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dimanche, 25 janvier 2015

Harlem Désir à l’ONU pour réclamer la censure mondiale de l’internet tandis que BHL veut y sacraliser Israël

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L’ex-patron de SOS Racisme reconverti en pâle politicien socialiste s’est trouvé un nouvel hochet en tant que secrétaire d’Etat français aux Affaires européennes. Hier, il a pris la parole lors d’une session spéciale de l’assemblée générale de l’ONU consacrée… à l’antisémitisme. Harlem Désir est venu y plaider en faveur d’un « nouveau cadre juridique » permettant la censure mondiale d’internet.

Forcé de constater « qu’il y a aujourd’hui de nouvelles formes de propagande qui utilisent les réseaux sociaux », perturbant ainsi quelque peu la propagande universelle des promoteurs du nouvel ordre mondial, Harlem Désir a lancé cet appel à la censure: « Il faut répondre mais aussi limiter la diffusion de ces messages ». Quelques jours après avoir défilé au sein d’une « marche républicaine » réclamant la « liberté d’expression » pour un journal ordurier, scatophile et blasphématoire, l’envoyé du gouvernement français à l’ONU tient un discours inverse destiné à museler les dissidents : « Nous devons lancer un appel et aussi mettre en place un cadre juridique pour que les plateformes internet qui gèrent les réseaux sociaux aient une attitude responsable ».

Dans une démarche digne de Big Brother, Harlem Désir a souhaité la mise en place d’une conférence internationale afin de « lutter contre une sphère mondiale délocalisée ».

La France et l’Union européenne planchent en ce moment sur une réforme des législations contre le racisme et l’antisémitisme afin de faciliter la persécution des sites internet qui maintiennent des poches de résistance au milieu de la pensée unique. 

Michael Roth, ministre d’Etat allemand, a lui-aussi appelé à une initiative en ce sens « au niveau international », rappelant les propos de l'UEJF à propos de la " nécessité d'une gouvernance mondiale " (cliquez ici) pour réguler internet.

Dans la foulée,Harlem Désir, dont le nom est reprissur le site sioniste terredisral.com dans la liste "des juifs de François Hollande" (cliquez ici), a encore lancé :  « Sans les juifs d’Europe, l’Europe ne serait plus l’Europe ».

Autre intervenant inévitable dans un tel contexte, Bernard-Henri Lévy a pris la parole pour effrayer les participants à propos du retour des « spectres » de l’antisémitisme et du terrorisme et … « réhabiliter » Israël.

« Votre assemblée avait la sainte tâche de conjurer le réveil de ces spectres. Mais non, les spectres sont de retour, et c’est pour cela que nous sommes ici », a-t-il déclaré, confirmant qu’à ses yeux, le sacré c’est Israël.

BHL a brossé une description confuse du « nouvel antisémitisme », permettant d’y inclure en vue de les interdire toutes les critiques à l’égard d’Israël ou du judaïsme.

Dans un message vidéo, le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a affirmé que les Nations unies avaient « pour devoir de lutter contre l’antisémitisme si elles voulaient rester fidèles à leur idéal et à leur principe fondateur ».

A l’issue de la session, qui n’a débouché sur aucune décision, une quarantaine de pays ont publié une déclaration commune qui invite les 193 pays membres de l’ONU à prendre des mesures législatives et éducatives dont la nomination de « responsables gouvernementaux » chargés de ce dossier.

L’avenir s’annonce sombre. Qui va définir ce qui est « antisémite » ? Utiliser le mot « juif » dans un écrit ou un propos autre que laudateur sera-t-il tout simplement interdit ? Voilà qui rappelle le De Flato de Cicéron à propos de « ces gens qu’il m’est interdit de nommer« .

Décidément, l’affaire Charlie Hebdo n’a pas fini d’entraîner des conséquences bien opportunes pour les promoteurs de la police de la pensée.

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Non, les profs n’ont pas vocation à enseigner le fait religieux à l’école publique !

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Véronique Bouzou - Boulevard Voltaire cliquez ici

Dans le sillage des attaques terroristes perpétrées en France et de l’attitude de certains élèves refusant – entre autres provocations – de respecter la minute de silence, le ministre de l’Éducation nationale a annoncé que les élèves du primaire à la terminale bénéficieraient d’un « enseignement laïc des faits religieux » à la rentrée prochaine. Pas question, cependant, de faire porter aux seuls enseignants le poids d’une telle responsabilité. Ces derniers seront secondés par des « spécialistes » de la citoyenneté, de la laïcité et de la mémoire.

N’en déplaise à Najat Vallaud-Belkacem, ce n’est pas aux enseignants d’inculquer, même partiellement et de façon laïque, le fait religieux auprès de leurs élèves. La mission première de l’école est d’apprendre à lire, écrire et compter, pas à prier ! Le concept de laïcité, tant dévoyé ces temps-ci, repose sur le principe de séparation de l’État et de la religion. Une définition qui s’applique à l’école publique, qui n’est pas là pour débattre des religions.

Pas plus qu’elle n’est là pour organiser des discussions de comptoir autour d’une actualité bouillante que les politiques eux-mêmes se gardent bien de commenter sous peine de procès en « islamophobie ». Les quelques intellectuels et journalistes qui s’y sont risqués comme Houellebecq, Zemmour, Finkielkraut, Onfray ou Tesson ont subi les foudres des tenants du « politiquement correct » qui ne sont pas allés jusqu’à leur imputer la responsabilité des attentats, mais presque.

En marge de l’enseignement laïc des faits religieux ont été annoncées des actions spécifiques contre le racisme et l’antisémitisme. L’assassinat de citoyens français dans une supérette casher justifie amplement les mesures pour lutter contre l’antisémitisme et les nouvelles formes qu’il revêt. Mais que vient faire ici le sempiternel discours antiraciste ? Ce n’est pas au nom du « racisme » que les meurtriers ont agi mais au nom de l’interprétation radicale d’une religion. Faut-il voir derrière cette mesure l’action souterraine des associations antiracistes et autres officines affiliées au pouvoir socialiste ? Tout est bon pour renforcer leur mainmise sur l’école qui, peu à peu, leur échappe. En témoigne la désaffection croissante de la population enseignante pour l’idéologie gauchisante et ses vieilles lunes : égalitarisme, culture de l’excuse, communautarisme…

Si elle veut lutter efficacement contre la contagion du fanatisme religieux dans son enceinte, l’école républicaine et laïque n’a qu’un seul mot à prononcer : fermeté ! Fermeté à l’égard des élèves, parents voire enseignants qui entendent faire de l’école publique le terrain du prosélytisme religieux. On ne saurait que trop leur conseiller de se tourner vers les écoles confessionnelles où ils pourront s’exprimer et débattre à loisir. L’école publique peut enseigner l’histoire des grandes religions, mais pas la pratique religieuse qui relève définitivement de la sphère privée.

16:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SABOTAGE !

sabotage_2014_movie-t1.jpgLe site de vente en ligne de Synthèse nationale, Synthèse diffusion, a été provisoirement endommagé.

Nous sommes en train de réparer les dégâts.

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