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lundi, 24 juin 2024

Adieu l’ami…

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Patrick Parment

Christian Brosio vient de nous quitter. Ma peine est grande car c’était un ami très cher que j’avais connu au Figaro Magazine. Il était, à l’époque, un militant dévoué de l’Action française qui lorgnait du côté de la Nouvelle droite. Avec lui et la petite bande que nous formions, on peut dire que l’on a fait les quatre cents coups. Notamment au contact de l’historien Jean-François Chiappe qui nous avait pris en amitié et qui nous entraînait dans ses délires de bon vivant.

Christian a toujours été d’une fidélité sans faille. Les années ne nous ont pas séparés, bien au contraire et l’on se retrouvait régulièrement pour déjeuner et commenter l’actualité.

Excellent journaliste, ses papiers dans Spectacle du monde était toujours solidement charpentés. Il collaborera également à la revue Eléments où il apportait les lueurs de sa grande culture historique. Christian était un être rare, d’une grande urbanité. Adieu l’ami, tu vas vraiment nous manquer.

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dimanche, 23 juin 2024

Marion Maréchal répond aux questions des auditeurs d'Europe 1

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Journal du chaos

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Quand les joueurs de flûte se muent en apprentis-sorciers

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Bernard Plouvier

Les millésimes 2020 sq. resteront marqués du sceau de la haine et celle-ci n’est un bonne chose que pour les marchands d’armes et les voyous manipulant les crétins – si l’on préfère, les propagandistes et leur cible préférée les sous-doués et les moyennement doués, deux catégories d’humains qui pèsent lourd, puisqu’ils représentent 75% des sujets testés dans toutes les études du Quotient Intellectuel (Q.I.) effectuées de 1890 aux années 1970 – après, on n’a plus osé en publier beaucoup !

Après le déchaînement de haine à l’encontre des climato-sceptiques, l’on s’est vigoureusement attaqué à ceux qui osaient dire que la nouvelle covidiose n’était qu’une pandémie assez banale, ne tuant que selon le principe de la sélection naturelle, comme les pandémies de grippe : il ne s’agissait nullement d’une maladie effroyable comme la peste ou le choléra importés d’Asie, ou ces viroses d’origine simiesque inutilement importées d’Afrique.

L’on a aussi connu une recrudescence des haines raciales : parti des États-Unis – ce melting pot qui a dégénéré en pot-pourri -, le mouvement s’est propagé en Europe Occidentale et Scandinave envahie de partout. Les émeutes raciales françaises sont une friandise hexagonale que nos merveilleux "jeunes" nous resservent quand ils « ont les nerfs », mais les Européens des Pays-Bas, de Belgique, de Norvège ou de Suède ont aussi leur lot de festivités son et lumière, un peu coûteuses certes, mais chacun sait que l’Européen est un contribuable fort complaisant.

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Cohabitation : que pourrait faire Jordan Bardella face à Emmanuel Macron ?

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Jean-Yves Le Gallou 

Le résultat des élections législatives provoquées par la dissolution de l’Assemblée nationale pourrait bien être un véritable tremblement de terre politique. Non pas en ce qui concerne la hausse phénoménale du nombre de députés du Rassemblement national. Ce tsunami patriote exceptionnel est déjà accepté par tous les Français. Non, le véritable bouleversement politique, c’est bien que le Rassemblement national pourrait disposer de la majorité absolue, soit plus de 289 députés ! C’est ce qu’annonce, entre autres, le sondage réalisé par l’institut Odoxa pour L’Obs paru ce 21 juin. Et il se murmure que des sondages concordants sortiront très rapidement. Pour réfléchir à cette possible arrivée de Jordan Bardella à Matignon, Jean-Yves Le Gallou revient sur les différents scénarios possibles.

Polémia

Histoire de la cohabitation

Depuis le début de la Ve République, la France a connu trois cohabitations : Mitterrand-Chirac (1986-1998), Mitterrand-Balladur (1993-1995), Chirac-Jospin (1997-2002). La dernière fut la plus paisible, Jospin put gouverner – régulariser 100 000 clandestins, imposer les 35 heures – sans véritable opposition, ni de la part de Chirac, ni de celle du Conseil constitutionnel. La situation fut moins confortable pour Balladur : presque une double cohabitation au départ avec Mitterrand d’un côté et avec… Chirac de l’autre. Un Chirac que Balladur cessa très vite de prendre au téléphone… Balladur rencontra aussi l’obstacle du Conseil constitutionnel qui censura les lois Pasqua sur l’immigration et la sécurité. La première cohabitation, celle de 1986-1988, fut la plus difficile : Mitterrand usa Chirac en s’opposant à ses ordonnances puis en s’appuyant sur le Conseil constitutionnel, présidé par Badinter, tout en encourageant les manifestations de rue. C’est à cela que pourrait s’attendre Jordan Bardella s’il était nommé Premier ministre. Sans même qu’il soit besoin d’évoquer une Assemblée nationale mariniste qui le surveillerait.

Que pourrait faire Bardella ?

Trois stratégies sont possibles : l’évitement, l’engagement, l’affrontement.

Une cohabitation d’évitement pour Jordan Bardella ?

L’évitement est l’habituelle stratégie de campagne du RN : au moindre problème, on décroche et on se replie sur des positions plus sûres. C’est souvent ce qui est le moins coûteux en matière de communication.

Mais les Français sont las des postures et des grandes déclarations. Ils attendent aussi des actions. Un gouvernement Bardella ne pourrait pas se contenter de parler, encore moins de reculer, il devrait agir. Et il ne pourrait pas davantage se borner à chouiner (« on me met des bâtons dans les roues »), il devrait aussi réussir. C’est possible : un Premier ministre à des marges de manœuvre ; Matignon, c’est la tour de contrôle de l’État. Et dans la Constitution, c’est le Premier ministre qui a la maîtrise des instructions aux préfets, aux recteurs, aux procureurs. C’est le Premier ministre qui signe les décrets : cela n’est pas rien. C’est un pouvoir qui pourrait permettre d’abroger des dispositifs bureaucratiques comme ceux sur les diagnostics énergétiques des bâtiments, par exemple. C’est aussi le gouvernement qui a l’initiative des lois.

À partir de là, trois axes d’engagement sont possibles.

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10:23 Publié dans Législatives 2024, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

96 ans de Jean-Marie le Pen : l'homme qui avait tout vu venir

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10:09 Publié dans Revue de presse, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ÉCOUTEZ L'ÉMISSION DU PARTI DE LA FRANCE AVEC ROLAND HÉLIE ET PIERRE-NICOLAS NUPS (CANDIDAT DANS LA 5e CIRCONSCRIPTION DE MEURTHE-ET-MOSELLE)

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samedi, 22 juin 2024

AFRIQUE DU SUD : L’ANC BROIE DU NOIR….MAIS SAUVE LA MISE !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Avec le scénario ubuesque de la dissolution et la préparation des élections législatives françaises, le renouvellement de la chambre sud-africaine est passé assez inaperçu dans l’actualité. Pourtant il s’est produit un petit séisme aux pays des Afrikaners et de Mandela : l’ANC a perdu la majorité absolue comme un vulgaire Macron en 2022, et encore bien plus, sans doute, en 2024 !

Pour la première fois depuis 1994, l’ANC est mise en difficulté

Le 29 mai dernier, le corps électoral sud-africain, toutes ethnies mélangées, s’est prononcé et a infligé un sévère avertissement à l’African National Congress (ANC), qui gouvernait d’une façon monolithique la « nation arc-en-ciel », tant vantée par Nelson Mandela, depuis avril 1994. Cette fois-ci, le parti gouvernemental, aux mains des « kleptocrates » noirs qui se sont gavés des richesses accumulées par des années de pouvoir « blanc », a perdu la majorité des 400 sièges de l’Assemblée nationale siégeant au Cap. (Capetown). Ce parti, presqu’un parti unique, monopolisait tous les pouvoirs à l’échelon national comme à l’échelon provincial, exception faite de la province du Cap occidental. Cette dernière - la seule qui échappe à l’omnipotence du Congrès national africain -, était entre les mains de l’opposition parlementaire au plan national,  emmenée par l’Alliance démocratique (DA) de John Steenhuisen, un parti souvent considéré comme étant le parti des « Blancs », mais pas seulement, comme le démontrent ses scores dans tout le pays

Une claque électorale

L’ANC termine donc, avec 40,18% des voix et 159 sièges, bon premier de la classe, mais en recul de 17,3% perdant , excusez du peu, 71 sièges de députés nationaux ! Les causes sont nombreuses : usure du pouvoir, corruption, incapacité à assurer un toit et du travail à tout le monde, une crise sans précédent dans la distribution de l’électricité.

Comble du déshonneur, des voix, noires, se sont élevées - timidement il est vrai -, pour dire que « c’était mieux à l’époque des Blancs » ! La Democratic Alliance, malgré la scission du nouveau parti Action SA d’Herman Mashaba, ancien maire de Johannesburg, a capitalisé, en partie, ce mécontentement. Mais d’autres acteurs aussi, l’un sur une base ethnique, l’autre sur une base idéologique, sont aussi bien présents sur l’échiquier politique. Jacob Zuma, un Zoulou – cet ancien président qui disait que l’on pouvait combattre le Sida en prenant une douche après un rapport sexuel ! -, condamné pour de multiples malversations, est revenu sur la scène publique, tel le Phénix renaissant de ses cendres. Son parti, Umkhonto We Sizwé, créé ex-nihilo – reprenant le nom de l’organisation armée de l’ANC pendant la lutte contre l’Apartheid -, a raflé 58 postes avec ses 14,58% et 2 344 309 voix.

Plus inquiétant, quoiqu’en recul, le résultat du Parti des combattants pour la liberté économique (EFF) de Julius Maléma, pourfendeur raciste d’Afrikaners et d’Anglophones blancs, qui obtient avec 1 529 961 votes 39 députés, soit 5 de moins que dans la configuration précédente. Ce boutefeu, jamais avare de provocations, est derrière toutes les grèves qui scandent la vie syndicale du pays, et exige purement et simplement l’expropriation  sans dédommagement, des derniers fermiers blancs qui, pourtant, nourrissent le pays et assurent des exportations rentables. Heureusement, en France, nous n’en sommes pas encore arrivés à ce « Mélanchonesque » scénario catastrophique, comme au Zimbabwe, qui avait mis à terre la florissante économie de feu la Rhodésie (1).

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Sylvio Valente, candidat Reconquête en Seine-Saint-Denis

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Bien connu des militants de la cause nationale depuis longtemps, notre ami Sylvio Valente est candidat Reconquête dans la 8e circonscription de la Seine-Saint-Denis.

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Claude Janvier ce samedi au Puy-en-Velay

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vendredi, 21 juin 2024

Précipitez-vous pour voir le dernier film de Rithy Panh « Rendez-vous avec Pol Pot » :

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Michel Festivi

Les charniers communistes, c’est-à-dire les famines en Russie bolchévique entre 1920/1922 qui firent entre 3 et 5 millions de morts ; celles d’Ukraine soviétique en 1932/1933 : l’Holodomor, 5 millions de morts, vieillards, femmes enfants, bébés, une autre Shoa avant l’heure, avec des scènes de cannibalisme avérées ; le « grand bond en avant » maoïste, 20 à 30 millions de victimes ; les dizaines de millions de morts de la « révolution culturelle » chinoise des années 1966/1976, tous ces drames auraient dû nous immuniser définitivement des folies meurtrières de l’idéologie communiste, sans compter les millions de vénézuéliens qui affamés, quittent leur pays au grand dam de notre Mélenchon.

Et bien non ! Lorsque les « hommes en noirs » se sont abattus sur le Cambodge en avril 1975, pour le transformer génocidairement parlant, en Kampuchéa dit « démocratique », assassinant près de 2 millions de personnes, l’ensemble des intellectuels de gauche ont applaudi à cette éradication humaine au nom « des lendemains qui chantent ». Il suffit pour les plus anciens d’entre nous, de se remémorer les titres louangeurs et les articles dithyrambiques du Monde, Libération, La Croix, ainsi que les reportages élogieux des radios et télévisions françaises : « Le drapeau de la résistance flotte sur Phnom Penh...Phnom Penh libéré dans lo liesse – Les rizières verdoyantes et les ateliers en tous genres en pleine activité...les rires et les chants des paysans bien nourris ne sont pas forcés... »

C’est pourquoi, si vous en avez la possibilité, il faut vous précipitez pour voir ce film de Rithy Panh. Né à Phnom Penh en 1964, interné dans un camp à 11 ans, il a pu quitter cet enfer rouge pour trouver refuge à Paris à l’âge de 16 ans. Après une période de totale occultation bien compréhensible, il entre à l’Idhec, et depuis, il multiplie les films pour faire revivre la mémoire tragique du génocide cambodgien. Ce long métrage, qui a été présenté officiellement à Cannes cette année, mais on n’en a bien sûr très peu parlé, suit l’arrivée au Kampuchéa « démocratique », en 1978, de trois journalistes français, acquis à la cause de cette révolution sanglante. Une femme, deux hommes, dont un reporter-photographe. Deux d’entre eux ont connu à Paris, en Sorbonne, des années auparavant, Pol Pot et certains de ses sbires criminels.

Petit à petit, l’horreur va leur apparaître dans toute son abjection. Au photographe d’abord, puis à la femme journaliste ensuite, et enfin après bien des circonvolutions, au journaliste maoïste, ami à Paris de Pol Pot, dénommé dans le film Alain Cariou, sans doute un tacle direct à Alain Badiou, philosophe et enseignant français, qui prit fait et cause pour le régime sanguinaire de Pol Pot, sans que cela n’émeuve beaucoup la caste politico-médiatique. Dans cette oeuvre, qui mêle des images d’archives, des maquettes et des figurines comme symboles de la tyrannie, ainsi que des métaphores allégoriques sur l’aveuglement des intellectuels face aux crimes de masse, Rithy Panh, tente d’exorciser le drame absolu qu’il a vécu à 10 ans, lorsque son pays disparaîtra dans la fureur et le sang.

L’histoire mise en scène et filmée par Rithy Panh, de ces trois journalistes français, qui veulent interviewer « le frère numéro 1 », c’est-à-dire Pol Pot, lui a été inspirée, par un livre d’Elizabeth Becker, traduit en français, Les larmes du Cambodge, et publié en 1986. Cette journaliste du très à gauche Washington Post, s’était rendue au pays Khmer, avec deux de ses confrères, qui seront les premiers occidentaux à pouvoir se rendre dans cet état-prison. La fin du film est impressionnante, et l’entretien avec le « frère numéro 1 », stupéfiante et bien à l’image des mensonges permanents de l’idéologie communiste et de l’aveuglement qu’elle induit.

Car comme l’avait proclamé notre Jean Paul Sartre national, ce résistant de la 25e heure qui n’avait pas sourcillé pour s’asseoir dans le fauteuil d’un professeur de philosophie évincé car d’origine juive en 1940, « Un régime révolutionnaire doit se débarrasser d’un certain nombre d’individus qui le menacent et je ne vois pas d’autres moyens que la mort, on peut toujours sortir de prison. (Magazine Actuel n°28 de février 1973), les Khmers rouges l’exauceront. Simone de Beauvoir l’avait aussi soulignée en 1957, dans La longue marche, son plaidoyer pour le régime maoïste « quand il s’agit non plus de détruire l’ordre ancien, mais de construire un monde neuf...ces sectes (en parlant des taoïstes), doivent être liquidées ». 

Chez nous, en France, le Polpotisme vient de loin, de la Terreur, des guerres de Vendée, et la bête immonde est toujours bien vivante, si l’on en croit certaines déclarations mélanchonistes de nos insoumis islamogauchistes, ainsi que des communistes et de tous ceux qui soutiennent les crimes terroristes.   

12:25 Publié dans Michel Festivi, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen, candidat dans la 3e circonscription de la Vendée

Pierre Cassen Riposte laïque cliquez ici

Éric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement Vendéen, m’a demandé de l’interroger sur la candidature de son mouvement, dans la 3e circonscription vendéenne. Il est le candidat de son association, avec Brigitte Neveux, ancienne conseillère régionale des Pays de Loire.

Une grande complicité de terrain nous unit, puisqu’Éric, que nous connaissons depuis des années, était avec son équipe à Callac, à Saint-Brevin, et qu’il m’a souvent invité à venir animer les initiatives qu’il organise en Vendée.

Dans cette circonscription, Éric et Brigitte seront opposés à un candidat macroniste, à un candidat du “Nouveau Front Populaire”, à un candidat gauchiste, mais la situation dans le camp patriotique paraît plus complexe, puisqu’il y aura une candidature LR-RN, une candidature LR-Retailleau, une candidature DLF et celle du Rassemblement vendéen.

Interrogé sur le risque de permettre un deuxième tour entre nos pires ennemis, Éric, qui a étudié les élections précédentes, se montre rassurant. Il insiste sur la qualité de l’équipe militante qu’il a à sa disposition, fruit des nombreuses mobilisations qu’il a su impulser. Il est certain que des affiches du Mouvement Vendéen vont inonder toute la circonscription, et il précise bien sûr que s’il n’est pas au second tour, il étudiera avec le mouvement patriote présent la meilleure façon de barrer la route à Macron et aux troupes de Mélenchon.

Bonne campagne au Rassemblement vendéen et à ses deux candidats.

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11:04 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un entretien avec Danielle Le Men (candidate Reconquête à Callac - 4e circonscription des Côtes d'Armor) sur Riposte laïque

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Riposte Laïque : Vous êtes la présidente des “Amis de Callac”, association qui a mené la bataille victorieuse contre l’implantation massive de migrants dans le centre-ville. Aujourd’hui, le projet Horizon est abandonné, mais quelle est la situation de votre commune ?

Danielle Le Men : Après l’échec du laboratoire “Horizon”, l’État a financé une association immigrationniste chargée d’acheter des biens et d’y installer des migrants, 2 familles nombreuses (8 et 10 enfants). Nous constatons la venue d’autres étrangers dont nous ne pouvons évaluer le nombre. D’où les interrogations et l’inquiétude des Callacois, le taux de chômage étant très important à Callac.

Le climat reste tendu. Les propos et articles dans certains journaux du petit noyau des promigrants de la NUPES restent toujours aussi virulents. Mais ils sont contre-productifs, les Callacois aspirant au calme et ne se laissant plus intimider, bien que restant encore discrets.

Vous vous présentez aux prochaines élections législatives, pour le parti Reconquête. D’abord, quel est votre regard sur la situation nationale, à quelques jours d’échéances électorales décisives pour notre pays ?

La situation de notre pays est catastrophique. Comme la grande majorité des Français je constate :

• Le flux incontrôlé de migrants entrant en France ;

• L’insécurité qui augmente de façon exponentielle et s’étend aux zones rurales ;

• Les difficultés liées à la diminution du pouvoir d’achat : factures d’électricité, de gaz en nette augmentation ;

• L’effondrement du niveau scolaire, abandon de l’instruction des savoirs fondamentaux…

• Le wokisme généralisé qui veut la destruction des peuples et des nations. Destruction de la famille, du couple, du genre et du langage.

Sans oublier l’écologie politique.

Vous avez donc choisi de présenter votre candidature, alors que Reconquête n’est présent que dans deux circonscriptions, les autres candidats potentiels ayant choisi de ne pas se présenter, épousant par ailleurs la stratégie de Marion Maréchal. Pourquoi ce choix ?

Je ne suis pas ingrate. Sans l’action active des militants de Reconquête, notre petite ville de 2 200 habitants aurait subi un remplacement conséquent de sa population. Le résultat des européennes nous confirment l’implantation importante du RN sur notre circonscription. Nous ne représentons qu’un faible pourcentage. Bien sûr une entente entre tous les partis patriotes aurait été préférable. Ce n’est pas le cas.

Mais je suis convaincue qu’il faut que Reconquête existe au premier tour dans les circonscriptions où nous ne mettons pas en danger la présence des candidats patriotes au 2e tour.

Lors des dernières élections européennes, la Bretagne, qui vote beaucoup à gauche et également beaucoup pour Macron, a paru basculer, dans de nombreuses villes, dans un vote pour le Rassemblement national. Comment expliquez-vous ce changement ?

Les Bretons, plus ou moins épargnés auparavant, sont confrontés à une insécurité grandissante – aucune ville du centre Bretagne n’étant  épargnée – aux difficultés déjà exposées, à une immigration importante. Les Bretons de cette circonscription espèrent un changement important en votant pour la droite patriote, seul espoir pour préserver notre identité, notre civilisation, nos traditions, nos savoir-faire, sans oublier l’agriculture et la pêche.

Vous avez peu de temps. Aurez-vous dans les délais vos professions de foi et vos bulletins de vote, et quel type de campagne allez-vous mener ?

Tout le matériel de communication, bulletins de vote, profession de foi, etc. ont été communiqués en temps et en heure à la préfecture.  Pour la campagne, communication dans les médias, journaux, radio, débat télévisé. Mais surtout communication avec les électeurs. Également deux réunions publiques la semaine prochaine à Guingamp et à Callac.

Pensez-vous que la France sera gouvernable, le soir du 7 juillet ?

Je suis persuadée que les Français patriotes ayant pris conscience de l’enjeu vont tous aller voter et obtiendront la majorité absolue des sièges, seule condition pour pouvoir gouverner le pays.

Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Danielle ?

Je me suis engagée pour défendre le programme de Reconquête au premier tour et je soutiendrai activement le candidat RN si celui-ci est devant nous au 2e tour.

Propos recueillis par Pierre Cassen

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Pierre-Nicolas Nups (candidat de la Droite de conviction dans la 5e circonscription de la Meurthe-et-Moselle) présente son affiche de campagne

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10:51 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roland Hélie invité au Forum du Parti de la France vendredi 21 juin

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Dans le Forum du Parti de la France du 21 juin, Alexandre Hinger reçoit Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale, et Pierre-Nicolas Nups, candidat du rassemblement de la droite nationale dans la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle.
 
L'émission sera consacrée à la campagne des élections législatives et à l'actualité politique.
 
C'est vendredi à 21h et c'est sur Telegram : https://t.me/partidelafrance

01:50 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le séisme du 9 juin

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Au soir du 9 juin marqué par un désaveu cinglant de la majorité présidentielle macronienne et la victoire pour la troisième fois consécutive du Rassemblement national (RN), les dixièmes élections au Parlement de Strasbourg – Bruxelles provoquent la sixième dissolution de l’Assemblée nationale sous la Ve République. Malgré l’existence de procédures parlementaires rationalisées comme le célèbre article 49 – 3 qui affranchissent sous certaines conditions l’exécutif de la tutelle des députés, il devenait difficile au gouvernement de Gabriel Attal d’aborder avec sérénité les débats budgétaires de l’automne.

Les élections européennes sont considérées comme secondaires. À tort ! Ce n’est pas la première fois qu’elles bousculent la vie politique française. En 1984, le Front national de Jean-Marie Le Pen surgit avec 10,95 % des suffrages. Cinq ans plus tard, les Verts d’Antoine Waechter, tenant d’une ligne écologiste « ni de gauche, ni de droite », obtiennent 10,59 %. Les européennes suivantes consacrent le courant souverainiste représenté tour à tour par Philippe de Villiers (12,34 % en 1994), puis en 1999 par Charles Pasqua (13,06 %) et les chasseurs (6,78 %). Leurs succès électoraux souverainistes restent cependant éphémères.

Décidée par Jacques Chirac et son premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, la réforme du mode de scrutin des européennes consacre de grandes circonscriptions interrégionales. Ce découpage en ensembles hétéroclites favorise la désaffection des électeurs. En 2004, l’abstention est de 57,24 %. En 2009, elle atteint 59,37 %. Enfin, en 2014, elle plafonne à 57,57 % ! Le retour à une circonscription nationale unique facilite au contraire la lisibilité des enjeux, ce qui explique le léger regain de participation civique tant en 2019 (49,88 % d’abstention) que cette année (48,51 %).

Estimant que la France était déjà en campagne électorale depuis plusieurs mois, Emmanuel Macron a finalement choisi de renvoyer les députés et d’imposer un calendrier électoral très serré. Son pari téméraire se révèle aussi pervers. Le chef de l’État a enfin annoncé qu’il resterait à l’Élysée, quelque soit le vainqueur de ces élections anticipées. Cela ne l’empêche pas de superviser avec entrain la campagne de l’extrême centre et de fustiger ses oppositions.

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01:41 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 20 juin 2024

Les patriotes bretons du MPB demandent un débat public entre Bernard Germain et Christine Tasin d'un côté et l'affabulateur Chartier de l'autre

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Vous le savez, nos amis Bernard Germain et Christine Tasin, de Résistance républicaine, tous deux à la pointe du combat contre l'implantation de plusieurs centaines de migrants à Callac (22) cliquez ici, étaient les cibles des fantasmes "anti-fascistes" de l'affabulateur Chartier, plumitif d'un brulot gauchiste local pompeusement intitulé Le Poher. Celui-ci prétendait auprès de qui voulait l'entendre (c'est-à-dire de pas grand monde) que nos amis le harcelaient, le menaçaient et allaient même jusqu'à vouloir faire sauter le siège de son Poher... cliquez là Pauvre garçon ! à force de se shooter à l'"anti-fascisme", il finit par voir des divisions SS à chaque coin de rue ! Ce Chartier ne sait visiblement pas que nous ne sommes plus en 1940... mais en 2024 !

Quoi qu'il en soit, depuis deux ans, c'est-à-dire depuis que les forces patriotiques dénoncent la tentative de grand remplacement à Callac (tentative heureusement avortée grâce à l'immense mobilisation populaire de réprobation que celle-ci a suscitée), Chartier a multiplié les procès contre Bernard et Christine. Mauvaise idée, car il les a tous perdus cliquez ici. Et, comme on pouvait l'imaginer, il se garde bien de s'en vanter... Il en va de même de la presse quotidienne régionale qui n'avait pas de mots assez forts pour salir nos amis à l'époque.

Ce silence indispose les militants du Mouvement des Patriotes bretons (MPB) qui ne veulent pas en rester là. Ils exigent aujourd'hui que Chartier reconnaisse publiquement ses mensonges et présente des excuses à ceux qu'il a trainés dans la boue. Le MPB vient d'éditer une affiche (ci-dessus) qui est collée un peu partout dans la région. Tôt ou tard l'affabulateur accusateur devra s'expliquer et ses lecteurs, s'il lui en reste, seront ainsi informés sur la nature mensongère des balivernes qu'il diffuse.

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Pour en savoir plus sur "l'affaire de Callac", lisez le livre de Bernard Germain "Callac, la mère des batailles" cliquez ici 

19:54 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Aujourd'hui, Jean-Marie Le Pen à 96 ans

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 Cela n'a pas échappé à Ignace...

Source Médias presse info cliquez ici

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...ni au Parti de la France.

Source Le blog de Thomas Joly cliquez là

19:50 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Libé croyait avoir enfin trouvé en Joseph Martin un candidat RN nazi : encore raté !

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Pierre Cassen Riposte laïque cliquez ici

Les réseaux sociaux se sont enflammés, toute cette journée de mercredi. Les vaillants chasseurs de nazis de Libération avaient enfin trouvé un coupable, et quel coupable : le candidat du RN dans le Morbihan, Joseph Martin, chez qui on avait retrouvé un tweet étrange : “Le gaz a rendu justice aux victimes de la Shoa”. J’avoue ne rien avoir compris à cette formulation, et surtout ne pas avoir vu en quoi elle était antisémite.

Mais tous les candidats de gauche qui sévissent sur les réseaux sociaux se sont bien sûr précipités sur ce tweet pour accuser le RN de présenter des antisémites. Un excellent contre-feu pour faire oublier le viol d’une jeune fille de 12 ans par des jeunes qui ont le profil des futurs électeurs de La France Insoumise. Une excellente façon aussi de faire oublier la phrase de Mélenchon, il y a quelques jours, dans laquelle il affirmait que l’antisémitisme en France n’existait pas, si ce n’est de manière résiduelle.

Et puis, ce jour, patatras, le mensonge apparaît, Libération se voit accusé d’avoir publié un bobard (je n’aime pas le mot “fake news“), et même l’Union des étudiants juifs de France et Tristan Mendès France, qu’on ne peut accuser de complaisance avec le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella, rétro-pédalent, admettant seulement un tweet mal rédigé. cliquez ici

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Législatives à Guingamp, Rostrenen : Danielle Le Men, candidate Reconquête

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Sous la bannière Reconquête !, la Callacoise Danielle Le Men est candidate aux législatives dans la 4e circonscription des Côtes-d’Armor, qui s’étend de Guingamp à Rostrenen en allant jusqu’à Plestin-les-Grèves à l’ouest.

Engagée dans le combat contre le projet Horizon au sein de l’association des Amis de Callac et ses environs, Danielle Le Men a obtenu l’investiture de Reconquête ! pour les législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet.

La Callacoise se présentera aux côtés de Patrice Riou, de Pont-Melvez, lui aussi membre de l’association. « Comme j’ai une bonne mémoire, je suis reconnaissante envers Reconquête ! de m’avoir aidée dans le projet contre Horizon. Je lutte contre l’immigration massive, ce n’est un secret pour personne. Je me retrouve dans le programme d’Eric Zemmour, sur l’économie ou, en tant qu’enseignante, sur l’éducation. Nous avons des points communs avec le Rassemblement national, mais aussi des divergences. Mais si je ne suis pas qualifiée au second tour, je me désisterai au profit du candidat du RN », affirme-t-elle.

Information Le Télégramme cliquez ici

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L’heure doit être à l’apaisement !

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Roland Hélie,

directeur de Synthèse nationale

Les élections législatives anticipées se dérouleront donc les 30 juin et 7 juillet prochains. Leur annonce a entraîné un certain nombre de crises internes au sein des différentes familles politiques. La nôtre, la droite de conviction, n’échappe pas à la règle, comme vous pouvez malheureusement le constater… Ambitions, frustrations, rivalités, mésententes se révèlent au grand jour et les affrontements vont bon train !

L’heure est grave. Le pouvoir est aux abois et la possibilité de l’accession à Matignon du Nouveau Front populaire n’est pas à exclure. Face à ce danger et à l’état actuel de notre pays, nous souhaitions, naïvement peut-être, qu’une union de toutes les forces militantes nationales, nationalistes, souverainistes, conservatrices et identitaires, se fasse autour d’une plate-forme commune d’union nationale. Une occasion historique s’offrait à nous de mettre entre parenthèses les egos, les rivalités, d’enterrer les divisions et d’affirmer haut et fort notre volonté de sauver la France du mondialisme, de la préserver du wokisme et de l’islamo-gauchisme. Hélas, ça n’a pas été possible. Dont acte…

Cette situation nous désole au plus haut point, mais elle est la réalité présente avec laquelle nous devons composer. Par conséquent, dans un souci d’apaisement, nous avons décidé de ne pas relayer les communiqués des différentes composantes qui s’affrontent actuellement au sein de l’opposition nationale.

Durant les vingt jours qui viennent, nous nous en tiendrons uniquement au factuel, même si certaines prises de position (comme celles concernant la dissolution programmée du GUD) nous révoltent.

Bien hardi qui peut dire ce qu’il va se passer dans les prochaines semaines. Mais, quelle que soit la fin de cette séquence, pour notre part, nous continuerons à agir, parler et écrire pour qu’un jour se réalise enfin une véritable et salvatrice synthèse nationale.

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mercredi, 19 juin 2024

Pas de CADA à Bélâbre : le maire de la commune mange son chapeau !

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Francis Bergeron

Agathon nous disait il y a quelques jours ici même que les habitants du village de Bélâbre avaient indirectement désavoué leur maire par leur vote, le 9 juin dernier, en faveur des listes opposées à l’implantation de Centres d’Accueil de clandestins sur le territoire français. Le cumul des listes hostiles a recueilli ici 60% des voix, dont 44,4% pour la seule liste de Bardella, alors que le total des voix macronistes et de toutes les gauches n’a représenté que 32%. La messe était dite : deux Bélabrais sur trois !

L’arrivée annoncée de 38 Afghans, Syriens, Algériens et autres Tchétchènes pour ce village de 950 habitants cristallisait depuis dix-huit mois les mécontentements, surtout après l’assassinat du jeune Matisse, 15 ans, à Châteauroux (suivi d’ailleurs de trois autres meurtres à propos desquels les médias ont moins communiqué…).

Le conseil municipal de Bélâbre venait néanmoins d’entériner l’achat d’une ancienne usine pour en faire ce mirifique Centre d’Accueil pour migrants en attente de régularisation ou d’expulsion (délais moyens de traitement des dossiers et procédures judiciaires liées : environ 6 ans).

Or nous venons d’apprendre que le coût des travaux pour convertir ces bâtiments désaffectés et délabrés en sympathiques appartements représente un total absolument disproportionné : plusieurs millions d’euros. Il serait temps de s’en apercevoir, alors que tous les professionnels de la région savaient, eux, que le choix de ce bâtiment (acheté par la mairie) était un non-sens.

Les travaux devaient commencer aux premiers jours du printemps. A la date de la dernière manifestation des opposants au projet, le 8 mai dernier, le chantier n’avait pourtant toujours pas été ouvert, contrairement aux rodomontades de la mairie.

Il semble bien, désormais, qu’on s’achemine vers un abandon pur et simple de cette provocation progressiste visant une fois de plus ce monde rural qui pense et vote si mal.

L’argument d’un surcoût cache évidemment autre chose. Certes la mairie parle à présent d’un plan B, qui devrait sortir d’un chapeau, et qui se substituerait au projet initial. Ce plan B existe-t-il vraiment ? Non, bien entendu. C’est à l’évidence un abandon, qui s’annonce, l’argument des surcoûts, et l’évocation d’un plan B ne sont que des habillages, pour ne pas perdre la face.

Les nombreuses procédures judiciaires de contestation menées par les habitants de Bélâbre ont pesé largement dans cet abandon, comme ont pesé les manifestations de ces dix-huit derniers mois, et les résultats, locaux de l’élection européenne du 9 juin dernier.

L’avocat et chroniqueur Pierre Gentillet, originaire du coin, qui suit ce dossier pour le compte des opposants, explique sur le site de l’Union bélabraise :

« À l’aube de cette journée, à travers un article du journal local (il s’agit de la Nouvelle République, note de la rédaction), Viltaïs fait une annonce :

PAS DE CADA À BÉLÂBRE sur le site de la chemiserie !

Le maire cherche une porte de sortie avec un plan B qui ne verra jamais le jour

Prochaine étape : les municipales. »

Précisons que Maître Gentillet est pour sa part candidat aux législatives du 30 juin dans une circonscription du département du Cher, un autre département, certes, mais situé dans le Berry et à quelques dizaines de kilomètres seulement de Bélâbre. Il se présente avec le soutien des droites locales, à commencer par le RN, bien entendu. Si par extraordinaire le maire Laroche persistait dans sa volonté d’implanter un CADA à Bélâbre, ce n’est pas seulement l’avocat Pierre Gentillet qui viendrait haranguer la foule, mais probablement aussi le député Pierre Gentillet. C’est en tout cas tout ce qu’on l’on espère !

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Des populismes contre le peuple

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Il y aurait actuellement 25% de régimes populistes dans le monde. Un chiffre à relativiser compte tenu de l’usage caoutchouteux qu’on fait de cette étiquette. D’autre part, on le sait bien, le populisme, est avant tout un style. En tant que tel, il peut se concilier avec les idéologies les plus différentes, depuis le national-populisme à la française jusqu’au conservatisme atlantiste italien et au populisme de gauche des bolivariens latino-américains. Nombre de ces régimes populistes sont un mélange d’ordre moral, de libéralisme autoritaire et de néolibéralisme effréné. Le peuple peut-il s’y reconnaître ? Alain de Benoist, dans son éditorial du dernier numéro de la revue Eléments répond à cette question : de quoi parle-t-on.

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Source  : Eléments n° 208

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mardi, 18 juin 2024

De la limitation du nombre des candidatures

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol 

Les élections européennes du 9 juin sont maintenant derrière nous. Il est cependant prématuré d’en tirer des conclusions tant en France qu’à l’échelle continentale. Avant la fin de la présente saison, votre chronique préférée y reviendra sûrement. Intéressons-nous plutôt aujourd’hui à un élément de langage lié à ce scrutin passé inaperçu qui indique un nouvel infléchissement vers un despotisme bien-pensant.

Pour ces élections, l’électeur français pouvait choisir entre trente-huit listes. Cette profusion a suscité des reportages partiaux sur un point de détail qui a pris une importance himalayenne. Des journalistes ont volontiers répercuté l’ire des maires à propos de l’affichage légal. Le code électoral exige en effet un nombre de panneaux équivalent au nombre de listes en lice posés près de chaque bureau de vote. Ces panneaux, souvent métalliques, sont aussi en bois.

Les édiles constatent à l’antenne que bien des panneaux installés restent vierges d’affiche, car de nombreuses listes n’ont pas les moyens financiers pour en imprimer et les coller. Les élus locaux hurlent alors au gaspillage des finances publiques. La médiacratie répercute et accentue leur indignation sélective.

Des chroniqueurs suggèrent de mettre en œuvre la vieille proposition d’Emmanuel Macron en faveur des listes européennes. Faut-il comprendre que les Français et les Allemands occuperaient les cent premières places ? Pour qu’il soit effectif, ce projet pourrait s’inspirer des élections régionales françaises avec des collèges départementaux et le nom du candidat à la présidence du conseil régional écrit en gras. À partir de cet exemple, on peut imaginer un bulletin de 720 noms répartis en vingt-sept ensembles nationaux, soit 81 sièges pour la France et 6 pour Malte, et, en prime, le nom du candidat à la présidence de la Commission de Bruxelles. Cette procédure risque toutefois de bouleverser les habitudes électorales de l’Italie ou de l’Espagne.

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00:19 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Qu’est-ce que le fascisme ? Petit rappel aux ignorants qui n’ont que ce mot à la bouche

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Yann Vallerie Breizh Info cliquez là

Le terme “fascisme” est aujourd’hui couramment utilisé dans les débats politiques contemporains, souvent pour désigner des adversaires politiques. Cependant, comprendre ce qu’est réellement le fascisme nécessite une exploration historique et conceptuelle de ce mouvement politique.

Le fascisme est un mouvement politique complexe et souvent mal compris. Il est essentiel de comprendre ses origines, ses doctrines et ses pratiques pour évaluer son utilisation contemporaine. Cet article explore les caractéristiques historiques du fascisme et les réflexions de Pierre Milza, un éminent historien, sur ce phénomène.

Le terme “fascisme” trouve son origine dans l’italien “fascio”, signifiant “ligue” ou “union”. Historiquement, il fait référence aux faisceaux de verges entourant une hache, symbole de l’autorité dans la Rome antique. Cette symbolique a été initialement utilisée pour désigner les “faisceaux siciliens des travailleurs”, un mouvement paysan et protestataire en Sicile de 1889 à 1894.

Naissance d’une Idéologie

La connotation du terme a évolué vers un contexte plus belliciste en 1914, lorsque des représentants du syndicalisme révolutionnaire italien ont lancé l’appel du “faisceau d’action révolutionnaire” pour soutenir l’entrée en guerre de l’Italie contre les Empires centraux. Benito Mussolini, alors journaliste et militant du Parti socialiste italien, a soutenu cette initiative, ce qui a conduit à son expulsion du parti en novembre 1914.

En décembre 1914, Mussolini participe à la création du “faisceau d’action révolutionnaire interventionniste”, une organisation qui abandonne l’internationalisme pacifiste tout en conservant des éléments socialistes. Avec la fondation des “faisceaux italiens de combat” après la Première Guerre mondiale, son idéologie prend une forme définitive, alliant nationalisme et révolution, donnant naissance au fascisme tel qu’on le connaît.

En France, dès les années 1920, le terme “fascisme” a pris une connotation diffamatoire, utilisé par le Parti communiste français pour désigner ses adversaires politiques.

Développement Historique

Le fascisme, selon l’historien Emilio Gentile, trouve ses racines dans les idéaux révolutionnaires du XIXe siècle et bascule vers le nationalisme après le Congrès de Vienne de 1814. Ce mouvement s’inspire de figures révolutionnaires comme Giuseppe Mazzini et est fortement influencé par des penseurs comme Georges Sorel, qui prône une synthèse entre nationalisme et socialisme. L’impact de Nietzsche et du darwinisme social se fait également sentir, glorifiant la force et la régénération par la violence.

Le fascisme ne repose pas sur un texte unique, mais sur une série de lois adoptées entre 1925 et 1926, appelées les “lois fascistissimes”. Ces lois ont établi un État autoritaire sous Mussolini, centralisant le pouvoir et limitant les libertés individuelles. La doctrine fasciste est résumée par le slogan : “Tout dans l’État, rien hors de l’État, rien contre l’État”.

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00:07 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 17 juin 2024

Les Brigandes et le front musical pour la défense de notre identité

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Thierry DeCruzy Polémia cliquez ici

Incapables de comprendre la musique, la dissidence comme les élus de l’opposition nationale ont quasiment abandonné ce terrain culturel. Cette situation est d’autant plus préjudiciable que la musique est un puissant agent d’influence sur les populations. Le front musical a été déserté, malgré les opportunités…

Les Brigandes, celles qui ont fait transpirer les médias

Dans la préface d’un livre consacré aux Brigandes et publié par Synthèse éditions, Brigitte Bardot affirme : « C’est “Elles” qui auraient dû être choisies pour chanter l’ouverture des Jeux olympiques de France ! » Entre Aya et Les Brigandes, le choix est politique et a impact sur le référentiel non seulement de la France, mais de toute la francophonie, donnant la mesure de son audience et de la vision politique élyséenne. Un contrôle similaire est opéré par l’Eurovision qui impose ses modèles sociétaux à tout un continent. Si le concours a été créé par l’OTAN, c’est bien que la musique a une importance stratégique qui devrait être prise en compte par ceux qui ont été élus pour représenter la nation française historique. Il ne s’agit pas de choix personnels car les choix musicaux sont conditionnés par les communautés dont sont issus les individus. Le contrôle méticuleux opéré sur les concerts en est l’illustration. En France, une autorisation est indispensable pour leur organisation, elle est délivrée par la mairie ou la préfecture. Outre les questions de sécurité, le visa est d’abord politique. Il suffit d’observer le traitement sélectif réservé aux rave parties, interdites mais encadrées par les gendarmes, et celui des concerts de groupes identitaires, traqués par les antifas et interdits par les préfectures.

À cet égard, le parcours des Brigandes est emblématique. Ces chanteuses professionnelles ont forgé un outil musical capable de faire entendre la dissidence française jusqu’en Russie. Leurs compétences musicales alliées à des textes engagés et mis en scène dans des vidéos soignées faisaient de leurs chansons des outils séduisants, en témoigne la censure de leur compte YouTube qui dépassait les 10 millions de vues. La violence des attaques médiatiques avec les pires accusations (assassinat, secte…) et l’envoi d’équipes de journalistes pour faire pression sur la population de leur petit village témoignaient de leur influence. Elles ont fait transpirer les médias pendant cinq ans. Il a fallu un dossier de fausses accusations – aucune condamnation ne les a confirmées – pour diviser la dissidence et affaiblir les soutiens du groupe, même si d’autres ne se sont pas laissé tromper (TV Libertés, Synthèse nationale, la Ligue du Midi, Riposte Laïque, Polémia…). Petite structure sans relais communautaires suffisants, le groupe n’y résiste pas. Pourtant, en six ans, la production des chanteuses est exceptionnelle, avec 12 CD, 144 chansons et 104 clips vidéo. Le combat musical est politique, comme le montre leur convocation par l’Assemblée nationale, fait unique dans l’histoire de la chanson française, sans aucun élu pour les soutenir. La manœuvre de l’industrie musicale réussit à éliminer des chanteuses dissidentes avec l’appui d’une partie de leur propre public.

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23:55 Publié dans Revue de presse, Thierry DeCruzy | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alexandre Simonnot candidat du Parti de la France et de Reconquête dans le Val d'Oise

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Alexandre Simonnot, Délégué général du Parti de la France, sera candidat aux élections législatives, dans la 3e circonscription du Val d'Oise qui comprend la commune de Taverny dont il est Conseiller municipal.

Il part sous la double étiquette Reconquête-PdF, ce qui semble être (enfin) un signe de rapprochement concret avec la formation d'Éric Zemmour.

23:36 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le « Nouveau Front populaire » commence par une falsification historique et politique :

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Michel Festivi 

Dimanche soir 9 juin, alors que les résultats des élections européennes tombaient, Manon Aubry, l’hystérique représentante de la liste LFI, dénonçait « un système qui s’apprête à dire plutôt Hitler que le Front populaire ». Anticipant de quelques heures la recomposition de la gauche islamogauchiste et wokiste autour d’un regroupement dénommé « Nouveau Front populaire », largement dominé par les plus radicaux et les plus extrémistes, ce fameux cri de ralliement refaisait surface. Mais qu’en est-il de sa véracité historique ? A-t-il été prononcé par des factieux ? Ou bien a-t-il été inventé de toute pièce par des gauches qui à tout bout de champ reprennent l’antienne de « l’antifascisme », pour se refaire une virginité dévoyée en renvoyant les droites aux gémonies ? C’est ce que nous allons décrypter.

Quand donc est apparue pour la première fois cette apostrophe, reprise tout récemment par les extrêmes gauches ? C’est dans une lettre du comité central du Parti communiste allemand alors en exil, adressée à Maurice Thorez et publiée dans L’Humanité du 12 décembre 1936 que l’on peut lire « Oui, l’Allemagne aimant la paix et la liberté... n’a rien à voir avec les agissements des agents de Hitler en Alsace- Lorraine à côté de ceux qui proclament « plutôt Hitler que le Front populaire.... ». Pourquoi cette lettre des communistes allemands à Thorez ? Tout simplement pour l’assurer que même Allemands, ils n’entendaient pas revendiquer l’Alsace-Lorraine. Donc cette formule n’a pas été prononcée par des furieux « fascistes » ou « hitlériens », mais a tout simplement été exprimée par des communistes allemands. Il faut dire que trois années auparavant, le futur traitre et déserteur Thorez avait à Berlin, le 15 janvier 1933, à l’invitation du Parti communiste allemand, prononcé un discours au terme duquel, il ne s’opposait pas au retour de l’Alsace-Lorraine dans le giron du Reich, dénonçant l’obligation qu’avait alors l’Allemagne de payer des réparations de guerre, la traitrise communiste remonte à loin. Dans ce discours, Thorez après avoir fustigé la France et les socialistes français dira : « nous luttons pour la suppression définitive des réparations..., pour la libre disposition du peuple d’Alsace-Lorraine... y compris la séparation d’avec la France, pour tous les peuples de langue allemande, de s’unir librement » Dès le 30 janvier 1933, Hitler devenu Chancelier, s’empressera de suivre à la lettre les volontés de Maurice Thorez, qui faisait ainsi sien le programme national-socialiste.

Or, dans les manifestations violentes de l’extrême gauche de ces derniers jours, l’on retrouve cette falsification « Le Front populaire contre Hitler », brandi sur des pancartes, nous apprend le Figaro dans un article du 12 juin. Pour l’ultra gauchisme c’est une évidence, dans l’entre-deux-guerres, les droites auraient revendiqué vouloir préférer Hitler au Front populaire. On retrouve cette devise « Plutôt Hitler que Léon Blum », sous la plume d’Emmanuel Mounier, un philosophe chrétien très à gauche, dans un article intitulé « Les lendemains d’une trahison » publié dans la revue Esprit, le 1er octobre 1938, au lendemain des accords de Munich, qu’il dénonce : « on ne comprendra rien au comportement de cette fraction de la bourgeoisie, si on ne l’entend pas murmurer à mi-voix plutôt Hitler que Blum ». Là encore, il s’agit d’attribuer, d’imputer à des tiers des propos supposés qui n’ont jamais été tenus en réalité.

Car aucune source historique ne permet d’établir que ce slogan ait été prononcé, à aucun moment il n’est possible de l’assigner à telle ou telle personne ou groupe de personnes, hormis les volontés des gauches de l’entendre proclamer comme dans un cauchemar, par leurs adversaires, en rêve en quelque sorte. En réalité, cette accroche fut tout simplement créée de toute pièce par les tenants du Front populaire eux-mêmes et répétée ainsi ad nauseam, pour faire accroire sa véracité, alors qu’il ne s’agissait, une fois de plus, que d’une construction de mensonges, que d’un assemblage mémoriel. On ne le sait que trop bien, répéter et répéter un mensonge, peut devenir en histoire et en politique une vérité.

En revanche, « Plutôt Hitler que Blum », est exactement l’expression qui convient le mieux à l’attitude du Parti communiste « français », entre 1939 et 1941. Les communistes « français », se sont en effet très violemment attaqué à Léon Blum à cette période. Le 7 octobre 1939, André Marty, très haut dirigeant communiste de l’Internationale, député de Paris, membre du bureau politique, qui avait en Espagne révolutionnaire acquis le surnom bien mérité de « boucher d’Albacete », écrit une lettre ouverte à Blum, qui sera publiée dans la gazette Le Monde n°4 du 7 octobre 1939, hebdomadaire de l’IC, publié en Belgique. Cette lettre ouverte dénonce la collusion de la SFIO avec le gouvernement Daladier, qui suite à la signature du pacte Hitler/Staline du 23 août 1939, et à l’attitude des communistes qui prennent fait et cause pour l’URSS alliée des nazis contre la France, vient d’interdire la presse communiste et sa diffusion. André Marty est fou furieux contre Blum et il se déchaîne contre lui. Blum y est insulté, injurié, traité de valet de l’impérialisme français et anglais. Marty qui défend bec et ongles « le pacte des diables » et donc les nazis écrit « Vous, Blum, essayez de désorganiser la seule force qui s’oppose à la guerre de l’impérialisme français : le parti communiste. », « car nous sommes fiers d’être membres de l’internationale communiste de Lénine et de Staline, vous entendez bien Blum, de Staline ». On ne sera donc pas étonné de découvrir, que dans quelques mois, de nombreux députés communistes emprisonnés par les régimes finissants de la IIIe république, écriront au Maréchal Pétain ou à son ministre de la Justice, pour se proposer, comme délateur, d’être des témoins à charge contre Daladier et Blum, alors emprisonnés, en vue du futur procès de Riom. J’explicite tout cela en détail dans mon dernier livre qui vient d’être publié chez Dualpha, La désinformation autour du Parti communiste « français ».

Car le déserteur Maurice Thorez, s’était aussi emporté contre Blum, quand il rédigea depuis Moscou, où il s’était réfugié pour ne pas combattre avec les armées françaises les soldats de la Wehrmacht, en écrivant dans Die Welt, autre publication de l’IC depuis Stockholm, le 16 février 1940, en plein pacte Hitler/Staline, un article qui sera ensuite diffusé clandestinement en France en mars 1940 dans une brochure intitulée « Un portrait », ce qui suit : « Blum unit en sa personne l’horreur du socialisme...qui engendre des chiens sanglants... la classe ouvrière ne manquera pas de clouer au pilori ce monstre moral et politique... ». Thorez avait aussi traité Blum de « de reptile répugnant » dans un autre texte adressé à son compère Jacques Duclos. Dès lors, « Plutôt Hitler que Blum », est la formule qui résume parfaitement l’attitude du PC « F » entre 1939 et 1941, PC « F », aujourd’hui entièrement partenaire de ce « Nouveau Front populaire », plein de haine, de morgue et de mensonges.

En résumé, cette diatribe, n’a jamais été prononcée par un quelconque homme de droite ou supposé, mais résulte d’une manipulation mémorielle des gauches et des communistes : une de plus.

Lire le nouveau livre de Michel Festivi :

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18:33 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre-Nicolas Nups, candidat du Parti de la France en Meurthe-et-Moselle

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Un communiqué du Parti de la France :

Le Parti de la France n'aura qu'un seul candidat lors de ces élections législatives mais pas des moindres : Pierre-Nicolas Nups, membre du Bureau politique du PdF et Délégué régional pour la Lorraine.

Il est le candidat du rassemblement de la droite nationale dans la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle (54) qui correspond à la ville de Toul et à ses alentours. Il aura pour suppléant Alexandre Hinger, notre délégué national à la communication.

Pierre-Nicolas Nups : « J’ai l’honneur de vous annoncer qu’en l’absence de candidat présenté par le RN et Reconquête ou de toute autre formation patriote dans la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle, je serai candidat.

Dans la 5e circonscription, ce sera le Front Populaire islamo-marxiste contre le Front National de Jean-Marie Le Pen. C’est ça et rien d’autre. Votez Nups, pas NUPES ! »

13:27 Publié dans Législatives 2024 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |