Une délégation française composée de militants de la NDP alsacienne et des JNR - 3ème Voie a participé à la Xème commémoration de l'assassinat du jeune Daniel Wretström à Salem en Suéde :

Voici le reportage réalisé par nos camarades de la NDP alsacienne (rappel : cliquez ici) :

Départ le 10 décembre de Francfort-Hahn pour nos 5 militants alsaciens de la Nouvelle Droite Populaire qui sont bientôt rejoins par un camarade allemand, Ben, venant de Heidelberg.

Après 2 heures de vol, nous atterrissons à Stockholm Skavsta. Il neige, il fait -10°, bienvenue en Suéde !

Encore deux heures de car et nous sommes enfin dans le centre de Stockholm où nous prenons la direction de notre auberge après une visite, agréable mais froide, de Gamla Stan, la vieille ville où se situe par ailleurs notre logement.

Après avoir pris possession des lieux nous partons à la découverte des Suédois et Suédoises dans un bar moyen-âgeux non loin de là.

Une courte nuit plus tard, nous nous scindons en deux groupes, l'un partant visiter la ville sous l'égide de notre camarade allemand Ben ayant vécu à Stockholm, pendant que l'autre groupe part chercher les couronnes de fleurs de la NDP et des JNR dans la rue où quelques heures plus tard un attentat raté d'un islamiste tout aussi raté a eu lieu...

Une fois les couronnes récupérées, nous prenons un taxi pour le terminal de bus où nous attendons notre camarade Serge Ayoub, arrivé (de Paris) un peu plus tôt dans la journée à l'aéroport de Skavsta, venu dans le Grand Nord pour représenter les JNR et son mouvement politique 3ème Voie.

15 h 00, les deux groupes se rejoignent enfin au point de rendez-vous à la gare centrale où attendent déjà des camarades de Salemfonden, mais aussi de toute l'Europe.

De là des centaines de personnes, nous y compris, prennent un train spécial en direction de Salem, une quarantaine de kilomètres plus loin. Sauf que, les gauchistes ne l'entendant pas de cette oreille, décident de bloquer la voie de chemin de fer, ceci nous remémorant fortement de précédentes péripéties ayant eu lieu à Cologne (rappel). Mais visiblement la police suédoise contrairement à celle de la Patrie de Goethe est compétente et fait respecter les droits de chacun. En moins d'une demie heure à coup de pompes et à coups de matraques, ils dégagent la voie et notre train peux reprendre sa route vers la gare de Rönninge.

Arrivés à Salem vers 16 h 15 les colonnes se mettent lentement en ordre. En rang par quatre, torches à la main, les couronnes faisant la route comme il se doit à l'avant de la marche, avec cette année pour rythmer la marche, le son du tambour.

17 h 00, la colonne de lumière se met en route en silence, pour une marche d'une heure environ. Même si quelques gauchistes se tiennent de part et d'autres du serpent de lumière, essayant de salir la mémoire de Daniel, tout se passe pour le mieux. Même les quelques dizaines de "courageux" venus nous insulter à pas moins de 50 mètres sont rapidement mis en fuite par le service d'ordre de Salemfonden, toujours très efficace permettant ainsi que tout se passe dans les meilleures conditions possibles.

Aux alentours de 18 h 15 les couronnes sont déposées au pied du "mémorial" en hommage à Daniel, chaque rang y déposant en passant des bougies symbolisant le souvenir éternel.

Enfin le temps des discours, avec Dan Eriksson de Salemfonden, Udo Pastors du NPD, et Tony Bamber du BNP, ponctué de chant de Franck Rennicke et d'un appel de Nellan, l'une des plus proches amie de Daniel Wretström.

Après, retour vers la gare de Rönninge pour prendre cette fois un train vers Södertälje, où des minibus viennent nous prendre en charge pour nous conduire vers la salle où ont lieu le concert de Franck Rennicke et Victor Sjölund (chanteur de Ferox, un groupe de RAC suédois), ainsi que le repas et la soirée organisée par Salemfonden.

Retour assez rock'n'roll -à sept dans une voiture- pour prendre le dernier train de 01 h 30 vers Stockholm en compagnie de nos nouveaux camarades finlandais, suédois et anglais !

De retour à Stockholm nous retournons à Gamla Stan pour prendre encore quelques verres près de notre hôtel, et une fois le bar fermé, aux alentours de 03 h 00, pendant qu'une partie du groupe prend la route de la cuisine commune de l'hôtel ou du lit pour les plus atteints, le reste des troupes continue son périple dans "Stockholm by night".

Et comme tout a une fin, le lendemain, après une dernière visite de Stockholm, son marché de Noël, le palais royal, le parlement et quelques dizaine de photos de plus, nous reprenons le car en direction de Skavsta et de là notre avion retour pour Francfort-Hahn pour ensuite retourner dans nos villes respectives.

En conclusion, certes un peu moins d'aventures à l'état brut que l'année précédente, mais des souvenir inoubliables, une reconnaissance sans fin d'avoir pu une nouvelle fois de plus représenter la France et la Nouvelle Droite Populaire dans cet événement sans pareil en Europe qui une fois de plus a réuni plus de 1 300 personnes venues des quatre coins de l'Europe pour rendre hommage à notre camarade Daniel mort pour ses idées. Nous revenons avec une motivation et une volonté toujours plus ardentes et inébranlables dans ce combat qui est le nôtre. Ce combat pour la survie de l'Europe, de sa culture et de son histoire et prenons avec humilité exemple sur notre camarade Daniel Wretström, dont la flamme continuera de brûler en nous tant qu'un seul Européen de Brest à Vladivostock sera encore debout pour défendre sa terre !

Longue vie à l'Europe !

Nous tenons particulièrement à remercier Robert Vesterlund (qui a participé le 11 novembre dernier à la 4ème journée de Synthèse nationale à Paris - cliquez ici) pour son accueil, ses talents d'organisateur, et bien évidement toute l'équipe de Salemfonden. Mais aussi notre camarade Lucas de la NDP Alsace qui bien que travaillant le lendemain tôt a pris la peine de ramener chacun à bon port, Michara pour avoir porté la couronne des JNR, Serge Ayoub pour avoir fait tant de kilomètres pour défendre ses convictions malgré un accident de la route survenu quelques jours plus tôt. A Ben pour son esprit de camaraderie et sa visite de Stockholm et tous ceux que nous oublions....mais qui comptent!

Hurra för Nörden Länders et à l'année prochaine !

Alexandre, NDP Alsace (cliquez ici)

Reportage de l'agence suédoise Info 14 : cliquez ici

Le CRIF, un lobby au cœur de la République...

Article de Robert Spieler

publié dans Rivarol

(n°2978 - 10 décembre 2010)

 

Anne Kling est l’auteur de deux excellents ouvrages, La France Licratisée (Editions Mythra, 2006) et Révolutionnaires juifs (Editions Mythra, 2007) qui ont obtenu un grand succès. Succès mérité car son analyse de la puissance du lobby est imparable. Basée sur les revues et les sites internet des diverses officines, elle est servie par une langue claire et un style enlevé, qui rendent la lecture de ses ouvrages agréable et passionnante. Anne Kling récidive avec un livre consacré au CRIF, le Conseil Représentatif des Institutions Juives de France, qui dispose d’une puissance considérable, parlant d’égal à égal avec les dirigeants politiques au plus haut niveau et exprimant des désidératas qui sont autant d’ordres que s’empressent d’exécuter ceux qui les reçoivent. Préfacé par Jean-Yves Le Gallou, le livre évoque les origines de l’officine, l’importance des années Mitterrand, l’« invention » des dîners du CRIF, ses objectifs et décrit avec force l’incroyable activisme et l’influence totalement disproportionnée du lobby sur la vie politique française.

 

La naissance du CRIF.

 

Il faut remonter aux années d’avant-guerre et à une forte immigration juive de 140.000 personnes, en provenance d’Europe de l’est, les Juifs français étant au nombre de 190.000, pour comprendre les raisons de la création du CRIF en 1944. Cette immigration suscita des réactions violentes au sein de la communauté juive. Jacques Helbronner, alors vice-président du consistoire, accusera en 1936 les réfugiés juifs d’être « de la racaille, le rebut de la société, des éléments qui n’auraient pu être d’aucune utilité chez eux ». Emmanuel Berl, en 1938, dans un numéro de « Pavés de Paris », parlera d’une « immigration de déchets » et d’une « véritable catastrophe pour la France ». Ces amabilités devaient laisser des traces au sein de la communauté juive et entrainer la création durant la guerre d’une organisation juive à forte connotation communiste, qui allait contester le rôle prééminent de l’Union Générale des Israélites de France (UGIF), accusée de collaborer avec Vichy, et entraîner la création clandestine, en septembre 1944, à Lyon du Conseil Représentatif des Israélites de France. Le CRIF était né.

 

La montée en puissance du CRIF.

 

Le CRIF joue un rôle relativement modeste jusque dans les années 80, se contentant de défendre les intérêts de la communauté, la scène étant occupée par la LICRA qui elle, au nom de l’antiracisme, entend favoriser l’immigration musulmane massive. C’est l’arrivée en France d’un brillant activiste israélien, Avraham Primor, chargé par l’Etat d’Israël de redynamiser et politiser une communauté juive jugée trop timorée, qui va changer la donne. Araham Primor a pour mission de « réorganiser la communauté juive de France afin qu’elle occupe la place politique que lui confère son importance ». Voilà qui a le mérite de la clarté.

 

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Sarkozy, agent des Etats-Unis et d’Israël...

Par Robert Spieler, Délégué général de la NDP

Il est le "président le plus pro-américain depuis la seconde guerre mondiale". On découvre dans les mémos diplomatiques ultrasecrets dévoilés par Wikileaks que Nicolas Sarkozy et ses conseillers fréquentaient assidûment l'ambassade américaine de Paris, ainsi que les dignitaires américains de passage en France.

Nicolas Sarkozy, à l'occasion du passage d'Allan Hubbard, conseiller économique du Président Bush, devient plus personnel. "'Ils m'appellent 'Sarkozy l'Américain', a-t-il dit. 'Eux considèrent que c'est une insulte, mais je le prends comme un compliment'.

 

L'ambassadeur en conclut que ‘Sarkozy est viscéralement pro-américain’

 

"Sarkozy est instinctivement pro-américain et pro-israélien". Le relevé des conversations note que "l'héritage juif de Sarkozy et son affinité pour Israël sont célèbres", et que de surcroît, il vient de nommer à la tête du Quai d'Orsay Bernard Kouchner, "le premier ministre des affaires étrangères juif de la V^e République". Sur le conflit israélo-palestinien, espère l'ambassade, "même un léger glissement dans le fondement intellectuel aura des conséquences sismiques". Les diplomates américains se félicitent aussi de la nomination de "l'ambassadeur aux Etats-Unis" Jean-David Lévitte. L'ambassade note très vite que celui qu'elle considérait comme "un novice" quelques semaines auparavant "a fermement placé la politique étrangère sous son contrôle personnel à l'Elysée" (entendez sous le contrôle des Etats-Unis et d’Israël). 

 

Apparaissent aussi les premiers commentaires de l’ambassade des Etats-Unis sur un Sarkozy "susceptible et autoritaire". Ils notent aussi que "l'équilibre" personnel du président pourrait être atteint par son "récent divorce" : "Sarkozy lui-même a parlé de sa dépendance envers Cécilia, 'ma force et mon talon d'Achille', comme il dit." Ils préviennent Washington que M. Sarkozy est "très irritable", mais parient sur "sa capacité à rebondir".

 

Plus tard, après sa rencontre avec "le super model" Carla Bruni, les diplomates américains noteront son style "non présidentiel" et "ses inclinations pour les paillettes".

 

Barack Obama est entré à la Maison Blanche, et doit rencontrer Nicolas Sarkozy à l'occasion du sommet de l'OTAN. Votre visite intervient à un moment historique, écrit l'ambassadeur au président des Etats-Unis. Nicolas Sarkozy est le président français le plus pro-américain depuis la Seconde guerre mondiale.

 

Merci, on l'avait compris…