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mercredi, 27 août 2025

Décès de Jean-Paul Félix : un hommage rendu par Joëlle Bergeron, ancienne députée européenne

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Nous avons reçu de la part de notre amie Joëlle Bergeron, ancienne députée européenne, ce très bel hommage qu'elle rend à Jean-Paul Félix, fidèle militant de la cause nationale et ancien responsable du FN, puis du PdF, dans le Morbihan, décédé il y a quelques jours. C'est bien volontiers que nous le publions.

S N

Mes amis, mes frères nationalistes,

L’un de nous nous a quitté discrètement, presque secrètement…

Rien dans la presse pour annoncer le décès de Jean-Paul Félix, notre ami, notre frère de combat.

Il a représenté le Front national, puis ensuite le Rassemblement national dans le Morbihan, terre socialiste et de gauche ou le combat était malheureusement perdu d’avance.

Jean Paul, a été le secrétaire départemental du Morbihan durant 15 ans (2000-2015) fidèlement et fidèle au Président fondateur Jean Marie Le Pen dit le Menhir quand celui-ci a été mis au ban de son propre parti par sa propre fille.

Il abandonnait ainsi par fidélité toute ambition personnelle alors qu’il avait été candidat à toutes les élections à une époque où nous savions tous que la seule récolte envisageable était la mise à l’écart de la société pseudo bien-pensante.

Il a ensuite rejoint le Parti de la France (Le PdF) crée par Carl Lang afin de continuer le combat pour la France, notre combat pour les valeurs qui sont les nôtres (la défense de la patrie, de notre culture de notre identité et de nos familles).

Je vous demande à tous lorsque vous lirez ces quelques lignes de consacrer une minute à sa mémoire pour le militant exemplaire que Jean Paul était, un homme qui n’a jamais failli dans son parcours politique.

Jean Paul de là-haut, veille sur nous et sur notre nation.

Le communiqué publié par le PdF lundi dernier cliquez là

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Dimanche 12 octobre, à Aix-en-Provence : un concert de Jean-Pax Méfret

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14:56 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie prochaine du nouveau numéro de Réfléchir & Agir

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N°87, automne 2025, 8,50 €.

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Irresponsabilité collective

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Gaëtan de Capèle

Mettons de côté l’invraisemblable coup de poker de François Bayrou qui plonge la France dans l’inconnu. Un jour, les exégètes du bayrouisme parviendront peut-être à expliquer comment l’homme politique le plus madré de France, privé de majorité et sans prendre aucune précaution, a pu imaginer sauver sa tête en la mettant sur le billot. Examinons plutôt le fond des choses : le premier ministre a-t-il raison de tirer le signal d’alarme sur la marée de la dette qui menace de nous submerger ? Contrairement à ce que prétendent avec légèreté ses adversaires, il ne dramatise aucunement la situation, mais décrit la stricte réalité. Lorsque l’on se saigne pour régler les seuls intérêts - 75 milliards en 2026, plus de 100 milliards en 2029 - avant même d’avoir investi un euro dans la sécurité, l’enseignement ou la santé, et lorsque, n’ayant plus un sou en caisse, on doit emprunter à nouveau dès le mois d’octobre pour payer les dépenses courantes de l’État, il n’est pas exagéré de s’inquiéter... Le drame veut que cinquante ans de laxisme budgétaire ont créé chez les Français une accoutumance à l’argent public, dont ils ne peuvent imaginer se passer. Prétendre convertir à la rigueur un pays vivant dans l’illusion du tout-gratuit est un pari osé. D’autant plus osé que la classe politique, dans son immense majorité, fait preuve sur ce sujet d’une irresponsabilité et d’une démagogie à toute épreuve. La bataille des retraites et les discussions de marchands de tapis lors du dernier budget ont démontré combien les préoccupations de boutiquiers passaient avant l’intérêt collectif. Dénoncées chez nous comme un «musée des horreurs », les dernières propositions budgétaires du gouvernement (trouver 40 milliards dans l’océan des 1600 milliards de dépenses publiques) ne représentent pas le dixième de ce qui s’est fait chez nos voisins pour redresser les comptes publics.

Cette insouciance généralisée nous vaut aujourd’hui de payer nos emprunts plus cher qu’ailleurs. Le FMI n’est peut-être pas à nos portes, mais, dans l’incertitude politique et dans l’impasse financière où elle se trouve, la France s’expose dangereusement à la défiance des marchés.

Source : Le Figaro 27/8/2025

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