mardi, 22 juillet 2025
Un communiqué de Martial Bild (TV Libertés) :
19:50 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Les élites mondialisées narguent le commun des mortels, vérités dans le VIe arrondissement, erreur au-delà
Michel Festivi
On le sait, les bobos gauchistes voire islamogauchistes, se moquent du peuple, des « sans-dents », des ploucs, des beaufs. La crise des gilets jaunes l’a amplement révélé. Mais les bornes de l’ignoble viennent d’être franchies dans le très chic et très à gauche VIe arrondissement de Paris.
Une supérette entend s’implanter à la place d’un magasin de jouets qui a fermé, lieu aussi avant d’un ancien garage, et ce au coin des rues Vavin et Bréa, à proximité du jardin du Luxembourg. Aussitôt une levée de boucliers est intervenue et une pétition a été lancée, par des habitants de ce quartier d’ultra riches, mais de gauche, pour empêcher cette arrivée.
On y retrouve pèle- mêle, Catherine Frot, Alain Souchon et sa famille, Jacques Toubon, une avocate, Sylvie Topaloff, le couple Finkielkraut, le dirigeant de Presse Denis Olivennes, bref que du beau monde. Ces bonnes âmes entendent préserver « l’âme de leur quartier », leur cadre de vie, « les risques non négligeables » pour leur sécurité, les accumulations de déchets, les entraves à la circulation, un afflux de véhicules, de livraisons et de pollution, diantre ! Et même des mendiants, quelle horreur.
Comme l’a ironiquement mais judicieusement fait remarquer une internaute : « À Paris VIe on vote Nouveau Front populaire, mais on ne veut pas de superette, cela fait trop peuple ». Effectivement, la députée socialiste de la circonscription, présentée par le Nouveau front populaire, donc avec l’aval de toute la gauche et de LFI, Céline Hervieu n’a pas hésité à twitter : « Dans le VIe on est différent, on a envie de garder nos spécificités, l’accès au beau, une qualité de vie ». Le président de l’association des commerçants locaux Simon Benbaruk n’a pas eu honte de déclarer quant à lui au journal Le Monde : « La police vient dès qu’on l’appelle. Quand on est à plus de 20.000 euros le mètre carré, on n’a pas envie d’avoir de la racaille en bas de chez soi ». Ces pétitions ont reçu également l’approbation d’un banquier, fondateur de Dexia, Pierre-Richard Defays, quant à Ruth Elkrief, elle a contesté avoir signé cette pétition.
Le maire LR de l’arrondissement, Jean-Pierre Lecoq, qui a autorisé les travaux, a eu la très bonne réaction : « Une grande partie des pétitionnaires (1.690 environ), ont bossé ou bossent dans la finance. Ils ont contribué à financiariser l’économie et donc à tuer les commerces de proximités les moins rentables. C’est un village d’enfants gâtés, qui croient que tout leur appartient ».
Moi, naïvement, je pose une seule question. Comment se comporteraient ces bobos gauchistes, vis-à-vis de ceux qui au fin fond de la Creuse, de l’Indre, du Cantal, de la Bretagne ou de la Nièvre, refuseraient pour de hautes raisons de sécurité, l’implantation dans leurs villages d’un centre de rétention d’immigrés par exemple. Imaginons une seule seconde, je dis bien imaginons, ce que ces habitants du VIe arrondissement diraient. Immédiatement, ils seraient traités de « racistes », de « fachos », d’immondes sectaires, et ils seraient voués et cloués au pilori.
Comment réagirait Madame Céline Hervieu et Monsieur Denis Olivennes ? Que dirait Monsieur Bruno Segré, ancien journaliste économique, qui a lancé cette pétition ? Les opposants à cette supérette invoqueraient des risques non négligeables pour la sécurité. Les habitants du VIe arrondissement ont droit eux à la sécurité, mais pas les autres.
Que dirait toute la clique bobos si les braves pékins de franchouillards du fin fond de leur province, alléguaient, eux, comme le fait Céline Hervieu : « on est différent, on a envie de garder nos spécificités, l’accès au beau, une qualité de vie », cette députée socialiste trentenaire, psychologue clinicienne comme l’indique l’Humanité, qui la qualifie de sociale-démocrate ? L’ouverture est prévue pour le 21 août, en principe.
15:59 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Marc Rousset, auteur du livre "Notre Faux Ami l'Amerique / Pour une Alliance avec la Russie", revient justement de Russie
La Russie n’est pas ce pays à l’agonie décrit par les chancelleries occidentales. Marc Rousset, de retour d’un mois en immersion sur le terrain, livre un tout autre constat. Une économie stable, une société cohésive, des infrastructures opérationnelles : loin du naufrage annoncé, c’est une Russie résiliente qui se réinvente face aux sanctions. Loin de l’effondrement, c’est une réorganisation stratégique. L’État, en acteur central, impulse une dynamique d’autonomie, notamment dans l’armement, l’agroalimentaire et l’énergie.
À l’heure où Paris désigne Moscou comme son ennemi principal, cette lecture trouble. La France, alignée sur Washington, semble avoir tourné le dos à toute diplomatie d’équilibre. Ce revirement ouvre la voie à une escalade aux conséquences incalculables. Rousset propose une voie alternative : sortir de la dépendance transatlantique et renouer avec une logique gaullienne de partenariat continental. Une Europe souveraine et non-alignée, ouverte à l’Est, serait-elle encore possible ?
Loin des récits imposés, cette analyse dérange. Et si le véritable retournement stratégique venait de là où personne ne l’attend ? Marc Rousset livre son témoignage à Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.
10:37 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
La découverte du siècle : « On donne le bac ! »
Claude Meunier-Berthelot - Polémia cliquez ici
Quelle nouvelle ! Il ne manque pas un média pour s’interroger sur la crédibilité de l’extraordinaire score de reçus au bac – qui plus est avec un foisonnement de mentions – alors même que toutes les études internationales dénoncent l’indigence du niveau des élèves français, suspectant par là-même une scandaleuse imposture ! Auparavant, il ne fallait pas en parler ; personne ne voulait entendre ce discours, alors même que ce problème est récurrent depuis des décennies. Fin des années 1990, nous avions écrit, dans un ouvrage intitulé Le trompe-l’œil de l’éducation : « Le bac : mythe ou réalité ? » Voici quelques extraits du discours que nous tenions alors.
Comment fabrique-t-on des bacheliers quand une majorité d’élèves a grimpé dans l’échelle éducative sans le niveau ?
Pour que les résultats ne démentent pas les objectifs, les réussites sont rendues aisées par :
- des choix de sujets de bac de plus en plus faciles,
- des corrections très lâches,
- des coefficients ridiculement élevés,
- et une informatique qui ignore les virgules.
1 – Les sujets
Les sujets ne sont pas élaborés en fonction d’un niveau déterminé à l’avance, mais en fonction de ce que les candidats sont censés pouvoir réaliser, afin d’avoir le plus de chances d’obtenir une bonne note, ou au moins la moyenne.
Exemples de dégradation institutionnalisée :
Une dissertation, à l’origine :
- Formellement : plan, introduction, développement structuré, transitions, conclusion.
- Sur le fond : réflexion nourrie par des connaissances, structurées avec pertinence.
Progressivement :
- De plus en plus d’élèves sont incapables de bâtir un plan.
- On fournit donc des sujets sous forme de questions, qui correspondent au plan que l’élève aurait dû construire.
- Puis, les élèves ne savent plus faire d’introduction ni de conclusion.
- L’épreuve devient : « Répondez aux questions posées… » – sans structure exigée.
- Ensuite, les questions ne font plus appel à la réflexion, mais uniquement aux connaissances.
- Aujourd’hui, ces connaissances faisant défaut, on fournit des textes (souvent articles de presse) dont il faut extraire les données. De préférence de façon organisée… mais sans exigence.
L’épreuve s’intitule toujours : « Dissertation ».
2 – Corrections
Les corrections forment un festival de démissions, du jury d’harmonisation aux jurys de délibération, en passant par les corrections et oraux.
Réunions d’harmonisation
Des barèmes sont définis a posteriori, selon le niveau réel des copies. Si les candidats échouent, les barèmes sont abaissés.
Un président de jury a déclaré : « Les barèmes ont été établis pour que les candidats aient de bonnes notes, et c’est tant mieux. » Tout est dit.
Corrections proprement dites
Malgré les plaintes des correcteurs (« C’est nul ! »), il est interdit d’attribuer un zéro. Une note <5 est rare. L’examinateur craint d’être rappelé à l’ordre par sa hiérarchie si sa moyenne est trop basse.
3 – Interrogations orales
L’oral n’est plus un exercice structuré.
Le candidat choisit un sujet, puis expose quelques connaissances, souvent confuses.
L’examinateur doit s’en contenter.
Exemple : un examinateur d’anglais a été écarté car la moyenne de ses notes était de 8.
4 – Jurys de délibération
Ils constituent une foire aux points.
Autrefois, on « rachetait » un candidat à 5 points près.
Aujourd’hui, c’est la moyenne qui est prise en compte, permettant des rajouts massifs, mais discrets.
5 – Coefficients
Initialement logiques, les coefficients sont désormais gonflés artificiellement dans les matières les plus favorables aux élèves (jusqu’à 12), même si elles sont marginales. Cela permet de masquer des échecs dans des matières essentielles (comme le français).
6 – L’informatique qui ignore les virgules
Le logiciel n’intègre pas les décimales. L’arrondi est obligatoirement favorable au candidat. Exemple : une note de 7,25 devient 8. Si la matière est coefficientée 12, cela donne 9 points gagnés artificiellement.
Conclusion
Voilà un aperçu des artifices destinés à produire toujours plus de bacheliers.
Ce texte a 25 ans, et aujourd’hui seulement, on ose enfin parler ouvertement de l’effondrement du niveau scolaire.
Alors, pourquoi maintenant ?
Parce qu’aujourd’hui, une nouvelle révolution se dessine : remplacer les cours par des « activités » axées sur les « valeurs de la République ».
Le niveau étant devenu tel qu’on ne peut même plus maintenir un bac allégé. L’École n’est plus une École.
Nous l’avions annoncé.
Le discours actuel, notamment celui d’Élisabeth Borne, va dans ce sens :
« On ne doit pas donner le bac à tout le monde. »
Traduction : le réserver aux élèves des « zones urbaines sensibles ».
C’est cela, le projet.
Rien n’est le fruit du hasard.
10:31 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Edition chez Déterna d'un nouveau document pour l'Histoire présenté par Philippe Randa : "L'épuration des voix de la Collaboration"
Le temps faisant son office, ne peut-on découvrir ou (re)découvrir avec sérénité certains procès qui défrayèrent la chronique judiciaire en un temps où les passions, bien loin d’être apaisées, brûlaient encore des engagements, sacrifices, malheurs, héroïsmes et bassesses de peuples qui s’opposèrent par le feu et le sang ? Et ce, tout autant avant que pendant les cinq années que dura le IIe conflit mondial du XXe siècle ?
C’est l’espoir que l’éditeur nourrit en rééditant dans la collection « documents pour l’histoire » ce livre des comptes rendus sténographiques des procès Paul Ferdonnet et Jean Herold-Paquis, publié en 1947.
Si l’édition originale des comptes rendus sténographique des audiences date de cette année-là, les procès des deux « inculpés » (le terme juridique de « mis en examen » remplaçant « inculpation » date de 1993) ont eu lieu pour Paul Ferdonnet, arrêté le 4 juin 1945, dès le mois suivant et pour Jean Herold-Paquis, remis par les Suisses aux autorités françaises ce même mois de juilllet 1945, dès le mois de septembre suivant.
Et leur exécution, à l’un et à l’autre, eurent lieu dans la foulée de leur condamnation à la peine capitale.
Chacun sera libre de juger comme il l’entend, après la lecture de ce livre de l’équité et de la justesse de ces deux procès, mais on admettra qu’au regard d’autres procès de collaborateurs du régime de Vichy et de celui du IIIe Reich, il est évident que les verdicts auraient pu être différents s’ils s’étaient déroulés 2 ou 3 ans plus tard, au regard des faits reprochés à l’un et l’autre : ni Paul Ferdonnet, ni Jean Herold-Paquis n’avaient de sang sur les mains.
L’épuration des voix de la Collaboration, Philippe Randa (présente), Déterna, Collection : Documents pour l’Histoire, 256 pages, date de parution : 10 juillet 2025, 31,00€
Pour le commander cliquez ici
10:30 Publié dans Livres, Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Parution du nouveau numéro (n°215) de la revue Éléments
00:37 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Émeutes ethniques : la guerre que personne n’ose nommer
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Limoges, Béziers, Nîmes : encore des flammes, encore des mortiers, encore des policiers et des pompiers pris pour cibles. Le même scénario usé jusqu’à la corde : des « jeunes » — toujours les mêmes, mais qu’on refuse de nommer — brûlent, pillent, agressent. Et l’État, tel un géant désossé, lève les bras au ciel, bredouille quelques mots creux sur « l’apaisement », envoie deux CRS et un tweet ministériel avant de retourner à son impuissance bien huilée.
La vérité est connue de tous mais dite par personne : ces violences sont le fruit pourri de l’immigration extra-européenne. Les émeutiers ne sont pas des Bretons ou des Auvergnats, ni des Belges ou des Italiens. Ce sont les enfants d’une immigration qui n’a jamais voulu s’assimiler, encouragée dans son rejet de la France par la lâcheté de nos gouvernants successifs. Le vivre-ensemble est une farce macabre qu’on répète pendant que le pays se disloque.
Nos élites n’ont ni le courage ni la volonté de rétablir l’ordre. La justice, gangrenée par l’idéologie gauchiste, relâche les délinquants plus vite que la police ne les interpelle. On tolère l’intolérable, on excuse l’inexcusable et on criminalise ceux qui osent dire la vérité.
Il n’y aura pas de retour à l'ordre sans répression féroce et remigration massive. C’est cela ou une guerre raciale lente, diffuse, mais certaine. Tout le reste — les plans banlieue, les stages de citoyenneté, les cellules de dialogue — n’est que du blabla républicain pour anesthésier un peuple qu’on trahit.
00:29 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |