jeudi, 03 juillet 2025
FRANCE 2, ou l’anti-France à la manœuvre, en douce….
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Une fois n’est pas coutume, le mercredi deux courant, j’ai décidé, comme ça, par curiosité, et surtout attiré par deux noms prestigieux de la scène et de l’écran –, Claire Keim et Pierre Arditi - ce dernier étant autant à gôôôche qu’il est talentueux -, de regarder à 21 h un téléfilm sur la chaine publique « France 2 », anonymement intitulé « Le premier venu ».
Je n’ai pas été déçu du voyage. Par-delà une comédie un peu simpliste mais bon enfant, les poncifs de l’actuelle société « progressiste » - plutôt décadente ! -, étaient presque tous réunis. La trame était la suivante. Une présentatrice de télévision, riche héritière, spécialisée dans les courses hippiques, devait se marier à un simple professeur de mathématiques dont elle était, au début, follement amoureuse. Mais, on sait que Cupidon aime à jouer, parfois, les troublions. De fil en aiguille notre speakerine tombe amoureuse cette fois-ci, de son garagiste, un Martiniquais passionné de chevaux de course – comme par hasard -, dont les parents aiment à dire que, « pourquoi ne pas être racistes comme tous les Français » ?
Cet amour qui semble impossible, va probablement se terminer par un mariage mixte. Et cette union est encouragée et sanctifié par le père – très volage -, de la jeune femme, et par sa mère, un transgenre divorcé du premier en raison, justement, de son changement de « genre » ! Vous suivez ? Mais, cerise sur le gâteau si je puis dire, au cours du téléfilm, nous avons droit par deux fois à une scène de contrôle policier à l’encontre du héros, type « contrôle au faciès », effectué par deux « méchants « policiers. Ça ne vous rappelle rien ? Et après cette heure et demi de télé, circulez, il n’y a plus rien à voir !
Plus rien à voir, vraiment ? Sinon que notre argent a servi à financer une œuvre du service public – la télé officielle de la « belle République française » -, qui, doucement et mine de rien, gentiment, instille dans les esprits que le mariage mixte serait devenu la norme, comme, sans doute, la transsexualité, sans parler de la banalisation du divorce. Mais là, pour le coup, il s’agit d’un véritable fait de société, quasiment irréversible.
Cette fiction met en avant un supposé racisme primaire et caricatural, qui ne serait l’exclusivité que des seuls autochtones, à commencer par ses policiers.
Bref, sous un titre insignifiant, ce film qui aurait pu être une simple comédie de mœurs comme Labiche ou Feydeau savaient en faire – les portes claquaient et les amants se cachaient dans les armoires pour la plus grande joie des spectateurs -, nous avons assisté à une belle œuvre de sape des valeurs traditionnelles, et à une sournoise accusation de racisme « blanc ».
18:56 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Comment Synthèse nationale a été à l'avant-garde du combat anti éoliennes...
Depuis la fin des années 1990, un peu partout en France (et ailleurs) surgissaient ces machines un peu curieuses et franchement laides que sont les éoliennes. Dans un premier temps, beaucoup pensèrent qu'il s'agissait d'une nouvelle lubie écologiste et que tout cela n'était pas destiné à proliférer... Hélas, la réalité fut tout autre et, plus le temps passait, plus la France se retrouvait recouverte par ces engins monstrueux et inutiles qui saccagent les paysages jadis magnifiques de notre cher pays.
Alors, pour se consoler, les Français se dirent que c'était peut-être le prix à payer pour avoir l'électricité chez eux. Faire marcher son ordi ou son four à micro-ondes, sans oublier son chauffage d'appoint, passerait donc, si l'on en croit la propagande gouvernementale (de tous bords), par un tel sacrifice.
Mais, très vite, certains commencèrent à se poser des questions sur l'utilité de ces machines infernales. Non seulement les éoliennes sont onéreuses et dangereuses, elles sont surtout, compte tenu de leurs capacités infimes de production d'énergies, totalement inutiles. Au début, ce fut le cas de la Fédération environnement durable (FED), une association créée en 2007 qui tenta, sans doute trop poliment, d'attirer l'attention des pouvoirs publics sur les côté néfastes de leur implantation massive. Mais elle ne fut guère entendue...
Un soir, en 2015, alors que nous dînions ensemble à Paris, mon ami Alban d'Arguin, qui venait de s'installer dans l'ouest de la France, me raconta comment, avec quelques voisins, il s'était engagé contre l'implantation d'un champ d'éoliennes à proximité de son village. Et comme Alban est avant tout un homme d'idées et de combat, doté de surcroit d'une solide formation juridique, il réussit, avec ses amis, à mettre à bas ce projet. À cette occasion, il découvrit toutes les arrière-pensées et les sources de profits gigantesques qui se dissimulaient derrière ces "bonnes intentions énergétiques". De là naquit l'idée d'éditer le livre "Éoliennes, un scandale d'État" qui sortit en janvier 2017.
Ce livre, qui remporta un vrai succès (près de 5.000 exemplaires vendus), remet les pendules à l'heure sur les prétentions écologistes et place le combat anti-éolien dans un contexte de lutte contre l'uniformisation planétaire voulue par les mondialistes.
"Éoliennes, un scandale d'État" inspira aussi, dans de nombreuses communes françaises, des foyers de résistance qui, bien souvent, eurent gain de cause. Les graines de la révolte étaient ainsi semées et les consortiums étrangers qui installent les éoliennes commençaient à faire grise mine.
Quelque temps plus tard, l'excellent Fabien Bouglé publia à son tour un livre (Éoliennes, la face noire de la transition écologique, aux Editions du Rocher) qui enfonçait le clou planté par Alban d'Arguin. Aujourd'hui, la France entière prend conscience de la supercherie, partout la résistance s'organise et la suite à donner au programme éolien est au centre de bien des débats parlementaires mettant ainsi l'ensemble des partis du Système (de LFI aux Républicains en passant par les macroniens) devant leurs responsabilités...
Je dois dire que, à Synthèse nationale, nous sommes assez fiers d'avoir été les premiers à donner une dimension politique à la contestation anti-éoliennes et que nous n'allons pas nous gêner, à chaque fois que nous en aurons l'occasion, pour le rappeler...
Roland Hélie
Le livre d'Alban d'Arguin, "Éoliennes, un scandale d'État", est toujours disponible, vous pouvez le commander en cliquant ici
11:03 Publié dans Combat anti-éoliennes, Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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