vendredi, 11 juillet 2025
Ce vendredi soir, les climato-fous vont en prendre pour leur grade !
20:19 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Perquisitions au RN : on ne transige pas avec les libertés politiques !
Jean-Yves Le Gallou
Le siège du Rassemblement national a subi ce mercredi 9 juillet une perquisition de grande ampleur. Jean-Yves Le Gallou a réagi en apportant son soutien au premier parti de France.
Polémia
« Les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage. Ils se forment et exercent leur activité librement. » Manifestement, les juges et le Parquet national financier, instrument d’une justice politique, ignorent l’article 3 de la Constitution.
L’étau est clair : les banques refusent de prêter au Rassemblement National, tandis que de nombreux prestataires refusent de traiter avec lui. Dans ces conditions, le parti s’organise comme il peut, en empruntant auprès de particuliers et en s’adressant à des fournisseurs bienveillants. Les autres refusent simplement de coopérer. Ensuite, les juges condamnent par avance ces pratiques et organisent des perquisitions massives, espérant découvrir des irrégularités dans des dizaines de milliers de documents et courriels saisis. Procédé facile, mais profondément attentatoire aux libertés et immunités parlementaires garanties par l’article 26 de la Constitution.
La démocratie représentative suppose la liberté d’action des élus. Le procès de Marine Le Pen, la mise en cause pour des détails des dépenses parlementaires du groupe Identité et Démocratie (mandat Bardella 2019–2024), et désormais cette perquisition, indiquent que le régime d’Emmanuel Macron change de nature.
Le Rassemblement national, pris à son propre piège ?
Dès 2019, certains avaient déjà attiré l’attention sur les dérives autoritaires du pouvoir. Il est regrettable que le Rassemblement National n’en ait pas tiré les leçons à temps, préférant rester en retrait. Cette attitude de prudence face à la répression violente des Gilets jaunes, à la dissolution d’associations comme les Identitaires, à la fermeture arbitraire de comptes bancaires ou aux poursuites pour délit d’opinion, a été une erreur stratégique. En se taisant, le RN a cru se protéger, mais n’a fait que montrer sa peur, oubliant que la diabolisation vient du diaboliseur, non du diabolisé.
Aujourd’hui, le RN est de nouveau en ligne de mire, comme en témoigne le sort réservé à certains de ses élus. Cette perquisition liberticide en est une preuve éclatante. La liberté ne se morcelle pas : elle se défend entièrement, et sans relâche. Tous les persécutés méritent d’être soutenus.
Source Polémia cliquez ici
12:16 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Un nouveau livre de Michel Festivi : Les griffes de Staline sur l’Espagne républicaine (1936/1939)
Par quels procédés les hommes de Staline ont-ils réussi à enserrer dans leurs griffes la zone espagnole révolutionnaire ? L’auteur décrit l’arrivée des envoyés du Komintern, la rafle de l’or de la Banque d’Espagne, la nature et le rôle des Brigades internationales, les crimes de masse, des tchékas partout, la terreur rouge, les génocides contre les opposants, le clergé, les catholiques, l’élimination ou l’éviction de ceux qui ne suivaient pas la ligne stalinienne, les procès de Barcelone, à l’égal de ceux de Moscou, et leurs conséquences nationales et internationales.
Voici la préface de l'historien espagnol Pio Moa :
À partir du mois de septembre 1936, les hommes de Staline et de la IIIe internationale vont investir la zone révolutionnaire espagnole, avec le soutien des socialistes et communistes locaux. Ils vont s’y répandre et combattre férocement tous ceux qui s’opposeront à eux : les anarchistes, les poumistes et autres antistaliniens, qui seront anéantis, grâce aux appuis des structures du NKVD et du Kominterm, présentes dans toutes les strates de l’Espagne Front-populiste. Certains chefs socialistes espagnols qui finalement tenteront de leur faire barrage, seront aussi écartés et vaincus politiquement.
Par quels procédés les hommes de Staline ont-ils réussi à enserrer dans leurs griffes la zone espagnole révolutionnaire ? L’auteur décrit l’arrivée des envoyés du Komintern, la rafle de l’or de la Banque d’Espagne, la nature et le rôle des Brigades internationales, les crimes de masse, des tchékas partout, la terreur rouge, les génocides contre les opposants, le clergé, les catholiques, l’élimination ou l’éviction de ceux qui ne suivaient pas la ligne stalinienne, les procès de Barcelone, à l’égal de ceux de Moscou, et leurs conséquences nationales et internationales.
Mais quels étaient les buts géopolitiques de Staline en Espagne, et sa stratégie ? Quelle fut la nature de cette guerre civile ? Peut-on parler de la première bataille de la IIe Guerre mondiale ? Comment se comporta a contrario Franco vis-à-vis d’Hitler et de Mussolini ? Quelles ont été les actions de la France du front populaire au soutien des révolutionnaires espagnols ? En cas de victoire des front-populistes sur les nationaux, aurait-on assisté en Espagne, à un premier essai de démocratie populaire ? C’est à toutes ces questions et à bien d’autres encore, que l’auteur apporte des réponses en s’appuyant sur une bibliographie abondante et souvent inconnue en France, qui remet totalement en cause la vision dorée d’une « république » auréolée, qui se serait faite attaquer et anéantir par des « fascistes ».
Enfin, Michel Festivi revient sur le rôle des intellectuels, des écrivains, dans cette guerre si particulière, intellectuels qui jouèrent une partition si spécifique, et l’impact des lois mémorielles actuelles espagnoles sur la liberté d’écrire l’histoire de cette période si dense politiquement mais si tragique. Mais au-delà de l’Histoire, le lecteur revisite les comportements et les méthodes révolutionnaires, qui ont toujours cours de nos jours, en France, en Espagne, en Europe.
L'auteur :
Michel Festivi est avocat honoraire, il a été bâtonnier de son Ordre. C’est son 5e ouvrage, dont le 4e sur l’histoire contemporaine de l’Espagne, pays qu’il connait très bien. Il a réalisé trois entretiens avec l’Historien espagnol Pio Moa, un avec Miguel Platón et a aussi interviewé Marcelo Gullo Omodeo sur la « légende noire » espagnole. Il écrit par ailleurs sur plusieurs sites de réinformation (Eurolibertés, Nouveau Présent, Riposte Laïque, Synthèse nationale), et dans des revues (Synthèse nationale, Reconquête, Lectures Françaises). Il présente régulièrement ses livres sur TVLibertés ou Radio Courtoisie.
Les griffes de Staline sur l’Espagne républicaine (1936/1939), Michel Festivi, préface de Pio Moa, Dualpha, collection : Vérités pour l'Histoire, 272 pages, parution : 10 juillet 2025, 33,00€
Pour le commander cliquez ici
03:06 Publié dans Livres, Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
On peut se poser la question...
02:52 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Votre maison est-elle trop grande ?
Thomas Joly - Président du Parti de la France
L'INSEE vient de publier une étude recensant les logements « sous-occupés » en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères.
C'est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique : fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l'ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons « trop confortablement ».
On nous dit que c’est pour « optimiser l’usage du parc immobilier ». En novlangue, cela signifie : rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la « sous-occupation » pour mieux financer leur grande lubie : l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs : derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le grand remplacement foncier.
Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami ? Quelle indécence ! Une pièce vide ? Une trahison républicaine !
Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure : leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.
02:50 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
MAGA contre lui-même
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Animateur-vedette d’une émission de télé-réalité de 2004 à 2015, The Apprentice, Donald Trump aurait été observé avec attention et curiosité par Guy Debord. Sa maîtrise des codes médiatiques qu’il détourne et dévoie volontiers suscite un intérêt constant sur sa personne. Cet attrait médiatique toujours renouvelé lui est plus que jamais nécessaire alors que les premières fissures apparaissent dans le mouvement MAGA.
Hostile par essence au Système, le trumpisme catalyse un ensemble hétéroclite de revendications souvent disparates. Sa désignation de l’ennemi principal collectif, à savoir l’« État profond », les démocrates corrompus et le wokisme, ne suffit plus à masquer de profondes et graves divisions latentes en son sein. Les sept premiers mois du second mandat de Donald Trump ont déjà connu trois fortes secousses qui fragilisent une coalition pas si unanime que l’on croit.
La première s’ouvre très tôt, avant même l’investiture officielle du 20 janvier 2025, quand Elon Musk et les techno-hiérarques ralliés à Trump affrontent Steve Bannon et la tendance nationaliste populaire à propos du visa H1-B. Les autorités étatsuniennes l’accordent aux ingénieurs étrangers ultra-qualifiés désireux de venir aux États-Unis à la demande d’entreprises en pointe dans leur secteur. Musk en a naguère bénéficié. Il estime par conséquent insensé et vain d’abolir ou de restreindre ce visa. La Tech a sans cesse besoin d’ingénieurs venus du monde entier. Sur X, Elon Musk se justifie. Pour lui, « amener via l’immigration légale le top 0,1% des talents en ingénierie est essentiel pour que l’Amérique continue à gagner ». Cette vive réaction des cénacles technophiles confirme l’analyse de Robert de Herte (alias Alain de Benoist) et de Hans-Jürgen Nigra (alias Giorgio Locchi) dans « Il était une fois l’Amérique », le célèbre essai paru dans le double numéro 27–28 de Nouvelle École en automne–hiver 1975. « Aux États-Unis, écrivaient-ils, la civilisation, privée de son ” contexte ” et de sa substance, n’a pu se renouveler que par un apport extérieur constant, fourni par la vague migratoire la plus récente. Cet état de fait ne s’est pas modifié jusqu’à nos jours. Si l’on prend la peine de faire la distinction entre la découverte et l’invention (la seconde n’étant qu’une application de la première), on s’aperçoit, avec le recul du temps, de la profonde stérilité des États-Unis. L’Amérique n’a jamais créé. Elle est stérile par nature. Forte de sa richesse et de ses moyens matériels, elle peut seulement développer (par des “inventions“) là où les autres ont innové. » Les étrangers récemment naturalisés comprennent mieux cette réalité que les Étatsuniens de vieille souche qui ont oublié qu’ils viennent eux aussi d’ailleurs. Donald Trump tranche finalement en faveur du visa H1-B parce sa vision demeure profondément utilitariste.
02:42 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Sur Sud Radio : André Bercoff reçoit Reynald Sécher
02:34 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |