Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 15 août 2025

La pire blague des 35 dernières années

1992, le mirage de Maastricht :Le 20 septembre 1992, il y a 30 ans, les Français·es se ...

2025, la réalité : l'Europe vassalisée, hors-jeu, effacée...

Les promesses des hommes politiques n'engagent que ceux qui les écoutent et les croient...

 

21:33 Publié dans Maurice Bernard | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Emmanuel Macron, le président qui aime la France effacée, repentante et rampante

undefined

Synthèse nationale

Il paraît que « qui aime bien châtie bien ». Notre "bon" président doit aimer la France d’un amour débordant pour la malmener autant ! On le sait, l’un des exercices qu’il prise particulièrement est la mortification du pays qui l’a vu naître et qui l’a porté à la tête de l’exécutif à deux reprises. L’ombre élyséenne aime le mener sur la route de Canossa, les pieds nus, en robe de bure, la verge à la main, la tête couverte de cendres, avec la caution de l’Université et la bénédiction de la bien-pensance (qui, ingrates, trouvent cependant qu’il n’en fait pas assez).

C’est ainsi qu’il y a quelques jours, dans un courrier au président camerounais Paul Biya, rendu public le 12 août, il a mis officiellement au passif du pays ("la France" a fait ceci, "la France" a fait cela) les conclusions du « rapport de la Commission "Recherche" sur le rôle et l’engagement » de l’Hexagone « dans la lutte contre les mouvements indépendantistes et d’opposition au Cameroun de 1945 à 1971 ».

De ce pavé (1.035 pages en tout, dont plus de 700 consacrées aux divers "événements" et à leur contexte), en sa possession depuis le 12 janvier, il a retenu l’essentiel : une guerre (a) eu lieu au Cameroun, au cours de laquelle les autorités coloniales et l’armée française ont exercé des violences répressives de nature multiple. (Elle) s’est poursuivie au-delà de 1960 avec l’appui de la France aux actions menées par les autorités camerounaises indépendantes ».

Déjà, sans surprise, on recueille les premières réactions de la rue camerounaise : « L’armée française a fait des massacres » : elle a tué des Camerounais « qui devaient contribuer au développement du pays » ; la France doit donc lui faire « justice », lui présenter des « excuses » et lui verser des « réparations » ; quant à l’avenir du Cameroun, il doit être le même que celui choisi par d’autres pays de l’Afrique francophone : sans la France, qui lui « a déjà fait trop de torts »…

Chapeau, l’artiste ! Encore quelques opérations du même acabit et il ne nous restera, de nos présence et influence passées, que des souvenirs… Ainsi qu’une raison supplémentaire de nous mortifier !

Pour conclure cette énième évocation des turpitudes jupitériennes, nous laisserons le mot de la fin à Bernard Lugan : décidément, « ce singulier ethno-masochisme présidentiel (…) finit par ressembler à une fêlure psychologique ».

Macron déraisonne, mais c’est le pays qui subit et paie les conséquences de ses divagations !

Vivement 2027 !

17:02 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Donald Trump version culturelle

TRUMP-MAKE-AMERICA-FIRST-e1587202154869.jpg

Le billet de Patrick Parment

Que l’on soit ou non d’accord avec Donald Trump, il n’en reste pas moins qu’il a une vraie vision historique et politique de l’Amérique. On aimerait que les pays européens fassent de même et glorifient leur histoire nationale débarrassée d’une vision « woke » - celle-là même ou le Blanc fait office de grand méchant loup -, qui cède à l’air du temps. Comme c’est le cas chez nous avec, un exemple parmi d’autres, ce nuisible Patrick Boucheron, propulsé par des instances irresponsables au Collège de France où il distille son venin en toute tranquillité.

S’il est vrai que la principale vue du monde de Trump est économique, comme l’a souligné fort justement Alain de Benoist, il entend aussi rectifier la vision d’une Amérique que la culture woke a réduite au rôle de grand méchant loup. A savoir une vision purement racialiste de l’histoire américaine qui veut que ce sont les minorités, et pas uniquement les Blancs, qui ont forgé l’identité de ce pays. Trump entend privilégier une vision nationaliste de l’Amérique plus proche de la réalité et surtout combattre cette frange – fange - démocrate de pseudo intellectuels démocrates des broussailles qui propagent une vision masochiste et que distille, entre autres, le cinéma de la côte ouest - la Californie pour ne pas la nommer -, qui, comme chez nous, colle du nègre et autres races indéterminées, à des postes de responsabilités peu conforme avec la réalité. Donald Trump a fort bien compris que le ciment d’une nation réside avant tout dans la fierté de son roman national. N’en va-t-il pas de même chez nous où une idéologie pseudo marxiste mal digérée, a abouti à la destruction pure et simple de notre Education nationale. Merci Mai 68.

Dans cette optique, Donald Trump a décidé de s’en prendre à deux institutions culturelles majeures de la capitale, Washington DC : la Smithsonian Institution et le Kennedy Center. « Il y a quelques mois, je suis devenu président du Kennedy Center et nous avons complètement inversé la situation, nous avons mis fin à la programmation politique “woke” et nous sommes en train de rétablir [cette institution] comme lieu privilégié des arts du spectacle », a déclaré Donald Trump lors d’une cérémonie de remise de prix.  Il s’en est pris également au Smithsonian, la plus grande institution culturelle du pays avec ses 21 musées et ses 14 centres de recherche. Dans un courrier adressé à cette institution, il annonce vouloir procéder à un examen des expositions, afin de « garantir l’alignement sur la directive du président visant à célébrer l’exception américaine, à supprimer les récits qui divisent ou sont partisans, et à rétablir la confiance dans nos institutions culturelles communes ». Les musées sont vivement invités à mettre de côté les présentations jugées négatives ou anti-patriotiques de l’histoire américaine, pour se concentrer sur les aspects positifs. Les opérations de contrôle devraient être finies début 2026 et les musées auront cent vingt jours pour corriger les contenus jugés problématiques.

Donal Trump ne les a pas prises par surprise car le 27 mars dernier, il avait signé un décret qui visait la Smithsonian qu’il accusait d’être « tombée sous l’influence d’une idéologie conflictuelle et centrée sur la race. Ce changement a favorisé des récits qui présentent les valeurs américaines et occidentales comme étant intrinsèquement nuisibles et oppressives ». Donald Trump fait du Gramsci sans le savoir. Il a compris qu’un pays qui se veut fort à l’extérieur est incompatible avec un peuple déchiré et ayant perdu toute fierté nationale. Une leçon que les Européens feraient bien de méditer.

17:02 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 31 août, à Orange : la rentrée politique de Eric Zemmour

photo_2025-05-13_17-28-57.jpg

Plus d'informations cliquez ici

GyLJFPtWMAAOlWa.jpeg

GyLJFOlWwAMsFZJ.jpg

16:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 22, samedi 23 et dimanche 24 août, en Anjou : Festival du Bien commun organisé par Académia christiana

530397836_1317442603117181_47410265406295861_n.jpg

Plus d'informations cliquez ici

16:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

15 août :

532932956_2130825174094174_8779642564695343376_n.jpg

Le 15 août est instituée fête nationale française par Louis XIII, en 1638, en remerciement à la Vierge Marie à laquelle il avait demandé de protéger la France et de bien vouloir lui accorder un héritier...

10:38 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les agresseurs "antifas" d'Erik Tegnér interpelés

IMG-20250808-WA0005 copie.jpg

Un communiqué de Erik Tegnér, directeur du média Frontières :
 
Victoire ! Deux des antifas qui m’ont agressé ont été mis en garde à vue lundi et mardi et seront jugés le 24 septembre pour violences et injures ! L’un a été mis sous contrôle judiciaire. Info confirmée par la presse locale et le parquet.
 
Une enquête pro-active et rapide qui démontre la prise au sérieux par la gendarmerie et le procureur que je remercie.
 
La Bretagne ne sera jamais d’extrême-gauche et antifa ! Merci à tous de votre précieux soutien ainsi qu’aux habitants de chez moi !  
 
Et honte aux députés LFI qui ont osé les défendre et les encourager alors qu’ils s’en étaient pris à ma fiancée !
 
PS : les agresseurs ne venaient pas de mon village comme le confirme également la presse locale.
 
Sur cette affaire lire les articles suivants : cliques ici, et cliquez là
 
 

10:34 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Folie ordinaire à Villeneuve-de-Marc

Isere-mairie-Villeneuve-de-Marc.jpg

La chronique de Philippe Randa

La période estivale n’est certes pas la plus facile pour les journalistes ; à moins d’une déclaration de guerre inattendue entre deux pays décidés à en découdre, l’actualité n’intéresse guère lecteurs, auditeurs ou télespectateurs partant ou revenant de leurs sacro-saintes vacances.

Aussi, les médias font ce qu’ils peuvent et n’hésitent pas, faute de mieux, à donner au moindre fait-divers, fut-il ou aurait-il pu être dramatique, une importance parfois quelque peu disproportionnée : ainsi de l’agression du maire de Villeneuve-de-Marc dans l’Isère.

Gilles Dussault a été « frappé au niveau du thorax et du bras (de) trois coups (dont) deux au thorax » par Malek A., anciennement algérien devenu une « chance pour la France » comme ce fait-divers ne le démontre pas.

Ce dernier était furieux d’une vieille histoire de bâtiment municipal dont une partie s’étant effondrée, avait endommagé… son abri de jardin ! Une discorde d’importance, comme on peut en juger, à côté de laquelle celles entre Russes et Ukrainiens ou entre Israéliens et Palestiniens pourraient paraître peut-être exagérées !

Le fils du Maire étant accouru pour porter secours à son père, l’agresseur est revenu, cette fois au volant de sa voiture, pour les écraser, heureusement sans succès, ce qui l’envoya dans le décor : un aussi mauvais assassin que conducteur !

Une histoire sans envergure, aussi minable que débile, qui se termine sans drame puisque le maire, dont le poumon a tout de même été perforé, est désormais hors de danger, tout comme son fils, malmené lui aussi par leur irascible voisin.

Certes, c’est bien en raison de sa fonction de Premier élu de la ville que Gilles Dussault a failli y passer et que son fils s’est retrouvé en danger collatéral, mais c’est surtout et principalement parce qu’ils ont eu l’un et l’autre la malchance d’avoir affaire à un agresseur quelque peu, comment dire… dérangé du carafon, non ?

D’abord pour le motif de sa colère, puis pour être reparti chez lui chercher une arme (un tournevis, semble-t-il) pour se venger… avant de revenir à nouveau voir le résultat de ses exploits, cette fois au volant de sa voiture et, constatant que père et fils bougeaient encore, tenter de finir le travail d’un maladroit coup d’accélérateur qui ne fut fatal qu’à sa carrosserie.

Arrêté peu de temps après par les gendarmes, ses explications furent à la hauteur de ses actes : concédant qu’il n’avait « aucune raison objective » de passer par là ce jour-là, c’est le « sourire sadique » que lui jeta le Maire qui lui aurait fait « péter un plomb », mais qu’on ne croit pas qu’il soit revenu pour écraser le père et le fils, non, car ce  sont ces derniers qui se sont «  jetés sous les roues de sa voiture, l’obligeant à donner un coup de volant » : à l’évidence, Malek A. pourrait faire sienne la citation de l’écrivain québécois Jean-Michel Wyl : « Je ne crois pas que les fous existent. Il y a seulement des incompris. »

La classe politique dans son ensemble a légitimement apporté son soutien à Gilles Dussault et à son fils, en a profité pour s’auto-consterner sur la condition des élus de la République et pour s’indigner que, même eux, soient confrontés à de tels dangers ! Comme on les comprend !

Apprécions donc, pour ce père et son fils, et au-delà de la fonction du premier, l’heureuse fin de leur mésaventure, mais rappelons que tous les citoyens de ce pays, des plus humbles aux plus favorisés, peuvent être potentiellement victimes de telles violences… et que de plus en plus de citoyens tout aussi honorables que les Dussault en sont désormais victimes : « Les services de police et de gendarmerie nationales ont enregistré 450.100 victimes de violences physiques en 2024 (hors homicides et tentatives d’homicides), soit une augmentation de 1% par rapport à 2023 », rappelle le www.vie-publique.fr qui précise : « Les victimes de violences enregistrées par les services de sécurité ne constituent qu’une minorité des personnes ayant subi ce type de faits. D’après l’enquête “Vécu et ressenti en matière de sécurité (VRS) 2023”, seules 22% des personnes majeures, victimes de violences physiques en 2022, ont porté plainte. »

Et ces centaines de milliers de victimes de violences physiques n’ont pas toutes la chance de survivre à leurs rencontres avec un foldingue… La réaction, tout autant que la compassion, de « la classe politique dans son ensemble » se fait alors parfois… attendre !

Lire EuroLibertés cliquez ici

00:19 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |