, en Algérie, un crime contre l’humanité.
 
Source Riposte laïque cliquez ici

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jeudi, 20 mars 2025

Le Jarl, c’est mon nouveau modèle…

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Bernard Germain

Cette extrême gauche et ces bien pensants sont impayables. Il n’y a quasiment pas une manifestation sans qu’ils ne provoquent des violences, directement ou via les antifas et souvent ensemble. Jamais la presse bien-pensante (L’HumanitéLibérationLe MondeMédiapartOuest France,…) ne les dénonce comme étant une menace pour la démocratie et notre société. Pas plus qu’elle ne dénonce les actes souvent odieux qu’ils commettent.

On en a eu deux beaux exemples ces derniers temps.

D’abord le 8 mars, jour des « droits de la femme ». On a vu ce jour là, les Némésis être virées manu militari de la manifestation par les antifas et la gauche car elles osaient dénoncer les viols subis par les femmes blanches victimes de migrants sous OQTF. Et pensez donc, elles exigent en plus l’expulsion de France des coupables. Inacceptable !

Idem pour l’association « Nous vivrons », organisation constituée par des femmes juives qui dénoncent les viols du 7 octobre 2023 en Israël et tous ceux que subissent les femmes juives ainsi que les violences qui les frappent un peu partout y compris en France. Elles aussi ont été virées brutalement. Non mais, des juives vont venir dire à la gauche sur quoi protester ? Vous n’y pensez pas.

D’ailleurs, quand les violences sont exercées par la gauche et les bien-pensants, c’est normal. Puisque c’est l’extrême droite qui est visée, on ne peut qu’applaudir. Précisons que l’extrême droite commence à la droite de la LFI de Mélenchon. Ça fait donc du monde, susceptible d’être condamné et frappé…

De même personne à gauche n’a trouvé à redire quand des membres de la manifestation de gauche on tagué sur les murs « une rafale pour Cordier » (la responsable de Némésis). Sauf erreur de ma part, cela s’appelle une menace de mort tout comme l’a fait Raphaël Arnault (député LFI) et chef des antifas de Lyon (la Jeune Garde) quand il a dit « si Alice Cordier vient à Lyon, ce sera une balle dans la tête ».

Aucune poursuite pour lui de la part d’un procureur. Par contre à Mulhouse, lors du rassemblement pour la mémoire de l’homme tué à coups de couteau par un algérien sous OQTF, lorsque deux jeunes de l’Action Française ont crié « Stop au francocide », et « expulsez les OQTF, bande de lâches ! », là la foudre est tombée immédiatement sur eux et le procureur a engagé séance tenante des poursuite contre eux. Non mais sans rire, comment peut-on se permettre de demander l’expulsion des OQTF ? Ils se croient où ces jeunes « d’extrême droite » ?

Voilà ce qu’est la France de Macron après bientôt huit ans de règne. Un règne qui aura contribuer dans des conditions incroyables à la destruction méthodique de notre pays.

Et les éléments qui précèdent ne sont qu’un petit aperçu de ce qu’est devenu notre pays en moins de dix ans par la conjonction des actions de ce président et des forces de gauche soutenues par les médias « progressistes ».

Pourtant, dans ce décor lugubre, de temps en temps une éclaircie se manifeste, qui contribue à nous prouver que tout n’est pas perdu et que si on se bouge, les destructeurs de notre pays peuvent être amenés à en rabattre sérieusement.

C’est ce qui s’est passé à Rennes, ville devenue complètement pourrie sous l’heureuse conduite de la gauche. Les agressions y sont innombrables, la drogue est partout, les migrants aussi, notamment les célèbres « mineurs isolés » dont l’immense majorité ne sont ni mineurs ni isolés.

Pourtant dans cette ville, il est un lieu préservé de tout cela. C’est une boîte de nuit dénommée le « 1988 ». Le directeur adjoint et responsable de la sécurité est Yovan Delourme, dit « le Jarl » (chef de guerre) qui pilote son établissement d’une main ferme. Les règles sont simples et connues. Personne n’y échappe. Le résultat est que c’est le seul endroit de Rennes où les jeunes peuvent venir faire la fête en toute sécurité.

Tous les jours, des couteaux sont confisqués, de la drogue, etc. Et les fauteurs de troubles sont impitoyablement flanqués dehors sans retour possible.

Le Jarl a écrit un livre (Ça va mal finir) pour expliquer tout cela et dire que ce qu’il fait dans son établissement pourrait et même devrait être fait à l’échelle du pays. Ce qui permettrait à la France de retrouver le calme et la sérénité.

Sa méthode est toute simple : des règles claires et fermes et si le besoin existe du fait de la violence des coupables on oppose une violence plus forte pour faire cesser les troubles.

Malheureusement, du fait de la lâcheté de l’immense majorité de la classe politique, ce qui pourrait être fait ne l’est pas et nous sommes tombés dans une sacrée ornière.

C’est dans ce contexte que dans la nuit du 8 au 9 mars, des antifas pour la plupart, se croyant tout permis sont venus faire une « teuf » dans un cinéma désaffecté, juste à côté du 1988. Violation de domicile caractérisée puisqu’ils ont forcé les portes qui étaient fermées. On rappelle au lecteur que l’article 73 du code pénal dispose « Dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche ».

Le Jarl a donc commencé par prévenir la police en demandant qu’elle vienne faire évacuer les lieux, notamment parce qu’il y avait une queue de plusieurs dizaines de personnes devant le 1988, personnes dont le Jarl devait assurer la sécurité.

Au bout d’un certain temps, et même d’un temps certain, quinze policiers sont arrivés (il n’y a que cela comme effectifs disponibles la nuit sur Rennes). On n’oubliera pas non plus que c’est à Rennes qu’il y a quelque temps la police avait mis une heure pour intervenir en fin de journée alors que des dealers se battaient à coups de Kalachnikovs.

Cette nuit du 8 au 9 mars, en face, dans le cinéma, ils étaient 3 à 400 personnes dont une bonne partie était alcoolisée et même défoncée. Au bout d’un moment la police a envoyé des lacrymogènes pour faire évacuer les lieux vu qu’ils n’étaient pas assez nombreux pour intervenir physiquement.

C’est là que les problèmes ont commencé…

Les antifas sont sortis par les issues de secours juste devant la boîte 1988. Le Jarl et son équipe (une quinzaine de personnes) étaient là devant leur entrée pour protéger les clients qui faisaient la queue en attendant de pouvoir accéder à l’établissement.

Et bien sûr, les antifas ont commencé à jeter des bouteilles sur les clients du 1988.

Ni une ni deux, le Jarl et ses gars ont commencé à intervenir pour faire cesser ces actes inadmissibles.

Au final, ils ont réussi à faire fuir ces antifas, très agressifs et courageux à 30 ou 40 contre un, mais là ils couraient assez vite en criant de loin. De très loin. Comme en attestent les vidéos tournées ce soir là.

Le plus fort étant que ces antifas ont prétendu être les victimes de violences insupportables de la part du Jarl et de son équipe.

Inversion complète de la réalité, comme d’habitude. Et comme d’habitude aussi, la presse, constamment silencieuse sur les méfaits de ces antifas, a accusé et continue de le faire, le Jarl qui a évité par son action que ses clients ne soient blessés.

Pitoyable tableau que l’on retrouve partout en France. Le 8 mars à Paris et dans la nuit du 8 au 9 mars à Rennes. Et c’est comme cela partout et tout le temps à travers notre pays.

Pour la gauche et les bien-pensants : les antifas n’ont pas envahi le cinéma en violant un domicile privé. Il n’ont pas organisé une « teuf » sans aucune autorisation. Ils n’ont pas commis de dégâts à l’intérieur du cinéma, ils n’ont pas dealé ni consommé de drogue, ils n’ont pas jeté de canettes en verre sur les clients du 1988 pour se venger d’avoir été délogés par la police sur appel du directeur du 1988. On vous le dit, ils n’ont rien fait. Ce sont des victimes. Ils étaient blancs comme neige.

Par contre le seul responsable, le seul méchant, le vrai gros facho, c’était le Jarl et son équipe qui, pour protéger leurs clients, n’ont pas laissé faire les antifas. Et leur ont même fait pan-pan cul-cul en leur disant « allez zou… au lit ».

Cette presse bien-pensante est la honte de sa profession. De véritables auxiliaires de la gauche et des antifas. Pas des journalistes, des propagandistes.

Par contre le Jarl nous montre, à cette occasion, que lorsque l’on ne se laisse pas impressionner, ni faire par ces gauchistes dégénérés, souvent avinés et drogués, les choses ne se passent pas bien pour eux qui sont les véritables fauteurs de troubles.

C’est indiscutable, il nous faudrait plus, beaucoup plus de Jarl en France.

"Ça va mal se finir", Le Jarl, 372 page, 21,00 € 

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Sarah Knafo défend la priorité nationale face à Aurélien Taché (LFI)

 

Un communiqué de Sarah Knafo (Reconquête !) :

J'étais dans Face à l'Info, sur CNews, pour mon débat contre le député LFI Aurélien Taché.

Aurélien Taché parle d'empêcher l'immigration grâce à l'aide publique au développement.

L'aide publiquement au développement a augmenté de 50% depuis l'arrivée d'Emmanuel Macron, pourtant l'immigration n'a jamais été aussi forte.

Cette contradiction flagrante nous amène à un constat douloureux sur notre pays. Un agriculteur se suicide chaque jour.

Un entrepreneur se suicide chaque semaine.

La France est dans une situation budgétaire catastrophique.

Comment se peut-il que le peuple français, qui souffre tant, ait aidé au développement de la Chine, deuxième puissance du monde ?

Au fond, Aurélien Taché a une vision coloniale de nos rapports diplomatiques.

Nous ne sommes pas obligés d'arroser un peuple étranger d'argent, pris dans la poche de Français qui souffre, pour coopérer avec lui.

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Sortie prochaine d'un nouveau Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à Alexis Carrel

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Alexis Carrel (1873-1944) n’est pas qu’un célèbre médecin, chercheur et lauréat du Prix Nobel de médecine et de  physiologie en 1912, il est aussi un écrivain dont l’œuvre majeure, L’Homme cet inconnu, reste une référence pour beaucoup de personnes. Régis Arnaud propose ici de mieux connaître l’homme et de redécouvrir son œuvre. Une synthèse biographique retrace le parcours de ce chercheur hors du commun puis présente un extrait de ses réflexions à travers de nombreuses citations tirées de ses différents livres.

Alexis Carrel dérange, on débaptise progressivement les rues qui portent son nom, on tente d’effacer sa mémoire et ses travaux pourtant tellement novateurs. Ce livre s’adresse à tous mais en particulier aux plus jeunes qui doivent connaître le docteur Carrel, ses analyses et propositions tellement actuelles même si elles ont été rédigées dans les années 30.

L’auteur : Régis Arnaud est un militant du Camp national depuis plusieurs décennies. Il est actuellement l’un des rédacteurs du BPO, le Bulletin Périodique Officiel de l’Alliance royale. Il a publié de nombreux articles et plusieurs livres consacrés notamment au patrimoine sous différentes signatures.

Alexis Carrel, l'homme et son oeuvre, Régis Arnaud, Synthèse nationale, collection Les Cahiers d'Histoire du nationalisme (n°30), 170 pages, 24,00 € (+ 6,00 € de port).

Sortie, le 7 avril 2025.

Commandez-le dès maintenant cliquez ici

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Parution du n°4 de la revue "Sparta"

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Au sommaire : La rumeur du monde et la relance de Sparta

Dossier : le fascisme comme phénomène européen

Première partie

Au cœur du phénomène fasciste Philippe Baillet

Optimisme fasciste et pessimisme traditionaliste Enzo Erra

Le sens ultime du fascisme Enzo Erra

Tradition et intervention Adriano Scianca

La « modernité païenne » de Benito Mussolini Adriano Romualdi

Réflexions sur l’histoire et sur le fascisme

La page « Diorama filosofico »

Hymne de la Decima Mas

Seconde partie

À la périphérie du phénomène fasciste René Dupuis & Alexandre Marc

À l’ombre de la croix gammée (extraits d’un livre paru en 1933) Maurice Bardèche

Ce qu’aurait été l’Europe de Hitler Philippe Baillet

Éclipse et retour de la tradition. Sur les racines spirituelles du Mouvement légionnaire roumain Robert Poulet

Comment passa la dernière chance de l’Europe Emil M. Cioran

Le peuple juif, entre universalisme et strict particularisme Robert Poulet

Adieu au fascisme

Nécrologies

Laszlo Toth (1934-2021) Renato Del Ponte (1944-2023) Jean Haudry (1934-2023) Jean-Paul Allard (1940-2023) Roberto Fondi (1943-2024) Pierluigi Zoccatelli (1965-2024)

Comptes rendus

Georges-Henri Soutou, Europa ! Les projets européens de l’Allemagne nazie et de l’Italie fasciste, par Gérard Boulanger

Thierry Bouclier, La Gauche ou le monopole de la violence. De 1789 à nos jours, par David Rouiller

Antoine Dresse, Le Réalisme politique. Principes et présupposés, par David Rouiller

Andrea Scarabelli, Vita avventurosa di Julius Evola. Una biografia, par Gérard Boulanger

Olivier Moos, Le Guide du réac. Comment perdre ses amis et mourir seul, par David Rouiller

Sparta, n°4, 352 p. Pour le commander cliquez ici

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    Brutale sortie de route pour « Loulou la came »

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    Pauvre Louis Boyard, l'arroseur arrosé...

    Bernard Germain

    Il y a des jours où malgré la situation pitoyable que vit notre pays, on arbore un franc sourire et une joie interne qu’on a du mal à contenir.

    Nous venons de vivre l’un de ces jours, le 17 mars 2025 pour être précis. L’affaire se passe à Villeneuve-Saint-Georges. Pourquoi « Loulou la came » ? il paraît que c’est son surnom eu égard à son passé de dealer qu’il revendique, du temps où il était étudiant et pour éviter d’avoir à aller travailler, il vendait de la came pour se faire de l’argent facile.

    Bref, depuis ce temps-là, le « Loulou », il a fait du chemin. Il est devenu député. Et pas n’importe lequel. Un de ceux qui mettent le plus le « bordel » à l’assemblée.

    C’est lui aussi qui a occupé et occupait encore très récemment un des premiers rôles dans les lycées, facs et grandes écoles - comme Sciences-Po - pour aller y mettre le bordel, comme à l’assemblée. Sauf que là c’était pour appeler à la mobilisation pour Gaza, pour soutenir les « résistants » du Hamas contre Israël et les juifs. Car il n’y a même plus besoin de se cacher derrière le mot « sioniste ». Avec l’affiche d’Hanouna qui est une copie presque conforme de ce que produisaient les nazis, la LFI n’a plus besoin de pudeur de gazelle pour afficher son antisémitisme.

    Il se trouve aussi que « Loulou » est l’un des fous furieux qui constituent la garde rapprochée actuelle de Mélenchon. Ce dernier éjectant sans état d’âme tous ses anciens camarades qui l’avaient connu lorsqu’ils étaient tous de « gauche » et que ce terme voulait encore dire quelque chose, il y a donc très largement plus de 10 ans. Nous voulons parler des Clémentine Autain, Raquel Garrido, Alexis Corbière, Danielle Simonnet,… etc. Plus assez fous, et n’acceptant pas non plus que LFI soit un parti sans congrès, sans discussion sur l’orientation, sans élection des responsables, sans démocratie interne. Une organisation au sein de laquelle le tyran s’appelle Mélenchon.

    Mais revenons à nos moutons. C’est à Villeneuve-Saint-Georges, après y avoir été parachuté, qu’il était chargé par Mélenchon de monter une liste composée de diversité et de la mener à la victoire. Histoire de prouver que la « nouvelle France » est avec LFI, avec Mélenchon et que la victoire à venir à Villeneuve c’est l’avenir très proche qui s’écrit sous nos yeux et qui se généralisera à toute la France en 2026… et 2027. Donc notre « Loulou » a constitué une liste qui provoqua immédiatement la polémique puisqu’elle comprenait notamment un certain « Mohammed Ben Yakhlef, militant pro-Hamas inscrit sur la liste de Louis Boyard » comme l’indiquait le Figaro du 22 janvier 2025. « Loulou » refusa de le retirer de sa liste. Gros malaise... à gauche.

    À l’issue du premier tour, « Loulou » vire en tête avec 24,89 % des suffrages. Mais l’affaire n’est pas dans le sac. C’est d’autant plus vrai que la gauche refuse de faire liste commune pour le second tour. Le PCF par exemple appellera à « Battre la droite » mais sans dire « Votez Boyard ». Tout le monde a compris. En tout cas ceux qui réfléchissent un peu. Le PCF va voter et faire voter en douce pour la candidate de droite LR Kristell Niasme (22,7 %) au premier tour.

    Et lorsque le dépouillement du second tour est terminé, c’est la douche… glacée ! Kristell Niasme est élue. « Loulou » n’obtient que 7 élus pour son groupe. La Bérésina. Mais les malheurs du pauvre « Loulou » ne s’arrêtent pas là.

    Comme nous le disions au début de l’article, ce 17 mars 2025, « Loulou » va s’en souvenir. Il a été marqué au fer rouge.

    Il se trouve que ce jour là, son groupe s’est réuni et a décidé… d’exclure « Loulou » et un autre colistier. À 5 élus sur 7, ils constituent un groupe. « Loulou » et son colistier ne sont que 2 et ne peuvent donc pas constituer un groupe, il faut être 3 au minimum.

    Pauvre « Loulou », il boit le calice jusqu’à la lie. Reste à tirer la morale de cette pitoyable histoire. On peut voir les choses de deux manières

    La première c’est le PCF et le PS qui envoient un message à Mélenchon : « Ne va pas trop loin, quoi que tu en penses et en dises, tu as besoin de nous pour gagner ».

    Mais si Mélenchon refuse de mettre de l’eau dans son vin, pardon dans son vinaigre, c’est la faillite pour tout le monde. Une sorte de suicide collectif. Une sorte de remake en 2026/2027 du suicide collectif de la secte des Davidiens de David Koresh au Texas en 1993.

    Vous me direz, ce serait une excellente chose que cette gauche insipide et malfaisante disparaisse du paysage politique, et ce n’est pas moi qui vais vous contredire. Reste que j’ai du mal à donner du crédit à ce scénario.

    D’abord, parce que je pense, et je l’ai écrit à plusieurs reprises, Mélenchon aimerait beaucoup mieux une flambée des quartiers à travers toute la France et à cette occasion arriver au pouvoir en profitant du chaos généralisé.

    Par ailleurs, j’ai aussi beaucoup de mal à croire que tout ce personnel politique de gauche est prêt à se faire hara-kiri, au nom des grands principes. Lorsque leurs sièges, pardon leurs gamelles, seront en jeu il se coucheront devant Mélenchon et comme nous l’avons vu pour les législatives de 2024, ceux qui se sont faits traiter de tous les noms (Doriot, qualificatifs antisémites,…) n’ont pas mis longtemps à se mettre d’accord sur le programme du NFP et sur la composition des listes de candidats pour chaque partis membre du NFP. Il en sera certainement de même en 2026 et en 2027.

    Ce qui n’empêche pas de savourer avec jubilation lorsqu’un individu comme « Loulou » se gaufre lamentablement. Ces moments sont rares et il faut en profiter sans modération.

    C’est d’autant plus jubilatoire que ces sont les musulmans de sa liste qui ont éjectés « Loulou ».

    L’histoire risque globalement de très mal finir pour certains, tels « Loulou » qui pensent que les musulmans seront toujours leurs alliés. Qu’adviendra-t-il de ceux qui auront fait la courte échelle aux islamistes ? Sur cette question, Boualem Sansal les a prévenus depuis longtemps. Depuis le 7 août 2022 pour être précis, dans le journal Atlantico. Il écrivait : « Pour les islamistes, nous sommes tous des kleenex. Il prend quand c’est utile et il jette quand ce n’est plus utile. Ils se fichent comme de leur première gandoura des wokistes, des insoumis, des intelligents utiles et des passeurs affectueux, ils seront les premiers à être décapités car l’islamisme sera au pouvoir, ce qu’il est déjà puisqu’il tue et décapite qui il veut, quand il veut, où il veut. Les islamistes haïssent par-dessus tout les faibles, les efféminés et les hypocrites qui viennent les comprendre, les défendre, leur porter le sac. L’islamisme ne cherche pas à être vertueux, il est la vertu qui exige que les autres le soient à son image. Il est temps en France de méditer l’histoire du scorpion qui pique la grenouille qui l’a aidé à traverser la rivière. L’islamisme n’a pas d’ennemis, ni d’amis, comme la défunte grenouille n’était pas l’ennemie du scorpion, ni son amie. ».

    « Loulou » et ses amis devraient sérieusement méditer ces paroles.

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    Sur la gauche et ses turpitudes

    lire ce livre de Bernard Germain.

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    Dans un livre choc, Michel Festivi dénonce les trahisons des gauches espagnoles de 1930 à 1936

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    Un grand entretien avec Michel Festivi sur Breizh Info cliquez ici

    Le 14 avril 1931, la monarchie Bourbonienne s’étant effondrée comme un château de cartes, la IIe République espagnole est auto-proclamée, par les gauches républicaines, grâce à des mouvements de foule incontrôlés, dans les plus grandes villes d’Espagne. Dans son livre « Les trahisons des gauches espagnoles » (Dualpha), Michel Festivi démontre, faits et références historiques à l’appui, comment « la légende dorée » de cette République espagnole alors à gauche, doit être remise en cause.

    Le livre met aussi en évidence que l’actuel débat politique espagnol, du fait de l’alliance gouvernementale de la gauche avec l’extrême gauche, est entaché, voire perverti plus que jamais par le ton et les clivages de cette époque, qui remontent à la surface.

    Nous vous proposons ci-dessous une interview passionnante de l’auteur, à contre courant de l’Histoire officielle.

    Breizh-info.com : Votre livre s’attaque à ce que vous appelez « la légende dorée » de la Seconde République espagnole. Qu’est-ce qui vous a motivé à remettre en cause ce récit historique dominant ? Vous semblez vouloir déconstruire une certaine mythologie entretenue par la gauche espagnole et relayée dans les cercles académiques et médiatiques. Pensez-vous que l’histoire de la Seconde République a été manipulée à des fins politiques ?

    Michel Festivi : L’historiographie universitaire, que ce soit en France ou en Espagne, est aux mains d’une clique autocentrée, une clique de l’entre-soi, qui véhicule les doxas des gauches, nous le voyons bien, que ce soit l’histoire de la révolution française, la collaboration et la résistance ou le PCF et aussi sur des sujets plus récents comme l’islamogauchisme. L’histoire de la IIème république espagnole n’échappe pas à la règle. À part une minorité d’historiens courageux comme les frères Salas, Ricardo de la Cierva, Luis Pio Moa en Espagne, Stanley Payne aux USA, Arnaud Imatz, Bartolomé Bennassar en France, voire Philippe Nourry ou Guy Hermet, la IIème république espagnole reste auréolée. On nous dépeint une république jeune, démocratique, rénovatrice, réformatrice, qui aurait été attaquée par un aéropage de conservateurs, de militaires, de fascistes en juillet 1936. C’est à l’encontre cette vision totalement fallacieuse que j’ai voulu m’attaquer, pour faire prévaloir la vérité historique d’une part, et ferrailler dans le cadre du combat des idées, car tout se tient. Oui, incontestablement, l’histoire de la 2de république a été manipulée à des fins politiques, pour asseoir la sempiternelle idée, que les gauches se situent dans le camp du bien, définitivement. Mais les choses évoluent. Je viens de lire un petit opuscule, publié en 2024 en Espagne, par une hispanisante suédoise, professeur en Suède et qui pourfend cette IIème république, le titre est sans équivoque même pour celui qui ne lit pas l’espagnol : El naufragio de la secunda republica, una democracia sin democratas, d’Inger Enkvist. Luis Pio Moa nous a donné un livre admirable sur la seconde république : La Segunda Republica Española : Nacimiento, evolución y destrucción de un régimen : 1931-1936. Mais ces livres n’existent qu’en langue espagnole, sauf les Mythes de la guerre d’Espagne.

    Breizh-info.com : Comment votre travail s’inscrit-il par rapport aux historiens officiels de la guerre civile espagnole ? Pensez-vous qu’il y a une forme de censure ou d’omission historique dans le traitement de cette période ?

    Michel Festivi : Je suis dans la continuation des travaux de Stanley Payne, d’Arnaud Imatz, Luis Pio Moa, Gonzalo Fernandez de la Mora, Miguel Platon, Burnett Bolloten, qui ont renouvelé l’historiographie officielle. Régulièrement, ces historiens sont attaqués, injuriés, sans que l’on ne leur oppose le moindre argument valable. La censure des grands médias est omniprésente. Jamais El Pais ne rapportera objectivement une recension d’un livre de Luis Pio Moa par exemple, qui pourtant a vendu ses mythes de la guerre d’Espagne à plus de 300 000 exemplaires. Il en a écrit des dizaines et des dizaines, dont tout récemment l’histoire du PSOE, El PSOE en la historia de España, pasado y presente del partido mas influyente en los ultimos cien años, qui est remarquable comme ses précédents, mais il ne fait pas la une des journaux, des radios et des télévisions du système, même s’il tient un blog très lu, mas españa y mas democracia.

    Breizh-info.com : Dès 1933, la gauche espagnole connaît une défaite électorale importante et choisit de se radicaliser. Pourquoi la gauche républicaine a-t-elle préféré prendre les armes en 1934 plutôt que d’accepter le verdict des urnes ? Cette insurrection d’octobre 1934 est souvent minimisée par certains historiens. Vous la présentez comme le véritable début de la guerre civile. Pourquoi cette date est-elle selon vous le point de bascule ?

    Michel Festivi : La révolution armée d’octobre 1934, qui a commencé très exactement le 4 octobre, avait été préparée de longue date, par le PSOE, des « républicains » de gauche, des franges communistes et des anarchistes, qui avaient constitué des phalanges rouges et caché des armes dans toute la péninsule. Depuis leur défaite électorale de novembre 1933, les gauches avaient fait pression sur le Président de la République, pour qu’il annule les élections. Puis ensuite, devant son refus, elles l’ont menacé de prendre les armes si d’aventure, il s’avisait de nommer des ministres de la CEDA, un rassemblement des droites espagnoles, 1er parti aux Cortès. Alcalà Zamora a cédé. Sauf qu’en octobre 1934, il n’a pas pu faire autrement que de nommer 3 ministres Cédistes, dans un gouvernement centriste de 15 ministres. Cela a été le signal du déclenchement de la guerre civile. Partout, dans toute l’Espagne, à Madrid, à Bilbao, à Valence, à Barcelone, les gauches ont attaqué les bâtiments gouvernementaux, les infrastructures pour prendre le pouvoir. Cela a échoué au bout de quelques jours, sauf dans les Asturies, où les anarchistes étaient les plus puissants et les plus organisés avec les socialistes de l’UGT. Les combats ont duré 15 jours, ont fait plus de mille cinq cents morts et des milliers de blessés. La Cathédrale d’Oviedo a été incendiée, des églises et des couvents ont été détruits, près de 40 prêtres ont été assassinés, ainsi que des hommes considérés comme de droite. Plusieurs historiens, même de gauche ont écrit que c’était la première bataille de la guerre civile. D’ailleurs, l’un de leur chef, le socialiste Berlamino Tomas, lorsqu’il s’est rendu aux autorités légales et légitimes du pays, a proclamé, sur la grande place d’Oviedo, que les combattants rouges, ne se rendaient que parce qu’ils n’avaient plus de munitions, promettant de reprendre les combats dès que possible. Depuis le début de l’année 1933, le Parti socialiste qui était un parti de masse, s’était complètement bolchévisé, sous la houlette de Largo Caballero, le futur « Lénine espagnol ». Il proclamait même, que son parti était plus à gauche que les communistes. Avec les élections perdues pour les gauches en 1933, la révolution armée d’octobre 1934 marque la fin de la république espagnole.

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    mercredi, 19 mars 2025

    Le Conseil d’État encourage la submersion migratoire sans limite de la France

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    Jean-Yves Le Gallou, Polémia cliquez là

    Le Conseil d’État vient de prendre une décision d’une importance considérable qui va encore amplifier l’immigration en France. Analyse par Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia.

    Une décision qui ouvre totalement les vannes de l’immigration

    Le Conseil d’État vient de casser une décision de la CNDA (Cour nationale du droit d’asile), ouvrant ainsi le droit d’asile à tout Égyptien (ils sont 100 millions) se contentant de déclarer, sans preuve, qu’en raison de son homosexualité, il craint d’être persécuté en Égypte. Il s’agit d’une nouvelle démonstration pratique de l’existence d’un gouvernement des juges qui impose aux Français ses désirs politiques. Les implications de cette décisions sont apocalyptiques.

    Considérer qu’une simple déclaration d’homosexualité entraîne l’appartenance à un groupe social  ouvrant des droits à l’immigration en France est pour le moins problématique.

    La CNDA et le Conseil d’État reconnaissent des groupes sociaux étrangers susceptibles de bénéficier, sur simple déclaration, de la protection subsidiaire au titre du droit d’asile :

    - Femmes afghanes (25 millions)

    - Musulmanes sri-lankaises (2 millions)

    - Homosexuels togolais (combien sont-ils ? 600.000 ?)

    - Homosexuels égyptiens (5 millions ?)

    Cette discrète décision du Conseil d’État ouvre en fait la possibilité à plus de 2 milliards de personnes (provenant d’Afrique et de pays arabo-musulmans) de solliciter l’asile en France simplement en déclarant appartenir au groupe social homosexuel susceptible d’être mal perçu.

    La gauche toute-puissante au Conseil d’État

    Cette décision du Conseil d’État a été prise par des juges dont l’identité est connue. La transparence démocratique rend nécessaire de faire connaître le parcours des trois principaux auteurs de cette décision.

    Nicolas Boulouis, président de la 2ᵉ chambre, s’était déjà fait remarquer en mai 2021, lorsque le Conseil d’État a rejeté le recours-suspension déposé par Génération Identitaire, les empêchant de reprendre leurs activités avant la décision finale de leur dissolution. Lors de cette délibération, Nicolas Boulouis était l’assistant de Christophe Chantepy, proche du Parti socialiste et conseiller technique, notamment auprès d’Édith Cresson et de Pierre Bérégovoy à Matignon pendant le mandat de François Mitterrand. Par la suite, il a dirigé le cabinet de Ségolène Royal à l’enseignement scolaire (1997-2000), puis celui de Michel Sapin à la fonction publique (2000-2002). En 2007, Christophe Chantepy a fait campagne pour la candidate socialiste Ségolène Royal, avant de soutenir François Hollande lors de la primaire de 2011 et de diriger le cabinet de Jean-Marc Ayrault jusqu’en 2014. Énarque de la promotion « Fernand Braudel » (1987), ses principales nominations ont été obtenues sous des gouvernements socialistes ou macronistes, notamment son élection en décembre 2017 au collège de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), sa nomination comme président adjoint de la section administration au Conseil d’État (2016-février 2019) et comme président de la 2ᵉ chambre de la section du contentieux au Conseil d’État en février 2019. Précisons que Nicolas Boulouis a été nommé au Conseil d’État par la voie du tour extérieur en 2000, alors qu’il travaillait comme administrateur civil dans les services du Premier ministre Lionel Jospin.

    Amélie Fort-Besnard, rapporteure, était rapporteure publique lors de l’audience de l’Affaire du Siècle au tribunal administratif de Paris, le 14 janvier 2021. À cette occasion, elle a déclaré que l’inaction climatique de la France constituait une faute engageant la responsabilité de l’État, donnant raison aux quatre ONG plaignantes : la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme, Greenpeace France, Notre Affaire à Tous et Oxfam France. Le 21 décembre 2021, elle a également donné raison aux ONG CIMADE, GISTI (Groupe d’information et de soutien des immigré.e.s), Ligue des droits de l’homme (LDH), FASTI (Fédération des associations de solidarité avec tou-te-s les immigré-e-s) et COMEDE (Comité pour la santé des exilés), en annulant pour excès de pouvoir l’arrêté du 7 janvier 2021 ainsi que l’article 1ᵉʳ de l’arrêté du 7 avril 2021, pris en application de l’article L. 744-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.

    Dorothée Pradines, rapporteure publique, a été conseillère auprès du délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes de septembre 2018 à août 2020. Ce poste était alors occupé par Olivier Noblecourt (du 15 novembre 2017 au 7 janvier 2020), ancien directeur de cabinet de Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale sous la présidence de François Hollande, et ancien assistant parlementaire de Michel Destot, député PS de Grenoble. Dorothée Pradines n’est pas formellement l’auteure de la décision qu’elle a simplement éclairée par son avis.

    Pendant que François Bayrou parle de sentiment de submersion migratoire, les juges militants s’activent à l’accélérer !

    13:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    19 mars 1962 : ne jamais oublier, ne jamais pardonner...

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    12:59 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    Philippe de Villiers était l'invité mardi soir de C-news

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    12:51 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

    La revue "War Raok" fête ses 25 années de combat pour la Bretagne !

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    Un communiqué de War Raok :
     
    War Raok fête ses 25 années de combat pour la Bretagne !
     
    Avec le numéro 72, à paraître sous peu, la revue War Raok fête ses 25 années d’existence.
     
    25 années de combat politique, combat pour les libertés bretonnes et l’émancipation du peuple breton, combat pour la civilisation, la pérennité de nos ethnies, de nos peuples...
     
    Finis les projets utopiques, les sursauts libérateurs jaillis d’un autre printemps… Finis les doux rêves d’un romantique mouvement breton. L’émancipation du peuple breton, la vraie, celle qui dans un même mouvement change l’homme breton et la société, ne peut germer que dans une société nouvelle où les préoccupations matérielles n’accaparent pas totalement les esprits. Malheureusement aujourd’hui, le contexte politique enferme la plupart des Bretons dans l’individualisme, dans l’égoïsme matérialiste ou dans le désespoir.
     
    Le nationalisme breton que l’on retrouve exprimé dans War Raok est en fait un espoir de liberté par delà des siècles de servage, un besoin d’identité qui n’a jamais été aussi fort. Vouloir être Breton aujourd’hui, c’est vouloir retrouver le sens de la communauté fraternelle, c’est vouloir maîtriser son destin, c’est vouloir exprimer sa dignité dans sa propre culture, c’est vouloir vivre ses traditions… en un mot c’est vouloir être un Breton libre, un Breton de ce temps.
     
    L’esprit de la revue War Raok est simple : il faut dépouiller de ses dernières guenilles passéistes le combat breton. Ce dernier doit impérativement devenir authentique et indubitable ! Aussi, la revue s’inscrit dans une démarche souverainiste bretonne, un souverainisme breton qui doit demeurer frontal.
     
    La muraille du mépris édifiée par les divers gouvernements français depuis des siècles se lézarde sérieusement. C’est l’occasion de réaffirmer nos revendications de justice, de liberté et sortir définitivement des abysses dans lesquels l’État français nous entraîne.
     
    Pour la rédaction de War Raok,
    Padrig Montauzier,
    directeur de publication.
     
     
    Site de War Raok ("En avant "en français) cliquez ici

    12:47 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |