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vendredi, 17 avril 2015

Dimanche 26 avril 2015 : Luc Pécharman interviendra lors de la 3e Journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale

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18:03 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Politique : le vrai choix

AVT_Nicolas-Machiavel_9056.jpegClaude Bourrinet

Dans la nature, on se défend, ou on attaque, avec des leurres. Mais la réalité, c'est la mort. D'où naît la vie.

En politique, c'est un peu la même chose. La "démocratie", qui est une voie détournée pour atténuer les heurts de la guerre civile, cœur de toute société vivante, est, bien sûr, un mensonge : on croit résoudre, comme dans un salon de thé, des problèmes qui mettent en jeu des conflits d'intérêts et des questions identitaires qui engagent la vie et la mort de communautés. Les seuls moments où un pays a manifesté un surcroît d'énergie furent ceux où des groupes s'empoignaient violemment. Le reste est gentillesse de troupeau bêlant. Machiavel, dans ses Réflexions sur la Première Décade de Tite Live et dans Le Prince, ne dit pas autre chose, et il a raison.

Le parti communiste français, selon Guy Mollet, était plus à l'Est qu'à gauche. On pourrait dire aussi que la gauche et la droite actuelles sont à l'extrême Ouest, c'est-à-dire à Washington. La sortie de l'Histoire, pour un peuple, c'est-à-dire le refus de risquer, jusqu'au bout, sa peau, est aussi une manière – lâche – d'éluder le conflit. On trouve toujours de bonnes raisons pour s'en passer. On n'évite pas pour autant, dans ce cas, les guerres fomentées, sur le territoire du pays abdiquant sa souveraineté, par l'étranger. Le vide appelle le plein.

Le parti communiste français avait choisi l'URSS en 1939, donc, à ce moment, l'Allemagne hitlérienne, contre la France. Il est vrai que Lénine avait dit que tout révolutionnaire devait combattre son propre pays.

J'avoue que l'on pourrait disserter, à l'infini, sur la légitimité de ces décisions paradoxales, pour les patriotes, qui peuvent, selon l'identité des vainqueurs, passer pour trahisons, ou bien tomber dans l'oubli, ou, mieux, se présenter comme des choix avisés. Au fond, De Gaulle a opté pour le bon cheval, et Pétain pour le mauvais. La défaite de juin 40 ne laissait pas d'autre alternative, et le nationalistes devaient manger leur képi. Le naufrage est toujours cruel pour ceux qui se noient.

Nous en sommes encore là. Certains voient l'Amérique comme le paradis, pour d'autres, c'est la Russie de Poutine. Le problème est que l'Europe - et la France - ne prennent pas en charge leur destin.

Pour en revenir au parti communiste français, on peut, certes, a posteriori, comme dans le gaullisme, retenir un certain conservatisme plutôt sympathique : rejet de l'avortement, de l'idéologie homosexuelle, culte de la famille, de la nation, du (des?) passé(s) français etc.

Mais il ne faut jamais oublier ce qu'étaient ces « progressismes ». Le gaullisme n'a pas su se montrer critique à l'égard d'un modernisme quantitatif qui a défiguré la France, et nous a bloqués dans des impasses ; le parti communiste combattait au nom d'un prophétisme réducteur et imbécile, parce qu'égalitariste. Qui a côtoyé des responsables staliniens (et même trotskistes) connaît leur médiocrité humaine et culturelle. Le militantisme abêtit.

Le vrai choix est entre l'honneur et la honte, entre l'excellence et la médiocrité. A chacun de sonder son cœur et ses reins. L'instinct vaut mieux, parfois, que les ratiocinations. Les « idées » ne sont souvent que des colifichets. Après, on peut toujours habiller, comme l'on veut, le symbole qu'on s'est donné.

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Ce vendredi soir, sur Méridien zéro

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Paris : HYSTERIE ANTIFA CONTRE DES PATRIOTES...

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Dimanche dernier à Paris, en fin d'après-midi, Alexandre et Lydia rentrent tranquillement chez eux. Tout à coup, ils sont sauvagement agressés par une horde d'"antifas", ces hystériques qui, au nom d'une hypothétique lutte anti-fasciste, servent de petits domestiques à la haute finance mondialiste en s'attaquant à la résistance patriotique.

Alexandre et Lydia sont en effet des militants nationalistes. Avant la dissolution de 3e Voie, en juillet 2013, ils participaient aux activités de ce mouvement. Au moment de "l'affaire Méric" cliquez là, Alexandre a été inquiété sans que rien ne puisse lui être vraiment reproché. La justice du Pouvoir n'ayant pas pu les punir d'aimer la France, ce sont donc ses larbins supplétifs qui s'en sont chargés dimanche dernier. Pour justifier cette violence, les "antifas" ont prétendu vouloir venger Clément Méric, un gauchiste décédé accidentellement il y a deux ans alors qu'il participait à une agression contre des jeunes nationalistes dans le quartier de la Gare Saint Lazare.

Alexandre a pris vingt jours d'ITT, Lydia quatre. Pas un journaliste, pas un homme politique, pas un donneur de leçon ne s'est intéressé à leurs cas. Il est vrai qu'Alexandre et Lydia ne font pas vraiment parti, aux yeux de ces gens là, de "l'humanité". Ils ne sont que des patriotes juste bons à croire encore dans les valeurs de leur civilisation. Cela, le Système ne le tolère pas.

Mais Alexandre et Lydia ne sont pas seuls. Partout en France des millions de gens prennent conscience qu'il est temps d'en finir avec ce Système dont le premier objectif est de tuer les identités. L'heure des comptes approche où ceux qui le servent devront bientôt s'expliquer. Nous travaillons pour cela.

Synthèse nationale

01:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

VOTE OBLIGATOIRE : LA FABRIQUE DES ÉLECTEURS

3440833155.jpgRaoul Fougax

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Il parait qu’il est interdit de critiquer la démocratie. Et bien tant pis, la proposition du vote obligatoire porté par le parti socialiste renforce ceux qui pensent que sa principale caractéristique est l’hypocrisie.

En  effet dans le meilleur des mondes démocratiques possibles, les électeurs se rueraient en masse aux urnes pour manifester leur attachement à un personnel politique aussi vertueux que compétent.

Or il n’en est rien. Le rejet est massif entre votes anti-système et abstention. Ce ne sont certes pas des votes contre la démocratie rêvée mais contre sa traduction politique réelle. La seule qui importe, la démocratie contrairement à la monarchie ou  au totalitarisme est une utopie jamais réellement concrétisée.

Quand le devoir devient une obligation accompagnée de sanctions, c’est tout de même peu démocratique dans l’esprit. Alors il faut poser une simple question : à qui profiterait le plus le vote obligatoire ? Personne ne le sait. En revanche les socialistes sont persuadés qu’ils en seraient les bénéficiaires. CQFD.

Cela part du constat très simple que c’est leur électorat qui boude le plus les urnes. Donc le ramener de force parait une bonne idée. Le déçu dans l’urne devra quand même choisir le parti le plus proche de lui.

Il y a en plus une autre arrière pensée sans doute déterminante. Les socialistes n’ont d’espoir électoral que dans les Français issus de l’immigration récente arabo-africaine. Or, les «jeunes» qui se sentent exclus ou s'excluent eux même votent de moins en moins.

Allez, tout le monde aux urnes pour contrer mais qui…. Le FN bien sur ! Le vote obligatoire pour sauver une démocratie que personne  ne menace, surtout pas le FN révisé. Tout cela pue.

De plus si longtemps l’abstention a grossi le score relatif du FN, ce n’est sans doute plus vraiment le cas. Et traîner aux urnes par les pieds des gens qui, par choix politique, ne votent plus et se sentent en sécession par rapport à la république actuelle n’est pas sans risque. Quand aux abstentionnistes viscéraux, certains pêcheurs trouveront que les obliger à voter est une contrainte peu démocratique et ils pourraient choisir eux aussi un vote sanction contre le totalitarisme votatif.

Le vote est, parait-il, un droit démocratique, mais il est utilisé également dans les régimes autoritaires et totalitaires. Il serait donc également un  devoir. Un devoir qui deviendrait obligatoire pour obliger les ingrats à voter pour leurs bienfaiteurs naturels – la gauche socialiste bien sûr. Ce calcul politicien de Claude Barcelone risque d’être aussi pertinent que la fameuse dissolution Chirac-Juppé.

Si les politiciens étaient éclairés, cela se saurait et les citoyens seraient également des électeurs sans qu’on se sente obligé de les rafler le jour du vote.

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Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER - RIVAROL N° 3183 du 9 avril 2015

SELON des informations livrées par L’Obs, la direction du FN mariniste a tenté de faire annuler une interview de Jean-Marie Le Pen sur France Inter, le 17 mars dernier. Jean-Marie Le Pen était annoncé comme l’invité de Patrick Cohen. Craignant de nouveaux “dérapages” et d’insolentes considérations voire l’expression d’abominables pensées, Marine Le Pen a tenté de faire annuler le passage du président d’honneur sur France Inter. Elle a chargé son factotum Alain Vizier, responsable de sa communication, de faire expulser Jean-Marie à son profit. « Il aurait été normal que la présidente du parti soit invitée avant le premier tour des départementales, et non Jean-Marie Le Pen, qui aurait pu être interviewé après le second tour [sic]. Ça a été un bras de fer assez important, j’ai beaucoup insisté » a confirmé Alain Vizier qui, bien entendu, a échoué dans sa mission, les journalistes n’aimant pas trop qu’on leur dicte leur conduite.

 

DEHORS, JEAN-MARIE LE PEN !

 

Les propos de l’entourage de Marine Le Pen, dont Florian Philippot et Alain Vizier à l’encontre de Jean-Marie Le Pen sont d’une extrême et honteuse violence : il serait “gaga” (aurait dit Vizier) et accro à la vodka (si l’on en croit Philippot, alors que Le Pen ne boit pas d’alcool). Alain Vizier a démenti ces propos. Personne n’est rigoureusement obligé de croire qu’il ne les a pas tenus…

 

JEAN ROUCAS PERSÉCUTÉ

 

L’humoriste Jean Roucas, l’ancienne voix du « Bébête Show », avait déjà fait parler de lui de façon parfaitement scandaleuse, quand il s’était rendu à l’université d’été du FN et avait exprimé des sympathies pour ce mouvement. Voici que ce fou récidive. Il n’a rien trouvé de mieux à faire que de fustiger sur Twitter « les méthodes du PS contre les candidats FN ». Plusieurs incidents ont en effet visé des candidats du FN en marge de la campagne pour ces élections. « Incendies, menaces de morts, agressions… Valls et ses SA en action », a-t-il ainsi énuméré avant de lâcher : « Heil Hollande ! ». Scandale ! Valls, chef des SA et Hollande comparé au Führer. Mais que raconte Roucas ? Les deux zozos socialistes ne boxent pas dans la même catégorie ! Les sanctions n’ont pas tardé à tomber. Roucas devait jouer dans la revue « France-Hollande 0 partout » au Théâtre des 2 ânes, dont le directeur est Jacques Mailhot. L’affaire fut promptement traitée : viré. Explication du théâtreux : « Le théâtre a toujours respecté les opinions politiques de chacun de ses pensionnaires, mais il ne peut cautionner de tels propos infamants pour la République et ses représentants ». Ben, voyons… Il est vrai que Jean Roucas y était allé fort (et juste) sur Twitter, dénonçant « Ruquier et sa bande de socialo-collabos », ajoutant : « Oui, nous sommes des Français de souche, ce pays est le nôtre, et il sera difficile de nous en déloger ». Le 7 mars, il postait une photo de Manuel Valls avec une moustache hitlérienne et le 8 mars une affiche « Y a pas bon Banania » avec une caricature de Taubira. Marine Le Pen a twitté : « Quand Bedos père me compare à Hitler, ça n’a fait bouger personne. Soutien total à Jean Roucas ! Charlie à géométrie variable ! » Quant au vieux complice de Jean Roucas, Stéphane Collaro, voici ce qu’il a déclaré : « Quand la fine fleur des comiques français soutenait le communisme stalinien, on ne les virait pas pour autant des plateaux… »

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LA RATP, DROIT DANS SES BOTTES ANTICHRÉTIENNES ET DÉGÉNÉRÉES

 

La RATP a refusé les affiches du groupe “catholique” à succès « Les prêtres », destinées à être placardées dans les couloirs du métro, qui annonçaient leur concert à l’Olympia, le 14 juin 2015 .Il est vrai qu’ils avaient exagéré. L’affiche informait que les bénéfices du concert seraient rassemblés « Pour les chrétiens d’Orient ». Au nom de la laïcité, les affiches ont dû être réimprimées, la RATP demandant que la mention « pour les chrétiens d’Orient » soit enlevée. À noter que lors de l’affichage en octobre 2014 pour annoncer le concert au Palais des Congrès, la RATP avait refusé dans un premier temps les affiches à cause de la croix que porte l’“évêque”. Car, dit la régie publicitaire de la RATP, « Le métro est un espace laïc, il n’y a pas de prise de position, ni politique, ni religieuse ». Petit retour en arrière : la RATP a, dans le passé, placardé des affiches vantant le Secours Islamique de France ou l’entreprise Isla Délice « Fièrement Halal », et tout récemment encore celles de l’entreprise Gleeden appelant ni plus ni moins à l’adultère… On se souvient de son slogan affiché dans les couloirs du métro : « Contrairement aux antidépresseurs, l’amant ne coûte rien à la Sécu ». Et puis la mise en scène graveleuse d’une saucisse de Morteau (« 20 centimètres de pur bonheur »), les slogans du site de réservation d’avion Liligo (« J’ai trouvé le moyen le plus économique pour m’envoyer en l’air »)… Et puis cette affiche Benetton montrant une religieuse embrassant langoureusement un curé. Ou encore une publicité Leclerc parodiant la Cène (« OK, c’est moi qui coupe le poulet »). Et enfin cette campagne spéciale “ramadan” affichée dans tous les couloirs du métro avec cette jeune femme voilée brandissant une carte téléphonique au-dessus du slogan « Je peux gassar sans compter ! » Mais, rassurons-nous, la RATP argue du fait que sa charte proscrit toute communication à caractère “religieux”.

 

Dernière minute : le lundi 6 avril, tardivement et à contrecœur, la direction de la RATP a fini par reculer complètement et admettre purement et simplement la mention « au bénéfice des Chrétiens d’Orient » !

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BONNE NOUVELLE : UN FRANÇAIS DE PLUS…

 

L’ancien député européen écologiste Dany le rouge, Daniel Cohn-Bendit, 70 ans, veut demander la nationalité française, expliquant se sentir à la fois « allemand et français ». Né à Montauban en avril 1945 de parents juifs, ces derniers s’étaient exilés d’Allemagne vers la France après la prise du pouvoir par Hitler en 1933, Daniel Cohn-Bendit avait pris la nationalité allemande pour ne pas avoir à faire son service militaire en France. Désormais, il sera français. Pour pouvoir être candidat à l’élection présidentielle ? Qui sait ?

 

GRANDIOSE ! JULIE GAYET À SCIENCES PO

 

La fiancée du Pingouin a été invitée, il y a quelques jours, à s’exprimer lors d’une conférence à Sciences-Po (nul n’ignore ses hautes compétences en sciences politiques), sur le thème du « genre au cinéma » et devait évoquer son rapport au féminisme et à la création. Vaste et passionnant programme. Le Figaro, présent dans la salle, rapporte des propos de haute tenue intellectuelle : « Avant, j’avais la sensation qu’être féministe était un gros mot. Aujourd’hui, je me dis que je suis féministe par essence parce que je suis une femme. » On comprend que Sciences-Po n’ait pas pu se passer d’une telle puissante pensée. Julie Gayet était notamment invitée pour parler d’un film diffusé à la télévision fin 2013, qu’elle avait produit, intitulé Cinéast(e)s et qui se présentait comme une réflexion sur la place des femmes dans le septième art. Le message d’une profondeur insondable qu’elle tenta de faire passer ?

 

Accrochez-vous : « Un film d’homme, c’est un film. Un film de femme, c’est un film de femme ». Sans doute épuisée par sa géniale pensée, elle refusa de répondre aux questions de la salle. Dommage. Nous aurions sans doute eu quelques raisons complémentaires de nous amuser…

 

QUAND L’INÉNARRABLE PINGOUIN NE SAIT PAS TENIR SA LANGUE

 

Hollande vient d’annoncer, il y a une semaine, la création d’un centre d’appels à Metz au profit des ex-salariés d’Ecomouv’, la société qui avait pour mission de collecter l’écotaxe. A défaut d’écotaxe, tout ceci avait fini par un écocrash, avec plusieurs centaines de salariés sur le carreau. Mais, pas grave, le Pingouin a de la ressource. En visite à Metz, il annonce, fier comme Artaban, la création de « 100 à 150 emplois » sur une « plateforme que Pôle emploi va mettre en place » sur le site d’Ecomouv’. Le président de la communauté d’agglomération, l’UDI Jean-Luc Bohl, y est aussi allé de son petit mouvement de menton, annonçant dans la foulée de Hollande que le groupe Arvato serait chargé de recruter en priorité les anciens salariés d’Ecomouv’. Jusque-là, rien d’apparemment choquant, sauf qu’un appel d’offres avait été lancé par Pôle emploi, qui ne prenait fin que le « 30 mars 2015 à 12 heures », soit trois jours après les vantardises du Pingouin et trois jours avant la conclusion de l’appel d’offres.

 

Du coup la procédure se retrouve entachée d’irrégularité et sera évidemment contestée par les autres candidats qui auront eu la désagréable impression de s’être fait berner. La société lauréate était connue, grâce à Hollande, avant même qu’aucune décision officielle ne pût être prise. Cela porte le doux nom de favoritisme aggravé. Du coup, Hollande se retrouve le bec dans l’eau et malheureusement les salariés d’Ecomouv’ aussi…

 

THIERRY ARDISSON ADORE LES KEBABS, MAIS PAS CHEZ LUI…

 

L’animateur de télévision Thierry Ardisson, bobo invétéré, qui exècre l’extrême-droite, n’en défend pas moins le patrimoine de la France. Il vient de créer une association de défense des arcades de la rue de Rivoli. Normal, il y habite. Il part en guerre contre les excès de certains commerçants de la célèbre rue. Quels commerçants ? Explication : il a déclaré dans une interview : « C’est le patrimoine, c’est la France, c’est en face du musée du Louvre, c’est en face du jardin des Tuileries, il n’y a aucune raison que nous laissions ce patrimoine se dégrader année après année ». Mais qui ou quoi dégrade, diantre, ce patrimoine ? Le super bobo finit par lâcher le morceau : « J’adore les kebabs, mais les kebabs, c’est mieux à Barbès ». En d’autres termes, la colonisation des autres quartiers parisiens ne lui pose aucun souci, dès lors qu’il peut vivre tranquillement, dans le luxe et la volupté, dans son quartier, à l’écart des gueux, fussent-ils Arabes…

 

POISSON D’AVRIL AU “CARRÉ”

 

« Nous devons lutter contre le métissage généralisé et protéger les Européens blancs » : voici les propos supposés avoir été tenus par Marine Le Pen, si l’on en croit le site La Flamme. Hélas, il s’agissait d’un poisson d’avril…

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