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mardi, 06 janvier 2015

Dresde : 20 000 manifestants contre l'islamisation de l'Allemagne !

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Yves Darchicourt

Cette fois ils étaient 20 000 au coeur de la capitale de la Saxe ! 20 000 "pegida" ces "Européens patriotes contre l'islamisation de l'Occident", partis tout au plus à 500 le 20 octobre dernier et qui sont désormais des milliers chaque lundi à se rassembler à Dresde pour dénoncer l'islamisation de leur Patrie.

En bonne collabo du "nouvel ordre mondial" - qui vise à l'éradication des peuples souchiens et des nations d'Europe par le biais notamment de l'immigration de peuplement exotique et qui se trouve être à forte composante islamique - la Chancelière Angela Merkel a rapidement dénoncé ce sursaut spontané de survie comme une scandaleuse manifestation de xénophobie et d'intolérance. Un avertissement qu'elle croyait sans doute suffisant dans un pays où les citoyens sont, depuis 70 ans, soumis à un incessant lavage de cerveau, à une culpabilisation permanente qui prétend leur interdire de songer même à sortir du cadre convenu de la pensée unique proscrivant le patriotisme, le nationalisme, l'attachement aux origines, la fierté historique et civilisationnelle. Rien n'y a fait, pas même les hoquets désapprobateurs des politicards du Système, les chuintements effarouchés de pasteurs et d'évèques modernistes, les vociférations des officines immigrationnistes ou les dénonciations des médias aux ordres du politiquement correct: les rassemblements "populistes" saxons n'en finissent pas de grossir au fil des semaines. Et maintenant on commence même à en signaler qui naissent et prennent de l'importance à Berlin, Bonn, Würzbourg, Düsseldorf et Münich. Des émotions populaires spontanées qui auraient d'ores et déjà la sympathie de 13 à 15% des allemands qui osent se dire prêts à s'y joindre!

Une sombre perspective d'insoumission croissante pour la mère Merkel qui commence à s'affoler au point de faire multiplier les messages "anti-xénophobie" sur le site du ministère des affaires étrangères ou encore d'envoyer Heiko Mass, le ministre fédéral de la justice, battre le pavé berlinois en tête d'une manifestation "contre la haine et les préjugés" péniblement organisée avec l'habituel ramassis de collabos mondialistes, de bobos en mal d'amours exotiques, de grüners vélocipédistes, de gauchistes enfumés, de masochistes des heures sombres, d'intermittents du spectacle embauchés pour jouer les indignés et de "jeunes" en maraude.

Ces citoyens allemands qui osent défier le Système ont bien raison de clamer haut et fort : wir sind das Volk ! car le peuple allemand, le vrai, c'est bien eux qui sont aux antipodes de la médiacratie et de l'oligarchie politique qui prétend penser pour eux. Un exemple à suivre dans toute l'Europe ! Bonne continuation camarades !

A suivre sur le site de Lionel Baland cliquez ici

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23:45 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Avez-vous lu le nouveau Adinolfi ?

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Gabriele Adinolfi est une figure incontournable du néofascisme italien. Au cours de ce qu’il est convenu d’appeler « les années de plomb », c'est-à-dire les années 70, un véritable climat insurrectionnel régnait en Italie. Le pouvoir démocrate chrétien, lié à la mafia et aux intérêts américains, était englué dans une multitude de scandales. Les terroristes communistes des Brigades rouges multipliaient les actions violentes et pour beaucoup la nostalgie de la glorieuse époque mussolinienne commençait à se faire ressentir. Afin d’éviter leur chute les pourris au pouvoir imaginèrent de fomenter des attentats meurtriers et de les mettre sur le dos des organisations nationales-révolutionnaires. Le plus spectaculaire d’entre eux fit plus de 80 morts et 200 blessés le 2 août 1980 dans la gare de Bologne.

S’en suivit une vaque de répression inouïe contre les milieux néofasciste, en particulier contre le mouvement Terza posizione qu’animait entre autres Gabriele Adinolfi. Pourtant, jamais sa culpabilité, ni l’implication de son mouvement, furent prouvées. Trente cinq ans plus tard, plus aucune charge ne pèse contre eux. Il n’empêche que pour des dizaines de militants ce fut la prison ou l’exile. Ainsi Adinolfi passa près de vingt ans dans la clandestinité à Paris. C’est ce qu’il nous relate dans ce livre captivant, bourré de rebondissement, de rencontres inattendues et d’anecdotes truculentes.

Aujourd’hui l’auteur vit à Rome, il anime l’Institut Polaris et est l’un des inspirateurs de la Casapound, le mouvement qui se revendique fièrement du fascisme du XXIe siècle. Gabriele Adinolfi a gardé de nombreux contacts en France où il revient régulièrement. Ce livre est aussi une galerie de portraits des militants et responsables nationalistes français qu’il rencontra au cours de sa longue cavale.

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10:54 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |