Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 25 août 2025

Samedi dernier en Anjou : Synthèse nationale était à l'Université d'été d'Academia christiana

IMG20250823112924.jpg

La semaine dernière se déroulait en Anjou la seconde Université d'été 2025 d'Academia christiana. La première s'étant tenue au mois de juillet en Provence. Ce fut une belle réussite car plus de 600 jeunes y participaient et samedi, lors de la journée portes-ouvertes, c'est près d'un millier de personnes qui étaient présentes. Ces UDT sont à la fois studieuses, créatives et festives...

Victor Aubert, le fondateur de ce mouvement qui se définit comme étant catholique et enraciné, peut être satisfait de la belle réussite de ces deux réunions estivales qui démontre, douze ans après la création d'Academia Christiana, une vitalité remarquable. L'enthousiasme manifeste des jeunes gens présents suffit pour le prouver. Comme quoi, la clarté idéologique et la persévérance militante finissent toujours par payer.

Parmi les nombreux stands associatifs présents samedi, Synthèse nationale, comme chaque année, était au rendez-vous. Ce fut l'occasion de retrouver de nombreux amis et de diffuser la revue et les livres que nous éditons cliquez là. Cette journée, intitulée "Festival du Bien commun" à la particularité de regrouper des associations, des mouvements et des maisons d'édition diverses, toutes attachées à la défense de notre patrie et de notre civilisation.

Nous remercions Arno Danjou et l'équipe qui encadraient cette belle journée pour l'accueil chaleureux qu'ils nous ont réservé. 

S N

IMG20250823161735.jpg

IMG20250823173300.jpg

Consultez le site d'Academia christiana cliquez ici

01:48 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bourges : la gauche veut interdire « Le Canon Français »

LeCanonFrancaisBourges.jpg

Pierre Cassen, Riposte laïque

L’an passé, la fête du Canon Français, à la halle aux Blés de Bourges, s’était merveilleusement passé. Une assistance enthousiaste et joyeuse, pour se retrouver, chanter, danser, ripailler, boire, dans l’esprit des fêtes populaires de nos campagnes. Il y avait eu 1.500 personnes.

Et cette année, on en attend 1.800 ! Sauf que la gauche demande ni plus ni moins l’interdiction de cette fête. Les raisons sont multiples : plus d’hommes que de femmes, pas ouvert à la diversité, on mange du cochon, des chansons trop françaises, mais surtout, ils ont découvert que derrière cette fête se cache la nouvelle Bête Immonde, encore plus dangereux que Jean-Marie Le Pen, l’infâme Pierre-Édouard Stérin, catholique, libertarien, conservateur, et surtout milliardaire, qui ose utiliser son argent pour aider tout ce qui permet de faire revivre la France.

Et donc la gauche traque le Stérin partout en France, et entend interdire tout spectacle qu’il ose financer.

Et tant pis pour les Français, qui n’auront pas le droit d’être heureux…

Riposte laïque cliquez ici

01:45 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La traite négrière : une vérité dérangeante

image_0931529_20250823_ob_f22ed9_screenshot-2025-08-23-at-11-43-57-900x.png

Thomas Joly - Président du Parti de la France

Chaque année, la Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition donne lieu au même rituel : contrition occidentale, culpabilité blanche, accusation sans nuance. Comme si l’Histoire de l’esclavage se résumait à une entreprise criminelle exclusivement européenne. Cette vision manichéenne n’est qu’un mythe politique contemporain.

Car la vérité historique est plus complexe, plus dérangeante. Les royaumes africains ont joué un rôle décisif dans la traite. Le Dahomey, sur les côtes de l’actuel Bénin, avait bâti sa puissance sur la capture et la vente d’esclaves. Les Ashanti, au Ghana, livraient régulièrement des prisonniers de guerre aux négriers. Sans ces fournisseurs locaux, pas de cargaisons humaines, pas de navires chargés vers les Amériques. C’est une réalité incontournable que l’on préfère taire pour préserver le confort idéologique du « Blanc coupable ».

De plus, contrairement à l’image d’un Occident tout entier prospérant sur la traite, les profits furent concentrés dans une minorité de ports, d’armateurs et de négociants. La masse des paysans et ouvriers européens n’en tira aucun avantage. Ce commerce fut l’affaire de quelques élites économiques, pas des nations dans leur ensemble.

Et rappelons que la traite n’a pas été l’apanage des Européens. Bien avant et bien après eux, les réseaux arabo-musulmans organisèrent une traite transsaharienne et orientale de grande ampleur, réduisant en esclavage des millions d’Africains. Étrangement, cette dimension reste dans l’angle mort des commémorations officielles.

Aujourd’hui, on veut faire croire aux Français qu’ils doivent réparation à des descendants d’esclaves qui n’ont jamais connu l’esclavage. Mais la France, elle, a fini par abolir cette pratique en 1848, et ce fut un événement majeur dans l’Histoire mondiale. C’est une réalité qu’on devrait célébrer au lieu de ressasser une culpabilité perpétuelle.

La mémoire ne doit pas être instrumentalisée comme un procès permanent contre l’Occident, mais comprise dans toute sa complexité. Si héritage il y a, c’est celui d’une Nation qui a su rompre avec une institution séculaire et proclamer la liberté comme principe universel. Les descendants d’esclaves devraient s’en souvenir : ils sont avant tout redevables d’une France qui a aboli l’esclavage.

01:38 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 21 septembre : Pierre-Nicolas Nups sera à "La fête du cochon" de la fédération bretonne du Parti de la France

536278123_1418468589436499_8217539164062442501_n.jpg

Diapositive1 copie 30.jpg

C'est dimanche 21 septembre que se déroulera la traditionnelle fête du cochon organisée par le PdF Bretagne à Treffendel (35).

Cette année, l'invité d'honneur est le Secrétaire général du Parti de la France, Pierre-Nicolas Nups. Pierre Cassen (Riposte Laïque) et Hervé Cozic (Place d'Armes) prendront également la parole.

Stand, entre autres, de Synthèse nationale.

La participation est de 35 €.

Réservation obligatoire : 

pdfbretagne@orange.fr ou 06.09.53.93.84