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vendredi, 18 juillet 2025

Au moment où l'Espagne se réveille pour sauver son identité, en ce 18 juillet, ayons une pensée pour le soulèvement national et la grande croisade de libération de 1936

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13:05 Publié dans En Europe et ailleurs..., Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nice : grâce à la mobilisation des forces nationales, la statue de Jeanne d'Arc ne sera pas déboulonnée

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12:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Éric Woerth : dénigrer les victimes de l’immigration et nier le réel

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Michel Festivi 

Lors de sa dernière allocution sur la dette et les nouveaux impôts qui nous sont promis, le faisant fonction de Premier ministre n’a pas eu un mot un seul sur le coût de l’immigration. Comme le proclamait Jean-Jacques Rousseau dans son discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes « écartons les faits, car ils ne touchent point à la question », nos politiciens d’aujourd’hui, préfèrent aussi écarter les faits pour ne pas se confronter au réel. Effectivement, dans leurs palais républicains, payés grassement par nos impôts, avec leurs chauffeurs et gardes du corps, leurs véhicules blindés rapides, leurs prébendes, ils peuvent se le permettre eux, de nier le réel, pas les Français.

Dénier toujours et encore la vérité abrupte, permet toutes les perfidies politiques et intellectuelles et les tromperies les plus monumentales. C’est le cas notamment d’Éric Woerth, député macroniste de l’Oise, ancien, président de la commission des finances et ancien ministre du budget sarkoziste qui est passé du RPR à LR à Ensemble. Invité d’Europe 1, il y a quelques jours, il a démagogiquement affirmé péremptoirement : « l’immigration a un coût zéro », rajoutant lâchement : « il n’y a pas de majorité pour voter quoique ce soit sur l’immigration », effectivement, ne rien faire, ne rien tenter de faire, permet toutes les abdications munichoises. Car des propositions de lois qui auraient pu être salvatrices, ont été proposées, refusées par les LR canal historique et les macroniens.

En cela, Éric Woerth rejoint les démonstrations fumeuses de Terra Nova, site gauchiste à souhait. Pourtant, l’observatoire français de l’immigration et de la démographie, balayait les arguments woertistes en retenant que le coût de l’immigration représentait 3,4% du PIB, soit 100 milliards d’euros par an, ce qui est considérable. En cause notamment, le faible taux d’emploi des immigrés en âge de travailler : 62,4% contre 69,5% des natifs, selon des chiffres de 2023. Le pire taux des pays de l’OCDE.

Éric Woerth, ancien secrétaire général de LR, désormais macroniste à fond, a bien sûr totalement oublié qu’il voulut un temps, supprimer le regroupement familial, mesure préconisée par Sarkozy en 2016, alors candidat aux primaires de la droite. Car l’immigration en France a une structure largement familiale, comme l’indique Nicolas Pouvreau-Monti, directeur de l’Observatoire sus visé.

L’Association Contribuables associés dans un document de 2023, constatait que l’immigration engendrait un déficit de 53,9 milliards d’euros par an au minimum, sans compter appréciait-elle « une pénombre de l’immigration », liée à l’immigration illégale et incontrôlée de plus en plus massive. Car les chiffres de l’OCDE, repris par Éric Woerth, sont à analyser avec précision, ce que ne fait par l’ancien expert-comptable et financier de LR. Si l’on englobe, comme le fait l’OCDE dans une analyse en trois étapes (Woerth ne retient que la première), en incluant « l’ensemble des biens et services dont bénéficie la population immigrée, puis l’ensemble des descendants de la première génération, la contribution nette des immigrés devient alors négative pour 33 milliards d’euros en 2018 », selon Jean-Paul Gourévitch qui l’indiquait en 2024, sur le site Atlantico. 

Et Bruno Retailleau, qu’a-t-il dit suite à cette eau de rose répandue par François Bayrou ? Très peu de choses en réalité, car il est pieds et poings liés par la solidarité gouvernementale. Il s’est contenté de souhaiter une réforme de l’AME, vœu plus que pieu on en conviendra. Marine le Pen a demandé à François Bayrou de revoir sa copie « car il n’y a aucune économie sur le coût de l’immigration ». Effectivement les impôts vont continuer à s’abattre sur ceux qui travaillent ou qui ont travaillé durement pendant des décennies, pour s’assurer une bien maigre retraite le plus souvent.

Les Français les plus modestes ne seront pas dupes espérons-le. Car ils voient eux leurs hôpitaux plus que saturés, leur système scolaire inefficace, les violences qui décuplent, les services publics qui s’écroulent. Comme le souligne La lettre patriote : « Au fond, Éric Woerth ne défend pas un chiffre, il défend un système. Celui d’un pays tenu par des élites hors sol, prêtes à sacrifier le peuple, sur l’autel de leur idéologie. Et tant pis si les caisses sont vides...le réel attendra ». 

12:07 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Après les non-annonces du Premier ministre - François Bayrou a dévoilé son plan d’ "économies"… mais sans avoir, à aucun moment, évoqué le coût de l’immigration....

Budget 2026 : François Bayrou se donne du temps pour négocier la cure

Synthèse nationale

François Bayrou aurait été bien inspiré de lire la note que l’Observatoire de l’immigration et de la démographie a consacré à ce sujet. Note après note, l’OID s’impose en effet comme une précieuse source d’informations. Ce fait a trouvé une nouvelle illustration avec la dernière publication de l’Observatoire, L’impact de l’immigration sur l’économie française, réalisée à partir de données de l’OCDE et de l’Insee.

Les constats qu’on y trouve méritent qu’on s’y arrête. Ils sont sans appel.

Premier constat : « l’immigration n’améliore pas le taux d’emploi défaillant de la France mais, au contraire, le dégrade fortement ». En effet, dans un pays où le taux d’emploi des 15-64 ans est déjà faible comparé à celui des grands pays voisins (69,5% contre 74,5% au Royaume-Uni, 77,4% en Allemagne, 80,4% en Suisse et 82,5% aux Pays-Bas – au 2e trimestre de 2024), celui des immigrés est 7,1 points en-dessous : 62,4% (alors que le taux d’emploi des immigrés est de 67% dans les 27 pays de l’Union européenne et de 71,8% dans ceux de l’OCDE). Ainsi, en 2021, 30,5% des étrangers de 15 à 64 ans se trouvant sur le territoire national n’étaient ni en emploi, ni en études, ni en retraite, contre 13% des Français (soit 2,3 fois plus) ; et le taux d’emploi des descendants d’immigrés (2e génération) était de 59,7%, contre 70,7% pour les personnes sans ascendance migratoire…

Deuxième constat : en France, « l’immigration tend à réduire la productivité du travail ». Son impact négatif vient d’abord du niveau de qualification des immigrés, très inférieur à celui des personnes sans ascendance migratoire. Ainsi, en 2021, 37% des immigrés de 30 à 64 ans n’avaient aucun diplôme, contre 14% des personnes sans ascendance migratoire. Il tient aussi à la moindre présence des immigrés « dans des parcours propices à l’innovation » ou encore dans l’entrepreneuriat…

Troisième constat : « en France, l’immigration dégrade les comptes publics et réduit le pouvoir d’achat des natifs ». Selon la note de l’OID,  « le moindre taux d’emploi des immigrés et descendants d’immigrés représente une perte de PIB de 3,4 % et une perte de recettes fiscales et sociales de 1,5 point de PIB ». Ainsi, dans notre pays, les recettes budgétaires apportées par les immigrés ne représentent que 86% des dépenses publiques qui leur sont affectées, contre 140% au Portugal, 127% au Royaume-Uni ou 124% en Italie. En outre, en 2019, les immigrés ont perçu en moyenne 2.380 euros de prestations sociales - et ceux originaires d’Afrique 3.130 euros -, soit 2 fois plus que les personnes sans ascendance migratoire (1.200 euros)…

Quatrième et dernier constat : en France, « l’immigration bénéficie aux secteurs abrités de la concurrence internationale (en particulier la construction et la sécurité) et pénalise indirectement les secteurs exposés comme l’industrie par leur surimposition (induite par le plus faible taux d’emploi des immigrés), alors que nous avons un besoin absolu de les relancer pour redresser nos finances ».

Face à cet aggravation des maux qui affectent notre économie, la note de l’OID préconise la réforme conjointe de notre système de formation, de notre modèle social et de notre politique d’immigration ; toutes choses réclamées depuis quatre décennies par la droite nationale ! Malheureusement, compte tenu de la situation politique actuelle et de la pusillanimité de nos "dirigeants", il va nous falloir attendre encore pendant au moins deux ans. Si l'on en croit Vauvenargues, « la patience »  est « l’art d’espérer » ; alors, espérons !

Article déjà mis en ligne le 30 juin dernier. Pour accéder à la note de l'OID, cliquez ici.

12:04 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nous sommes dans le déni de la défaite de l’Ukraine

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L’historien de la Première Guerre mondiale,  Stéphane Audoin-Rouzeau, directeur d’études à l’EHESS,  observe l’évolution de la guerre en Ukraine à la lumière de la guerre de 1914-1918. Il se désole des leçons oubliées de ce conflit, une guerre de positions comme aujourd’hui, où défaite et victoire demeurent longtemps invisibles, et redoute un prochain déni dans l’après-guerre.

Lire la suite ICI

Source ;: Le Figaro 18/7/2025

10:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Décès du chef nationaliste allemand Udo Voigt

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Dans les années 1990, 2000 et 2010, Udo Voigt, ingénieur bavarois, était le chef du parti national démocrate allemand (NPD). Un temps, de 2014 à 2019, il fut aussi député européen de ce parti. Il est décédé ce jeudi à l'âge de 73 ans.

Le NPD, appelé aujourd'hui Heimat, a défrayé la chronique durant des décennies compte tenu de son engagement nationaliste qui, en Allemagne plus qu'ailleurs, n'était pas du goût des tenants du pouvoir. Ce qui ne l'empêchait pas, de manière récurrente, de faire des scores électoraux honorables. 

Ce parti, parfois qualifié de "néo nazi", n'avait pas, non plus, bonne presse en France... C'est le moins que l'on puisse dire. Il est vrai que, historiquement, les intérêts des nationalistes allemands ne sont pas les mêmes que les nôtres. Quoi qu'il en soit, nous n'allons pas ici leur reprocher de défendre l'identité, la prospérité et la liberté de leur peuple.

Cependant, depuis quelques années, le NPD semble être largement dépassé par la dynamique de l'AfD...

S N

01:43 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pour faire des économies : quelques conseils de Sarah Knafo à François Bayrou

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François Bayrou cherche désespérément comment économiser 40 milliards pour l'année qui vient.

Je lui trouve 63 milliards à économiser tout de suite.

C'est que François Bayrou cherche toujours dans les mauvaises poches : les vôtres.

Sarah Knafo

01:05 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |