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jeudi, 17 avril 2014

"Nos Chers vivants", l'émission consacrée au cinéma d'Arnaud Guyot-Jeannin

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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

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Samedi 28 juin : concert de "In Memoriam" à Paris

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La Révolution conservatrice allemande, un nouveau livre de Robert Steuckers

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Les éditions du Lore ont publié début avril un recueil de Robert Steuckers intitulé La Révolution conservatrice allemande - Biographie de ses principaux acteurs et textes choisis. Figure de ce qu'il est convenu d'appeler la Nouvelle Droite, Robert Steuckers a, à côté de ses activités de traducteur, animé plusieurs revues de qualité comme Orientations et Vouloir , et est un de ceux qui, avec Louis Dupeux, Giorgio Locchi, Thierry Mudry et Edouard Rix, a le plus contribué à faire connaître dans l'aire francophone cette galaxie d'auteurs, de groupes et de revues, actifs dans l'Allemagne de Weimar, qu'Armin Mohler a englobé sous l'appellation de Révolution conservatrice. Un ouvrage indispensable, et depuis longtemps attendu ! ...
 
L'ouvrage est disponible sur le site des éditions du Lore cliquez ici
 
"Si la vulgate considère la Révolution conservatrice allemande comme un « laboratoire d’idées », il n’en demeure pas moins que cette dernière représente une extraordinaire aventure métapolitique qui inspire encore beaucoup d’idéologues, de philosophes et d’artistes aujourd’hui à travers le monde.
 
L’une de ses grandes figures, Arthur Moeller van den Bruck, proposa en son temps de penser un système politique qui succéderait au IIe Reich bismarko-wilhelminien au-delà des clivages gauche/droite, où les oppositions entre socialisme et nationalisme seraient sublimées en une synthèse nouvelle.
 
Dans ce recueil de grande densité, Robert Steuckers (ex-G.R.E.C.E, Vouloir, Synergies Européennes) a regroupé la majorité de ses textes sur le sujet. Le lecteur y découvrira notamment les conférences pointues données par l’auteur entre 1994 et 2013 ainsi que diverses notices biographiques d’acteurs, illustres et moins connus, de la Révolution conservatrice allemande."

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Dans Présent de demain, un grand entretien avec Serge Ayoub

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L'entretien avec Serge Ayoub cliquez là

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LE VICE ET LE CRIME, AU SECOURS DES ECONOMIES OCCIDENTALES.

Korbo. Blanchir l-argent.15.04.2014 jpg.jpgPieter Kerstens

Rien ne peut arrêter l’imagination putride des gnomes de Bruxelles. Comme ils se doutent que les gouvernements ne veulent (ou ne savent) pas réduire les dépenses et le gaspillage des deniers publics, pour ne pas mécontenter leurs électeurs/clients, alors ils ouvrent des « boîtes à idées ». Et cela, depuis des années…en étant en concurrence avec leurs homologues d’autres administrations, ailleurs dans le monde.

Ainsi, ces forts en thème ont imaginé pouvoir stimuler le PIB (Produit Intérieur Brut) de chaque pays européen sans effort et par un coup de baguette magique. Jugez-en : en accord avec les américains (bien sûr) le calcul du PIB sera réformé en septembre 2014, en y incluant comme « investissements » les dépenses en Recherche & Développement (R&D).

Judicieux n’est-il pas vrai ? Par cette simple manipulation, le PIB grimpera de 2 à 3% en Allemagne, en Belgique, au Danemark et en France. Et même de plus de 5% en Finlande, en Suède et aux USA, sans aucun effort supplémentaire ni de la part des travailleurs, ni de la part des fonctionnaires. En toute logique, le rapport de la dette publique en regard du PIB va donc diminuer ! Mais pourquoi personne n’a-t-elle proposé cette option miracle, plus tôt ? Ainsi, le ratio d’endettement permettra aussi à certains pays de pouvoir obtenir de nouveaux financements à de bonnes conditions …pour rétribuer les copains et les coquins. Evidemment des esprits grincheux me rétorqueront que toutes les dépenses en Recherche & Développement n’aboutissent pas à des résultats positifs et loin s’en faut ! Mais cet aspect du problème n’a pas freiné l’enthousiasme des amateurs d’économie virtuelle, de magouillages de chiffres et de symphonies statistiques.

Quand les Eurocrates appellent la pègre et les tapineuses à la rescousse.

Les désastres financiers en Irlande, en Grèce, au Portugal, en Espagne ou à Chypre ont marqué les esprits des kleptocrates de Bruxelles. Ils ont donc très sérieusement proposé à la Commission européenne d’inclure les activités illégales, menées dans chaque pays de l’Union, dans les statistiques économiques ! L’activité « souterraine » au secours de l’économie « réelle » ! On rêve ? NON, nous sommes dans le monde des eurocrates…dont l’objectif est de refléter « correctement » le niveau d’activité économique, qu’elle soit illégale ou non.

Mais comment alors quantifier avec précision une activité « noire » ? La Commission européenne précise donc que « chaque état membre devra fournir une estimation globale de l’activité souterraine. Il n’y aura pas de répartition détaillée par secteurs. » A la louche donc ! Grosso-modo ! Au pif ?

On atteint ici le grandiose et par un tour de passe-passe, le PIB des 28 états membres de l’Union va être vitaminé de plusieurs points à la hausse, puisqu’il est de notoriété publique que la fraude, les trafics et la criminalité font partie des traditions de certains peuples.

Si l’on examine les principaux trafics illicites au niveau mondial, on constate que les stupéfiants occupent la 1ère place avec des revenus d’environ 320 milliards de dollars par an, suivis par les contrefaçons (articles de luxe, médicaments, pièces détachées pour l’aviation ou l’industrie nucléaire) avec 250 milliards de dollars ; vient ensuite le trafic d’êtres et d’organes humains pour 41 milliards de dollars ; puis en 4e lieu, le trafic de carburants pour 11 milliards de dollars, loin devant le trafic d’armes légères pour 1 milliard USD par an, entre autres exemples (source = « Géopolitique de la mondialisation criminelle. Xavier Raufer. PUF.2013.) Et nous ne parlons pas ici du travail « au noir », ni de l’argent « gris », ni des transactions non déclarées, ni des fraudes sociales ou fiscales, autres éléments qui composent l’économie « parallèle ».

Et la Commission européenne n’aura aucun mal à chiffrer cette économie « souterraine » pour les Etats-membres, étant donné que partout dans l’UE et depuis plus de 40 ans, différentes études ont été menées par des universitaires ou des parlementaires, études qui, au fil des ans, situent son impact entre 9 et 30% du PIB.

Selon une récente enquête menée par Friedrich Schneider, un professeur autrichien d’une université de Linz et expert de l’économie souterraine, l’économie « parallèle » dans divers pays de l’Union Economique serait la suivante pour 2013 : 9,1% du PIB aux Pays-Bas ; 9,7% au Royaume Uni ; 10% en France ; 13% en Allemagne ; 16,4% en Belgique (soit 63 milliards d’euros) ; 30% en Bulgarie, parmi d’autres (source = agence Belga).

 Le plus scandaleux dans cette normalisation (banalisation) économique du crime et des délits, est d’apprendre que cela aurait été dicté par une modification de la participation des pays au budget de l’Union. Un état dont l’activité souterraine est importante, verra son PIB augmenter bien plus que celui du voisin. Et comme la contribution au budget européen dépend aussi de la taille du PIB, certains pays pourraient voir leur contribution augmenter fortement. Et selon un eurocrate : « pendant des années, des pays avec un grand secteur informel, comme la Grèce, l’Italie, l’Espagne ou ceux de l’Est, ont aussi poussé à cette réforme, afin de bénéficier de chiffres de déficit budgétaire et d’un ratio de dette publique plus favorable ».  CQFD !

Il est absolument répugnant que les chacals qui occupent les bureaux de la Commission Européenne puissent légitimer le crime, l’argent sale et les trafics multiples de la pègre immigrée. Il est tout aussi nauséabond que le Pouvoir se couche ou ferme les yeux sur les fraudes dont les puissants sont friands. Deux exemples :

-       L’agence Belga nous apprenait il y a quelques années que dans les données bancaires volées en 2004 à HSBC, y figuraient 3.137 comptes détenus par 2.450 belges. Parmi ces belges, 1.750 étaient des diamantaires et 193 familles d’entre eux, détenaient 369 sociétés offshore depuis de longues années : on attend encore les lourdes condamnations en 2014…2015 ou 2028 ?

-       Pour sa part, le diamantaire anversois Omega Diamonds a négocié en 2013 le plus gros arrangement de l’Histoire de la Belgique en matière fiscale. Le parquet d’Anvers et le fisc ont accepté de renoncer à poursuivre l’entreprise, en échange d’une transaction portant sur 160 millions d’euros. Une broutille, comparée à une fraude de 2,5 milliards € ! ! !

Et ici, je ne parle que d’un pays, d’une grande ville et d’un seul secteur d’activité !

Grâce aux dealers, aux fraudeurs, aux criminels de tout acabit et aux prostituées, les dettes publiques auront meilleure mine et tous les trafiquants auront légitimement leur place dans l’économie mondialisée, si l’on ne met pas fin aux dérives des eurocrates.

Le déclin d’une société décadente, c’est çà : « LE TRAVAILLEUR INFORMEL MAFIEUX. ».

Aucune raison ne doit justifier l’économie « souterraine ». Il faut, sans relâche et avec détermination, combattre et condamner les criminels (leurs complices et leurs protecteurs) qui pourrissent notre quotidien et tuent nos enfants.

14:26 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de mercredi soir :

10:37 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Et maintenant, le sous-SMIC !

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La chronique de Philippe Randa cliquez ici

Il y a des sujets aussi polémiques que récurrents… Ainsi du tabou de la Sécurité sociale, de l’abrogation des 35 heures ou encore du salaire minimum interprofessionnel de croissance, plus connu sous ses initiales de SMIC.

Après Pascal Lamy, ex-directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) qui demandait plus de « flexibilité » pour le travail et le retour des « petits boulots », payés en dessous du SMIC, c’est Pierre Gattaz, patron du MEDEF, qui revient à la charge avec l’instauration à titre « temporaire » d’un salaire « transitoire » inférieur à celui-ci.

On sait d’expérience ce que promet l’adjectif « temporaire », soit en général « pour longtemps » ; et « transitoire » rime fâcheusement, en l’occurrence, avec « suppositoire ».

Évidemment, les réactions ont fusé. Indignées, en général… L’occasion fournie est trop belle, pour beaucoup, de la jouer « sociale », une fois n’est pas coutume ! Et l’ancienne patronne des patrons Laurence Parisot – qui a dû céder plus qu’à contre-cœur la place à Pierre Gattaz – ne s’en est pas privée, dénonçant la « logique esclavagiste » d’une telle proposition. Rien de moins.

Sans aller jusqu’à un tel extrémisme de vocabulaire, reconnaissons néanmoins que la justification de son successeur pour illustrer sa proposition est quelque peu (euphémisme !)… maladroite : un « sous-SMIC » permettrait, selon lui, aux jeunes d’entrer sur le marché du travail. D’entrer, peut-être ; de les motiver, c’est beaucoup moins certain…

Jeune, donc taillable, corvéable et exploitable pour des rémunérations au rabais : moins de mille euros pour subvenir aux besoins de première nécessité. Pour le superflu, monsieur Gattaz n’a pas indiqué d’âge minimum…

Alors, sachant qu’après quarante ans, le chômage menace tout autant, sinon davantage, après le sous-SMIC à l’intention des jeunes, pourquoi pas un sous-SMIC à celle des pas encore assez vieux ? Monsieur Gattaz n’en a pas parlé. Ça viendra, patientons…

Au-delà de l’ironie et des indignations de circonstance, il est un fait que le montant actuel du SMIC (1 445,38 euros brut au 1er janvier 2014) ne permet guère une vie très confortable d’une part (quoique cela dépende des régions), tout en étant trop élevé pour nombre de chefs d’entreprise d’autre part.

D’abord, parler de « sous-SMIC », n’est-ce pas déjà une imposture ? Peut-il exister, en français correct, un « moins minimum » ? Pas davantage qu’un « plus pire », me semble-t-il. Ensuite, la question n’est-elle pas plutôt : « Un SMIC moins élevé inciterait-il davantage à l’embauche ? »

C’est loin d’être certain si l’on s’en réfère à la méfiance à l’encontre du pacte de responsabilité proposé par François Hollande lors de ses vœux aux Français, « fondé sur le principe simple : moins de charges sur le travail, moins de contraintes sur leurs activités et, en même temps, une contrepartie, plus d’embauches et plus de dialogue social ».

Quatre mois plus tard, la plupart des chefs d’entreprise ne sont toujours pas disposés à « jouer le jeu », trop souvent échaudés par le passé par des promesses gouvernementales non tenues.

Baisser les charges ou baisser le salaire minimum, c’est quand même kif-kif bourricot, contrairement à tout ce qu’on voudra bien nous affirmer. Si le pacte de responsabilité ne convainc pas, le SMIC en solde ne le fera pas non plus.

10:33 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi, c'est le jour de Rivarol...

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10:22 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |