Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 21 avril 2021

Bernard Gantois invité de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés

L’automobile est dans le collimateur du pouvoir, qui a multiplié depuis des années les mesures coercitives contre elle et ses usagers. L’assassinat en cours d’être perpétré n’a rien d’un acte gratuit. Bernard Gantois, auteur de l’ouvrage « Autopsie d´un assassinat – En route pour une dictature mondiale » (Éditions de Chiré), que nous recevons dans cette nouvelle émission « Synthèse » (animée par Roland Hélie, Philippe Randa et Pierre de Laubier), nous alerte sur l’urgence de défendre cette liberté essentielle de déplacement individuel, tout autant que collectif.

Plus encore, ce sont les libertés, telles que les entendaient les anciens, qui doivent disparaître avec l’automobile, avec les derniers reliquats de l’ancien monde – souveraineté des nations, civilisation occidentale et religion d’un Dieu tout à la fois transcendant et incarné – pour faire définitivement place nette au Léviathan tapi, tel le Minotaure en son labyrinthe, derrière les prétendues conquêtes d’une modernité plus que jamais liberticide. Il faut remonter le fil d’Ariane en compagnie de l’auteur, spécialiste des politiques publiques en matière de transport, pour découvrir le mobile caché du crime.

Acheter ce livre cliquez ici

828522962.jpeg

23:44 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il serait temps d’avoir une lecture ethnique de la France

tribalat.jpg

En visite dans un quartier sensible de Montpellier, Emmanuel Macron a été interpellé par une habitante sur l’augmentation de la concentration de la population d’origine étrangère sur place. La démographe, MichèleTribalat dresse l’état de la situation.

Michèle Tribalat est une ancienne chercheuse à l’Institut national d’études démographiques (Ined). Elle étudie les questions de l’immigration en France, de l’intégration et de l’assimilation des immigrés et de leurs enfants. Auteur de plusieurs ouvrages salués par la critique, Michèle Tribalat a notamment publié « Les Yeux grands fermés : l’immigration en France » (Denoël, 2010)  et « Statistiques ethniques, une querelle bien française » (Éd. L’Artilleur, 2016).

A lire ICI

11:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vous avez dit sécurité ! Quelle sécurité ?

macron.jpg

Le billet de Patrick Parment

 Une fois de plus, nos dirigeants se foutent littéralement de notre g… et réduisent la démocratie à son plus petit dénominateur commun. Ce qui explique en grande partie les taux d’abstentions records aux élections quelles qu’elles soient.  De quoi s’agit-il ? Tout simplement de la bouglionesque prestation d’Emmanuel Macron en matière de sécurité. A l’image d’un Sarkozy – il n’est pas plus grand, 1m10 et 3 de tension – Macron veut nous montrer qu’il a du muscle. Cette pantomime, tous, de droite à gauche, nous l’ont déjà faite et notamment les ministres de l’Intérieur de Pasqua à Sarkozy en passant par l’Espagnol « qui n’a pas une goutte de sang français », Manuel Valls.

On n’a jamais vraiment su si Macron était de gauche ou de droite pour la bonne raison que sur le fond, il n’est rien. Mais en bon énarque qu’il est, le calcul est très simple concernant sa prochaine candidature, elle se jouera à droite, la gauche ayant quasiment disparu du paysage. Elle est en pleine dérive, au point, et là on se marre franchement, que l’insoumis de mes fesses, Jean-Luc Mélenchon déclare qu’il se sent « Maghrébin européen ». Il a dû trop fumer de pétard dans son périple sud-américain. Car en matière de classification des races, on ne sait toujours pas à quoi cette espèce correspond. Mais à l’heure des transgenres et des manipulations génétiques, une nouvelle race est peut-être née, le gaucho-méchancon-sapiens !

Mais revenons au camarade Macron et à ses biceps. Inutile d’être Madame Soleil pour savoir que si tout doit se jouer à droite, il suffit alors d’en épouser les grands thèmes : l’immigration et la sécurité. Ca mange pas de pain et ça peut rapporter gros… Sauf que… Sauf que ce scénar, on nous le fait à chaque élection et ça donne quoi ? Sarkozy a purement et simplement supprimé plus de 10 000 policiers et gendarmes de la carte du pas-tendre-du-tout et que depuis quatre ans qu’il est aux manettes, le Sieur Macron a vu la délinquance et l’insécurité exploser sous son nez. On ouvre à peine un journal que les meurtres d’individus de races bien déterminées nous sautent aux yeux : Maghrébins, Pakistanais, Subsahariens Tchetchènes, Tsiganes roumains, j’en passe et des meilleurs.

Il y a même une justice qui se réfugie derrière la maladie mentale pour absoudre certains d’entre eux qui s’avèreront de joyeux récidivistes. Quant aux expulsions, on frise la rigolade. Les sacro-saintes lois démocratiques permettent à de savants avocats d’effectuer des tours de passe-passe devant des magistrats qui ne demandent qu’à se faire enfumés. Nos amis les pandores ne cessent d’ailleurs de se plaindre de leur laxisme. Au risque de figurer sur le « mur des cons » érigé par le sacro-saint Syndicat de la magistrature.

Alors Macron, me direz-vous ? De l’esbroufe mon cher  Watson. Car il suffit d’interroger des juristes sérieux pour qu’ils vous répondent franchement que les lois pour lutter aussi bien contre la délinquance que l’immigration clandestine sont là et qu’il suffit de les appliquer. C’est franchement pas plus compliqué que ça. Le vrai problème est donc que l’Etat est incapable de faire appliquer les lois qu’il fait voter. Et c’est bien là que ça devient surréaliste.

Sauf que la réalité demeure, les Français en ont ras-le-bol qu’on leur marche sur les pieds, que des ministres au lieu de combattre l’islam politique se rendent dans des mosquées qui n’auraient jamais dû voir le jour, dès qu’un moindre tag « raciste » y est apposé. Marre qu’une classe politique se couche devant la pression qu’exercent les islamistes sur nos institutions, et l’école notamment. Les Français veulent que règnent les lois françaises dans leur pays et mieux encore qu’on les applique. Au lieu de cela , tout un chacun a bel et bien le sentiment que nous sommes devant des pouvoirs faibles et incapables de réagir face aux multiples agressions dont les Français font les frais dans leur quotidien. Un pouvoir fort n’est pas incompatible avec une démocratie digne de ce nom. Car nos démocraties ont le droit de se défendre face à ceux qui refusent ses règles du jeu. Encore faut-il s’en donner les moyens.

08:42 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |