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vendredi, 28 juin 2024

Un jour, il faudra qu’ils payent pour tout cela !

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Bernard Germain

Némésis… vous connaissez ?

Dans la mythologie grecque c’était la déesse de la vengeance et de la justice divine, la personnification grecque du châtiment.

Aujourd’hui, c’est une association féministe composée de jeunes femmes fort courageuses qui défendent la cause des femmes, sans limiter leurs actions à ce qui est acceptable pour les bien pensants et la gauche.

Cela veut dire que contrairement à tant de mouvements féministes, si des membres de la diversité sont responsables d’agressions contre des femmes, Némésis les dénonce impitoyablement et sans état d’âme contrairement à toutes les « féministes » style Caroline de Haas qui font silence dans ce cas. Caroline de Haas... vous savez celle qui disait à ceux qui s’étonnaient de son silence suite à tous les viols commis par des migrants à Cologne (2015-2016) «  Allez déverser votre merde raciste ailleurs ». C’est elle aussi qui déclara à propos des agressions sexuelles commises par des migrants dans le XVIII° arrondissement à Paris, « il n’y a qu’à élargir les trottoirs ». Et la quasi totalité des mouvements féministes sont à cette image en matière de « violences faites aux femmes ». Leurs indignations sont à géométrie variable. Si l’auteur est un migrant membre de la diversité, c’est raciste de le dénoncer et il convient de taire ce que leurs victimes ont subi. Par contre si c’est un blanc, là c’est l’hystérie et une nouvelle preuve qu’il faut détruire cette société patriarcale, ce qui provoque un déchaînement délirant de ces mouvements et de leurs adhérentes.

Alice Cordier qui a 26 ans, est la fondatrice (en 2019) et la directrice du collectif Némésis. Elle est présentée dans la quasi totalité des médias bien pensants comme une militante « d’extrême droite ».

Raphaël Arnault, le chef des antifas de Lyon (Jeune Garde) grand ami de Mélenchon et candidat du Nouveau Front Populaire à Avignon sous l’étiquette LFI, a prévenu Alice Cordier : « Si elle vient à Lyon, ce sera une balle dans la tête ». La gauche aussi déteste Alice Cordier et les militantes de Némésis.

Ainsi, à peu près à chacune de leurs actions, elles subissent des insultes et presque à chaque fois des coups donnés généreusement par de courageux hommes qui leur tombent dessus en prenant soin d’être masqués pour ne pas être reconnus.

La seule fois où Némésis n’a pas subi de violence, c’était en novembre 2022, lors d’une manifestation du groupe féministe « NousToutes ». Et pourquoi furent-elles acceptées ce jour là ?

Parce que les militantes Némésis étaient présentes dans le cadre d’une opération « troll ». Elles étaient voilées comme de bonnes musulmanes et portaient des pancartes indiquant : « Ma burqua, mon choix », « Féministe ET islamiste », « Que la race blanche s’éteigne »,… etc.

Tout s’était très bien passé. Personne n’était venu les inquiéter pour ces pancartes pourtant inacceptables.


Burqua-choix.jpg

En revanche, lors de la manifestation féministe de novembre 2023, là ça c’était très mal passé. Les pancartes étaient nettement différentes, elles dénonçaient les viols du Hamas commis le 7 octobre 2023 en Israël. Et ça c’était insupportable pour les « féministes ». Parce que dénoncer le Hamas, ces terroristes violeurs et tueurs, c’est dénoncer des membres de la « diversité non blanche » alliés des wokistes et des féministes, sans parler d’un certain anti-sémitisme assez largement partagé chez toutes ces féministes.

Némésis a donc été expulsée manu militari.

Autre exemple le 21 janvier 2024, au cours de la manifestation contre la Loi immigration, Némésis a sorti une banderole « Libérez-nous de l’immigration ». Elles étaient une dizaine de femmes, à visage découvert. Là aussi, l’affaire a vite tourné au vinaigre.

Elles sont rapidement repérées et les insultes commencent : « cassez-vous ! » répété en boucle. Puis, très vite, ce sont les violences. Un groupe d’hommes principalement en noir arrive. Ils sont soigneusement masqués et se jettent sur elles en les frappant sans ménagement. La banderole est mise en pièces. Les jeunes femmes de Némésis sont obligées de quitter les lieux.

Une fois de plus, aucune féministe ne va s’interposer pour les protéger et dénoncer cette agression au motif que « toute violence contre les femmes est inacceptable ».

Le 7 avril 2024, deux militantes Némésis de Besançon ont fait irruption place du Huit-Septembre, devant la tribune officielle, lors du carnaval en brandissant des pancartes « Violeurs étrangers dehors » et « Libérez-nous de l'immigration ».

La maire EELV (écolo) de Besançon a porté plainte contre ces deux jeunes femmes de Némésis pour « incitation à la haine ». Incroyable mais vrai. « Violeurs étrangers, dehors »... c’est pour la gauche une incitation à la haine.

Quant aux deux jeunes manifestantes, le traitement qui leur a été réservé est absolument inqualifiable. Celle qui portait la pancarte demandant l’expulsion du pays pour les violeurs étrangers a eu droit à : 10H00 de garde à vue, la perquisition sans ménagement de son domicile, la confiscation de son ordinateur et téléphone en attendant la tenue de son procès.

Mais à gauche, personne n’a jugée intolérable la position de cette maire EELV de Besançon. Ni ses conséquences.

Le 19 mai dernier, deux militantes Némésis ont profité d’un petit festival organisé à Dole pour alerter sur la hausse de l’insécurité et la mise en danger des femmes dans l’espace public. Elles avaient à nouveau une banderole « Violeurs étrangers dehors ».

Comme le rapporte sur son site Boulevard Voltaire le 21 mai, le responsable de la section du PCF de Besançon va immédiatement les agresser et arracher la banderole.

Boulevard Voltaire ajoutant « La France insoumise, elle, s’est fendue d’un communiqué pour demander au maire de Dole de porter plainte contre les jeunes femmes victimes de violences et « prendre ses responsabilités face aux actes que commettent certaines personnes au nom de la haine et du rejet des différences » ! »

Enfin, hier Jeudi 27 juin, nous avons assisté à un nouveau spectacle des plus pitoyables donné par la gauche.

Les faits se sont passés place de la République à Paris. Il s’y tenait un rassemblement contre le RN « dont l’arrivée au pouvoir menacerait la France et la démocratie ».

Némésis avait décidé d’y venir manifester pour dénoncer plusieurs têtes d’affiche de la France Insoumise (Jean-Luc Mélenchon condamné en justice, Raphaël Arnault fiché S, Adrien Quatennens qui a battu sa femme, Mathilde Panot convoquée par la justice pour apologie du terrorisme,… etc). Subitement, les militantes Némésis sortent leurs pancartes et les brandissent.

Immédiatement de nombreux hommes leur tombent dessus et exercent sur elles de sévères violences. L’une des militantes Némésis sera d’ailleurs hospitalisée. Les autres sont éjectées très violemment du lieu de la manifestation.

À la tribune, Sophie Binet (secrétaire générale de la CGT), wokiste déchaînée, a félicité les agresseurs et dira au micro : « Félicitations aux personnes qui ont résisté à cette attaque fasciste du collectif Némésis ».

Les féministes et toute la gauche, prétendent lutter contre « les violences faites aux femmes ». En réalité, affirmer cela est une très mauvaise blague.

Pour les « féministes » actuelles, il y a des violences légitimes. C’est le cas pour celles exercées contre les jeunes femmes de Némésis car ces dernières refusent l’immigration de masse et le régime diversitaire. Ce sont donc des « extrémistes de droite » sur lesquelles il est normal de taper.

Quant aux autres femmes, si elles sont victimes de violences ou d’agressions sexuelles de la part de « chances pour la France », c’est raciste et haineux de les dénoncer.

Enfin, ces mêmes féministes se font aussi remarquer par leur refus :

  • de mobiliser pour défendre les femmes afghanes victimes du retour au pouvoir des talibans
  • de mobiliser et de défendre les femmes iraniennes qui luttent contre les mollahs, notamment en refusant de porter le voile y compris pour certaines en y perdant la vie
  • de mobiliser depuis le 7 octobre contre les viols et toutes les violences faites au femmes par le Hamas

Vraiment, cette gauche qui soutient en permanence la violence pour imposer ses idées ainsi que ces prétendues féministes vendues au wokisme, sont absolument immondes.

Ce « féminisme » qui est devenu un « deux poids et deux mesures » est un authentique naufrage de la cause des femmes.

Heureusement, Némésis est là. Ce collectif est l’honneur des femmes grâce à son combat qui est des plus respectables.

Au reste et c’est indiscutable, aujourd’hui les seuls véritables défenseurs des femmes sont la droite nationale et Némésis.

18:26 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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