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LES PREMIÈRES RÉACTIONS À DROITE SUITE À LA MISE EN GARDE À VUE DE JEAN-EUDES GANNAT
Communiqué du Parti de la France (07/11/2025) :
Le Parti de la France apporte tout son soutien à Jean-Eudes Gannat et dénonce la persécution politico-judiciaire dont il est victime.
Pour avoir simplement diffusé une vidéo sur Tiktok où il filme une bande de rôdeurs afghans qui zonent toute la journée devant le supermarché de sa ville natale, Jean-Eudes a été convoqué dès le lendemain à la demande du Parquet, placé en garde à vue et sera jugé en comparution immédiate aujourd'hui à 13h30. Avec un risque élevé d'incarcération.
On nage en plein délire totalitaire. Plus les Français sont hostiles à l'invasion migratoire, plus nos gouvernants et nos magistrats déploient une répression judiciaire abjecte contre les lanceurs d'alerte.
Tout ceci doit prendre fin, et vite.
Réaction de Nicolas Dupont-Aignan :
IMPENSABLE : en 2025, un Français peut être convoqué et mis en garde à vue pour avoir simplement posté une vidéo sur TikTok montrant un fait réel.
Si la justice était aussi rapide et efficace pour poursuivre les vrais délinquants, notre pays irait beaucoup mieux.
Victor Aubert, Académia christiana :
La persécution judiciaire dont fait l’objet Jean-Eudes Gannat est un phénomène qui marque un changement d’échelle dans notre système politique.
Être incarcéré et jugé pour avoir simplement montré le réel, la simple réalité, est la marque d’une dérive objective de nos institutions.
Évidemment ce n’est pas nouveau en soi, mais on passe un seuil encore plus fort dans la répression idéologique.
Deux réflexions :
1) Le risque, c’est que ce type d’arrestations, pour crime de pensée devienne la norme. Si personne ne s’en scandalise, si personne ne dit rien, si vous vous taisez, alors elles se multiplieront pour des motifs encore plus anodins : une plaisanterie, un jeu de mot, une requête en ligne… se taire c’est d’une certaine manière une forme de complicité.
2) Par ailleurs cette affaire illustre, encore une fois, que le sujet de l’immigration est un tabou absolu dans notre société. Il est non seulement interdit de la remettre en cause et d’en débattre, mais désormais il est interdit de la voir.
Ce malaise irrationnel dévoile la dimension quasi-religieuse, ou en tout cas de fétichisme idéologique, qu’a pris la haine de soi.
Il s’agit dans le fond d’une sorte de suicide civilisationnel, de volonté de disparaître de s’auto-anéantir.
Ce n’est même plus de l’idéologie politique ou une position dans un débat d’idée mais une sorte de psychose.
Je crois que notre société glisse lentement vers l’aliénation mentale collective où des assassinats comme celui de Charlie Kirk deviendront beaucoup plus fréquents, à côté d’autres formes de violences.
On est sorti depuis longtemps de l’époque de la raison, et l’on commence aujourd’hui à sortir de celle des sentiments pour se diriger vers celle des névroses.
Si vous pensez que j’exagère, posez-vous 5 minutes en essayant d’imaginer comment un juge peut justifier une telle situation.
La revue Éléments :
Jean-Eudes Gannat n’a pas braqué une banque, poignardé un passant ni incendié un commissariat. Il a tourné une vidéo de vingt-quatre secondes devant un Leclerc de campagne, dans le Maine-et-Loire, montrant un groupe d’Afghans assis devant le magasin.
Vingt-quatre secondes, une phrase ironique et cette légende jugée blasphématoire par la justice : « Marre de vivre avec les cousins de talibans au fin fond de nos campagnes. » Résultat : garde à vue, mise en examen pour « incitation à la haine raciale », interdiction partielle des réseaux sociaux, contrôle judiciaire jusqu’en mai 2026.
L’État a dissous l’Alvarium, la structure identitaire angevine créée par Jean-Eudes Gannat, mais poursuit ses anciens membres avec la même ardeur bureaucratique que s’il s’agissait de terroristes. À l’heure où les multirécidivistes circulent librement et où l’insécurité prospère, filmer des migrants devient un crime de lèse-République. « Décrire le réel est interdit », a résumé Gannat avant d’être conduit au poste.
NDLR SN : Bien sûr, il y en a quelques autres que nous n'avons pas pu répertorier ici. Cependant, il est regrettable, à l'heure qu'il est, que les réactions "à droite", face à un tel arbitraire, ne se sont pas montrées plus nombreuses et aussi virulentes, en particulier venant des partis institutionnalisés. En effet, face à l'adversité, notre famille politique doit apprendre à réagir à l'unisson. La scandaleuse mise en garde à vue de Jean-Eudes aurait dû immédiatement interpeler l'ensemble de la droite de conviction... Mais il n'est pas trop tard pour réagir, le procès de notre camarade étant prévu en mai prochain...
Lire aussi l'article publié sur ce sujet par Breizh-info, repris sur Riposte laïque cliquez ici
Rappel : à propos de l'Alvarium, c'était en octobre 2019, à Rungis, lors du rendez-vous "Bleu-Blanc-Rouge" de Synthèse nationale :
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