Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 19 juin 2019

Marion Sigaut – Qui veut la mort de Vincent Lambert ?

Que fait Vincent Lambert, handicapé en état pauci-relationnel, dans un service de soins palliatifs destiné aux malades en fin de vie ? Qui le retient là où il n'a que faire ? Pourquoi ne lui donne-t-on pas le soins auxquels il a droit et pourquoi se bat-on pour qu'il meure de faim ?

arton55181-85b48.png

 

2017 12 01 PUB SITE 1.jpg
 
 

16:39 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alliances des droites aux Municipales, oui ! Mais au niveau national c’est un leurre.

elections-municipales-2020.png

Jean-François Touzé

L'histoire politique de la droite française de ces trente dernières années s'écrit en mode palimpseste, toujours recommencée sur une même page régulièrement effacée.

L’effondrement de l'appareil LR n'est qu'un chapitre de ce manuscrit surchargé. Le ralliement d'une partie de la droite et du centre à Macron en est un autre qui rappelle les riches heures du libéralisme avancé de Giscard. Il n'est pas étonnant dans ces conditions que Marine Le Pen, par parallélisme anachronique des formes, s'emploie à contretemps sinon à contre-flots, à reconstruire le RPR sous le nom de Rassemblement National pour tenter d'en faire, malgré son indigence militante et la faiblesse de son implantation, l’ultime avatar du gaullisme systémique. Tout cela est voué à l’échec.

Dans ces conditions, la reconstruction d'une gauche aujourd’hui réduite à l’état de ruines éparses mais qui sait se retrouver quand pour elle l'essentiel est en jeu, est inévitable, ouvrant la porte à un succès comme ce fut le cas en 1981.

La droite, pourtant, est largement majoritaire dans notre Pays, non par les organisations qui s'en réclament abusivement mais par les principes fondamentaux et les valeurs éternelles qu'elle porte. Défendons ces dernières, mais ne composons pas avec les premières ou ce qu'il en reste. L’électorat de droite est à capter. Les appareils, eux, ne sont qu’à acheter. Et c'est à Macron qu'ils se vendront..

L’éthique de conviction chère à Max Weber sera toujours, moralement bien sûr mais aussi politiquement, supérieure à l’éthique de responsabilité qui n'est souvent que l'alibi des pires renoncements.

L’Union des droites au niveau national est un leurre. Elle peut, en revanche fonctionner à la base pour les Municipales ou des alliances sont théoriquement possibles mais concrètement incertaines dans la mesure où compter électoralement dans une ville suppose qu'ait été réalisé en amont un travail long et patient de présence militante et de crédibilité politique. Les Jean-Pierre Stirbois ne sont pas nombreux. Les Dreux se compteront, en conséquence, sur les doigts de deux mains. D'autant que comme le socialisme municipal, le municipalisme républicain continue d’être fort. Nous devrons cependant soutenir toutes les initiatives concrètes et pertinentes qui se seront engagées.

Mais ne nous y trompons pas: comme le chat de Lewis Carroll, la perspective d'union au national s'éloigne au fur et à mesure que l'on croit s'en approcher, ne laissant que la trace de l’invite d’un sourire flou accroché à l'ombre d'un arbre. L’Union des droites est bien le nouveau piège dressé par le Système.

La droite nationale ne doit pas se laisser endormir par des stratégies fumeuses, combinaisons politiciennes d'un autre temps, rendues caduques par les faits.

Nous devons penser plus loin, plus haut, plus fort, avec plus d’ambition, plus de vision, et préparer, selon une méthode qui reste à définir, la seule échéance qui compte vraiment, celle de 2022, où, cette fois, une nouvelle donne nationale devra être structurée, organisée, proposée et incarnée.

Nous n'avons pas beaucoup de temps devant nous. Raison de plus pour ne pas en perdre.

2017 12 01 PUB SITE 1.jpg

14:50 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'intervention de Vincent Vauclin (La Dissidence française) lors du colloque de Valence en Espagne samedi dernier

safe_image.png

Vincent Vauclin intervenait samedi dernier lors de la conférence internationale « Nous sommes l’Europe » à Valence (Espagne), organisée par l’Asociación Cultural In Memoriam Juan Ignacio (ACIMJI) et les Lansquenets de Gabriele Adinolfi.

Cet évènement a rassemblé plus d’une centaine de participants, et a réuni des représentants de France (Dissidence Française), d’Italie (Centro Studi Polaris), de Pologne (3 Droga), d’Espagne (ACIMJI), d’Autriche (Institut Suworow) et de Grèce (Aube Dorée) autour d’interventions et de débats sur la question européenne et les menaces qui pèsent sur la souveraineté et l’identité de l’Europe. Dans une interview exclusive diffusée à cette occasion, Jean-Marie Le Pen a dénoncé la submersion démographique qui menace les peuples européens et a plaidé pour l’instauration immédiate d’une politique de restriction du droit du sol, du droit d’asile et du regroupement familial.

Retrouvez ci-dessous la vidéo de l’intervention de Vincent Vauclin :

2017 12 01 PUB SITE 1.jpg

11:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |