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vendredi, 13 juin 2025

L’"antifascisme", voilà l’ennemi !

Dissolution d'associations, comment le gouvernement repart à l'offensive

Synthèse nationale

Le conseil des ministres, sur proposition du ministre de l’Intérieur Bruneau Retailleau, vient, enfin, de dissoudre la Jeune Garde "antifasciste", le groupuscule activiste dont est issu le "mutin de Panurge" et député LFI Raphaël Arnault. Ce n’est pas trop tôt !

Cependant, les mêmes, pour faire ce qu’ils estiment être sans doute une "bonne mesure", ont dissout dans la foulée l’association de jeunes patriotes Lyon populaire. Un coup (rare) à l’extrême gauche et, aussitôt, un autre à droite de la droite… Depuis Marcellin, en 1973, et la dissolution à la fois de l’agresseur, la Ligue communiste d’Alain Krivine, et de l’agressé, Ordre nouveau, on connaît la recette…

Rappelons à ce sujet que le compte est loin d’y être. Depuis 2017, dans un contexte de montée du séparatisme, d’attentats islamistes, d’émeutes urbaines, de violences d’extrême gauche, les associations de la droite nationale et identitaire ont été frappées presque autant que celles de l’islam radical : 15 dissolutions pour les premières contre 14 pour les secondes, alors qu’on ne compte que 3 dissolutions d’associations d’extrême gauche (avec la Jeune Garde) et 3 d’associations diverses !

De toute façon, la dissolution de la Jeune Garde ne saurait suffire. C’est son idéologie "antifasciste", qui imprègne toute la gauche française, qu’il faut "dissoudre" en la combattant pied à pied et sans faiblir. La gauche, en effet, biberonnée au marxisme-léninisme, utilise l’épouvantail "fasciste" pour surmonter ses divisions, fédérer les siens, tétaniser, diviser et neutraliser la "droite courbe", créer les conditions de la formation d’un "front républicain" et marquer du sceau de l’infamie tous les patriotes, nationaux, nationalistes, identitaires qu’elle veut discréditer, disqualifier, vouer à la mort politique, professionnelle, sociale… Ce petit manège d’essence stalinienne, qui dure depuis les années 1930, est l’un des principaux responsable de la décrépitude de notre nation. Le mettre en évidence, le dénoncer et le combattre est une nécessité vitale, et donc un devoir pour tous ceux qui entendent arrêter la chute du pays et travailler à son redressement, à l’image de l’Italie "postfasciste" de Giorgia Meloni !

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