mardi, 31 octobre 2023
Soutenez le militant rennais de l'Oriflamme condamné pour avoir dénoncer un spectacle impudique
Il y a quelques jours, nous avons rapporté sur ce site cliquez ici l'action pacifique menée par les militants rennais de l'Oriflamme contre un spectacle de drag-queens destiné aux écoliers dans une ville de la banlieue de Rennes.
Un militant a été lourdement condamné et vous êtes nombreux à nous avoir demandé comment le soutenir. Voici le communiqué de l'Oriflamme et le lien vers la "cagnotte" ouverte pour lui venir en aide.
Je me suis rendu à Rennes rencontrer ces militants vendredi dernier et je pense qu'ils méritent vraiment d'être soutenus.
Roland Hélie
Le communiqué de l'Oriflamme :
Lundi 9 octobre, un militant a été condamné par le tribunal correctionnel de Rennes à 4 mois de prison ferme pour le simple fait d'avoir participé à une contre-manifestion pacifique de dix minutes qui visait à dénoncer la tenue d'une lecture organisée par des drag-queens dans la médiathèque de Saint-Senoux et cela devant des enfants âgés de trois à six ans.
Cette lecture, faite par des drag-queens militants visait notamment à présenter la "diversité des familles" à des enfants qui ne disposent encore d'aucun esprit critique. Il est inadmissible que des drag-queens disposent de jeunes enfants dans des lieux publics dans le but de leur enseigner leur catéchisme déconstructionniste.
Toutefois, la justice a décidé de condamner ce militant à 4 mois de prison ferme pour incitation à la haine et organisation d'une manifestation non déclarée, et l’a en outre condamné à indemniser les parties civiles qui s’estiment victimes d’une contestation légitime et pacifique des leurs actions militantes.
Alors que la France s'effondre, les patriotes sont les seuls à être réellement condamnés par des magistrats qui ne cachent plus leur idéologie et leur dépendance à l'État, alors que les infractions reprochées n’étaient nullement qualifiées juridiquement.
La pression du tribunal médiatique dans une ville gangrénée par l’extrême gauche aura-t-elle contraint l’autorité judiciaire ?
En outre, la perspective d’une condamnation définitive est de nature à compromettre son avenir professionnel.
Cette cagnotte vise donc à soutenir le militant condamné, sa femme et son jeune fils, pour payer les frais d'avocats et affronter son avenir.
Pour aider le militant condamné cliquez ici
17:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
IVG dans la Constitution : quand l’idéologie vient contaminer notre norme suprême
Guillaume Drago *
Le président de la République vient de confirmer sa volonté de « graver dans notre Constitution la liberté des femmes de recourir à l’IVG », selon ses propres termes, de façon à la rendre « irréversible ». Cette volonté déjà affirmée le 8 mars dernier lors de la Journée de la femme intervient à un curieux moment, à l’heure de deux conflits majeurs, en Europe et au Moyen-Orient, suscitant une tension mondiale et décuplant le risque terroriste. Le citoyen peut légitimement s’interroger sur l’ordre des priorités présidentielles. Il existe pourtant une raison conjoncturelle qui explique la parole dominicale du président.
On se souvient que plusieurs propositions de loi constitutionnelle ont été déposées, à l’Assemblée nationale et au Sénat, pour défendre l’inscription de l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dans la Constitution, depuis 2018. Sans toutes les reprendre, il faut signaler celle votée en novembre 2022 à l’Assemblée nationale puis au Sénat en mars 2023, après une modification sensible.
À l’Assemblée, la proposition défendait un « droit » à l’avortement pour toutes les femmes. Au Sénat, la finesse de la Haute Assemblée avait préféré conforter la compétence du législateur en cette matière, ajoutée à l’article 34 de la Constitution sur la compétence du législateur, en énonçant que « la loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté de la femme de mettre fin à sa grossesse », ce qui est fort différent. Le Sénat reconnaît bien une « liberté de la femme », ce qui n’est pas un « droit » que l’on pourrait revendiquer en toutes circonstances, mais il fait du législateur l’organisateur et, d’une certaine façon, le garant de cette liberté, qui pourrait comporter des limitations et des conditions d’exercice précisément définies. Ces différences entre les textes des deux assemblées ne sont donc pas que sémantiques. Cette dernière version devait revenir à l’Assemblée nationale le 30 novembre prochain, dans la « niche parlementaire » ouverte au groupe d’opposition La France insoumise. Les égéries de ce groupe pouvaient espérer un vote de ralliement à la version du texte issue du Sénat, cette « liberté » étant un « premier pas » vers un « droit » qui serait reconnu plus tard.
Mais le vote conforme d’un texte par l’Assemblée et le Sénat, pour une proposition de loi constitutionnelle d’origine parlementaire, devait obligatoirement conduire à la présenter aux Français par la voie du référendum, ce qu’impose l’article 89 de la Constitution (« la révision (constitutionnelle) est définitive après avoir été approuvée par référendum »). Autrement dit, le président de la République aurait dû organiser un référendum, ce qui n’est pas le mode d’action préféré des présidents, ce que chaque Français constate souvent avec regret... C’est ce qui justifie cette déclaration du président de la République, selon un contretemps difficilement explicable sans ces précisions. Annoncer un projet de loi constitutionnelle permet au président de reprendre la main et de solliciter alors le Congrès - réunion des deux assemblées parlementaires - pour un vote commun, évitant ainsi le référendum. Les Français apprécieront.
Ce rappel nécessaire de la procédure permet de comprendre combien ce thème de l’avortement suscite de tensions dans la société. À la vérité, personne, dans la société française contemporaine, ne considère que l’avortement est menacé. Il faut même dire que, plus que jamais, le recours à l’IVG est généralisé puisque, en 2022, 234 300 avortements ont eu lieu, en augmentation de 7 %, soit un quart des naissances potentielles dans notre pays. Ce chiffre considérable devrait inquiéter nos politiques, signe de paupérisation, de jeunesse à la dérive, d’immaturité affective et sexuelle, signe tragique qui révèle le grand tabou de la société française. Au lieu de s’interroger sur les causes du recours à l’IVG et sur les moyens d’aider les femmes en difficulté conjugale, affective, sociale, familiale, on veut inscrire dans le marbre constitutionnel ce que la loi de 1975 identifiait clairement comme une situation de « détresse », terme employé alors par la loi.
Rappelons que la loi du 17 janvier 1975 sur l’IVG énonce, dans son article premier, que « la loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu’en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi ». Ce principe législatif était, lors du débat de 1975, un élément essentiel qui avait conduit à accepter une « suspension » (c’est le terme employé par l’article 2 de la loi) des dispositions du code pénal réprimant la pratique de l’avortement (ancien article 317). Il s’agissait d’équilibrer les droits de la mère et ceux de l’embryon, en posant une règle dérogatoire au « respect de tout être humain dès le commencement de la vie ». On voit combien l’esprit de cette législation, par essence dérogatoire, a été détourné au profit de ce qui deviendrait une « liberté » constitutionnelle, revendiquée par chaque femme. Si la proposition de loi constitutionnelle était votée, elle s’imposerait à cette législation qui deviendrait en quelque sorte sans objet. C’est l’ensemble de l’édifice législatif relatif à l’IVG qu’il faudrait modifier.
L’inscription de l’IVG dans la Constitution, en tant que liberté fondamentale, conduira nécessairement à la fin de la liberté de conscience des personnels de santé, qui ne pourront pas s’opposer à une liberté fondamentale de la femme. Les droits de l’enfant, la protection de la santé publique, la liberté personnelle des soignants seront gravement en danger avec cette « liberté » constitutionnelle de la femme. Pourra-t-on encore dire que l’on est en désaccord avec l’avortement ? L’enjeu est celui de la liberté des citoyens, et pas seulement de la femme. C’est un enjeu global, celui de la protection du plus faible, l’enfant à naître, ignoré des débats parlementaires et d’un président indifférent.
(*) Guillaume Drago est professeur de droit public à l’université Paris-Panthéon-Assas.
Source : Le Figaro 31/10/2023
11:24 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Que du bon sens !
10:35 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"QUE NOTRE JOIE DEMEURE" : 2024, sortie d'un film de Cheyenne-Marie Carron consacré au Père Hamel
00:40 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 30 octobre 2023
Transhumains trop humains
La chronique de Philippe Randa
Jamais l’adage populaire « on n’est jamais trahi que par les siens » n’aura été si vrai. Preuve par les « monsieur-madame-tout-en-un » en général et par les responsables de La Fondation du Refuge, sise à Montpellier et ses victimes, en particulier.
Celle-ci, reconnue d’utilité publique, se doit d’avoir un objet « à caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, familial ou culturel » : pour cela, lit-on sur son site, elle « héberge et accompagne les jeunes LGBT +, âgés de 14 à 25 ans, rejetés par leurs parents, chassés du domicile familial, parce qu’ils sont homosexuels ou trans et/ou en questionnement identitaire ». Tout un programme !
Tout pourrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes LGBTXYZ + etc. si une autre association au nom explicite – l’Association des victimes de la Fondation Le Refuge, domiciliée elle aussi à Montpellier – n’avait pas porté sur la place publique la condamnation de la première pour… discrimination sexuelle envers un ? une ? autre ? (sans opinion ?) de ses salarié(e) s.
Monsieur devenu Madame Krystal Gil aurait en effet, selon son avocat, été victime de discrimination pour avoir été licencié(e) le 3 mai 2021 pour « faute grave », ce que bien évidemment l’association dément avec la plus haute indignation.
Le licenciement pour faute grave ayant été requalifié en « licenciement nul », l’employé devenu indésirable a obtenu 15 000 euros en réparation de sa perte d’emploi, du préjudice sexuel et de sa discrimination morale… ou plutôt de son préjudice moral et sa discrimination sexuelle (à force de tout retourner dans tous les sens, on finit par s’y perdre)…
Évidemment, l’association condamnée fait appel et les Montpelliérains auront droit à un deuxième round d’affrontement judiciaire qui restera toujours préférable à quelques castagnes à coups de sac à main, de bas filés et de talons aiguilles cassés.
Quelle que soit l’issue de ce règlement de comptes transhumains trop humains, l’avenir de l’association risque d’être tout de même assombri par un tel crêpage de chignon… et les dons, si ce n’est les subventions publiques, risquent de se faire plus chiches à l’avenir.
Preuve s’il en est une fois encore qu’une révolution, fut-elle sexuelle, finit toujours par dévorer ses propres enfants au nom des grands principes qu’elle est censée défendre ou promouvoir !
Ou, si l’on préfère, qu’un « pur » trouve toujours un plus « pur » qui l’épure !
Lire EuroLibertés cliquez ici
17:48 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Eric Zemmour était invité dimanche sur C news
11:01 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La statue de la Vierge Marie sur l'Ile de Ré à nouveau menacée... et à nouveau défendue
Ce samedi, une quinzaine de militants de Touche Pas à Ma Statue se sont retrouvés devant la statue de la Vierge Marie à la Flotte en Ré cliquez là qui doit être déboulonnée à cause de la « Libre Pensée ».
La jeunesse engagée, équipée de chaînes et de béton, a cadenassé la statue.
Les protecteurs du patrimoine se mobiliseront toujours pour défendre le patrimoine culturel français qui est menacé de destruction par les laïcards et ennemis de la France.
Regarder le film cliquez ici
Touche pas à ma statue cliquez ici
10:48 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La France Insoumise, la mal nommée est devenue la France soumise aux islamistes.
Michel Festivi
Depuis le début de la guerre entre Israël et le groupe terroriste Hamas, soutenu par la République islamique d’Iran, LFI s’est jointe à toutes les manifestations de soutien à ces tueurs de femmes et d’enfants. Notre Danièle Obono nationale, a refusé mordicus de considérer le Hamas comme une organisation terroriste, il faut signaler d’ailleurs que l’AFP, dans ses dépêches aussi désormais.
Mélenchon y est allé de sa provocation habituelle, en fustigeant Madame Braun-Pivet qui « campe à Tel Aviv ». Même si Madame Braun-Pivet n’est pas, loin s’en faut ma tasse de thé, j’ai le souvenir que pour un jeu de mot de cet acabit, Jean Marie Le Pen, par le passé, pouvait être voué aux gémonies et attaqué en justice par des dizaines d’associations dites « anti-racistes ». Mais Mélenchon, l’islamo-gauchiste est un intouchable de la République, avec la complicité tacite des macronistes, qui ne l’attaquent jamais réellement, sauf en apparence.
Un député de la France soumise a prétendu qu’Israël procéderait « à un nettoyage ethnique » à Gaza, on peut toujours critiquer la politique israélienne, on en a même le droit, mais si nettoyage ethnique il y a, ce sont bien les islamistes qui en sont les responsables dans les territoires qu’ils contrôlent ou ont contrôlés, singulièrement en Syrie et en Iraq, où après leur passage, les chrétiens ont fui en masse.
Mathilde Panot qui préfère voir en France les femmes voilées, a refusé aussi de qualifier le Hamas de mouvement terroriste, alors que sa charte prévoit « l’anéantissement de l’État d’Israël et l’extermination des juifs du monde entier ». Sans doute Madame Panot pense qu’exterminer un peuple n’est finalement que banalité, où qu’il existe des peuples qui peuvent être anéantis.
Quant à notre Juge à la Cour de Justice de la République, la fringante Madame Obono, elle a désigné le Hamas comme « un mouvement de résistance ». Effectivement éventrer des femmes et des enfants relève de la résistance.
Cela me permet de rappeler que l’antisémitisme vient de la gauche, de Karl Marx, d’Engels, de Proudhon, de Jaurès, qui en leur temps ont multiplié les tirades antisémites que n’aurait pas démenti Der Stûrmer, l’hebdomadaire nazi de Julius Streicher, le pape de l’antisémitisme nazi, Gauleiter de Franconie. Mais nos gouvernants l’oublient et préfèrent par commodité et ralliement au politiquement correct attaquer les patriotes en les traitant d’antisémites à tout propos et même hors de propos.
Tous les crimes antisémites commis ces derniers temps en France ont été le fait d’islamistes.
Dernièrement, le sinistre et funeste Olivier Véran a cru devoir mettre dos à dos et LFI et le RN, qu’on m’explique en quoi le RN peut-il s’apparenter à LFI ? C’est du macronisme pur jus, tout mélanger et noyer le poisson.
Aussi doit on rappeler que les communistes ne furent pas exempts d’antisémitisme et que de nombreuses campagnes eurent lieu en URSS ou en Tchécoslovaquie communiste, qui finirent au mieux par des expulsions après des emprisonnements, au pire par des exécutions.
Dans les années 1970 et 1980, des milliers et des milliers de juifs d’URSS s’exilèrent en Israël, chassés par des exactions antisémites d’envergures, relayées par le Parti Communiste de l’URSS, on l’a bien oublié. Finalement nos LFI, en sont les dignes héritiers.
Comme le décrit Valeurs Actuelles, dans un article du 27 octobre dernier, sous le titre « Les islamo-collabos de la France insoumise », en décembre 2022, des députés et personnages de « La France soumise », ont fait les honneurs à Salah Hamouri, un avocat franco-palestinien, qui avait planifié l’assassinat de l’ancien grand rabbin d’Israël et qui fut condamné à 7 ans d’emprisonnement.
En juin 2022, « La France soumise » s’est montrée très attentive à Jeremy Corbin, paradant à ses côtés, alors qu’il avait été écarté du Parti Travailliste pour propos antisémites. Et VA de décliner un certain nombre de manifestations ou de soutiens de « La France soumise », du même tonneau.
Sur Europe 1 et C News, ce dimanche 29 Octobre, Éric Zemmour a considéré que 69% des électeurs musulmans ont voté pour JL Mélenchon en 2022, que les mosquées avaient appelé à voter pour lui, comme les Frères musulmans. Pour Zemmour, par le soutien inconditionnel de Mélenchon au Hamas, sa participation au second de la présidentielle de 2027 est acquise. Les prédictions de Houellebecq, dans son livre, Soumission, datant de 2015, seraient-elle en train de se réaliser ?
Je rappelais il y a quelques jours, que la jeune Iranienne Armita Garawand, molestée dans le métro de Téhéran parce qu’elle ne portait pas son voile, était en état de mort cérébrale ; on vient d’apprendre le décès de cette adolescente de 16 ans, et ce dans l’indifférence totale de notre « France soumise » et de ses compagnons de route.
Où êtes-vous, Mesdames Panot, Autin, Garrido, Tondellier, Obono, Vallaud Belkacem, et consorts ? Où êtes-vous Messieurs Mélenchon, Bompard, Coquerel, Caron et autres ténors de « La France soumise » ? Le sort de cette jeune Iranienne vous passe au-dessus de vos écharpes parlementaires, comme celle des peuples soumis au totalitarisme islamiste ? Le sort de la France aussi.
10:40 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tribune libre : GAZA est une prison bombardée par ses matons
Pieter Kerstens
Ce territoire de la Palestine s’étend sur 360 km2 et compte plus de 2 millions d’habitants. Doté d’un statut d’autonomie en 1994, Gaza est soumis depuis de longues années à un embargo strictement contrôlé par les forces israéliennes qui filtrent toutes les marchandises, transactions et aides internationales. Contestée depuis 1948, lieu d’affrontements sanglants permanents, la Palestine dans son ensemble aspire à l’indépendance, au même titre que l’Ecosse, la Catalogne ou la Flandre.
Sioniste un jour, sioniste toujours.
Le devoir de mémoire nous dicte que l’Etat hébreux, ses dirigeants successifs et son peuple ne correspondent pas vraiment à ce que le Mahatma Gandhi avait déclaré le 26 novembre 1938 : « Laissons les Juifs, qui proclament être le peuple élu, prouver leur titre en choisissant le chemin de la non-violence pour revendiquer leur position sur terre. »
La politique de Tel-Aviv, dès le début, n’a été qu’une succession d’actes belliqueux, d’arrogance et de cruauté. Peuple souverain, il applique ce qui lui semble bon pour la défense de ses intérêts, de sa population et de sa sphère d’influence, qui s’étend de Wall Street à Doha et de Kiev à Pretoria.
Les Hébreux se moquent de la résolution 181 votée le 29 novembre 1947 par l’Assemblée Générale de l’ONU pour le partage de la Palestine en 3 entités, résolution non appliquée et à l’origine de la NAKBA.
De même pour la résolution 194 votée le 11 décembre 1948 qui place Jérusalem sous mandat international et garantit le principe des droits existants.
Jamais les Israéliens n’ont appliqué la résolution 242 du Conseil de Sécurité du 22 novembre 1967 au sujet des territoires occupés.
Les résolutions de l’ONU n°476 du 30 juin 1980, n°478 du 20 août 1980 et 672 du 12 décembre 1990 condamnent toutes l’attitude belliqueuse d’Israël et déclarent illégales les lois, la juridiction et l’administration de la ville sainte de Jérusalem. Le fait de la déclarer par la suite capitale de l’entité sioniste n’a rien fait pour calmer les esprits.
Depuis 75 ans, les sionistes méprisent au plus haut point les résolutions de l’ONU et poussent aux crimes, tel Jacques Kupfer, co-président du Likoud mondial, qui déclarait le 15 juillet 2014 : « Lorsque les alliés ont voulu mettre un terme à la guerre contre l’Allemagne nazie, ils ont détruit la ville de Dresde. A juste titre.
Lorsque les Etats-Unis ont voulu mettre un terme à la guerre contre le Japon, ils ont détruit Hiroshima et Nagasaki en lançant la bombe atomique. A juste titre.
Si nous voulons mettre un terme à la guerre, nous devons raser Gaza.
Gaza doit devenir un champ de ruines d’où ne peuvent sortir que des gémissements. »
Qui donc attise la vengeance ? Qui appelle à l’extermination du peuple palestinien ? Qui répand la haine ? Combien de manifestations et de procès contre les propos immondes de Jacques Kupfer ?
Dès lors, on ne peut que condamner les prises de positions et les soutiens apportés à Israël par certains « patriotes » ou « nationalistes » comme ceux du RN ou de Reconquête. Ces imbéciles ignorent les agissements permanents du Mossad, du Shin-Beth et de l’Aman qui apportent également depuis des années le soutien de l’Etat hébreux aux djihadistes du Front al-Nostra et aux terroristes de DAESH, dont les hors-la-loi blessés ont été soignés dans les hôpitaux israéliens !
10:40 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
De l’État de droit à des tas de droits
Pierre-Henri Tavoillot *
L’État de droit et la démocratie sont unis par des liens sacrés. Sans le pouvoir (cratos) de l’État, le peuple est réduit à l’état d’impuissance. Sans le droit, il s’expose à l’injustice, car la loi de la majorité ne saurait l’autoriser à opprimer une minorité ni à bafouer les libertés fondamentales. Mais sans le peuple (demos), l’État de droit est inexorablement entraîné dans une dérive techno-bureaucratique à force d’empiler des règlements toujours plus nombreux et complexes. La démocratie contemporaine est donc un ménage à trois à l’équilibre aussi subtil que délicat, et il faut veiller à ce qu’aucun des conjoints ne prenne le pas sur les deux autres.
Or, c’est cet équilibre qui est aujourd’hui menacé, par le gonflement démesuré du droit. On peut même se demander si l’on n’assiste pas à l’avènement d’un nouveau régime concurrent de la démocratie : la « nomocratie » (ou pouvoir des normes), c’est-à-dire des tas de droits qui s’imposent contre l’État et sans le peuple.
Trois phénomènes me semblent concourir à cette évolution.
Le premier est le plus connu : c’est la défiance à l’égard de la politique. « Tous les arts ont produit des merveilles, disait Saint Just, seul l’art politique n’a produit que des monstres. » Propos surprenant de la part de l’archange de la Terreur, mais qui est devenu l’opinion dominante, y compris chez les élus. Conséquence : honnis par les citoyens, ne s’estimant plus légitimes pour décider, ils sont tentés de se défausser de leurs missions en faisant appel à des « autorités indépendantes » ou en laissant les tribunaux et les cours de justice trancher à leur place. Le succès du terme de gouvernance à la place du démodé gouvernement indique assez ce rêve fou d’un pilotage automatique de la cité... qui vire assez logiquement au cauchemar ! Car, pourquoi faudrait- il voter pour des élus qui n’osent plus agir ? L’abstention massive est l’effet moins d’une prétendue « crise de la représentation » que de ce renoncement du politique à la politique.
Le deuxième phénomène est celui d’un droit mutant – et il excuse en partie les élus incriminés. Car, dans la rase campagne de la désertion politique, dont les citoyens indignés se font les complices, un droit nouveau s’épanouit, tentaculaire et gigantesque. C’est un droit obèse, complexe et dégradé. L’hypertrophie juridique, dénoncée par les Cours elles-mêmes (voir les rapports réguliers du Conseil d’État), est sidérante : elle ridiculise l’adage selon lequel « nul n’est censé ignorer la loi », et, plus encore, l’exigence de la comprendre, puisqu’elle devient illisible même pour le spécialiste. Résultat : au droit protecteur s’est substituée l’insécurité juridique, avec, comme effet pervers supplémentaire, la baisse de qualité. Un droit mou, flou, bavard, langue de bois, bien-pensant... Trop de normes produisent de mauvaises normes qui engendrent plus de normes dans des procédures sans fin et des recours incessants. L’autorité de la chose jugée en pâtit et on comprend que la fonction de décider soit devenue, dans ce contexte, plus délicate. C’est un euphémisme. Le troisième phénomène qui accompagne cette dérive est la montée en puissance d’une idéologie, dont l’expression emblématique se trouve dans la Commission, dite de Venise, intitulée explicitement Commission européenne pour la démocratie par le droit. Organe consultatif du Conseil de l’Europe, créée en 1990 dans l’euphorie de la chute du mur de Berlin, elle considère que la démocratie n’a qu’accessoirement besoin du peuple pour fonctionner et que les seuls vrais démocraties sont en vérité les juges, notamment ceux de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). Ces idées se diffusent au cœur de l’Union européenne, dans les Cours suprêmes nationales et jusqu’au moindre tribunal administratif.
Cette doctrine d’un droit sans le peuple et contre l’État a atteint désormais son rythme de croisière. Les cours jonglent avec les principes, en inventent de nouveaux, les appliquent de manière inédite, somment l’État d’agir ou, au contraire, l’empêchent d’agir... Bref, elles font de la politique sous couvert de neutralité juridique. « Si l’État est fort, disait Paul Valéry, il nous écrase ; s’il est faible, nous périssons. » Aujourd’hui nous périssons écrasé sous le droit d’un État impuissant.
Cette doctrine est souvent dénoncée par nombre de juristes et de poli- tiques lucides. Comme eux, je pense qu’elle constitue la menace la plus grave pour nos démocraties libérales, non seulement parce qu’elle nous expose aux séductions autorita- ristes des régimes illibéraux, mais surtout parce qu’elle trahit la promesse démocratique selon laquelle le peuple est maître de son destin. L’impérialisme des droits décourage la capacité d’agir, organise l’impuissance publique et éparpille la volonté générale « façon puzzle ».
Il est donc urgent, pour la paix du ménage à trois, de remettre le droit à sa place, en redonnant de la voix aux voix et de la puissance à l’État. Sinon, l’adage attribué à Cicéron deviendra notre régime de croisière : « Summum jus, summa injuria - Droit extrême, injustice suprême. »
(*) Pierre-Henri Tavoillot est philosophe, président du Collège de philosophie. Auteur notamment de Qui doit gouverner un peuple roi ?, Odile Jacob, 2021.
Source :Journal du dimanche 29/10/2023
05:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 29 octobre 2023
Samedi 4 novembre à Paris : colloque d'Académia christiana
11:27 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le 3 avril 1987... Il y a mille ans
Michel Onfray
La liberté d’expression est morte depuis qu’elle est devenue, pour les tenants du gauchisme culturel, la liberté d’interdire d’expression quiconque ne pense pas comme eux. On ne compte plus les atteintes à cette liberté : interdiction à tel ou tel de donner une conférence, défense de réunir ses lecteurs dans une salle publique, une bibliothèque, une librairie, à l’École normale supérieure, à Science Po, dans des universités.
Le service public, payé par le contribuable, propose des plateaux et des tables rondes où débattent blancs bonnets et bonnets blancs. Les contradicteurs sont des faire-valoir. Questions perfides aux Rebelles, ronds de jambe de connivence pour les Soumis, proscriptions des Résistants. Ceux qui en appellent à la liberté d’expression l’interdisent au nom de la liberté d’expression. À Bordeaux, on interdit Sylviane Agacinski qui s’élève contre la traite négrière moderne qu’est la vente d’enfants ; et on invite Judith Butler qui œuvre à la marchandisation des corps et on lui décerne le titre de docteur honoris causa à l’Université de... Bordeaux. On interdit Alain Finkielkraut à Science Po Paris ; et on sollicite Houria Bouteldja, racialiste, antisioniste et décolonialiste à l’Université de Limoges. On détruit quatre cent cinquante livres de François Hollande à l’Université de Lille ; et on déroule le tapis rouge de l’Université de... Bordeaux à Jean-Marc Rouillan, d’Action directe, bien qu’il ait tué deux personnes et fait l’apologie du terrorisme en 2015 – bien que, ou peut-être plutôt parce que.
J’ai souvenir, pour ma part, qu’une pétition lancée par les freudolâtres, Élisabeth Roudinesco en tête, avait été envoyée à France Culture pour interdire la diffusion de mon séminaire de l’Université populaire de Caen consacré à Freud. Cette demande de censure avait été effectuée « au nom de la liberté d’expression » ! Le directeur de l’époque, Olivier Poivre d’Arvor, n’y a pas consenti, qu’il en soit ici remercié. La besogne fut exécutée il y a six ans par Sandrine Treiner. Je suis toujours interdit de service public, y compris dans cette maison qui affiche sans rire un slogan à se tordre : « France Culture, l’esprit d’ouverture ». C’est probablement au nom de l’esprit d’ouverture qu’ils décrètent tant de fermetures !
L’impossible débat
Le débat démocratique n’existe plus. Quant, à Front populaire, nous avons organisé une rencontre avec Éric Zemmour, qui n’était pas encore candidat, devant quatre mille personnes au palais des Congrès de Paris, L’Obs a fait paraître un article expliquant ce que cette rencontre avait donné... une heure avant qu’elle ait eu lieu ! Incestueuse, la presse maëstrichienne a ensuite fait savoir que j’étais aligné sur lui.
Quelque temps plus tard, l’Agence France Presse annonça que « j’envisageais de voter Zemmour » en oubliant que j’avais ajouté une condition : « S’il muscle son bras gauche ! » Il ne l’a pas musclé, c’est le moins qu’on puisse dire, il n’y eut donc pas de compagnonnage. Mais débattre avait suffi pour anathématiser. Peu importe que j’aie fait savoir partout que je souscrivais à son diagnostic d’une France qui allait mal, mais pas à ses solutions ; il croit à l’homme providentiel, moi au peuple providentiel ; rien n’y a fait. Nous avions débattu, nous nous sommes parlé, nous avons ferraillé et bataillé sans nous insulter, mais j’étais un allié du diable du simple fait d’avoir échangé avec lui !
Il est loin le temps béni où l’excellent Bernard Pivot pouvait inviter sur le plateau d’Apostrophes Maurice Bardèche, fasciste revendiqué, et Bernard-Henri Lévy, sans que la presse du gauchisme culturel ne titre le lendemain que BHL souscrivait à ses thèses antisémites. Il y avait aussi, sur ce plateau, un certain Gabriel Matzneff. Quelle était la thématique ? La responsabilité des intellectuels. Bardèche, l’un des inventeurs du négationnisme, y défendait un livre sur Céline, et BHL son Éloge des intellectuels. Personne n’a estimé que, par capillarité, Bernard-Henri Lévy soit devenu négationniste, ni même que Bardèche fût converti aux idéaux de BHL. Il y avait juste eu débat. C’était le 3 avril 1987, il y a mille ans.
Ces débats ne sont plus parce que la gauche culturelle voit son pouvoir menacé par une presse et des médias vraiment libres qui n’appartiennent ni à l’État ni à des milliardaires alignés sur son idéologie nihiliste.
De Gaulle avait, après-guerre, donné la culture, l’éducation, la recherche, l’université à la gauche avec laquelle il gouvernait – difficile de confier l’Intérieur, les Affaires étrangères, l’Armée aux communistes qui prenaient leurs ordres à Moscou...
Mai 68 a généré une gauche soixantaine-huitarde qui s’en est donnée à cœur joie en se recasant chez Mitterrand, grand recycleur de trotskistes. Ceux-là ont détruit ce qu’ils ont touché. On commence à le dire, ça commence à se voir, à se savoir : ils défendent leur peau de chagrin idéologique comme des satrapes le dos au mur. Quand ils entendent une voix qui ne vient pas de leur meute, ils sortent leur revolver.
Source : Journal du dimanche 29/10/2023
08:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 28 octobre 2023
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
10:41 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le « résistant » Erwan Chartier voulait nous ruiner : fiasco judiciaire mémorable.
Bernard Germain
Erwan Chartier vous ne voyez pas de qui il s’agit ? C’est le rédacteur en chef du petit journal gauchiste « Le Poher » qui doit tirer à 1 000 ou 2 000 exemplaires par semaine et qui est basé pas très loin de Callac.
Ces derniers temps on voyait beaucoup le « résistant » Erwan Chartier sur les plateaux télé et dans la presse. Pensez donc il a même écrit un livre, un petit livre d’après ce que j’ai vu lorsqu’il l’a montré au cours d’une émission à sa gloire, sur FR3 me semble-t-il. Il paraît que dans ce livre il parle de la résistance notamment FTP (communiste) à Callac durant la seconde guerre mondiale et fait d’après ce que j’ai compris un parallèle avec le combat mené à Callac pour la venue de migrants et contre les horribles « fachos ».
En clair, dans le combat mené à Callac contre le projet Horizon qui entendait faire venir plusieurs centaines de migrants, nous étions les « nazis » et les immigrationnistes étaient les FTP des temps modernes.
N’ayant pas lu le livre, et je ne vais pas donner de l’argent à ce « résistant » pour en prendre connaissance, je me demande si dans sa glorification de l’action des FTP il a oublié ou pas d’indiquer que le 23 août 1939, était signé un pacte de non agression entre l’URSS et l’Allemagne nazie. Pacte connu sous le nom de pacte germano-soviétique.
Le pacte fut brisé le 22 juin 1941, par la décision d'Hitler d'attaquer l'URSS en déclenchant l'opération Barbarossa. Mais entre temps, c’est à dire pendant presque deux ans, le PCF malgré l’invasion de la France en juin 1940, a eu une politique de « fraternisation » avec les Allemands. À l’époque le PCF disait « Ne tirez pas sur un uniforme allemand. Derrière chaque uniforme il y a un travailleur. » Et il n’y avait aucune résistance communiste à cette époque. D’ailleurs ceux qui ont résisté avant que le PCF ne le décide, ont eu de sérieux ennuis. Par exemple Georges Guingouin dans le Limousin pour le maquis qu’il a monté à côté d’Eymoutiers en Haute-Vienne. Le PCF a essayé de l’assassiner à plusieurs reprises, ce qu’il explique entre autres dans son livre « Quatre ans de lutte sur le sol Limousin ». Mieux, le PCF a même été négocier la reparution légale de l’Humanité à la Kommandantur de Paris.
Quant à son secrétaire général, on n’oubliera pas de relever qu’il a déserté, a couru se réfugier en URSS et y est resté jusqu’à la fin de la guerre. C’est De Gaulle qui l’a amnistié pour ces faits infamants.
Toute cette période et ces évènements sont soigneusement cachés aux générations actuelles et ce qui leur est vendu c’est la fable du « Parti des 75.000 fusillés ». Il m’étonnerait que le livre du « résistant » les expose à ses lecteurs. Je pense qu’il participe plutôt à la propagation du mensonge du « Parti des fusillés ».
Il faut que je m’explique. Je dis le « résistant » car depuis la lourde défaite des immigrationnistes à Callac, il semble qu’il se sente investi d’une mission divine, reprendre le flambeau des immigrationnistes - flambeau tombé par terre - et pourfendre les « nazis » des temps modernes que nous serions en osant défendre notre pays contre l’invasion migratoire que nous subissons.
Ne pouvant revenir en arrière et empêcher le maire d’annoncer qu’il jetait l’éponge, notre « résistant » s’est mis en tête de faire payer les fachos pour cette victoire.
J’ai donc été clairement ciblé, pour un article paru en octobre 2022, qui répondait à un article d’une journaliste du Poher sur notre combat de Callac et qui n’a pas pu le faire sans nous traîner dans la boue et nous calomnier.
Nous avions répondu et cela n’a pas plu au « résistant » qui a donc saisi la justice. J’ai reçu une assignation au Tribunal le 30 janvier à mon domicile par exploit d’huissier.
Et bien sûr, ce qui devait arriver, arriva…
Quelques jours plus tard, le Télégramme de Brest ou Ouest-France - peu importe - publièrent un article dans lequel le « résistant » se disait victime d’une campagne de menaces téléphoniques et par mail ayant commencé… le lendemain du jour où j’ai reçu mon assignation au tribunal.
En clair et sans le dire, on m’accusait d’être à l’origine de ces menaces notamment de mort.
Et l’affaire ne s’est pas arrêtée là. Presque chaque jour il y avait des éléments nouveaux. Le « résistant » était à l’évidence la personne la plus menacée de Bretagne. Peut-être même de France.
La dernière invention fut une soi-disant alerte à la bombe qui provoqua l’arrivée massive de gendarmes, démineurs, avec évacuation des locaux. Le tout largement relayé par la presse régionale et même nationale.
En réalité, tout cela n’était que du théâtre. L’objectif était simple : comme l’audience au tribunal était prévue le 3 mars à Lorient il fallait, entre fin janvier et le 3 mars, créer l’ambiance afin que lors de notre comparution le « résistant » apparaisse comme une personne en grand danger et menacée par les horribles fachos, avec moi à leur tête et à la manœuvre.
Mais l’audience fut reportée au mois de septembre.
Curieusement, toutes les menaces cessèrent brusquement et, autre curiosité, les gendarmes qui pourtant ont de sacrés moyens n’ont jamais rien trouvé pour me mettre en cause ni aucun facho.
On me permettra d’être perplexe devant ce concours de circonstances. Arrêt brutal des menaces dès que la date du procès a changé et incapacité des gendarmes de trouver le moindre responsable alors qu’ils ont de puissants moyens et que le « résistant » était soi-disant assailli de menaces.
02:31 Publié dans Bernard Germain, Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 27 octobre 2023
Macron relance l'invasion des campagnes : mobilisation générale !
COMMUNIQUE DE LA COORDINATION PARTOUT CALLAC
En Israël, les terroristes du Hamas ont commis le 7 octobre un épouvantable massacre en s’introduisant sur les terres d’Israël au petit matin. Au cri de « Allah Akbar », ils ont égorgé, décapité (même des bébés), éventré, violé, tué à tour de bras.
Comme d’habitude, en France, un nombre non négligeable d’individus, regroupements et partis (NPA, LFI CGT, Indigènes) n’ont rien trouvé de mieux que d’inverser les responsabilités et la culpabilité. Pour eux, ce sont les « palestiniens » qui sont victimes des odieux Israéliens.
Ce sont les mêmes partis, syndicats et associations qui soutiennent l'invasion migratoire et l'islamisation de notre pays, et qui nient le djihad quotidien qui se déroule en France, avec des méthodes qui rappellent parfois la barbarie du Hamas.
Ils osent manifester avec ceux qui poussent le même cri que les assassins du 7 octobre : « Allah Akbar ».
Moins d’une semaine plus tard le 13 octobre, un professeur de français a été égorgé à Arras par un musulman « réfugié » Tchétchène au cri de « Allah Akbar ». Juste trois ans après la décapitation de Samuel Paty. Le même cri que celui poussé par les assassins de Charlie Hebdo, du Bataclan, de Nice et de tellement d'autres lieux...
Depuis le 7 octobre le ministère de l’intérieur a relevé plus de 600 actes antisémites en France. « Normalement » c’est 400 en une année. Là, c’est 600 en 3 semaines. La quasi totalité commis par ceux qui crient « Allah Akbar ». Pas un jour ne se passe sans que 120 à 140 coups de couteau ne soient donnés. Tout les jours il y a des morts un peu partout en France avec un nombre très élevé d’égorgements qui signent l’origine des tueurs. On ne compte plus non plus les viols (même de nonagénaires), les vols et les violences en tous genres.
Le lien entre ces violences et délinquances avec l’immigration est reconnu par le président et le ministre de l’Intérieur.
Or, non seulement rien n'est fait pour arrêter l'immigration, mais c'est dans ce contexte que le pouvoir, avant les Jeux Olympiques de Paris, paraît décidé à accélérer l'invasion migratoire de nos campagnes, au nom de ce que Macron ose appeler "la transition démographique".
À St-Brévin, malgré un combat acharné du Collectif de préservation de la Pierre Attelée, le CADA va certainement ouvrir ses portes prochainement à une centaine d’Africains hommes, juste à côté d’une école maternelle et primaire. Si demain un crime de type Arras se produisait contre des enseignants ou des enfants, mettant en cause un ou plusieurs résidents du CADA, il ne faudra pas oublier la responsabilité écrasante de Dorothée Pacaud, nouveau maire de Saint-Brevin, et de tous ses complices immigrationnistes.
À Bélâbre, dans l'Indre, le maire, Laurent Laroche, contre l'avis de sa population, par idéologie, a refusé une usine avec trente emplois, pour imposer ses migrants. Une manifestation est organisée ce samedi 29 octobre contre l’ouverture d’un CADA dans ce petit bourg du centre de la France. Le préfet a voulu l'interdire, mais le tribunal administratif l'a désavoué.
A Plainfaing, dans les Vosges, village de 1600 habitants, sans prévenir personne, 30 mineurs non accompagnés sont arrivés récemment de Lampedusa, et ont été installés dans le centre de vacances du village. Pourtant le ministre de l’intérieur avait déclaré de manière très martiale : « Aucun immigré de Lampedusa ne viendra en France ».
À St-Jean de Monts (Vendée), une manifestation est organisée par le Rassemblement vendéen ce 4 novembre à 10 heures devant la mairie, contre l’arrivée de 22 migrants, supervisée par une organisation locale pro-migrants, le Groupe d'Accueil de Migrants de Vendée, avec la complicité de la municipalité, sans demander, là encore, l’avis de la population.
Sans parler d'autres endroits où les choses se font en douce, derrière les populations et souvent les élus.
Cette situation ne peut plus durer. La sécurité et le mode de vie des Français sont délibérément mis en danger. La coordination « Partout Callac » appelle tous les Français se mobiliser contre cette politique immigrationniste complètement folle, et à soutenir par leur présence toutes les initiatives qui vont se mettre en place.
Le principe de précaution, mis en avant souvent à tort et à travers par les écologistes, doit s'imposer en France pour l'immigration africaine.
Bernard GERMAIN
Porte-parole de la Coordination Partout Callac
18:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 4 novembre, à 10 heures : TOUS À SAINT-JEAN-DE-MONTS (VENDÉE)
COMMUNIQUÉ DU
RASSEMBLEMENT VENDÉEN
Appel au rassemblement
Samedi 04 Novembre 2023 à 10h
Hôtel de ville – 85160 Saint-Jean-de-Monts
Depuis plusieurs années, le Groupe accueil migrants Vendée (GAM) invite et installe des migrants sur la commune de Saint-Jean-de-Monts en Vendée, encore ce mois-ci cette association gauchiste pro-migrante va installer 22 migrants sur notre commune à nos frais.
Miraculeusement, les autorités qui ont préféré financer les banlieues islamisées pour acheter la paix sociale, trouvent soudain des millions pour arroser nos campagnes et évidement des millions qu’ils n’ont jamais proposés aux travailleurs pauvres, agriculteurs, artisans et retraités de Saint-Jean-de-Monts.
L’union sociale pour l’Habitat, reconnaît que 2 423 000 ménages sont en demande de logement social. Des salariés et des retraités dorment dans leur voiture, faute d’accès aux logements. Les logements sociaux de Saint-Jean-de-Monts doivent être réservés en priorité à nos ménages vendéens, qui ont plus de légitimité que des clandestins pour être logés décemment.
Les Nôtres avant les autres !
Si l’on fait le bilan économique, depuis le regroupement familial, depuis les années 70, l’immigration a coûté 1 000 milliards d’euros à la France ! Cette immigration est un gouffre financier qui avale les impôts des Français contre leur gré. Les Français sont à bout de souffle, saignés de toutes parts, ils n’en peuvent plus ! L’immigration sème la violence, les émeutes sanglantes, et le terrorisme djihadiste, l’écart culturel qui nous sépare des arrivants n’a aucun équivalent dans notre histoire.
Tous viennent du tiers-monde, de sociétés défaillantes où règnent l’incivisme, la violence et la corruption. La grande majorité est de religion musulmane et cela suscite une discorde religieuse et civique sur notre sol.
64% veulent l’arrêt pur et simple de cette immigration, et 48% des électeurs de gauche trouvent qu’il y a trop d’immigrés en France.
Lors de la réforme des retraites, l’ensemble de la gauche, à laquelle appartient la municipalité de Saint-Jean-de-Monts, réclamait un référendum. Ce projet de l’installation de 22 migrants, sur notre commune, qui se fait avec la complicité de la municipalité, ne faisait pas partie du programme pour lequel elle a été élue. Nous demandons donc une consultation citoyenne sur cette question et l’annulation du projet du Groupe d’Accueil de Migrants en Vendée en attendant.
Il en va de l’avenir de nos villages, que Macron, au nom de la transition démographique “Grand remplacement”, veut transformer de force en village africain.
Nous appelons donc l’ensemble de Vendéens et des Français qui veulent que Saint-Jean-de-Monts reste Saint-Jean-de-Monts, que la Vendée reste la Vendée et que la France reste la France à venir nombreux à ce rassemblement et en assurer un succès éclatant.
Haut les cœurs !
Eric Mauvoisin-Delavaud,
président du Rassemblement vendéen.
15:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Décès de Marie-José Peiffer, directrice des Éditions Art et Histoire d’Europe
Nous apprenons la disparition de Marie-José Peiffer : Directrice d’une société de sécurité, elle avait créé dans les années 80 les Éditions Art et Histoire d’Europe pour publier Léon Degrelle, chef du mouvement belge REX en exil en Espagne depuis la fin de la IIe Guerre mondiale (notamment ses livres sur « Le siècle de Hitler »)… Elle avait ouvert ensuite sa politique éditoriale non seulement à des historiens reconnus comme Jacques de Launay, David Irving et Jean Mabire (celui-ci avait même dirigé la collection, « Action ») mais également à des auteurs grands publics tel Jean de La Varende (Guillaume le bâtard conquérant), Guy des Cars (L’Officier sans nom), Saint-Loup (Face nord, Les partisans, Götterdammerung,…) ou encore Philippe Randa pour son roman de science-fiction Rendez-vous dans l’avenir (récemment réédité aux éditions Dutan).
On se rappellera tout particulièrement du magnifique album richement illustré Léon Degrelle et la Légion Wallonie, 1941-1945 de Jean Mabire et Éric Lefèvre dont les exemplaires d’occasion sont très recherchés par les amateurs.
Depuis des années, elle s'était retirée en Bretagne, terre de légendes qu'elle appréciait particulièrement. RIP.
12:23 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La France dépossédée
Yves Thréard
La crise sanitaire avait remis la souveraineté au goût du jour. Face au virus, la France prenait conscience que la mondialisation l’avait désarmée. C’est exactement la même réalité qui prévaut aujourd’hui face à l’immigration. Notre pays n’est plus maître chez lui. Il est dépossédé de son pouvoir de refuser les individus indésirables, de son droit de choisir ceux qu’il souhaite accueillir. Pire, dénoncer cette scandaleuse évidence vous range, sur-le-champ, dans le camp des réactionnaires. Sans doute est-ce la critique que craignent Emmanuel Macron et son gouvernement... L’ignoble assassinat d’Arras par un jeune islamiste caucasien qui n’aurait jamais dû se trouver sur notre territoire devrait pourtant les forcer à prendre le taureau par les cornes.
La France est victime d’un « État de droit européen » qui fait passer l’intérêt national après le respect de principes complètement inadaptés. Tout est fait, par exemple, pour décourager le renvoi dans leurs pays d’origine des ennemis de la République. Un clandestin, quant à lui, doit bénéficier d’un « délai suffisant » pour pouvoir volontairement quitter nos rivages. La stricte application de cette bienveillance mal placée est l’affaire de cours de justice qui sont tout aussi hors sol dans leurs décisions et qui font, malheureusement, autorité dans nos propres tribunaux. Ainsi œuvrent la Cour de justice de l’Union européenne et surtout la Cour européenne des droits de l’homme de Strasbourg, dont les juges - parfois des activistes d’ONG - sont nommés dans des conditions pour le moins opaques. Ce gouvernement des juges européens, associé à cette kafkaïenne machinerie normative, incompatible avec le règlement du fléau migratoire, a assez duré.
Quel sera le contenu du projet de loi sur l’immigration de Gérald Darmanin ? Depuis un an et demi, l’exécutif tergiverse. S’il veut être efficace, le ministre de l’Intérieur n’a qu’une solution : proposer la révision de la Constitution française pour que, sur ce front, les accords internationaux et européens ne s’imposent plus à nous. Cet enjeu de souveraineté se double d’un vif enjeu de sécurité.
Source : Le Figaro 27/10/2023
08:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Que mille formations fleurissent ! »
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Les devantures des librairies témoignent du grand effondrement de l’instruction en France. De nombreux titres évoquent une cruelle réalité : l’indéniable déclin scolaire. De Jean-Paul Brighelli qui a sorti La Fabrique du crétin. Vers l'apocalypse scolaire (L’Archipel, 2022), après La Fabrique du crétin. La mort programmée de l'École en 2005, au diagnostic implacable de Lisa Kamen – Hirsig avec La grande garderie (Albin Michel, 2023) en passant par Ève Vaguerlant qui vient d’écrire Un prof ne devrait pas dire ça. Choses vues et choses tues dans l’Éducation nationale (L’Artilleur, 2023), le constat est accablant. Qu’elle soit publique ou privée sous contrat, l’école percluse d’injonctions officielles politiquement correctes en faveur du climat, de la planète, du vivre ensemble, voire des punaises de lit stigmatisées, plonge dans la plus grande médiocrité.
Ce désastre magistral frappe plusieurs générations et affecte directement le militantisme. Coller des autocollants et des affiches, manifester dans les rues, distribuer des tracts demeurent des initiatives presque vaines si en parallèle une solide formation militante n’est pas donnée sur le long terme. Longtemps, les mouvements politiques ont engagé du personnel et des moyens dans des cours d’enseignement politique. Le Parti communiste français avait sa fameuse école des cadres, véritable vivier pour ses éléments les plus prometteurs. L'Œuvre française de Pierre Sidos comme d’ailleurs les différentes chapelles de l’Action française exigeaient des lectures obligatoires, hebdomadaires ou mensuelles, avec un compte-rendu écrit ou oral à la clé. Dans les années 1990, le Front national misait beaucoup sur ce domaine avec l’organisation estivale d’université tenue par le FN de la Jeunesse, le Conseil scientifique et la revue Identité. La scission de 1998 a détruit ce patient travail.
Une notice signée Camille Vigogne Le Coat parue dans L’Obs du 28 septembre au 4 octobre 2023 prévient son lectorat bo-bo grisonnant que « l’ex-ministre Charles Millon crée une école ». Ancien ministre de la Défense de 1995 à 1997, député à plusieurs reprises du Bugey dans le département de l’Ain et président du conseil régional Rhône-Alpes entre 1988 à 1999, Charles Millon appartient à l’UDF (Union de la démocratie française) d’obédience giscardienne dans le sillage de l’ancien premier ministre Raymond Barre. Sa carrière politique s’arrête nette en 1998. Au lendemain des élections régionales, il accepte d’être réélu à la présidence du conseil régional Rhône-Alpes avec les suffrages du FN. Désavoué par Jacques Chirac et exclu de l’UDF, il fonde La Droite qui se transforme ensuite en Droite libérale chrétienne d’une existence assez éphémère.
Selon L’Obs, Charles Millon lancerait une École Thomas-More (à ne pas confondre avec l’institut éponyme atlantiste). Ancien responsable du mensuel néo-conservateur L’Incorrect, Jacques de Guillebon, la dirigerait. Cet établissement enseignerait « une France enracinée, libre et vivante, fédéraliste, décentralisée et chrétienne ». On trouve déjà ces thèmes dans l’essai intitulé La Paix civile (Odile Jacob, 1998) dans lequel le mari de la philosophe catholique conservatrice Chantal Delsol exposait son point de vue ordolibéral et subsidiariste. L’école devrait ouvrir en janvier 2024.
L’École Thomas-More apparaît dans un milieu très compétitif d’autant que le créneau se veut aujourd’hui porteur. Sous la direction du politologue Jérôme Sainte-Marie et de Gaëtan Dussausaye, le RN a lancé le Campus Hemera du nom de la déesse primordiale grecque de la lumière terrestre. Il s’agit de proposer des recensions audio d’ouvrages à la demande, soit environ une dizaine pour l’instant. Le Campus Hemera souhaite « permettre aux adhérents du RN d’accéder à des formations en ligne, de s’inscrire à des cours ou à des conférences organisés par le Campus ». Pas certain que la formation à distance – ou « télé-formation » - soit un gage de convivialité, de réussite et d’efficacité…
Fondé en 2004 et présidé par Alexandre Pesey, l’Institut de formation politique (IFP) propose de véritables cours dans le cadre de son Institut libre du journalisme, de son École de l’engagement politique et de son École des entrepreneurs civiques. D’orientation conservatrice libérale, l’IFP a compté parmi ses stagiaires les plus célèbres la plus jeune députée de la XIVe législature (2012 – 2017) : Marion Maréchal–Le Pen. À peine élue dans la troisième circonscription du Vaucluse, la nouvelle représentante souhaite une mise à niveau politique, administrative et économique que le FN est bien incapable de lui offrir. Elle s’inscrit alors à l’IFP. Son stage la marquera.
En effet, ne se représentant pas à la députation en 2017, Marion Maréchal lance avec Thibaut Monnier et Sylvain Roussillon l’ISSEP (Institut des sciences sociales, économiques et politiques) en 2018 à Lyon. En presque une décennie d’existence et malgré les maintes entraves du Régime qui freinent son développement, l’ISSEP se maintient et s’exporte jusqu’en Espagne. Il souffre cependant d’une mauvaise image colportée par des instances médiatiques hostiles. Lors de la présidentielle de 2022, Marion Maréchal et Charles Millon ont tous deux soutenu le candidat Éric Zemmour.
Le parti de ce dernier, Reconquête !, miserait lui aussi sur la formation de ses adhérents les plus investis. Cependant, il est difficile de concilier tant dans le temps que par la mobilisation financière et humaine des initiatives hardies comme Parents vigilants et des sessions régulières et cohérentes de formation. Il est par ailleurs prévu que le mouvement zemmouriste se dote d’une revue théorique sous la direction de Marion Maréchal. Ce dernier projet semble reporté pour cause de campagne des élections européennes de 2024.
Créée en 2013, Academia Christiana est bien connue des auditeurs de Radio Méridien Zéro puisque plusieurs reportages et entretiens lui ont été consacrées. Des animateurs de votre radio Internet préférée tels le Lieutenant Sturm et votre serviteur sont intervenus aux universités d’été à son invitation. Lancé dans la foulée de la Manif pour Tous, ce laboratoire d’idées cherche à préparer ses jeunes participants à fortifier par ces temps chaotiques leur vision catholique et identitaire. Or, à l’instar de l’Action Française pendant l’Entre-deux-guerres, Academia Christiana risque, le moment venu, de connaître le désaveu officiel d’une Église catholique devenue entre-temps synodale, inclusive climatiste…
Cette menace diffuse, l’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne ne s’en soucie guère. Instauré en 2014, un an après le sacrifice volontaire de Dominique Venner, l’Iliade accueille une promotion sur deux ans. Outre des frais engagés, les participants doivent réserver quelques samedis et dimanches pour suivre cours et autres allocutions. Chaque inscrit s’engage en outre à réaliser un travail personnel sous la forme d’un essai concis, d’un court métrage ou la tenue d’une exposition ou d’un séminaire, etc. L’Iliade remplace le GRECE peut-être un peu trop marqué par une métapolitique perçue stérile et étouffante.
Toutes ces initiatives sont intéressantes, mais la formation seule ne débouche pas forcément sur une avancée effective des idées dans le champ politique. En partenariat avec les Éditions de la Nouvelle Librairie, Academia Christiana et son pendant païen, l’Iliade, publient des ouvrages courts en nombre de pages. Le public post-adolescent et les jeunes adultes lisent de moins en moins. Des essais concis et ramassés peuvent mieux attirer un jeune public que la lecture rebute habituellement. Les PUF avec la collection « Que sais-je ? » et les éditions Pardès avec la collection « Qui suis-je ? » l’ont bien compris depuis de très longues années. Éditer aujourd’hui de gros pavés imprimés ainsi que des revues pesantes à parution irrégulière avec des articles de fond de plusieurs dizaines de pages s’apparentent à un suicide éditorial ! Par la faute d’une institution décatie qui n’enseigne plus que de l’ignorance programmée, bien des générations se détournent, dégoûtées, de toute lecture...
Dans ces conditions où priment les réseaux sociaux, il est vital que perdure Radio Méridien Zéro. Radio MZ, vous le savez, ne verse pas dans la distraction et le divertissement. Elle privilégie au contraire le décryptage de l’information, la ré-information et la formation permanente. Sa longévité démontre ainsi une belle constance. L’émission mise en ligne à la fin du mois de septembre présente l’excellent projet du Belge Jeremy Baneton : IdéoChoc. C’est une manière appropriée de s’instruire sérieusement. Évoquons aussi les analyses pertinentes fournies par Ego Non sur son propre site. En investissant le monde numérique, Ego Non et Jeremy Baneton, sur les traces de Radio Méridien Zéro, peuvent attirer un public réfractaire à toute lecture. Une belle complémentarité s’opère !
Après des années de désintérêt manifeste, le domaine crucial de la formation suscite enfin quelques belles entreprises. C’est la raison pour laquelle il faut s’en féliciter et appeler à l’éclosion au sein des périphéries non-conformes de mille formations inévitablement concurrentes. L’urgence nécessite la constitution d’élites nouvelles capables prochainement de s’imposer en temps de crises majeures multiples. Conjugué à l’édition papier qu’il importe de conserver, l’outil Internet se révèle pour la circonstance un atout précieux. Et si c’était un nouvel indice de l’indéniable déscolarisation de la société ?
Salutations flibustières !
« Vigie d’un monde en ébullition », n°89, mise en ligne le 24 octobre 2023 sur Radio Méridien Zéro.
01:51 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« ZÉRO EST ARRIVÉ – É – É »… (AIR BIEN CONNU)
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Ils étaient venus, ils étaient tous là, bien alignés ou presque sur le tarmac de l’aéroport Ben Gourion, dans la banlieue de Tel-Aviv, dès qu’ils surent que le chef de l’État français s’était posé ce lundi soir 23 octobre. Personnel de l’ambassade bien sûr, membres du protocole, ils allaient voir ce qu’ils allaient voir, « Zéro était arrivé-é-é », notre sauveur planétaire avait débarque de son A-330 présidentiel, tel captain América. Il venait la tête pleine de bonnes idées, comme d’habitude adepte du « en même temps ». Notre diplomate number one, notre Talleyrand de banlieue, notre Metternich de comptoir, venait d’atterrir dans cet « Orient compliqué » comme le décrivait autrefois, déjà, un autre Machiavel, mais de plus haute volée celui-ci, Charles De Gaulle.
Emmanuel Macron arrivait avec un plan bien ficelé, d’une simplicité biblique – le terme convient à la région ! – élargir le champ d’action de la coalition internationale montée pour lutter contre Daech, à une action contre le Hamas. « En voilà une idée qu’elle est bonne », pleine de bons sentiments, de quoi satisfaire Israël et nos alliés, se disait notre homme. Partout où notre sémillant président est passé, il a reçu un accueil poli, mais aucun soutien à ce plan bien vite remisé au magasin des accessoires obsolètes ou trop « avangardiste » !
La tournée orientale du Chef de l’Etat a été ramenée à une suite de conversations égrenant des banalités connues depuis longtemps, hélas jamais mises en œuvre en raison de la mauvaise foi bien répartie de tous les protagonistes. L’idée généreuse d’une Palestine à deux Etats a fait long feu. C’est pourtant, objectivement, la seule qui pourrait nous sortir tous du bourbier car, que nous le voulions ou non, par l’importance des populations concernées sur notre sol, nous sommes impactés, nous Européens, et plus particulièrement les Français, par ce conflit séculaire.
Verrons-nous un jour la fin de cette lutte de deux peuples pour une même terre ?
Ce n’est pas nouveau, Arabes et Juifs de Terre sainte se détestent. Cela remonte bien avant le plan de partage de la Palestine de 1947, jamais réalisé par le regrettable refus, il faut le reconnaître, de la partie arabe. Dès que l’idée du sioniste Théodore Herzl du retour « sur la terre promise du peuple élu » fut mise en œuvre par l’achat de terres en Palestine occupée par les Ottomans, des résistances se firent sentir, ici et là. Des Juifs qui espéraient échapper aux pogroms en Europe de l’est, durent apprendre à se défendre et à mettre sur pied des milices pour protéger – déjà ! – leurs kibboutz.
L’hostilité ne fit que s’amplifier au fur et à mesure de l’augmentation du peuplement du Foyer national juif consacré par la déclaration Balfour de 1917, la région ayant changé, entretemps, de protecteur, passant de la suzeraineté de la Sublime porte à celle de Sa majesté britannique.
Depuis la guerre d’indépendance d’Israël de 1948, en passant par les conflits de 1956, la « Guerre des six jours » de 1967, celle du Kippour à l’automne 1973, l’invasion du Liban en 1982 et 2006, la paix n’a vraiment jamais régné dans ce coin semble-t-il maudit, de la planète. Il y eut bien l’extraordinaire rencontre à Jérusalem de Sadate et Begin, enterrant la hache de guerre entre l’Egypte et l’Etat Hébreu, puis l’ouverture de relations diplomatiques entre Israël et Amman, et le spectaculaire accord entre Rabin et Arafat en 1993. (Le premier payant de sa vie, comme Sadate, ses gestes de paix, assassiné par un Juif religieux.) Jamais, vraiment, les protagonistes ne purent cohabiter sereinement. On voit bien que l’évacuation de la bande de Gaza en 2005, décidée par Ariel Sharon - victorieux général de la guerre de 1973 - n’a rien réglé. Les heurts sont constants en Cisjordanie entre colons et Palestiniens, le Hezbollah harcèle la Galilée depuis le Sud-Liban, transformé en « Charialand » (1), et le Hamas vient de prouver au monde entier de quelles horreurs il était capable. Alors, Tsahal va cogner, dur, sans doute au prix de pertes sévères. Il est à craindre que les pauvres otages passent par « pertes et profits ».
01:23 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 26 octobre 2023
Entretien Jean-Marie Le Pen / André Bercoff sur Sud Radio
20:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les subventions aux associations de migrants multipliées par trois en cinq ans
Selon une étude mise à jour ce mercredi 25 octobre par Samuel-Frédéric Servière pour la Fondation iFRAP, les subventions accordées par l’État aux associations pro-migrants ont été multipliées par trois entre 2008 et 2023, tandis que les exécutions d’OQTF, elles, sont en chute libre. Pas moins de 1.350 organisations sont concernées par ces subventions. Leurs actions sont triples, elles agissent en matière d’asile (accueil, hébergement et accompagnement), d’intégration et en matière d'immigration (accueil, accompagnement des étrangers maintenus en zone d’attente aéroportuaire, assistance juridique aux CRA).
Entre 2016 et 2022, les subventions à ces associations bondissent de 306 à 981,2 millions d’euros.
Pourtant, les OQTF peinent à aboutir : alors que le budget alloué a été multiplié par trois, le pourcentage des exécutions d’OQTF a été divisé par trois. Sur six mois de 2022, il atteint 6,9 %, contre 22,3 % en 2012. Ainsi, il est manifeste que les associations prenant en charge les migrants ne mettent pas d’efforts monétaires dans des opérations de reconduite à la frontière mais consacrent leur budget à leur installation pérenne dans le pays d’accueil, constate l'iFRAP.
Fondation IFRAP cliquez ici
17:17 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
SAMEDI 28 OCTOBRE, À BÉLÂBRE (36)
15:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Bernard Lugan : "assimilation et intégration sont des foutaises", un entretien avec Livre noir...
12:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Iran, la répression des mollahs et autres fous du hijab s’amplifie dans l’indifférence totale des pays occidentaux et dans le silence absolu des islamogauchistes.
Michel Festivi
La terreur en Iran continue. Le 1er octobre dernier, une lycéenne de 16 ans qui ne portait pas le voile obligatoire en république islamique a été prise à partie, dans le métro de Téhéran, par la police des mœurs. La malheureuse est aujourd’hui en état de mort cérébrale.
Depuis le décès, l’an passé, de Mahsa Amini, maltraitée aussi par la même police, la répression après avoir un temps ralenti, a repris de plus belle. Il y a quelques jours deux journalistes qui avaient couvert ce tragique assassinat viennent d’être condamnées à 7 et 6 ans de prison, elles sont d’ailleurs détenues depuis un an.
Les chefs d’inculpation sont à la mesure d’un état totalitaire soviétique, chinois ou coréen du nord : Coopération avec les USA, complot contre la sécurité du pays et propagande contre la république islamique. On se croyait revenu au temps des procès de Moscou, ou devant le Tribunal du Peuple du sinistre Roland Freisler, lorsque les accusés étaient pendus à des crocs de boucher.
Être avocat en Iran est singulièrement dangereux. L’avocat de Mahsa Amini a été condamné à un an de prison pour « propagande » contre l’État après « s’être entretenue avec des médias étrangers et locaux sur l’affaire. » En Chine, les avocats sont des sortes de procureurs et plaident contre l’intérêt de leurs clients, demandant sa condamnation. Communisme et islamisme ont toujours fait bon ménage.
Mercredi dernier, les autorités iraniennes ont annoncé qu’au moins douze actrices, douze comédiennes seront désormais interdites de travailler, pour être apparues en public sans porter le hijab obligatoire, car « celles qui ne respectent pas la loi, ne sont pas autorisées à travailler » a déclaré le ministre de la Culture et de l’orientation islamique, cela ne s’invente pas, le sinistre Mohammad Mehdi Esmaeili.
Cela a été confirmé par un responsable cinématographique, Habib Il Beigi « elles ne peuvent plus tourner dans un nouveau film ». Effectivement de nombreuses actrices ont été vues têtes nues sur les réseaux sociaux, suite au mouvement de contestation de septembre 2022, après la mort de Mahsa Amini.
Et chez nous, des femmes ne supportent pas de ne pas porter le voile, notamment dans le sport ou à l’école. A mon sens un séjour en Iran ou en Afghanistan leur seraient plus que profitable. Madame Obono, qui vient d’être nommée à la Cour de Justice de la République a considéré que le Hamas n’est pas une organisation terroriste, du moins a-t-elle refusé de le qualifier ainsi, alors que soutenu par l’Iran, il n’avait pas hésité à massacrer atrocement des femmes, des vieillards et des enfants, mais cela n’est pas du terrorisme !
En république islamique, on suit la loi de l’islam, on se doit de porter le voile, sinon on va en prison, ou l’on est interdit de travail, de moyen de ressources, on est alors considéré comme une citoyenne de seconde zone, il faut dire que de nombreuses sourates du coran organisent l’apartheid entre hommes et femmes et entre croyants et incroyants. En France bientôt aussi...Notre ministre de l’intérieur lui, « s’amuse » et dénonce les tweets d’un footeux, c’est l’arbre qui cache la forêt. Pendant ce temps aussi les réseaux Fréristes étendent leur toile inexorablement, avec l’appui de nos institutions nationales et européennes.
12:22 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 24 octobre 2023
Octobre 1956 : l'insurrection de Budapest
En 2016, pour marquer le 60e anniversaire du soulèvement nationaliste hongrois, Synthèse nationale a publié le texte intégral en deux volumes du livre de David Irving, Insurrection Budapest 1956, le cauchemar d'une nation. Ces deux tomes sont toujours disponibles.
Le premier volume cliquez ici
Le second volume cliquez là
19:02 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un entretien avec Patrick Jardin sur le site Réseau Libre
Notre Ami Patrick Jardin vient de donner un entretien à notre confrère Réseau libre cliquez ici. Nous la reproduisons bien volontiers.
S N
Patrick Jardin bonjour!
Vous inaugurez la rubrique “interviews” de Réseau-Libre, qui donnera la parole à des “figures” de la “fachosphère” comme les désignent nos ennemis; une appellation qui ne nous déplait pas. Tout le monde vous connait, hélas peut-on dire, à travers l’assassinat de votre fille par des musulmans au Bataclan. Nous connaissons votre combat courageux et honorable mais voudrions avoir votre opinion sur la situation générale en France et son évolution.
Je suis très honoré d’être le premier à inaugurer votre rubrique “interview” après la censure récente sur Cnews cela me remet un peu de baume au coeur….
Comment décririez-vous la situation générale de la France, en quelques mots?
Vous ne serez pas surpris si je vous dis que la situation de la France notre merveilleux pays est dans une situation catastrophique depuis l’avènement de Macron ce pays fonce dans l’abîme plus aucun secteur ne fonctionne: Inutile ici de parler de la dette abyssale qu’il a créé dont je pense nous nous remettrons jamais car nous n’arrivons même pas à payer les intérêts de la dette ….et ce qui me préoccupe encore plus c’est que les détenteurs de notre dette sont les pays du golf ce qui fait qu’à plus ou moins brève échéance nous serons à leur merci!Il faut savoir que la France est en position de dépôt de bilan.
Concernant le pouvoir d’achat il ne fait que de baisser deux causes apparemment évidentes:
1° le prix du pétrole qui ne fait qu’augmenter alors que le prix du baril est quasiment stable,
2°le prix de l’électricité par la faute de Macron et du ministre de l’économie (vous savez celui qui a du mal avec son salaire de ministre d’acheter des paquets de pâtes pour ses 4 enfants et qui déclare vouloir mettre par terre l’économie Russe (vous me direz qu’il a aussi avant d’être ministre déclaré que Macron était un bon a rien et que son programme était »vide mais ça c’était avant d’être ministre) qui a d’abord supprimé nos centrales nucléaires alors que nous avions l’électricité la moins cher du monde et a accepté les désidératas de L’Allemagne qui elle se fout complètement de l’écologie et produit de l’électricité avec du charbon et qui nous a obligé à accepter d’aligner le prix de l’électricité sur le prix du gaz de la voix même de mon ami Loïc Le Floch Prigent.
C’est une énorme connerie excusez moi du terme. Conjointement à cela l’Europe nous oblige à revendre une part de notre électricité aux autres pays Européens et d’en racheter à un prix supérieur à ces mêmes pays. C’est l’accord qu’à signé notre Beethoven de l’économie contre tous les principes, c’est à dire vous devez vendre 100 et vous devez racheter 120 belle performance, il faut être complètement con pour signer un tel accord!
Je comprends mieux le financement de la campagne de Macron par Rotschild, ils étaient pressés de se débarrasser d’une telle nullité ce mec est FOU!
La police est démobilisée et est soit en grève soit en prison, la délinquance est partout avec environ 3 homicides par jour, et 353600 coups et blessures par an soit environ 1000/par jours et d’année en année ces chiffres progressent d’environ 10%. A mettre en rapport avec l’augmentation des flux migratoires qu’on le veuille ou non (500000/an) et le remplacement de la population.
L’armée est sous armée de sorte qu’elle n’a pratiquement plus de munitions et qu’en cas d’agression l’agresseur quelqu’il soit serait à Paris en 48 Heures mais c’était déjà le cas du temps de Hollande, Macron en diminuant les crédits de l’armée n’a fait qu’amplifier le problème (voire le Général Devilliers).
Notre système de santé qui était un des meilleurs du monde n’est plus que l’ombre de lui même.
Bref notre pays qui était en tête des puissances mondiales est en train de chuter dangereusement, ne représente plus une grande puissance mondiale si chère à De Gaulle, se situe au rang des pays du tiers monde et je ne vois vraiment pas comment nous allons pouvoir nous en sortir….
Par ailleurs je trouve très dangereuse la façon dont Macron subventionne l’Ukraine (comme d’habitude avec notre argent et sans nous demander notre avis)je trouve cela très dangereux car cela fait de la France l’adversaire déclaré de la Russie et de M.Poutine et je pense sincèrement qu’il n’est vraiment pas nécessaire d’engager notre pays dans un conflit qui ne nous regarde pas et surtout sans demander l’avis des Français!
18:38 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les petits plaisantins d’Allah-qu’elle-est-bien-bonne !
La chronique de Philippe Randa
« Petits plaisantins » : qu’en termes si gentils, si doux, presque cajoleurs, sont ainsi désignés les instigateurs des fausses alertes à la bombe qui se multiplient plus vite encore ces temps-ci qu’un coronavirus. Par qui ? Mais par « la » grande gueule du gouvernement, le guère aimable habituellement Éric Dupont-Moretti, Garde des Sceaux durant ses heures de bureau et pourfendeur de fachos le reste du temps (sachant que pour lui, le fascisme commence à la droite de François Bayrou).
Pourquoi minimiser ainsi ceux qui – tous gamins, assure-t-on – n’agiraient que pour « passer le temps » et « rigoler un coup dans ce monde de brutes » ?
« Aucune des personnes interpellées ne revendique un quelconque positionnement politique », nous assure France Info… Fort bien… et certains des interpellés ont seulement « des antécédents judiciaires », mais aucun n’a « été condamné pour des faits similaires » : on est content de le savoir.
On respire… pour l’avenir de ces petites canailles aussi, puisqu’ils sont tous mineurs (et de sexe mâle) : la Justice n’ayant donc guère de possibilités de leur infliger de trop douloureux châtiments, gageons qu’elle se rattrape sur le portefeuille de leurs parents car comme bon-grand-papa-Dupont-Moretti l’a expliqué aux micros de RTL : « Ce sont les parents qui vont payer les conséquences financières ! »
T’as qu’à croire, Grégoire : si les « polissons » (courbons-nous au même vocabulaire de bisounours que le Garde des Sceaux) sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, sans doute ! Peut-être ! Pourquoi pas ! Et tant mieux ! Leurs géniteurs n’avaient qu’à mieux les élever, n’est-ce pas ?
Mais étonnamment, aucune mention n’est faite de l’origine sociale des boutonneux de la « poilade » à la fausse alerte. Quant à leur origine ethnique, il est, comme on le sait, interdit en France de poser la question qui serait pour beaucoup une réponse en soi.
Ce qui est étonnant, également, c’est que personne ne s’interroge sur la possibilité que ces fausses alertes à la bombe à répétition finissent par lasser, surtout avec leurs conséquences financières… et qu’on finisse par y prêter moins, puis plus du tout d’attention au point de relâcher la surveillance, puis de ne plus donner d’ordre d’évacuation des bâtiments ou autres lieux bondés de monde…
Ce qui contrarierait certes les « petits plaisantins d’Allah », mais pas plus que cela les auto-proclamés guerriers du prophète… Vous savez, ceux qu’on appelle les Fous d’Allah !
Ou ces « résistants », suivant affinités !
EuroLibertés cliquez ici
Rappel : Poitiers demain, le roman culte de Philippe Randa vient d'être réédité...
Pour le commander cliquez ici
17:45 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ne jamais les oublier...
16:16 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 23 octobre 2023
Nature et actions du Hamas : Établir un état islamique mondial par la terreur généralisée.
Michel Festivi
On est toujours trahi que par les siens, c’est bien connu. Le Hamas n’échappe pas à la règle. Grâce à un journal espagnol de droite, El Debate, on y apprend que le fils du chef de cette organisation terroriste, Mosab Hassan Yousef, a fui sa famille quand il a vu comment se comportait ce ramassis de tueurs patentés.
Dans ses déclarations, faites sur Fox news, reprises donc par El Debate, il précise qu’il s’est expatrié aux USA et qu’il s’est converti au catholicisme. Pour lui, le Hamas n’a que faire de la vie humaine, ni des palestiniens, sauf à être aveugle et sourd et d’une mauvaise foi insigne on s’en était aperçu.
Il relate avoir vécu au sein même des tueurs du Hamas, de les connaître parfaitement, il était de surcroît traité comme un prince en tant que fils du chef. Il fut le témoin de leurs crimes contre d’autres palestiniens, notamment en 1996.
Pour lui, le Hamas n’est pas un mouvement national. « C’est un mouvement religieux avec pour objectif d’établir un état islamique, le nationalisme lui importe peu, de fait ils sont même le contraire d’un nationalisme. Ils utilisent la cause palestinienne seulement pour réaliser leurs objectifs qui est de transformer le Moyen-Orient puis le monde en un état islamique ».
Car au-delà du Hamas, il y a l’Iran en point de mire. « Le Hamas sert les intérêts de l’Iran. Nous devons libérer Gaza du Hamas. Israël fait pour le peuple palestinien la meilleure action en tentant de renverser le Hamas. »
Voilà qui pourrait servir de réflexions à nos Nupes et à Madame Obono, mais j’en doute fort. L’extrême gauche française en acceptant de se compromettre avec l’islamisme s’est pris elle-même à son propre piège. Elle est électoralement acculée à soutenir les pires idéologies islamo-gauchistes si elle veut conserver sa clientèle et ne pas sombrer. Elle confond cause palestinienne et islamisme radical et n’a pas vu ou ne veut pas voir que désormais les Chefs palestiniens sont englués dans l’islamisme le plus total, et c’est la surenchère.
En tout cas, l’hydre islamiste se répand comme une trainée de poudre, et en orient et en occident. C’est effectivement comme le communisme essayait de le faire il y a des lustres. A cet égard l’excellent article paru dans le Figaro magazine de Michel Onfray, a un titre trompeur, comme l’ont relevé de nombreux commentateurs. L’islamisme n’est pas du tout un fascisme, pour les mille raisons qui ont été exposées, mais bien une tentative d’arriver par la contrainte à un gouvernement mondial, un califat planétaire, exactement comme le communisme avait tenté de le faire après 1945.
On ne brisera cette tentative hégémonique qu’en comprenant et analysant l’islam. Pour cela il faut lire et disséquer le coran. En 1934, le Maréchal Lyautey avait exigé de ses officiers qu’ils aient lu Mein Kampf, et pour cela avait demandé à un éditeur de droite de le traduire et le diffuser, c’était selon lui la condition sine qua non pour lutter contre hitlérisme. C’est la même chose aujourd’hui avec l’islam. Si on veut démontrer sa volonté prosélyte mondiale il faut l’avoir lu, car tout y est dit explicitement. Il faut arrêter avec les « pas d’amalgames et l’islam ce n’est pas ça ».
Pendant ce temps, en Iran, une jeune fille qui refusait le port du voile et qui a été frappée par des gardiennes de la révolution est en état de mort cérébrale. Mais de cela les sportifs, les footeux, les artistes engagés, les nupes et autres LFI s’en fichent comme de leur première chemise. D’ailleurs on ne les a pas entendus. Et pour cause.
23:51 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |