dimanche, 14 décembre 2025
Lettre politiquement incorrecte à ma sœur, le jour des obsèques de Catherine Bailhache, la guérandaise macroniste assassinée en raison de sa naïveté
Martin Moisan
Les obsèques de Catherine Bailhache ont donc eu lieu ce vendredi, rassemblant un millier de personnes selon la presse, normalement bien informée. Une pluie d’éloges dithyrambiques ont fleuri ces dernières semaines sur sa disparition : cultivée, investie, généreuse, engagée, philanthrope, profondément humaine… En théorie, toutes les qualités du monde.
Pas un mot en revanche sur l’ignorance et la bêtise de cette femme, pur produit d’une génération soixante-huitarde dont le libertarisme a précipité la France vers sa décadence civilisationnelle.
Centro-centriste, macroniste à ses heures, en tous cas assez naïve pour cautionner par son silence complice parmi les siens l’invasion migratoire des quarante dernière années, y compris et surtout sur la double quinquennat macronien qu’elle a soutenu, à la fois fois témoin et vecteur d’une colonisation étrangère paroxystique, tout cela jusqu’à ce qu’une lame affilée mette un terme final à sa sottise, la transperçant cruellement et sans espoir d’en réchapper.
Alors que ça a abondamment pleuré dans les chaumières et les travées de la collégiale Saint-Aubin, la réalité s’est évidemment imposée, dure, implacable : la baby-boomeuse, enfant chérie des Trente Glorieuses, a finalement péri par où elle a failli.
Triste et tragique, mais belle illustration de la gauche face à ses démons… Le gauchisme tue, ce n’est pas nouveau. Sous la chape de plomb imposée et dont la presse se fait complice, tout en signant très probablement le profil de l’impétrant à perpet’, on aura au moins fait l’économie d’une cérémonie sur la place publique, de bons sentiments en mémoire de la malheureuse, quand même un peu oie blanche sur les bords, de même que d’une marche citoyenne, blanche aussi, de nounours et de bougies.
Au cours de la cérémonie, où étaient présents le maire et la député macroniste Sandrine Josso, le père Paul-Antoine Drouin va évoquer le crime à plusieurs reprises. « On pourrait être tenté par la violence intérieure, la haine, mais ce que Catherine nous laisse comme dernier message dans son dernier combat, c’est bien tout l’inverse. Continuez d’ouvrir votre cœur et votre porte sinon le mal aura triomphé ».
Que dire ? Paix à son âme.
PS. Je sais que je serai qualifié par ma sœur et ses amis d’odieux de service. J’assume.
Source Riposte laïque cliquez ici
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