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jeudi, 13 novembre 2025

13 novembre 2025 : dix ans de trahison

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Dix ans déjà depuis cette nuit funeste du 13 novembre 2015 où le sang français a coulé à flots dans les rues de Paris, au Bataclan, au Stade de France, aux terrasses des cafés. Dix ans que les barbares islamistes ont frappé au cœur de notre civilisation, massacrant 130 innocents au nom d'Allah. Et que voit-on aujourd'hui ? Une commémoration larmoyante, des bougies, des discours vides et aucune leçon tirée de ce carnage. Nos gouvernants ont-ils fermé les frontières ? Ont-ils stoppé l'invasion migratoire qui nourrit le terreau du djihad ? Bien au contraire !

Le flux migratoire extra-européen, majoritairement de confession musulmane, n'a fait que s'accentuer, comme une hémorragie que l'on refuse de cautériser. Des centaines de milliers d'entrées légales comme illégales chaque année, des immigrés qui s'installent, imposent leurs mœurs, leurs voiles, leurs mosquées financées par des pétrodollars salafistes. L'islamisation de la France progresse inexorablement, avec la complicité active de l'État : subventions aux associations islamistes, construction de minarets qui percent le ciel de nos villes millénaires, enseignement de l'arabe dans nos écoles au détriment du latin et du grec. C'est une capitulation en règle, un suicide assisté par des idéologues multiculturalistes qui haïssent notre identité gauloise et catholique.

Regardez le laxisme affligeant avec les OQTF : des obligations de quitter le territoire qui ne sont que des chiffons de papier, ignorées par des juges complaisants et des préfets timorés. Des milliers de délinquants étrangers, souvent islamistes radicalisés, errent librement sur notre sol, attendant leur heure pour frapper à nouveau. Et pendant ce temps, la liberté d'expression pour ceux qui osent dénoncer le terrorisme islamique se rétrécit comme peau de chagrin. On traîne en justice les patriotes, on censure les voix discordantes sur les réseaux, on accuse d'islamophobie quiconque ose nommer l'ennemi. C'est la dictature du politiquement correct qui protège les bourreaux et muselle les victimes.

La France, jadis terre de conquérants, donne aujourd'hui l'image d'une proie facile et pleutre, offerte à ses ennemis de l'intérieur comme de l'extérieur. Des ennemis qui rient de notre faiblesse, de nos gouvernants lâches et incapables, ces Macron, ces Hollande, ces Darmanin qui gesticulent sans agir, préférant les embrassades avec les imams radicaux aux expulsions massives. Ils ont transformé notre Nation en un vaste camp de réfugiés, où l'islam conquiert par le ventre des femmes et terrorise par la lame des fanatiques.

Et quel symbole d'impuissance absolue, dix ans après le Bataclan ! Salah Abdeslam, ce monstre survivant du commando, reçoit en prison de la propagande djihadiste, comme si l'État lui offrait un abonnement premium à la haine. C'est l'aveu même de notre défaite : nous ne pouvons même pas isoler les serpents dans leur nid !

Non, rien n'a changé. L'islamisme avance, masqué derrière l'immigration massive, et nos élites déracinées applaudissent. Elles ont oublié Clovis, Jeanne d'Arc, Napoléon ; elles préfèrent l'agenouillement à la résistance. Mais le peuple français, lui, se souvient. Il gronde, il bouillonne. Il est temps de reprendre le flambeau, de chasser les envahisseurs, de restaurer la grandeur de la France éternelle. Sinon, les attentats de demain feront passer ceux de 2015 pour un simple avertissement.

11:57 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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