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dimanche, 17 février 2019

ALGERIE : PAPY « BOUTEF » FAIT DE LA RESISTANCE

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Le prochain candidat du FLN à l’élection présidentielle algérienne pour un cinquième mandat, sera  Mr Bouteflika, un « jeune homme » de 81 ans. Quelle nouveauté ! Aux Etats-Unis, le siège de la présidence est la Maison Blanche, en France c’est le Palais de l’Elysée, en Italie c’est le Quirinal et au Venezuela c’est le palais Miraflorès ; en Algérie c’est ….un fauteuil roulant ! Quelle image ce pays donne de lui, à travers un homme cloué sur son siège  par un AVC, un pays pour lequel nos larmes ne sècheront jamais après la trahison de 1958/1962. Un pays où environ 40% de sa jeunesse est sans travail, les fameux « dos aux murs », car les jeunes chômeurs s’appuient aux murs des immeubles  toute la journée…

Un pays que nous avons laissé en parfait ordre de marche, avec des routes, des voies ferrées, des barrages, des hôpitaux, des universités, un pays où nous avons découvert le pétrole et le gaz, richesses quasi-exclusives de l’Algérie du mortifère FLN. Ce parti, au lieu de diversifier ses activités, comme les Emirats-arabes unis par exemple, qui savent eux, que les énergies fossiles auront, à terme, une fin de vie, s’est assis sur sa rente pétrolière. Car il faut le dire et le redire, l’Algérie qui était exportatrice de vin et de céréales à l’époque française, importe sa nourriture, subventionnée par l’Etat pour éviter des émeutes de la faim. Au lieu de s’ouvrir au tourisme, comme le Maroc voisin, et d’offrir aux mondes ses beautés naturelles et archéologiques, il s’est refermé sur lui-même.

Importeront-ils bientôt du sable pour le Sahara ?

Vous verrez, un jour les Algériens importeront du sable pour le Sahara ! L’Algérie, c’est le Venezuela de l’Afrique du Nord, avec une population pauvre qui réclame à la France des visas, et qui est sous la coupe de son armée, comme chez Maduro. Vous me direz, mieux vaut l’armée algérienne, cette fameuse ANP qui tire les ficelles, que les islamistes.

Rappelons-nous la guerre menée par les forces de l’ordre aux terroristes du GIA dans les années 1990, après l’annulation de la victoire électorale du FIS : des dizaines et des dizaines de milliers de victimes. D’ailleurs, en coulisses, on parle pour une future succession du Président Bouteflika si Allah le rappelait à lui, du général Ahmed Saïd Galah, chef d’état-major, qui ne passa pas pour  un tendre. S’entend-il bien avec le frère  du Président, Saïd Bouteflika, un autre tireur de ficelles ? Quelle image ce pays donne-t-il de lui-même dans le monde ? « De temps en temps on le maquille, on le présente bien, on fait trois images qui passent à la télé et c’est tout », s’énerve un algérien dont nous conserverons l’anonymat, parlant de son Président. Le cacochyme octogénaire qui est, en apparence, en apparence seulement, au sommet de l’Etat. Flash back : n’a-t’il pas été soigné en France, ce qui ne l’avait pas empêché de cracher sur notre pays ? D’ailleurs, comme ses nombreux compatriotes également locataires de nos hôpitaux, avait-il réglé à l’époque ses frais d’hospitalisation au Val de Grâce ? Oui, non ? Est-ce un généreux cadeau de cette « bonnasse » République ?

Au pays des heureux « centenaires »

Il faut aussi  se poser  une autre question sur le même sujet, car l’Algérie est un beau pays où l’air est pur, et où les centenaires ne meurent jamais. Demandons à notre CNAV, qui vire là-bas les retraites des anciens travailleurs immigrés retournés finir leurs vieux jours au pays, si elle a des statistiques exactes. (Des vieux jours qui, apparemment, ne cessent jamais !) Il y aurait là des économies à réaliser si la France macronienne se décidait à faire le ménage. Nos agents consulaires ne pourraient-ils pas mener de discrètes enquêtes, pour savoir si les heureux bénéficiaires sont toujours, réellement, de ce monde ? L’Algérie qui comptait au moment de la colonisation française, en 1830, un millions d’habitants, en recense aujourd’hui quarante-deux, une inquiétante multiplication qui devrait nous amener au chiffre de cinquante millions dans dix ans.

Inquiétante, oui, car un nombre important  d’immigrés binationaux vivent déjà chez nous,  grâce au regroupement familial et à un spectaculaire différentiel démographique. Ces citoyens « français », - en tout cas leurs papiers le sont ! -, voteront  ou non, en faveur de « Boutef », amical diminutif du Président. Les mêmes qui, « en même temps » comme dirait l’autre, penchent en faveur de ceux qui distribuent aides diverses et subventions en France, essentiellement la gauche mais pas seulement. Pas folles les guêpes ! C’est un autre sujet, mais il y aurait  là aussi, matière à faire le ménage. Car on ne peut pas être à la fois  de Sparte et d’Athènes, de Florence ou de Rome !

Coopérer, malgré tout ce qui nous sépare

Dans l’hypothèse où les islamistes l’emporteraient en Algérie, c’est à une déferlante migratoire insensée vers notre pays à laquelle nous devrions assister. Notre intérêt, même si le cœur n’y est pas, mais pas du tout, c’est de participer dans la mesure de nos moyens, à la stabilité de cet important voisin du sud. Continuer une coopération intéressée. Démocratie ou pas, si nous voulons éviter, à terme, que des millions d’Algériens viennent gonfler les effectifs musulmans en France, par le biais de la demande d’asile ou du regroupement familial, c’est de soutenir, sans trop y regarder, le gouvernement d’Alger tant qu’il n’est pas aux mains des islamistes.  Certes, il y aurait beaucoup à dire sur l’absence de démocratie, la corruption ou la négation de la minorité berbère. Mais la politique du pire, serait la pire des politiques. Les relations internationales ne sont pas faites pour les « bisounours » : elles reposent sur des faits objectifs, des réalités incontournables, des intérêts bien compris. Même au prix d’une entorse avec la morale. Ça porte un nom : c’est la réalpolitik. C’est à cette vision des choses que, je l’espère, se résoudra le Quai d’Orsay. Même si ça nous arrache le cœur.

11:39 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : Lundi 18 février à Paris, Xe Bobards d'Or

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« 10 ans que les journalistes se font corriger ! »
…par le rire

La 10e édition des Bobards d’Or se tiendra le 18 février 2019 à 19h30 au théâtre du Gymnase Marie Bell à Paris. Le mot d’ordre : « 10 ans que les journalistes se font corriger ! »… par le rire.

Cette année célèbrera les 10 ans des Bobards d’Or, l’événement qui, chaque année, présente les plus gros mensonges des journalistes et des médias. Pour cette édition anniversaire de 2019, plus de 700 spectateurs sont attendus au Théâtre du Gymnase.

L’événement sera présenté par Philippe Christèle (entrepreneur et contributeur à Polémia) et Nicolas Faure (i-Média) et le jury sera composé entre autres de Samuel Lafont (Damoclès), Martial Bild (TV Libertés) et Ferenc Almássy (Viségrad Post). Et une Gilet Jaune !

Comme pour les années précédentes, l’année 2018 a été marquée par de nombreux mensonges médiatiques et sélectionner les 15 Bobards à mettre au vote ne fût pas une tâche simple.

D’autant que l’environnement social français est en ce moment même marqué par un mouvement social sans commune mesure ces dernières années : les Gilets Jaunes. Ce mouvement subit une énorme répression du gouvernement. Celle-ci n’est possible que grâce aux manipulation des alliés du gouvernement : les médias de masse. Cela aussi est une source d’inspiration importante pour Polémia !

Au programme : trois catégories de Bobards

  1. La traditionnelle catégorie des Bobards d’Or qui récompense les plus manipulateurs des journalistes français ;
  2. Une catégorie internationale « Golden Bobards » qui récompensera les plus manipulateurs des journalistes étrangers ;
  3. Et enfin une catégorie exceptionnelle qui récompensera le plus gros Bobard proféré à l’encontre des Gilets Jaunes : le Bobard Gilet Jaune.

Entre chaque catégorie, une vidéo originale sera présentée, l’occasion de revenir sur :

  • 10 années de Bobards d’Or ;
  • Sur l’opposition grandissante entre le peuple et les médias manipulateurs plus visible que jamais dans les diverses manifestations des Gilets Jaunes ;
  • Sur divers portraits d’influenceurs qui utilisent les nouveaux médias pour diffuser un point de vue jamais ou trop rarement mis en avant dans les médias traditionnels.

Venez découvrir et voter pour les bobards sélectionnés cette année sur le site des Bobards d’or. L’ouverture des votes sera annoncée sur les réseaux sociaux.

N’oubliez pas de réserver votre billet pour la cérémonie qui se déroulera le 18 février 2019 à 19h30 au Théâtre du Gymnase Marie Bell à Paris.

Enfin, si vous souhaitez des informations supplémentaires, avoir une accréditation presse à l’événement ou bien organiser un entretien avec l’un des membres du jury, envoyez une demande à rp-fd@europe.com

En savoir plus cliquez ici

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Bruno Gollnisch commente l'actualité

01:21 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Notre ami Fernand Le Rachinel nous raconte sa vie comme un roman...

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C’est l’histoire de Fernand Le Rachinel dont la vie se raconte comme un roman. Ancien conseiller départemental de la Manche, ancien député européen, grand professionnel de l’imprimerie et chef de multiples entreprises dont de nombreux hôtels en France et à l’étranger, cette personnalité singulière et attachante est une figure incontournable du paysage normand et de la vie politique régionale dont il fut et reste l’un des acteurs majeurs.

Fernand Le Rachinel se raconte comme jamais dans ce livre autobiographique nourri de détails et de savoureuses anecdotes, parcours d’une vie semée d’embuches, de douleurs et de grands bonheurs : son enfance auprès de ses parents paysans normands dans le petit canton de Canisy dans le centre Manche, ses premiers pas de typographe, apprenti à 14 ans puis chef d’atelier d’imprimerie et imprimeur lui-même, ses débuts dans la politique, ses engagements, ses combats et ses rencontres improbables. Fernand se raconte et se dévoile : c’est un délice que de feuilleter les pages de cette vie « normande » et au delà qui ne ressemble à aucune autre.

On le dit parfois iconoclaste, un sacré trublion, parfois garnement comme un grand enfant qu’il est resté, c’est aussi et surtout un battant, un homme courageux dont le chemin fut, par endroits et par moments, un sacré parcours du combattant. Il a consigné ses souvenirs, nous les fait partager avec bonheur et malice. C’est Fernand Le Rachinel comme ne l’avez encore jamais vu, de l’autre côté du miroir : confidences pour confidences, la vie de Fernand comme un roman !

Fernand Le Rachinel, Meilleur Ouvrier de France, né à Gourfaleur (Manche) est un industriel et un homme politique normand, ancien conseiller général de la Manche et conseiller régional de Basse-Normandie, il a également été membre du Parlement européen pendant 10 ans.

Mes vies comme un roman, Fernand Le Rachinel, Orep éditeur, 560 pages

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